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Date de création : 27.11.2008
Dernière mise à jour :
08.02.2013
5848 articles
Le magasin...
Un jeune homme entre en rêve dans un magasin. Derrière le comptoir se tient un ange.
Le jeune homme lui demande : « Que vendez-vous ? » L’ange répond : « Tout ce que vous désirez. »
Alors le jeune homme commence à énumérer : « Si vous vendez tout ce que je désire, alors j’aimerais bien la fin des guerres dans le monde, la fin des bidonvilles en Amérique Latine, l’intégration de tous les marginaux dans la société, du travail pour tous les chômeurs, plus d’amour et de vie communautaire dans l’Eglise,… »
L’ange lui coupe la parole : « Excusez-moi, Monsieur, vous m’avez mal compris. Ici, nous ne vendons pas de fruits, nous ne vendons que les graines ! »
(auteur inconnu)
Les sept merveilles du Monde...
Un professeur de géographie demanda à un groupe d'étudiants:
"Faites-moi une liste de ce que vous considérez être les 7 merveilles du monde actuel."
Malgré quelques désaccords, la majorité d'entre eux répondit:
1 - Les grandes pyramides d'Égypte
2 - Le Taj Mahal
3 - Le Grand Canyon
4 - Le Canal de Panama
5 - L'Empire State building
6 - La Basilique St-Pierre
7 - La grande muraille de Chine
Alors que le professeur ramassait les réponses, elle se rendit compte qu'une élève n'avait pas encore remis sa feuille. Elle lui demanda si elle éprouvait de la difficulté à terminer sa liste.
L'élève lui répondit : "Oui, un peu. Je n'arrivais pas à me décider car il y en a tellement."
Le professeur lui répondit : "Hé bien, dis-nous ce que tu as trouvé et peut-être que nous pourrons t'aider."
La jeune fille hésita, puis commença sa lecture:
"Je crois que les 7 merveilles du monde sont:
1 - Le toucher
2 - Le goût
3 - La vue
4 - L'ouïe
elle hésita un peu, puis ajouta . . .
5 - Les sentiments
6 - Le rire
7 - L'amour "
On aurait pu entendre une épingle tomber tellement le silence dans la classe était grand.
Toutes ces choses que nous ne remarquons plus, tellement elles sont simples et ordinaires sont en réalité, des merveilles.
Souvenez-vous que les choses les plus précieuses de la vie ne peuvent s'acheter.
Auteur inconnu
Le Visage...
Chaque visage est un miracle
Un enfant noir, à la peau noire, aux yeux noirs
Aux cheveux crépus ou frisés, est un enfant.
Un enfant blanc, à la peau rose, aux yeux bleus ou verts
Aux cheveux blonds et raides, est un enfant.L'un et l'autre, le noir et le blanc, ont le même sourire
Quand une main leur caresse le visage, quand on les regarde avec amour
Et leur parle avec tendresse.Ils verseront les mêmes larmes si on les contrarie,
Si on leur fait mal.Il n'existe pas deux visages absoluement identiques
Chaque visage est un miracle parce qu'il est unique.
Deux visages peuvent se ressembler
Mais ils ne seront jamais tout à fait les mêmes.La vie est justement ce miracle.
Ce mouvement permanent et bougeant
Et qui ne reproduit jamais le même visage.
L'Arbre à souhaits...
"Un voyageur très fatigué s’assit à l’ombre d’un arbre sans se douter qu’il venait de trouver un arbre magique, "l’Arbre à Réaliser des Souhaits".
Assis sur la terre dure, il pensa qu’il serait bien agréable de se retrouver dans un lit moelleux. Aussitôt, ce lit apparut à côté de lui.
Étonné, l’homme s’y installa en disant que le comble du bonheur serait atteint si une jeune fille venait masser ses jambes percluses. La jeune fille apparut et le massa très agréablement.
« J’ai faim, se dit l’homme, et manger en ce moment serait à coup sûr un délice. » Une table surgit, chargée de nourritures succulentes.
L’homme se régala. Il mangea et il but. La tête lui tournait un peu. Ses paupières, sous l’action du vin et de la fatigue, s’abaissaient. Il se laissa aller de tout son long sur le lit, en pensant encore aux merveilleux évènements de cette journée extraordinaire.
« Je vais dormir une heure ou deux, se dit-il. Le pire serait qu’un tigre passe par ici pendant que je dors. »
Un tigre surgit aussitôt et le dévora."
Vous avez en vous un Arbre à souhait qui attend vos ordres.
Mais attention, il peut aussi réaliser vos pensées négatives et vos peurs. En tout cas, il peut être parasité par elles et se bloquer. C’est le mécanisme des soucis.
Auteur inconnu
La corde invisible...
Un paysan avec 3 de ses ânes se rendait au marché pour vendre sa récolte. La ville était loin et il lui faudrait plusieurs jours pour l'atteindre.
