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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Un stylo à bille ou stylo-bille, parfois aussi appelé par antonomase un bic, ou simplement un stylo, est un outil servant à écrire, proche d'un crayon dans la forme et la dimension. Les stylos-bille possèdent une réserve interne d'encre visqueuse qui est étalée sur le papier lors de l'écriture par l'intermédiaire d'une petite bille (en général entre 0,7 et 1 millimètre de diamètre) mise en rotation par friction sur un support ; l'encre sèche presque immédiatement après le contact avec le papier. Peu chers, sûrs et ne nécessitant pas d'entretien, ils ont fortement remplacé le crayon à papier, le stylo-plume et éliminé la plume Sergent-Major.
L'invention et les frères Bíró
L'idée du stylo à bille est à mettre au profit de l'Américain, John J. Loud (en), attesté par un brevet qu'il déposa en 1888. Cependant son invention était loin d'être au point et son brevet devint caduc. Trente ans plus tard, en 1919 un certain Monsieur Pasquis remporta un prix au concours Lépine avec son invention d'un stylo à bille et déposa un brevet, mais il n'arriva pas à le mettre au point en vue d'une éventuelle commercialisation. II faudra attendre encore trente ans pour voir enfin cette idée se concrétiser. Un journaliste hongrois du nom de László Biró, par ailleurs inventeur prolixe, aidé de son frère György, chimiste, va améliorer trois axes de l'idée initiale : l'encre, la bille et le dispositif d'alimentation.
Concernant l'encre, László Biró, remarque que l'encre à séchage rapide utilisée pour l'impression des journaux permet d'éviter les taches par frottement. Il essaie alors cette encre dans un stylo à plume dont un certain Slavoljub Penkala a inventé le principe en 1907, mais en vain : la viscosité de l'encre l'empêche de s'écouler.
Ignorant les travaux, restés sans suite, de John J. Loud et de M. Pasquis, la légende dit que c'est en observant des enfants jouant avec des billes que Bíró a l'idée de mettre une bille à l'intérieur du stylo : il remarque en effet que lorsque les enfants font passer la bille dans une flaque d'eau, elle entraîne derrière elle un mince filet d'eau… C'est ainsi qu'il aurait eu l'idée de concevoir un « stylo à bille » réellement fonctionnel.
Travaillant avec son frère György, chimiste, Bíró développe en 1938 une nouvelle pointe, constituée d'une bille qui, en tournant librement dans un alvéole, entraîne l'encre d'une cartouche et la dépose sur le papier.
Les frères Bíró déposent le brevet de leur invention en 1938 : le « stylo à bille » est véritablement né.
En 1943, Bíró et son frère György doivent se réfugier en Argentine, du fait des lois anti-juives sévissant alors en Hongrie. László Bíró change de nom, devenant Lisandro José.
Les deux frères déposent un nouveau brevet, le 10 juin 1943. Ils créent alors la société des « stylos Biro », qui commercialise leur produit sous le nom de « Birome » resté en usage dans ce pays. La Royal Air Force britannique l'adopte pour ses pilotes, en vertu de ses performances en altitude. En effet, sur le stylo bille la réserve d'encre est constamment à la pression ambiante alors que celle du stylo plume, initialement à la pression correspondant à l'altitude à laquelle a été fait le remplissage, s'équilibre au cours de la montée en altitude en poussant l'encre à travers la plume.
Premier développement commercial
Eversharp (en), fabricant de portemines aux États-Unis, s'associe avec Eberhard-Faber (en) en mai 1945 pour exploiter une licence de fabrication du Birome.
Dans le même temps, Edmond Regnault (1898-1982) rachète en 1945 l’ensemble des brevets de l’industriel américain Milton Reynolds. Edmond Regnault fonde, sous la marque Reynolds, son entreprise installée à Valence en France, depuis 1945. The Rocket, lancé le 29 octobre 1945 au prix de 12,5 dollars, se répand très largement aux États-Unis, et poursuit aussitôt sa carrière commerciale au Royaume-Uni, puis en Europe continentale. L’usine est délocalisée en Chine par la société Newell Rubbermaid en 2006.
