Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
09.01.2025
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Arlette Laguiller, née le 18 mars 1940 à Paris, est une femme politique française d'extrême gauche.
Militante syndicale d'inspiration trotskiste, elle intègre la direction puis devient porte-parole de Lutte ouvrière (LO).
Elle est la première femme à candidater à une élection présidentielle sous la Cinquième République. Avec six candidatures consécutives entre 1974 et 2007 et des scores allant de 1,3 à 5,7 % des suffrages, elle détient à ce jour le record du nombre de candidatures présidentielles en France.
Connue pour son adresse traditionnelle « travailleuses, travailleurs », elle représente son parti à de nombreuses autres élections. Elle est conseillère municipale des Lilas (Seine-Saint-Denis) de 1995 à 2001, conseillère régionale d'Île-de-France de 1998 à 2004 et députée européenne de 1999 à 2004.
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Michel Sapin, né le 9 avril 1952 à Boulogne-Billancourt (Seine), est un haut fonctionnaire et homme politique français.
Membre du Parti socialiste depuis 1975, il est élu député de l'Indre en 1981, puis des Hauts-de-Seine en 1986, avant de retrouver son mandat parlementaire pour l'Indre en 2007. Il est également maire d'Argenton-sur-Creuse entre 1995 et 2012, et président du conseil régional du Centre entre 1998 et 2007.
Sous la présidence de François Mitterrand, il est ministre délégué auprès du ministre de la Justice de 1991 à 1992, puis ministre de l'Économie et des Finances jusqu'en 1993 ; il fait notamment voter la loi dite « Sapin » sur la corruption. Lors de la troisième cohabitation, il est ministre de la Fonction publique et de la Réforme de l'État de 2000 à 2002.
Sous la présidence de François Hollande, il est successivement ministre du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social (2012-2014), ministre des Finances et des Comptes publics (2014-2016) et ministre de l'Économie et des Finances (2016-2017). Il porte la loi « Sapin 2 » visant une nouvelle fois à lutter contre la corruption.
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Lionel Jospin, né le 12 juillet 1937 à Meudon (Seine-et-Oise, aujourd'hui Hauts-de-Seine), est un homme d'État français. Figure du Parti socialiste (PS), il est Premier ministre du 2 juin 1997 au 6 mai 2002.
Après avoir étudié à l'IEP de Paris et à l'ENA, il mène une carrière dans la diplomatie.
D'abord membre de l'Organisation communiste internationaliste, il rejoint le Parti socialiste en 1971. Élu député de la Haute-Garonne en 1981, il occupe la fonction de premier secrétaire du PS au cours du premier septennat présidentiel de François Mitterrand (1981-1988). Il est ensuite, de 1988 à 1992, au sein des gouvernements Michel Rocard et Édith Cresson, ministre d'État, ministre de l'Éducation nationale.
Désigné candidat à l'élection présidentielle de 1995 lors de la primaire de son parti, il est battu au second tour par Jacques Chirac. Alors qu’il est redevenu premier secrétaire du PS en 1997, la victoire de la « gauche plurielle » la même année aux élections législatives lui permet de devenir Premier ministre, inaugurant ainsi la troisième cohabitation. À la tête d'un gouvernement de coalition (« majorité plurielle »), il contribue à la mise en place des 35 heures et des emplois-jeunes. Le gouvernement Jospin est à ce jour le plus long de la Ve République.
À nouveau candidat à l'élection présidentielle de 2002, il est éliminé au premier tour, devancé par le président sortant, Jacques Chirac, et par le candidat du Front national, Jean-Marie Le Pen. Il annonce son retrait de la vie politique et démissionne de sa fonction de chef du gouvernement.
Présenté comme un possible candidat du PS en vue de l’élection présidentielle de 2007, il est concurrencé par Ségolène Royal, dont la popularité le conduit à renoncer à se présenter à la primaire présidentielle socialiste de 2006. Nommé par Claude Bartolone, il est membre du Conseil constitutionnel de 2015 à 2019.
