L'album les champions du football français qui était vendu par l'entreprise REM 200 francs, soit autour de 30 centimes d'euros
Savez-vous pourquoi les REM ne sont connus que dans le Grand Est ?
C’est l’heure du goûter ! Ces biscuits qui ont nourri notre enfance et que l’on croyait universels, connus à l’infini et au-delà, sont en fait nés dans la région Grand Est et leur notoriété n’a guère dépassé ses frontières. REM et ChocoREM sont nos madeleines de Proust, rien qu’à nous.
Par Thierry FEDRIGO - 07:00 | mis à jour à 10:59 - Temps de lecture :
Leur emballage jaune légendaire. Leur capacité à fondre dans un bol de lait chaud et à rassasier un estomac de bûcheron. Leur déclinaison chocolatée. Tous les Lorrains d’un certain âge ont quelque part été élevés aux REM et ChocoREM. Ces biscuits de l’enfance qu’une grand-mère tartinait de beurre et saupoudrait de cacao à l’heure du goûter ont nourri des générations de robustes gamins de l’Est au petit-déjeuner, au déjeuner et à toute heure du jour et de la nuit. Pas un placard qui ne recelait son paquet jaune arborant un fier « REM » en lettres rouges.
Mais pourquoi ce biscuit populaire un peu rustre et roboratif n’est-il connu que dans l’Est et le Nord, alors qu’on l’eût cru universel, mangé par tous les gamins de la terre ? Pour une raison simple, en fait. Né à Reims, il a prospéré dans le quart nord-est de la France, d’abord en Champagne, puis en Lorraine, sans jamais vraiment chercher à conquérir le monde. REM est l’abréviation de Reims. Le nom de la capitale de Champagne figurait d’ailleurs sur les REM et ChocoREM d’origine.
La biscuiterie REM a vu le jour en 1933. Sa superbe façade Art nouveau est encore visible à Reims au 55, avenue de Laon. Elle a été restaurée. Le bâtiment abrite aujourd’hui une résidence étudiante. Après-guerre, les enfants trouvaient dans les REM des vignettes de footballeurs semblables aux images Panini. Comme le rapporte le blogueur « le Lensois Normand » , les mômes pouvaient les collectionner et les réunir dans l’album « Les Champions du Football Français » qui était vendu par l’entreprise REM 200 francs, soit autour de 30 centimes d’euros.
Entrée de l’ancien siège de la biscuiterie REM à Reims, 55, avenue de Laon. Photo ER /Capture Google Street
« Le Grand Est est en effet notre premier marché » Les vedettes de l’époque s’appelaient Xercés Louis, Ignace Wognin ou Ahmed Oudjani. Ils étaient photographiés en pleine action et un petit texte vantait leurs exploits. On pouvait par exemple lire sous le cliché de l’ailier Michel Margottin qui joua au RC Lens et à l’Olympique lyonnais : « Pas très grand, mais rapide, viril, infatigable, avec un visage d’enfant, il peut gagner un match à lui seul par son obstination. »
Au cours de l’année 1968, la société REM s’engage dans la constitution d’un consortium de fabricants de biscuits. L’alliance rassemble Lu, Brun, Saint-Sauveur, REM, Magdeleine et Val de Semoy. Ainsi s’est formé le groupe LU-Brun & Associés qui deviendra plus tard le groupe LU, aujourd’hui détenu par le géant américain de l’agroalimentaire Mondelez International. L’atelier rémois a fermé en 1986. Les REM originaux ne sont plus fabriqués à Reims. La maison Fossier du biscuit rose de Reims en perpétue toutefois la tradition avec ses Rémois jumeaux des REM.
De son côté, LU a installé la production de ses biscuits en Belgique dans son usine d’Herentals, mais ils restent inscrits au patrimoine culturel régional comme nous l’a confirmé son propriétaire : « Le Grand Est est en effet notre premier marché, 56 % des volumes de la marque (en « sorties caisses », data Nielsen MAT P11 2020) sont faits dans cette région. La référence goûter REM (celle au chocolat) est même la première référence du marché du biscuit céréalier en termes de rotations (VMH STD, data Nielsen YTD P11 2020), devant les blockbusters nationaux comme le Prince au Chocolat, le Granola Nappé ou le Petit Écolier. Et la référence Déjeuner REM la 4e. » Quant à la recette, il semblerait qu’elle ait subi quelques modifications, mais qu’elle conserve néanmoins une saveur d’enfance, d’hiver dans la neige et de parties de luge endiablées. Joyeux Noël !
Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Forces françaises libres (FFL) était le nom donné aux forces armées ralliées à la France libre sous l'égide du général de Gaulle. Leur emblème est la croix de Lorraine mais l'insigne des forces terrestres est un glaive ailé.
distingue, à l'intérieur des FFL, les Forces aériennes françaises libres (FAFL) et les Forces navales françaises libres (FNFL), les Forces terrestres de la France libre n'ayant pas d'autre appellation que FFL.
