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Date de création : 27.11.2008
Dernière mise à jour :
08.02.2013
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Le circuit de la vie...
L'Homme naît en pleurant
Il grandit en souffrant
Il survit en aimant
Il meurt en espérant
L'Homme qui pleure devient plus humain
L'Homme qui souffre devient plus croyant
L'Homme qui aime se mire dans le divin
L'Homme qui espère maîtrise son destin
Il marche vers l'amour
Il oeuvre par amour
Il est fait pour l'amour
L'Homme qui pleure se nourrit d'espoir
L'Homme qui hait trébuche dans le noir
L'Homme qui aime fuit le désespoir
L'Homme qui espère se rend jusqu'au soir
Alma Cloutier-Nadeau
Les traditions des Marrons de Moore Town
Inscrit en 2008 sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité
Pays : Jamaïque
(UNESCO)
Située dans les montagnes de l’est de la Jamaïque, la ville de Moore Town est le lieu de résidence des descendants de communautés indépendantes d’anciens esclaves fugitifs, les Marrons. Les ancêtres africains des Marrons de Moore Town ont été arrachés à leur terre natale et emmenés dans les Caraïbes par des marchands d’esclaves espagnols aux seizième et dix-septième siècles. Le terme Marron, qui vient de l’espagnol cimarrón (sauvage), désigne les esclaves qui se sont enfuis des plantations au début des années 1600 et ont fondé leurs propres communautés dans les montagnes Bleues et les monts Johncrow. Au début du dix-huitième siècle, ces communautés contrôlaient la quasi-totalité de la partie orientale de l’île. Pour contrer l’expansion du système de plantation des Britanniques, elles ont formé des unités militaires clandestines bien organisées et extrêmement efficaces. Après des décennies de guerre, les Britanniques ont finalement accédé à la demande des communautés pour la reconnaissance de leur autonomie, avec la signature d’un traité avec les Marrons en 1739.
Moore Town
Originaires de l’ouest et du centre de l’Afrique, avec des langues et pratiques culturelles diverses, les Marrons de Moore Town ont élaboré de nouvelles cérémonies religieuses collectives qui ont assimilé plusieurs traditions spirituelles. Ces expressions et pratiques, appelées par la suite Kromanti Play, constituent aujourd’hui encore le fondement même de l’identité marron. Pendant les cérémonies coromantee, des danses, des chants et des rythmes de tambour spécifiques sont exécutés pour invoquer les esprits des ancêtres. Ces rituels font usage d’une langue d’origine africaine, également appelée coromantee, et de préparations médicinales rares. L’héritage des habitants de Moore Town comprend aussi un système original de terres en propriété collective, une structure politique locale et l’utilisation de l’abeng, une corne originaire de Jamaïque qui sert de moyen de communication à longue distance.
Souffleur d'Abeng
Plusieurs décennies d’opposition des missionnaires au Kromanti Play ont conduit cette tradition à une clandestinité partielle et causé de graves clivages au sein des communautés. S’y ajoute la dégradation de la conjoncture économique contraignant de nombreux Marrons à migrer vers d’autres régions du pays ou à l’étranger.
Un biome (du grec bios = vie), appelé aussi macroécosystème, aire biotique, écozone ou écorégion, est un ensemble d'écosystèmes caractéristique d'une aire biogéographique et nommé à partir de la végétation et des espèces animales qui y prédominent et y sont adaptées. Il est l'expression des conditions écologiques du lieu à l'échelle régionale ou continentale : le climat qui induit le sol, les deux induisant eux-mêmes les conditions écologiques auxquelles vont répondre les communautés des plantes et des animaux du biome en question.
Les biomes terrestres sont décrits par la science de la biogéographie. La classification écologique des terres définit le vocabulaire utilisé pour évaluer la taille de ces zones du micro-habitat à la biosphère. Leur concept embrasse les notions de communauté, d'interaction entre sols, plantes et animaux.
Par extension, on parle de microbiome, pour désigner l'espace de vie du microbiote.
Frederic Edward Clements (1874-1945) utilisa le terme « biome » pour la première fois dans une publication en 1916.
Le biome a rang d'unité fondamentale pour l'écologie. Victor Ernest Shelford (1877-1968) définit en 1931 le terme de biome comme l'entité écologique et l'unité biogéographique que constituent la formation végétale et la formation animale qui lui correspond.
A l'échelle du globe, la forêt tropicale dense, la savane, la steppe, la forêt tempérée décidue ou mixte, la toundra sont les grands biomes caractérisant la biosphère, qui ont une répartition zonale, c'est-à-dire qu'ils ne dépassent pas certaines valeurs latitudinales.
