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Date de création : 27.11.2008
Dernière mise à jour :
08.02.2013
5848 articles
" Cherchez et vous trouverez " !
Un brahmane très pieux, tous les jours à son réveil, prenait son bain rituel et partait aussitôt vers le temple, son panier d'offrandes à la main. Il allait assister à la prière du matin. De même le midi et le soir, il retournait au temple. Ainsi, trois fois par jour, il rendait un culte à Dieu. Avec ferveur il priait : " Seigneur, je viens te rendre visite chez toi, sans que j'aie manqué un seul jour. Matin et soir, je te fais des offrandes. Ne peux-tu pas venir chez moi ? " Attentif à cette prière quotidienne, Dieu lui répondit enfin : " Demain, je viendrai. "
Tout heureux il se met à laver à grande eau sa maison. Il fait tracer devant le seuil des dessins en pâte de riz. À l'aube, il attache une guirlande de feuilles de manguier à l'entrée de sa maison. Dans la salle de réception, des plateaux de fruits, de galettes sucrées et de fleurs s'étalent à profusion. Tout est prêt pour recevoir Dieu. Il se tient debout pour l'accueillir.
L'heure de la prière matinale approche.
Un petit garçon qui passe par là aperçoit, par la fenêtre ouverte, les plateaux de galettes. Il s'approche : " Grand-père, tu as beaucoup de galettes, là-dedans, ne peux-tu m'en donner une ? " Furieux de l'audace du gamin, il réplique : " Veux-tu filer, moucheron. Comment oses-tu demander ce qui est préparé pour Dieu ? " Et le petit garçon effrayé s'enfuit.
La cloche du temple a sonné. La prière est terminée. " Dieu viendra après le culte de midi, attendons-le. " Fatigué, il s'assoit sur le banc. Un mendiant arrive et lui demande l'aumône. Le brahmane le chasse vertement. Puis il lave soigneusement la place souillée par les pieds du mendiant. .. Et midi passe . . . Dieu n'est toujours pas au rendez-vous.
Le soir vient. Tout triste, il attend toujours la visite promise. Un pèlerin se présente à l'heure de la prière. " Permettez-moi de me reposer sur le banc et d'y dormir cette nuit... " " Jamais de la vie ! C'est le siège réservé à Dieu ! " La nuit est tombée. Dieu n'a pas tenu sa promesse, pense-t-il tout triste.
Le lendemain, revenu au temple pour la prière, il renouvelle ses offrandes et fond en larmes : " Seigneur, tu n'es pas venu chez moi comme tu me l'avais promis ! Pourquoi ? " Une voix lui dit alors : " Je suis venu trois fois et chaque fois tu m'as chassé. "
Légende indienne
Le soleil brille toujours
Si on regarde bien,on verra,
même dans la journée la plus sombre...
un petit rayon de soleil...
qui guide nos pas.
On peut le trouver...
dans un sourire amical ...
ou dans un simple "Bonjour" Chaleureux.
Si on regarde bien, on le verra…
presque partout sur son chemin.
Il suffit de découvrir des moyens,
souvent très simples,
de laisser le soleil percer.
Le bonheur est comme le soleil:
il arrive parfois derrière les nuages,
Mais n'empêche qu'il est...
toujours présent quand même !
(auteur inconnu)
Le chant de la nature
Le chant de la nature me murmure qu'il faut laisser son cœur donner aux autres ses plus belles couleurs.
Le chant de la nature me confie que l'âme est un bouquet de fleurs immortelles et multicolores sur lesquelles se posent des papillons bleus.
Le chant de la nature me souffle que la vie est belle quand on la regarde avec émerveillement.
Le chant de la nature me révèle avec délicatesse et douceur qu'il faut écouter le bruit que fait le bonheur non quand il s'en va, mais quand il est là.
