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Pentagone (États-Unis)

Publié à 05:06 par dessinsagogo55 Tags : center merci centerblog sur place monde photo histoire air femmes divers cadre
Pentagone (États-Unis)

 

Le Pentagone (en anglais : The Pentagon) est un bâtiment qui se trouve à Arlington en Virginie, près de Washington, la capitale fédérale des États-Unis. Cet édifice abrite le quartier général du département de la Défense. En 2009, plus de 26 000 personnes y travaillent, parmi lesquelles des civils et des militaires. Son nom provient de la forme de son plan, un pentagone, et sert couramment à désigner le département de la Défense.

 

Cet immeuble de cinq étages, inauguré le 15 janvier 1943, est le plus vaste bâtiment administratif du monde, avec ses 28 kilomètres de couloirs. Constitué de cinq anneaux concentriques, il est bâti en béton armé.

 

 

Histoire

 

 
Construction du Pentagone (vue du nord-ouest), 1er juillet 1942.
 
 
Lutte contre l'incendie causé par l'attaque du 11 septembre 2001. Sur la pelouse, un des débris du vol 77 American Airlines.
 

Avant la construction du bâtiment, le département de la Guerre des États-Unis occupait plusieurs immeubles dans Washington construits pendant la Première Guerre mondiale. La construction du Pentagone, supervisée par Leslie Richard Groves, commença le 11 septembre 1941 sur le site de l'ancien aérodrome municipal de Washington, le Hoover Field, et du parc d'attractions voisin.

 

Opérationnel en 1943, il devint un des symboles de la puissance militaire américaine.

 

La cour centrale du bâtiment fut surnommée « ground zero », car elle est susceptible d'être la cible prioritaire d'un éventuel bombardement nucléaire ennemi.

 

Le 19 mai 1972, un attentat à la bombe est commis par le Weather Underground dans les toilettes pour femmes. Il ne fait aucune victime mais détruit des ordinateurs dans la pièce adjacente.

 

D'importants travaux de rénovations ont lieu entre 1998 et 2011 (Pentagon Renovation Program (en)), avec entre autres l'ajout d'une couche de kevlar dans le cadre de mesures antiterroristes et l’enlèvement de 53 000 t de matériaux contenant de l'amiante et d'autres éléments dangereux. Ces travaux étaient en cours lorsqu'il a été percuté à h 37 lors des attentats du 11 septembre 2001 par le vol AA77 de la compagnie American Airlines, détourné par des pirates de l'air, causant 189 morts (dont 125 au sol, la plupart des bureaux de la partie frappée étant inoccupés, précisément grâce à ces travaux).

 

La Pentagon Force Protection Agency (en), une agence fédérale créée après cette attaque, est chargée de tous les aspects de sécurité concernant le département de la Défense et englobe la United States Pentagon Police.

 

Caractéristiques générales

 

 
Photo satellite en 2002 ; à l'ouest du bâtiment, la reconstruction de la partie détruite par l'attentat de 2001.
 

Lors de la construction, l'utilisation du béton armé à la place de l'acier formé a rendu possible une économie de 43 000 tonnes d'acier, dans un contexte d'économie de guerre où l'acier était un matériau stratégique. L'utilisation de rampes en béton plutôt que des ascenseurs a encore réduit les besoins en acier. Les portes intérieures étaient en bois. Plusieurs des caractéristiques ci-dessous sont obsolètes avec les divers travaux de rénovation :

 

Début de la construction : 11 septembre 1941 ;

Fin de la construction : 15 janvier 1943 ;

Coût total du projet (équipements extérieurs y compris) : 83 millions de dollars de l'époque (environ 1,33 milliard de dollars de 2015) ;

Coût du bâtiment principal : 49,6 millions de dollars (environ 795 millions de dollars de 2015) ;

Surface totale occupée : 2,4 km2 ;

Surface couverte brute : 620 000 m2 ;

Volume occupé : 2 000 000 m3 ;

Surface couverte par le bâtiment du Pentagone : 117 000 m2 ;

Surface de la cour centrale : 20 000 m2 ;

Routes d'accès construites : 48 kilomètres ;

Nombre de passages supérieurs et de ponts construits : 21 ;

Capacité de stationnement : 8 770 véhicules ;

Espace de stationnement : 270 000 m2 ;

Longueur externe de chacune des cinq ailes : 281 mètres ;

Hauteur du bâtiment : 24 mètres ;

Nombre d'étages : 5 (sans compter les 2 étages souterrains : le sous-sol et la mezzanine) ;

Longueur totale des couloirs : 28 kilomètres ;

Nombre de rampes d'escaliers : 131 ;

Escaliers roulants : 19 ;

Ascenseurs : 13 ;

Nombre de toilettes : 284 (deux fois plus nombreuses que les besoins réels, en raison des lois sur la ségrégation raciale en vigueur en Virginie lors de la construction) ;

Fontaines de boissons : 691 ;

Horloges installées : 4 200 ;

Lampes : 16 250 ;

Fenêtres : 7 554 ;

Nombres de lignes téléphoniques : 25 000 à l'origine ;

Longueur des câbles téléphoniques : 100 000 miles (160 934 km) ;

Moyens de communications audio, vidéo et informatique : ~ 100 000 (en 2019 depuis la fin des rénovations en 2011) ;

Salles de serveurs informatiques consolidées : 16 (en 2019 depuis la fin des rénovations en 2011).

