Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
22.12.2024
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
La tour Valéran dite aussi tour de Luxembourg, est un vestige de fortification médiévale situé dans la commune française de Ligny-en-Barrois et le département de la Meuse.
Histoire
Cette tour constituait avec la tour des Canons (détruite en 1878), une porte fortifiée dite « Porte des Moulins ».
Elle est classée aux monuments historiques depuis la liste de 1840.
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La porte de Givrauval.
Les portes monumentales de la ville
Ligny-en-Barrois : L'ancienne porte de Strasbourg
Ligny-en-Barrois : La porte de France
Ligny-en-Barrois : La porte de Givrauval
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La porte de France
Porte de Ville dite Porte Dauphine ou Porte de France.
Située rue Leroux, datant du xviiie siècle, elle est inscrite au titre des monuments historiques depuis 1928
Les portes monumentales de la ville
Ligny-en-Barrois : L'ancienne porte de Strasbourg
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Jean-Jack Queyranne, né le 2 novembre 1945 à Lyon 4e (Rhône), est un homme politique français, président du conseil régional de Rhône-Alpes entre le 2 avril 2004 et le 31 décembre 2015. Il est réélu président du conseil régional de Rhône-Alpes, le 28 mars 2010 mais perd les élections le 13 décembre 2015.
Il a été réélu député le 17 juin 2007, dans la 7e circonscription du Rhône. Il fait partie du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche. Il fut aussi ministre dans le gouvernement Lionel Jospin et fait partie du conseil politique de Ségolène Royal.
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Catherine Tasca, née le 13 décembre 1941 à Lyon, est une femme politique française, ministre de la Culture entre 2000 et 2002, puis sénatrice des Yvelines, entre 2004 et 2017.
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Louis Pasteur, né le 27 décembre 1822 à Dole (Jura) et mort le 28 septembre 1895 à Marnes-la-Coquette (Hauts-de-Seine, à cette époque en Seine-et-Oise), est un scientifique français, chimiste et physicien de formation. Pionnier de la microbiologie, il connut (de son vivant) une grande notoriété pour avoir mis au point un vaccin contre la rage.
Biographie
Louis Pasteur est né à deux heures du matin le 27 décembre 1822 dans la maison familiale de Dole, troisième enfant de Jean-Joseph Pasteur et de Jeanne-Étiennette Roqui. Il est baptisé dans la Collégiale Notre-Dame de Dole le 15 janvier 1823. Son père, après avoir été sergent dans l’armée napoléonienne, reprit la profession familiale de tanneur. En 1827, la famille quitte Dole pour Marnoz, lieu de la maison familiale des Roqui, pour finalement s'installer dans une nouvelle maison en 1830 à Arbois, localité plus propice à l'activité de tannage. Le jeune Pasteur suit à Arbois les cours d'enseignement mutuel puis entre au collège de la ville. C'est à cette époque qu'il se fait connaître pour ses talents de peintre ; il a d'ailleurs fait de nombreux portraits de membres de sa famille et des habitants de la petite ville.
Il part au collège royal de Besançon. Puis, en octobre 1838, il le quitte pour l'Institution Barbet, à Paris, afin de se préparer au baccalauréat puis aux concours. Cependant, déprimé par cette nouvelle vie, il renonce à son projet, quitte Paris et termine son année scolaire 1838-1839 au collège d'Arbois. À la rentrée 1839, il réintègre le collège royal de Franche-Comté, à Besançon. En 1840, il obtient le baccalauréat en lettres puis, en 1842, après un échec, le baccalauréat en sciences mathématiques. Pasteur retourne à Paris en novembre. Logé à la pension Barbet, où il fait aussi office de répétiteur, il suit les cours du lycée Saint-Louis et assiste avec enthousiasme à ceux donnés à la Sorbonne par le chimiste Jean-Baptiste Dumas ; il a pu également prendre quelques leçons avec Claude Pouillet. En 1843, il est finalement admis — quatrième — à l'École normale. Plus tard il sera élève de Jean-Baptiste Boussingault au Conservatoire national des arts et métiers.