Forêt tropicale
À l'échelle continentale ou régionale, ils peuvent être complexes à délimiter, d'une part parce que différentes habitudes d'appellation existent, et d'autre part parce que leurs frontières peuvent être floues. Par ailleurs, un même biome peut être nommé de façon variable en fonction du continent sur lequel il se trouve. Par exemple, le biome « prairies tempérées » est localement connu sous les noms de steppe, pampa ou veld en fonction de sa localisation.
Pampa
Le biome est fondamentalement caractérisé par son climat, en particulier températures et précipitations. C'est d'ailleurs la répartition zonale des climats qui a conduit à mettre en évidence la zonation des sols à la fin du XIXe siècle, puis des biomes. D'autres paramètres physiques peuvent intervenir, comme une altitude particulière ou un sol périodiquement submergé par exemple. Ce sont donc les conditions abiotiques qui déterminent le type de biome. En effet ces conditions sélectionnent des espèces adaptées: par exemple, dans les régions froides, il n'y aura que des espèces végétales adaptées à la rigueur du froid.
Influence combinée des facteurs géographiques climatiques sur les écosystèmes (en réalité les écosystèmes influent aussi rétroactivement sur le climat et produisent du relief, sur le très long terme)
Le biome est fondamentalement caractérisé par son climat, en particulier températures et précipitations. C'est d'ailleurs la répartition zonale des climats qui a conduit à mettre en évidence la zonation des sols à la fin du XIXe siècle, puis des biomes. D'autres paramètres physiques peuvent intervenir, comme une altitude particulière ou un sol périodiquement submergé par exemple. Ce sont donc les conditions abiotiques qui déterminent le type de biome. En effet ces conditions sélectionnent des espèces adaptées: par exemple, dans les régions froides, il n'y aura que des espèces végétales adaptées à la rigueur du froid.
Végétation arctique
En effet, l'eau et les températures dont la répartition à l'échelle du globe est largement conditionnée par la rotation de la terre sur son axe, sont deux facteurs fondamentaux de détermination d'un climat. Ils présentent, à l'échelle globale et continentale, des variations selon la latitude. Cette distribution est par conséquent corrélée avec des bandes de végétation homogènes. Ces bandes latitudinales (observées en premier lieu par Dokoutchaev, père de la pédologie russe), sont appelées zones (du grec Zonê qui veut dire ceinture) et ont donné naissance au concept de zonalité, fondamental en géographie des milieux naturels. Ainsi par exemple, la biodiversité est croissante depuis les pôles jusqu'à l'équateur, que ce soit d'un point de vue animal ou végétal. La forêt équatoriale dense est le biome le plus riche et le plus divers.
Forêt équatoriale dense
Le besoin d'un système de classification des biomes après la mise en place des systèmes de classification des climats basée sur les seuls critères météorologique comme la pluviométrie et l'ensoleillement. Les premières classifications bio-climatiques sont nées dans les années 1950 avec la classification de Holdridge. Les Classifications écologiques des terres se sont précisées et diversifiées. Plusieurs pays vont se doter de leur propre système de classification. Toutes les classifications produites ne sont pas équivalentes, les critères pour les définir étant choisi pour répondre à des objectifs qui peuvent différer selon les états ou les organisations qui les choisissent. Ainsi les États-Unis ont mis en place des classifications comme le United States National Vegetation Classification Standard dans le cadre de la Commission de coopération environnementale qui vont permettent de définir des biomes. Les biomes définis sont alors répertoriés d'une façon précise, ce qui permet de définir une politique de protection précise. Les sites importants pour chaque biome ont alors été répertoriés dans des bases de données du type de la base européenne Corine Biotope, aujourd'hui remplacée par celle de EUNIS. Les biomes utilisés par l'union européenne sont répertoriés par la Digital Map European Ecological Region (DMEER) ou par l'Environmental classification of Europ (ENC).
Le WWF propose un système indépendant valable pour la planète entière.
Biome terrestre
Selon le WWF , il existerait deux grands types de biomes, les biomes terrestres et aquatiques. S'il existe des biomes aquatiques, ils répondent beaucoup moins aux critères de la zonalité en raison des vastes courants marins qui parcourent les océans à tous les niveaux de profondeur. Ils sont plus difficiles à définir dans l'espace, notamment pour ces milieux marins. Dans l'acception du "biome" tel que défini ci-dessus, l'étude des milieux aquatiques relèverait plutôt de l'océanographie, ou de la limnologie . En effet, pour des questions d'échelle, un delta et un écosystème marin marquée par la présence de remontées d'eau des profondeurs (« upwellings ») semblent assez peu comparables. Ou alors cela revient à assimiler biomes et milieux naturels à toutes les échelles, ce que ne font pas la biogéographie ou l'écologie.
