Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
29.09.2024
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jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
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Par han.t, le 03.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
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Par Anonyme, le 31.05.2024
Pierre Bérégovoy , né le 23 décembre 1925 à Déville-lès-Rouen (alors en Seine-Inférieure) et mort le 1er mai 1993 à Nevers (Nièvre), est un homme d'État français. Il est Premier ministre du 2 avril 1992 au 29 mars 1993, sous la présidence de François Mitterrand.
Issu d'un milieu modeste, il commence son engagement politique auprès de Pierre Mendès France avant d'adhérer au Parti socialiste (PS). Après l'élection présidentielle de 1981, il est nommé secrétaire général de la présidence de la République par François Mitterrand.
Tout en étant élu dans la Nièvre, il est successivement ministre des Affaires sociales et de la Solidarité nationale de 1982 à 1984 et ministre de l'Économie et des Finances de 1984 à 1986 puis entre 1988 et 1992, ainsi que ministre de la Défense en 1993.
Nommé Premier ministre par le président Mitterrand en 1992, il est le chef du gouvernement sous la Ve République le plus âgé lors de sa nomination ; ce record est toujours inégalé. Il quitte ses fonctions l'année suivante, en raison de la lourde défaite de la gauche aux élections législatives.
Visé par des soupçons de corruption visant sa personne, il se suicide un mois plus tard
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Édouard Balladur , né le 2 mai 1929 à Izmir (Turquie), est un haut fonctionnaire et homme d'État français. Membre des principaux partis gaullistes successifs, il est Premier ministre du 29 mars 1993 au 17 mai 1995.
Conseiller d'État, il intègre en 1964 le cabinet de Georges Pompidou, alors chef du gouvernement, et participe aux accords de Grenelle dans le cadre de Mai 68. Devenu secrétaire général de la présidence de la République en 1973, il est particulièrement influent en raison de la maladie du président Pompidou, qui meurt l’année suivante.
En 1986, il est élu député de Paris et nommé dans la foulée ministre d'État, ministre de l'Économie, des Finances et de la Privatisation dans le premier gouvernement de cohabitation, dirigé par Jacques Chirac jusqu’en 1988. Dans un contexte mondial de révolution conservatrice, il conduit une politique libérale, lançant un programme de privatisations après cinq ans de pouvoir socialiste.
François Mitterrand le nomme Premier ministre à la suite de la large victoire de l'Union pour la France (RPR-UDF) aux élections législatives de 1993, inaugurant la deuxième cohabitation. Candidat à l'élection présidentielle de 1995, soutenu par l'UDF et une partie du RPR, pour lequel Jacques Chirac se présente également, Édouard Balladur est longtemps favori, avant de finir en troisième position avec 18,58 % des voix. Par la suite mis en cause pour des soupçons de financement occulte de sa campagne, il est relaxé par la Cour de justice de la République en 2021.
Il retrouve son siège de député en 1995, envisage de conduire la droite aux élections municipales de 2001 à Paris et préside la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale de 2002 à 2007. Proche de Nicolas Sarkozy, il conduit les travaux de deux comités consultatifs sous la présidence de celui-ci (sur les institutions puis les collectivités locales) et se retire de la vie publique en 2009, tout en restant un conseiller informel de nombreuses personnalités de droite.
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Les Vieux de la vieille est un film réalisé par Gilles Grangier en 1960 et sorti sur les écrans le 2 septembre 1960. C'est une adaptation du roman Les Vieux de la vieille de René Fallet.
Retraité de la SNCF, Baptiste Talon rentre en Vendée dans son village natal de Tioune pour y retrouver deux vieux amis : Jean-Marie Péjat et Blaise Poulossière. Il leur apprend qu’il a décidé d'aller à l'hospice de Gouyette. Jean-Marie Péjat, réparateur de cycles et vieux célibataire, décide de l’accompagner à la suite d'un incident lors d'un bal de la fête aux escargots où il a pris conscience qu'il n'est plus tout jeune. Blaise Poulossière, ancien éleveur de cochons vivant dans sa famille désormais dirigée d’une main de fer par son fils, décide aussi de se joindre à eux.
Et voilà les trois compères partis sur la route avec leur sacs et leur panier de pinard, pour un voyage ponctué de nombreuses péripéties. Mais, une fois à destination, déçus par l’ambiance austère qui règne dans l’hospice dirigé par des sœurs, ils n'ont d'autre projet que de revenir au village. Ayant réussi à fuir Gouyette, ils retournent au village mais sont vertement sermonnés par le maire qui accepte néanmoins leur retour sous condition d'être sages. Combien de temps ces incorrigibles ganaches toujours à l'affût d'une bonne plaisanterie seront-ils sages ?
