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15.01.2025
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
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Kenworth T660
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Napoléon-Louis Bonaparte, en néerlandais Napoleon Lodewijk II, prince français et altesse impériale (1804), prince royal de Hollande (1806), né à Paris le 11 octobre 1804 et mort à Forlì, en Italie, le 17 mars 1831, est le deuxième fils du roi de Hollande Louis Bonaparte et d'Hortense de Beauharnais. Il porte le titre de grand-duc de Berg de 1809 à 1815, et est brièvement roi de Hollande sous le nom de Louis II du 1er au 13 juillet 1810, date de l'annexion des Pays-Bas à l'Empire.
Le 23 juillet 1826, il épouse sa cousine Charlotte Bonaparte, fille de Joseph Bonaparte et de Julie Clary.
À la suite des Trois Glorieuses qui renversent Charles X en France, Napoléon-Louis et son frère cadet, Louis-Napoléon, espèrent que s’ouvre pour eux une ère nouvelle, mais la loi du 11 septembre 1830, votée par la nouvelle assemblée orléaniste qui craint une offensive bonapartiste, stipule à nouveau l'interdiction de séjour des Bonaparte dans le royaume.
Les fils Bonaparte sont indignés, ce qui amène la reine Hortense à partir avec eux pour Rome afin de les éloigner de la France. Ils sont néanmoins rapidement impliqués dans les conspirations des carbonari visant à favoriser la cause de l'unité italienne et à déposséder le pape de son pouvoir séculier
Les deux frères participent ainsi aux insurrections dans les territoires pontificaux de l'Italie centrale, avant de devoir finalement se replier sur Bologne, où ils se retrouvent encerclés par l'armée autrichienne et les armées pontificales, décidées chacune à leur régler leur sort.
Repliés sur Forlì, les deux frères doivent aussi faire face à une épidémie de rougeole qui emporte de nombreux soldats, déjà affaiblis par leurs blessures. Le 17 mars 1831, Napoléon-Louis succombe à l'épidémie tandis que Louis-Napoléon subit à son tour les effets de la maladie.
Napoléon-Louis est enterré à Saint-Leu-la-Forêt en Île-de-France.
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La Bataille de Haslach-Jungingen (ou d'Albeck), eut lieu le 11 octobre 1805 à Ulm-Jungingen (de) au Nord d'Ulm près du Danube, elle fait partie des guerres de la Troisième Coalition.
Ordre de bataille
Empire français
9e régiment d'infanterie légère
96e régiment d'infanterie de ligne
32e régiment d'infanterie de ligne
Déroulement
Le général de division Pierre Dupont de l'Étang passa le Rhin à Lauterbourg le 26 septembre 1805. Dupont avait la garde de la rive nord du Danube, et pensait que la garnison autrichienne stationnée là n'était que des renforts, et non pas une armée entière.
Cependant, s'approchant d'Ulm le 11 octobre, Dupont trouva le maréchal autrichien Karl Mack von Lieberich à la tête de 25 000 hommes, dont près de la moitié appartenait à la cavalerie. Dupont pensa que se retirer aurait incité les Autrichiens à le poursuivre et à détruire sa division, c'est pour cela qu'il choisit d'attaquer l'ennemi malgré son infériorité numérique. L'archiduc, renonçant à une attaque de front, essaya les deux ailes de la petite armée. Sur la droite de Dupont, le petit village de Jungigen fut pris et repris cinq fois.
Au fur et à mesure que la bataille se déroulait, le maréchal Mack vint à penser que les troupes françaises qu'il affrontait faisaient partie, non pas d'un groupe isolé, mais d'un corps d'éclaireurs, c'est pour cette raison qu'il n'engagea pas toutes ses réserves dans la bataille.
Cette erreur d'appréciation permit à Dupont de tenir tête aux Autrichiens jusqu'à la tombée de la nuit, puis il tira profit de l'obscurité pour se retirer sur Albeck avec 4 000 prisonniers Autrichiens. Il fut ensuite rejoint par le VIe Corps sous les ordres du maréchal Ney, qui connaissait à présent la position des forces autrichiennes.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Haslach-Jungingen
Le parachute est un dispositif destiné à freiner le mouvement, principalement vertical d'un objet ou d'un individu dans les airs. Historiquement, le parachute sert à rendre possible le retour au sol en bonne condition d'une personne abandonnant un aéronef, mais le terme a été appliqué à de nombreux dispositifs destinés à empêcher une chute ou à ralentir un appareil au moyen d'un dispositif semblable à un parachute de descente.