Le modèle du Baron Bich
Négociant le brevet avec Bíró, le baron Marcel Bich fait le pari de commercialiser un crayon à bille à 0,50 francs, prix très bas à l'époque. Pour cela et après deux ans de recherches, il va améliorer le modèle des frères Biro sur deux points importants : la formule d’encre parfaite et l’ajustage entre la bille et le tube-réservoir. En 1950, il lance son premier stylo à bille sous son nom abrégé en Bic afin qu'il soit facilement retenu et prononçable dans toutes les langues. Il a l'aspect d'un crayon muni d'un capuchon dont la couleur annonce la couleur de l'encre, tandis que la consommation peut être suivie grâce à la transparence des matières plastiques du tube souple qui la contient et du tube rigide à section hexagonale qui en constitue l'enveloppe. L'invention du "Bic Cristal", tel est son nom complet, peut être considérée comme géniale à plusieurs titres : 1 - Le nom dûment déposé : appeler "Cristal" un stylo en plastique ; 2 - Le plastique est transparent pour voir et surveiller l'encre restante ; 3 - La forme intemporelle d'un crayon papier classique de section hexagonale (et non ronde) afin d'éviter que le stylo ne roule et ne tombe ; 4 - Le bouchon et le capuchon de la couleur de l'encre muni d'un ergot permettant de le fixer verticalement dans une poche intérieure, etc. Objet devenu iconique des Trente Glorieuses et de la société de consommation, le Bic Cristal est exposé de manière permanente dans les collections du Museum of Modern art de New York et dans celles du Musée national d'Art moderne de Paris.
En 1961, le carbure de tungstène de la bille remplace l'inox employé jusque-là et améliore son fonctionnement. Le stylo à bille s'efforce de franchir les portes de l'école et y réussit en 1965 en France.
Principe de précaution : Au début des années 1980, le capuchon a été percé à son extrémité afin d’éviter à des enfants qui l’auraient ingéré accidentellement de s’étouffer. Ce trou permet en effet de laisser circuler l’air au cas où le bouchon resterait bloqué dans la gorge.
Bic entre dans le club très fermé des marques devenues noms communs. Il conquiert le monde et inaugure l'ère du jetable. Il devient monnaie d'échange pour les touristes occidentaux qui visitent les pays du bloc soviétique. Il est l'auxiliaire modeste de l'alphabétisation des pays pauvres. Le Bic Cristal est le stylo le plus vendu au monde. Présent dans plus de 160 pays, la firme a précisé lors de son soixantième anniversaire (en 2000) qu'il s'en est déjà écoulé plus de 100 milliards sur les cinq continents depuis sa commercialisation (1950). Ce succès est dû en partie à sa forme intemporelle identique à celle d'un crayon à papier, à sa qualité, tant de sa bille (qui ne se coince pas) qu'à son encre (qui ne bave pas), mais aussi et surtout à son prix très bas, inférieur à celui d'un crayon à papier. En 2018, dans le rayon papeterie des magasins Fnac, un Bic Cristal est vendu à l'unité 0,39 € et un crayon à papier Conté à 0,79 €.
Le stylo-bille et le dessin
Bien qu'il ait été conçu pour l'écriture et plus tard en couleur pour réaliser des graphiques plus clairs, le stylo à bille a trouvé d'autres utilisateurs.
Les artistes l'utilisent aujourd'hui à travers le monde pour illustrer leurs visions. Plus précis et contrasté que le crayon de couleur, le stylo bille offre au graphiste un rendu intéressant. Grâce à une gamme de dix couleurs (bleu, rouge, vert, jaune, orange, marron, rose, bleu clair, vert clair et violet) multiplié par les différents tons entre chaque marque et nuançable avec le noir, les stylo-graphistes parviennent à réaliser toutes les couleurs dont ils ont besoin pour créer portraits, paysages et illustrations en tous genres
Le stylo Bic 4 couleurs a lui aussi trouvé le succès parmi les dessinateurs, qui, à l'image de Blaise Guinin et de sa bande dessinée Quatre Couleurs, utilise le bleu, le rouge, le vert et le noir du quotidien d'un étudiant pour raconter son histoire, ou encore d'Helena Hauss, qui utilise exclusivement des stylos à bille pour réaliser ses œuvres
Tests
Avant leur mise sur le marché, les stylos à bille et leurs lignes d'écriture sont testés.
On caractérise la ligne d'écriture par :
sa résistance à l’eau, à l’éthanol, à l’acide chlorhydrique, à l’ammoniaque, à une solution décolorante, à une gomme et à la lumière ;
son temps de séchage ;
sa reproductibilité sur une photocopie, un microfilm ou une télécopie.
On caractérise le stylo à bille lui-même par :
sa durée de vie durant son stockage sans utilisation ;
le temps de colmatage en conditions de stockage horizontal et sans capuchon ;
sa vitesse d’écriture, la charge sur sa pointe et son angle d’écriture ;
la capacité du fluide d’écriture à pénétrer à travers un papier.
