Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
23.12.2024
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
La balle aux prisonniers, également appelé ballon prisonnier, balle au camp, balle-chasseur ou encore ballon-chasseur, est un jeu sportif qui se joue en deux équipes, avec un ballon rebondissant, généralement dans une collectivité comme une école ou un centre de loisirs. Le terrain est partagé en quatre parties contiguës : les camps des deux équipes et leur prison. Le but du jeu est d'éliminer tous les joueurs adverses, en les touchant avec le ballon. En France, ce jeu est très populaire dans les cours de récréation des écoles. Il peut aussi faire l'objet d'une pratique sportive plus rigoureuse : le dodgeball.
La zone de jeu est divisée en deux camps, un par équipe, et chaque camp est divisé en deux parties. Les deux zones centrales sont les zones libres de chaque équipe. Enfin, les deux zones situées les plus à l'extérieur de la zone de jeu, sont les prisons.
Le but du jeu est de faire prisonniers tous les membres de l'équipe adverse. Un joueur est fait prisonnier lorsque le ballon, envoyé par un joueur de l'équipe adverse, le touche et retombe ensuite sur le sol. Si le ballon ne touche pas le sol, maîtrisé par le joueur ou un de ses coéquipiers, il n'est pas prisonnier. Si le ballon parvient à toucher plusieurs joueurs et retombe au sol, tous les joueurs touchés sont constitués prisonniers.
Un joueur prisonnier se déplace dans la prison du camp adverse avec le ballon. Une fois dans la prison, il est libéré s'il arrive à toucher un ou plusieurs joueurs adverses (sans sortir de la prison) et rejoint alors la zone libre de son camp.
Le possesseur du ballon en zone libre doit se déplacer.
Lorsque le ballon sort du terrain, il est remis en jeu à partir de la prison de la zone d'où le ballon en est sorti.
Les joueurs peuvent se faire des passes, de n'importe quelle zone vers n'importe quelle zone, y compris la même que celle du passeur.
Le dernier joueur éliminé a le droit à plusieurs essais (généralement quatre ou trois selon le niveau du joueur) pour essayer de se délivrer. Chaque joueur en prison peut tenter sa chance, jusqu'à ce qu'un des joueurs se libère.
Les prisonniers ont le droit de circuler en périphérie du terrain de l'adversaire sans y entrer.
Les balles qui sont sorties du terrain de l'adversaire sont pour les prisonniers.
Dodgeball
Le dodgeball est la variante sportive de la balle aux prisonniers. Il n'y a plus de prisons mais une zone de retour des joueurs à l'extérieur du terrain pour les joueurs éliminés en cours de partie. Ces mêmes joueurs pourront refaire partie du jeu à la suite d'une réception de volée d'un de leurs partenaires.
Le dodgeball rassemble des millions de joueurs à travers le monde répartis surtout dans les pays anglo-saxons. En Europe, la Fédération européenne de dodgeball rassemble les fédérations nationales européennes existantes afin d'organiser ce sport en Europe. Au niveau national français, par exemple, c'est la Fédération du dodgeball français qui assure ce rôle.
La Fédération du dodgeball français existe depuis le 1er avril 2013
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L'antenne fouet est constituée d'un brin accordé rayonnant flexible, le plus souvent placé verticalement pour la réception classique ou à l'émission amateur et professionnelle dans le spectre allant jusqu'à 2 000 MHz. Se composant d'une embase horizontale, parfois magnétique, elle est largement utilisée en C-B (27 MHz) mobile et autres radio-téléphones. Sa longueur équivaut souvent au quart, voire au demi d'une longueur d'onde entière. Pour les longueurs d'onde les plus importantes, comme pour la CB (11 m), elle peut être raccourcie par un complément de bobinage.