 

Accès

Transports en commun

 

Le Pentagone est desservi par la ligne bleue du métro de Washington depuis le 1er juillet 1977 et la ligne jaune depuis le 30 avril 1983.

 

Héliport

 

Un héliport de 30,5 m de côté a été construit en 1955. Il est doté d'une tour de contrôle depuis avril 1959

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Pentagone_(%C3%89tats-Unis)

 
     
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Panzerkampfwagen V Panther

Panzerkampfwagen V Panther

Le Panzerkampfwagen V Panther (Sd.Kfz. 171) est un char de combat moyen produit par l’Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale et qui a connu son baptême du feu en juillet 1943 lors de la bataille de Koursk.

Conçu pour contrer le char T-34 soviétique et remplacer les Panzerkampfwagen III et les Panzerkampfwagen IV, il servit en définitive à leurs côtés, jusqu'à la fin de la guerre, en trois versions principales  : « D », « A » et « G ». Une version « F », ainsi qu’un successeur, le Panther II, n’ont pas vu le jour du fait de la fin de la guerre. Son châssis devait servir de base à toute une gamme de véhicules dérivés, mais peu se sont concrétisés en dehors d’un char de dépannage, le Bergepanther, d’un chasseur de chars, le Jagdpanther, et de deux véhicules de commandement.

L’épaisseur de son blindage frontal et la puissance de son canon de 75 mm KwK 42, conjuguée à des systèmes de visée performants, en firent un adversaire redoutable à longue distance. Il resta toutefois handicapé tout au long de sa carrière par des problèmes de mobilité et de fiabilité, ayant pour origine sa mise en service hâtive et son poids excessif. Par ailleurs, son coût élevé tant en main d’œuvre qu'en matériaux, dans une Allemagne devant faire face à des pénuries de plus en plus importantes, eut pour conséquence une capacité de production limitée, et le Panther se trouva toujours en nette infériorité numérique face au Sherman américain et au T-34 soviétique.

 

Développement

Contexte

 

Le 22 juin 1941, les Allemands lançaient l’Opération Barbarossa visant à envahir l’Union soviétique, ils étaient alors convaincus de pouvoir remporter une victoire rapide en raison de la supériorité de leurs tactiques et de leurs blindés. Si ce dernier point était en partie exact en ce qui concerne le gros des forces blindées soviétiques, constituées en grande partie de T-26 et de chars BT obsolètes, les Allemands sous-estimèrent en revanche grandement les capacités des T-34, KV-1 et KV-2, qui étaient en réalité techniquement supérieurs à tous les blindés allemands. Ainsi, bien que présents en petit nombre et souvent confrontés à des problèmes de commandement et de logistique, ces derniers parvenaient régulièrement à mettre en difficulté leurs opposants à l’échelle locale et leur quasi-imperméabilité aux canons allemands, en dehors du 88 mm Flak 18/36/37, avait un impact dévastateur sur le moral. Finalement une commission spéciale fut créée en novembre 1941 par les Allemands pour enquêter sur le problème et y trouver une solution.

Heinz Guderian fit alors un rapport détaillé à cette commission, dans lequel il identifiait trois problèmes des blindés allemands par rapport à leurs opposants, dans l’ordre d’importance : manque de puissance de l’armement, mobilité inférieure, en particulier dans la boue et la neige, blindage inférieur. Il proposa comme solution d’améliorer les véhicules existants afin de pallier l’urgence, en mettant l’accent sur l’armement, tout en entreprenant immédiatement le développement de nouveaux modèles. La première donna naissance au Panzer III Ausf. J ainsi qu’au Panzer IV Ausf. F2 et G, la seconde à deux programmes de développement, l’un pour un char de 45 t, qui mena au Tigre, et l’autre pour un char moyen de 30 t, le futur Panther.

 

Développement initial

 

 

Deux entreprises furent mises en compétition pour concevoir le char de 30 t, qui reçut le code VK30.02 : Daimler-Benz et MAN AG. Ces entreprises ne devaient concevoir que le châssis : la tourelle et son armement ayant déjà été développés par Rheinmetall, ils seraient communs à tous les prototypes.