Alors qu'il est professeur suppléant à la Faculté des Sciences de Strasbourg, Pasteur se marie le 29 mai 1849 avec Marie-Anne, la fille du recteur Aristide Laurent (1791-1869), lequel réside dans les bâtiments de l'Académie avec sa famille. Ensemble ils ont cinq enfants, dont les trois premiers sont nés à Strasbourg : Jeanne (1850-1859), Jean Baptiste (1851-1908), Cécile Marie Louise Marguerite – dite Cécile – (1853-1866). La quatrième, Marie-Louise (1858-1934) se marie en 1879 avec René Vallery-Radot, Camille (1863-1865) est la dernière. De l'union de Marie-Louise et de René Vallery-Radot sont issus Camille Vallery-Radot (1880-1927), sans descendance, et Louis Pasteur Vallery-Radot (1886-1970), membre de l'Académie française et de l'Académie de Médecine, également sans enfant et dernier descendant de Pasteur.
Son épouse Marie, dont Émile Roux dit qu'« elle a été le meilleur collaborateur de Louis Pasteur », écrit sous sa dictée, réalise les revues de presse et veille à son image puis à sa mémoire jusqu'à sa mort, en 1910
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Les fruits selon les saisons
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MOIS | 01 | 02 | 03 | 04 | 05 | 06 | 07 | 08 | 09 | 10 | 11 | 12 |
Citron niçois | Oui | Oui | Oui | |||||||||
Clémentine | Oui | Oui | ||||||||||
Kiwi | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | |||||
Mandarine | Oui | Oui | ||||||||||
Orange | Oui | Oui | Oui | Oui | ||||||||
Noix | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | ||||||
Poires | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | ||||||
Pommes | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | ||||
Châtaignes | Oui | Oui | Oui | |||||||||
Dattes | Oui | Oui | ||||||||||
Fraises | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | ||||||
Framboises | Oui | Oui | Oui | Oui | Oui | |||||||
Melons | Oui | Oui | Oui | |||||||||
Mirabelles | Oui | Oui | Oui | |||||||||
Mûres | Oui | Oui | Oui | |||||||||
Myrtilles | Oui | Oui | Oui | |||||||||
Pêches | Oui | Oui | Oui | |||||||||
Prunes | Oui | Oui | Oui | |||||||||
Raisins | Oui | Oui | Oui | Oui | ||||||||
Coings | Oui | Oui | ||||||||||
Feijoas | Oui | Oui | ||||||||||
Kakis | Oui | |||||||||||
Abricots | Oui | Oui | Oui | |||||||||
Amandes | Oui | |||||||||||
Cerises | Oui | Oui | Oui | |||||||||
Brugnons | Oui | |||||||||||
Cassis | Oui | Oui | ||||||||||
Groseilles | Oui | Oui | ||||||||||
Pastèques | Oui |
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Les Brigades du Tigre est une série télévisée policière française en 36 épisodes de 55 minutes, diffusée du 21 décembre 1974 au 11 novembre 1983 sur la deuxième chaîne de l'ORTF puis sur Antenne 2.
Coproduite par la France (ORTF/TELECIP), l'Allemagne de l'Ouest (TV 60 Munich (de)), la Belgique (RTB) et la Suisse (TSR), la série a été rediffusée en Belgique sur AB4, ainsi qu'en France sur TMC en avril 2006.
Les cinquième et sixième saisons des Brigades du Tigre, diffusées de 1981 à 1983, constituent la série dite Les Nouvelles Brigades du Tigre. Les épisodes des quatre premières saisons se déroulent avant la Première Guerre mondiale et les épisodes des cinquième et sixième saisons ont lieu durant l'entre-deux-guerres, de 1919 à 1930.
Si les « Brigades du Tigre » ont donné leur titre à la série, cette appellation n'a pas de réalité historique, le nom officiel étant les « Brigades régionales de police mobile ».
