Bonjour + texte

Bonjour et bonne journée à tous...

Publié à 08:46 par acoeuretacris Tags : bonjour
Bonjour et bonne journée à tous...

 

 

Ne perdons pas notre temps à soupirer
après des choses glorieuses mais impossibles.
N'attendons pas, dans une molle apathie,
qu'il nous pousse des ailes d'ange.
Ne dédaignons pas d'être humbles chandelles,
car chacun ne peut être une étoile,
mais éclaircissons l'obscurité,
en brillant là où nous sommes.
L'humble lumignon est nécessaire
aussi bien que le superbe soleil,
et l'acte le plus simple est ennobli
lorsqu'il est dignement accompli.
Nous pouvons ne jamais être appelés
à éclairer de lointains lieux assombris.
Donc remplissons notre mission,
en brillant simplement là où nous sommes.

 

Max Hendel

 

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Bonjour et bonne journée à tous...

Publié à 08:45 par acoeuretacris Tags : bonjour
Bonjour et bonne journée à tous...

 

 

Parole d'Arbre

 

 

Quelle journée enchanteresse, dit l’arbre en contemplant le ciel. L’air printanier va me faire du bien et éclore mes bourgeons. Mes fleurs ne tarderont pas à attirer les essaims d’abeilles.

 

Quand les abeilles mettront leur butin dans la ruche, auront-elles des égards pour mon tendre nectar ?

Quand les hommes se régaleront de miel, penseront-ils à moi comme je me soucie d’eux ?

 

J’entends les oiseaux. Ils volent et me contemplent, ils savent qu’ici est le bonheur. Ils vont tisser leurs nids de brindilles craquantes entre mes branches inclinées pour mieux les accueillir. Ils y cacheront leurs rendez-vous galants et me confieront les oisillons nouveau-nés.

 

Mais savent-ils, les oisillons, que mes bruissements leur enseigne l’histoire de la vie ?

Et lorsqu’ils iront pépier sur les toits des maisons, leurs enfants entendront-ils mon hymne dans leur jeune gazouillis ?

 

L’été sec et chaud viendra ensuite et je me ferai protecteur. Sous mon arbre cordial viendront s’ébattre les lapins et aussi les amoureux. Ils prononceront les yeux mi-clos des serments que je leur inspirerai.

 

Les lapins diront-ils comme ils préfèrent mon ombrage généreux aux fourrés touffus d’épines ?

Savent-ils, les couples enlacés, que leurs mots deviennent plus profonds lorsque mes murmures font écho à leurs sens ?

 

Puis ils reviendront tous, les hommes et les bêtes, à la saison des récoltes, croquer dans les bienfaits que j’aurai mûris pour eux.

 

Goûteront-ils tout l’amour que j’ai mis dans le jus et la chair de mes fruits ?

Auront-ils foi en mon inébranlable fidélité qui veillera sur eux encore l’an
prochain ?

 

Les abeilles, les oiseaux, les lapins, les hommes, négligeront sans doute de me remercier. Comme chaque année ils m’abandonneront, solitaire, aux frimas de l’hiver. J’entrerai alors en léthargie, ressassant, mes tristesses en vagues d’amertume.

Mais dès que s’allongeront les rayons du soleil, dès que je sentirai la tiédeur de la terre monter à mes racines, je reprendrai goût à mon existence d’arbre.

 

Car voyez-vous je ne peux, en dépit des humeurs, que chérir passionnément ma vie.

Je l’aime pour ses multiples joies et le bonheur sincère de me savoir utile.

 

Il me faut accepter ses détresses, bien que je rechigne à traverser leur ombre.

Car même s’il m’arrive parfois de l’oublier, c’est moi qui ai choisi de vivre cette vie.

Quelle journée enchanteresse, dit l’arbre en contemplant le ciel. L’air printanier va me faire du bien et éclore mes bourgeons. Mes fleurs ne tarderont pas à attirer les essaims d’abeilles.

