Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
09.01.2025
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Après des mois d’interrogation, le début des réponses. Des ossements, dont un crâne, ont été retrouvés tout près du Haut-Vernet (Alpes-de-Haute-Provence), le hameau où avait disparu Émile, deux ans et demi en juillet dernier. Une expertise ADN a été réalisée en urgence et a permis de confirmer que les ossements étaient bien ceux du petit garçon.
Organisation de nouvelles fouilles
Les analyses criminalistiques se poursuivent. Pour l’heure, toutes les hypothèses sont étudiées. "Émile a pu se perdre, il a pu être victime d’un accident, il y a eu, peut-être, une intervention humaine, ses ossements ont pu être transportés par des animaux", explique la colonelle Marie-Laure Pezant. De nouvelles fouilles vont être organisées avec des chiens et des hélicoptères. Cette semaine, déjà, la gendarmerie avait organisé une mise en situation avec dix-sept témoins clé : membres de la famille d’Émile, habitants et deux voisins qui auraient été les derniers à avoir vu l’enfant. Selon la gendarmerie, il n’y aurait aucun lien entre ces fouilles et la découverte des ossements. Les médecins légistes vont maintenant tenter de déterminer les causes précises du décès du petit Émile.
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Georges Wodli, né le 15 juillet 1900 à Schweighouse-sur-Moder (faisant alors partie de l’Empire allemand), et mort à Strasbourg sous la torture au cours de la nuit du 1er avril au 2 avril 1943, est un cheminot militant communiste, syndicaliste et résistant français.
Biographie
Apprenti ajusteur aux ateliers de Bischheim de la Direction générale impériale des chemins de fer d'Alsace-Lorraine, ce fils de cheminot est mobilisé à 18 ans dans la marine allemande, où il prend part à un soulèvement spartakiste à Kiel. Après la fin de la guerre et l’Alsace-Lorraine redevenue française, il effectue son service militaire de 1920 à 1922 à Toulon. Puis il se rend en région parisienne où il apprend la langue française et se fait embaucher aux usines Renault, Farman, puis Hispano-Suiza. Il s'implique dans les luttes sociales et rencontre le cheminot Pierre Semard, qui l'incite à rejoindre le Parti communiste. Il en reste membre malgré la scission qui a lieu en Alsace en juillet 1929 et se voit promu au bureau régional Alsace-Lorraine du parti en 1930, année où il entreprend un voyage en URSS.
De retour en Alsace en 1925, il reprend son activité à Bischheim, s'installe à Schiltigheim et milite pour l'unification du syndicalisme cheminot et devient en 1930 secrétaire général de l’Union des syndicats des cheminots d’Alsace-Lorraine à la CGTU puis à la CGT, qui soutient activement le Front populaire, dans la seconde moitié des années 1930.
Il est candidat pour le Parti communiste aux élections législatives de 1932 à Molsheim, où il n'obtient que 1 330 voix contre 10 891 face au catholique Henri Meck (Union populaire républicaine). Quatre ans plus tard, 2 658 voix se portent sur lui face au même adversaire. Depuis 1933, il se consacrait à l'aide à la résistance allemande des communistes en participant à l'édition des journaux clandestins Die Rote Fahne et de Die Deutsche Volkszeitung, qu'il faisait parvenir en Allemagne par la Suisse ; il anime des campagnes pour les antifascistes victimes des nazis, comme Ernst Thälmann, Edgar André, Liselotte Herrmann et autres opposants au régime hitlérien.
Mobilisé dans l'armée, il est fait prisonnier lors de la débâcle. Il s'évade le 2 septembre 1940, fait pour lequel il est condamné par contumace pour désertion, et rejoint Paris. Le PCF, dont il a été membre du comité central de 1932 à 1937 (il devient suppléant au Congrès de 1937), étant alors interdit, il est chargé de rétablir la liaison avec les communistes de la zone annexée. Il revient en Alsace début 1941 sous le pseudonyme de « Jules » avec une moustache pour se rendre moins identifiable. Il participe à une édition bilingue clandestine de L'Humanité. Il dirige le réseau Wodli, organisant la résistance d'inspiration communiste dans la région, avec son adjoint Georges Mattern (pour le Haut-Rhin), et en liaison avec le groupe Mario (actif en Moselle). Le sabotage de l'exploitation ferroviaire, l'organisation de filières de passage entre les zones française et annexée, l'aide à l'évasion des prisonniers français, soviétiques, polonais dans les camps allemands installés en Alsace-Lorraine, la diffusion de tracts constituèrent des formes privilégiées d'action des groupes qu'il dirigea.