Le principal sport ou loisir qui en décline est le parachutisme. Il est utilitaire dans l'activité du parachutisme militaire.
Étymologie
Le mot parachute est constitué du préfixe para- (du latin paro (« parer, contrer »)) et du mot français chute (fait de tomber) : protection contre la chute. Le mot a été inventé par Louis-Sébastien Lenormand en 1785.
Classification
Il existe quatre sortes de parachutes :
Le dispositif constitué d'une voile destiné à ralentir la chute d'une personne ou d'un objet, en vue de se poser sain et sauf sur le sol. Il s'agit du frottement fluide qui freine la chute.
Par extension, le « parachute » est un dispositif en toile qui freine certains engins à l'atterrissage (voir l'article frein).
Par analogie avec la forme des parachutes hémisphériques, sont appelées ainsi les poches que les plongeurs sous-marins emportent parfois pour ramener à la surface des objets lourds ; après avoir arrimé la charge à la poche, on la remplit avec de l'air tiré d'une bouteille en faisant fuser le détendeur, et la poussée d'Archimède fait le reste.
Enfin, le « parachute » peut également être un crochet muni de dents d'appui qu'Elisha Otis eut l'idée de monter sur les guides des cages d'ascenseur, les dotant de la sécurité nécessaire pour conquérir le grand public.
L'antiquité et la culture chinoise et arabe mentionnent des cas de sauts, en général à partir d'une tour, freiné à l'aide de dispositif ad hoc (cerf-volant, toile soutenue par des armatures, etc.). Au IIIe millénaire av. J.-C., un empereur de la dynastie Xia parvient à sauter hors d'une grange en feu en tenant à bout de bras deux parasols.
En 852, Ibn Firnas, décide de voler en se lançant depuis la grande mosquée de Cordoue à l'aide d'un énorme manteau pour amortir sa chute. En 880, à l'âge de 70 ans, il se fait confectionner des ailes de bois recouvertes d'un habit de soie qu'il avait garni de plumes de rapaces. Il se lance d'une tour surplombant une vallée, et, même si l'atterrissage est mauvais (il s'est fracturé deux côtes), il resta dans les airs un certain temps en vol plané. Il fut observé par une foule qu'il avait par avance invitée. L'historien du XVIIe siècle, Al Maqqari, qui rapporte cette histoire, attribue son échec à l'absence d'une queue à son appareil. Léonard de Vinci suivit une approche semblable et rajouta une queue, mais le système imaginé n'avait vraiment pas assez de surface de sustentation pour fonctionner correctement et il faudra attendre Ader ou les premiers planeurs du XIXe siècle comme ceux d'Otto Lilienthal pour voir ce concept hérité de la légende d'Icare véritablement fonctionner.
On rapporte qu'à l'époque de la Renaissance, l'ingénieur croate Fausto Veranzio (Faust Verančić) réussit un saut depuis l'une des tours de Venise. Léonard de Vinci dessine lui aussi une première ébauche de parachute. Newton à la fin du XVIIe siècle donne une explication théorique au comportement des corps pesants et de la résistance de l'air mais n'en tire aucune conclusion pratique. En l'an 2000, l'Anglais Adrian Nicholas teste le modèle de Vinci (7 mètres de côtés) avec des matériaux de la Renaissance. Ce parachute de bois et de toile pesant tout de même 85 kg, la fin de la chute s'effectue avec un parachute moderne. Quelques années plus tard, un Suisse refait l'expérience, mais avec une version modifiée, avec des matériaux d'aujourd'hui, le 26 avril 2008. Mais l'histoire du parachute n'a pu véritablement commencer qu'à partir du développement d'aéronefs fonctionnels ; montgolfière d'abord, puis avions. Le parachutage de petits animaux est expérimenté dans les années 1780 par des physiciens comme Jean-Pierre Blanchard et Louis-Sébastien Lenormand. Ce dernier invente le terme « parachute », par analogie avec le « parasol » auquel ressemble son engin, qu'il utilise pour sauter de l'observatoire de Montpellier le 26 décembre 1783. Son engin est muni de fortes armatures de bois.