 

Quand les abeilles mettront leur butin dans la ruche, auront-elles des égards pour mon tendre nectar ?

Quand les hommes se régaleront de miel, penseront-ils à moi comme je me soucie d’eux ?

 

J’entends les oiseaux. Ils volent et me contemplent, ils savent qu’ici est le bonheur. Ils vont tisser leurs nids de brindilles craquantes entre mes branches inclinées pour mieux les accueillir. Ils y cacheront leurs rendez-vous galants et me confieront les oisillons nouveau-nés.

 

Mais savent-ils, les oisillons, que mes bruissements leur enseigne l’histoire de la vie ?

Et lorsqu’ils iront pépier sur les toits des maisons, leurs enfants entendront-ils mon hymne dans leur jeune gazouillis ?

 

L’été sec et chaud viendra ensuite et je me ferai protecteur. Sous mon arbre cordial viendront s’ébattre les lapins et aussi les amoureux. Ils prononceront les yeux mi-clos des serments que je leur inspirerai.

 

Les lapins diront-ils comme ils préfèrent mon ombrage généreux aux fourrés touffus d’épines ?

Savent-ils, les couples enlacés, que leurs mots deviennent plus profonds lorsque mes murmures font écho à leurs sens ?

 

Puis ils reviendront tous, les hommes et les bêtes, à la saison des récoltes, croquer dans les bienfaits que j’aurai mûris pour eux.

 

Goûteront-ils tout l’amour que j’ai mis dans le jus et la chair de mes fruits ?

Auront-ils foi en mon inébranlable fidélité qui veillera sur eux encore l’an
prochain ?

 

Les abeilles, les oiseaux, les lapins, les hommes, négligeront sans doute de me remercier. Comme chaque année ils m’abandonneront, solitaire, aux frimas de l’hiver. J’entrerai alors en léthargie, ressassant, mes tristesses en vagues d’amertume.


Mais dès que s’allongeront les rayons du soleil, dès que je sentirai la tiédeur de la terre monter à mes racines, je reprendrai goût à mon existence d’arbre.


 

Car voyez-vous je ne peux, en dépit des humeurs, que chérir passionnément ma vie.

Je l’aime pour ses multiples joies et le bonheur sincère de me savoir utile.


 

Il me faut accepter ses détresses, bien que je rechigne à traverser leur ombre.

Car même s’il m’arrive parfois de l’oublier, c’est moi qui ai choisi de vivre cette vie.

 

(auteur inconnu)

 

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Bonjour à tous...

Publié à 09:28 par acoeuretacris Tags : bonjour
Bonjour à tous...

 

Le Sapin et le Pommier...


 

Un jour d'automne, un pommier, mécontent de son sort, confia sa déception au pomiculteur. La nature avait été injuste envers lui en lui donnant une apparence toute difforme, alors que le magnifique sapin qui s'élançait à ses côtés faisait l'envie de tous les hommes qui, d'années en années, ne cessaient de le décorer de magnifiques étoiles illuminées.


Le pomiculteur repris alors: "Tu es difformes, c'est vrai. Mais souviens-toi que tu es un arbre greffé dès ton jeune âge et que tu rappelles à l'homme qu'il est lui aussi un peuple déformé par ses fautes et ses faiblesses, mais capable aussi de donner de bons fruits. Tu es émondé, c'est vrai aussi, mais c'est pour que tes fruits n'en soient que plus magnifiques.


Et, parlant de ses fruits, le vieux pomiculteur tira une belle pomme du pommier, sortit son couteau et, d'un trait horizontal, la coupa en deux parties égales. Il montra les deux moitiés au pommier et pointant avc son couteau l'étoile formée au milieu par les pépins, il lui dit: "Tu vois, mon vieux, le sapin a les étoiles qu'on lui ajoute, mais toi c'est au milieu de toi que tu as tes étoiles. C'est dans ton coeur même qu'est ta beauté!"