Daimler-Benz réalisa au printemps 1942 trois prototypes, tous très proches du T-34, l’un étant même équipé d’un moteur diesel presque identique à celui du blindé russe. Ils se distinguaient cependant de celui-ci par leur suspension à lames, identique à celle utilisée par les Allemands depuis le Panzer I. L’autre différence était l’emploi de chenilles de faible largeur, ayant pour conséquence une pression au sol de l’ordre de 0,83 kg/cm2, à peine mieux que le Panzer IV et insuffisant pour résoudre le problème de la mobilité dans la boue ou la neige. Le Waffenamt lista également d’autres problèmes : risque de tir ami en raison de la trop grande ressemblance avec le T-34, risque d’endommager le canon en abordant les pentes, celui-ci dépassant excessivement à l’avant, largeur trop faible rendant difficile l’adaptation de la tourelle Rheinmetall. Il avait néanmoins la préférence de Hitler, qui voulut passer commande de deux cents unités dès le début du mois de mars 1942, alors qu’il n’avait encore vu qu’une maquette en bois, aucun prototype n’étant achevé avant le mois de mai.

De son côté, le Waffenamt, et en particulier l’ingénieur en chef Heinrich Ernst Kniepkamp, trouvait la proposition de MAN plus performante. De conception assez classique au premier abord, le prototype de MAN se distinguait cependant totalement des précédents chars allemands par sa suspension à double barre de torsion et un soin particulier apporté au train de roulement et aux chenilles, lui permettant de limiter la pression au sol à 0,68 kg/cm2. Il n’était cependant pas exempt de défauts, son poids tout d’abord : initialement prévu à 38,5 t il grimpa rapidement à 44 t, très largement au-dessus de la limite de 32,5 t qui avait été fixée dans le cahier des charges. Il était également coûteux à produire et la conception de son train de roulement le rendait difficile à réparer sur le terrain. Finalement, le 13 mai 1942, le Waffenamt parvint à faire revenir Hitler sur sa précédente décision. Une première série de pré-production fut commandée dès le 15 mai, sous le nom de Panzerkampfwagen V Panther Ausfūhrung A (Sd.Kfz. 171).

Les essais réalisés en novembre 1942 validèrent globalement la conception, mais mirent en lumière un certain nombre de défauts, dont beaucoup provenaient de l’inflation de la masse du char : prévus pour 38,5 t, le moteur, la transmission et le train de roulement souffraient grandement du poids supplémentaire, ce qui causait des pannes fréquentes. Malgré ces défauts, les Allemands avaient besoin d’urgence du nouveau char et la production de l'engin fut immédiatement lancée, la série étant au passage renommée Ausfūhrung D.

 

Production

 

Photographie montrant la chaîne d’assemblage du Panther, avec les châssis en cours d’assemblage les uns derrières les autres, tandis qu’une grue en soulève un par dessus les autres.
 
Chaîne d’assemblage du char Panther en 1944.
 
 

La production commença à la fin du mois de novembre 1942, avec pour objectif de livrer deux cent cinquante exemplaires pour le 12 mai 1943. Afin d’accélérer la cadence, elle ne fut pas confiée seulement à MAN, mais également à Daimler-Benz, Henschel et MNH (Maschinenfabrik Niedersachsen Hanover). Le modèle de production était identique au deuxième prototype de MAN, mais la tourelle Rheinmetall comportait quelques modifications dans sa forme générale, au niveau de la coupole du chef de char et du frein de bouche. Les tests réalisés en janvier et février 1943 montrèrent cependant l’existence de nombreux problèmes tant dans la conception que dans la fabrication, résultats de la mise en production précipitée du char. Les pannes mécaniques étaient ainsi fréquentes et le moteur à essence avait une fâcheuse tendance à prendre feu.

À la fin du mois de mars, quatre-vingt-dix véhicules avaient été produits, mais ils comportaient tant de problèmes qu’ils ne pouvaient guère être utilisés que pour l’entraînement. Parallèlement, afin de ne pas ralentir la cadence de production et pouvoir tenir l’objectif, les entreprises impliquées décidèrent de terminer la première série de deux cent cinquante chars sans faire de modifications, ceux-ci devant par la suite être envoyés à l’entreprise DEMAG (Deutsche Maschinenbau-Aktiengesellschaft) qui effectuerait les corrections, ce qui fut fait en avril et en mai 1943. Cette reconstruction ne fut néanmoins pas suffisante et les tests ultérieurs continuèrent de révéler des problèmes, parfois majeurs, qui faisaient l’objet de corrections au fur et à mesure ; début juin, entre les chars immobilisés par les pannes et ceux en reconstruction, l’armée allemande n’avait toujours pas de Panther opérationnel.