Sa famille est expulsée et se réfugie à Gretz en 1942. C'est en allant la rejoindre qu'il est arrêté par la police de Vichy à Chatou (Yvelines) le 30 octobre 1942. Il est livré à la Gestapo puis interné par les nazis au camp de Schirmeck-La Broque en janvier. Il succombe finalement à la torture au siège de la Gestapo, rue Sellénick, à Strasbourg. Son corps est aussitôt brûlé au four crématoire du camp de concentration du Struthof.
Postérité
Il est reconnu « Mort en déportation »
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Georges Jacques Danton, dit aussi d'Anton, né le 26 octobre 1759 à Arcis-sur-Aube et mort guillotiné le 5 avril 1794 (16 germinal an II) à Paris, est un avocat au Conseil du Roi et un homme politique français, ministre de la Justice.
Danton est une des figures majeures de la Révolution française, comme Mirabeau, avec qui il partage un prodigieux talent oratoire et un tempérament impétueux, avide de jouissances (les ennemis de la Révolution l'appellent « le Mirabeau du ruisseau »), ou comme Robespierre, à qui tout l’oppose : le style, le tempérament et le type de talent. Il incarne la « Patrie en danger » dans les heures tragiques de l’invasion d’août 1792, quand il s'efforce de fédérer contre l'ennemi toutes les énergies de la nation et d'user de tous les expédients : pour vaincre, dit-il, « il nous faut de l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace, et la France est sauvée », et il n'hésite pas, par pragmatisme, à entamer des négociations secrètes avec les monarques coalisés pour négocier une paix rapide.
À l'instar de Robespierre, une légende s'est vite constituée autour de sa personne. Une polémique idéologique et politique entre historiens robespierristes et dantonistes s'est déchaînée et a culminé sous la IIIe République. Pour les premiers, Danton est un politicien sans scrupules, vénal, capable de trahir la Révolution ; pour les seconds, il est un ardent démocrate, un patriote indéfectible, un homme d’État généreux.
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Adrienne Lecouvreur est une comédienne française, née Adrienne Couvreur le 5 avril 1692 à Damery (Marne), près d'Épernay, Adrienne Lecouvreur grandit à Fismes (Marne) où son père exerce le métier de chapelier. Elle est morte le 20 mars 1730 à Paris.
Biographie
Fille d'une blanchisseuse et d'un ouvrier chapelier (Robert Couvreur, homme violent et alcoolique), elle vient à Paris, son père s'établissant dans le voisinage de la Comédie-Française. Après être confiée aux filles de l'instruction chrétienne, Adrienne Couvreur intègre une petite troupe de comédiens. Elle séduit un officier de la garnison, Philippe Le Roy, avec qui elle a une petite fille, Élisabeth-Adrienne, baptisée le 3 septembre 1710. Elle entretient ensuite une liaison avec François-Joseph de Klinglin, fils du plus haut magistrat de Strasbourg, et futur préteur royal, dont elle aura une fille, Françoise Catherine Ursule. Adrienne se fait remarquer à ses débuts à la cour de l'hôtel de Sourdéac, rue Garancière à Paris. C'est à cette occasion que le doyen de la Comédie Française Le Grand s'entiche d'elle, lui donne des cours de diction et ajoute un article à son patronyme (Lecouvreur). Elle entre dans la troupe de la Comédie-Française et y joue pour la première fois dans Mithridate de Jean Racine le 14 mars 1717. Elle veut jouer Célimène dans Le Misanthrope, mais doit y renoncer, le public refusant de la voir dans un rôle de comédie tant elle excelle dans la tragédie. Elle innove en renonçant à la diction chantante traditionnelle dans la tragédie et adopte une déclamation « simple, noble et naturelle ».