 


Auteur inconnu

 

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Bonjour et bonne journée à tous...

Publié à 08:12 par acoeuretacris Tags : bonjour
Bonjour et bonne journée à tous...

 

 

Le chemin qui nous mène...


 

Le week-end dernier fut particulièrement beau.


Tôt le matin, je décidais d'aller à pied rendre une visite à des amis que je n'avais pas vus depuis longtemps.

 

Je n'ai pas encore fait installer le téléphone dans ma maison de campagne et je ne pouvais pas m'assurer que mes amis étaient chez eux avant de les rejoindre.

 

Tant pis, j'ai chaussé mes tennis et me suis mis en route.

 

Sur le chemin, je n'ai rencontré personne. J'ai pu marcher tranquillement m'enivrant des senteurs de la nature en fleur et appréciant le calme de la campagne baignée de soleil. Je me demandais tout de même si mes amis seraient chez eux.

 

Le chemin était long et j'ai eu le temps d'aborder tranquillement les idées de mon prochain livre : j'ai pensé au titre, j'ai décrit plus précisément le plan, j'ai peaufiné les idées.

 

J'ai également eu l'occasion de faire le vide, de ne pas penser, de vivre ce qui s'offrait à moi: des choses simples comme la chaleur sur ma peau, le plaisir de ressentir l'appétit qui faisait gargouiller mon ventre, la soif, la douleur que je parvenais à surpasser pour avancer…

 

Arrivé à l'entrée du village, je me suis dirigé vers la maison de mes amis. J'ai sonné 3 fois. Personne n'a répondu. J'aurais dû me douter qu'avec un soleil pareil ils étaient eux aussi partis en ballade. Et pourtant… je n'ai pas été déçu un seul instant !

 

J'ai marché jusqu'au port, je me suis assis sur un banc en pierre et j'ai souri en repensant aux kilomètres que j'avais parcourus… pour rien !

 

Vous aussi, vous avez certainement eu l'impression un jour ou l'autre, d'avoir fait des efforts, d'avoir donné sans retour, d'avoir marché vers un but que vous n'étiez pas certain d'atteindre.

 

Mais le but est-il plus important que le chemin parcouru ? Trop souvent, concentrés sur le but, nous oublions de jouir de l'instant et d'apprécier le voyage.


 

(auteur inconnu)

 

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Bonjour à tous...

Publié à 08:25 par acoeuretacris Tags : bonjour
Bonjour à tous...

 

 

Le Sac de Sable


 

Juan arrive du Mexique à la frontière séparant le Mexique des États-Unis  en bicyclette.


Il a un gros sac sur ses épaules.


Le douanier l'arrête et lui demande :

- Qu'est-ce que tu as dans ton sac ?

 


Il répond :

- Du sable.

 


Le douanier, incrédule, lui dit :

- On va voir ça… Descends du vélo.

 


Le douanier ouvre le sac et répand le sable qu'il contient sur le sol.

Il fouille dedans sans rien y trouver.

- C'est bon, lui dit-il.

 


Juan ramasse le sable du mieux qu'il peut et repart sur sa bicyclette.


Une semaine plus tard, la même chose se produit.


Le douanier demande à Juan :

- Qu'est-ce que tu as dans ton sac cette fois ?


Juan répond :

- Du sable.


Le douanier, qui n'est toujours pas convaincu, décide de détenir Juan pour  la nuit et d'envoyer un échantillon du sable pour analyse. Le lendemain,  les résultats révèlent qu'il s'agit bien de sable. Il laisse donc Juan  repartir sur son vélo.


Le petit manège se poursuit tous les deux ou trois jours pendant les quelques années qui suivent.


A chaque fois, le douanier fouille le sac de sable. Il envoie régulièrement des échantillons pour analyses de toutes sortes mais toujours sans rien trouver d'autre que du sable.


Finalement, quelques années plus tard, Juan arrête de traverser la frontière en bicyclette avec son sac de sable.