 

La production du modèle D prit fin en septembre 1943, avec un bilan de huit cent cinquante exemplaires construits, et il fut remplacé par le modèle A. Celui-ci incluait les modifications qui avaient été introduites sur le Panther D au fil de la production, ainsi qu’une tourelle légèrement redessinée, notamment au niveau de la coupole du chef de char. Le Panther A fut produit pendant plus d’un an, avant d’être progressivement remplacé à partir du début de l’année 1944 par le modèle G, le modèle A restant toutefois en production jusqu’en juillet 1944 dans certaines usines. Le Panther G était sensiblement différent de ses prédécesseurs et incluait des modifications qui avaient été envisagées pour le Panther II, désormais abandonné  ; en particulier l’inclinaison et l’épaisseur du blindage avant et latéral furent modifiées, tandis que la plage arrière était redessinée. Ces changements ne bouleversaient cependant pas les performances d’ensemble du char, qui restaient globalement les mêmes que celles de son prédécesseur.

La destruction par les bombardements puis la capture progressive des usines par les Alliées ralentit peu à peu la production à partir de 1944 : l’objectif de production du modèle G ne put jamais être atteint et le modèle F, dont la mise en service était prévue pour mai 1945, ne parvint pas à être mis en production.

 

Le Panther II

 

Dès l’été 1942, alors que les modèles de pré-série du Panther n’étaient même pas encore terminés, les Allemands commencèrent à envisager un Panther II. Cette hâte avait pour origine l’inquiétude que le blindage du Panther tel qu’il était prévu ne serait pas suffisant à moyen terme et qu’il fallait encore l’augmenter, ce qui n’était pas possible sur le premier Panther. En décembre 1942, des spécifications furent émises pour un char de 47 t disposant d’un blindage compris entre 100 et 150 mm pour la tourelle et l’avant de la caisse et 60 mm pour les côtés. Par la suite, le développement du Panther II fut étroitement lié à celui du Tigre II, les deux chars possédant de nombreux éléments communs, par exemple le moteur ou les chenilles. DEMAG reçut en février 1943 le contrat de développement du char, dont l’entrée en service était prévue pour septembre 1943. Le projet s’essouffla cependant rapidement dès l’été 1943 et bien qu’ayant reçu commande de deux prototypes en juillet 1943, MAN ne construisit qu’un seul châssis, qui était encore inachevé lorsqu’il fut capturé par les Américains à la fin de la guerre.

 

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Panzerkampfwagen_V_Panther

 
     
     
     
     
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Mao Zedong

Publié à 16:11 par dessinsagogo55 Tags : sur roman place coup png homme gain enfants mort nature pouvoir center centerblog merci
Mao Zedong

Mao Zedong, également appelé en français sous la transcription de Mao Tsé-toung est un homme d'État et chef militaire chinois né le 26 décembre

1893 à Shaoshan (province du Hunan) et mort le 9 septembre 1976 à Pékin. Fondateur de la république populaire de Chine, il a été son principal dirigeant de 1949 à sa mort.

 

Fils de paysans aisés, il est l'un des membres historiques du Parti communiste chinois (Shanghai, 1921), parvenant progressivement à s’en faire reconnaître comme le dirigeant suprême, notamment lors de l’épisode de la Longue Marche, entre 1934 et 1935. Après de longues années de guérilla contre les nationalistes du Kuomintang dirigés par Tchang Kaï-chek, ainsi que contre l’envahisseur japonais pendant la guerre sino-japonaise (1937-1945), Mao sortit vainqueur de l’ultime phase de la guerre civile chinoise, avec la victoire de l’Armée populaire de libération (1949). Il proclame la république populaire de Chine, le 1er octobre 1949 à Pékin ; il sera d'ailleurs le premier à occuper la fonction de président de la République populaire de 1954 à 1959. Ses principaux postes, qu’il occupa jusqu’à sa mort en 1976 et qui lui permirent de rester le numéro un du régime, étaient ceux de président du Parti communiste chinois et de président de la Commission militaire centrale, le premier lui garantissant la maîtrise du Parti, et le second celle de l'Armée populaire de libération.

 

 

Mao Zedong impose à la population le collectivisme communiste et la dictature du parti unique, en suivant de très près le modèle soviétique dans un premier temps. Il est à l’origine du lancement de la « réforme agraire chinoise », de la « campagne pour réprimer les contre-révolutionnaires », de la « campagnes des trois anti et des cinq anti », du « mouvement Sufan » et de la « campagne anti-droitiste ». Ces campagnes ont provoqué la mort de millions de Chinois. Dans le même temps, Mao a envoyé des troupes de l'Armée populaire de libération pour aider la Corée du Nord dans la guerre de Corée. En 1958, il lance le développement de « Deux bombes, un satellite ». Au nom de la définition d’une « voie chinoise vers le socialisme », il se démarque ensuite progressivement de l’URSS et sera l’inspirateur direct du Grand Bond en avant, responsable de famines de masse et de la mort d'environ 45 millions de personnes.