Le premier soir, il s'arrête pour bivouaquer non loin de la maison d'un vieil ermite. Au moment d'attacher son dernier âne, il s'aperçoit qu'il lui manque une corde. Si je n'attache pas mon âne se dit-il, demain, il se sera sauvé dans la montagne! Il monte sur son âne après avoir solidement attaché les 2 autres et prend la direction de la maison du vieil ermite.
Arrivé, il demande au vieil homme s'il n'aurait pas une corde à lui donner. Le vieillard avait depuis longtemps fait voeux de pauvreté et n'avait pas la moindre corde, cependant, il s'adressa au paysan et lui dit:
"Retourne à ton campement et comme chaque jour fait le geste de passer une corde autour du cou de ton âne et n'oublie pas de feindre de l'attacher à un arbre."
Perdu pour perdu, le paysan fit exactement ce que lui avait conseillé le vieil homme. Le lendemain dès qu'il fût réveillé, le premier regard du paysan fût pour son âne. Il était toujours là! Après avoir chargé les 3 baudets, il décide de se mettre en route, mais là, il eut beau faire, tirer sur son âne, le pousser, rien n'y fit. L'âne refusait de bouger. Désespéré, il retourne voir l'ermite et lui raconte sa mésaventure.
"As-tu pensé à enlever la corde?" lui demanda-t-il.
"Mais il n'y a pas de corde!" répondit le paysan.
"Pour toi oui mais pour l'âne..."
Le paysan retourne au campement et d'un ample mouvement, il mime le geste de retirer la corde. L'âne le suit sans aucune résistance.
*********************************************
Ne nous moquons pas de cet âne.
Ne sommes-nous pas, nous aussi, esclave de nos persuasions (imaginer qu'on "se doit" de faire ceci, ou qu'on " doit être" comme cela, ou la crainte le regard des autres, etc) et pire encore : esclave de nos habitudes mentales (peurs, jalousies, orgueil, envie, etc) ?
Tout ceci n'est pourtant qu'imagination de notre part... car rien ni personne ne nous oblige à quoi que ce soit en réalité, c'est nous qui nous obligeons à certains actes... Dans tous nos actes, nous avons toujours le choix, il ne s'agit que de le vouloir vraiment...
Demandez-vous donc quelle(s) corde(s) invisible(e) vous empêche(nt) de vous exprimer, de vivre, de vous épanouir et de progresser...
Auteur inconnu
Les chemins de la Vie...
" Pourquoi grand-maman a des chemins sur son visage ? " Cette question est de Guillaume.
Je ne sais pas quelle fût la réponse de ses parents, mais la question de Guillaume, elle, est une trouvaille. Une trouvaille d'enfant qui fait réfléchir les adultes que nous sommes.
Là où nous ne voyons que des rides, symboles d'usure, marques du temps qui ne pardonne pas...
Guillaume, avec son coeur d'enfant de quatre ans, découvre des chemins, chemins de joies et de peines qui ont laissé leurs traces, chemins qui disent une histoire, chemins riches d'une vie donnée.
Oui, maman ou grand-maman (papa ou grand-papa), ne sois pas gêné(e) de ces chemins sur ton visage. ils nous disent que tu as aimé, que tu as su donner et accueillir la joie, que tu as ri de bon coeur.
Ils nous disent aussi tes heures d'efforts et de travail, tes heures d'inquiétudes et de veilles. Ils nous disent que tu as vécu.
Ces chemins sur ton visage, maman, grand-maman, papa, grand-papa, ils sont la beauté de ton âge ! Ce sont les chemins de la vie.
Merci d'avoir vécu, aimé et donné.
Auteur inconnu
Au bord d'un étang - Conte tibétain !
Dans la fourmillière d'un vaste monastère, il y avait un vieux moine discret, humble, un sans-grade, un obscur parmi les obscurs, un rien farfelu. Ses confrères le tenait pour un ignare, doublé d'un illuminé dans le sens commun, et non boudhiste, de simple d'esprit. Il faut dire que malgré toutes les années passées à l'ombre des murs du monastère, il ne brillait pas par son érudition. Le vétéran boudait en effet la lecture des textes sacrés et, à la belle saison, passait le plus clair de son temps au bord d'un étang constellé de lotus, bercé par le murmure du vent, la psalmodie des insectes et le chant des oiseaux. Il y méditait distraitement assis sur un rocher, sous le monumental parasol d'un vieil arbre.
Par un bel après-midi d'été inondé de soleil, un groupe de jeunes moines partit faire le tour de l'étang. C'est alors qu'ils purent observer avec stupéfaction, la manière fort découssue que l'ancien avait de méditer. Il ne se passait pas cinq minutes sans qu'il se penche pour troubler le miroir liquide avec une brindille. Il allait même parfois jusqu'à se lever pour faire quelques pas une branche à la main, avec laquelle il tirait une feuille d'arbre hors de l'eau. Son curieux manège fit rire ses cadets qui entreprirent de lui donner une leçon sur la méditation.
- Ne serait-il pas préférable de vous recueillir les yeux fermés afin de ne pas être distrait par le spectacle du monde ?