Fin 1796, André-Jacques Garnerin réussit le parachutage d'un chien à partir d'un ballon. Il met alors au point un dispositif composé seulement de toile. Avec lui, il s'élance avec succès le 22 octobre 1797 depuis un ballon situé à 915 mètres au-dessus du Tivoli de Paris. Son parachute initial, comme l'engin de Louis-Sébastien Lenormand, oscille dangereusement, problème qu'il résout grâce à l'invention de la tuyère centrale. L'engin comporte une coupole et une nacelle accrochés au ballon gonflé à l'hydrogène. Arrivé à bonne altitude, les cordes qui le retiennent au ballon sont coupées et la nacelle redescend vers le sol retenue par le parachute ouvert au-dessus d'elle.
Différentes améliorations sont ensuite apportées au parachute : en 1887, l'Américain Tom Baldwin remplace la lourde nacelle par un simple harnais. Charles Broadwick place le parachute plié dans un sac à dos lacé et en 1908, introduit la tirette d'ouverture automatique. Le 1er mars 1912 a lieu le premier saut en parachute depuis un avion, effectué par un Américain, Albert Berry au-dessus de Saint-Louis (Missouri) ; son engin, lourd et encombrant, s'est accroché au train d'atterrissage de son avion. Par chance, il atterrit entier. À la même époque la tentative de Franz Reichelt de créer un costume-parachute se solde par la mort de son auteur.
En 1912 le Slovaque Štefan Banič invente un parachute en forme de parapluie, et fait don de son brevet (no 1108484) à l'armée américaine en 1914.
En 1913, l'Allemand Otto Heinecke met au point le parachute plié et empaqueté avec ouverture automatique à l'éjection de l'avion. Le 21 juin 1913 l'Américaine Tiny Broadwick effectue le premier saut réalisé par une femme. Le 19 août 1913, le Français Adolphe Pégoud, au départ de l'aérodrome Borel à Châteaufort dans les Yvelines, saute de son avion Blériot sacrifié pour l'occasion à 250 mètres du sol. Il heurte avec son épaule l'empennage de son avion et termina sa chute dans un arbre (voir : débuts de l'aviation dans les Yvelines). Le 13 février 1914, à Juvisy, le lieutenant-aviateur Jean Ors saute en parachute d'une hauteur de trois cents mètres depuis un Deperdussin piloté par Lemoine et atterrit sain et sauf. Au cours de la Première Guerre mondiale, le parachute de secours n'est en usage que sur les ballons d'observation. Constant Duclos réalise le deuxième saut militaire, après celui du lieutenant Ors, le 17 novembre 1915. Les équipages partageant sans rémission le sort de leur avion ou dirigeable désemparé ; seul l'empire allemand en équipe ses pilotes, et seulement à partir de 1918. Outre des considérations d'ordre psychologique – il a même été écrit que certains états-majors avaient peur que les pilotes n'abandonnent un peu trop vite leurs avions en cas de danger –, ce retard est avant tout dû au fait que le parachute représente encore un poids significatif pour les appareils de l'époque, légers et de faible puissance, et une gêne pour l'équipage. Du côté allemand, les réticences officielles sont balayées au début de 1918 et le parachute allemand de type Heinecke sauve la vie de nombreux pilotes dont Hermann Göring.