 

Après avoir été mis à l'écart par ses collaborateurs et laissé la présidence de la République à Liu Shaoqi, il lance le « Mouvement d'éducation socialiste » en 1963, et soulève les étudiants chinois contre la direction du Parti pour reprendre le pouvoir, livrant les villes à la violence des gardes rouges au cours de la révolution culturelle, entre 1966 et 1969. Il s'appuie dans un premier temps sur Lin Biao, puis ce dernier est à son tour évincé. Ayant éliminé ses rivaux et rétabli l’ordre à son profit, il fait l’objet d’un culte de la personnalité et rapproche alors le plus la république populaire de Chine d’un État de type totalitaire de 1969 à 1976. Le nombre de morts estimé de la Révolution culturelle varie de centaines de milliers à des millions. Au total, Mao Zedong est responsable de la mort de 40 à 80 millions de Chinois, selon les estimations

 

Sa politique internationale des années 1970 marque un rapprochement avec l’Occident, qui permet la réintégration de la Chine dans le concert mondial (entrée à l’ONU, 1971). En 1975, Mao laisse son Premier ministre Zhou Enlai décréter un nouveau programme de réformes, les « Quatre Modernisations ». Celui que l’on surnomme « le Grand Timonier » meurt en 1976 sans avoir désigné de successeur. Sous la direction de Deng Xiaoping, la Chine réhabilite peu après un certain nombre de ses victimes (Boluan Fanzheng), tout en continuant l’ouverture à une certaine forme d’économie de marché.

 

Dès les années suivant sa mort, alors que ses proches et principaux partisans sont progressivement écartés ou arrêtés, le Parti communiste chinois véhicule une vision contrastée du personnage, exaltant le penseur politique et le chef de guerre libérateur tout en déplorant les « erreurs » du dirigeant, à savoir le Grand Bond en avant et la révolution culturelle. Il reste néanmoins la figure centrale du roman national chinois et connaît des hommages récurrents de la part des cadres et dirigeants du parti, bien que la politique actuelle du régime n'ait que peu de rapports avec la vision de son fondateur. Ses écrits théoriques et sa pratique politique ont donné naissance à un courant marxiste-léniniste connu sous le nom de maoïsme.

 

 

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Mao_Zedong

 
     
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Guitare : Principaux luthiers de guitare classique

Publié à 22:30 par dessinsagogo55 Tags : center blog paris musique image centerblog sur merci france belle article histoire
Guitare : Principaux luthiers de guitare classique
 
En ce qui concerne la guitare classique, baroque ou romantique en Europe, les principaux artisans luthiers sont :



la dynastie Voboam en France, Sellas en Italie et Tielke en Allemagne, pour le xviie siècle,

Lambert, Saulnier, Renault & Chatelain à Paris au XVIIIe siècle,
Pons, Lacote Laprevotte à Paris au XIXe siècle,

d'innombrables ateliers de Mirecourt entre 1800 et 1860, (voir le futur ouvrage "La Guitare, tome 2), dont : Petitjean, Coffe-Goguette, Roudhloff, Marcard et Aubry-Maire,
en Italie on distingue deux écoles principales, Naples avec Filano, Fabricatore et Vinaccia, et le nord : Turin avec la belle dynastie des Guadagnini,
en Autriche, les Stauffer et leurs suiveurs ont mis au point un modèle particulier qui s'exportera vers les États-Unis grâce à F. Martin qui créera ainsi la marque mondialement connue,

en Angleterre, les Panormo seront la référence ultime de la lutherie guitare
après 1860 les guitares de Torres seront le modèle ultime
enfin le xxe siècle est riche de luthiers connus et compétents, voir pour cela les dictionnaires de luthier, ou les luthiers en activité de nos jours.
Cette liste n'est qu'un petit aperçu de la richesse instrumentale du patrimoine "guitare" en Europe.
 
 
   
   
Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Guitare
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Guitare : Notation des accords par « diagrammes »

Publié à 22:25 par dessinsagogo55 Tags : center blog merci image centerblog prix sur article musique texte
Guitare : Notation des accords par « diagrammes »
Exemple de diagramme pour l'accord G sus 4, chaque numéro correspond à un doigt.

