Date de création : 09.04.2012
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27.11.2024
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Par Anonyme, le 26.10.2024
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Par Anonyme, le 23.09.2024
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Par Anonyme, le 08.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
Francisco Franco Bahamonde ([fɾanˈθisko ˈfɾaŋko βaaˈmonde]), né le 4 décembre 1892 à Ferrol et mort le 20 novembre 1975 à Madrid, est un militaire et homme d'État espagnol, qui instaura en Espagne, puis dirigea pendant près de 40 ans, de 1939 à 1975, un régime dictatorial nommé État espagnol.
Issu d’une famille d’officiers de marine, Franco intégra l’Académie d’infanterie de Tolède puis fut versé en 1912 dans les troupes du Maroc où, en participant à la guerre du Rif, il manifesta des qualités de meneur d’hommes et de tacticien et forma les unités de la Légion espagnole nouvellement créée. Promu général de brigade à l’âge de 34 ans, au lendemain du débarquement d'Al Hoceima, il fut affecté ensuite à Madrid puis nommé directeur de la nouvelle Académie militaire de Saragosse. Après la proclamation de la république en 1931, il fut nommé chef d’état-major en 1933 et à ce titre dirigea la répression de la révolution asturienne de 1934.
Le 17 juillet 1936, Franco, relégué aux îles Canaries par le gouvernement du Front populaire, se rallia à la dernière minute, à la suite du meurtre de José Calvo Sotelo, à la conspiration militaire en vue de réaliser un coup d’État. Celui-ci, qui eut lieu le 18 juillet 1936, échoua mais marqua le début de la guerre civile espagnole. À la tête des troupes d’élite marocaines, le général Franco réussit à briser le blocus républicain du détroit de Gibraltar et avec l’aide allemande et italienne, débarqua en Andalousie, d’où allait débuter sa conquête de l’Espagne. La Junte de défense nationale, comité collégial hétéroclite des différents chefs militaires de la zone nationaliste, le nomma au poste de généralissime des armées, c’est-à-dire de commandant suprême militaire et politique, en principe pour la seule durée de la guerre civile. Bénéficiant de l’appui des dictatures fascistes et de la passivité des démocraties, l'armée nationaliste remporta la victoire, proclamée fin mars 1939 après la chute de Barcelone et celle de Madrid. Le bilan est lourd (entre 100 000 et 200 000 morts) et la répression s'abattit sur les vaincus (270 000 prisonniers, 400 000 à 500 000 exilés).
Dès octobre 1936, le général Franco avait intégré la Phalange espagnole et les carlistes dans son armée, et neutralisé les courants disparates, parfois adverses, qui le soutenaient, en les corsetant dans un mouvement unique. À partir de 1939, celui qu'on appelle le Caudillo, le généralissime ou le chef de l'État, instaure une dictature militaire et autoritaire, corporatiste, sans doctrine claire, si ce n’est un ordre moral et catholique, marqué par l’hostilité au communisme et aux « forces judéo-maçonniques », et soutenu par l'Église catholique. Bien que d'abord soutenu par les régimes fascistes et nazis, Franco louvoie durant la Seconde Guerre mondiale, maintenant la neutralité officielle de l’Espagne, tout en soutenant les puissances de l'Axe, notamment en consentant à l’envoi de la division Azul pour combattre sur le front de l'Est. La victoire alliée acquise, le général Franco écarta les éléments les plus compromis avec les vaincus, tels que son beau-frère Serrano Súñer et la Phalange, et mit en avant les soutiens catholiques et monarchistes de son régime. L’ostracisme international de l’immédiat après-guerre fut vite tempéré par la guerre froide tandis que la position stratégique de l’Espagne assurera finalement au général Franco la survie de son régime avec l'appui de l’Argentine, des États-Unis et du Royaume-Uni. À l’intérieur, le Caudillo jouait sur les factions rivales pour maintenir son pouvoir et fit de l'Espagne de nouveau une monarchie dont il était le régent, prenant notamment en charge l'éducation de Juan Carlos, fils de Don Juan, prétendant au trône d'Espagne. Ses gouvernements successifs seront des exercices d’équilibriste, résultats d’un savant dosage entre les différentes « familles » du Movimiento Nacional.
