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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
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Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
L'équipe de France féminine a débuté sa Coupe du monde 2023 par un match nul et vierge, ce dimanche midi, face à la Jamaïque (0-0). Les Bleues, 5emes au classement féminin mondial, ont été accrochées par de courageuses Jamaïcaines, se créant de multiples situations, sans parvenir à briser le verrou de la 43e équipe mondiale.
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La bataille d'Isandhlwana a été livrée le 22 janvier 1879 en Afrique du Sud, pendant la guerre anglo-zouloue, et s'est soldée par l'une des plus grandes défaites coloniales britanniques.
L'Isandhlwana (également nommée Isandlwana ou Isandula) est une colline isolée dans la province du KwaZulu-Natal. Isandhlwana veut dire « la colline qui ressemble à un bœuf ».
Une armée de plus de 20 000 Zoulous, commandée par Ntshingwayo Khoza et Mavumengwana kaNdlela Ntuli, balaie six compagnies du 24e régiment d'infanterie britannique, un contingent de volontaires du Natal et des auxiliaires Basotho, soit 1 700 hommes environ, sous les ordres du colonel Durnford et du lieutenant-colonel Pulleine (en).
Origine du conflit
La guerre anglo-zouloue de 1879 trouve son origine dans la politique agressive de Sir Henry Bartle Frere, High Commissioner (haut commissaire) des possessions britanniques en Afrique du Sud. Administrateur colonial de grande expérience, il est envoyé au Cap en 1877 afin de réaliser la réunion des colonies britanniques, des républiques boers et des royaumes africains dans une Confédération unique dirigée par le gouvernement du Royaume-Uni, très intéressé par la région depuis la découverte de diamants à Kimberley en 1868. Rapidement, Bartle Frere conclut que le royaume zoulou est un obstacle à la mission qui lui est assignée et il est persuadé que le roi Cetshwayo kaMpande appuie la vague de mécontentement des populations africaines qui secoue alors l'Afrique du Sud. En dépit des avis contraires de son gouvernement, déjà engagé dans une guerre difficile en Afghanistan et très inquiet par la tournure prise par la crise qui oppose à la même période la Russie et l'Empire ottoman dans les Balkans, et qui par conséquent prône la modération et la négociation avec les Zoulous pour ne pas multiplier les conflits, Bartle Frere estime que l'épreuve de force est inéluctable et que les troupes dont il dispose sont suffisantes pour y faire face avec succès. A l'affut d'une occasion pour précipiter les événements, il profite d'un incident frontalier qui survient en juillet 1878 : deux femmes indigènes fuyant le pays zoulou, sont rattrapées en territoire britannique et exécutées par leurs poursuivants devant les soldats anglais. Il envoie le 11 décembre un ultimatum à Cetshwayo kaMpande, par lequel il exige outre la livraison des coupables (qui ont déjà été jugés selon les lois zouloues) et le paiement d'une importante rançon en tête de bétail, le démantèlement et le désarmement partiel de l'armée zouloue, la rectification des frontières ainsi que la désignation d'un résident britannique en pays zoulou, avec voix au grand conseil de la nation zouloue. Cela signifierait de facto la perte pour le pays zoulou de son indépendance et son assujettissement à un statut d'État-vassal. Bartle Frere donne trente jours à Cetshwayo pour accepter ses exigences étant précisé qu'un refus serait un casus belli. Cetshwayo ne répond pas.
Armée zouloue et sa tactique
Créée par Chaka au début du xixe siècle, l'armée ou impi zouloue est la plus puissante machine de guerre à laquelle vont se confronter les Britanniques en Afrique australe. En 1879, à l'ouverture des hostilités, le roi Cetshwayo dispose d'une armée de 55 000 hommes, enrôlés par tranche d'âge dans 33 régiments ou amabutho (singulier, ibutho). Toutefois, seuls 40 000 hommes sont immédiatement opérationnels. Les guerriers sont principalement armés de l'iklwa (une sagaie à manche court et large lame) et d'un grand bouclier en cuir, et sont parfaitement préparés au combat à l'arme blanche et au corps à corps. Devant la menace britannique croissante, Cetshwayo avait commencé à acheter des armes à feu et l'armée zouloue possède plus de 5 000 mousquets et fusils. cependant il s'agit d'armes de piètre qualité, et leurs utilisateurs sont mal entrainés ; parmi eux, nombreux sont ceux qui tiennent leurs fusils à bout de bras pour tirer, afin d'éviter de subir le recul désagréable de l'arme, ce qui réduit fortement leur précision.
Schéma de la tactique zouloue avec enveloppement de l'adversaire par les ailes.
La tactique de combat de l'armée zouloue a été portée à son apogée par Chaka, et lui a permis d'imposer son hégémonie dans la région. Aux qualités traditionnelles de courage et de mobilité des armées africaines, il a ajouté l'organisation et l'entrainement, transformant un ost indiscipliné en unité de combat particulièrement redoutable, reposant sur un système régimentaire. Pendant la bataille, l'armée zouloue se présente en arc de cercle face à son adversaire. Au centre (la poitrine), se tiennent les régiments aguerris, sur les ailes (ou cornes, comme les nomment les Zoulous) sont placés les régiments de jeunes guerriers. Ceux-ci ont pour mission de mettre à profit leur vitesse et leur agilité pour déborder l'ennemi en l'attaquant sur les flancs tout en essayant de l'encercler alors que les guerriers de la poitrine l'engagent de face. Derrière la poitrine, et tournant le dos à la bataille afin de garder leur calme, des régiments de vétérans (les reins) se tiennent en réserve, n'intervenant que pour faire basculer l'affrontement vers la victoire. Chaque homme connaît sa place, les gestes et les manœuvres ayant été répétés indéfiniment, comme dans les armées occidentales, jusqu'à devenir des automatismes.
L'armée zouloue est loin d'être invincible, les Boers l'ont ainsi sévèrement étrillée à la bataille de Blood River en 1838, mais elle n'est certainement pas à négliger ou sous-estimer. Les Britanniques qui comptent sur leur puissance de feu pour gagner rapidement le conflit vont en faire l'amère expérience.