Les Forces françaises libres voient le jour le 1er juillet 1940 avec la création « sur le papier », pour les forces terrestres en Grande-Bretagne, d'une « première brigade de Légion française » regroupant les 1 300 ralliés du corps expéditionnaire de Norvège et les civils engagés dans la France libre — forte de 1 994 hommes dont 101 officiers le 8 juillet, de 2 721 hommes dont 123 officiers le 15 août — et la nomination de l'amiral Muselier comme commandant des Forces navales françaises libres — fortes de 882 hommes dont 30 officiers d'active le 15 juillet — et commandant provisoire des Forces aériennes françaises libres — près de 200 aviateurs ont rejoint l'Angleterre entre le 15 et le 30 juin, elles comptent environ 300 aviateurs en Grande-Bretagne et une centaine au Proche-Orient à la fin de 1940
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L'un de leurs principaux succès militaires a été la bataille de Bir Hakeim, du 26 mai jusqu'au 11 juin 1942, en Libye, où la 1re Brigade française libre, sous le commandement du général Kœnig, stoppa durant 14 jours la ruée de l'Afrikakorps vers Suez, donnant ainsi le temps à la 8e armée britannique en déroute de se regrouper sur la ligne fortifiée d'El-Alamein, et d'y stopper définitivement l'avance de Rommel vers le canal de Suez. Cette victoire a montré aux Alliés que l'armée française venait de renaître. En effet, durant ces 14 jours, ce sont 3 700 soldats qui résistent aux 40 000 hommes de Rommel. Même avec leurs chars, leurs avions et une supériorité numérique, ils ne réussirent pas à passer. Sur ces 3700, il y eut 800 morts ou disparus.
Un combat moins connu est la guerre menée en Syrie et au Liban contre les forces de Vichy, en juin et juillet 1941.
Ces forces étaient constituées de volontaires appelés Français libres, venant de tous horizons et refusant l'armistice signé par le gouvernement de Vichy.
L'anecdote suivante, racontée par Pierre Clostermann, donne une idée de l'état d'esprit de l'époque ; à un commandant qui reprochait à un camarade de Clostermann d'avoir des chaussettes jaunes et un pull jaune sous son uniforme, ledit camarade répondit : « Mon Commandant, je suis un civil qui vient volontairement faire la guerre que les militaires ne veulent pas faire ! ».
Les FFL ont cessé d'exister le 1er août 1943 à la suite de leur fusion avec l'Armée d'Afrique commandée par Henri Giraud, continuant leur combat dans les rangs de l'armée française de la Libération
Un rapport établi par l'état-major général des FFL à Londres en date du 30 octobre 1942, c'est-à-dire avant les ralliements d'Afrique du Nord et des évadés de France par l'Espagne au printemps 1943 (une dizaine de milliers selon les évaluations de Jean-Noël Vincent), parle de 61 670 combattants pour la seule armée de terre, dont 20 200 tirailleurs coloniaux et 20 000 des troupes spéciales du Levant (non FFL)
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Citant le Joint Planning Staff, Jean-Louis Crémieux-Brilhac évoque, en mai 1943, 79 600 hommes « au titre des forces de terre », en comptant 21 500 hommes des troupes spéciales syro-libanaises, 2 000 hommes de couleur encadrés par des officiers FFL en Palestine du Nord et 650 militaires affectés au quartier-général de Londres
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De son côté, Henri Écochard, ancien des Forces françaises libres, en a dénombré au moins 54 500
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Selon François Broche, membre du conseil d'administration de la Fondation de la France Libre, sur les 53 000 FFL (chiffre maximum à la dissolution des FFL à l'été 1943), on compte environ 32 000 « coloniaux », qui ne sont pas citoyens français en 1940, 16 000 Français et environ 5 000 étrangers, provenant d'unités de la Légion étrangère ralliées aux FFL
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En 2009, dans son ouvrage consacré aux Français libres, Jean-François Muracciole, historien spécialiste de la France libre, reprend à son compte la liste de Henri Écochard, tout en considérant qu'elle sous-évalue très largement le nombre de combattants coloniaux. Selon ses estimations, 73 300 hommes (39 300 citoyens français, 30 000 coloniaux, essentiellement d'Afrique noire, et 3 800 étrangers et légionnaires) — estimation calculée en retenant le chiffre le plus fiable des évaluations précédentes — se sont engagés dans les FFL, entre leur création à l'été 1940 et leur fusion avec l'Armée d'Afrique à l'été 1943. Il se répartissent comme suit :
armée de terre : 50 000 ;
marine : 12 500 ;
aviation : 3 200 ;
réseaux en France : 5 700 ;
comités de la France libre : 1 900.
Officiers généraux des Forces françaises libres
Officiers généraux ayant rejoint la France libre
Georges Catroux, général d'armée en juin 1940.
Paul Legentilhomme, général de brigade en 1938, de division en 1941 et de corps d'armée en mars 1943.
Émile Muselier, vice-amiral en octobre 1939.
Adolphe Sicé, médecin général en 1939, inspecteur général des services sanitaires et sociaux en juillet 1942.
Paul Beynet, général de division en 1938, général de corps d'armée en 1941 (sous Vichy), rejoint le France combattante en 1943, général d'armée en 1944.
George Chadebec de la Lavalade, général de division en 1939, commandant la région militaire de Marseille en 1944
Officiers ayant rejoint la France libre devenus généraux pendant la guerre
Georges Thierry d'Argenlieu, capitaine de corvette en février 1940, de frégate en juillet 1940 et de vaisseau en décembre 1941, contre-amiral en juillet 1943 et vice-amiral en décembre 1944.
Philippe Auboyneau, capitaine de frégate en juin 1940, contre-amiral en avril 1942 et vice-amiral en décembre 1945.
Charles Bapst, capitaine en 1918, général de brigade en 1941.
Pierre Billotte, capitaine en décembre 1936, lieutenant-colonel en décembre 1941, colonel en décembre 1942, général de brigade en septembre 1944.
Diego Brosset, lieutenant-colonel en décembre 1940, général de brigade en août 1943, général de division en septembre 1944.
Alfred Cazaud, lieutenant-colonel (France) en juin 1940, général de brigade en octobre 1941, général de division en février 1945.
Jacques Chaban-Delmas, sous-lieutenant en juin 1940, général de brigade en mai 1944.
Philibert Collet, commandant en 1938, général de brigade en août 1941, général de division en novembre 1944.