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Jean de Lattre de Tassigny, né le 2 février 1889 à Mouilleron-en-Pareds (Vendée) et mort le 11 janvier 1952 à Neuilly-sur-Seine (Seine), est un officier général français. Héros de la Seconde Guerre mondiale, compagnon de la Libération, il est élevé à la dignité de maréchal de France à titre posthume.
Jeune officier lors de la Première Guerre mondiale, il se bat sur différents fronts, dont Verdun. Il est blessé cinq fois et termine la guerre avec huit citations, la Légion d'honneur et la Military Cross.
Dans l'entre-deux-guerres, il participe à la guerre du Rif au Maroc, où il est de nouveau blessé. Il effectue ensuite une carrière d'officier d'état-major et de commandant de régiment.
Au début de la Seconde Guerre mondiale, en mai-juin 1940, plus jeune général de France (jusqu'à la nomination au titre de général du colonel Charles de Gaulle le 25 mai), commandant la 14e division d'infanterie lors de la bataille de France, il tient tête à la Wehrmacht à la bataille de Rethel, dans les Ardennes et sur la Loire, continuant à se battre jusqu'à l'armistice du 22 juin 1940.
Sous le régime de Vichy, il reste dans l'Armée d'armistice, où il occupe des postes de commandement à l'échelon régional, puis comme commandant en chef des troupes en Tunisie. Commandant de la 16e division militaire à Montpellier le 11 novembre 1942 lorsque la zone libre est envahie par les troupes allemandes à la suite du débarquement des Alliés en Afrique du Nord, il est arrêté et condamné à dix ans de prison pour avoir désobéi au gouvernement et, seul général en activité à le faire, ordonné à ses troupes de s'opposer aux Allemands. Il parvient à s'évader et rallie le CFLN à Alger, fin 1943.
Après son ralliement à de Gaulle, il est l'un des grands chefs de l'Armée de Libération entre 1943 et 1945, s'illustrant à la tête de la 1re armée qui, après le débarquement de Provence du 15 août 1944, mène la campagne victorieuse, dite « Rhin et Danube », contre le Troisième Reich. Il est le seul général français de la Seconde Guerre mondiale à avoir commandé de grandes unités américaines.
Il est le représentant français à la signature de la capitulation allemande à Berlin, le 8 mai 1945, aux côtés d'Eisenhower, Joukov et Montgomery.
Commandant en chef des forces françaises en Allemagne en 1945, il devient inspecteur général de l'Armée de terre et chef d’État-Major général de la Défense nationale en 1947. De 1948 à 1950 auprès du maréchal Montgomery, il est le premier commandant en chef des Forces terrestres de l’Europe occidentale.
Fin 1950, il est envoyé redresser la situation sur le front indochinois, et cumule alors les postes de gouverneur de l'Indochine et de commandant en chef du corps expéditionnaire français en Extrême-Orient. Il remporte en 1951 plusieurs victoires importantes contre le Việt Minh mais, atteint par la maladie, il doit quitter l'Indochine dès la fin de l'année pour se faire soigner en France.
Mort le 11 janvier 1952, il reçoit des funérailles nationales pendant lesquelles il est fait maréchal de France.
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Dominique Galouzeau de Villepin, dit Dominique de Villepin, né le 14 novembre 1953 à Rabat (Maroc), est un homme d'État, écrivain, diplomate et avocat français. Il est Premier ministre du 31 mai 2005 au 17 mai 2007.
Diplomate de formation et proche collaborateur de Jacques Chirac, il est secrétaire général de l'Élysée de 1995 à 2002, puis ministre des Affaires étrangères entre 2002 et 2004. Son discours aux Nations unies contre une intervention militaire en Irak suscite l'attention de la communauté internationale. Il devient ministre de l'Intérieur de 2004 à 2005, dans les gouvernements de Jean-Pierre Raffarin.
Jacques Chirac le nomme Premier ministre en 2005. Après Georges Pompidou et Raymond Barre, Dominique de Villepin est la troisième personnalité sous la Ve République à devenir chef de gouvernement sans jamais avoir brigué un mandat électif au suffrage universel avant son entrée en fonction et le seul à ne s'être jamais présenté à une élection au suffrage universel par la suite.