Elle collectionne les amants : elle a en 1720 une liaison amoureuse avec le maréchal de Saxe, ce qui lui vaut la haine fatale de sa rivale, la duchesse de Bouillon, femme d'Emmanuel-Théodose de La Tour d'Auvergne ; avec Voltaire dont elle interprète plusieurs tragédies ; enfin avec le chanteur Denis-François Tribou, etc.
En 1730, sa santé se délabre ; elle s'évanouit pendant une représentation. Elle fait encore l'effort d'interpréter Jocaste dans l'Œdipe de Voltaire, mais meurt peu après. Le bruit court qu'elle a été empoisonnée à l'instigation de la duchesse de Bouillon. Voltaire demande une autopsie, dont les résultats ne sont pas concluants. Les comédiens étant frappés d'excommunication, l'Église lui refuse un enterrement chrétien. Elle est donc enterrée à la sauvette par des amis du maréchal de Saxe et de Voltaire, dans le marais de la Grenouillère (actuel Champ-de-Mars). Voltaire, scandalisé, exprime son indignation dans le poème La Mort de Mlle Lecouvreur :
Et dans un champ profane on jette à l'aventure
De ce corps si chéri les restes immortels !
Dieux ! Pourquoi mon pays n'est-il plus la patrie
Et de la gloire et des talents ?
L'une de ses filles épousa le musicien François Francœur.
Hommage
Le souvenir d'Adrienne Lecouvreur est perpétué par une rue du Havre, une avenue de Maisons-Laffitte et une allée du 7e arrondissement de Paris.
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Marina Vlady, au civil Catherine Marina de Poliakoff-Baïdaroff, est une actrice, chanteuse et écrivain française née le 10 mai 1938 à Clichy (Clichy-la-Garenne), dans la banlieue de Paris
Émigrés de Russie après la Révolution de 1917, ses parents se réfugient en France. Son père Vladimir de Poliakoff était chanteur d'opéra et sa mère Militza Envald, danseuse étoile. Ils ont eu quatre filles toutes vouées au spectacle : Olga (1928-2009) dite Olga Varen, réalisatrice à la télévision ; Tania (1930-1980) dite Odile Versois, actrice ; Militza (1932-1988) dite Hélène Vallier, actrice ; et Marina.
Elle a été mariée au comédien et metteur en scène Robert Hossein avec qui elle a eu deux enfants : Pierre et Igor ; puis à Jean-Claude Brouillet, aviateur, ancien résistant et entrepreneur dans le transport aérien dont elle a un enfant : Vladimir. Elle se marie ensuite avec Vladimir Vissotsky, poète, acteur et chanteur russe avec lequel elle vivra douze années en URSS jusqu'à la mort prématurée de celui-ci en 1980 à l'âge de 42 ans. Elle vit ensuite pendant vingt-trois ans avec le cancérologue Léon Schwartzenberg.
En 2006, Marina Vlady chante son amour pour Vladimir Vissotsky au théâtre des Bouffes du Nord, récital intitulé Vladimir ou le vol arrêté, titre éponyme de son livre paru en 1987. En 1973, Marina Vlady avait enregistré quelques chansons, notamment Le Voleur de chevaux qui connut un succès radio.
Engagée à gauche et dans le féminisme, le 5 avril 1971, elle est l'une des 343 signataires du manifeste dit « des 343 salopes » paru dans le journal Le Nouvel Observateur.
Selon Paris-Match du 11 juin 1955, l'initiale V, commune aux quatre pseudonymes choisis avec ses sœurs Varen, Versois, Vallier et Vlady, serait le V de la victoire.