Pierre Garbay, capitaine en 1938, commandant en septembre 1940, lieutenant-colonel en décembre 1941, colonel en juin 1944, général de brigade en novembre 1944.
Marie-Pierre Kœnig, capitaine en juillet 1940, général de brigade en juillet 1941, de division en mai 1943 et de corps d'armée en juin 1944, promu maréchal de France à titre posthume.
Edgard de Larminat, colonel en mars 1940, général de brigade en juillet 1941, de division en septembre 1942.
Philippe de Hauteclocque, capitaine en décembre 1934, commandant en juillet 1940, sous le nom de Leclerc, colonel en novembre 1940, général de brigade en août 1941/avril 1942, de division en mai 1943, de corps d'armée en mai 1945, d'armée en juillet 1946, élevé à la dignité de maréchal de France à titre posthume en 1952.
Pierre Lelong, colonel en mai 1940, général de brigade en 1942.
Joseph Magnan, lieutenant-colonel en décembre 1938, colonel en janvier 1942, général de brigade en mai 1943, général de division en août 1944.
Raoul Magrin-Vernerey, lieutenant-colonel en juin 1938, colonel en juin 1940, sous le nom de Monclar,général de brigade en décembre 1941.
Pierre Marchand, lieutenant-colonel en mars 1935, colonel en septembre 1940, général de brigade en décembre 1942, général de division en mars 1945.
René Marchand, lieutenant-colonel en 1940.
Zinovi Pechkoff, commandant en février 1923, colonel fin 1941, général de brigade en avril 1944.
Ernest Petit, colonel en 1938, général de brigade en 1942.
Martial Valin, commandant en 1938, général de brigade aérienne en août 1941, général de corps aérien en 1945.
Les femmes dans les Forces françaises libres
La 2e division blindée du général Leclerc comprenait deux unités féminines d'engagées volontaires : le Groupe Rochambeau dans l'armée de terre (plusieurs dizaines de femmes), et le service féminin de la Flotte dans la marine (9 femmes). Leur rôle consistait à assurer les premiers soins en première ligne aux soldats touchés (souvent en arrêtant les saignements), avant de les évacuer en civière vers des ambulances, et de conduire ces ambulances à portée du feu ennemi jusqu'à des centres de soin et de tri quelques kilomètres à l'arrière
Événements
1165 : sacre de Guillaume Ier d'Écosse, le Lion, à l'abbaye de Scone.
1046 : élection du pape Clément II (Suidger de Morsleben et Hornburg, de son vrai nom).
1294 : élection du pape Boniface VIII (Benedetto Caetani, de son vrai nom).
1588 : assassinat du cardinal de Guise Louis de Lorraine sur ordre de Henri III.
1770 : Louis XV renvoie Choiseul.
1789 : l'Assemblée adopte un décret reconnaissant les protestants aptes à tous les emplois civils et militaires et leur assurant le droit d'élection et d'éligibilité.
1794 : abolition de la loi du maximum général.
1800 : attentat de la rue Saint-Nicaise contre le Premier consul et général Bonaparte.
1802 : recréation des chambres de commerce, supprimées par l'Assemblée constituante le 27 septembre 1791, dans vingt-trois villes françaises.
1814 : signature du traité de Gand entre le Royaume-Uni et les États-Unis.
1865 : fondation du Ku Klux Klan.
1866 : rattachement du Schleswig-Holstein à la Prusse.
1881 : signature du « traité de l’amitié » entre Ngaliema De Swata et Henry Morton Stanley, lui octroyant un droit d’établissement dans l’ouest de ce qui deviendra Léopoldville, puis Kinshasa.
1924 : proclamation de la république en Albanie.[réf. nécessaire]
1928 : première représentation de Victor ou les enfants au pouvoir de Roger Vitrac par le Théâtre Alfred Jarry
1937 : l'armée impériale japonaise entre à Hang-Tchéou.
1941 : ralliement de Saint-Pierre-et-Miquelon aux Forces françaises libres du Général de Gaulle.
1942 : assassinat de l'amiral François Darlan.
1943 : début de l'Offensive Dniepr-Carpates.
1948 : résolution no 63 du Conseil de sécurité des Nations unies sur la question indonésienne.
1949 : marche des femmes sur Grand-Bassam, en Côte d'Ivoire, pour faire libérer des prisonniers politiques
1951 : indépendance du Royaume uni de Libye.
1964 : attentat de l'hôtel Brink pendant la guerre du Viêt Nam.
1979 : lancement de la première fusée Ariane.
1986 : en Argentine, promulgation, sous la présidence de Raúl Alfonsín, de la loi du Point final (ley de Punto final), interdisant les poursuites au pénal contre les crimes commis lors de la dictature argentine.
1994 : prise d'otages du vol 8969 Air France par le GIA (Groupe Islamiste Armé) à l'aéroport d'Alger.
1999 : le président ivoirien Henri Konan Bédié est renversé par Robert Guéï à la faveur d'un coup d'État militaire.
2008 : début des massacres de Noël en république démocratique du Congo.
2014 : entrée en vigueur du traité sur le commerce des armes.
2019 : au Burkina Faso, une attaque de l'État islamique à Arbinda fait 120 morts.
https://fr.wikipedia.org/wiki/24_d%C3%A9cembre
Naissances
1166 : Jean d'Angleterre dit « Jean sans Terre », roi d'Angleterre de 1199 à 1216 († 18 octobre 1216).
1475 : Thomas Murner, théologien catholique et humaniste alsacien.
1573 : Constance d'Autriche, reine consort de Pologne et grande-duchesse consort de Lituanie de 1605 à 1631 († 10 juin 1631).
1712 : Étienne Montgolfier, prélat français († 27 août 1791).