Télévision
Il existe une version dédiée à la télévision (TNT) sur UHF, pouvant incorporer un préamplificateur d'antenne, qui peut être utilisée en antenne d'intérieur ou en extérieur. Sa hauteur/longueur est < 15 cm. Pour la réception de la TNT française, le brin doit être horizontal puisque la polarisation est H, sauf à 2 exceptions près. Le gain d'antenne est proche de 0 dBd, voire négatif. La directivité est de type omnidirectionnel (360°) en mode Vertical et de type bidirectionnel en mode Horizontal, c’est-à-dire quand la tige est placée perpendiculairement à l'axe des signaux.
Téléphones et Wi-Fi
Les antennes fouets sont parfois intégrées dans les portables (téléphonie) 900 et 1 800 MHz, tout comme elles peuvent être montées sur le pavillon (idéal au centre) des carrosseries des véhicules pour bénéficier du meilleur rendement. Idem pour les autres applications.
En Wi-Fi, la partie active de l'antenne fouet (genre de stylo) ne mesure que 2,5 cm.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Antenne_fouet
L'épidémie du Covid-19 a fait chuter le nombre de milliardaires, tout comme leur fortune, ces dernières semaines. Une tendance qui devrait s'accentuer, alors que les économistes prédisent que l'année 2020 connaîtra de violentes récessions économiques dans nombre de pays.
La violence de la crise économique liée à la pandémie de Covid-19 n'épargne personne dans les milieux économiques. Pas même les milliardaires, qui conservent toutefois un généreux matelas pour affronter la tempête. Le classement annuel des personnalités les plus riches de la planète publié mardi par « Forbes » montre ainsi, en la matière, des effets déjà spectaculaires.
Le 18 mars, lorsqu'il a finalisé son classement, le magazine américain dénombrait 2.095 milliardaires dans le monde, soit 226 de moins que le 6 mars. Environ la moitié (51 % exactement) des milliardaires ont vu leur fortune reculer entre 2019 et 2020. En cumulé, la fortune des super riches a fondu de 700 milliards de dollars, pour atteindre 8 billions de dollars, selon les calculs de « Forbes ».
La liste des milliardaires déchus devrait s'allonger puisque, entre-temps, plusieurs grands pays (Inde et Royaume-Uni, notamment) ont ordonné un confinement strict. Résultat : nombre d'entreprises ont connu un coup de frein spectaculaire et les Bourses ont continué à plonger de façon vertigineuse. Plusieurs grands groupes ont également renoncé à verser des dividendes à leurs actionnaires .
Malgré cette crise inédite, le classement réserve cependant peu de surprises. Jeff Bezos, le patron et fondateur d'Amazon, reste l'homme le plus riche du monde pour la troisième année consécutive, avec 113 milliards de dollars. Après avoir annoncé la séparation d'avec MacKenzie Bezos, celle-ci était restée actionnaire minoritaire du géant du e-commerce à hauteur de 4 %. Une participation valorisée 36 milliards de dollars à l'époque, qui lui vaut désormais d'être la 22e personne la plus fortunée au monde.
Le fondateur de Microsoft, Bill Gates est, en en deuxième position du classement, avec 102 milliards de dollars. Le Français Bernard Arnault, patron du groupe de luxe LVMH (propriétaire du Groupe Les Echos Le Parisien), complète le podium, avec une fortune de 90 milliards. Autres Français dans les trente premiers : Françoise Bettencourt Meyers, héritière du groupe L'Oréal, en quatorzième position (avec 51,8 milliards), et François Pinault (Kering), 26e avec 34,1 milliards.
Parmi les personnes célèbres ayant quitté le classement, figure Adam Neumann , dont l'entreprise, WeWork, a explosé en vol l'an dernier au moment de son introduction en Bourse ratée. Eric S. Yuan, le patron de Zoom, une start-up de visioconférence dont la cote de popularité a explosé depuis le début de l'épidémie, fait en revanche son apparition.
Au total, selon le classement par pays, les Etats-Unis comptent le plus de milliardaires (614) au monde, devant la Chine (456). En matière de répartition femmes-hommes, le classement demeure très masculin : les femmes ne représentent qu'un peu plus de 10 % des plus grandes fortunes de la planète.
