animaux années 50 antiquité arbres archeologie astrologie astronomie au jardin boissons bonbons bonjour bonsoir
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Animaux - Oiseaux - (58)
· Mythologie Greco-romaine- (74)
· La(les)mode(s) - (17)
· Années 50 - (37)
· Arbres et arbustes (22)
· Préhistoire - (25)
· Au Jardin - (27)
· Parcs , réserves naturelles, zoos... (49)
· Bonjour + texte (589)
· Cadeaux de mes ami(e)s - (582)
Date de création : 27.11.2008
Dernière mise à jour :
08.02.2013
5848 articles
Quand il reste l'Amitié
On a beau faire, on croit toujours
Avoir trouvé le grand amour
Et puis un jour on s'aperçoit
Que c'est le même à chaque fois
Mais quand il reste l'amitié entre ceux qui se sont aimés, aimés…
On ne peut pas jouer au plus fort
Car l ‘amour n'est pas tout à fait mort
Peut-être bien qu'un nouveau bonheur
Fait maintenant battre ton coeur
Peut-être aussi que j'ai changé
Nous aurions pu nous le cacher
Mais quand il reste l'amitié entre ceux qui se sont aimés, aimés…
Par le désir ou le décor
Non l'amour n'est pas tout à fait mort
Si la vie croise nos chemins
Tu viendras me tendre la main
Ou bien c'est moi qui le ferait
Je connais des gens qui riraient
Mais quand il reste l'amitié entre ceux qui se sont aimés, aimés…
On ne peut pas jouer au plus fort
Car l 'amour n'est pas tout à fait mort
Mais quand il reste l'amitié entre ceux qui se sont aimés, aimés…
Pascal Auriat
Osez dire les mots....
C'est pourquoi il faut partager avec autrui
Le plus succulent des fruits : l'amitié
Et un peu de chaleur humaine
Un mot gentil, un poème…
Et pourquoi pas un je t'aime…
Vivez chaque jour
En savourant chaque seconde
Tout en se rappelant
Qu'on n'est pas seul dans ce monde
(auteur inconnu)
Aimer
Aimer la vie jusqu’à supplier la mort
Aimer à vie, aimer à tort
Aimer pour ne rien recevoir
Aimer jusqu’au dernier regard
Un souffle qui passe
Un nuage qui s’efface
Aimer à n’y rien comprendre
Aimer quand il n’y a plus à prendre
Qu’un vide incolore
Au fond d’un puits qui dort
Aimer le mur qui boit l’horizon
À l’ombre d’une main verrouillé
Aimer avec, aimer selon
Aimer le chemin perdu dans la vallée
Celui qui ne mène nulle part
Aimer jusqu’au point de départ
Aimer toujours, aimer encore
À faire trembler la mort
Aimer si fort
Que le vent se fige
Pour glisser dans un vertige
Aimer seul ou bien à deux
À deux, mais pas plus seul qu’avant
Quand les mots de tes yeux
Ricochent sur les parois du temps
T’aimer jusqu’à ne plus aimer
Que de t’aimer
(auteur inconnu)
C'est... (la vie, l'amour, la mort).
C'est le babil de l'aurore sur les larmes de la nuit,
La rosée s'arc-en-cielle,
L'espoir nouveau s'élabore sur un Paradis enfuit ;
C'est un vol d'hirondelles
Joueuses,
Ivres de parfums, de terres, de plantes,
Charmeuses,
Elfes du festin de l'aube naissante ;
La musique est un appel, un guide, un onguent
Et roule la mer.
C'est l'hymne de la cigale pour son amant aux doigts d'or,
Ciel et terre s'embrasent,
Le vent déploie ses rafales pour voiler leurs corps à corps ;
Des colombes qui jasent
Vigiles
D'un sanctuaire paré de fleurs mauves,
Tranquilles,
Une source éclatante pour alcôve ;
C'est la vague où l'été se voluptuose ;
La musique est un feu, une île, une rose
Et roule la mer.