1761 : Jean-Louis Pons, astronome français († 14 octobre 1831).
1791 : Eugène Scribe, auteur dramatique français, membre de l'Académie française († 20 février 1861).
1798 : Adam Mickiewicz, poète polonais († 26 novembre 1855).
1809 : Christopher Houston « Kit » Carson, soldat et aventurier américain, pionnier de la conquête de l’Ouest († 23 mai 1868).
1818 : James Joule, physicien britannique († 11 octobre 1889).
1822 : Matthew Arnold, poète et critique britannique († 15 avril 1888).
1837 : Elisabeth de Wittelsbach, dite « Sissi », impératrice d'Autriche de 1854 à 1898 († 10 septembre 1898).
1838 : François Langelier, homme politique et juge québécois († 8 février 1915).
1851 : Édouard de Castelnau, général français († 19 mars 1944).
1861 : John Ball, golfeur anglais († 2 décembre 1940).
1868 :
Scott Joplin, musicien américain († 1er avril 1917).
Emanuel Lasker, mathématicien allemand, champion du monde d'échecs († 11 janvier 1941).
1879 :
Clemente Micara, cardinal italien, vicaire général de Rome († 11 mars 1965).
Emile Nelligan, poète canadien († 18 novembre 1941).
1882 : Steve Casey, joueur de rugby à XV néo-zélandais († 10 août 1960).
1886 :
Michael Curtiz (Manó Kertész Kaminer, dit), cinéaste américain, d'origine hongroise († 11 avril 1962).
Eugen Papst, compositeur allemand († 2 janvier 1956).
1887 :
Hélène Dieudonné, actrice française († 29 septembre 1980).
Louis Jouvet, homme de théâtre et de cinéma français († 16 août 1951).
1888 : Jean Bouin, coureur de fond français († 29 septembre 1914).
1891 : Virginia Dighero, civile italienne, doyenne d'Europe († 28 décembre 2005).
1893 : Harry Warren, compositeur américain († 22 septembre 1981).
1894 : Georges Guynemer, pilote de chasse français († 11 septembre 1917).
1897 : Victor Dillard, prêtre jésuite mort à Dachau († 12 janvier 1945).
1900 : Joseph Roberts « Joey » Smallwood, homme politique, écrivain et journaliste terre-neuvien, Premier ministre de Terre-Neuve de 1949 à 1972 († 17 décembre 1991).
1901 : Thomas « Tom » Reed, scénariste, acteur, producteur et réalisateur américain († 17 août 1961).
1902 : Jean de Menasce, dominicain français d'origine égyptienne († 1973).
1903 : Joseph Cornell, sculpteur américain († 29 décembre 1972).
1904 : Joseph Juran, acteur de la conception originaire et du portage mondial de la démarche qualité globale († 28 février 2008).
1905 : Howard Hughes, aviateur, industriel et producteur de cinéma américain († 5 avril 1976).
1906 :
James Hadley Chase (René Lodge Brabazon Raymond dit), romancier anglais († 6 février 1985).
Franz Waxman (Franz Wachsmann, dit), compositeur américain d'origine allemande († 24 février 1967).
1907 : John Cody, cardinal américain, archevêque de Chicago de 1965 à 1982 († 25 avril 1982).
1908 : Jeanne Herviale (Jeanne Blanche Charlotte Charrier, dite), actrice française († 29 octobre 1989).
1909 : Adam Rapacki, homme politique et économiste polonais († 10 octobre 1970).
1910 : Ellen Braumüller, athlète de sauts et de lancers ainsi que du sprint allemande († 10 août 1991).
1911 : Rodolfo Siviero, historien de l'art italien († 26 octobre 1983).
1912 : Jacques Jacquesson, militaire et ingénieur atomiste français († 17 mars 1996).
1913 : Pierre Thézé, peintre et sculpteur français († 1999).
1914 : Maria Szurek-Wisti, répétitrice, assistante, maître-assistante et professeur polonaise († 8 août 1980).
1915 :
Michel Gaudet, haut fonctionnaire français († 6 mai 2003).
Jean Vallerand, musicien, compositeur, critique musical et enseignant québécois († 24 juin 1994).
1919 : Pierre Soulages, peintre français.
1922 : Ava Gardner, actrice américaine († 25 janvier 1990).
1924 : Marc Ferro, historien français, présentateur d'Histoire parallèle sur la SEPT future Arte.
1926 :
Paul Buissonneau, chanteur, acteur et metteur en scène québécois d’origine française Théâtre de Quat'Sous († 30 novembre 2014).
Lee Dorsey, chanteur américain († 1er décembre 1986).
1927 :
Mary Higgins Clark, femme de lettres américaine († 31 janvier 2020).
Richard Highton, zoologiste américain.
1931 :
Raphael Homer « Ray » Bryant, pianiste de jazz américain († 2 juin 2011).
Mauricio Kagel, compositeur, chef d'orchestre et metteur en scène argentin († 18 septembre 2008).
1933 : Noëlle Adam, actrice française.
1937 : Félix Miéli Venerando, footballeur brésilien († 24 août 2012).
1943 :
Claude Brosset, acteur français († 25 juin 2007).
Ulrick Chérubin, homme politique québécois († 25 septembre 2014).
Gary Dineen, hockeyeur sur glace canadien († 1er avril 2006).
Tarja Halonen, femme politique et avocate finlandaise, présidente de la République de la Finlande de 2000 à 2012.
1944 :
Michael « Mike » Curb, compositeur, producteur et homme politique américain.
Oswald Gracias, cardinal indien, archevêque d'Agra de 2000 à 2006 et de Bombay depuis 2006.
