Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
23.12.2024
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Un porte-savon est un accessoire destiné à supporter un savon en bloc (pain, cube, formes ovalisées...). Le porte-savon est pourvu d'un système d’égouttage, qui évite au savon de fondre trop rapidement.
Placé dans une salle de bains ou dans des toilettes ou dans une cuisine à proximité d'un lavabo ou d'un évier, il peut être inclus dans la forme d'un lavabo, placé comme objet sur une tablette ou fixé au mur par des vis et cheville.
Les porte-savons sont généralement fabriqués en porcelaine sanitaire, en acier ou en matière synthétique.
Le porte-savon est un accessoire ingénieux qui trouve sa place dans divers espaces tels que les salles de bains, les toilettes et les cuisines, à proximité des lavabos, éviers et robinets. Son rôle principal est de fournir un support pratique et esthétique pour les savons en bloc tels que les pains, cubes ou formes ovalisées.
Doté d'un design fonctionnel, le porte-savon est conçu pour permettre à l'eau excédentaire de s'écouler, empêchant ainsi le savon de fondre prématurément et prolongeant ainsi sa durée de vie. Cela en fait un accessoire à la fois économique et respectueux de l'environnement, car il réduit le gaspillage de savon.
Les possibilités d'installation du porte-savon sont variées. Il peut être intégré discrètement dans la forme d'un lavabo, posé sur une tablette ou fixé au mur à l'aide de vis et de chevilles pour un aspect plus moderne et organisé. Cette polyvalence en termes d'installation permet aux utilisateurs de l'adapter facilement à leur espace et à leurs préférences esthétiques.
Les matériaux de fabrication du porte-savon varient en fonction des besoins et des préférences des consommateurs. Les modèles traditionnels sont souvent fabriqués en porcelaine sanitaire, offrant une touche de sophistication et de durabilité. Les versions modernes peuvent être conçues à partir d'acier inoxydable pour un aspect résistant à la corrosion, ou en matières synthétiques pour leur légèreté et leur facilité d'entretien.
En somme, le porte-savon est bien plus qu'un simple accessoire pratique ; c'est un élément fonctionnel et décoratif qui contribue à l'organisation de l'espace et au maintien de l'hygiène personnelle. Son rôle dans la prolongation de la vie utile du savon en fait un choix intelligent pour ceux qui recherchent une approche durable et économique de leur routine de toilette quotidienne.
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Un tricycle est un véhicule à trois roues. Il peut être non motorisé et actionné par la force humaine, de type vélocipède, ou motorisé par un moteur thermique ou électrique.
Non motorisé
On distingue :
Le tricycle classique, où on est assis sur une selle, adapté aux jeunes enfants ou aux personnes présentant un trouble de l'équilibre ;
le tricycle michaudine avec pédalage directement sur la roue avant (pour les plus jeunes) ;
le tricycle utilitaire, ou triporteur, qui fait partie de la famille des vélo cargos, pour transporter du fret (livraisons ou petits déménagements en ville) ou des personnes ;
le tricycle couché, souvent appelé trike, est un vélo couché à trois roues, très bas. Il est apprécié pour sa position aérodynamique (faible surface frontale). Certains sont carrossés et sont appelés vélomobiles. Le Whike quant à lui comporte une voile ;
le vélocimane ou handcycle, utilisé en cyclisme handisport, se rapproche du tricycle couché mais recourt à un pédalage manuel.
Certains tricycles peuvent bénéficier d'une assistance électrique au pédalage.
Ce type est appelé Y ou têtard.
Les triporteurs européens sont de ce type.
Ce type est appelé delta.
Les triporteurs asiatiques sont généralement de ce type.
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Historique
Il a été utilisé à partir des années 1940 et est arrivé en Europe à la suite de la Seconde Guerre mondiale pour reconstruire les habitations dévastées.
Dans les années 1880 : aux États-Unis, un « bull-dose », ou dose pour un taureau, était une large et efficace dose de médicament ou de mesures punitives.
1886 : le mot « bulldozer » désignait un pistolet de large calibre et la personne qui le portait.
Plus tard : le mot s'applique au véhicule.