 

 

Les accords de guitare sont utilisés dans la musique d'accompagnement, soit pour donner le rythme par battement (brosser plusieurs cordes simultanément en suivant un rythme), soit pour enrichir la ligne mélodique en jouant des arpèges (pincement régulier et consécutif des cordes).
Jouer un accord consiste à jouer simultanément trois notes ou plus. La description d'un accord revient donc à identifier pour les six cordes l'endroit où il faut placer les doigts et les cordes devant rester muettes. Sur une guitare, une même hauteur de note peut être obtenue de différentes manières, un même accord peut donc se réaliser de plusieurs façons (au moins trois ou quatre, au prix parfois de quelques extensions de doigts pouvant être difficiles). La disposition des cordes interdit de jouer certains accords, qui pourraient être exécutés par une section de voix. Un accompagnement pour guitare privilégie donc certaines positions d'accords ce qui donne souvent une couleur typique aux pièces écrites pour guitare.


 

Il existe un système de notation des accords, dérivé des tablatures, appelé diagramme, dans lequel les frettes sont représentées par des barres verticales ; il n'y a pas d'indication de rythme. Imprécise, cette notation, qui ne peut servir que pour l'accompagnement, a l'avantage de ne demander aucune connaissance musicale théorique, d'être facile à transcrire et de laisser une grande liberté d'interprétation. Il faut avoir entendu la mélodie et s'en souvenir. Dans les recueils de chansons, le nom des accords vient au-dessus du texte, donnant une indication de la durée.
 
   
   
Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Guitare
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Guitare : Tablature

Publié à 22:20 par dessinsagogo55 Tags : center blog musique image centerblog sur plat bonne merci article histoire
Guitare : Tablature

Exemple de tablature : les premières mesures de la chanson allemande Alle Voeglein sind schon da.

 

 

Une tablature est constituée de six lignes représentant les six cordes d'une guitare dans la position posée à plat sur les genoux cordes vers le haut. Les notes sont représentées par des numéros placés à même la ligne (la corde) représentant l'espace entre 2 frettes où placer le doigt. Le numéro zéro représente la note de la corde à vide. Le rythme est écrit de différentes façons.


Cette notation a été utilisé pour la guitare jusqu'au début du XIXe siècle, puis abandonnée. Dans la seconde moitié des années 1960 des musiciens comme Steve Waring, Roger Mason et surtout Marcel Dadi la reprennent. Marcel Dadi publiait systématiquement les tablatures de ses morceaux dans chacun de ses albums.



Avantages :

Évite l'apprentissage du solfège puisqu'il s'agit de placer les doigts de la main gauche sur la bonne case: notée 1, 2, puis 3... etc sur la bonne corde.
Facilité à identifier les doigts de la main gauche qui préparent notes et accords (« p » pour le pouce puis « 1 », « 2 », « 3 » et « 4 » pour les autres doigts de l'index à l'auriculaire) ainsi que ceux de la main droite qui les font résonner (« p » pour le pouce puis « i » pour l'index, « m » pour le majeur et « a » pour l'annulaire).
Lecture directe et déchiffrage à vue instantané.
Identification aisée des effets de jeu (hammer on, pulling off, slide, tapping, harmonique).
 
Inconvénients :

Difficulté à représenter la durée des notes (ronde, blanche en particulier). Pour cette raison, beaucoup de tableurs ne cherchent plus à représenter la durée des notes à même la tablature mais préfèrent juxtaposer une portée classique comme le montre l'image ci-contre.
Ne communique pas avec les autres instruments.
 
 
   
   
Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Guitare
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Guitare : Notation musicale classique : portée à 5 lignes

Publié à 22:11 par dessinsagogo55 Tags : dessous blog article center image centerblog sur merci musique pouvoir
Guitare : Notation musicale classique : portée à 5 lignes

 


Exemple de partition : les premières mesures de l'hymne Adeste Fideles.


La guitare s'écrit en clé de sol, mais il s'agit d'une clé de sol à l'octave inférieure. On signale cette transposition par un petit « 8 » (octava bassa) en dessous de la clé. La guitare n'est un instrument transpositeur (instrument dont la notation musicale ne correspond pas au son produit) que parce que la clé de sol lui a été assignée. Ce n'aurait pas été le cas si l'on avait utilisé la clé d'ut quatrième ligne ; mais cette clé, moins connue et moins populaire, n'a probablement même pas été envisagée. Cette liberté dans le choix d'une clé fautive était sans grande conséquences du fait que la guitare, étant un instrument de volume assez faible, ne fait pas partie de l'orchestre symphonique et échappe ainsi aux contraintes de notation musicale propres à ce type d'orchestre.
La musique classique pour guitare et souvent le jazz utilisent la notation musicale classique.
 