Daniel Johnson, homme politique et avocat canadien, Premier ministre du Québec en 1994.
1945 :
Ian Fraser « Lemmy » Kilmister, musicien britannique du groupe Motörhead († 28 décembre 2015).
Nicholas Meyer, réalisateur et scénariste américain.
1946 :
Roselyne Bachelot, femme politique, pharmacienne et animatrice française, plusieurs fois ministre.
Daniel Beretta, comédien et chanteur français.
1948 : Michel Robert, cavalier de saut d'obstacles français.
1951 :
Kathleen Fox, aviatrice et dirigeante canadienne.
Gaëtan et Paul Brizzi, frères jumeaux réalisateurs de films d'animation et illustrateurs français.
1952 :
Lorne Calvert, homme politique canadien, Premier ministre de la Saskatchewan entre 2001 et 2007.
Patrick Pons, pilote de vitesse moto français († 12 août 1980).
1953 : Adam Szal, prélat catholique polonais, archevêque de Przemyśl depuis 2016.
1954 : Yves Debay, journaliste et correspondant de guerre français d’origine belge († 17 janvier 2013).
1955 : Clarence Gilyard, acteur américain.
1957 :
Jérôme Beau, évêque catholique français, évêque auxiliaire de Paris depuis 2006.
Hamid Karzai (حامد کرزی), homme politique afghan, président de la République islamique d'Afghanistan de 2001 à 2014.
1959 : Diane Tell, chanteuse canadienne.
1960 : Yves Le Saux, évêque catholique français, évêque du Mans depuis 2008.
1964 :
Jean-Paul Civeyrac, réalisateur de films français.
Miossec (Christophe Miossec, dit), auteur-compositeur-interprète et poète breton d'expression surtout francophone.
1965 : Marcelo Villena Alvarado, écrivain et poète bolivien.
1966 : François Papineau, acteur québécois.
1969 : Oleg Skripochka (Олег Иванович Скрипочка), cosmonaute russe.
1970 :
Nihal Meshref, pongiste égyptienne.
Amaury Nolasco, acteur portoricain.
1971 :
Ricky Martin (Enrique Martin Morales, dit), chanteur portoricain.
David Morissette, hockeyeur professionnel québécois.
1973 :
Frédéric Demontfaucon, judoka français.
Stephenie Meyer, femme de lettres américaine.
1974 : Tadjou Salou, footballeur togolais († 2 avril 2007).
1978 :
Souleymane Diawara, footballeur professionnel sénégalais.
Ghislain Bagnon, footballeur franco-ivoirien, défenseur et latéral droit.
1979 : Ben Geurens, acteur australien.
1980 :
Geoffrey Dernis, footballeur français
Sandra Lou (Sandra Bretonès, dite), animatrice, présentatrice et mannequin française.
1981 : Dima Bilan (Victor Nikolaevitch Belan (Ви́ктор Никола́евич Бела́н), dit), chanteur russe.
1982 :
Aiba Masaki (相葉 雅紀), chanteur et acteur japonais.
Mikaël Roche, footballeur franco-tahitien.
Robert Schwartzman, acteur et chanteur américain.
Nancy Sinatra, animatrice, chanteuse et comédienne belge francophone.
1984 : Camille Berthomier (Jehnny Beth) comédienne et musicienne française.
1985 :
Mirna Mazić, basketteuse croate.
Fabiano Joseph Naasi, athlète de fond tanzanien.
Matthew Craig Stephen « Matt » Targett, nageur australien.
1986 :
Kyrylo Fesenko (Кирило Фесенко), basketteur ukrainien.
Riyo Mori (森 理世), danseuse japonaise, miss Univers 2007.
1987 :
Cécile Grès, journaliste française.
Hugo tout seul (Hugo Dessioux, dit), youtubeur et vidéaste français.
1989 : Steve Johnson, joueur de tennis américain.
1990 : Carolanne D'Astous-Paquet, chanteuse québécoise.
1991 :
Eric Moreland, basketteur américain.
Louis Tomlinson, chanteur britannique, membre du groupe One Direction.
1992 :
Serge Aurier, footballeur ivoirien.
Samuel Peterson « P. J. » Hairston, Jr., basketteur américain.
1994 :
Frédéric Guilbert, footballeur français.
Ève Périsset, footballeuse française.
1995 :
Anett Kontaveit, joueuse de tennis estonienne.
Fabrice Ondoa, footballeur camerounais.
https://fr.wikipedia.org/wiki/24_d%C3%A9cembre
Décès
1069 : Godefroy II le Barbu, duc de Basse et de Haute-Lotharingie (° vers 997).
1317 : Jean de Joinville, noble champenois et historien de Saint Louis (° vers 1224).
1524 : Vasco de Gama, navigateur portugais (° vers 1460 ou 1469).
1588 : Louis II, cardinal de Lorraine (° 6 juillet 1555).
1793 : Marie Adrian, tailleuse lyonnaise ayant défendu la ville de Lyon durant le siège de la Convention Nationale.
1824 : Pushmataha, chef amérindien des Choctaw (° 1764).
1844 : François Bonaventure Arago, homme politique français (° 30 janvier 1754).
1850 : Frédéric Bastiat, économiste français (° 30 juin 1801).
1868 : Adolphe d'Archiac, géologue et paléontologue français (° 23 septembre 1802).
1872 : William Rankine, ingénieur et physicien écossais (° 5 juillet 1820).
1913 : Louis Sockalexis, joueur de baseball américain (° 24 octobre 1871).
1914 : John Muir, naturaliste et écrivain américain (° 21 avril 1838).
1921 : Jean-Baptiste Gobert-Martin, homme d'affaires français (° 1848).
1935 : Alban Berg, compositeur autrichien (° 9 février 1885).