Adrien Lelièvre
La Chronologie du télégraphe montre l'apparition et le développement des technologies des lignes de télégraphe à travers le monde. Les principales avancées se déroulèrent au cours du XIXe siècle. Elles modèlent en profondeur l'histoire de la presse écrite sur cette période. À cette époque furent inventées les principales techniques qui sont les fondations des moyens de télécommunications modernes (duplex, multiplexages, système binaire, débit, commutateur, etc). À partir de 1861, l'Europe est reliée à la Californie, et en 1871 à Hong-Kong et à l'Australie.
Précurseurs
26 avril 1793 : rapport enthousiaste de Joseph Lakanal à la tribune de la Convention : « Voilà l'invention que la Révolution attendait. Quelle meilleure réponse apporter à ceux qui pensaient que la France est trop étendue pour former une seule République".
1794 : réalisation de la 1re ligne de télégraphe Chappe, Lille-Paris, suivie par une 2e vers Metz.
1796 : Augustin Bétancourt et Abraham Breguet expérimentent à Meudon le télégraphe à aiguille.
1796 : George Murray (évêque de St David's) lance le premier télégraphe optique de Grande-Bretagne, de Londres à Deal, au succès immédiat.
1797: ils proposent une variante, le télégraphe en T.
1797: Madrid étudie le projet de Télégraphe optique espagnol (Madrid - Cadiz)
1798: Chappe propose de créer une agence de presse.
1798: 3e ligne Chappe, de Paris à Brest.
1799: 4e ligne Chappe, de Paris à Lyon.
1805: le succès du télégraphe optique s'estompe, Bonaparte réduit les crédits aloués à leur construction et entretien. Claude Chappe ne supporte pas ce désaveu et se jette dans un puits en 1805 à l'âge de 42 ans.
1805: la ligne Chappe, de Paris à Lyon, continuée jusqu'à Turin et Milan
28 mai 1809: Bonaparte prolonge la ligne de Bruxelles vers Anvers, puis en 1810 vers Amsterdam.
1er mars 1815: débarquement de Napoléon au Golfe Juan, Paris ne l'apprend que le 5 mars 1815, pour cause de brume. Napoléon avancer presque jusqu'à Grenoble, le 7 mars.
septembre 1822 : la liaison Paris-Bordeaux-Bayonne décidée car perspectives de guerre avec l'Espagne, suite au soulèvement. Les Chappe l'obtiennent après une tentative du contre Amiral de Saint Haouen d’en obtenir la réalisation.
1830 : Révolution de juillet, les frères Chappe écartés de leur entreprise. Pierre-François Marchal la reprend pour l'État.
décembre 1830: un mémorandum à l'État-major prussien projette l'édification du télégraphe optique prussien.
1831: la Chambre de commerce de Paris et les courtiers en assurances tentent sans succès, d'établir un lieu unique d’information certifié, bannissant les autres sources écrites de l’intérieur de la Bourse.
janvier 1831: Alexandre Ferrier, domicilié au 1 Place de la Bourse à Paris, prévoit une ligne commerciale entre Calais et Londres. Alphonse Foy, le directeur du télégraphe Chappe s'y oppose.
31 mai 1831: Alphonse Foy remplace Pierre-François Marchal à la Direction du Service Télégraphique.
24 août 1831: lettre d'Alphonse Foy au président du conseil, promettant sous peu un mémoire sur "la possibilité de se servir des télégraphes d'État pour faciliter les services commerciaux et privés".
24 janvier 1832: Alexandre Ferrier crée l'"Entreprise générale des télégraphes publics de jour et de nuit"pour une liaison Paris-Rouen
21 juillet 1832: la construction du télégraphe optique prussien est finalement ordonnée.
1832 : Michel Blanc (financier), gérant de la compagnie des Ponts suspendus de Lyon, lance avec son frère Joseph une ligne Paris-Lyon, qui transmet une fois par jour, vers 16 heures, pour des investisseurs financiers.
1833 : Claude Ferrier exploite une ligne financière et commerciale Paris-Rouen à l'aide d'un télégraphe optique à 5 voyants. Alphonse Foy s'y oppose aussi.