Après que le système autarcique, qui proscrivait les investissements étrangers et les importations, eut provoqué de graves pénuries, accompagnées de corruption et de marché noir, Franco consentit vers la fin de la décennie 1950 à confier le gouvernement aux technocrates, selon la manière dont ils étaient nommés à l'époque, membres de l'Opus Dei qui mirent en œuvre, avec l'aide économique des États-Unis (concrétisée lors de la visite du président Eisenhower à Madrid en 1959) la libéralisation de l’économie espagnole, au rythme de plans « de stabilisation et de développement », avec pour résultat un rapide redressement économique et une croissance hors norme dans la décennie 1960.
En 1969, Franco désigna officiellement Juan Carlos comme son successeur. Les dernières années de la dictature sont notamment marquées par l’irruption de nouvelles revendications (ouvrières, étudiantes, régionalistes notamment basques et catalanes), des attentats (qui coûtent la vie au premier ministre Carrero Blanco), la prise de distance de l’Église après Vatican II et par la répression contre les opposants.
Franco meurt le 20 novembre 1975, après une longue agonie ponctuée par de multiples hospitalisations et opérations à répétition. Juan Carlos de Bourbon, acceptant les principes du Mouvement national, est alors proclamé roi. Enterré sur décision du nouveau Roi à Valle de los Caídos, la dépouille de Franco a été transférée en octobre 2019 au cimetière de Mingorrubio, où est enterrée son épouse, sur décision du gouvernement de Pedro Sánchez dans le cadre de l'élimination des symboles du franquisme et pour éviter les actes d'exaltation de ses partisans.
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François-Joseph Ier (en allemand Franz Joseph I.), né le 18 août 1830 à Vienne et mort le 21 novembre 1916 dans la même ville, est empereur d’Autriche et roi apostolique de Hongrie. Membre de la maison de Habsbourg-Lorraine, il règne sur l'Autriche et la Hongrie du 2 décembre 1848 au 21 novembre 1916. Du 1er mai 1850 au 24 août 1866, il occupe également la fonction de président de la Confédération germanique.
Il détient le plus long règne en tant que souverain d'Autriche et de Hongrie, ainsi que le quatrième plus long règne de tous les pays de l'histoire européenne, après le roi de France Louis XIV, la reine Élisabeth II du Royaume-Uni et le prince Jean II de Liechtenstein, soit près de 68 ans.
En décembre 1848, à la suite du Printemps des peuples et de la révolution autrichienne, l'empereur Ferdinand Ier abdiqua le trône, dans le cadre du plan du ministre-président Felix zu Schwarzenberg visant à mettre fin aux révolutions de 1848 en Hongrie. Cela permit à François-Joseph, neveu de Ferdinand, d'accéder au trône. Largement considéré comme un réactionnaire, François-Joseph a passé son règne à résister au constitutionnalisme dans ses domaines. L’Empire autrichien fut contraint de céder son influence sur la Toscane et l’essentiel de ses prétentions sur le royaume de Lombardie-Vénétie au royaume de Piémont-Sardaigne, à la suite de la deuxième guerre d'indépendance italienne en 1859 et de la troisième en 1866. Malgré la défaite de l'Empire après la guerre austro-prussienne, l'Autriche, avec la paix de Prague signée le 23 août 1866, ne céda aucun territoire au royaume de Prusse, mais dut abandonner ses prétentions à l'unification de l'Allemagne sous l'égide de la maison de Habsbourg.
Le règne de François-Joseph a été troublé par le nationalisme dans plusieurs de ses territoires. Il conclut le compromis austro-hongrois de 1867, accordant une plus grande autonomie à la Hongrie et transformant l'empire autrichien en une double monarchie austro-hongroise. Il régna pacifiquement pendant 45 ans, mais il subit personnellement les tragédies de l'exécution de son frère, l'empereur Maximilien Ier du Mexique en 1867, de la mort dans des conditions mystérieuses de son fils et héritier, le prince Rodolphe en 1889, de l'assassinat de sa femme, l'impératrice Élisabeth (« Sissi ») en 1898, et de l'assassinat de son neveu et héritier présomptif, l'archiduc François-Ferdinand, en 1914.
Après la guerre austro-prussienne, les intérêts de l’Autriche-Hongrie se sont portés vers les Balkans, point chaud de la tension internationale en raison de conflits d’intérêts avec l’Empire russe. La crise en Bosnie est le résultat de l'annexion de la Bosnie-Herzégovine par François-Joseph en 1908. Celle-ci était occupée par les troupes autrichiennes depuis le Congrès de Berlin en 1878.