Le parachutisme militaire est une idée qui ne peut être mise en œuvre qu'à partir du moment où des avions gros porteurs sont disponibles. Les expérimentations pendant les années 1930, notamment par les Allemands et les Russes (lesquels tentent même des largages à très basse altitude sans parachute, en comptant sur la neige comme amortisseur…), débouchent au cours de la Seconde Guerre mondiale sur des opérations militaires ambitieuses (invasion de la Crète par les Allemands, débarquement allié en Normandie puis tentative de percée en Hollande), souvent très coûteuses pour les « paras ». À cette époque on voit la naissance du largage aérien, où des charges avec parachute sont lancées d'un avion pour ravitailler les troupes au sol. Après la Seconde Guerre mondiale, le parachutisme sportif commence à se développer dans la foulée du parachutisme militaire, mais rapidement les parachutes utilisés et les pratiques s'adaptent à un usage sensiblement différent (les paras militaires sont largués à faible altitude, avec un grand poids en matériel, et avec un dispositif d'ouverture automatique ; les sportifs se lancent à plus haute altitude, font des figures à plusieurs, commandent eux-mêmes l'ouverture du parachute, visent un point très précis etc.). Dans les années 1980, pour cet usage, le parachute classique commence à laisser la place à la voile rectangulaire (développée dans les années 1970, comme les parapentes) et le vocabulaire s'adapte : on distingue le « parachute rond » (le classique) et les « ailes ».
En 1959 et 1960, Joseph Kittinger effectue une série de quatre sauts dans le cadre du projet Excelsior. Le dernier saut, effectué le 16 août 1960, enregistra quatre records simultanés ; le saut en parachute le plus haut (il saute d’une altitude de 31 300 mètres), la plus haute ascension en ballon, la plus longue chute libre (4 minutes et demie), et la plus grande vitesse atteinte par un être humain dans l’atmosphère (avec une pointe de vitesse de 988 km/h).
Actuellement, seuls les militaires restent fidèles à la forme ronde, et encore seulement pour les largages de paras en groupe et en « automatique », mais dans tous les autres cas, l'aile s'est imposée progressivement. La forme ronde, initialement conservée pour l'initiation et les parachutes de secours, a maintenant cédé sa place même pour ces usages. Ceci, grâce à la maniabilité et à la possibilité de mieux piloter l'engin, de contrôler sa vitesse horizontale ou verticale (on peut tomber comme une pierre puis se poser à vitesse quasiment nulle), de faire des figures. Des ailes peuvent supporter sans problème le poids de deux personnes, avec des harnais biplaces, utilisés en initiation. Il n'y a pas de parachutes de secours dans les avions de lignes et de tourisme, que ce soit pour les passagers ou pour l'équipage. Il peut y en avoir dans les avions militaires, les planeurs et les avions de voltige.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Parachute
Sophia, activée le 19 avril 2015 à Hong-Kong, en Chine, est une gynoïde saoudienne. mise au point par Hanson Robotics, une entreprise spécialisée dans la robotique, également basée à Hong Kong. Elle a été conçue pour tout apprendre en s’habituant au comportement des êtres humains. Sophia est également capable de répondre aux questions et a été reçue en entrevue à maintes reprises. En octobre 2017, elle obtient la nationalité saoudienne, faisant d'elle le premier androïde au monde à recevoir la citoyenneté d'un pays. Elle est considérée comme l'un des robots les plus intelligents du monde.
Sophia est activée le 19 avril 2015. Modelée à partir de l’actrice Audrey Hepburn, ce robot est connu pour son apparence humaine invraisemblable et son comportement réaliste, vis-à-vis des précédentes variantes robotiques. Selon le constructeur, David Hanson, Sophia utilise l’intelligence artificielle, le traitement des données visuelles et la reconnaissance faciale. Sophia imite également les gestes humains et les expressions faciales et est capable de répondre à certaines questions, mais aussi de produire des conversations simples à partir de sujets prédéfinis, comme la météo. Le robot exploite la technologie de reconnaissance vocale d’Alphabet (société mère de Google) et est conçu pour apprendre et devenir plus intelligent avec le temps. Le logiciel d’intelligence de Sophia est développé par Singularit NET. Son programme d’intelligence artificielle est pensé pour analyser les conversations et extraire des données qui lui permettent ainsi d’améliorer ses futures réponses.
Hanson a originellement imaginé Sophia pour être la compagne idéale des personnes âgées dans les maisons de retraite, ou encore pour aider les foules lors de grands événements ou dans les parcs. Il espère que le robot finira par interagir suffisamment avec les autres humains pour acquérir des compétences sociales.