Un beau jour, alors qu'il est en retraite, le douanier prend ses vacances au Mexique et rencontre Juan dans un petit bar sur la plage.


- Hé ! je te reconnais, toi! Tu n'es pas le gars qui traversait la frontière en bicyclette avec un sac de sable ?


Juan reconnaît le douanier et lui répond :

- Oui, c'est moi.


- Qu'est-ce que tu deviens ? lui demande le douanier.


- Je me suis acheté ce petit bar et je vis tranquillement, répond Juan.


Le douanier se décide finalement à lui demander :

- Écoute, je suis à la retraite et je n'ai plus aucun pouvoir. Je voudrais bien savoir une chose. Je n'ai jamais arrêté de penser à ça depuis que je t'ai vu la première fois. Juste entre toi et moi, tu faisais de la contrebande ?…


Juan esquisse un petit sourire et répond :

- Oui, et c'est comme ça que je me suis acheté ce bar.


Le douanier s'approche un peu et demande à voix plus basse :

- Et qu'est-ce que tu passais frauduleusement aux douanes ?


- Des bicyclettes…


 

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La morale de l'histoire


- Avoir un regard d'enfant, un regard neuf. Si le douanier avait regardé Juan sans présupposé, sans que le mental intervienne, il aurait sans doute compris le manège. Trop souvent, nous avons des préjugés sur un type de personne ou sur quelqu'un…


- Avoir la maîtrise de son attention, choisir de la poser où l'on veut et ne pas laisser les autres choisir où elle se porte. Certain homme politique est très doué pour cela avec la complicité des médias. Il n'est pas le seul. On manipule en attirant l'attention sur une chose secondaire pour faire passer les choses plus importantes. C'est la théorie de Milton Freidman qui dit qu'il faut profiter d'une bonne crise pour faire passer les réformes les plus douloureuses, quand les gens ont l'attention captée par des problèmes pressants.


- Le sable ici est aussi le sable du temps, celui qui coule dans le sablier, ce temps que passe Juan à transporter son sable, à transporter le rien qui deviendra quelque chose grâce au temps. Il faut donner du temps pour récolter.

 

(auteur inconnu)

 

 

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Bonjour et bonne journée à tous...

Publié à 08:28 par acoeuretacris Tags : bonjour
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Ecouter c'est...

 

Écouter est peut-être le plus beau cadeau que nous puissions faire à quelqu'un... C'est lui dire, non pas avec des mots, mais avec ses yeux, son visage, son sourire et tout son corps:

Tu es important pour moi, tu es intéressant, je suis heureux que tu sois là... Pas étonnant si la meilleure façon pour une personne de se révéler à elle-même, c'est d'être écoutée par une autre!

Écouter, c'est commencer par se taire... Avez-vous remarqué  comment les "dialogues" sont remplis d'expression du genre:
"C'est comme moi quand..." ou bien "Ça me rappelle ce qui m'est arrivé..." Bien souvent, ce que l'autre dit n'est qu'une occasion de parler de soi. Écouter, c'est commencer par arrêter son petit cinéma intérieur, son monologue portatif (...).
Écouter, c'est vraiment laisser tomber tout ce qui nous occupe pour donner tout son temps à l'autre. C'est comme une promenade avec un ami: marcher à son pas, proche mais sans gêner, se laisser conduire par lui, s'arrêter avec lui, repartir avec lui, pour rien, pour lui.

Écouter, ce n'est pas de chercher à répondre à l'autre, sachant qu'il a en lui-même les réponses à ses propres questions. C'est refuser de penser à la place de l'autre, de lui donner des conseils et même de vouloir le comprendre.

Écouter, c'est accueillir l'autre avec reconnaissance tel qu'il se définit lui-même, sans se substituer à lui pour dire ce qu'il doit être. C'est être ouvert à toutes les idées, à tous les sujets, à toutes les expériences, à toutes les solutions, sans interpréter, sans juger, laissant à l'autre le temps et l'espace de trouver la voie qui est la sienne.