Alors qu'il est à Matignon, la France connaît une forte croissance, une baisse du chômage et de la charge de la dette publique, ainsi que la mise en place de l'état d'urgence à la suite des émeutes de 2005. Il quitte la tête du gouvernement après l'élection présidentielle de 2007. Il annonce sa candidature à l'élection présidentielle de 2012, mais se retire faute d'un nombre suffisant de parrainages.
Après avoir abandonné la vie politique, il intervient dans les milieux diplomatiques, d'affaires et culturels. Se construisant une fortune personnelle, il gère ses affaires avec sa société de conseil, Villepin International, active dans le monde entier
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Auguste Frédéric Louis Viesse de Marmont, duc de Raguse (1808), maréchal d'Empire (1809) et pair de France (1814), est un militaire français né le 20 juillet 1774 à Châtillon-sur-Seine et mort le 2 mars 1852 à Venise.
Fils d'officier de petite noblesse, il commence sa carrière militaire comme simple lieutenant lors des guerres de la Révolution. En 1793, lors du siège de Toulon, il s'attache au général Bonaparte et dans son sillage connait une ascension fulgurante : colonel du 2e régiment d'artillerie à cheval en 1797, général de brigade en 1798, général de division en 1800 et général en chef de l'armée de Hollande en 1804. Bonaparte, devenu entretemps consul puis empereur, le choisit pour des missions éloignées du théâtre principal des opérations militaires. C'est ainsi qu'il est envoyé à la tête d'une armée française en Dalmatie en 1806, dont il est nommé gouverneur général avant d'être fait duc de Raguse en 1808. En 1809, il participe à la campagne d'Autriche et sa victoire de Znaïm lui vaut d'être fait maréchal d'Empire puis gouverneur général des Provinces illyriennes.
Commandant l'armée du Portugal (1811), il est grièvement blessé lors de la bataille de Salamanque (1812), puis participe activement à la campagne d'Allemagne de 1813 et notamment à la bataille de Leipzig où il se distingue, puis à la campagne de France en 1814. C'est alors que Marmont se décide à abandonner Napoléon et entre directement en négociation avec l'ennemi pour lui livrer tout son corps d'armée et ainsi priver l'Empereur de toute capacité de riposte. Cette défection oblige Napoléon à abdiquer puis à se retirer sur l'île d'Elbe.
Avec le retour de Louis XVIII et la Restauration, Marmont est fait major-général de la Garde royale puis pair de France en juin 1814. Rejeté et méprisé par les bonapartistes qui voient ces nominations comme une récompense à sa trahison, Marmont est contraint de servir les Bourbon plus qu'il ne l'aurait lui-même souhaité. Il assiste impuissant au retour de Napoléon lors des Cent-Jours et doit s'exiler avec le roi Louis XVIII à Gand. Lors de la Seconde Restauration, Marmont se remet au service des Bourbons mais sans en recevoir d'avantages équivalents à ceux qu'il avait sous l'Empire. Peu à peu marginalisé et ruiné par des placements aventureux dans l'industrie, il en est réduit à solliciter auprès de l'Autriche la restitution de ses dotations de duc de Raguse pour maintenir un niveau de vie convenable.
Il reste toutefois major-général de la Garde royale et c'est à ce titre qu'il s'oppose en juillet 1830 à la révolution de Juillet. Placé à la tête des armées royalistes de Paris par Charles X, il est chargé de mater la révolte. Au terme d'une bataille de trois jours avec les insurgés, Marmont est battu et doit évacuer la capitale, précipitant la chute des Bourbons et l'avènement du duc d'Orléans. Marmont décide de suivre Charles X dans son exil en Angleterre, puis en Autriche. Outre la répression sanglante de la révolution de Juillet, personne en France n'a oublié sa trahison de 1814 en ces temps de retour en grâce de l'épopée impériale. Il finit ses jours en exil après avoir fait de nombreux voyages dont il publie les récits. Après sa mort à Venise le 3 mars 1852, son corps est rapatrié en France où il reçoit les honneurs militaires du tout nouveau Second Empire. Mais la publication posthume de ses Mémoires en 1856 ravive les passions et il est de nouveau livré à la vindicte populaire.