Plan de campagne britannique et la stratégie zouloue
Le 9 janvier à minuit, l'ultimatum britannique expire ; à l'aube du 11 janvier, les premières unités de l'armée d'invasion, qui compte environ 13 000 hommes (5 000 réguliers, 2 000 volontaires à cheval, 6 000 auxiliaires indigènes), pénètrent en territoire zoulou. Cette armée est placée sous le commandement du général Frederic Thesiger second baron de Chelmsford dont la stratégie est simple : attaquer Ulundi, la capitale zouloue (appelée « Kraal Royal ») pour tenter à la fois de capturer Cetshwayo et d'anéantir son impi.
Pour mener à bien ces objectifs, Chelmsford décide de lancer son offensive sur trois fronts et divise en conséquence son armée en plusieurs colonnes. À l'aile droite, une première colonne, confiée au colonel Pearson, doit franchir la Tugela, établir un camp provisoire, puis lancer des reconnaissances sur la route d'Ulundi. Au centre, la colonne principale qui campe à Rorke's Drift, et commandée par Chelmsford lui-même et le colonel Glyn, doit se diriger directement sur Ulundi et accrocher le gros des forces zouloues. À gauche, une troisième colonne (colonel Wood) doit traverser la Blood River (ou Ncome), affluent de la Tulega, et refermer la tenaille. Chacune de ces colonnes est assez forte pour être en mesure de défaire l'armée zouloue sans avoir besoin du soutien des deux autres.
Enfin, Chelmsford qui ne méconnait pas le risque d'une attaque zouloue en territoire britannique, confie une quatrième colonne au colonel Durnford avec pour mission de rester en réserve au Natal et d'assurer la surveillance active de la frontière pour prévenir toute éventualité. Une cinquième colonne, commandée par le colonel H. Rowlands, s'installe à Luneburg au Transvaal, annexé par le Royaume-Uni depuis 1877, afin là aussi de prévenir toute offensive zouloue mais aussi de surveiller les éventuels opposants locaux à la domination britannique.
Cetshwayo de son côté ne veut pas la guerre, trop conscient de la supériorité militaire de ses adversaires. Cependant l'invasion de son territoire rendant celle-ci inéluctable, il ordonne à ses guerriers d'aller au-devant de l'ennemi mais leur interdit de pénétrer au Natal. Il entend en effet mener une guerre essentiellement défensive afin de prouver son absence d'intention agressive.
L'effort principal de son armée, dont il donne le commandement au chef Ntshingwayo kaMahole Khoza, porte sur la colonne du centre, considérée à juste titre comme la plus puissante et la plus dangereuse, tandis que la marche des deux autres colonnes doit être ralentie par des attaques de harcèlement menées par les guerriers résidant dans les régions qu'elles traversent.
Prémices
Dès le 12 janvier, la première escarmouche est livrée. La route empruntée par la colonne centrale suit la vallée de la Batshe, fief de Sihayo kaXongo, l'un des vassaux de Cetshwayo et dont les hommes sont à l'origine des incidents de frontière justificatifs de l'ultimatum du 11 décembre. Le village de Sihayo est situé le long des pentes de collines abruptes, en forme de fer-à-cheval, et constitue une excellente position défensive. Sihayo est absent et son domaine est défendu par Mkhumbikazulu, l'un de ses fils, et entre 200 et 300 guerriers. L'attaque britannique est menée par les cavaliers du Natal Native Contingent. Accueillis par une fusillade, ils sont repoussés ; Chelmsford fait intervenir l'infanterie dont l'assaut, auquel se joignent les cavaliers, est irrésistible. Mkhumbikazulu est tué et ses guerriers dispersés. Une centaine de Zoulous sont tués ou blessés lors des affrontements alors que le Natal Native Contingent perd deux hommes et compte une douzaine de blessés dont deux officiers.
Le combat conforte les Britanniques dans leur conviction que la victoire sera aisée. Les Zoulous ont combattu bravement mais ils n'ont pas tenu devant la puissance de feu et le professionnalisme de leurs adversaires et cela malgré l'avantage du terrain dont ils disposaient.
Pour des raisons logistiques, l'avance de la colonne est suspendue jusqu'au 20 janvier et elle retourne à Rorke's Drift. En effet, les pluies de décembre ont détrempé le sol et la route s'avère impraticable pour les lourds chariots et le train d'artillerie. De surcroît, les hommes du génie doivent préparer des passages guéables pour permettre aux troupes de franchir la Batshe ou la Manzymnyama. Le 20 au matin, Chelmsford donne l'ordre du départ et l'armée arrive dans l'après-midi au pied d'Isandhlwana où elle fait halte et établit un camp. Celui-ci est dressé sur une pente douce, face à la direction d'Ulundi, devant la montagne, sur un site découvert qui offre une excellente visibilité. C'est un vaste champ de tentes dépourvu de la moindre fortification. Aucune tranchée n'est creusée, le sol trop rocailleux ne le permet pas. les chariots sont réunis dans un col à proximité plutôt que d'être installés, à la mode des laager boers, en cercle autour du bivouac pour en assurer la sécurité.
Le 22 janvier, des éclaireurs repèrent des forces zouloues dans les collines du Nkandhla, à l'est du camp. Très tôt dans la matinée, Chelmsford part avec trois mille hommes à leur rencontre et confie le commandement du camp au lieutenant-colonel Pulleine. Avant son départ, il envoie un message au colonel Durnford pour lui demander de rallier Isandhlwana au plus tôt, avec sa colonne. Les ordres qu'il donne à ce dernier sont vagues et il semble qu'il ait surtout désiré restreindre son autonomie en intégrant ses troupes dans la colonne principale car quelques jours plus tôt, Durnford avait entrepris de son propre chef une reconnaissance en terrain ennemi, sans l'aval de Chelmsford.