Le chant de la nature me dit que la souffrance face à un échec, face à une situation dure à vivre ne dure pas, qu'elle s'efface pour laisser place à la joie de vivre en accord avec soi, en s'aimant, en aimant les autres.
Le chant de la nature me crie que vivre c'est explorer librement le champ infini du chant des cœurs, des chants de l'âme.
Les chants des cœurs, les chants des âmes sont les chants les plus beaux, ceux qui nous amèneront à cette paix, à cette sérénité, à cette harmonie dont nous rêvons tous, chacun dans notre coin, sans savoir comment agir pour que ça devienne réalité.
Libérons nos cœurs, libérons nos âmes, écoutons-les et laissons leurs chants s'envoler vers les autres.
Fabi....
Si tu es las
Si tu es las et que la route te paraît longue,
Si tu t’aperçois que tu t’es trompé de chemin,
Ne te laisse pas couler au fil
Des jours et du temps.
Si la vie te semble absurde,
Si tu es déçu par trop de choses
Et de gens,
Ne cherche pas à comprendre pourquoi.
Car l’arbre bourgeonne
En oubliant l’hiver,
Le rameau fleurit sans demander pourquoi.
Car l’oiseau fait son nid sans songer
À l’automne
Car la vie est espoir
Et recommencement.
(auteur inconnu)
Coeur d'enfant
Pour retrouver son coeur d'enfant,
il faut savoir quitter des choses:
Quitter ses rêves, quitter ses roses
qui embaumaient tous nos printemps.
Pour retrouver son coeur d'enfant,
il faut savoir pleurer des choses:
Pleurer les pertes que la vie cause,
pleurer et rire en même temps.
Pour retrouver son coeur d'enfant,
il faut savoir briser des choses:
Ces carapaces que l'on pose
pour protéger nos sentiments.
Pour retrouver son coeur d'enfant,
il faut surtout être soi-même:
Tel que l'on vit, tel que l'on sent,
dessous nos masques de ciment.
Pour retrouver son coeur d'enfant,
il faut mourir tout doucement:
Mourir à soi, mourir au temps
qui passe et passe, en s'en allant.
Pour retrouver son coeur d'enfant,
il faut étreindre sa faiblesse
et l'embrasser bien tendrement
et pardonnant nos manquements,
ouvrir ses bras et sa tendresse
à ce qu'on est tout simplement.
(Auteur inconnu)
Merci la vie
Merci la vie de m'avoir fait naître
dans une famille au mal-être;
non désirée, non surveillée
et plutôt mal aimée;
j'ai ainsi appris:
qu'importe ma vie,
aimer n'est pas obligatoire
à chacun son histoire;
j'ai appris à l'accepter, pour me libérer
de cet immense besoin d'être aimée...
Merci ma mère de m'avoir laissé faire
seule, sans vrais repères
juste libre, et me voir naître
à la vraie vie, celle des maîtres
qui n'ont pas besoin de se soumettre.
Merci mon amie de m'avoir dit merci,
d'avoir préservé ta vie, que j'avais trop envahie;
j'ai ainsi appris; qu'en amitié aussi
tout n'est pas permis.
Merci à mon mari de m'avoir dit : " C'est fini ! "
je ne t'aime plus, j'ai plus envie "
j'ai ainsi appris
que l'amour n'est jamais acquis,
qu'il faut le conquérir, ou le laisser partir.
Merci la vie de m'avoir faite fragile
avec une santé peu docile;
je peux ainsi apprécier pleinement
chaque minute, chaque instant.
Merci la vie pour tous ces combats;
j'ai appris à ne pas baisser les bras,
on peut tout perdre d'un coup
mais l'accepter, quels que soient les coups.
Aujourd'hui je me sens sereine,
posée, souveraine,
sans ressentiment ni haine
juste vivante.... et j'aime !
(Auteur Thérèse Chenevière)
La valeur réelle...
Un conférencier bien connu
commence son séminaire en tenant bien haut un billet de 100 €. Il demande aux gens: "Qui aimerait avoir ce billet ?"