Sophia est conceptuellement similaire au programme informatique ELIZA, une des premières tentatives élaborée afin de simuler une conversation humaine. Le logiciel a été configuré pour donner des réponses prédéfinies à des questions ou des phrases spécifiques, de la même manière qu’un agent conversationnel. Ces réponses sont utilisées pour créer l’illusion que le robot est capable de comprendre la conversation et peut fournir des réponses à plusieurs questions, comme par exemple : « est-ce que la porte est ouverte ? ». L’information est subséquemment partagée vers un réseau nuagique en ligne. La gamme d’expressions faciales de ce robot est facilitée par sa peau artificielle dite « chair en caoutchouc », qui est manipulée mécaniquement.
Considérée comme l'un des robots les plus intelligents du monde, Sophia est capable de dessiner le portrait d'une personne à main levée.
D'une manière globale, Sophia est un automate animé par une intelligence artificielle dont la dynamique de fonctionnement est basée sur l'anthropomorphisme. Cependant, même si le mimétisme exhibé lors de présentations publiques est saisissant, ses capacités technologiques ne lui permettent pas l'expression d'une pensée automone. Selon Fanny Parise, anthropologue à l'université de Lausanne, le robot humanoïde Sophia, dépourvu d'une intelligence réelle, est plus vraisemblablement la mascotte d'un opération marketing de l'entreprise qui l'a conçu et une vitrine technologique pour l'Arabie Saoudite, soucieuse de montrer au monde sa modernité
Sophia a régulièrement été interrogée comme n’importe quel être humain capable de s’engager dans des conversations fluides avec ses interlocuteurs. Certaines de ses réponses ont été perçues comme insensées, tandis que d’autres ont été plus impressionnantes, à l’instar de celles émises pendant les longues discussions tenues avec Charlie Rose dans le magazine d’information américain 60 Minutes. Au cours d’un reportage pour CNBC, lorsque le journaliste a dévoilé ses préoccupations quant au comportement des robots, Sophia a ironiquement plaisanté en répondant qu’il avait « trop lu Elon Musk » et « regardé trop de films hollywoodiens ». Par la suite, Elon Musk s’est prononcé via Twitter, déclarant que Sophia peut tout aussi bien emmagasiner des informations sur Le Parrain, avant d’enchérir « Qu’est-ce qui pourrait arriver de pire ? ». Pour Jim Edwards, rédacteur en chef de Business Insider au Royaume-Uni, les réponses fournies par Sophia n’étaient « pas si terribles que ça ». Néanmoins, ce dernier a prédit qu’il n’en était pas moins un pas en avant dans le monde de l’« intelligence artificielle conversationnelle ».
Le 11 octobre 2017, Sophia a été présentée aux Nations Unies afin d’entretenir une brève conversation avec Amina J. Mohammed, la Vice-Secrétaire générale de l’organisation internationale. Le 25 octobre, lors de la conférence Future Investment Summit à Riyad, Sophia se voit obtenir la citoyenneté saoudienne, devenant ainsi le premier robot au monde à posséder une nationalité, ce qui donna lieu à une certaine polémique. En effet, des journalistes se sont demandé si cela impliquait que Sophia pouvait désormais voter et se marier, ou encore si une extinction délibérée de son système interne pouvait être considérée comme un meurtre. La plupart des internautes ont pointé du doigt la citoyenneté de Sophia pour critiquer le statut de l’Arabie saoudite en matière de droits humains. Comme l’explique Ali Al-Ahmed, directeur de l'Institut des affaires du Golfe : « Beaucoup de femmes (saoudiennes) ont rencontré la mort simplement parce qu’elles ont tenté de quitter leur maison et Sophia se balade partout [sans tuteur masculin]. La loi saoudienne ne permet pas aux non-musulmans d’obtenir la citoyenneté. Est-ce que Sophia s’est convertie à l'Islam ? Quelle est la religion de cette Sophia et pourquoi ne porte-t-elle pas le hijab ? Si elle demandait la citoyenneté en tant qu’être humain, elle ne la recevrait pas »
https://fr.wikipedia.org/wiki/Sophia_(robot)
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