Peu après le départ de Chelmsford, plusieurs centaines de Zoulous apparaissent à proximité du camp. Ils se contentent d'observer et se retirent tandis que Pulleine met ses hommes en alerte. Durnford arrive vers 10 heures du matin à Isandhlwana. Il s'attendait à trouver sur place des ordres plus explicites mais son attente est déçue. Cependant, plus ancien et plus gradé que Pulleine, il se trouve de facto commandant du camp. Considérant que les Zoulous aperçus peuvent constituer une menace tant pour le camp que pour les arrières de la colonne de Chelmsford, il décide d'aller avec ses hommes en reconnaissance. S'il prend acte du refus de Pulleine de renforcer ses effectifs avec des troupes de la garnison, il lui signifie clairement qu'il escompte son soutien en cas d'accrochage sérieux avec l'adversaire. À 11 h 30, Durnford commence sa reconnaissance. Il a envoyé les lieutenants Raw et Roberts avec deux escadrons du Natal Native Horse explorer le sommet d'une crête susceptible d'être utilisée par les Zoulous car elle est proche du camp et le domine, tandis qu'avec le reste de ses hommes, il progresse dans la plaine en longeant les parois de la crête. Pulleine fait suivre les cavaliers de Raw et Roberts par une compagnie du 24e régiment d'infanterie, commandée par le capitaine Cavaye, afin de sécuriser ces hauteurs. Arrivés au sommet, Raw et Roberts débouchent sur un plateau herbeux où ils constatent la présence de groupes épars de guerriers ennemis et de jeunes garçons qui surveillent des petits troupeaux de bœufs et qui se retirent précipitamment dès qu'ils les voient. Poursuivis, les vachers conduisent leurs bêtes en lisière du plateau dont ils dévalent les pentes. Les cavaliers s'arrêtent net : au pied du plateau, tranquillement assise, une armée de plus de 20 000 guerriers est là.
Déroulement de la bataille
L'armée zouloue était dirigée par les inDunas (chefs de régiment) Ntshingwayo kaMahole Khoza et Mavumengwana kaNdlela Ntuli. L'inDuna prince Dabulamanzi kaMpande, demi-frère de Cetshwayo, dirigea le régiment Undi après que kaMapitha, le inkhosi régulier, ou commandant, fut blessé.
Alors que Chelmsford patrouillait les environs à sa recherche, l'armée zouloue le contourna en se plaçant derrière les forces britanniques avec l'intention d'attaquer le 23 janvier. L'armée zouloue fut découverte le 22 janvier vers 8 heures du matin par des éclaireurs du lieutenant Charles Raw à la poursuite de petits groupes de Zoulous dans une vallée, découvrant d'un coup les 20 000 hommes tranquillement stationnés en silence. Une fois découverts, les Zoulous se préparèrent à l'attaque. Les hommes de Raw se livrèrent à une retraite défensive vers leur camp contre l'armée qui les chargeait, et un messager fut envoyé pour avertir Pulleine. Pulleine observait des Zoulous sur les collines sur la gauche du front, et envoya une missive à Chelmsford, qui fut reçue par le général entre 8 heures et 10 heures du matin.
L'armée zouloue se mit alors en position d'attaque traditionnelle en forme de tête de buffle, dans le but d'encercler les britanniques. De la vision qu'en avait Pulleine depuis sa position, seuls la corne droite et le centre de l'attaque semblaient positionnés. Pulleine envoya alors la première, puis l'ensemble des six compagnies du 24e régiment d'infanterie se poster pour former une ligne de tir, avec pour but de parer de front à l'attaque zouloue. Les hommes de Durnford, après confrontation avec l'attaque centrale zouloue, se replièrent vers un donga, une ravine asséchée, sur le flanc britannique droit où ils constituèrent une ligne de défense. La batterie commandée par Durnford, qui n'avait pas été positionnée derrière les troupes en position, fut rapidement isolée et battit en retraite. Les deux bataillons de troupes indigènes se trouvaient dans le dispositif de Durnford ; alors que tous les officiers et les sous-officiers disposaient de fusils, seul un indigène sur 10 disposait d'un mousquet et d'une quantité limitée de munitions, et nombre d'entre eux quittèrent le champ de bataille dès ce moment.
Pulleine ne fit qu'un changement de dispositif, après environ vingt minutes d'échange de tirs, en rapprochant quelque peu la ligne de tir du camp. Pendant quelques heures jusqu'à midi, le dispositif britannique discipliné infligea des pertes significatives à l'attaque centrale zouloue, qui fut bloquée. Le moral restait haut dans les rangs britanniques. Le fusil Martini-Henry était une arme puissante, et les hommes savaient le manier. De plus, les tirs d'artillerie forcèrent certains régiments zoulous à se protéger derrière une colline. Cependant, la corne gauche de l'armée zouloue progressait pour déborder et encercler le flanc droit britannique.
Les hommes de Durnford, qui se battaient depuis le plus longtemps, commencèrent à se replier et leur capacité de tir diminua. La retraite de Durnford exposa le flanc britannique droit qui, avec la menace générale de l'encerclement zoulou, incita également Pulleine à replier ses troupes vers le camp. Le retrait des soldats britanniques se fit avec ordre et discipline, et les hommes du 24e revinrent au camp en combattant. La retraite de Durnford cependant exposa le flanc de la compagnie G, 2e/24e, qui fut rapidement emportée.
Au même moment, les munitions commencèrent à manquer aux compagnies du centre, l'intensité du feu occasionnant une consommation de cartouches à un rythme plus élevé que le réapprovisionnement depuis les chariots de munitions, positionnés assez en arrière de la ligne de feu. Le feu faiblissant, les Zoulous qui leur faisaient face et s'étaient plaqués au sol pour s'en protéger bondirent sur leurs pieds et chargèrent en poussant leur cri de guerre. Devant cette vision terrifiante, une compagnie d'infanterie indigène se débanda, créant ainsi une brèche dans la ligne anglaise. Les Zoulous s'y engouffrèrent, prenant à revers les compagnies régulières qui tiraient encore. Surprises (certaines n'eurent même pas le temps de mettre baïonnette au canon), celles-ci furent anéanties en quelques minutes dans de furieux combats au corps à corps.
Une éclipse solaire intervient sur le champ de bataille à 14 heures environ et met un terme au combat. Un officier des forces de Chelmsford, qui observait le combat de très loin, donna ce témoignage du déroulement final de la bataille, vers 15 heures :
« En quelques secondes, nous vîmes distinctement les fusils tirer de nouveau les uns après les autres. Ce qui se reproduisit à plusieurs reprises — une pause, puis un flash — flash ! Le soleil éclairait le camp, puis le camp parut s'assombrir, comme si une ombre l'enveloppait. Les fusils ne tirèrent plus après cela, et les tentes disparurent en quelques minutes. »
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L'Ultime Attaque (titre original : Zulu Dawn) est un film de guerre américano-néerlando-sud-africain réalisé par Douglas Hickox, sorti en 1979.