Fiche technique
Réalisation : Gilles Grangier
Scénario : D'après le roman de René Fallet (éditions Denoël)
Adaptation : René Fallet, Gilles Grangier, Michel Audiard
Dialogues : Michel Audiard
Assistants réalisateurs : Guy Blanc, Joseph Drimal
Directeur de la photo : Louis Page
Caméraman : Henri Tiquet
Assistants opérateurs : Marc Champion, Pierre Charvein
Montage : Paul Cayatte, assisté de L. Marchand-Saurel
Décors : Robert Bouladoux, assisté de Georges Richard et Jean Taillandier
Maquillage : Yvonne Gasperina et Alex S. Ranesky
Son : Jean Rieul, assisté de Marcel Corvaisier et Gabriel Salagnac
Musique : Francis Lemarque et Paul Durand (éditions Paris-Etoile et Mondia-Music)
Script-girl : Martine Guillou
Ensemblier : Fernand Chauviret
Régisseur : Alain Darbon, assisté de Georges Testard
Photographe de plateau : Marcel Dole
Producteur : Jacques Bar
Directeur de production : Jacques Juranville
Sociétés de production : Cité-Films, Cinetel, Silver Films, Terra Film, Fidès (Paris) et Titanus SPA (Rome)
Format : Pellicule 35 mm - 1,65:1 - noir et blanc - son mono
Tirage : Laboratoires Franay L.T.C. (Saint-Cloud)
Durée : 86 minutes
Genre : Comédie
Société de distribution : Cinédis
Visa d'exploitation : 22.879, délivré le 8 juillet 1960
Date de sortie : 2 septembre 1960 aux cinémas Berlitz, Paris, et Pathe Wepler à Paris
Box office : 3.477.455 entrées en France, (10e film de l'année)
Distribution
Jean Gabin : Jean-Marie Péjat, réparateur de vélos
Pierre Fresnay : Baptiste Talon, retraité S.N.C.F.
Noël-Noël : Blaise Poulossière, éleveur de cochons
Mona Goya: Catherine, la patronne de la ferme
Yvette Etievant : Louise, la patronne du café
André Dalibert : Anselme Poulossière, le fils de Blaise
Yane Barry : Mariette, la petite fille de Blaise
Paul Bisciglia : Jojo, le fiancé de Mariette
Hélène Dieudonné : La supérieure de "Gouyette"
Guy Decomble : Le chauffeur de car
Alexandre Rignault : Le fermier qui reçoit Blaise
Paul Mercey : Le maire du village
Jacques Marin : Le brigadier à vélo (non crédité)
Robert Dalban : Jérôme Ardouin, le fossoyeur
Pierre Collet : Le livreur de boissons
Paul Faivre : Léon, un consommateur au café
Albert Michel : Le fils Bouilland
Charles Bouillaud : Le fils Bleuzet
Gabriel Gobin : Étienne Lesage, l'employé de mairie
Jean Favre-Bertin : M. Piolet, l'instituteur
Bruno Balp : L'ouvrier de la salle communale
Louis Lalanne : L'autre ouvrier de la salle communale
Max Mégy : Gaston, le touriste en voiture
Denise Carvenne : La touriste en voiture
Jean-Pierre Rambal : L'arbitre de football (non crédité)
Édouard Francomme : Un consommateur au café (non crédité)
Lisa Jouvet : La Sœur conduisant la fourgonnette (non créditée)
Yvonne Dany : Une Sœur de l'hospice (non créditée)
Laure Paillette : Une employée de la ferme (non créditée)
René Hell : Un consommateur au café ? (sous réserves, non crédité)
Max Montavon : (sous réserves, non crédité)
Josette Vardier : (sous réserves, non créditée)
Autour du film
C'est le dernier film tourné par Pierre Fresnay, avant qu'il n'arrête sa carrière au cinéma.
À l'époque du tournage, Jean Gabin avait 56 ans, alors que ses 2 partenaires avaient 62 ans (Noël-Noël) et 63 ans (Fresnay). C'est le premier film dans lequel Gabin accepta une transformation physique afin de paraître plus vieux que son âge.
Lieux de tournage : intérieurs au Studio Franstudio à Saint-Maurice (94) ; extérieurs en Vendée : à Apremont (village de Tioune), au château de l'Audardière dans la commune d'Apremont (scène des retrouvailles avec Catherine), à Coëx (scènes de football), à La Chapelle-Palluau (scène du cimetière), à La Chaize-Le-Vicomte (hospice de Gouyette), et aux Sables-d'Olonne.
Deux téléviseurs apparaissent dans le film (un au café de Tioune, l'autre lors du déjeuner à la ferme) alors que la télévision n'est arrivée en Vendée qu'en avril 1960, après le tournage du film qui avait commencé dès l'automne 1959.
Les noms des trois acteurs ne figurent pas au générique en début de film, ils sont remplacés par ceux de leurs personnages : Jean Gabin apparaît en tant que Jean-Marie Péjat, Noël-Noël sous le nom de Blaise Poulossière et Pierre Fresnay en tant que Baptiste Talon
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Jules Massenet est un compositeur français né le 12 mai 1842 à Montaud (aujourd'hui quartier de Saint-Étienne) et mort le 13 août 1912 à Paris. Ses compositions étaient très populaires à la fin du xixe siècle et au début du xxe siècle. Les opéras de Massenet sont connus pour leur beauté mélodique et pour leur représentation des émotions de l'amour et de la passion. Ses œuvres les plus connues incluent les opéras Manon (1884), Werther (1892) et Thaïs (1894). Sa musique continue d'être populaire et est régulièrement jouée dans le monde entier.