Biome aquatique
Les grands biomes terrestres
Zones chaudes
Forêts tropicales et subtropicales humides à feuilles caduques • Forêts tropicales et subtropicales sèches à feuilles caduques • Forêts de conifères tropicales et subtropicales • Prairies, savanes et brousses tropicales et subtropicales • Prairies et savanes inondées • Mangrove
Zones tempérées
Forêts tempérées d’arbres à feuilles caduques • Forêts de conifères tempérées • Steppes herbacées, savanes et brousses tempérées • Forêts, bois et broussailles méditerranéens
Zones froides
Taïga • Toundra
Azonaux
Déserts et broussailles xérophytes • Prairies et brousses de montagnes et de hauts plateaux
Les fleurs du Printemps
sont les rêves de l'hiver,
racontés le matin,
à la table des Anges...
Khalil Gibran
La jacinthe, appelée en latinhyacinthus orientalis, est une plante vivace bulbeuse très populaire, originaire d'Orient et de culture sans problème ; elle appartient à la famille des liliacées.
Son nom vient de la mythologie grecque selon laquelle le beau Hyakinthos, tué accidentellement par Apollon, fut changé en fleur.
La partie souterraineest constituée par un bulbe de grosse dimension que l'on peut retirer du sol après floraison, dès que les feuilles sont fanées. On le remet à nouveau en terre en automne.
Les feuilles sont étroites, épaisses et allongées et leurs bords recourbés leur donnent la forme d'un canal.
Les grosses inflorescences délicieusement parfumées sont portées par une solide hampe charnue.
Les pétales et sépales identiques sont soudés à leur base tubulaire et leurs couleurs sont très variées suivant les espèces ou variétés.
Ces pièces florales épaisses sont robustes et résistent bien aux intempéries.
On pratique couramment le forçage qui consiste à faire subir aux bulbes des conditions qui induiront une floraison plus précoce pour les plantes en pot par exemple.
La multiplication des jacinthes se fait par division des nouveaux bulbes.
Il existe de très nombreuses variétés de jacinthe, on peut les classer en :
- jacinthes romaines (j. albulus) à plusieurs fleurs blanches par bulbe
-jacinthes parisiennes (j. provincialis) à plusieurs fleurs blanches, bleues ou roses, parfois doubles par bulbe
- jacinthes des jardins ou de Hollande: résultat de plusieurs siècles de culture, elles ont des fleurs plus grandes, avec des coloris plus brillants et sont plus aptes au forçage.
On peut citer parmi la cinquantaine de variétés disponibles, " yellow hammer " jaune d'or, " gipsy queen " abricot-orangé, " lavictoire "rouge vif, " pink pearl " rose, " améthyste " violet-lilas, " roi des bleus " bleu vif et " Bismark " bleu ciel.
Les jacinthes de Hollande dégénèrent au bout de quelques années contrairement aux romaines ou parisiennes.
Nom scientifique Hyacinthus
Couleur des fleurs Blanc, Bleu, Rose, Rouge
Exposition Mi-ombre, Soleil
Floraison Mars, Avril
Type de sol Léger, Riche, Sableux
MaladiesPourriture grise
FamilleAsparagaceae
Feuillage Caduc
Origine Bassin méditerranéen
Utilisation En bordure, En jardinière, En massif, En pot, En rocaille
C'est quoi l'espoir ???
La petite lumière vacillante au fond du tunnel de nos âmes quand il y fait noir, tout noir.
Edmond Rostand, nous donne un conseil fulgurant : “C’est la nuit qu’il est beau de croire à la lumière !”. Dans la guerre, dans le deuil, dans la souffrance, dans la solitude et la tristesse, c’est parce que l’on sait garder espoir que l’on réussit à sortir du trou.
C’est parce que des hommes, des femmes, des enfants ne perdent pas espoir dans leurs heures les plus noires que l’humanité évolue, comme guidée par ce flambeau invisible qui est au fond de nos coeurs.
Seulement l’espoir est comme une plante, il se cultive, il a besoin de soins : c’est la petite fleur sur son astre désert qu’arrose sans cesse le Petit Prince afin qu’elle vive et qu’elle soit un témoin d’amour. Par l’attention qu’on porte aux choses,aux êtres, aux situations et à soi-même, l’évolution se féconde, le progrès germe graduellement et la création finit par refleurir.
Mais l’espoir d’une vie meilleure ne suffit pas : il faut forger cette existence qu’on souhaite et cesser de la rêver ; il faut se former soi-même.
Garder espoir, c’est toujours faire un pas de plus, quelle que soit la détresse, quel que soit l’obstacle. L’espoir c’est aussi la confiance que l’on a dans la vie.
La puissance de cet espoir intérieur transforme les imperfections en énergie positive. On s’aperçoit alors qu’en cela espoir rime bien avec voir et… se voir.
Enfin l’espérance se partage : il est des trésors en chaque être, il faut savoir les découvrir. Car avoir l’espoir c’est aussi savoir sourire.
Marc de Smedt