C'est le murmure du cyprès en un doux mirologue,
Le jour s'enchrysalide,
Tout abjure en de noirs apprêts pour un morne épilogue ;
Le rossignol candide,
Obstiné,
En ses trilles module sa souffrance,
Forcené,
Il ranime la torche d'espérance ;
C'est une vague où l'hiver vif s'apaisante ;
La musique est un seuil, de la myrrhe, l'acanthe
Et roule la mer.
Dominique Gelay
"En amour, il n'y a que les commencements qui soient charmants ;
c'est pourquoi on trouve du plaisir à recommencer souvent."
Le Prince Charles-Joseph de Ligne
Ovales de pas
Ovales de pas sur le sable,
Toi, Moi,
Mais le vent, derrière
Qui les déforme
Et nous efface,
Passé...
M.A.Chavanne
L'adieu de l'amour
Lorsque l'aimé te fuit
tu bascules petit à petit
dans les abysses de l'enfer
même l'amitié te quitte
pour faire place à l'indifférence
pour les autres le soleil luit
toi tu préfères la nuit
les coins sombres pour cacher ta peine
ne pouvant plus murmurer le mot "je t'aime"
les roses autour de toi
s'alanguissent se dessèchent
te restent des souvenirs
enfouis dans des oubliettes
ton coeur a froid puis te tourmente
lorsque l'aimé absente
et fait place au silence
même les mots te manquent
pour exprimer ta désespérance
tu sens la vie te fuir
exhales un dernier soupir
tu sais l'adieu de l'Amour
Pier de Lune
Si l'amour
Si tout se meurt au premier soupir,
Si tout s'écroule et se déchire,
Si l'amour ne veut plus rien dire,
Je le laisserai lentement mourir.
Si tout est appelé à se finir
Si tout, comme avant, doit revenir
Je veux bien fermer les yeux sur mon désir
Et à tout jamais l'ensevelir
Si plus rien ne peut ravir,
Si tout doit flancher, faiblir,
Si tout doit s'éteindre,s'évanouir,
Je fermerai le livre avant d'en souffrir.
Mais avant de devoir partir,
Avant que l'amour veuille nous fuir
Avant l'au-revoir qu'il nous faudra peut-être dire
Reste près de moi que je te respire.
Et si tout ça n'existe pas,
Que ce n'est qu'un rêve entre toi et moi,
Si tout cela n'existe pas,
J'enfouirai tout, au fond de moi.
Et si tout cela n'existe pas,
Qu'il n'y a qu'un rêve et des pourquoi,
Si tout cela n'existe pas,
Laisse-moi y croire une dernière fois
Et si tout cela n'existe pas,
Qu'il n'y a ni amour ni rêve en soi,
Si tout cela n'existe pas,
J'oublierai alors l'écho de ta voix.
Mais avant de tout détruire,
Avant de tout briser, de démolir,
Laisse-moi dans mon rêve ou dans l'avenir,
M'approcher de toi, de tes soupirs
Erika
Lambeau de feuille...
Mes yeux sont un jardin de larmes
mon coeur un lambeau de feuille
sur une branche oublié
isolé figé grelottant de froid
incapable de se réchauffer
le soleil à l'horizon s'est caché
souffle souffle encore le vent
encore une fois, une fois encore
répète le vent une dernière fois
"morceau par morceau je t'aurai"
déchiré le lambeau s'est envolé
dans un tourbillon de valse effrénée
il s'éparpilla tant et si bien
que seules quelques graines
déposées sur le sol gelé
sont restées d'un lambeau de feuille oublié
et l'hiver dans mon jardin s'est installé
Pier de Lune
Inconscience
Dans ton port il est un bateau
vieilli, décati,las d'attendre
il largue ses amarres, maître à bord
le temps déploie ses hautes voiles
Toi, du quai tu le regardes partir
impuissant, les bras ballants
sans un geste pour le retenir
mirage des jours heureux
sa précieuse cargaison dans les cales
ce marinier vogue sur des eaux sombres
semant au hasard désirs et souvenances
recueillis dans chaque port
Toi, l'inconscient, le laisser-passer,
tu oublies que ce maître-voilier, insatiable
engloutit même les plus beaux souvenirs
laminant son sillage d'écumes vagues
Pier de Lune