Avantages pour la guitare :

Ce système est employé par la majorité des instruments de musique. Le guitariste est capable de jouer toute musique écrite sur une partition. La méthode, une fois acquise, permet de déchiffrer, c'est-à-dire lire très rapidement la musique ainsi notée.
Permet d'indiquer le doigté de la main gauche qui prépare les notes sur le manche : 1 pour l'index, 2 pour le majeur, 3 pour l'annulaire, 4 pour l'auriculaire. Précision appréciable pour pouvoir jouer des accords complexes. Le pouce n'est pas utilisé à la main gauche avec les guitares classiques.

Permet d'indiquer le doigté de la main droite qui fait résonner les notes et accords : p pour le pouce, i pour l'index, m pour le majeur, a pour l'annulaire. L'auriculaire (e), trop court, est rarement utilisé à la main droite pour la guitare.
Permet de noter les cases ou se placent les doigts de la main gauche. En chiffres romains : I pour la première case, II pour la seconde case, III pour la troisième case, etc. Puis XII pour la douzième case. Une note peut se jouer à deux ou trois endroits du manche sur des cordes voisines, l'indication peut être utile.
 
Inconvénients :

Nécessite d'apprendre le solfège, puis l'équivalent des notes de la partition sur le manche de la guitare (Correspondance entre le signe noté, et l'endroit ou effectuer le son sur le manche). L'apprentissage du solfège est parfois jugé difficile, tout comme celui de la lecture. L'intérêt de cette compétence se manifeste une fois acquise.
Certains musiciens valorisent l'apprentissage d'oreille et la production d'adaptations personnelles des œuvres entendues.
 
   
   
Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Guitare
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Guitare : Accordage

Publié à 22:00 par dessinsagogo55 Tags : blog center couple merci image centerblog sur base article musique
Guitare : Accordage
 


Les guitares à 6 cordes sont généralement accordées (du grave à l'aigu) avec les notes :

Guitare : Accordage
Accord EADGBE pour guitare.

mi1 (E1 noté E2) 82,4 Hz
la1 (A1 noté A2) 110,0 Hz
ré2 (D2 noté D3) 146,8 Hz
sol2 (G2 noté G3) 196,0 Hz
si2 (B2 noté B3) 246,9 Hz
mi3 (E3 note E4) 329,6 Hz

Cette combinaison de notes est appelée accordage standard : écouter les cordes à vide (fichier midi).
Du fait de la popularité de la guitare dans les pays anglo-saxons, la notation « anglo-saxonne », qui identifie les notes par des lettres, est fréquemment utilisée à côté de la notation «latine».

Si une guitare possède plus ou moins de 6 cordes, l'accordage sera adapté. Ainsi, sur une guitare 12 cordes où chaque corde d'une guitare standard est doublée (chaque couple de cordes étant appelé « chœur »), les quatre chœurs de cordes graves sont accordés à l'octave (une corde accordée normalement, l'autre à l'octave supérieure) et les deux chœurs les plus aigus à l'unisson.

Guitare : Accordage
Accord DADGAD pour guitare.
 

Cependant, les musiques traditionnelles conservent plusieurs autres accordages, souvent en accord ouvert, autrement nommé « doigté ouvert » ou open tuning, c'est-à-dire tel que les cordes à vide donnent un accord de base majeur ou mineur, par exemple sol : DGDGBD (ré sol ré sol si ré) ou ré : DADF#AD (ré, la, ré, fa dièse, la, ré), ou bien DADGAD (D4 sans tierce), fréquent en musique celtique ou folk. Ces accords sont adaptés à un répertoire particulier duquel ils facilitent l'exécution jeu grâce à de plus petits écarts entre les doigts, la possibilité de faire des barrés partiels, et de jouer des « basses-bourdons ».

Un autre intérêt de certains accordages alternatifs est que les cordes frottées à vide produisent un accord ; il suffit alors de barrer une case pour obtenir le même accord plus aigu. Les techniques de jeu avec une barre glissant sur les cordes (slide), comme dans la guitare hawaïenne, tirent profit de cet avantage.
 
   
   
Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Guitare
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Guitare : Autres éléments

Publié à 21:52 par dessinsagogo55 Tags : chez nature blog center sur image centerblog merci article musique histoire
Guitare : Autres éléments
 

 

Le corps d'une guitare peut aussi supporter de nombreux autres éléments. Certains ont un but purement esthétique, comme le pickguard, pièce arrondie placée à côté des cordes sur la table, et qui vise à éviter que des mouvements trop amples de plectre ne viennent endommager le vernis de la guitare.

D'autres visent à améliorer ou à modifier le son. Les guitares électriques portent ainsi en général des boutons rotatifs (aussi appelés potentiomètres ou « potards ») permettant de gérer le volume et la « tonalité » (proportion de fréquences aiguës et graves), ainsi qu'un sélecteur permettant de sélectionner alternativement l'un ou l'autre des micros. Enfin, certaines guitares électro-acoustiques (voir plus bas) sont équipées d'un pré-amplificateur qui permet de modifier le son sur la guitare elle-même, et dans certains cas d'aider à l'accordage de l'instrument.