1938 :
Bruno Taut, architecte, urbaniste et écrivain allemand (° 4 mai 1880).
Lev Skrbenský z Hříště, prélat tchèque, archevêque de Prague de 1899 à 1916 et d'Olomouc de 1916 à 1920 (° 12 juin 1863).
1942 : François Darlan, amiral et homme politique français (° 7 août 1881).
1957 :
Maurice Schilles, cycliste sur piste français (° 26 février 1888).
Norma Talmadge, actrice américaine (° 2 mai 1894).
1966 : Gaspar Cassadó, musicien espagnol (° 30 septembre 1897).
1970 : Nikolaï Chvernik (Николай Михайлович Шверник), cadre et homme politique soviétique, chef d'État de l'URSS de 1946 à 1953 (° 19 mai 1888).
1975 :
Jean De Bast, dessinateur et graveur de timbres-poste belge (° 14 juin 1883).
Bernard Herrmann, compositeur américain (° 29 juin 1911).
1976 : Jean de Broglie, homme politique français (° 21 juin 1921).
1980 : Karl Dönitz, militaire allemand (° 16 septembre 1891).
1982 :
Louis Aragon, homme de lettres français (° 3 octobre 1897).
Maurice Biraud, comédien français (° 3 mars 1922).
1984 : Peter Lawford, acteur britannique (° 7 septembre 1923).
1985 :
Ferhat Abbas (فرحات عباس), homme politique et pharmacien algérien, président de l'Algérie de 1962 à 1965 (° 24 octobre 1899).
Jacques Monod, acteur français (° 21 août 1918).
1987 :
Joop Den Uyl (Johannes Marten den Uijl, dit), homme politique, comptable et journaliste néerlandais, Premier ministre des Pays-Bas de 1973 à 1977 (° 9 août 1919).
M. G. Ramachandran (எம். ஜி. இராமச்சந்திரன்), acteur et homme politique indien (° 17 janvier 1917)
1988 : Pierre Pouly, matador français (° 7 mars 1899).
1989 :
Jean-Louis Calderon, journaliste français (° 19 avril 1958).
Roger Pigaut, acteur français (° 8 avril 1919).
1990 : Pierre Dagenais, acteur canadien (° 1923).
1992 :
Micheline Luccioni (Micheline Jeanne Labourot, dite), actrice française (° 16 janvier 1930).
Peyo (Pierre Culliford, dit), auteur de bandes dessinées belge (° 25 juin 1928).
1994 :
Rossano Brazzi, acteur italien (° 18 septembre 1916).
John Osborne, homme de théâtre et de cinéma britannique (° 12 décembre 1929).
1997 :
Jacques Fabbri (Jacques Claude Fabbricotti, dit), acteur français (° 4 juillet 1925).
Toshiro Mifune (三船 敏郎), homme de cinéma japonais (° 1er avril 1920).
Pierre Péladeau, homme d’affaires et éditeur québécois, fondateur de Québecor (° 11 avril 1925).
1998 : Charles Joseph Sylvanus « Syl » Apps, hockeyeur professionnel canadien (° 18 janvier 1915).
1999 :
Maurice Couve de Murville, homme politique, haut fonctionnaire et diplomate français, Premier ministre de la France de 1968 à 1969 (° 24 janvier 1907).
João Figueiredo, militaire et homme politique brésilien, président du Brésil de 1979 à 1985 (° 15 janvier 1918).
2001 : René Alpsteg, footballeur français (° 3 décembre 1920).
2004 : Pierre Lorrain, homme politique québécois (° 21 avril 1942).
2006 :
Jacques Crozemarie, français, fondateur de l'ARC (° 7 octobre 1925).
Uri Dan (אורי דן), journaliste, écrivain et réalisateur israélien (° 6 mai 1935).
2008 :
Samuel Huntington, politicologue américain (° 18 avril 1927).
Harold Pinter, dramaturge et metteur en scène britannique, prix Nobel de littérature en 2005 (° 10 octobre 1930).
2009 : Rafael Caldera, homme politique, avocat et universitaire vénézuélien, président du Venezuela de 1969 à 1974 et de 1994 à 1999 (° 24 janvier 1916).
2010 :
Toshiharu Ikeda, réalisateur japonais (° 23 février 1951).
Frans de Munck, footballeur puis entraîneur néerlandais (° 20 août 1922).
Claude Nicolet, historien français, membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres (° 15 septembre 1930).
2011 : Johannes Heesters, acteur néerlandais, doyen du cinéma mondial (° 5 décembre 1903).
2012 :
Charles Durning, acteur américain (° 18 février 1923).
Jacob Joachim « Jack » Klugman, acteur américain (° 27 avril 1922).
Lawrence Lepage, auteur-compositeur, interprète, poète et musicien québécois (° 1931).
2013 : Frédéric Back, illustrateur et réalisateur de films d'animation québécois d'origine allemande (° 8 avril 1924).
2014 : Boniface Ferdinand Leonard « Buddy » DeFranco, clarinettiste de jazz américain (° 17 février 1923).
2016 :
Richard John « Rick » Parfitt, chanteur-guitariste britannique (° 12 octobre 1948).
Gil Parrondo (Manuel Gil Parrondo y Rico-Villademoros, dit), directeur artistique et chef décorateur espagnol (° 17 juin 1921).
Liz Smith (Betty Gleadle, dite), actrice britannique (° 11 décembre 1921).
Er-mi Zhao (赵尔宓), herpétologiste chinois (° 1930).
2017 : Jacques Chérèque, syndicaliste CFDT, préfet et homme politique français (° 9 septembre 1928).