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Église Saint-Brice
Culture locale et patrimoine
Église Saint-Brice
Cette église, des XIIe, XVIe, XVIIe et XXe siècles, est dédiée à saint Brice dont elle possède des reliques. Comme celle de Sepvigny, son annexe avant 1790, elle est fortifiée. Le clocher fortifié se trouve à la verticale du chœur.
Chapelle Notre-Dame-des-Affligés
La chapelle date probablement du Moyen Âge. Le bâtiment actuel date du xviie siècle, le précédent était détruit lors de la guerre de Trente Ans.
Fort de Pagny-la-Blanche-Côte
Réserve naturelle régionale des éboulis et pelouses calcaires de Pagny-la-Blanche-Côte et Champougny
Meuse | ||||||||||||||||
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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007.
En 2021, la commune comptait 81 habitants, en diminution de 21,36 % par rapport à 2015 (Meuse : −4,57 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
216 | 204 | 297 | 206 | 236 | 248 | 223 | 221 | 222 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
221 | 230 | 230 | 219 | 213 | 233 | 207 | 200 | 178 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
176 | 168 | 145 | 113 | 152 | 109 | 112 | 90 | 87 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2007 | 2012 |
92 | 84 | 67 | 57 | 51 | 80 | 100 | 103 | 112 |
2017 | 2021 | - | - | - | - | - | - | - |
83 | 81 | - | - | - | - | - | - | - |
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Politique et administration
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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Juin 1995 | mars 2014 | Gilles Lecerf | UMP | Éducation Nationale |
mars 2014 | En cours | Éric Vincent Réélu pour le mandat 2020-2026 | Chauffeur |
Adresse
1 Rue de l'Église
55140 CHAMPOUGNY
Horaires d'ouverture de la mairie :
Mardi: 10:00 à 12:00
Vous pouvez téléphoner à la mairie de Champougny aux horaires d'ouverture indiqués ci-dessus
Téléphone : 03 29 90 49 46
International: +33 3 29 90 49 46
Fax : 03 29 90 49 46
International: +33 3 29 90 49 46
Courriel : mairie-champougny@orange.fr
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Histoire
Avant 1790, Champougny faisait partie du Toulois (bailliage et présidial de Toul) et était rattaché au diocèse de Toul.
Champougny figure parmi les biens donnés vers 627 à Treufride, évêque de Toul, par Dagobert Ier, roi d'Austrasie. En 1051, le pape Léon IX énumère, parmi les possessions de l'abbaye de Poussay, la moitié de la chapelle (Notre-Dame-des-Affligés et l'autel de l'église de Champougny).
En 1711, les revenus de la cure étaient les suivants : le tiers des dîmes, toute la dîme de la contrée des Épaves et un bouvrot. Le bouvrot de la cure comprenait quinze jours de terres en roie, deux fauchées de prés, et un jour de vigne. Cette vigne et la dîme des autres vignes donnaient au curé un revenu de trois à quatre cents livres.
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Champougny est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est.
Géographie
Sepvigny | Sepvigny | Gibeaumeix |
Taillancourt | Pagny-la-Blanche-Côte | |
Taillancourt | Taillancourt | Pagny-la-Blanche-Côte |
En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 940 mm, avec 13,4 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet1. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey à 19 km à vol d'oiseau, est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 810,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,6 °C, atteinte le 25 juillet 2019; la température minimale est de −19,1 °C, atteinte le 12 janvier 1987.
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Urbanisme
Champougny est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee. La commune est en outre hors attraction des villes
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (42,8 %), terres arables (36,7 %), forêts (19,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,3 %). L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (xviiie siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui).
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Toponymie
Elle connut diverses appellations au fil du temps : Campaniacum, Champigneyum, Champougney. Ernest Nègre, dans sa Toponymie générale de la France indique (sous le no 8870) que Champougny provient d'un composé formé de l'anthroponyme roman Camponius et du suffixe d'origine gauloise -acum : cet étymon Camponiacum est attesté tel quel en l'an 650.
*Camponiacum est à distinguer de *Campaniacum (basé sur l'anthroponyme Campanius) qui lui est à l'origine de nombreux noms de commune.
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Eugène Rose de Beauharnais, né le 3 septembre 1781 à Paris et mort le 21 février 1824 à Munich, est un membre de la famille impériale française, fils adoptif de l'empereur Napoléon Ier, avec qualification d'Altesse impériale, vice-roi d'Italie, prince de Venise, grand-duc de Francfort, duc de Leuchtenberg et prince d'Eichstätt. Il est également l'un des plus fidèles et des plus talentueux subordonnés de Napoléon qui le fait général en chef. Il commande le IVe corps d'armée lors de la campagne de Russie. Au cours de l'hiver 1812-1813, après le départ de Napoléon pour Paris et la fuite de Murat, c'est le prince Eugène qui ramène avec beaucoup d'habileté et d'audace stratégique les restes de la Grande Armée jusqu'à faire sa jonction avec les nouvelles troupes en Saxe, malgré les tentatives d'anéantissement menées par les Russes et leurs nouveaux alliés prussiens.
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