Marina Vlady débute au cinéma en 1949 (dans le rôle de « Marie-Tempête » !) et perce dès 1954 dans Avant le déluge d'André Cayatte, remarquée notamment pour sa beauté spectaculaire. Elle devient aussitôt une des principales jeunes premières du cinéma français, aussi à l'aise dans la comédie (Sophie et le Crime de Pierre Gaspard-Huit) que dans le drame et le film noir, même si La Sorcière d'André Michel (l'un des films dont elle demeure très fière) ne rencontre pas un grand succès public. Elle tourne ensuite plusieurs films diversement accueillis sous la direction de Robert Hossein, avec qui elle forme l'un des couples les plus séduisants de l'hexagone, notamment Toi, le venin (1959, où Marina a pour partenaire sa sœur Odile Versois). Selon le Dictionnaire du cinéma français paru chez Références Larousse (sous la direction de Jean-Loup Passek), le premier de ces films, Les Salauds vont en enfer, écrit par Frédéric Dard, « a au moins le mérite de la nouveauté » et un « climat étrange, violent, érotique » qui le caractérise. Le couple se retrouve aussi dans Crime et Châtiment de Georges Lampin, La Sentence de Jean Valère et Les Canailles de Maurice Labro d'après James Hadley Chase.
Selon le Dictionnaire du cinéma français, les quatre films de Hossein « permettent [à Marina] de relancer une image de marque qui avait beaucoup de mal à convaincre le public. »
Toujours selon cet ouvrage, La Princesse de Clèves met en évidence la « distinction » de Marina Vlady jusque-là plutôt considérée comme une sorte de bombe érotique dotée d'un tempérament dramatique.
En 1960, La Princesse de Clèves de Jean Delannoy, adaptation luxueuse de l'œuvre de Madame de La Fayette, mais qu'une certaine critique française jugea « trop académique », réaffirme avec éclat son statut de star capable de porter un film sur ses seules épaules. Suivront Adorable Menteuse et On a volé la Joconde de Michel Deville, et le très cynique Les Bonnes Causes du vétéran Christian-Jaque. En Italie, la star s'illustre dans La Fille dans la vitrine de Luciano Emmer et surtout, avec Ugo Tognazzi, dans Le Lit conjugal de Marco Ferreri (sa composition dans ce dernier film lui vaut une large reconnaissance critique et un prix d'interprétation à Cannes), sous la direction de Steno dans Casanova et, plus tard, aux côtés d'Alberto Sordi dans Contestation générale de Luigi Zampa (1970) et dans Le Malade imaginaire de Tonino Cervi (1979) ; enfin son ami Orson Welles lui offre une apparition digne d'un ange dans Falstaff en 1965. L'année suivante, Atout cœur à Tokyo de Michel Boisrond fait déjà figure d'exception dans une carrière essentiellement vouée aux films d'auteur.
Au cours de sa carrière de star à l'écran, Marina Vlady interprétera notamment Caroline Esterhazy dans Symphonie inachevée (1954) et Marie-Antoinette dans La Nuit de l'été de Jean-Claude Brialy à la télévision en 1979.
Au milieu des années 1960, Marina Vlady apparaît en tête d'affiche du film de Jean-Luc Godard, 2 ou 3 choses que je sais d'elle, et fait montre d'une exigence rare en privilégiant des œuvres confidentielles : Mona, l'étoile sans nom d'Henri Colpi, Le Temps de vivre de Bernard Paul, Lika, le grand amour de Tchekhov de Serguei Youtkhevitch, Sirocco d'hiver de Miklós Jancsó, La Nuit bulgare de Michel Mitrani...
Dans les années 1970 et 1980, Marina alterne comédies populaires (Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil de Jean Yanne, Twist again à Moscou de Jean-Marie Poiré) et films d'auteur au succès moindre (Tangos, l'exil de Gardel de Fernando E. Solanas).
En 1976, elle joue la maîtresse du Régent (Philippe Noiret) dans Que la fête commence de Bertrand Tavernier et en 1989 donne la réplique à Marcello Mastroianni (25 ans après Jours d'amour de Giuseppe De Santis) dans Splendor d'Ettore Scola.
Son éclectisme la pousse aussi vers des entreprises atypiques à caution littéraire telles que Les Jeux de la comtesse Dolingen de Gratz de Catherine Binet (d'après Bram Stoker et Jules Verne) et l'adaptation libre du roman érotique d'Apollinaire, Les Exploits d'un jeune Don Juan, ou vers des films plus politiques — Le Complot de René Gainville ou Follow Me de Maria Knilli — , travaillant aussi bien en Russie qu'au Japon ou en Grèce...