« 1907. En ce début de siècle où la vie se transforme au rythme accéléré d'une industrie triomphante, les structures traditionnelles de la vieille société se brisent chaque jour davantage derrière la façade de la « Belle Époque ».
La criminalité augmente dans des proportions d'autant plus inquiétantes qu’une délinquance nouvelle est née, qui s'appuie, elle, sur le progrès technique et fait échec à une police archaïque dont les méthodes et le matériel n'ont guère évolué depuis Vidocq. Un chiffre est plus éloquent que tout : au cours de l'année 1906, 103 000 affaires criminelles et correctionnelles ont été classées sans que les auteurs aient pu être identifiés. L'année 1907 s'annonce pire encore. Il y va de la sécurité des villes et des campagnes. »
— Prologue du narrateur (dit par Claude Dasset), Les Brigades du Tigre, saison 1, épisode 1 (« Ce siècle avait sept ans »), écrit par Claude Desailly.
Les aventures mises en scène dans la série débutent souvent sur un fait divers, lequel ne sert en réalité qu'à lancer un scénario qui amène les policiers à se frotter à un contexte politique, diplomatique, social, voire scientifique ou sportif, ancré dans l'actualité : Entente cordiale, premières découvertes sur l'atome, Tour de France cycliste, etc.
Chaque épisode, par sa construction et la bonne cohésion du scénario, tente de donner au spectateur une idée de la vie de l'époque en relatant des faits réels dans lesquels le scénariste a puisé son inspiration.
Collection 1909.
Le Cas Valentin.
L'Ère de la calomnie.
Visite incognito.
La Main noire.
La Couronne du Tsar
Cordialement vôtre.
Les Compagnons de l'Apocalypse
De la poudre et des balles.
Le Crime du Sultan.
L'Auxiliaire.
Les Demoiselles du Vésinet.
Le Temps des garçonnes.
Lacs et Entrelacs.
Notamment la question de l'opinion publique et la poussée de l'extrême-droite en France et en Europe durant l’Entre-deux-guerres.
Le Réseau Brutus.
Les Fantômes de Noël.
Le Complot.
La Grande Duchesse Tatiana.
La Fille de l'air.
Made in U.S.A..
Les Fantômes de Noël.
S.O.S. Tour Eiffel.
Incapables de se réinsérer dans la société d'après guerre, d'anciens combattants de la Grande Guerre sombrent dans la délinquance.
Bien entendu, les anciens combattants de la Grande Guerre ne deviennent pas tous - et très loin de là - des criminels. Néanmoins, ce premier épisode des Nouvelles Brigades du Tigre, diffusé en 1982, a l’intelligence d'aborder un aspect à l'époque très peu connu et très peu étudié : les sorties de guerre et les difficultés (multiples) rencontrées par les vétérans dans leur retour à la vie civile.
Depuis les années 1990, les historiens se sont penchés sur cette question. On se reportera par exemple, et entre autres, aux travaux pionniers d'Antoine Prost (Les Anciens Combattants et la société française (1914-1939), Paris, Presses de la FNSP, 1977), puis à ceux de Bruno Cabanes (La Victoire endeuillée. La Sortie de guerre des soldats français (1918-1920), Le Seuil, 2004).
Cordialement vôtre.
Les Enfants de la Joconde.
Le Village maudit.
Les Enfants de la Joconde.
Le Vampire des Carpates.
Les Princes de la nuit.
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Distribution
Les trois policiers que l'on retrouve tout au long des épisodes (Valentin, Pujol et Terrasson) ne correspondent pas à des personnes ayant réellement existé.
Commissaire Paul Valentin (Jean-Claude Bouillon) : recevant une promotion alors qu'il est inspecteur à la Police Judiciaire et constatant que la police doit impérativement se moderniser, il intègre les Brigades mobiles que vient de créer Georges Clemenceau. Réfléchi, séducteur, têtu et parfois frondeur, il devient vite l'âme et le moteur (sous la férule de leur directeur, l'intransigeant Monsieur Faivre) des « Brigades du Tigre » ainsi qu'elles furent surnommées à l'époque, en 1907, au début du xxe siècle.