Synopsis
En 1879, à Pietermaritzburg au Natal (Afrique du Sud), les dirigeants britanniques envisagent la conquête du Royaume zoulou, qu'ils estiment pouvoir aisément défaire militairement. Mais la British Army se fait surprendre par un puissant impi zoulou lors de la bataille d'Isandhlwana.
Fiche technique
Titre Original : Zulu Dawn
Réalisation : Douglas Hickox
Co-réalisation : David Tomblin et Peter McDonald
Scénario : Cy Endfield et Anthony Storey, d'après une histoire et un scénario de Cy Endfield
Photographie : Ousama Rawl
Cadreur : Ronnie Taylor
Montage : Malcolm Cooke
Musique : Elmer Bernstein
Décors : John Rosewarne
Costumes : John Buckley
Direction artistique : Peter Williams
Casting : Irene Lamb
Producteurs : Nate Kohn, James Faulkner (coproducteur), Dieter Nobbe (producteur associé), Barrie Saint Clair (producteur associé)
Sociétés de production : Zulu Dawn NV, Samarkand, Lamitas
Sociétés de distribution : Victory Films, American Cinema Releasing (États-Unis), Bellevue Film Distributors
Pays d'origine : États-Unis | Afrique du Sud | Pays-Bas
Langue : Anglais, Zoulou
Format : couleurs (Technicolor) — 35 mm — 2,35:1 — Son : Dolby Stereo
Genre : Film dramatique, Film d'aventure, Film de guerre, Film historique
Durée : 113 minutes
Dates de sortie :
États-Unis : 15 mai 1979
France : 15 mai 1979 (Festival de Cannes) / 9 juillet 1980 (sortie nationale)
Afrique du Sud : 23 avril 1980
Distribution
Burt Lancaster (VF : Claude Bertrand) : Le colonel Durnford |
Peter O'Toole (VF : Pierre Hatet) : Le général Chelmsford |
Simon Ward (VF : Joël Martineau) : Vereker |
Denholm Elliott (VF : Michel Gudin) : Le colonel Pulleine |
John Mills (VF : Philippe Dumat) : Le gouverneur de la colonie du Cap, sir Henry Bartle Frere |
Nigel Davenport (VF : Edmond Bernard) : Le colonel Hamilton-Brown |
Michael Jayston (VF : Claude D'Yd) : Le colonel Crealock |
Peter Vaughan (VF : Jean Violette) : Le quartier-maître Bloomfield |
James Faulkner (VF : Daniel Gall) : Le lieutenant Melvill |
Christopher Cazenove (VF : Lambert Wilson) : Le lieutenant Coghill |
Simon Sabela : Cetshwayo |
David Dai Bradley : Le soldat Williams |
Bob Hoskins (VF : Michel Barbey) : Le sergent Williams |
Anna Calder-Marshall (VF : Martine Messager) : Fanny Colenso |
Freddie Jones (VF : Jean Berger) : L’évêque Colenso |
Nicholas Clay (VF : José Luccioni) : Le lieutenant Raw |
Ronald Lacey (VF : Philippe Mareuil) : Le journaliste Norris Newman |
Phil Daniels : Boy Pullen |
Donald Pickering : Le major Russell |
Paul Copley : Le caporal Storey |
Ken Gampu : Mantshonga |
Ronald Pickup (VF : Jacques Bernard) : Le lieutenant Harford |
Don Leonard (VF : Henry Djanik) : Fannin |
Claire Marshall (VF : Anne Kerylen) : Mme De Witt |
Jan Bruyns (VF : Jacques Degor) : Le Boer âgé |
À noter
Malgré le sérieux apporté à la réalisation du film (uniformes, décors, tactiques de l'époque...), on peut déplorer un problème de traduction récurrent dans la version française : le sous-officier britannique chargé de l'approvisionnement est systématiquement appelé quartier-maître, qui correspond en France à un grade de l'équipage de la Marine. Le grade anglais de quartermaster general correspond plutôt à celui de fourrier ou d'intendant.
La bataille de Rorke's Drift, survenue juste après la bataille d'Isandhlwana, avait déjà fait l'objet d'un film en 1964, intitulé Zoulou. Il a été réalisé par Cy Endfield, co-scénariste de L'Ultime Attaque.
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Les Zoulous sont un peuple bantou d'Afrique australe, en partie sédentarisé, qui se trouve principalement en Afrique du Sud.
Le peuple zoulou (son nom vient de l’expression amaZulu, « le peuple du ciel ») fut unifié par le roi Chaka, qui fit de son clan de 1 500 personnes une nation redoutable par la conquête et l'assimilation. L'unification zouloue est en partie responsable du mfecane, la vague chaotique d'émigration de clans au-delà des rivières Tugela et Pongola, nouvelles limites du KwaZulu.
Reconnus pour leur armée formidable (impi), les Zoulous se heurtent aux colons boers et à l'armée britannique au xixe siècle avec un acharnement et des tactiques qui prirent à plusieurs reprises les Européens au dépourvu (victoire zouloue à la bataille d'Isandhlwana pendant la guerre anglo-zouloue de 1879). La majeure partie des Zoulous aujourd'hui sont cultivateurs, mais l'urbanisation en a attiré un grand nombre vers les villes au cours du xxe siècle. Les Zoulous urbains se trouvent principalement au Witwatersrand, zone minière dans la province de Gauteng comprenant Johannesbourg et à Durban (dont le nom zoulou est eThekwini), port important du KwaZulu-Natal. La vannerie, la garniture de perles et les chants zoulous sont célèbres.
Sur le plan politique, les Zoulous sont depuis 1980 profondément divisés entre partisans du Congrès national africain (ANC, fondé en 1912) et ceux du Parti Inkatha de la liberté (IFP, fondé en 1975). De violentes émeutes éclatent entre ces partis, dans l'attente de la première élection de l'après-apartheid (Élections générales sud-africaines de 1994). L'IFP l'emporte (uniquement) au KwaZulu-Natal, mais son vote est légèrement en recul aux élections récentes. Depuis quelques années, l'IFP est en coalition avec l'ANC.