Le Dictionnaire du cinéma français évoque « les traits réguliers et lumineux, le visage botticellien, la grâce naturelle » de Marina Vlady, en s'interrogeant sur la responsabilité de sa beauté dans le déroulement d'une carrière en deçà des promesses. Peu de comédiennes se maintiennent dans les hauteurs atteintes par Vlady dans les années 1960, démontrant l'étendue de son talent aussi bien dans la gravité que dans la légèreté, dans des films souvent rares et à découvrir.
Marina Vlady n'est plus apparue au cinéma depuis 1998 et a considérablement ralenti son activité sur le petit écran qui lui a offert, depuis Les Petites Demoiselles de Michel Deville (1964), de très nombreuses opportunités. Ici encore l'actrice privilégie l'exigence, à travers la littérature et l'histoire. Elle paraît ainsi dans Le Roman du samedi : L'Agent secret de Marcel Camus (1981) d'après Joseph Conrad, Lorelei de Jacques Doniol-Valcroze (1982) d'après Maurice Genevoix, Les Secrets de la princesse de Cadignan de Jacques Deray, adaptation d'Honoré de Balzac par Jean-Claude Carrière, Fort comme la mort d'après Guy de Maupassant, La Chambre des dames de Yannick Andréi adapté du roman de Jeanne Bourin qui remporte un triomphe, Les Beaux Quartiers adapté de Louis Aragon, Condorcet écrit par Élisabeth Badinter, Victoire, ou la douleur des femmes de Nadine Trintignant, Résurrection de Paolo et Vittorio Taviani (2001) d'après Léon Tolstoï — à ce jour sa dernière apparition à l'écran.
Ces dernières années, la comédienne se consacre à la scène et à l'écriture.
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Filmographie
Cinéma
1949 : Orage d'été de Jean Gehret : Marie-Tempête
1952 : Dans la vie tout s'arrange de Marcel Cravenne : Jacqueline
1954 : Avant le déluge d'André Cayatte : Liliane
1955 : Le Crâneur de Dimitri Kirsanoff : Juliette
1955 : Sophie et le Crime de Pierre Gaspard-Huit : Sophie
1955 : Symphonie inachevée (Sinfonia d'amore) de Glauco Pellegrini : la comtesse Caroline Esterhazy
1956 : La Sorcière d'André Michel : Ina
1956 : Les salauds vont en enfer de Robert Hossein : Éva
1956 : Pardonnez nos offenses de Robert Hossein : Dédée
1956 : Crime et châtiment de Georges Lampin : Lili Marcellin
1958 : La Liberté surveillée d'Henri Aisner et Vladimír Vlcek : Éva
1959 : Toi, le venin de Robert Hossein : Éva Lecain
1959 : La Sentence de Jean Valère : Catherine
1959 : La Nuit des espions de Robert Hossein : Elle
1960 : Les Canailles de Maurice Labro : Hélène Chalmers
1961 : La Princesse de Clèves de Jean Delannoy : La princesse de Clèves
1961 : La Fille dans la vitrine (La Ragazza in vetrina) de Luciano Emmer : Else
1962 : Adorable Menteuse de Michel Deville : Juliette
1962 : Climats de Stellio Lorenzi : Odile Marcenat
1962 : Les Bonnes Causes de Christian-Jaque : Catherine Dupré
1962 : Les Sept Péchés capitaux (film)
1963 : Le Meurtrier de Claude Autant-Lara : Ellie
1963 : Le Lit conjugal (Una storia moderna: l'ape regina) de Marco Ferreri : Regina
1965 : Falstaff (Campanadas a medianoche) d'Orson Welles : Kate Percy
1966 : On a volé la Joconde (Il Ladro della Gioconda) de Michel Deville : Nicole
1966 : Atout cœur à Tokyo de Michel Boisrond : Eva Wilson
1967 : 2 ou 3 choses que je sais d'elle de Jean-Luc Godard : Juliette Jeanson
1967 : Mona, l'étoile sans nom d'Henri Colpi : Mona