Inspecteur Marcel Terrasson (Pierre Maguelon) : « Le Colosse de Rodez » est l'un des deux inspecteurs travaillant avec Valentin. Possédant un fort accent méridional, cette force de la nature n'hésite pas à se servir de ses poings pour se défendre. Ami fidèle de Pujol et de Valentin, c'est un homme de terrain prêt pour l'action.
Inspecteur Gustave Pujol (Jean-Paul Tribout) : second partenaire de Valentin, frêle inspecteur, agile dans ses mouvements et à l'allure de « titi parisien », il se caractérise par sa discrétion exemplaire. Malin, passé maître dans l'art de la filature et du déguisement, il est souvent envoyé par Valentin pour surveiller les suspects, voire pour infiltrer les réseaux criminels.
Au fil des saisons, les trois héros ont connu deux supérieurs :
Claude Faivre (François Maistre) « le patron », chef des Brigades mobiles. Personnage rugueux, irascible, parfois ironique et sarcastique, il n'hésite pas à « engueuler » ses hommes lorsque les résultats ne sont pas au rendez-vous, quitte à être parfois injuste. En même temps, il connaît leur valeur et n'hésite pas à les soutenir.
Gabrielli (Pinkas Braun, doublé par Jacques Deschamps), le « patron » (à partir de la saison 5, dans Les Nouvelles Brigades du Tigre). Gabrielli remplace Faivre (désormais en retraite) au lendemain de la Grande Guerre. Plus raffiné et mondain que son prédécesseur, il n'« engueule » jamais ses hommes mais préfère l'ironie. Ceci étant, il partage une caractéristique avec Faivre, dont on se rend compte au fil des épisodes : la confiance qu'il accorde à ses policiers.
Première saison
Claude Dasset (le narrateur, épisodes 1, 2, 4, 5, 6)
François Darbon : (le commissaire Civelle, directeur de la PJ)
Bernard Lajarrige
Alain Halle Halle (Charles Bary, ép. 1)
Gérald Denizot (Etienne Bollich, ép. 1)
Dominique Zardi (Rafa, ép. 1)
Yves Brainville (député Bonnerive, ép. 1 et 5)
Lorraine Rainer (Juliette Bary)
Robert Audran (Guillaume, ép. 2)
Gérard Lecaillon (Louis Lacombe dit « Nez de chien », ép. 2)
Jacques Harden (Oswald, ép. 3)
René Havard (Gustave Lemaire ép. 3)
Hélène Manesse (Yvette Perrotey, ép. 3)
Antoine Marin (Tavernier, ép. 3)
Vernon Dobtcheff (inspecteur Howard, ép. 4)
Marion Game (Thérèse, ép. 4)
Pierre Londiche (le Prince de Galles, ép. 4)
Philippe Brigaud (Berval, le directeur de l'hôtel Nemrod, ép. 4)
Jean-François Rémi (M. de Sermeuse, ép. 5)
Myriam Boyer (Germaine la putain, ép. 5)
Raymond Bussières (l'Africain, ép. 5)
Claire Wauthion (Beba Bekelevitch, ép. 6)
Charles Millot (colonel Dimitrijevitch, ép. 6)
Suzy Falk (Mlle Saudemont, ép. 6)
Seconde saison
Claude Dasset (le narrateur, épisodes 1 à 6)
Guy Grosso (inspecteur Bertouin pour 3 ép)
Robert Lombard (Martin-Touffier, ép. 1)
Mireille Audibert (Coco Bertin, ép. 1)
Pauline Larrieu (Émilienne, ép. 1)