Ethnonymie
Singulier (une personne zouloue) | umZulu |
Pluriel (le peuple zoulou) | amaZulu |
Langue (la langue zouloue) | isiZulu |
Histoire
Femme en habits traditionnels et portant une calebasse.
La patrie d'origine des Zoulous semble se situer dans la région de la Tanzanie moderne. Leur présence en Afrique du Sud remonte au xive siècle. Tout comme les Xhosa qui se sont installés en Afrique du Sud au cours des vagues migratoires bantoues antérieures, les Zoulous ont assimilé de nombreux sons des langues san et khoï, celles des premiers habitants de la contrée. De ce fait, le zoulou et le xhosa ont préservé de nombreuses consonnes à clics (sons qu'on ne rencontre qu'en Afrique du Sud), en dépit de l'extinction de nombreuses langues khoïsan.
Le zoulou, comme toutes les langues indigènes d'Afrique du Sud, était un langage parlé jusqu'à l'arrivée de missionnaires européens, qui l'ont transcrit en utilisant l'alphabet latin. Le premier document rédigé en zoulou fut une traduction de la Bible, parue en 1883. En 1901, John Dube, un zoulou du Natal, créa le Ohlange Institute, le premier établissement d'enseignement indigène d'Afrique du Sud.
Les Zoulous étaient à l’origine un clan mineur, fondé en 1709 par kaNtombhela Zoulou, dans ce qui est aujourd’hui le KwaZulu-Natal. Ils appartenaient au groupe des Nguni qui occupait la région. Les Nguni ont migré de la côte est de l’Afrique et se sont installés en Afrique du Sud aux alentours de 800 apr. J.-C.
iZulu, iliZulu ou liTulu, selon les dialectes nguni, signifie « ciel ».
Les Zoulous créent en 1816 un puissant royaume sous le conquérant Chaka qui, doté comme ses prédécesseurs d'un large pouvoir sur la tribu, mène l'armée de la confédération Mthethwa, prend la suite de son mentor Dingiswayo et fait d'une confédération de tribus hétérogènes un empire sous hégémonie zouloue.
Le 11 décembre 1878, les Britanniques délivrèrent un ultimatum aux quatorze chefs représentant Cetshwayo. Les clauses de l’ultimatum étaient inacceptables du point de vue du roi zoulou. Les forces britanniques traversèrent la rivière Thukela à la fin de décembre 1878. Le 22 janvier 1879, les zoulous défirent les Britanniques à la bataille d'Isandhlwana mais ils connurent plusieurs défaites les laissant dans une position inconfortable. La guerre se termina finalement par la défaite zouloue le 4 juillet 1879 après de grandes difficultés pour les Anglais, l'armée zouloue se révélant tenace.
Guerriers zoulous de la fin du xixe siècle.
Après la capture de Cetshwayo kaMpande un mois après la défaite, les Britanniques divisent le royaume zoulou en treize potentats. Ces petits royaumes se combattent jusqu'à ce qu'en 1883 Cetshwayo soit réinstallé comme roi du Zululand. Les combats ne cessent pas et le roi se voit contraint de fuir son territoire sous les attaques victorieuses de Zibhebhu, l'un des treize roitelets, soutenu par les mercenaires boers. Cetshwayo meurt en février 1884, peut-être empoisonné, et son fils de quinze ans, Dinuzulu kaCetshwayo, lui succède. Les guerres intestines se poursuivent pendant des années, jusqu'à l'absorption définitive du Zululand dans la colonie du Cap.
Drapeau du Kwazulu.
Sous l’apartheid, le bantoustan du KwaZulu (Kwa signifiant « terre de ») fut créé en 1970 sous le nom de Zululand (il prit son nom actuel en 1977). On prévoyait que tous les Zoulous deviendraient citoyens du KwaZulu, perdant ainsi leur citoyenneté sud-africaine. La patrie ainsi créée était composée d’une multitude de terres éparses. Des centaines de milliers de Zoulous vivant en dehors du KwaZulu furent dépossédés et furent déplacés par la force dans de moins bonnes terres. En 1993, environ 5,2 millions de Zoulous vivaient dans le KwaZulu et environ 2 millions dans le reste de l’Afrique du Sud. Le ministre en chef du KwaZulu fut, de sa création en 1970 jusqu’en 1994, Mangosuthu Buthelezi. En 1994, la province du Natal fut rattachée au KwaZulu, le tout formant désormais, le KwaZulu-Natal.
En 1975, Buthelezi recréa le Inkatha YaKwaZulu, prédécesseur du Parti Inkatha de la liberté (ou IFP). Cette organisation était théoriquement un mouvement de protestation contre l’apartheid, mais plus conservatrice que l’ANC. Par exemple, Inkatha était opposé à la lutte armée et aux sanctions contre l’Afrique du Sud. Inkatha était à l’origine en bons termes avec l’ANC, mais les deux organisations entrèrent en opposition en 1979 à la suite des émeutes de Soweto.
À cause de ses positions de plus en plus en faveur du gouvernement de l’apartheid, Inkatha fut la seule grande organisation reconnue comme représentative des opinions des noirs sud-africains par le gouvernement de l’apartheid ; l’ANC et les autres mouvements furent bannis. À la différence des leaders du Transkei, du Ciskei, du Bophuthatswana et du Venda, Buthelezi n’a jamais accepté la pseudo-indépendance offerte lors de la politique du Separate Development, en dépit de fortes pressions de la part du gouvernement blanc.
Dès 1985, des membres de mouvements d’opposition s’engagèrent dans des luttes sanglantes. La violence politique apparut d’abord entre les membres d'Inkatha et de l’ANC, ce qui donna lieu à des atrocités commises des deux côtés. On suppose qu’elles furent alimentées par le gouvernement de l’apartheid à travers une aide plus ou moins directe à l’Inkatha. Les violences continuèrent tout au long des années 1980 et s’accentuèrent dans les années 1990 lors des premières élections nationales de 1994.