1969 : Le Temps de vivre de Bernard Paul : Marie
1969 : Lika, le grand amour de Tchekhov (Syuzhet dlya nebolshogo rasskaza) de Serguei Youtkhevitch : Lika
1969 : Sirocco d'hiver (Sirokkó) de Miklós Jancsó : Maria
1970 : Pour un sourire, de François Dupont-Midi
1971 : Sapho ou la Fureur d'aimer de Georges Farrel : Françoise Legrand dite « Sapho »
1972 : La Nuit bulgare de Michel Mitrani : Marthe Tarset
1972 : Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil de Jean Yanne : Madame Thulle
1973 : Le Complot de René Gainville : Christiane
1975 : Sept morts sur ordonnance de Jacques Rouffio : Muriel Losseray
1976 : Que la fête commence de Bertrand Tavernier : Madame de Parabère
1977 : Elles deux (Ök ketten) de Márta Mészáros : Mari
1980 : L'Œil du maître de Stéphane Kurc : Isabelle de Brabant
1982 : Les Jeux de la comtesse Dolingen de Gratz, de Catherine Binet : La mère de la fillette
1984 : Bordelo de Níkos Koúndouros
1985 : Tangos, l'exil de Gardel de Fernando E. Solanas : Florence
1985 : Un'isola de Carlo Lizzani
1986 : Twist again à Moscou de Jean-Marie Poiré : Natacha Tataïev
1987 : Les Exploits d'un jeune Don Juan (L'Iniziazione) de Gianfranco Mingozzi : Madame Muller
1989 : Splendor d'Ettore Scola : Chantal
1989 : Follow Me de Maria Knilli : Ljuba
1991 : Pyushchye krovy de Yevgeni Tatarsky
1992 : O-Roshiya-koku suimu-dan (The Dream of Russia) de Junya Sato : La princesse Ekaterina
1996 : Le Fils de Gascogne de Pascal Aubier : Elle-même
1996 : Anemos stin poli de Petros Sevastikoglou : Simone
1997 : Jeunesse de Noël Alpi : Miss Alice
2011 : Quelques jours de répit de d'Amor Hakkar
Télévision
1974 : Les charmes de l'été
1978 : Les Deux Berges de Patrick Antoine : Marcelline Dorval
1982 : Fort comme la mort, téléfilm de Gérard Chouchan : Any de Gilleroy
1982 : Les Secrets de la princesse de Cadignan téléfilm de Jacques Deray d'après Honoré de Balzac : la marquise d'Espard
1998 : Tous les papas ne font pas pipi debout de Dominique Baron : Grany
2000 : Victoire, ou la douleur des femmes de Nadine Trintignant : Victoire
Théâtre
1957 : Vous qui nous jugez de Robert Hossein, mise en scène de l'auteur, Théâtre de l'Œuvre
1957 : Jupiter de Robert Boissy, mise en scène Jacques-Henri Duval, Théâtre des Célestins
1966 : Les Trois Sœurs d'Anton Tchekov, mise en scène André Barsacq, Théâtre Hébertot
1983 : Erendira et la grand-mère diabolique de Gabriel García Márquez, mise en scène Augusto Boal, Théâtre de l'Est parisien
1992 : Sarcophagus de Vladimir Gubariev, adaptation Éric-Emmanuel Schmitt, mise en scène Jean-Luc Tardieu, Maison de la Culture de Loire-Atlantique Nantes
1994 : La Source bleue de Pierre Laville, mise en scène Jean-Claude Brialy, Théâtre Daunou
1999 : La Cerisaie d'Anton Tchekov, mise en scène Georges Wilson, Espace Pierre Cardin
2006 et 2007 : Vladimir Vissotsky ou le vol arrêté, mise en scène Jean-Luc Tardieu, Théâtre des Bouffes du Nord
2009 : Vladimir Vissotsky ou le vol arrêté, mise en scène Jean-Luc Tardieu, Théâtre Meyerhold (Moscou), invité par le Théâtre de la Nation
2009 : Les Dames du jeudi de Loleh Bellon, mise en scène Christophe Lidon, Centre national de création d'Orléans
2010 : Les Dames du jeudi de Loleh Bellon, mise en scène Christophe Lidon, Théâtre de l'Œuvre
Discographie