René Deltgen (Max le Flamand, ép. 1)
Philippe Brigaud (Ortega, consul d'Argentine, ép. 1)
Raoul Curet (Georges Clemenceau, ép. 1)
Van Doude (Malcolm Young, ép. 2)
Marie-Claude Mestral (Antoinette, ép. 2)
Maurice Teynac (Jean Blaise/Dominus, ép. 3)
Jean Mermet (Eli Gruber, ép. 3)
Claudia Golling (Mildred Rutherford, ép. 3)
Diane Kurys (Catherine Barré, ép. 4)
Didier Haudepin (Eloi David, ép. 4)
Fernand Guiot (le commis voyageur, ép. 4)
Max Amyl (docteur Carpentin, ép. 4)
Michel Vitold (prince Pavel Pavlovich, ép. 5)
Paul Müller (docteur Vizier-Nachot, ép. 5)
Melane Brevan (Delphine, ép. 5)
Stéphane Bouy (Alcide, ép. 6)
Ivan Desny (Bonelli, ép. 6)
Marilu Tolo (Mme Bonelli, ép. 6)
Roger Saltel (M. Verbrouke, ép. 6)
Troisième saison
Claude Dasset (le narrateur, épisodes 1 à 6)
Hervé Jolly (Liébert, ép. 1)
Gérard Berner (Liottard, ép. 1)
Macha Béranger (la poule, ép. 1)
Michèle Grellier (Henriette, ép. 2)
Viviane Gosset (Mme Soligny, ép. 2)
Claude Bolling (le chanteur de rue, ép. 2)
Edward Meeks (Tommy Bennett/inspecteur Bright, ép. 3)
Christiane Kruger (Myriam Ducoroy, ép. 3)
Philippe Brigaud (M. Ducoroy, ép. 3)
Jacques Legras (Chevreux, ép. 3)
Armand Mestral (Louis Arnaudy, ép. 4)
Yves Peneau (secrétaire du directeur du cabinet, ép. 4)
Sabine Glaser (Mira, ép. 4)
Hans Wyprachtiger (sultan Moulay Hafid, ép. 5)
El Kébir (pacha Abd'el Imbah, ép. 5)
Georges Ser (Hubert Guénaut, ép. 5)
Alain Pralon (Germain Bergeval, ép. 6)
Evelyne Dandry (Madeleine Bergeval, ép. 6)
Roger Jacquet (Albin Bergeval, ép. 6)
Albert Médina (Médéric, ép. 6)
Quatrième saison
Claude Dasset (le narrateur)
Marie Mansart (Mme de Castro, ép. 1)
Claude Desailly (Maudru, ép. 1)
Michel de Ré (M. de Castro, ép. 1)
Madeleine Barbulée (Gertrude Petitpont, ép. 2)
Jacqueline Hopstein (Rosemonde Petitpont, ép. 2)
Philippe Brigaud (colonel de Villedieu, ép. 2)
Bernard Lavalette (le ministre de l'intérieur, ép. 2)
Henri Poirier (Hubert Villaut-Delaroche, ép. 2)
Michel Herbault (Xavier Hoeffler, ép. 3)
Yves Péneau (Delaroche, ép. 3)
Jean Saudray (le 1er tueur, ép. 3)
Gérald Denizot (Arthur Ferras, ép. 4)
André Falcon (Maxime Laubeuf, ép. 4)
Alan Adair (William Husby, ép. 4)
Michel Muller (Schutz, ép. 4)
Vernon Dobtcheff (Sir Francis Bertie, l'ambassadeur anglais, ép. 4)
Jacques David (Quentin, ép. 4)
Prudence Harrington (Miss Dorothy, ép. 4)
André Chaumeau (Muller, ép. 4)
Monique Tarbès (Viviane, ép. 5)
Robert Party (Léo, ép. 5)
Claude Legros (le curé, ép. 5)
Nadine Alari (Suzanne Chaumette, ép. 6)
Jean Champion (Henri Chaumette, ép. 6)
François Dunoyer (Armand Sabatier, ép. 6)
Jess Hahn (Fulbert, ép. 6)
Jacques Bouanich (Jacques, ép. 6)
Cinquième saison
Jacques Thébault (le narrateur, ép. 1 à 6)
Bruno Devoldère (Maxime Ribaud-Duval, ép. 1)
Alain Halle-Halle (Mischka, ép. 1)