Sur certaines guitares, la rosace est remplacée par des épaulettes.
 
   
   
Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Guitare
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Guitare : Micros magnétiques

Publié à 21:46 par dessinsagogo55 Tags : blog center centerblog image sur merci chez article musique nature
Guitare : Micros magnétiques
 



Microphones (un double bobinage et deux simples) sur une guitare électrique.


Situés sur la table, entre le chevalet et le manche, sous les cordes, les micros sont l'un des éléments les plus fondamentaux d'une guitare électrique, car c'est sur eux que repose la transmission du son, même en l'absence totale de caisse de résonance. Un micro de guitare est composé d'un ou plusieurs aimants, entouré d'une bobine de cuivre. Le principe de fonctionnement est fondé sur la loi de Lenz-Faraday. Chaque aimant engendre un champ magnétique principal qui aimante partiellement les cordes. En vibrant, les cordes font légèrement varier le champ magnétique principal, ce qui induit un courant dans la bobine. La vibration de la corde à une fréquence f et une amplitude donnée, induit une variation de champ magnétique avec la même fréquence et une amplitude proportionnelle, induisant ainsi une tension alternative de fréquence f et d'amplitude proportionnelle. Le signal électrique produit est ensuite envoyé à un amplificateur. En toute rigueur, le rôle du micro consiste à traduire les vitesses acquises par les cordes en courants délivrés à l'amplificateur, créant ainsi un son « inouï », inexistant dans la guitare proprement dite.


Guitare : Micros magnétiques

Action de la corde sur l'un des aimants du microphone en simple bobinage. Le signal suit la vitesse de déplacement de la corde.

Il existe de nombreux types de micros, dont chacun a un fonctionnement et une « couleur » de son particulier. Les plus répandus sont les micros à simple bobinage et les micros à double bobinage.

Les micros à simple bobinage firent leur apparition dans les années 1920. L'aimant (en Alnico ou en alliage de type céramique) est entouré de plusieurs milliers de tours d'un fil de cuivre fin et vernis formant le bobinage. Ces micros ont le défaut d'être sensibles aux interférences (champs électromagnétiques ambiants produits par exemple par les éclairages au néon, les transformateurs, les écrans cathodiques, etc.).
Pour pallier ce problème, ont été créés dans les années 1950 les micros à double bobinage, qui sont l'association de deux micros à simple bobinage dont les pôles magnétiques inversés, de sorte que les perturbations s'annulent, alors que les vibrations des cordes s'ajoutent.

Enfin, les micros peuvent être passifs ou actifs. Avec ces derniers le signal est immédiatement traité par un pré-amplificateur. Les microphones actifs ont donc besoin d'une alimentation externe (des piles). Cette pré-amplification a pour objectif d'abaisser l'impédance, ce qui rend le signal moins sensible aux parasites et réduit ses pertes avant qu'il n'arrive à l'amplificateur, en particulier lors de l'utilisation de longues distances de câbles et d'éléments intermédiaires, comme les effets. Une deuxième caractéristique de la pré-amplification est d'éviter la perte de certaines fréquences de la bande passante, qui sont absorbés par les systèmes passifs (une des conséquences de l'impédance élevée).

Depuis, cependant, de nombreux progrès ont été faits, et les micros passifs tendent à gommer cette différence avec leurs homologues actifs. Contrairement à une idée reçue, les micros actifs ne produisent pas un niveau de sortie plus important que les microphones passifs. Ce n'est donc pas la raison pour laquelle ils sont souvent utilisés chez les guitaristes jouant dans des styles metal, ou rock. La raison de cette utilisation vient de la nature des aimants qui sont le plus souvent utilisés dans les microphones actifs : les aimants en céramique (essentiellement construits sur un mélange de baryum et de strontium). En effet, les micros utilisant des aimants en céramique favorisent une attaque plus franche et incisive que les microphones à aimants Alnico, d'où une sensation de dynamique et de puissance accrue. Là encore, les constructeurs ont élargi les possibilités et le public visé, en produisant des micros actifs à aimants en Alnico et des microphones passifs à aimants en céramique.

Les microphones actifs sont plus couramment utilisés pour les guitares basses. Les bassistes ont été plus ouverts à utiliser les microphones actifs que les guitaristes qui, eux, se sont montrés plus réticents en raison d'une idée, probablement erronée, selon laquelle les microphones actifs produisaient un son froid. Cette raison vient plus du grain sonore très différent qui existe entre les microphones Alnico et les microphones céramiques.
 
 
   
   
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