2018 : Jozef Adamec, joueur et entraîneur slovaque de football (° 26 février 1942).
https://fr.wikipedia.org/wiki/24_d%C3%A9cembre
« À la Saint-Évariste, jour de pluie, jour triste. »
Armand est un nom propre qui peut désigner :
Prénom et patronyme
Armand est un prénom masculin, d'étymologie germanique (heri = « armée » et man = « homme »), fêté le 23 décembre
.
Armand est aussi un patronyme.
On rencontre les variantes masculines Armandino Armando et Armands et féminines Armanda, Armande, Armandina et Armandine.
Quelques Armand célèbres
Saints chrétiens
Armand de Vannes (vie siècle), ou Amand ou Aman, cinquième évêque de Vannes en Bretagne ; fêté localement le 13 septembre.
Armand de Maestricht (viie siècle), pourrait être la même personne que Alain de Lavaur ; fêté le 25 novembre.
Armand xiie siècle, religieux originaire de Bavière, évêque de Brixen (Bolzano) ; fêté localement le 23 décembre.
Prénom
Armand (1699-1765), acteur français.
Armand Jean du Plessis de Richelieu (1585-1642), ministre du roi Louis XIII.
Armand de Bourbon-Conti (1629-1666), Prince de Conti, noble français.
Patronyme
Armand est un nom de famille notamment porté par :
Alfred Armand (1805-1888), architecte français ;
Claude Joseph Armand (1764-1840), colonel français de la Révolution et de l'Empire ;
E. Armand (pseudonyme de Lucien-Ernest Juin) (1872-1962), militant de l'anarchisme individualiste et de la liberté sexuelle ;
Germain Armand (1784-1854), homme politique français ;
Gesner Armand (1936-2008), peintre haïtien ;
Inès Armand (1874-1920), militante communiste française ;
Jean-Denis Armand (1988-), coureur cycliste français ;
Jean-Marie Armand, joueur français de rugby à XIII ;
Jean-Pierre Armand (1946-), metteur en scène, scénographe, dramaturge et comédien français ;
Jean-Pierre Armand (1950-), acteur pornographique français ;
Jean-François Armand5 (1789-1883), polytechnicien, ingénieur des Ponts-et-Chaussées, député de l'Aube (1837-1848) ;
Joseph-François Armand (1820-1903), homme politique canadien ;
Laurent Armand (1970-), joueur de rugby à XV ;
Louis Armand (1854-1922), spéléologue français ;
Louis Armand (1905-1971), ingénieur français ;
Marie-Paul Armand, écrivain ;
Jacques Armand (1957-1991), dessinateur de bande dessinée ;
Pavel Armand (1902-1964), réalisateur et scénariste soviétique ;
Pierre Armand
Romain Armand (1987-), joueur français de football ;
Sylvain Armand (1980-), joueur français de football ;
Thomas-Joseph Armand-Calliat (1822-1901), orfèvre français.
Toponyme
Armand est un nom de lieu notamment porté par :
France
L'Aven Armand est une grotte située en Lozère.
Place Louis-Armand est le nom donné au parvis situé devant la gare de Lyon à Paris.
Louis Armand est le nom d'une station de la ligne 1 du métro de Marseille.
Le Piton Armand est un sommet de montagne de Saint-Benoît, à La Réunion.
Canada
Saint-Armand est une ville du Québec.
Armand est un canton dans la municipalité régionale de comté du Témiscouata.
Rivière Armand-Jude, un affluent de la rivière du Seigneur coulant dans Les Éboulements, MRC Charlevoix, Capitale-Nationale, Québec.
Autres
Armand, vampire de fiction créé par la romancière Anne Rice et apparaissant dans sa série Chroniques des vampires.
Armand le vampire, roman de fantastique écrit par Anne Rice, sixième tome de sa série Chroniques des vampires.
Le stade Armand-Cesari, le principal stade de football de Corse.
La chanteuse israélienne Rika Zaraï est morte à l’âge de 82 ans
L’ambassade d’Israël à Paris a annoncé mercredi la mort de la chanteuse, très populaire en France des années 1960 aux années 1980.
La chanteuse populaire israélienne est morte à l’âge de 82 ans, a annoncé mercredi 23 décembre l’ambassade d’Israël en France. Rika Zaraï est née Rika Gozman le 19 février 1938, à Jérusalem, d’un père russe et d’une mère polonaise. La jeunesse de Rika Zaraï est studieuse, la jeune fille menant de concert sa scolarité et ses études musicales. Dès l’âge de 7 ans, elle prend des cours de piano, et se révèle douée et travailleuse. Elle décroche ainsi, à 17 ans, le premier prix de piano au conservatoire de Jérusalem. Sur le plan scolaire, elle obtient une licence d’enseignement pour enfants handicapés.
L’année de ses 17 ans, elle part au service militaire où elle est chargée de diriger une comédie musicale, Cinq sur cinq, qui remporte rapidement un vif succès. L’armée l’autorise à se produire aussi pour le civil. Sa carrière artistique commence, elle a tout juste 19 ans. Elle épouse bientôt le parolier du spectacle Johann Zaraï, avec qui elle a une fille, Yaël, en 1959.
Elle commence par se produire dans des cafés-théâtres, en interprétant en hébreu les textes de chanteurs français. C’est ce qui la fait remarquer par un imprésario qui lui suggère d’aller en France se présenter au patron de l’Olympia, Bruno Coquatrix. Ce dernier lui conseille de revenir lorsqu’elle maîtrisera le français. Rika Zaraï, qui s’est séparée de son mari, vit alors des mois difficiles, devant subvenir aux besoins de sa jeune enfant.