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Le Laffly V15 est une automobile militaire de la marque Laffly, produite de 1938 à 1940.
Le Laffly V15 T, tracteur d'artillerie léger 4x4 pour canon de 25 mm AC, est dérivé du Laffly S15 dont il reprend le système des roues indépendantes. Le compartiment arrière comporte une série de cinq coffres pour les munitions et paquetages.
Historique
Fin 1938, ce tracteur Laffly est adapté par la cavalerie. Le V15 sera utilisé durant la Seconde Guerre mondiale, il a été commandé à 100 exemplaires, produits par Laffly, puis 1 386 exemplaires à livrer avant fin septembre 1940 ; moins de 200 exemplaires (produits par La Licorne) seront finalement livrés en juin 1940.
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Le pistolet-mitrailleur MAS 1938 est une arme conçue avant la Seconde Guerre mondiale par la manufacture d'armes de Saint-Étienne pour l'armée française. Il ne fut cependant jamais employé en grand nombre par celle-ci, le MAT 49 lui succédant dès 1950.
Issu des PM MAS 1925 et SE-MAS 1935, ce pistolet-mitrailleur fonctionne avec une culasse non calée intégrant le percuteur. Le ressort récupérateur est situé dans la crosse en bois. Le canon n'est pas totalement dans l'alignement de la carcasse, suivant l'angle formé par le boîtier chargeur, facilitant le fonctionnement en automatique de l'arme.
Le MAS 38 était une bonne arme, mais ses utilisateurs se plaindront toutefois de la faible puissance de sa munition et de sa courte portée de tir. Le nombre important de pièces nécessitant d'être usinées et son coût de revient conduisirent plus tard les autorités à demander l'étude d'un remplaçant inspiré des techniques d'emboutissage / soudage utilisées par les différents belligérants du second conflit mondial (STEN, MP40, Owen, etc.).
L'état-major avait souhaité faire de ce pistolet-mitrailleur une arme de combat très rapprochée, sur l'expérience des boyaux de tranchées étroits de la Première Guerre mondiale, éventuellement destinée aussi à des troupes de seconde ligne tels qu'artilleurs, chauffeurs, équipages du Train. Il était destiné à remplacer les mousquetons M 16 ainsi que les PA et revolvers.
Diffusion
Les premières MAS 38 produits connurent le feu durant la Seconde Guerre mondiale, notamment aux mains des Corps francs, de la Milice française et des FFI. Les exemplaires saisis par la Wehrmacht étaient désignés MP 722 (f). Mais bien que l'essentiel de la production servit pendant la guerre d'Indochine, il fut cependant employé bien plus longtemps par la police nationale, la gendarmerie, l'armée de l'air, les convoyeurs de fonds de l'Administration des Postes et de nombreux pays africains francophones.
Données numériques
Munition : 7,65 × 20 mm Long ou 7,65 MAS.
Masse du PM vide : 2,9 kg
Masse du PM chargé : 3,45 kg
Longueur totale : 63,5 cm
Longueur du canon : 22,2 cm
Cadence de tir théorique : 600 à 700 coups par minute
Portée pratique : 100 m
Portée utile maximale : 200 m
Chargeur : 32 coups
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Le fourgon pompe-tonne (FPT), aussi appelé tonne-pompe ou autopompe, est un type de fourgon d'incendie.
Il emporte avec lui une pompe d'un débit de 1 000 à plus de 3 000 L/min entraînée par le moteur de l’engin grâce à un embrayage et une citerne (la tonne) de 1 000 à 6 000 L d’eau pour attaquer l’incendie directement et rapidement dès son arrivée sur les lieux. Il peut également comporter une citerne d'émulseur (jusqu'à 500 L) permettant de produire de la mousse pour des feux d'hydrocarbures.
Dans sa cabine, qui peut accueillir jusqu'à huit sapeurs-pompiers, sont arrimés sur les sièges les appareils respiratoires isolants (ARI), prêts à être endossées pendant le trajet.
Dans ses coffres latéraux sont rangés un lot important de matériel ; principalement du matériel de lutte contre l'incendie (lances, tuyaux, raccords et divisions, émulseur, extincteurs, kit feu de cheminée, feu d'origine électrique), de ventilation opérationnelle et de sauvetage.