1973 : Il est à moi, Le Voleur de chevaux, 45 tours (S 2 titres) CBS
1974 : Vlady Vissotsky, 33 tours 12 titres chantés avec Vladimir Vissotsky, réédité en 2007 CD Le Chant du Monde
1981 : Berceuse cosaque, La jeune fille se promenait dans les bois, Berceuse pour endormir l'orage, Petite berceuse, chantées en russe, Le Chant du Monde, réédition sur compilation Éternelle Russie, 3 CD Sélection du Reader's Digest 3058 (1995)
Bibliographie
Babouchka, récit, coécrit avec Hélène Vallier, Odile Versois et Olga Varen, Éditions Fayard, Paris, 1979
Vladimir ou le vol arrêté, récit, Éditions Fayard, Paris, 1987
Les Jeunes filles, roman de Vladimir Vissotsky, avant-propos de Marina Vlady, Éditions Alinea, 1989
Récits pour Militza, récit, Éditions Fayard, Paris, 1989
Le Collectionneur de Venise, roman, Éditions Fayard, Paris, 1990
Le Voyage de Sergueï Ivanovitch, roman, Éditions Fayard, Paris, 1993
Du cœur au ventre, essai, Éditions Fayard, Paris, 1996
Ma Ceriseraie, roman, Éditions Fayard, Paris, 2001
Ballades, poésies, de Vladimir Vissotsky, préface de Marina Vlady, Les Éditions de Janus, Paris, 2003
24 images/seconde, mémoires, Éditions Fayard, Paris, 2005
Sur la plage, un homme en noir, roman, Éditions Fayard, Paris, 2006
Le Fol Enfant, récit, Éditions Fayard, Paris, 2009
Distinctions
1954 : Prix « Suzanne Bianchetti » pour Avant le déluge d'André Cayatte
1963 : Prix d'interprétation féminine au Festival de Cannes pour Le Lit conjugal (Una storia moderna: l'ape regina) de Marco Ferreri
2008 : Prix « Reconnaissance des cinéphiles » pour l'ensemble de sa carrière remis par l'association « Souvenance de cinéphiles » à Puget-Théniers (Alpes-Maritimes)
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Florence Parly, née le 8 mai 1963 à Boulogne-Billancourt (Seine), est une haute fonctionnaire, femme politique et dirigeante d'entreprise française.
Administratrice civile à la direction du Budget puis conseillère dans différents cabinets ministériels, elle intègre en 1997 le cabinet du Premier ministre, Lionel Jospin. Elle est secrétaire d'État au Budget du 3 janvier 2000 au 6 mai 2002 dans le gouvernement Lionel Jospin sous la présidence de Jacques Chirac et, quinze ans plus tard, ministre des Armées dans les gouvernements Philippe II et Castex du 21 juin 2017 au 20 mai 2022 sous la première présidence d'Emmanuel Macron.
Dans le secteur privé, elle travaille chez Air France, où elle est notamment directrice générale adjointe de 2008 à 2014 puis membre du conseil d'administration à partir de 2023. Elle travaille aussi à la direction de la SNCF, d'abord comme directrice générale à la stratégie et aux finances du groupe ferroviaire public, avant de devenir en 2016 directrice générale de l'univers Voyageurs de SNCF Mobilités.
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Nathalie Arthaud, née le 23 février 1970 à Peyrins (Drôme), est une femme politique française.
Enseignante, porte-parole du parti d'extrême gauche trotskiste Lutte ouvrière (LO) depuis 2008, elle est trois fois candidate à l'élection présidentielle française pour ce parti : en 2012 (0,56 % des suffrages exprimés), en 2017 (0,64 %) et en 2022 (0,56 %). Entre 2008 et 2014, elle est conseillère municipale de Vaulx-en-Velin, dans le Rhône.
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