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Le bulldozer est un tracteur à chenilles (et plus rarement sur pneus) muni d'une lame frontale permettant de déplacer des matériaux. L'outil de terrassement est une lame profilée portée par deux bras articulés qu'un mécanisme hydraulique permet de rabaisser ou de relever. Il est principalement utilisé pour les chantiers de constructions et est souvent accompagné d'une pelleteuse.
Si la lame est en position basse, l'engin fait un terrassement par raclage avec une profondeur de coupe de 20 à 30 cm. En mettant la lame en position intermédiaire, on peut régler des tas de déblais en couches d'épaisseur de 20 à 30 cm également. La position haute est une position de transport.
Dans certains engins, la lame est inclinable par pivotement autour d'articulations horizontales. Ce mouvement est commandé par des bras poussoirs hydrauliques.
La puissance de l'engin est caractérisée par celle du tracteur et varie de 25 à 1 000 ch pour un poids de 5 à 100 t. La longueur de la lame est proportionnelle à la largeur de la machine, elle varie de 1,80 à 6,00 m.
Dans certains bulldozers, la lame est également orientable dans le sens de la marche de l'appareil. Ces engins sont appelés les angledozers ou bouteurs biais. Cet appareil a la possibilité d'aplanir des tas de déblais en les rejetant sur le côté.
Généralement, les bulldozers sont équipés d'un dispositif de ripage monté à l'arrière de la machine. Il peut être à soc unique ou à plusieurs socs. Le nombre de socs à adopter résulte de l'analyse du sol à traiter : dans un terrain où la pénétration des dents est facile, il y a intérêt à augmenter le nombre de dents. Pour les terrains très durs et compacts, il est généralement indiqué d'utiliser un seul soc avec le choix d'une machine puissante.
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Un bulldozer (ou bouteur, en français du Canada, selon la recommandation officielle ; en France, la recommandation de 1986 a été retirée du Répertoire terminologique de la Commission générale de terminologie et de néologie dans son édition de 2000, ce terme n’ayant pas réussi à s’imposer) est un tracteur à chenilles, chaînes ou pneus équipé d'au moins une lame orientable et servant à pousser des matériaux ou à démolir.
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Constructeurs
Ammann Group
Atlas Weyhausen (de)
Bobcat
Case IH
Caterpillar
CNH Global
Doosan
Fiat-Allis
Fiat-Hitachi
HEPCO
Hitachi
Hydromac
Hyundai
JCB
John Deere
Kobelco
Komatsu
Kubota
Liebherr
LiuGong
Mécalac
New Holland Construction
Orenstein & Koppel (O&K)
Poclain
Sany
Sennebogen
SIMIT SpA
Takeuchi
Terex
Volvo
Wacker Neuson
XCMG
Yanmar
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La pelle mécanique hydraulique est un engin de chantier également connu sous le nom de pelle hydraulique, pelleteuse ou excavatrice. Quand elle est de petite taille, on parle de minipelle, de midipelle ou encore de micropelle.
Ce matériel ne doit pas être confondu avec une tractopelle qui est l'association d'une pelle hydraulique et d'un chargeur sur pneus ou d'un tracteur, et qui dispose de moins d'axes de mobilité (et notamment, qui ne dispose pas de la rotation de l'ensemble cabine / outil).
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Le Moyen Âge voit se développer, dans les monastères en particulier, l'usage de la pierre de lecture, loupe grossissante posée sur le texte écrit, destinée à combattre les effets de la presbytie. Leur invention est parfois attribuée à Abbas Ibn Firnas, berbère andalou du IVe siècle, connu pour avoir mis au point la technique de taille du cristal de roche. Les travaux d'Alhazen, fondateur de l'optique physiologique, autour de l'an mille, donnent un fondement scientifique à cette technologie. Son traité a été traduit en latin au XIIe siècle, peu avant l'invention des lunettes de correction de la vue en Italie, sans que le lien entre les deux évènements soit cependant clairement attesté. Avant d'être en verre, les « pierres de lecture » étaient réalisées en pierre semi-précieuse (lentille surfacée de béryl) ou en cristal de roche, la technique de fabrication du verre produisant encore trop de bulles et d'impuretés.