À l’arrière, on trouve suspendus de chaque côté, parfois deux dévidoirs mobiles armés chacun de 200 m de tuyaux ainsi qu'une lance du dévidoir tournant appelée aussi LDT ou « pissette » alimentée directement par la réserve d'eau, armée de quatre tuyaux semi-rigides de 20 m (deux tuyaux depuis 2009 à la suite de la note d'information opérationnelle no 09-528 de la DSC) plus une longueur supplémentaire de 2 m. Le FPT est le premier et principal camion utilisé pour la lutte contre l'incendie. Il peut opérer seul sur des feux d'une certaine importance, puisqu'il peut en plus, mettre en batterie et alimenter trois grosses lances jusqu'à 400 m, branchées sur un point d'eau, une borne d'incendie ou un pompage dans un cours d'eau, réservoir isolé, piscine, etc.
Il existe en France des versions plus petites des FPT, appelées fourgons pompe-tonne légers (FPTL) ; un FPTL est armé par quatre à six personnes.
Il existe également une variante tout-terrain du FPT. Il s'agit en fait d'un FPT monté sur un châssis surélevé avec une transmission 4×4. Ce type de véhicule peut ainsi emprunter des routes escarpées et est notamment employé pour les feux de forêt. On l'appelle le FPTHR (fourgon pompe-tonne hors route).
En 2006, la BSPP s'est de nouveau dotée de FPT construits sur base de camions Mercedes-Benz Atego dotés d'une citerne de 3 200 L.
En 2011, ils ont été rejoints par une deuxième génération construits quant à eux sur base de Renault Midlum 270 et dotés d'une citerne de 3 300 L. En outre, elle possédait encore en juillet 2012 plusieurs fourgons d'appui, désignés FA, construits sur base de camions Renault gamme G. Ils étaient principalement utilisés comme engins de réserve.
Certains départements français ont choisi de se doter de FPTSR qui sont des FPT qui emportent tout le matériel de secours routier. Enfin, de nouvelles versions « tunnelisées » (FPT-TU et FPTSR-TU) ont fait leur apparition à la suite des drames des tunnels du Mont-Blanc et du Fréjus. Ces FPT « tunnelisés » sont équipés de système de conduite infrarouge permettant de progresser dans des atmosphères enfumées et sont également équipés d'un système d'autoprotection.
Il existe également quelques rares FPTSR-RR rail/route équipés d'un bogie escamotable leur permettant d'évoluer sur les rails de voies ferrées ; dont un en service aux Neyrolles pour la ligne du Haut-Bugey, entièrement rénovée pour le passage des TGV pour Genève, et qui comporte des tunnels dont l'accès routier est quasiment impossible
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Un fourgon d'appui est un agrès de la brigade de sapeurs-pompiers de Paris destiné prioritairement à l'attaque du feu.
Aspect général
Un fourgon d'appui est un camion poids lourd construit à partir du châssis d'un véhicule industriel et doté d'une cabine aménagée pour l'accueil de sapeurs-pompiers, le transport du matériel nécessaire à l'extinction de l'incendie, ainsi que la citerne permettant la première attaque. Celle-ci dispose d'une capacité de 1 000 litres. Cette citerne est généralement appelée « tonne » dans le jargon des sapeurs-pompiers.
Utilisations
Un fourgon d'appui est armé par six sapeurs-pompiers : un chauffeur, un chef d'agrès, et deux binômes d'attaque.
Outre sa tonne d'eau, il dispose d'un matériel d'attaque composé de 400 mètres de tuyaux de 110 millimètre de diamètre rangés en écheveau, de deux dévidoirs pour des tuyaux de 70 mm, d'une pompe ayant une capacité de 2 000 litres par minute, et de divers petits matériels d'épuisement et de signalisation. Une échelle trois plans est également disponible à bord. Comme l'ensemble des véhicules de sapeurs-pompiers français, ceux-ci disposent d'avertisseurs sonores et lumineux utilisés lors des interventions.
Entrés en service en 1990 les fourgons d'appui ont généralement été retirés du service en 2007, mais quelques exemplaires étaient encore en 2012 utilisés comme véhicules de réserve, en remplacement des engins immobilisés pour entretien mécanique. D'autres ont terminé leur service actif comme véhicules de formation au centre d'instruction de Villeneuve-Saint-Georges. Dans la nomenclature de la BSPP les fourgons d'appui étaient désignés FA.
Les fourgons d'appui servaient exclusivement dans les Centres de secours étant une caserne PC de compagnie. Le fourgon d'appui était généralement intégré au sein du binôme FACA accompagné du camion d'accompagnement
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Juliette Gréco, née le 7 février 1927 à Montpellier (Hérault) et décédée le 23 septembre 2020 à Ramatuelle (Var), est une chanteuse et actrice française.