1832 : François Blanc s'installe à Bordeaux à la tête d'une société de placement qui mise sur la hausse ou la baisse des valeurs de la bourse de Bordeaux, en utilisant le télégraphe Chappe, avec la complicité des fonctionnaires chargés de son fonctionnement, pour connaitre avant les autres les variations des cours de la Bourse de Paris.
6 mai 1834: un arrêté confie à la Chambre de commerce de Paris le monopole de l'affichage, public et privé, à la Bourse.
22 octobre 1835 : Charles-Louis Havas transforme son bureau de traduction en "Agence des Feuilles Politiques - Correspondance Générale".
1837 : Jean-Claude Fulchiron, député du Rhône déclare que les télégraphes privés ne servent qu'à "établir brigandage pour voler ceux qui ne savent pas les nouvelles de Bourse"
De 1836 à 1845, la décennie du tâtonnement
1836 : plusieurs spéculations boursières, dont celles des frères jumeaux Louis et François Blanc, utilisant des télégraphies Chappe clandestines sont démantelées.
14 mars 1837: les frères Blanc sont acquittés par la cour d'assises de Tours au motif qu'il n'existe pas de loi interdisant de recevoir télégraphiquement des informations.
2 mai 1837: promulgation de la loi française sur le monopole d'État sur le télégraphe optique.
1837 : Charles Wheatstone fait la démonstration en juillet 1837, au nord de Londres, de la première liaison télégraphique électrique filaire (2 km).
1838 : le premier télégraphe électrique commercial est construit par Charles Wheatstone entre Londres et Birmingham.
28 septembre 1838 : Samuel Morse dépose une demande de brevet pour le télégraphe électrique.
1839: seconde ligne du télégraphe optique russe. La première, très courte, datait de février 1834.
1842 : Samuel Morse déploie une ligne télégraphique sous-marine reliant l'île de Manhattan à Brooklyn et au New Jersey, en association avec Samuel Colt.
1843 : Après des démarches opiniâtres, Samuel Morse réussit à obtenir du Congrès une aide de 30 000 dollars pour établir une ligne télégraphique entre Baltimore (Maryland) et Washington (DC).
1845 à 1855, la décennie du déploiement
1845 : le scientifique écossais Henry O'Rielly fonde l'une des deux premières compagnies américaines de télégraphe, la "Henry O'Rielly Contract and Co", à Philadelphie
1845 : fondation de la Magnetic Telegraph company, de l’ex-ministre des postes Amos Kendall, associé à Samuel Morse
1846 : Charles Wheatstone simplifie son télégraphe qui fonctionne avec deux aiguilles
1846 : création de la première compagnie de télégraphe anglaise l'Electric Telegraph Company, qui devient l'Electric and International Telegraph Company.
1847 : la liaison Paris-Bordeaux-Bayonne prolongée jusqu'à Madrid.
1848 : le scientifique écossais Alexander Bain depose un brevet sur un autre type de télégraphe, utilisé par Henry O'Rielly
1848 : création officielle de l’agence Associated Press sous le nom d’Harbor Associated Press
1848 : le New York Télégraph Act vise à insuffler de la concurrence et reconnait la mission d'intérêt général de la presse.
Février 1849 : le télégraphe arrive au Nouveau-Brunswick, création du Pony express de Nouvelle-Écosse entre Halifax et Saint John.
Novembre 1849 : le télégraphe arrive à Halifax (Nouvelle-Écosse), premier terminal des navires à vapeurs de la Cunard Line
1850 : Julius Wilhelm Gintl invente un système télégraphique à écriture électro-chimique
1851 : les États-Unis comptent 50 compagnies de télégraphe différentes
Novembre 1851 : pose du premier câble transmanche, création de l’agence Reuters à Londres
Décembre 1851 : premières statistiques, constatant que 38 % des dépêches concernent la bourse et 28 % le commerce, soit 2/3 des dépêches, l’État n’en représentant que 9 %.