Le moine franciscain Roger Bacon s'appuie sur les travaux d'Alhazen pour expérimenter des « pierres de lecture » en verre : dans son Opus Majus de 1268, il apporte la preuve scientifique que le surfaçage particulier de verres lenticulaires permet d'agrandir les petites lettres. Son invention aurait été vulgarisée par les moines dominicains Allessandro della Spina et Giordano da Pisa (Jourdain de Pise) rencontrés lors de son séjour à Pise. C'est au XIIIe siècle à Florence que le physicien Salvino degli Armati met au point une paire de verres enchâssés dans un cercle de bois, dont l'épaisseur et la courbure permettent de grossir les objets et les textes. La lunetterie et l'ophtalmologie se développent dès lors en Italie. Les premières besicles, lunettes sans branches et qui se fixent sur le nez, apparaissent à Venise à la fin du XIIIe siècle. Elles consistent en deux lentilles convexes rondes, en verre de Murano aux qualités optiques supérieures, enchâssées dans des cercles en bois, en corne ou en cuir, et attachées individuellement à des manchons rivetés par un clou : ces lourdes « besicles clouantes », principalement utilisées par les moines copistes, permettent ainsi la vision binoculaire mais n'améliorent que la presbytie. Les besicles clouantes symbolisent progressivement l'érudition, de nombreuses œuvres d'art représentant philosophes, moines ou médecins portant ces « clouants ». L’invention de l’imprimerie accroît la demande en lunettes. Au XVe siècle, les besicles évoluent avec le remplacement du clou par un pont qui peut être en bois, en métal, en corne, en cuir, en écaille de tortue ou en fanon de baleine : ce sont les « besicles à pont arrondi ». Elles seront munies, dans les siècles suivants, d'un ruban noué derrière le crâne ou d'une ficelle autour de l'oreille pour assurer un meilleur maintien.
Les verres concaves apparaissent pour les myopes à Florence vers 1440. Ils sont mentionnés pour la première fois le 25 août 1451 dans une lettre datée de Ferrare et adressée à Cosme de Médicis, et leur première description se trouve dans le De Beryllo de Nicolas de Cues, paru en 1458. En 1645, Jacques Bourgeois améliore les besicles en imaginant des verres concaves d'un côté de l'œil et convexes de l'autre. En 1728, l'opticien anglais Edward Scarlett (en) crée les premières montures avec de courtes branches terminées par un anneau métallique (parfois recouvert de velours) qui se plaque sur les tempes : ces « lunettes à tempes » sont portées essentiellement par les nobles, les courtes branches permettant le retrait des lunettes sans déranger la perruque. Lorsque la perruque cesse d'être à la mode, Scarlett innove encore en rallongeant les branches et en les courbant aux extrémités de façon qu'elles se fixent derrière les oreilles : les lunettes modernes sont nées. Les bourgeois quant à eux utilisent plutôt le binocle au XVIIe siècle puis le face à main au XVIIIe siècle, ce dernier étant concurrencé par le monocle et le pince-nez au XIXe siècle. En France, sieur Thomin, miroitier lunetier parisien, fabrique en 1746 ces « lunettes à tempes » appelées « lunettes à tempes permettant de respirer à l'aise » car elles remplacent les pince-nez. Toutefois, leur pression provoque des maux de tête. En 1752, l'opticien anglais James Ayscough (en) crée les premières lunettes à verres teintés. Ce sont pour lui des lunettes correctrices et non des lunettes de soleil car il pensait que les teintes bleues ou vertes corrigeaient la vision. Elles sont munies de branches articulées par une charnière, ce qui diminue l'inconfort de la pression des branches sur le nez et les tempes. Ces lunettes dont les branches passent par-dessus les oreilles sont appelées « lunettes à oreilles »
Les verres étaient ronds jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, qui voit alors se développer la mode des verres ovales venue d'Angleterre : plus petits et de meilleure qualité optique, ces verres allègent considérablement la monture. Les lunettes à double foyer sont créées en Angleterre à la fin du XVIIIe siècle. En 1796, Pierre-Hyacinthe Caseaux maître-cloutier à Morez s'inspire des Anglais qui produisent déjà des montures en métal et adapte des techniques propres à l'art du métal pour réaliser une fine monture : du fil de fer encercle les verres et des tenons (faisant également office de charnière) soudés de chaque côté des cercles de la monture sont traversés par une vis qui permet de serrer les cercles autour du verre. Ces lunettes « fils » ont un grand succès et Morez est depuis devenue la capitale de la lunetterie française, représentant à elle seule 55 % de son chiffre d'affaires. Ensemble, les villes de Morez et Oyonnax, cette dernière étant spécialisée dans les montures plastiques, représentent 80 % de la lunetterie française.