Figure emblématique de la chanson française à textes avec une carrière s’étalant sur près de sept décennies, elle est notamment célèbre pour avoir été l'interprète d'auteurs tels que Raymond Queneau, Jacques Prévert, Léo Ferré, Boris Vian et Serge Gainsbourg.
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Une baguette de pain ou simplement baguette, parfois appelée baguette de Paris ou pain français (belgicisme et québécisme), mais aussi pain baguette est une variété de pain, reconnaissable à sa forme allongée.
Même si cette forme de pain est emblématique de la France, la baguette est également consommée dans différents pays d'Afrique sub-saharienne, l'Algérie, le Maroc, la Tunisie, le Viêt Nam ou le Cambodge, ce qui s'explique par le passé colonial français de ces régions. « Les savoir-faire artisanaux et la culture de la baguette de pain » sont inscrits à l'inventaire du patrimoine culturel immatériel en France le 23 novembre 2018 et au patrimoine culturel immatériel de l'UNESCO le 30 novembre 2022.
Présentation
Une baguette standard est large d'environ 4 à 6 cm, haute d'environ 3 à 5 cm et longue d'environ 65 cm. Elle pèse environ 250 g.
La mie de la baguette est la partie du pain moelleuse, qui se situe sous la croûte. Elle peut être blanche, grise, avec ou sans céréales. Selon la température de la cuisson, la croûte est plus ou moins foncée et croustillante. La mie reprend sa forme si on la presse, cette reprise de forme étant liée à son élasticité : plus le pourcentage de protéine de la farine est élevé, plus le pain est élastique. La farine utilisée pour le pain a par exemple 12,8 grammes de protéine pour 100 g de farine, alors que beaucoup de farines ont par exemple 8,7 g de protéine (le blé utilisé est plus ou moins riche en protéine).
Le pain laissé plus d’une journée à l'air libre devient sec et donc difficile à manger de façon classique : il peut être trempé pour l'amollir. A l'inverse, un pain dans un environnement humide devient mou et des moisissures se développent. L’idéal est donc que le pain reste dans un air ni trop sec, ni trop humide, et pas trop chaud. Un bon sac (en coton, papier ou plastique avec des trous) permet d’augmenter de quelques jours la durée de conservation du pain.
C'est bien un pain avec 4 g de sel par kg de farine, début 2002, ANSES conseille en dessous de 18 g de sel par kg de farine. En 2017 en boulangerie, le nombre de pains différents avec ajout de sel à la farine est supérieur au nombre de pains sans ajout de sel à la farine. Il est utile de connaître la masse de sel pour 100 g de pain afin de ne pas manger de sel en excès, ce qui est mauvais pour la santé. 100 kg de blé permet d'obtenir 75 kg de farine (2 kg de perte et 23 kg sont les issues[Quoi ?])5[source insuffisante]. Pour la pâte, on ajoute 600 g d'eau à un kilo de farine. 250 g de pain a environ 160 à 170 g de farine ou 111 à 117 g d’amidon.
Dans le monde, la baguette est un des symboles typiques de la France et, plus particulièrement, de Paris. Au même titre que le vin, le béret ou le fromage, elle est devenue un symbole, alors même qu'il existe d'autres variétés de pains en France et que les baguettes se trouvent aujourd'hui dans beaucoup de pays.
La baguette ordinaire, ou pain courant, vendue dans les boulangeries, points chauds ou supermarchés français peut contenir jusqu'à 14 additifs : acide acétique et ses sels (E260, E261, E262, E263), acide lactique et ses sels (E270, E325, E326, E327), acide ascorbique, ses sels et ses esters (E300, E301, E302, E304), lécithine (E322), mono- et diglycérides d'acides gras (E471).
La baguette ordinaire peut donc ne pas convenir aux végétaliens, en raison de la présence éventuelle d'additifs d'origine animale.
Plus épaisse pour une masse de 400 g, elle est alors appelée flûte, ou pain parisien.
Plus fine, jusqu'à 125 g, c'est une ficelle (ou aussi flûte dans certaines régions).
Plus courte, elle est alors appelée demi-baguette, ou déjeunette.
Depuis les années 1980, les meuniers ont mis en place des marques de baguettes pour promouvoir et valoriser leur production de farine. La première de ces marques a été lancée par un groupement de meuniers (UNIMIE) sous le nom de Banette.