Les mains commencent à se lever alors il dit: "Je vais donner ce billet de 100 € à un de vous mais avant,
laissez-moi faire quelque chose avec."
Il chiffonne alors le billet avec force et il demande: "Est-ce que vous voulez toujours de ce billet ?"
Les mains continuent à se lever.
"Bon, d'accord, mais que se passera-t-il si je fais cela."
Il jette le billet froissé par terre et saute à pieds joints dessus, l'écrasant autant que possible et le recouvrant des poussières du plancher.
Ensuite il demande : "Qui veut encore avoir ce billet ?"
Évidemment, les mains continuent de se lever.
" Mes amis, vous venez d'apprendre une leçon... Peu importe ce que je fais avec ce billet, vous le voulez toujours parce que sa valeur n'a pas changé, il vaut toujours 100 €. Plusieurs fois dans votre vie vous serez froissés, rejetés, souillés par les gens ou par les événements.
Vous aurez l'impression que vous ne valez plus rien mais en réalité votre valeur n'aura pas changé aux yeux des gens qui vous aiment. La valeur d'une personne ne tient pas à ce l'on a fait ou pas, vous pourrez toujours recommencer et atteindre vos objectifs car votre valeur intrinsèque est toujours intacte."
(auteur inconnu)
Le chemin qui nous mène...
Le week-end dernier fut particulièrement beau.
Tôt le matin, je décidais d'aller à pied rendre une visite à des amis que je n'avais pas vus depuis longtemps.
Je n'ai pas encore fait installer le téléphone dans ma maison de campagne et je ne pouvais pas m'assurer que mes amis étaient chez eux avant de les rejoindre.
Tant pis, j'ai chaussé mes tennis et me suis mis en route.
Sur le chemin, je n'ai rencontré personne. J'ai pu marcher tranquillement m'enivrant des senteurs de la nature en fleur et appréciant le calme de la campagne baignée de soleil. Je me demandais tout de même si mes amis seraient chez eux.
Le chemin était long et j'ai eu le temps d'aborder tranquillement les idées de mon prochain livre : j'ai pensé au titre, j'ai décrit plus précisément le plan, j'ai peaufiné les idées.
J'ai également eu l'occasion de faire le vide, de ne pas penser, de vivre ce qui s'offrait à moi: des choses simples comme la chaleur sur ma peau, le plaisir de ressentir l'appétit qui faisait gargouiller mon ventre, la soif, la douleur que je parvenais à surpasser pour avancer...
Arrivé à l'entrée du village, je me suis dirigé vers la maison de mes amis. J'ai sonné 3 fois. Personne n'a répondu. J'aurais dû me douter qu'avec un soleil pareil ils étaient eux aussi partis en ballade. Et pourtant... je n'ai pas été déçu un seul instant !
J'ai marché jusqu'au port, je me suis assis sur un banc en pierre et j'ai souri en repensant aux kilomètres que j'avais parcourus... pour rien !
Vous aussi, vous avez certainement eu l'impression un jour ou l'autre, d'avoir fait des efforts, d'avoir donné sans retour, d'avoir marché vers un but que vous n'étiez pas certain d'atteindre.
Mais le but est-il plus important que le chemin parcouru ? Trop souvent, concentrés sur le but, nous oublions de jouir de l'instant et d'apprécier le voyage.
(auteur inconnu)
Ce qui est important
« Je me sens triste ! » dit une vague de l'océan en constatant que les autres vagues étaient
plus grandes qu'elle.
« Les vagues sont si grandes, si vigoureuses,
et moi je suis si petite, si chétive. »
Une autre vague lui répondit : « Ne sois pas triste.
Ton chagrin n'existe que parce que tu t'attaches
à l'apparent,
tu ne conçois pas ta véritable nature. »
« Ne suis-je donc pas une vague ? »
« La vague n'est qu'une manifestation transitoire
de ta nature.