Robert Party (Ribaud-Duval, ép. 1)
Marion Game (la barmaid, ép. 1)
Jacques Maury (Jean Durbeck, ép. 2)
Max Amyl (Flamant, ép. 2)
Ivan Desny (Metzinger, ép. 2)
Raoul Curet (Raymond Poincaré, ép. 2)
Catherine Alric (Marthe, ép. 2)
Féodor Atkine (Jean Raimbaud, ép. 3)
Arthur Brauss (Lucien Désormes, ép. 3)
Jacqueline Fontaine (Mariette, ép. 3)
Eddie Constantine (Johnny Cosmano, ép. 4)
Isabelle Mergault (« Dolly », ép. 4)
René Morand (la taupe, ép. 4)
Eric Desmarestz (un inspecteur, ép. 4 et 5)
Marie-Catherine Conti (Lisa Montovani/Oriella/Anna, ép. 5)
Henri-Jacques Huet (Luigi, ép. 5)
Jean Michaud (Guiseppe, ép. 5)
Catherine Alric (Marthe Villeret, ép. 6)
Henri Poirier (Bourtil)
Sixième saison
Jacques Thébault (le narrateur, ép. 1 à 6)
Maurice Barrier (Solokine, ép. 1)
Elisabeth Margoni (Maya, ép. 1)
Gérard Lecaillon (le balafré, ép. 1)
Guy Grosso (un secrétaire d'état, ép. 1)
Béatrice Agenin (Rita/Jeanne, ép. 2)
Michel Fortin (Robert Delcroix, ép. 2)
Gabriel Cattand (Sénéchal, ép. 2)
Jacques Girault (Julien Berthier, ép. 2)
Fernand Guiot (Brigaud, ép. 2)
Christine Laurent (Ginette, ép. 2)
Christiane Jean (Tatiana, ép. 3)
Igor De Savitch (lieutenant Lojkine, ép. 3)
Serge Sauvion (Jean Desvignes, ép. 3)
Michel Vitold (général Lioubov, ép. 3)
Charles Millot (général Koutiepov, ép. 3)
Jacques Dacqmine (Alphonse Moulin, ép. 4)
Madeleine Barbulée (baronne de Sermoise, ép. 4)
Yves Beneyton (Michel Moulin, ép. 4)
Odile Mallet (Irène Bertuin, ép. 4)
Bernard Tixier (Xavier, ép. 4)
Katia Tchenko (Natacha, ép. 5)
Larissa Vadko (Olga, ép. 5)
Yves Peneau (Janovitch, ép. 5)
Laurence Badie (une chanteuse, ép. 5)
Annick Blancheteau (Jeanne Bertin, ép. 6)
Jacqueline Jefford (Marie Bonheur, ép. 6)
Philippe Brigaud (diplomate canadien, ép. 6)
Sacha Briquet (Robert, ép. 6)
Jacqueline Fontaine (tante Mélanie, ép. 6)
Fiche technique
Réalisateur : Victor Vicas
Scénariste : Claude Desailly (créateur de la série)
Producteurs : Roland Gritti, Étienne Laroche, Serge Lebeau, Robert Velin.
Production : ORTF, Antenne 2
Musique : Claude Bolling
Générique : La Complainte des Apaches interprétée par Philippe Clay (paroles : Henri Djian)
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Le scénariste de la série, Claude Desailly, a volontairement souhaité que celle-ci ne se poursuive pas jusqu'à la Seconde Guerre mondiale et qu'elle ne couvre que les Années folles (1920-1929). Entre 1930 et 1939, l'atmosphère en France devenait de plus en plus tendue, à la fois à cause de la Grande Dépression et de la montée du totalitarisme en Europe (Mussolini, Hitler, Staline…). Le contexte international et le mode de vie des Français avaient ainsi énormément évolué par rapport aux trente premières années du XXe siècle, qui avaient une certaine forme d'insouciance et de romantisme.