Selon le décret 93-1074 du 13 septembre 1993, la baguette « de tradition française » ne peut être fabriquée qu'avec les ingrédients suivants : farine de blé, eau, levure et/ou levain, sel. Trois adjuvants sont autorisés : 2 % de farine de fèves, 0,5 % de farine de soja, 0,3 % de farine de malt de blé (ces pourcentages représentent les proportions maximales autorisées). Par courrier du 19 novembre 1993, la DGCCRF a également accepté l'utilisation de gluten et d'amylases fongiques. Aucune autre substance n'est autorisée. Cette « tradition » est cependant assez récente et ne correspond pas à une tradition documentée à une époque précise. Le pain au levain, aussi défini dans ce décret de 1993, ne contient pas de levure boulangère mais du levain qui fermente naturellement grâce aux ferments sauvages présents dans la farine et dans l’air, ce qui lui donne une texture compacte et un léger goût acide.
Histoire
Aucune étude académique n'a été écrite sur l'histoire de la baguette comme type de pain, une grande partie de son histoire est spéculative. Cependant, certains faits peuvent être établis. Parmi ceux-ci, la popularité croissante des pains longs en forme de bâton en France à partir du xviiie siècle. La forme de ces pains de fantaisie, en baguette de près de deux mètres (!), étonnait déjà les visiteurs en France au xixe siècle. Néanmoins, l’origine précise n'est pas connue.
Le terme « baguette » (dans le sens d'un pain de fantaisie) n'apparaît cependant pas dans la littérature avant le xxe siècle. On voit le terme apparaître dans un brevet d'invention de 1902 où est exposé la fabrication de baguettes ; la « baguette de gruau » est mentionnée dans une prescription de régime en 1910 ; et la baguette fait l'objet d'une réglementation normative par la préfecture du département de la Seine en août 1920 : « La baguette, ayant un poids minimum de 80 g et une longueur maximale de 40 cm, ne pourra être vendue à un prix supérieur à 0 franc 35 centimes pièce ».
De nombreuses légendes urbaines circulent quant à l'origine de la baguette, comme bien souvent avec l'histoire du folklore. On raconte par exemple qu'elle doit son origine aux campagnes napoléoniennes : les pains étaient jusqu'alors ronds pour une meilleure conservation. Cette forme aurait été inventée par les boulangers de Napoléon Ier afin de rendre le pain plus facilement transportable par les soldats, dans une poche des basques à l'arrière de leur habit, et non dans leur pantalon le long de leur jambe comme on l'entend souvent, ce qui aurait gêné le soldat pendant sa journée de marche et aurait probablement bien plus endommagé la baguette.
La baguette se serait développée à Paris dans les années 1920, du fait qu'elle nécessitait un temps de levage et de cuisson moindre que les pains traditionnels.
En effet, ce serait à la suite d'une loi interdisant aux boulangers le travail avant 4 heures du matin, ce qui ne laissait pas le temps de préparer la boule traditionnelle. On manque également de preuves sur cette version.
Une autre théorie veut que ce pain ait été inventé pendant la construction du métro à Paris. En effet, l'ingénieur Fulgence Bienvenüe, qui supervisa la construction du métro, avait des soucis de bagarres dans les galeries entre les ouvriers de différentes origines (notamment Bretons, Auvergnats…). Or, à cette époque, l'ouvrier portait toujours un couteau sur lui, pour couper les tranches des pains, qui étaient de grosses miches rondes. Aussi, il aurait été demandé à un boulanger de créer un pain de forme allongée (pour respecter la masse réglementée d’un pain), qui puisse se couper, se rompre sans couteau, évitant ainsi que ces armes potentielles descendent dans les galeries. D'où, pour certains puristes, le fait de ne jamais couper la baguette au couteau, mais de la rompre à la main. Ainsi aurait été créée la baguette à la fin du xixe siècle. Cette version reste la plus relayée mais est tout autant une légende.
Un article sur le concours de la meilleure baguette de Paris prétend que la baguette a été inventée en 1830 : « La baguette “tradition”, bien qu’inventée en 1830, n’a officiellement été reconnue qu’en 1993 par le fameux “décret pain” du gouvernement Balladur, qui visait à donner un nouvel essor à la boulangerie artisanale alors soumise à la concurrence jugée “déloyale” des grandes surfaces. » Mais aucune autre source ne donne cette date et la baguette « tradition » ne paraît pas correspondre à un pain traditionnel précis.
À propos de toutes ces légendes, l'historien du pain, Steven Kaplan, rappelle chez France culture que la réalité est généralement beaucoup plus pragmatique :
“Ce n’est ni August Zang, ni Napoléon, la baguette est un produit du XXe siècle. C’est une évolution de la demande urbaine. Les gens aisés en ville avaient besoin d’un pain frais plusieurs fois par jour. Le grand pain qui faisait entre 1,2 et 2 kilos était simplement trop gros. Et ils aimaient davantage la croûte que la mie.”