Marmont résume ainsi sa vie dans ses Mémoires du Maréchal Marmont, duc de Raguse :
« J'ai été placé, en peu d'années, deux fois dans des circonstances qui ne se renouvellent ordinairement qu'après des siècles. J'ai été témoin actif de la chute de deux dynasties. La première fois le sentiment le plus patriotique, le plus désintéressé, m'a entraîné. J'ai sacrifié mes affections et mes intérêts à ce que j'ai cru, à ce qui pouvait et devait être le salut de mon pays. La seconde fois, je n'ai eu qu'une seule et unique chose en vue, l'intérêt de ma réputation militaire ; et je me suis précipité dans un gouffre ouvert dont je connaissais toute la profondeur.
Peu de gens ont apprécié le mérite de ma première action. Elle a été au contraire l'occasion de déchaînements, de blâmes et de calomnies qui ont fait le malheur de ma vie. Aujourd'hui, je suis l'objet de la haine populaire, et il est sage à moi de considérer ma carrière politique comme terminée. »
Napoléon, quant à lui, juge que « la vanité avait perdu Marmont, la postérité flétrira justement sa vie ; pourtant son cœur vaudra mieux que sa mémoire »
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Mireille Mathieu, née le 22 juillet 1946 à Avignon (Vaucluse), est une chanteuse française de variétés.
Issue d'un milieu modeste, Mireille Mathieu commence sa carrière en 1965 et connaît son premier grand succès en 1966 avec Mon credo. Se façonnant un répertoire regroupant environ 1 200 chansons, interprétées en de nombreuses langues, elle devient une figure de la chanson française à l'échelle internationale.
Parmi les chansons les plus connues de son répertoire figurent La Dernière Valse, La Paloma adieu, Paris en colère, Une histoire d'amour, Pardonne-moi ce caprice d'enfant, Bravo tu as gagné, Acropolis Adieu, Mille colombes, Santa Maria de la Mer ou encore Une femme amoureuse.
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Sheila épouse Guy Bayle, alias Ringo, le 13 février 1973 à Paris, dans le 13e arrondissement, à 13 h 13 à l'église Notre-Dame-de-la-Gare. Son témoin de mariage à l'église est Claude François, avec qui elle entretient une relation « profondément amicale […] fraternelle ». Leur fils, Ludovic, naît à Paris 16e le 7 avril 1975. Pour faire taire la rumeur, la chanteuse fait filmer son accouchement. Le couple divorce le 30 novembre 1979.
Elle épouse en secondes noces Yves Martin (1956-2021), le 15 février 2006 à Saint-Jean-de-Luz. Le couple divorce en 2016.
Son fils Ludovic meurt, à Paris 15e, le 17 juillet 2017 d'une surdose de cocaïne, à l'âge de 42 ans, laissant une fille, Tara Rose, née en novembre 2001
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Discographie
Sheila a à son actif vingt-sept albums studio (dont deux conjointement avec Ringo), 7 albums enregistrés en concert, 3 albums enregistrés en concert avec d'autres artistes et une quarantaine de compilations. 12 coffrets (CD ou vinyles) sont également sortis, ainsi que 92 singles de 1962 à 2008.
Plusieurs chiffres apparaissent dans les médias au sujet de ses ventes de disques
D'après son site officiel, Sheila aurait vendu 70 millions de disques. Selon son ancien producteur Carrère, ses ventes mondiales étaient de l'ordre de 50 millions d'unités en 1981
En plein contentieux avec Claude Carrère, Sheila revendique plus de 65 millions de disques vendus en 1996, chiffre sur lequel elle veut s'appuyer pour mener une procédure civile devant le tribunal judiciaire de Paris outre sa saisine des prud'hommes pour licenciement abusif. Lors de cette affaire, ce chiffre est fermement démenti par son agent exclusif, pour ensuite être ramené à 20 millions de disques. Malgré tout, la chanteuse persiste avec, en 2023, des allégations de « plus de 85 millions de disques vendus, sans streaming », selon ses propres mots. Fin 2017, ses ventes en France étaient estimées à près de 28 millions (albums et singles confondus)
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