En 1853, M Gintl, fonctionnaire du service de télégraphie autrichien arrive à faire circuler des dépêches en mode duplex (dans les deux sens simultanément)
10 juin 1853 : Napoléon III accorde une seconde concession aux frères Brett. Ils relient la Corse et l'Algérie à la France.
1853 : une rubrique « dépêches télégraphique » apparaît dans les quotidiens français
1854 : le réseau télégraphique français long de 9 200 kilomètres, Paris relié à Bruxelles, Vienne et Madrid
1854 : plus de 120 journaux de province anglais abonnés aux services télégraphiques de presse
1854 : Hiram Sibley recapitalise la Western Union, impulse un programme de construction et d’acquisition, en particulier dans le Midwest, et rachète les droits de Cornwell, ex-associé de Samuel Morse.
1855 à 1870, quinze années de réformes institutionnelles
1855 : Cyrus Field fonde l'American Telegraph Company, qui deviendra la seconde compagnie américaine du secteur par la taille, derrière la Western Union;
1855 : la suppression d'une taxe sur les timbres en Angleterre permet l'émergence d'une Penny Press;
1855 : le télégraphe imprimeur (téléscripteur), inventé par David Edward Hughes;
7 juillet 1857 : accord de non-concurrence entre six jeune compagnies de l'Ouest, menées par celle d'Hiram Sibley, qui se promettent d'acheter pour un total de 56 000 dollars d'équipements de David Edward Hughes.
Novembre 1857 : Havas s’associe à Fauchey, Laffite Bullier qui a la régie pub de nombreux périodiques;
5 août 1858 : premier câble transatlantique, mais un message de 100 mots dure 67 minutes, câble brûlé après 20 jours;
Janvier 1859 : accord exclusif et réciproque d’Havas avec Reuters et Wolff pour les nouvelles étrangères;
12 octobre 1859 : accord général de non-concurrence en Amérique, qui prévoit le rachat des lignes de F.O.J. Smith, et réserve à Amos Kendall certaines lignes à fort trafic;
1860: le président américain James Buchanan signe le « Pacific Telegraph Act », qui lance un appel d’offres pour une ligne transpacifique, terminée en 1866. Il autorise aussi Hiram Sibley, président de la Western Union à déployer le premier câble transcontinental américain;
1861 : fondation du journal Le Temps, a des correspondants dès 1864 à Londres, Bruxelles, Naples et en Allemagne;
1861 : Guerre de Sécession, le gouvernement américain utilise le réseau de la New-York Associated Press;
1862 : création de la Western Associated Press, par des journaux mal informés sur la guerre;
novembre 1863 : ouverture à New-York d'un Evening Exchange permettant de spéculer jusqu'à minuit sur les victoires militaires pendant la Guerre de Sécession, par Robert H. Gallaher, de l'Open Board of Stock Brokers;
1864 : Western Union rachète l’American Telegraph Company et l’U.S. Telegraph Company;
1865 : fin de la Guerre de Sécession les nouvelles traversent l’Atlantique par bateau;
1865 : scoop de l’agence Reuters sur l’assassinat d’Abraham Lincoln;
1865 : Reuters entre en Bourse avec un capital de 250 000 livres sterling;
1865 : Création de l'Union internationale du télégraphe (UIT);
1865 : en Angleterre, les dépêches transmises de 19 h à 7 h facturées moitié prix par le télégraphe;
1866 : pose du premier câble télégraphique transatlantique opérationnel entre l'île de Terre-Neuve (Canada) et l'Irlande ;
fin 1866 : Samuel Spahr Laws a déjà 50 clients pour sa première version du Stock Ticker;
1867 : le Stock Ticker refusé par le le London Stock Exchange;
1868 : mécontentement contre les compagnies anglaises de télégraphie qui entraîne la création de la Press Association;
août 1869 : fusion des sociétés de Samuel Spahr Laws et Edward Calahan pour le Stock Ticker;
1869 : création de la Grande Société Télégraphique du Nord, entreprise danoise qui, jusqu'à la révolution d'Octobre, développe le réseau télégraphique de l'Empire russe;