Les Zoulous aujourd'hui
Le départ des hommes, obligés de s'en aller à la recherche d'un travail, a provoqué l'éclatement de la cellule familiale, sur laquelle reposait l'organisation sociale zouloue. Et la polygamie, qui était naguère la règle, est devenue l'exception : il est difficile dans les conditions économiques d'aujourd'hui d'entretenir plusieurs épouses.
Culture
La langue des Zoulous est la langue zoulou (ou encore isiZulu, une langue bantoue), plus exactement un sous-groupe Nguni. Le zoulou est la langue la plus parlée en Afrique du Sud où elle est une langue officielle. Plus de la moitié de la population est capable de la comprendre, avec plus de 9 millions de personnes dont c'est la langue maternelle et plus de 15 millions qui la parlent couramment. Beaucoup de Zoulous parlent aussi l'anglais, le portugais, le tsonga, le sotho et d'autres langues en Afrique du Sud.
Certains affirment que les Zoulous ont développé une tradition vocale extraordinaire parce que, faute d'arbres de grande taille, ils ne pouvaient fabriquer d'instruments. Cette tradition a évolué, intégrant les chants religieux à quatre voix apportés par les colonisateurs européens. Siyahamba, un chant traditionnel zoulou, s'inscrit dans le courant des chants de dévotion a cappella. Ses paroles signifient « Nous marchons dans la lumière de Dieu ».
La musique et la danse zouloues ont été mondialement diffusées notamment grâce aux reprises de chansons traditionnelles (comme The Lion Sleeps Tonight) et l'artiste international Johnny Clegg.
L'habillement traditionnel de l'homme est habituellement léger : un tablier en deux parties (semblable à un pagne) qui recouvre les parties génitales et les fesses. La pièce de devant est appelée umutsha, et est habituellement fait en peau de springbok ou d'un autre animal torsadée en bandes qui recouvre les parties génitales. La partie arrière qui est appelée ibheshu, est faite d'une pièce unique en peau de springbok ou d'un bovin. Sa longueur est habituellement un indicateur de l'âge et de la position sociale : les amabheshu (pluriel de ibheshu) les plus longs sont portés par les hommes âgés. Les hommes mariés portent aussi un bandeau, appelé le umqhele, qui est aussi fait en peau de springbok ou en cuir de léopard pour les hommes de haut rang social, comme les chefs. Les hommes portent aussi des bracelets et des chaînes aux chevilles appelés imishokobezi pendant les cérémonies, rituels, comme les mariages et les danses.
La plupart des zoulous se réclament du christianisme. Quelques-unes des églises auxquelles ils appartiennent sont l'African Initiated Church, en particulier l'Église chrétienne de Sion et diverses églises, bien que l'appartenance aux principales églises européennes (l'Église réformée hollandaise, l'Église anglicane et le catholicisme) soit aussi assez répandue. Néanmoins, les Zoulous gardent leurs croyances pré-coloniales du culte des ancêtres sous forme d'un syncrétisme avec le christianisme.
La religion zouloue possède un dieu créateur, Nkulunkulu, qui interagit aussi dans la vie quotidienne des humains, bien que cette croyance se révèle être le résultat des efforts des premiers missionnaires pour adapter le dieu chrétien à la culture zouloue. Traditionnellement, la croyance la plus forte chez les Zoulous sont les esprits des ancêtres (Amatongo ou Amadhlozi), qui ont le pouvoir d'intervenir en bien ou en mal dans la vie des gens. Cette croyance perdure parmi la population zouloue.
Pour communiquer avec le monde spirituel, le sorcier (sangoma) doit invoquer les ancêtres à travers un rituel de divination. Alors, un herboriste (inyanga) prépare une mixture à consommer (muti) pour influencer les ancêtres. Les sorciers et les herboristes jouent un rôle important dans la vie quotidienne des Zoulous. Néanmoins, il existe une différence entre le muti blanc (umuthi omhlope), qui a des effets positifs, comme la guérison, la prévention ou la fin de la malchance, et le muti noir (umuthi omnyama), qui peut apporter maladies et mort aux autres, ou une santé mal acquise à celui qui en use. Les pratiquants du muti noir sont considérés comme des sorciers du mal et sont rejetés par la société.
Le christianisme a eu du mal à s'implanter dans la population zouloue, et l'a fait de manière syncrétique. Isaiah Shembe, considéré comme le messie zoulou, présente une forme de christianisme mélangé aux traditions locales.
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Le Natal est une région d'Afrique du Sud, baptisée ainsi le jour de Noël 1497 par Vasco de Gama quand celui-ci longea ses côtes à la fin du xve siècle.
Le Natal fut au xixe siècle la proie d'âpres combats entre Boers et Zoulous (bataille de Blood River), entre Boers et Anglais en 1842, entre Anglais et Zoulous puis au xxe siècle entre partisans de l'ANC et ceux de l'Inkhata (IFP).
Histoire
La république de Natalia est constituée en 1838 par les Voortrekkers durant le Grand Trek à la suite de leur victoire sur les Zoulous du roi Dingane à la bataille de Blood River.
Elle est établie conformément au traité, proposé par Piet Retief, que Dingane avait approuvé avant de dénoncer et de tuer Retief et ses compagnons.
En 1843, près de 6000 boers vivent à Natalia.
Inquiets des désordres provoqués par la présence de ces colons boers parmi la population africaine locale et de la pression qu'elle pouvait provoquer sur les frontières orientales de la colonie du Cap ou de son annexion par une puissance étrangère, les Britanniques envahissent la petite république en 1842 en occupant le port de Durban
De 1910 à 1994, le Natal est une province sud-africaine.
Le Natal a été rebaptisé KwaZulu-Natal lors des premières élections multiraciales en avril 1994, quand le bantoustan autonome du KwaZulu fusionna avec la province blanche du Natal.
Religions
Au Natal, la secte des shembe, qui regroupe deux millions de dévots, a été créée par un prophète zoulou au début du xxe siècle. Chrétiens mais animistes, les shembe sont courtisés par l'Inkhata et l'ANC.
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Lazar Meyer, Autoportrait (1868), collection privée.
Lazar Meyer, né le 20 janvier 1847 à Fegersheim et mort le 28 janvier 1935 à Paris 10e, est un artiste-peintre français.