Fabrication en France
Les Français consomment environ 30 millions de baguettes chaque jour, majoritairement produites par les artisans. En 2011, en France, 59,8 % de la farine destinée à la panification est convertie en pain par la boulangerie-pâtisserie artisanale (32 000 entreprises), 32,1 % par la boulangerie-pâtisserie industrielle (270 entreprises), 8,9 % par les ateliers de boulangerie-pâtisserie des grandes surfaces, et seulement 0,1 % par le secteur public (armées notamment).
La baguette est fabriquée à partir de farine, d'eau, de levure et/ou de levain, et de sel. On n'utilise pas d'œuf, de produits laitiers ou d’huile.
Le diagramme de fabrication de la baguette est identique à celui de tout autre pain français ; c'est la masse, et la forme qui est donnée au façonnage à la pâte, qui différencie la baguette d'un pain, d'un bâtard, d'une ficelle ou d'une boule. La farine et l'eau sont souvent préalablement mêlées et laissées reposer pour activer les réactions enzymatiques qui modifient les propriétés physico-chimiques de l'amidon et des protéines de la farine. Cette opération facultative s'appelle une autolyse.
La fabrication d'une pâte boulangère démarre toujours par le frasage : mélange des ingrédients jusqu'à obtention d'une pâte homogène ; puis par le pétrissage : déformation successive de la pâte formée au frasage, permettant la création de liens entre les protéines de la farine, le gluten (gluténines et gliadines, insolubles), la structuration de ce maillage (plus ou moins serré selon l'intensité du pétrissage, ce qui conduit à différentes textures de mie), et l'incorporation d'oxygène. Le pétrissage peut être interrompu puis complété par des rabats (déformation de la pâte après un temps de repos).
Une période de fermentation de la pâte en masse vient ensuite pour permettre la création d'arômes issus de l'activité de levures et/ou de bactéries lactiques (selon l'agent levant utilisé), sur les sucres issus de la dégradation enzymatique de l'amidon et de poursuivre l'action du pétrissage sur les protéines (prise de force). Cette première phase de fermentation s'appelle « pointage » ou « piquage », et sa durée varie en fonction des propriétés de la farine, de la dose des autres ingrédients (notamment agents levants) et de la texture de pain recherchée. Le Pain de tradition française admet des temps de pointage de plusieurs heures (pratiquement inexistante sur des pains très blancs à mie très serrée, pétris intensivement).
Le façonnage est la mise en forme finale du pâton. Il se décompose, pour les baguettes (à la main comme à la machine), en une étape de laminage du pâton, un enroulement, ou plis, puis un allongement. La baguette ainsi formée est déposée sur des couches en tissu, chaque baguette est séparée de l'autre par un pli de la couche. Les baguettes peuvent être placées sur des moules en métal, dans des paniers allongés en osier doublés de tissu (bannetons) ou encore sur des filets (pour la cuisson en four ventilé). La seconde et dernière phase de fermentation, appelée l'« apprêt » ou la « pousse », démarre ici. Elle permet de poursuivre le dégagement de CO2 par les levures, tandis que la structure du pâton peut s'étendre et retenir ces gaz grâce à la qualité du travail précédent. Cette étape peut durer de 20 minutes à plusieurs heures, selon le diagramme utilisé : en règle générale, plus le pétrissage est intense et le pointage court, plus la pousse sera longue, et inversement.
Lorsque les baguettes ont atteint leur volume maximal (au-delà, le pâton s'affaissera), on pratique à sa surface des incisions légères inclinées à 45° avec une lame de rasoir. C'est la « scarification ». Les baguettes sont ensuite enfournées à la pelle ou au tapis enfourneur pour les fours à sole, ou en charriot pour les fours ventilés. Dès que les baguettes sont enfournées, on injecte dans le four de la vapeur d'eau, la buée permettant que la surface des pâtons ne sèche pas immédiatement, et donc que le volume des baguettes augmente sous l'action de l'expansion des gaz à la chaleur, et que les incisions s'ouvrent parfaitement pour créer la grigne (collerette bien détachée). Le temps de cuisson varie de 20 à 30 minutes, selon la masse des baguettes et le degré de cuisson voulu. Les baguettes sont défournées puis placées, sur des grilles pour laisser la vapeur d'eau s'échapper des pains sans en amollir la croûte ; c'est le « ressuage ». C'est la dernière étape de la fabrication d'une baguette, avant sa consommation ou son rassissement qui, de par la forme allongée de ce pain, est plus rapide que pour une boule.