1869 : Telegraph Act de 1869 instituant des tarifs attractifs pour les agences de presse, les compagnies anglaises de télégraphie sont toutes nationalisées;
1869 : l'agence de presse Comtelburo fondée par le journaliste John Jones;
1869 : la Belgique a les tarifs les plus bas au monde, la moitié du trafic pour la Bourse, 13 % pour les affaires privées, 2 % pour le gouvernement et 3 % pour les médias, grâce à un système bien géré et solide techniquement;
1869 : premier câble sous-marin reliant Brest, Saint-Pierre et Cape Cod, près de Boston, aux États-Unis, commandé par la Société du Câble Transatlantique Français;
1870 : à la demande du gouvernement britannique, Bombay est relié à Londres par un câble sous-marin
Janvier 1870 : création en France du Syndicat de la presse départementale;
En 1870, la Western Union met en œuvre le système duplex à Buffalo;
1872 : le Stock Ticker refusé par le le London Stock Exchange;
1871 à 1884, treize années de généralisation
1873 : la Société du Câble Transatlantique Français rachetée par la Western Union
1874 : création de l'Agence de presse Fournier pour la finance
1875 : le réseau télégraphique français est long de 51 600 kilomètres
1875, le prix d'un mot pour le Brésil s'élève à 40 francs et le trafic ne dépasse pas 200 mots certains mois
Juin 1871 : la Grande-Bretagne est reliée à Hong Kong et, un an plus tard, à l'Australie.
mars 1872 : fondation de The Exchange Telegraph Company, agence de presse et compagnie de télégraphe
1876 : Walter P. Phillips, opérateur de télégraphe américain créé le « Code Phillips », un procédé de sténo-télégraphie adopté en 1883 par la société « Mutual Union Telegraph »
1877 : Émile Baudot imagine un nouveau système électromécanique d'envoi et de réception des signaux télégraphiques (voir code Baudot). Ce système permet de multiplier la quantité d'informations circulant sur une ligne par rapport au système multiplexe de Meyer. Par la suite, cela donna le nom à l'unité de mesure du « baud ».
1877 : les réseaux télégraphiques britanniques ont une longueur de 103 068 km sur les 118 507 km du réseau mondial. En tout, 43 câbles arrivent en France.
1878 : le Petit Lyonnais tire à 120 000 exemplaires face à 5 concurrents, témoigne du succès de la Petite presse
1878 : Lois sur le télégraphe de 1878 fin du monopole d’État en France, tarif réduit pour les dépêches transmises de 16h à 10h par le télégraphe
1878 : suppression d'une taxe-timbre sur les journaux en France
1879 : fondation de la Compagnie française du télégraphe de Paris à New-York par Augustin Pouyer-Quertier
1879 ou 1881 : fondation de la Commercial Cable Company par John William Mackay et James Gordon Bennett
1884 : le réseau télégraphique français est long de 81 618 kilomètres
1885 : la Western African Telegraph Company obtient la concession vers l’Afrique de l'Ouest
1884 : quinze fils spéciaux posés, sur 8 800 kilomètres, les journaux paient 100 francs le kilomètres, 700 s’il est souterrain. Sur 86 départements, 33 n’ont pas de fil, 33 n’en ont qu’un, les 20 autres croulent sous le trafic.
1884 : Le Matin créé à Paris, pour du « nouveau journalisme » à l'américaine
1884 : Jules Chapon crée une rédaction parisienne pour La Petite Gironde.
1885 : ce bureau devient l'Agence télégraphique républicaine.
1903 : premier câble télégraphique trans-pacifique, reliant les États-Unis à Hawaï et aux Philippines
1903 : pose d'une liaison Canada, Australie, Nouvelle-Zélande, Fidji.
Années 2000 : Fin du service
France, 2018 : L’opérateur Orange a envoyé le dernier télégramme le lundi 30 avril 2018 à 23h59
https://fr.wikipedia.org/wiki/Chronologie_du_t%C3%A9l%C3%A9graphe
Le phaéton est une automobile découverte équipée de fauteuils à dossier haut protégeant les passagers arrière. Avec deux rangées de sièges, on parlera de double phaéton, avec trois, de triple phaéton.