Le 28 juin 1914, l'assassinat à Sarajevo de l'archiduc François-Ferdinand, son neveu et héritier présomptif, aboutit à la déclaration de guerre au royaume de Serbie, allié de l'Empire russe. Cela déclenche le système d'alliances qui débouche sur la Première Guerre mondiale.
François-Joseph décède le 21 novembre 1916, après avoir régné sur l'Autriche pendant près de 68 ans. Son petit-neveu Charles lui succède.
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Emmeline Pankhurst, née Emmeline Goulden à Manchester le 15 juillet 1858 et morte le 14 juin 1928, est une femme politique britannique féministe.
Elle est particulièrement connue pour avoir organisé le mouvement des suffragettes britanniques et aidé les femmes à obtenir le droit de vote au Royaume-Uni.
En 1999, le Time nomme Emmeline Pankhurst comme étant l'une des cent personnalités les plus influentes du xxe siècle, affirmant qu'« elle a façonné la vision des femmes de notre époque » et qu'« elle a changé les structures de notre société sans possibilité de retour en arrière »
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Kwame Nkrumah, né le 21 septembre 1909 à Nkroful alors Côte-de-l'Or (colonie britannique) et actuel Ghana et mort le 27 avril 1972 à Bucarest (République socialiste de Roumanie), est un homme d'État indépendantiste et panafricaniste ghanéen qui dirigea la Côte-de-l'Or britannique de 1954 à 1957, puis le Ghana indépendant, d'abord comme Premier ministre de 1957 à 1960, puis en qualité de président de la République de 1960 à 1966.
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Thomas Pesquet, né le 27 février 1978 à Rouen (Seine-Maritime), est un spationaute français.
Après une formation d'ingénieur aéronautique à l'Institut supérieur de l'aéronautique et de l'espace (ISAE-SUPAERO) à Toulouse, Thomas Pesquet occupe différents postes dans l'industrie aérospatiale et au Centre national d'études spatiales (CNES) avant de devenir, en 2005, pilote de ligne. En mai 2009, il fait partie des six candidats retenus pour former le troisième groupe de spationautes européens sélectionnés par l'Agence spatiale européenne.
Il est le dixième Français à partir dans l'espace en décollant le 17 novembre 2016 depuis le cosmodrome de Baïkonour au Kazakhstan à bord de Soyouz MS-03, dont l’équipage occupe la Station spatiale internationale (ISS) de novembre 2016 à juin 2017 dans le cadre de la mission Proxima. Durant cette mission, Thomas Pesquet mène une centaine d'expériences dont la moitié développée par l'Agence spatiale européenne ou le CNES, l'autre moitié par la National Aeronautics and Space Administration (NASA). Il effectue deux sorties extravéhiculaires de six heures pour des missions de maintenance de la Station spatiale internationale.
En juillet 2020, il est sélectionné pour une seconde mission à bord de la capsule Crew Dragon, construite par l'entreprise américaine SpaceX. Il devient ainsi le premier Européen assigné à une mission à bord du Crew Dragon, mission qu'il décide de baptiser Alpha. Le 23 avril 2021, Thomas Pesquet embarque pour la deuxième fois vers la Station spatiale internationale. Le 4 octobre 2021, il devient le premier Français commandant l'ISS. Il rentre sur terre le 8 novembre 2021, après 200 jours en orbite. Il a réalisé pendant cette mission 134 expériences et 4 sorties extravéhiculaires. Thomas Pesquet est, depuis 2021, l'astronaute européen le plus expérimenté (avec près de 400 jours dans l'espace), ainsi que le plus expérimenté en sorties extravéhiculaires
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Ewa Sonnet de son vrai nom Beata Kornelia D?browska, née le 8 mars 1985, à Rybnik en Pologne, est une chanteuse et modèle de charme polonaise. Elle pèse 52 kg pour 1,64 m.
Après le lycée, Ewa Sonnet s'est lancée dans l'industrie du divertissement adulte (photos & video « de charme ») en raison de sa poitrine généreuse (105 E) et de sa beauté. Elle accepta alors de devenir modèle. Fin 2003, Ewa Sonnet commença à poser pour le site Web polonais populaire « Busty.pl », un site Web très connu en Europe et aux États-Unis. Elle a posée pour un grand nombre de fois et a tourné plusieurs vidéos « tout public » puisqu'elle ne pose pas entièrement nue en règle générale, malgré de nombreuses sollicitations.