De plus, à partir des années 1930, les moyens mis à disposition de la police française se sont considérablement améliorés : création d'Interpol à Paris, modernisation des unités, importantes affaires criminelles comme l'affaire Stavisky ou le meurtre de Gaston Truphème, courtier en diamants.
La police n'a alors plus rien à voir avec les brigades mobiles créées au début du siècle par Georges Clemenceau.
Claude Desailly, sur une proposition d'Alain Decaux, souhaitait montrer une France de début de siècle aux prises avec des bandits écumant le pays avec des moyens bien supérieurs à ceux de la police. La population connaissait alors une peur quotidienne, à l'échelle communale, tout au plus régionale, ce qui n'est plus le cas à partir de 1930, où le sentiment de défiance est lié au contexte international et à la crainte de l'avenir. La série devait ainsi cesser pour conserver une certaine réalité historique, bien que romancée, chez le spectateur, plutôt que de devenir une pure fiction n'ayant plus d'ancrage dans la réalité
Chaque saison de la série nécessitait trois mois de tournage. Les huit premiers jours étaient consacrés à l'ensemble des séquences de bureaux dans les locaux du commissariat, tournés dans les vieux studios de Telecip. Les acteurs enchainaient donc des scènes appartenant à différentes histoires. Toutes les scènes en extérieur étaient tournées postérieurement.
Un épisode nécessitait entre onze et quatorze jours de tournage. Les prises de son ont été faites en direct. La ville de Paris était devenue trop moderne, il a été donc choisi la ville d'Orléans où certaines rues offraient une bonne idée du Paris du début du siècle, comme la Place Saint-Aignan. D'autres tournages ont été réalisés en Belgique (exemple : épisode « La main noire ») avec des acteurs locaux.
A Orléans, le quartier placé entre la place Saint-Aignan et la collégiale Saint-Pierre-le Puellier est privilégié. Le spectateur averti peut reconnaître les rues Saint-Flou, de la Tour ou des Tanneurs lors des poursuites ou encore les rues des Récollets et de la Bretonnerie pour les investigations. Des bâtiments, comme l’imprimerie La Laborieuse ou des immeubles du quai Barentin et de la rue Croix-de-Bois, sont utilisés ponctuellement. En 1976, l’hôtel Groslot, apprécié du réalisateur, endossera pour une journée le rôle du ministère de la Justice.
À ces décors occasionnels, s’ajoutent certains lieux et bâtiments qui deviennent vite emblématiques de la série. Le cloître Saint-Aignan est souvent exploité, comme au début du premier épisode lors d’une filature d’un bandit par Valentin. Des bâtiments désaffectés en briques rouges reviennent aussi lors des scènes « de planques ». Il s’agit en fait de la friche industrielle de la vinaigrerie Dessaux. Par ailleurs, lorsque l’on évoque la série, on pense surtout aux entraînements un peu désuet de boxe française dans un gymnase parqueté et à l’entrée des automobiles dans la cour du commissariat. Ce gymnase est celui de la rue des Quatre-Fils-Aymon, alors que le commissariat est le quartier Général, 1, rue de la Bretonnerie. Il est d’ailleurs amusant de voir le commissaire Valentin censé sortir du gymnase pour arriver dans la cour du commissariat, dans la réalité distante de plusieurs rues.
L'épisode « Le cas Valentin » a été tourné en partie dans les allées du chai de Bercy, 12e arrondissement de Paris, dans lequel on reconnaît les bâtiments — dont un a survécu — et les rails typiques utilisés pour les wagons transportant les barriques de vins.
La mairie du 12e arrondissement de Paris du côté de l'aile Bignon a été choisie comme l'entrée principale du commissariat des brigades pour la période de la Belle Époque.
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