En vérité tu es l'eau. »
« L'eau ? »
« Oui. Si tu comprends clairement que ta nature
est l'eau,
tu n'accorderas plus d'importance à ta forme de vagueet ton chagrin disparaîtra. »
Avoir à l'esprit que l'humanité fait partie d'un ensemble est important.
Car l'être humain se considère souvent comme le centre des choses
en s'arrogeant des droits particuliers
qui n'ont pas de raison d'être.
Ainsi il ne voit que chez son prochain
ce qu'il n'a pas,
sans voir ce qu'il a déjà, et se cause
les plus inutiles soucis.
Texte zen
AIMER
- Lorsque tu ne sais plus aimer ou t’intéresser aux autres, tu commences à vieillir.
De fait, quand tu es capable d’aimer pour de vrai, tu ne vieillis pas.
L’absence d’un réel amour rend les jeunes bien vieux ;
et la ferveur d’un amour toujours vivant donne la joie de vivre
aux gens du mi-temps de la vie.
- C’est dans ta tête que les idées naissent, mais c’est dans ton coeur qu’elles grandissent et se développent. La mémoire de ton coeur est essentiellement primordiale pour grandir et vivre au coeur de ta vie !
- Fais confiance aux personnes que tu rencontres car elles sont très souvent bien meilleures que tu le penses. Fais aussi confiance au temps qui jouera en ta faveur si tu montres de la patience envers lui.
- Fais aussi confiance aux petits détails de la vie car c’est à travers eux que bien souvent la vie reçoit toute sa lumière et sa force.
- Ce n’est jamais perdre ton temps que d’en prendre pour parler aux gens, les écouter et pour de vrai … aimer. Pourquoi être si pressé ?
- Oui, pratique ton sourire, le vrai, celui qui vient de ton coeur.
Il illumine la nuit des gens ; il réchauffe les coeurs froids ;
il transforme les attitudes ; il fait naître l’espérance et le goût de vivre !
On ne peut résister au vrai sourire de ton coeur !
- Tu apprends beaucoup quand tu sais écouter, regarder et toucher les personnes ; même celles qui te semblent plus démunis.
C’est du temps gagné pour semer la tendresse et l’amour !
- Garde aussi pour toi de précieux temps de solitude pour calmer les vagues sur le lac de ton âme, et surtout pour entendre les musiques qui chantent au fond de ton coeur.
Ainsi, tu te connaîtras et tu entreras dans le pays de la paix et de l’équilibre.
Là seulement, tu découvriras le chemin qui mène au coeur des autres.
- Chaque personne garde bien précieusement un secret dans son coeur.
C’est une intimité de droit inviolable !
Seul l’amour peut en décider la révélation en temps opportun.
- Les grandes blessures d’angoisse, de rejet et de dépréciation personnelle ne se cicatrisent qu’avec le temps et beaucoup d’amour !
Le temps et l’amour font renaître la confiance !
- La nature t’apprend beaucoup aussi quand tu sais la regarder,
l’écouter et la toucher. Voilà un savoir aimer.
- Ce n’est pas gaspiller de ton temps aussi que d’en perdre pour écouter siffler le vent, pour marcher dans les feuilles mortes de l’automne et t’y enrouler comme le font les enfants, et pour regarder tomber la pluie et la neige toute blanche.
- C’est beau, c’est sain, c’est pur ; ça aide à vivre que de marcher tout doucement dans la nature et d’admirer les fleurs des champs, les oiseaux, les nuages, le ciel et la vie !
Eh bien, toutes ces pensées que tu viens de lire, crois-moi, elles renferment des trésors importants et des valeurs essentielles pour ta vie de chaque jour.
Il y a du bonheur dans ton coeur et dans ta vie !
Regarde bien autour de toi !
Le bonheur te donne rendez-vous !
Choisis d’aimer avec le sourire de ton coeur !
Jules Beaulac.