Sa carrière démarre enfin lorsqu’elle rencontre Eddie Barclay, qui produit les plus grands interprètes français. Elle enregistre sous l’un de ses labels, Bel Air, avec lequel elle restera jusqu’en 1965, des chansons qui deviendront des tubes comme Hava Naguila, reprise d’une chanson folklorique en hébreu.
Cinq disques d’or
Pendant ces années, elle fait la première partie de Jacques Brel à l’Olympia, signe chez Philips, rencontre son futur mari, le musicien Jean-Pierre Magnier, et effectue une grande tournée, avec Gilbert Bécaud en vedette. Elle sort aussi ses premiers gros tubes, dont Casatschok, puis Alors je chante.
Mais, en 1969, elle est victime d’un très grave accident de voiture. Les médecins pensent qu’elle ne pourra plus marcher. Cependant, à force de détermination et de patience, avec l’aide de son ami Raymond Dextreit, adepte de la médecine naturelle, elle récupère l’usage de ses jambes au bout de trois ans. Rétablie, elle retrouve le chemin des studios pour enregistrer de nouveaux tubes comme Tante Agathe, Ma Poupée de France, ou encore Sans chemise, sans pantalon, et se produit de nombreuses fois sur la scène de l’Olympia, dès… mars 1970.
Sa carrière est couronnée par plusieurs disques d’or (cinq au total). Au début des années 1980, elle sort encore un dernier disque, Tout va très bien, puis se sépare, en 1983, de sa maison de disque Philips.
Elle arrête alors ses activités artistiques et promeut la médecine par les plantes en publiant une série de livres dont certains, comme Ma médecine naturelle (Editions Carrère/Michel Lafon, 1985), sont de grands succès en librairie. Mais son incursion dans la médecine naturelle – elle commercialise ses plantes dans les supermarchés – est contestée par le conseil de l’ordre des pharmaciens et elle se retrouve, le 10 janvier 1989, inculpée de complicité d’exercice illégal de la pharmacie. L’affaire, qui s’est soldée par un non-lieu, est largement relayée dans les médias, affectant son image.
Suit une longue traversée du désert durant laquelle elle ne sortira qu’un album, en 2000, composé de plusieurs reprises. Six ans après, elle publie ses mémoires, L’espérance a toujours raison (Michel Lafon, 2006). Puis, en 2008, elle fête ses 50 ans de carrière dans la chanson, avec la sortie d’un nouvel album, Quand les hommes, mêlant des reprises de Georges Brassens et d’Yves Duteil, et des inédits. Mais le 3 juillet 2008, elle est victime d’un grave accident vasculaire cérébral. Après cinq années de rééducation, elle sort un double album, Anthologie 1960-1982, qui met en évidence sa riche carrière durant laquelle elle aura vendu plus de 29 millions de disques.
René Coty, né le 20 mars 1882 au Havre et mort le 22 novembre 1962 dans la même ville, est un homme d'État français. Il est président de la République du 16 janvier 1954 au 8 janvier 1959.
Alternativement député et sénateur de la Seine-Inférieure entre 1923 et 1953, il est ministre de la Reconstruction et de l'Urbanisme de 1947 à 1948 dans le cabinet de Robert Schuman puis d'André Marie. Il est ensuite vice-président du Conseil de la République jusqu'en 1953, date à laquelle il est élu à la présidence de la République, au 13e tour de scrutin.
Second et dernier président de la IVe République, son mandat est marqué par le gouvernement de Pierre Mendès France, la fin de la guerre d'Indochine, le début de la guerre d'Algérie et le retour au pouvoir du général de Gaulle, qui institue la Ve République. En janvier 1959, il quitte ainsi la présidence de la République pour laisser la place à de Gaulle, qu’il qualifie de « plus illustre des Français ».
Il siège ensuite au Conseil constitutionnel jusqu'à sa mort.
Naissance et origines
Jules Gustave René Coty naît le 20 mars 1882 au Havre. Il est le fils de Jean Coty, républicain modéré, directeur du collège Saint-Michel (la pension Coty), et de Blanche Sence. Il a deux sœurs, Nelly et Marthe, et deux frères, Marcel et Henri.
Tous les membres de la famille Coty sont Normands et ont exercé des métiers divers tels que cultivateurs, instituteurs ou encore artisans
.
Formation
En 1899, René Coty obtient un double baccalauréat en sciences et en lettres, avec la mention bien, et part faire ses études à l'université de Caen. En 1900, il est exempté du service militaire pour cause de maigreur. Cette même année, il représente l'association générale des étudiants de Caen au Congrès international de Paris. Deux ans plus tard, en 1902, il obtient une licence en droit et une licence en lettres et philosophie. Il prête serment d'avocat la même année et s'inscrit au barreau du Havre. Spécialiste en droit maritime et commercial, il plaide au civil et au pénal. Mû par un souci de justice sociale, il prend la défense en 1910 de Jules Durand, un syndicaliste injustement accusé d'avoir incité au meurtre d'un ouvrier non gréviste.
Par deux fois, il est bâtonnier de l'ordre des avocats.
Passionné de littérature et de philosophie, il fonde en 1905 le Cercle Vallonges, un cercle littéraire, avec quelques amis, également intéressés par les livres.
Vie familiale
Germaine Corblet, épouse de René Coty.
Le 21 mai 1907, à l'église Saint-Michel du Havre, il épouse Germaine Corblet, fille d'un armateur havrais. Le couple a deux filles : Geneviève, née en 1908, mariée en 1929 à Louis-Félix Egloff, ingénieur, avec lequel elle a six filles ; et Anne-Marie, née en 1910, épouse en 1932 du docteur Maurice Georges, avec lequel elle a trois filles et un fils. Geneviève et Anne-Marie décèdent toutes deux en 1987.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ren%C3%A9_Coty