En novembre 2005, Ewa Sonnet pose pour le magazine polonais CKM. Dans l'entrevue, elle indiqua que ses seins sont naturels. Le 11 décembre 2005, Elle fit sa première apparition à la télévision dans « The Kuba Wojewodzki Show » sur la chaîne Polsat en Pologne. L'animateur demanda à Ewa à quelle époque ses seins avaient commencé à grossir, elle répondit qu'ils avaient commencées pendant sa dernière année de lycée. Elle fit cette apparition à la télévision pour faire la promotion de son nouvel album « Nie?egalna ».
En janvier 2006, Ewa commence une série de concerts dans toute la Pologne. Elle posa encore dans le numéro de novembre 2006 du magazine polonais CKM.
Le 16 janvier 2007, Ewa a officiellement confirmé qu'elle a terminé son second album dont les 11 morceaux ont été enregistrés en Suède. L'album est sorti le 11 mars 2007.
Elle renoue avec la télévision en participant en 2010 & 2011 à l'émission polonaise « Gwiazdy ta?cz? na lodzie » (adaption de l'émission britannique « Dancing on Ice »). Ewa Sonnet semble avoir cessé ses activités de modèle de charme et de chanteuse pour la plupart. Il est indiqué qu'elle a terminé son contrat et qu'elle travaille actuellement à son propre compte. Le site de Busty.pl qui avait hébergé ses débuts a stoppé ses mises à jour mensuelles et s'alimente sur du contenu pré enregistré, le nouveau contenu se faisant rare.
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Le bon point (parfois abrégé BP) est un système de récompense utilisé principalement dans le système scolaire, et généralement matérialisé par la distribution de petits coupons. C'est une forme (ou un système proche) de système d'économie de jetons.
Historique
La pratique des bons points naît sous l'Ancien Régime dans le cadre du catéchisme.
Le Catéchisme du diocèse de Lyon, imprimé en 1715 sur ordre de l'archevêque Claude II de Saint-Georges, préconise ainsi de marquer dans un catalogue des « bons points » pour les bonnes réponses, et inversement des « méchants points » sanctionnant « l'immodestie ou l'ignorance » des enfants. Deux ou trois bons points successifs entraînent la remise d'une récompense, et le même nombre de « méchants points » un avertissement adressé aux parents, voire l'exclusion du catéchisme1. Des recommandations publiées à Avignon en 1765 précisent que les bons ou mauvais points déjà acquis peuvent être retirés a posteriori en guise de sanction ou d'encouragement.
À la fin du xviiie siècle, les bons et mauvais points sont élargis à l'enseignement primaire. Étienne-Marie Barruel propose de les prendre pour base des prix d'excellence mensuels (nommés « prix d'émulation ») récompensant les meilleurs élèves des différentes sections de l'école. La pratique des bons points se généralise en France au cours du siècle suivant.
Dans les écoles
Ce système est utilisé pour récompenser les élèves dans le système scolaire, notamment en France dans certaines classes élémentaires.
Des bons points sont ainsi distribués par l'enseignant aux élèves méritants. Un bon point est souvent matérialisé sous forme d'un petit coupon de carton tamponné, conservé par l'élève dans une « boîte à bons points ». Dix bons points peuvent être échangés contre une image. L'obtention de quelques images étant souvent récompensée par un cadeau offert par l'enseignant.
Extrait du règlement intérieur de l'école du Pré Vert, de Henriville
:
« Les deux autres classes fonctionnent avec le système des bons points. Dix bons points sont échangés contre une petite image. Cinq petites images donnent droit à une grande image, et trois grandes images donnent droit à un livre. Les bons points sont distribués par l’enseignante, pour une réussite et/ou un effort. »
Il peut arriver que certaines classes appliquent encore aujourd'hui le système du bon point, qui n'a cependant plus la vogue qu'il eut autrefois. Pédagogiquement le système des bons points est très critiqué.
Autres éléments de récompenses scolaires
Par le passé, et jusqu'à la fin des années 1960, les systèmes de récompense étaient en pratique dans l'enseignement et se déclinaient, en plus des Bons-Points, en de nombreuses procédures : le Tableau d'honneur, les billets de satisfaction et billets d'honneur, les médailles Au mérite, les distributions annuelles de livres de prix.
Aux Pays-Bas, dans la province de Groningue, on offre un stoetboom aux enfants ayant fait leur premier jour d'école primaire.
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