Consommation
La baguette est utilisée pour former des sandwichs de type « sous-marin ».
Elle sert également à former des tartines. En France, il n'est pas rare de tartiner au petit déjeuner un morceau de baguette de pain avec du beurre et de la confiture, voire de tremper la tartine ainsi préparée dans un bol de café ou de chocolat.
On peut également servir une baguette comme accompagnement, typiquement avec du pâté ou du fromage.
D'après des statistiques établies par la FAO en collaboration avec la Fédération mondiale des boulangers, les premiers consommateurs au monde sont les Algériens, avec une consommation estimée à 48 600 000 baguettes par jour. La valeur de ces données serait toutefois à relativiser, compte tenu de l'ampleur prise dans le pays par la fraude sur la masse du pain.
En France, qui est le pays originaire de ce pain, il s'en consomme environ 30 millions par jour.
La baguette est aussi consommée, dans une moindre mesure, au Maroc et en Tunisie.
On trouve son influence dans les anciens pays de l'Indochine française : au Cambodge, on la trouve sous forme de sandwich chaud garni appelée num pang (នំប៉័ង) ; au Laos, on savoure le khao jee pâté et au Vietnam, la baguette a évolué pour donner le bánh mì.
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La Coupe du monde de rugby à XV 2023 a lieu en France du 8 septembre au 28 octobre 2023. Le comité d'organisation et World Rugby ont ajouté une semaine supplémentaire afin « d'augmenter le nombre de jours de repos pour les joueurs ».
C'est la dixième édition de cette compétition disputée tous les quatre ans depuis 1987. La France organise la Coupe du monde pour la seconde fois, après celle de 2007. C'est également la quatrième édition avec des matchs disputés en France après celles de 1991 et de 1999, respectivement organisées par l'Angleterre et le Pays de Galles.
Cette édition est marquée par la toute première participation de l'équipe du Chili, qui devient ainsi la troisième nation sud-américaine à se qualifier pour une phase finale de coupe du monde.
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
https://fr.wikipedia.org/wiki/Coupe_du_monde_de_rugby_%C3%A0_XV_2023 | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
Coupe du monde de rugby à XV 2023 | |||||||||||||||||||||||||||
Équipe de France de rugby à XV à la Coupe du monde 2023 | |||||||||||||||||||||||||||
Coupe du monde de rugby : France - All Blacks (27-13) | |||||||||||||||||||||||||||
Coupe du monde de rugby : France - Uruguay (27-12) | |||||||||||||||||||||||||||
Coupe du monde de rugby : France - Namibie (96-0) | |||||||||||||||||||||||||||
Rugby (sport) | |||||||||||||||||||||||||||
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136 mètres gagnés en 15 courses ballon en mains, 8 défenseurs battus, 7 franchissements et 3 essais : Damian Penaud a survolé les débats contre la Namibie. Photo Sipa/Neal SIMPSON
Record de points pour le XV de France, record d’essais pour Damian Penaud, festival offensif, mais également grosse performance en défense avec 0 point encaissé, les chiffres du succès français sur la Namibie mettent en exergue l’énorme performance réalisée par le XV de France et le sérieux des joueurs français qui ont construit leur victoire (96-0) face à de faibles adversaires.
Le nombre de mètres gagnés ballon en mains par les attaquants français. C’est deux fois plus que les Namibiens (403 mètres). C’est l’une des meilleures performances sous l’ère Galthié. Côté Français, les deux ailiers ont pu bénéficier de beaucoup d’espaces pour se montrer les plus tranchants : Damian Penaud (136 mètres) et Louis Bieille-Biarrey (120 mètres). Ils devancent un avant, Charles Ollivon (98 mètres).
Le nombre de passes réussies par les Français. Meneur de jeu du XV de France, Antoine Dupont en a réalisé 27 en 45 minutes. Il devance Thomas Ramos, l’arrière qui l’a remplacé à l’ouverture (21 passes). A noter les 60 passes réalisées par le demi de mêlée namibien Theron.
124
Le nombre de courses des Bleus. C’est l’ailier Damian Penaud qui, comme souvent, en a réalisé le plus (15). Il devance Antoine Dupont et Thomas Ramos (14). En revanche, le pilier Cyril Baille, pourtant généreux au soutien d’ordinaire, n’a touché qu’un maigre ballon.
Le nombre de points marqués par le XV de France face à la Namibie. Cette victoire (96-0) est la plus large de son histoire. Le précédent record datait de 2007, déjà contre la Namibie (87-10).
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