Écouter, ce n'est pas vouloir que quelqu'un soit comme ceci ou comme cela, c'est apprendre à découvrir ses qualités qui sont en lui spécifiques. Être attentif à quelqu'un qui souffre, ce n'est pas de donner une solution ou une explication à sa souffrance, c'est lui permettre de la dire et de trouver lui-même son propre chemin pour s'en libérer.
Écouter, c'est donner à l'autre ce que l'on ne nous a peut-être jamais donné: de l'attention, du temps, une présence affectueuse.


André Gromolard


 

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Bonjour à tous...

Publié à 07:58 par acoeuretacris Tags : bonjour
Bonjour à tous...

 

 

Un bouquet de Bonheur ...


Pour pouvoir composer « un bouquet de bonheur »
Il faut bien commencer par semer dans nos coeurs,
Une graine de paix, d'amour et d'indulgence,
Une autre de charité, d'union et de tolérance.


Lorsque ces graines germeront dans nos consciences,
Nous pourrons récolter ces fleurs en abondance,
Composer un bouquet à notre propre convenance,
Un bouquet embaumé d'une suave fragrance.


Un petit brin de paix et nous serons sans guerre,
Un petit brin d'amour et nous serons des frères,
Un grand brin d'indulgence pour savoir pardonner,
Un petit brin de charité pour aider son prochain.


Un petit brin d'union, et nous serons des alliés,
Un dernier brin de tolérance et voici le bouquet !
« Un bouquet de bonheur » de nos coeurs transformés,
Rendront le monde heureux, allons-nous le composer ?


Auteur Inconnu

 

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Bonjour et bonne journée à tous...

Publié à 08:00 par acoeuretacris Tags : bonjour
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Un compagnon sur mesure...

 

Un petit garçon apparut bientôt sous l'affiche «Jeunes chiens à vendre».  «Combien vendez-vous ces jeunes chiens?» demanda-t-il au commerçant.

Le marchand répondit: «Entre 30 et 50 dollars.»  Le petit garçon fouilla dans ses poches et en tira de la petite monnaie.  «J'ai deux dollars trente-sept, dit-il.  Est-ce que je peux les regarder s'il vous plaît?»

Le commerçant sourit et siffla; du chenail ils virent sortir Lady, qui accourut vers eux en passant par le couloir du magasin, suivie de cinq petites boules de poils.  Un des jeunes chiens traînait derrière à une bonne distance.  Aussitôt qu'il le vit, le petit garçon montra du doigt le petit chien qui boitait derrière les autres: «Qu'est-ce qu'il a celui-là?»  Le commerçant lui expliqua que le vétérinaire avait examiné le petit chien et avait découvert une malformation de la hanche.  Il boiterait touours.  Il serait même infirme.  le petit garçon devint tout excité.  «C'est ce petit chien-là que je veux acheter.»
«Non, dit le commerçant, tu ne veux pas acheter ce chien.  Mais si tu le veux vraiment, alors je vais te le donner.»  Le petit garçon devint plutôt irrité.  Il regarda le commerçant droit dans les yeux et dit: «Je ne veux pas que vous me le donniez.  Ce petit chien vaut aussi cher que les autres et je le paierai plein prix.  En fait, je vais vous donner 2,37$ maintenant et 50¢ par mois jusqu'à ce qu'il soit bien à moi.»

Le commerçant répliqua:  «Tu ne veux pas vraiment acheter ce petit chien.  Il ne sera jamais capable de courir, sauter et jouer avec toi comme les autres chiens.»

Sur ce, le petit garçon se pencha, retroussa son pantalon et découvrit une jambe gauche affreusement tordue, soutenue par un appareil orthopédique.  Il regarda le commerçant et dit doucement:  «Eh bien, je ne cours pas très bien moi-même, et le petit chien aura besoin de quelqu'un qui puisse le comprendre!.»