En 1959, Bernard Maitenaz crée Varilux, le premier verre progressif pour corriger la presbytie.
Au milieu des années 1950, le design fait son apparition dans le domaine de la lunetterie, qui fait alors appel aux plastiques dont le moulage et les propriétés se prêtent à l'inventivité des créateurs : la lunette n'est désormais plus simplement une prothèse médicale. Ce mouvement s'accentue dans les années 1980-1990, de nombreux designers lançant leur collection, et les lunettes deviennent un accessoire de mode, mêlant ergonomie et esthétique. Chaque année, les nouvelles collections de montures sont présentées lors de salons internationaux de l'optique, tels le SILMO à Paris ou le MIDO à Milan.
Avec le développement du dépistage, de la fatigue oculaire et le remboursement des lunettes par les mutuelles, leur marché est devenu important dans les pays développés. Ainsi selon l'UFC-Que Choisir, en France, 13 millions de paires de lunettes sont vendues en 2012, représentant un marché de 4,7 milliards d'euros (1,38 milliard pour les montures et 3,29 pour les verres) avec une fréquence de renouvellement moyenne de 3,5 ans et des marges qui corresponde entre 2 et 3 fois selon les équipements à leur prix d'achat par les magasins d'opticiens. Des niches à valeur ajoutés (options tels que verres durcis, amincis, traitement des verres antirelflet, antisalissure, antibuée) ou le développement de nouvelles niches (lunettes pour enfants) font que le marché de l'optique pèse dix fois plus que les dépenses de santé ophtalmologique
https://fr.wikipedia.org/wiki/Lunettes
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Un réveille-matin (également écrit réveil-matin et souvent abrégé en réveil) est un système qui émet un son à une heure pré-déterminée. On l'utilise généralement pour se réveiller le matin, d'où son nom. Il peut s'agir d'un appareil destiné à cet usage, généralement une horloge, ou d'autres appareils ayant une fonction réveille-matin tels que : la montre, le téléphone mobile, l'ordinateur, la télévision, la radio, etc.
Histoire
Platon (428–348 av. J.-C.) met au point un système de réveil sur une horloge à eau : un sifflement prévient que la cuve est vide. Il l'aurait utilisé pour arrêter de s'assoupir lors de ses longs travaux et lectures nocturnes
Philon de Byzance (vers 280-220 av.JC) développe un mécanisme permettant de mesurer le temps écoulé: de l'eau contenue dans un récipient initial s'écoule lentement dans un autre récipient. Celui-ci est recouvert d'un plateau sur lequel sont disposées des boules et dans son fond se trouve un flotteur. Peu à peu, le flotteur remonte et produit le basculement du plateau, faisant tomber les boules sur un réceptacle en métal
Avec l’avènement de l'horlogerie mécanique, à la fin du XIIIe siècle en Europe, les cloches, omniprésentes, font office de sonnerie de réveil. Dante Alighieri décrit en 1319 le son d'un réveil de monastère mais ce système de réveil existait déjà depuis plusieurs années.
Le premier véritable réveil a été créé par l'américain Levi Hutchins en 1787. Ce jeune apprenti horloger avait, selon la légende, du mal à se lever le matin. Il a mis au point un ingénieux dispositif de réveil sans pour autant le commercialiser ou le développer. Antoine Redier, horloger et inventeur français, est le premier, en 1847, à déposer un brevet pour un réveil mécanique réglable.
Le mot "réveille-matin" est invariable : les réveille-matin au pluriel. En effet, « réveille » est un verbe (donc invariable), et « matin » est un nom.
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