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Vis-à-vis De Dion-Bouton.
En automobile, un vis-à-vis est une voiturette comportant deux banquettes placées face à face.
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Une camionnette, ou fourgonnette, est un véhicule de transport automobile principalement destiné aux marchandises. On emploie aussi le terme de « véhicule utilitaire léger ».
Selon la législation française, une camionnette est un véhicule à moteur ayant au moins quatre roues, à l'exclusion des quadricycles à moteur, destiné au transport de marchandises et dont le poids total autorisé en charge n'excède pas 3,5 tonnes
Terminologie
Au sens originel du mot, il s'agit d'un « petit camion » (c'est-à-dire d'un plateau à ciel ouvert, muni de ridelles ou d'une benne, et souvent couvert d'une bâche sur arceaux). En France, les Peugeot 203, 204, 403 et 404 camionnettes, omniprésentes jusque dans les années 1970, en sont des exemples. Ces véhicules sont devenus assez rares. Les Québécois, pour leur part, ont conservé l'usage du terme camionnette.
Aujourd'hui, en France, dans le langage courant, le terme « camionnette » désigne ce qui était appelé autrefois « fourgonnette », c'est-à-dire un petit fourgon, qui est une « voiture longue et couverte pour le transport des bagages ou des bestiaux ». Il s'agit presque toujours d'un véhicule utilitaire entièrement fermé, tôlé, muni de portes, et parfois de quelques vitres latérales comme les fourgonnettes Citroën 2CV AU/AZU et Renault 4 F4 et F6. Pour les camionnettes de taille moyenne (PTAC de l'ordre de 2,8 t, type Citroën Jumpy, Renault Kangoo, Fiat Scudo, Peugeot Expert…) on utilisait le terme générique « estafette », désignant, à l'origine, un service de messagerie hippomobile ; Renault utilise ce mot, en 1959, comme dénomination commerciale de son Estafette, fourgonnette qui connaît un grand succès commercial, faisant passer le mot dans le langage courant.
Une fourgonnette dont les flancs de l'espace de chargement s'ouvrent largement et se ferment par une toile s'appelle une « boulangère ». Très prisée en France entre 1914 et 1945, ce type de carrosserie a aujourd'hui disparu du marché. Une des dernières carrosseries boulangères françaises de grande série est la Renault Colorale.
Taille
En France, une camionnette est normalisée par les constructeurs et classée par taille ou par gabarit. Leur gabarit est mesurable en « unités » qui ont des valeurs non de mesure mais de format ou de comparaison. Ces valeurs identifient donc la longueur, L, et la hauteur, H, de la partie utile du véhicule. Ces informations sont disponibles dans les catalogues des fabricants. Les principaux format de camionnette sont :
L1H1 (petit utilitaire) : transport de passagers ou de petit matériel
L2H1 (utilitaire classique) : transport de passagers ou de petit matériel
L2H2 (utilitaire classique, légèrement plus haut) : transport de passagers ou de matériel, aménageable en camping-car
L2H3 (utilitaire classique, mais dont la hauteur sous plafond est beaucoup plus haute) : gros matériel, transport de matériaux, aménageable en camping-car
L3H2 (utilitaire rallongé) : livraison, transport de matériel volumineux et matériaux, aménageable en camping-car
L4H3 (longue camionnette, châssis renforcé) : livraison, transport de matériel volumineux solidaire du véhicule, matériaux, aménageable en camping-car.
Certains formats personnalisés sont disponibles chez des constructeurs spécifiques
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De Dion-Bouton type K1, un tonneau automobile.
Un tonneau est un type de carrosserie automobile issu de la voiture hippomobile du même nom. Il comporte une banquette avant et un espace arrière fermé latéralement qui comprend deux sièges dont l'accès se fait par la porte arrière. Lorsque les sièges sont remplacés par des bancs longitudinaux, le tonneau est appelé break.
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