 

Don Clark

 

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Bonjour et bonne journée...

Publié à 08:56 par acoeuretacris Tags : bonjour
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JOLIE LEGENDE SUR LA FEMME


Une légende raconte qu'au commencement du monde,
quand Dieu décida de créer la femme,
il trouva qu'il avait épuisé tous les matériaux solides dans l'homme
et qu'il ne disposait plus de rien.
Devant le dilemme et après une profonde méditation, voilà ce qu'il fit.



Il prit la rondeur de la lune,
les suaves courbes des vagues,
la tendre adhérence du liseron,
le tremblant mouvement des feuilles,
la sveltesse du palmier,
la teinte délicate des fleurs,
l'amoureux regard du cerf,
la joie du rayon du soleil et
les gouttes des pleurs des nuages,
l'inconstance du vent et la fidélité du chien,
la timidité de la tourterelle et la vanité du paon,
la suavité de la plume du cygne et
la dureté du diamant,
la douceur de la colombe et la cruauté du tigre,
l'ardeur du feu et la froideur de la neige.
Il mélange ces ingrédients si divers, forme la femme et la donna à l'homme.



Une semaine après l'homme vint et lui dit :
Seigneur, la créature que tu m'as donnée me rend malheureux,
elle requiert toute mon attention,
ne me laisse jamais seul,
bavarde intensément,
pleure sans motif,
s'amuse à me faire souffrir
et je viens te la rendre car
JE NE PEUX PLUS VIVRE AVEC ELLE.



Bien, répondit Dieu et il prit la femme.
Une semaine après, l'homme revint et lui dit :
Seigneur, je me sens très seul depuis que je t'ai rendu la créature que tu as faite pour moi,
elle chantait et jouait à mon côté,
elle me regardait avec tendresse et son regard était une caresse,
elle riait et son rire était musique,
elle était belle à voir et douce au toucher.
Rends-la-moi car
JE NE PEUX PAS VIVRE SANS ELLE


 

Auteur inconnu

 

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Bonjour à tous...

Publié à 08:20 par acoeuretacris Tags : bonjour
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L'homme aux sept masques...

 

Il était une fois un homme qui avait sept masques. Un pour chaque jour de la semaine.


Quand il se levait le matin, il se couvrait immédiatement le visage d'un de ses masques. Ensuite, il s'habillait et sortait.

 

Il vivait ainsi sa vie sans jamais montrer son vrai visage.

 

Or, un soir, pendant qu'il dormait à poings fermés, un voleur cambriola sa maison et déborda ses sept masques.

 

A son réveil, l'homme se mit à pousser des hurlements. Il cria: “Au voleur! Au voleur!” et courut dans les rues de la ville à la recherche de ses masques.

 

Les gens le voyaient gesticuler, jurer et menacer la terre entière des plus grandes catastrophes s'il ne retrouvait pas son bien. Il passa des jours entiers à essayer de découvrir la cachette de son voleur, mais en vain.

 

Alors, découragé, il s'effondra et pleura à chaudes larmes. Il pleura comme un enfant, car sa peine semblait inconsolable. Les gens tentaient de le réconforter, mais ils n'arrivaient pas à trouver les mots qui auraient pu l'apaiser.

 

Une femme qui passait par là, s'arrêta et lui demanda:

 

-Qu'as-tu ami? Pourquoi pleures-tu ainsi,

 

Il leva la tête et répondit d'une voix étouffée:

 

-On m'a volé tous mes masques et je suis maintenant vulnérable. Mon visage est découvert.

 

-Ce n'est rien, lui dit-elle avec ardeur, regarde-moi, je garde mon visage nu depuis que je suis née.

 

Alors, il la regarda longuement, et il vit qu'elle était très belle.

 

La femme se pencha, lui sourit, et avec sa main essuya ses larmes.

 

Et pour la première fois de sa vie, l'homme sentit la douceur d'une caresse sur son visage.

 

 

V. Tadjo

 

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