Biographie
Lazar Meyer est né le 20 janvier 1847 d'Israël Meyer et de Charlotte Metzger, une famille juive établie à Fegersheim (Bas-Rhin), près de Strasbourg. Il a trois frères (Abraham, David et Léopold) et deux sœurs (Marie et Babette).
À la suite de la guerre franco-prussienne de 1870 et de l'occupation de l'Alsace-Lorraine par l'empire allemand, il part, pour raison politique et religieuse, s'établir à Paris avec son frère aîné Léopold. Il s'installe au 3 rue Cauchois, dans le 18e arrondissement. Il participe à la Commune, où il est secrétaire d'une section (à compléter). À la suite de l'écrasement des Communards, il est arrêté et emprisonné en face de l'île de Ré (Fort Boyard?), d'où il devait être déporté. Comme il n'a jamais pris les armes, le tribunal finalement l'acquitte et il rentre à Paris. Il se marie en 1880 à Paris avec Louise Albertine Macé, avec qui il a trois enfants: Éva (1879), Léa (1882) et Israël Maurice (1885).
Il montre très tôt un goût et un talent confirmé pour l'art et la peinture. Il est d'abord l'élève d'Alexandre Laemlein (1813-1871) et s'affirme comme peintre de genre et de portrait. À l'École des beaux-arts de Paris il est l'élève d'Alexandre Cabanel (1823-1889) et d'Émile Lévy (1826-1890). Il devient professeur de dessin au lycée Condorcet à Paris. En collaboration avec le faïencier Jules Paul Loebnitz, il réalise, d'après des dessins d'Émile Lévy, trois vastes panneaux en céramique destinés à orner le porche monumental du pavillon de la section française des beaux-arts de l'exposition universelle de 1878 de Paris. Ils figurent l'Architecture, la Peinture et la Sculpture. Complétés par un quatrième panneau, ils ont été remontés plus tard à Paris sur la façade de l'ancienne faïencerie Loebnitz, construite en 1884 par l'architecte Paul Sédille.
Il est l'un des premiers peintres de Montmartre et considéré comme précurseur de l'École de Paris. Il fut un proche du peintre et portraitiste Albert Besnard (1849-1934).
Lazar Meyer a exposé au Salon de Paris de 1870 à 1882. Plusieurs de ses œuvres ont été détruites ou vandalisées pendant la Seconde Guerre mondiale.
Œuvres
De ses œuvres, on retiendra particulièrement :
Autoportrait (1868), publié en 1869 dans le Catalogue des Arts
Portrait d'une jeune dame (1879), (48,5 × 61,4), huile sur toile, Salon de 1879
Kaddish pour les morts (1878, 1879, 1880)
Putti musiciens (1887), (60 × 1,10), huile sur panneau
Scène familiale (1874), (68 × 54), huile sur toile
Dans la campagne (In campagna), (26,4 × 35)
Paysage orageux (A stormy landing), (24,2 × 29,2)
La prison Saint-Lazare (1908), (23 × 15,3), Musée Carnavalet - Histoire de Paris, inventaire P 958-1
La prison Saint-Lazare (1908), (13,7 × 26,3), Musée Carnavalet - Histoire de Paris, inventaire P 958-2
Le maquis de Montmartre (octobre 1903), (55 × 38), Musée Carnavalet - Histoire de Paris, inventaire P 550
L'Architecture, La Peinture, La Sculpture (1878, panneaux en céramique), façade de l'ancienne faïencerie Loebnitz, 4 rue de la Pierre-Levée, Paris 11e
Panneaux en céramique (1878), Paris, façade de l'ancienne faïencerie Loebnitz
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Mandela Day est une chanson du groupe de rock écossais Simple Minds. Elle sort en février 1989 comme face b du single Belfast Child et apparaît également sur le EP 3 titres Ballad of The Streets - qui met en avant les deux chansons précitées - sorti en même temps, puis sur l'album Street Fighting Years qui paraît en mai 1989.
C'est une chanson de soutien à Nelson Mandela alors emprisonné. Elle a été composée spécialement pour le concert hommage des 70 ans de Nelson Mandela où le groupe la joua le 11 juin 1988.
Le single Belfast Child est arrivé en tête des ventes au Royaume-Uni, en Irlande et aux Pays-Bas. La chanson Mandela Day s'est classée 17e dans le classement Alternative Songs du Billboard aux États-Unis. Juste après la mort de Nelson Mandela en décembre 2013, la chanson, via les téléchargements, est entrée dans les classements musicaux de plusieurs pays (11e en France, 55e en Suisse)
Paroles
It was 25 years they take that man away
Now the freedom moves in closer every day
Wipe the tears down from your saddened eyes
They say Mandela's free so step outside
Oh oh oh oh Mandela day
Oh oh oh oh Mandela's free
It was 25 years ago this very day
Held behind four walls all through night and day
Still the children know the story of that man
And I know what's going on right through your land
25 years ago
Na na na na Mandela day
Oh oh oh Mandela's free
If the tears are flowing wipe them from your face
I can feel his heartbeat moving deep inside
It was 25 years they took that man away
And now the world come down say Nelson Mandela's free
Oh oh oh oh Mandela's free
The rising suns sets Mandela on his way
It's been 25 years around this very day
From the one outside to the ones inside we say
Oh oh oh oh Mandela's free
Oh oh oh set Mandela free
Na na na na Mandela day
Na na na na Mandela's free
25 years ago
What's going ob
And we know what's going on
Cos we know what's going on
Auteurs-compositeurs : Charles Burchill, Michael Joseph Macneil, James Kerr. Pour une utilisation non commerciale uniquement.
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" Friends " est une chanson du groupe allemand Scooter , sortie en mai 1995 en tant que troisième single de leur premier album , ... and the Beat Goes On ! (1995). La chanson est remarquable comme le premier exemple du groupe utilisant des voix féminines aiguës pour le refrain d'une chanson. Le groupe l'a également utilisé sur le single suivant " Endless Summer " avant de l'abandonner jusqu'à " Posse (I Need You on the Floor) " en 2001, après quoi il est devenu un incontournable de la plupart des singles de Scooter
La chanson a été reprise en 2009 par Klostertaler, pour un album hommage à Scooter . En avril 2011, une version mise à jour de l'original, intitulée " Friends Turbo ", est sortie comme thème de la sortie allemande du film New Kids Turbo
Réception critique
Le magazine paneuropéen Music & Media a écrit: "Il semble qu'ils aient les droits exclusifs sur la" nouveauté ". Après les absurdes" Hyper Hyper "et" Move Your Ass ", vous jureriez que Daffy Duck a été invité à faire le chant principal.
Clip vidéo
Le clip vidéo d'accompagnement de "Friends" a été réalisé par Eric Will et tourné à Paris Il avait généré plus de 14 millions de vues sur YouTube en décembre 2022. Will avait précédemment réalisé la vidéo de « Move Your Ass ! ».
La vidéo de la sortie de "Friends Turbo" a été tournée sur place à Maaskantje .
Paroles
Scooter...
Yeeeaaah!
We gonna hit you harder!
Yeah!
Come on! Come on!
Friends!... We'll be friends!
We'll be friends... We'll be friends!
Friends!... We'll be friends!
We'll be friends... We'll be friends!
Friends!... We'll be friends!
We'll be friends... We'll be friends!
Friends!... We'll be friends!
We'll be friends... We'll be friends!
We gonna hit you harder!
Yeah!
Come on! Come on!
Yeeeeeah!
Come on! Come on!*
Auteurs-compositeurs : Jens Peter Thele, Rick J. Jordan, Ferris Bueller, H P Baxxter. Pour une utilisation non commerciale uniquement.
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Les deux premiers jours et la première partie de la 3e étape se déroulent dans la région espagnole du Pays basque. La 1re étape effectue une boucle autour de Bilbao et se termine devant le Musée Guggenheim, l'itinéraire longe d'abord les côtes du Golfe de Gascogne avant de revenir vers la capitale économique basque avec un final accidenté (dont la côte de Vivero et celle de Pike, le sommet de cette dernière est située à 9 600 mètres de l'arrivée). La 2e étape relie Vitoria-Gasteiz, capitale administrative basque, à Saint-Sébastien, capitale touristique basque ; elle comprend un final accidenté, qui n'est autre qu'une partie du parcours de la classique de Saint-Sébastien dont sa principale difficulté, le Jaizkibel3, dont le sommet est situé à 16 500 mètres de l'arrivée. La 3e étape commence dans la municipalité espagnole d'Amorebieta-Etxano, longe la côte atlantique, quitte l'Espagne par Irun et entre dans la partie française du Pays basque par Hendaye, vers une arrivée pour les sprinteurs à Bayonne.
La 4e étape mène de Dax à Nogaro, où l'arrivée prend place sur le circuit Paul Armagnac. Le parcours passe deux journées dans les Pyrénées. La 5e étape relie Pau à Laruns, par le col du Soudet (1540 m) et le col de Marie-Blanque (1035 m). La 6e étape se déroule entre Tarbes et Cauterets-Cambasque, pour la première arrivée en altitude à 1 355 mètres d'altitude, par le col d'Aspin (1 493 m) et le col du Tourmalet (2 115 m), où est décerné le souvenir Jacques Goddet. La 7e étape quitte le terrain accidenté pour rejoindre Bordeaux depuis Mont-de-Marsan. La 8e étape mène de Libourne à Limoges, avec un final vallonné. La première semaine de course se termine par la 9e étape, marquée par le grand retour du Puy de Dôme (1 415 m), dont la dernière ascension remonte à 1988. Cette longue absence s'explique par la réduction de la largeur de la chaussée avec la réalisation du panoramique des Dômes et l'inscription de la chaîne des Puys au patrimoine naturel mondial de l'UNESCO.
À l'ombre du Puy de Dôme, la deuxième semaine commence après la première journée de repos. De Vulcania, l'itinéraire de la 10e étape guide les coureurs sur un parcours vallonné à travers le Massif central jusqu'à Issoire. Le lendemain, la 11e étape relie Clermont-Ferrand à Moulins sur des routes relativement plates. La 12e étape traverse le vignoble du Beaujolais avant que l'étape vallonnée ne se termine à Belleville-en-Beaujolais. La troisième arrivée au sommet est atteinte dans le cadre de la 13e étape sur le col du Grand Colombier (1 501 m) dans le Massif du Jura. La montée de 17,4 km part de Culoz et présente une pente moyenne de plus de 7 %. La 14e étape passe du Jura aux Alpes, traversant le col de la Ramaz (1 619 m) et le col de Joux Plane (1 712 m) avant de conclure l'étape à Morzine. La dernière véritable arrivée au sommet se passe un jour plus tard à Saint-Gervais-les-Bains (Le Bettex) à 1 372 m d'altitude en conclusion de la 15e étape.
La troisième et dernière semaine commence après le deuxième jour de repos avec le seul contre-la-montre individuel du tour. L'itinéraire de 22 km de Passy à Combloux de cette 16e étape comprend deux ascensions. Le lendemain, la 17e étape peut être qualifiée d'étape reine de ce Tour. Celui-ci part de Saint-Gervais-les-Bains via les ascensions du Col des Saisies (1 650 m), du Cormet de Roselend (1 967 m) et de la côte de Longefoy (1 174 m), avant de grimper le col de la Loze (2 304 m) où le point culminant de la 110e édition est atteint. Après le souvenir Henri Desgrange situé au sommet de la montée de 28,4 km, une courte descente mène à Courchevel, où l'arrivée se situe à l'Altiport. Avec la 18e étape, le Tour de France quitte les Alpes en menant les coureurs de Moûtiers à Bourg-en-Bresse sur des routes plates. La 19e étape entre Moirans-en-Montagne et Poligny ne présente pas non plus de difficultés majeures. La 20e étape, qui franchit plusieurs cols du Massif des Vosges, offre la dernière chance dans la lutte pour le maillot jaune. Le final de l'étape grimpe le Petit Ballon (1 163 m) et le col du Platzerwasel (1 193 m) avant de rejoindre l'arrivée au bout d'un court plateau au Markstein. La 21e étape finale mène traditionnellement à Paris, où le Tour de France se termine sur l'avenue des Champs Élysées.
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