- Comment espérer atteindre une haute réalisation spirituelle si vous bougez sans cesse ? Vous ne pouvez pas stabiliser votre esprit ni laisser le prana circuler harmonieusement dans les canaux subtils.
- C'est vrai, prenez exemple sur le Boudha qui a obtenu l'Éveil suprême en demeurant immobile sous l'arbre de l'illumination.
Le vieux moine s'inclina pour les remercier de leurs conseils et, tout en leur montrant un insecte qu'il venait de repêcher avec une brindille, il leur dit, un sourire désarmant aux lèvres :
- Vous avez sans doute raison, mes jeunes frères. Mais comment pourrai-je méditer sereinement s'il y a autour de moi des êtres vivants en train de se noyer ?
La bande des cadets resta interloquée. Il y eut un long silence puis l'un d'eux, rompu aux joutes métaphysiques et voulant à tout prix sauver la face, répliqua :
- Vous devriez vous retirer dans une grotte pour vous consacrer à votre propre salut. Ne vous souciez pas trop du destin des autres. Laissez faire l'ordre naturel du monde. Chacun récolte le résultat de ses actes antérieurs. Telle est la loi du karma.
Et, sur ces paroles sentencieuses, les donneurs de leçons se drapèrent dans leurs toges monastiques et s'éloignèrent. Ils gagnèrent une passerelle qui enjambait l'étang. C'est alors qu'au beau milieu de la traversée, l'un d'eux glissa sur une planche moussue et tomba à l'eau. Le malheureux, qui n'était autre que le discoureur karmique, pataugeait parmi les nénuphars, visiblement en train de se noyer. L'étang était profond à cet endroit. Ce fut l'affolement général, aucun moine ne savait nager.
Le vieil original, son infatigable sourire aux lèvres, se leva d'un bond, prit une branche et, comme elle n'était pas assez longue, il se mit à marcher sur l'eau. Sous le regard médusé des jeunes moines, il crocheta le candidat à la noyade et le tira jusq'à la berge sans même mouiller les pans de sa robe rapiécée.
L'histoire miraculeuse fit le tour du monastère. On tenait désormais le vieux pour un saint, un bodhisattiva caché, un Boudha vivant. Il en prit ombrage car il ne supportait pas d'être un objet de dévotion. Il gagna une autre province où il se cacha dans le fourmillière d'un vaste monastère.
Extrait des Contes des sages du Tibet par Pascal Fauliot
Avec un peu d'imagination...
Viens dans mon nuage, laisse-moi t'emmener,
T'offrir en partage mes rêves cachés.
Je ne sais pas pourquoi ni comment,
Il m'arrive de voir la vie autrement.
Il suffit parfois de si peu
Pour que je m'envole vers d'autres lieux,
Pour que mon esprit vagabonde
Comme s'il voulait refaire le monde.
Si la terre était un tableau,
Je prendrai mes plus beaux pinceaux
Et les tremperais dans mon cœur
Pour y redonner des couleurs.
Je couvrirais le gris de la maladie
Par l'éclatant blanc de la vie
Et je remplacerais le noir
Par le vert, couleur de l'espoir.
Bien sûr, j'en laisserais un peu
Pour les nuits des amoureux.
Quant au rouge, j'en mettrais partout
Car les enfants l'aiment beaucoup.
J'en peindrais le nez des gens pour qu'ils soient moins sérieux
Et à tous, je mettrais de l'or au fond des yeux.
Évidemment, tout cela sort de mon imagination
Mais dans notre cœur, on a tous des pinceaux et des crayons
Pour colorer notre univers.
Il suffit de si peu pour le faire
Et d'ailleurs, si je t'ai fait l'imaginer,
C'est que j'y suis un peu arrivé.
(auteur inconnu)
La fable du porc-épic
C'était l'hiver le plus froid jamais vu. De nombreux animaux étaient morts en raison du froid. Les porcs-épics, se rendant compte de la situation, avaient décidé de se regrouper.
De cette façon ils se couvraient et se protégeaient eux-mêmes ; mais, les piquants des porcs-épics de chacun blessaient leurs compagnons les plus proches, même s'ils se donnaient beaucoup de chaleur les uns aux autres. Après un certain temps, ils ont décidé de prendre leur distance l'un de l'autre et ils ont commencé à mourir, seuls et congelés.
Alors, ils devaient faire un choix : accepter les piquants de leurs compagnons ou disparaître de la terre. Sagement, ils ont décidé de revenir en arrière pour vivre ensemble.
Ils ont donc appris à vivre avec les petites blessures causées par l'étroite relation avec leurs compagnons, mais la partie la plus importante, était la chaleur qui venait des autres. De cette façon, ils ont pu survivre.
La meilleure relation n'est pas celle qui rassemble les gens parfaits, mais le mieux est quand chacun apprend à vivre avec les imperfections des autres et on peut y découvrir et admirer les bonnes qualités des autres personnes.
La morale de l'histoire : « Apprendre à aimer les piquants dans notre vie. »
(Auteur inconnu)
La Vie...
La vie …… C'est comme une rivière, elle coule…. et de la source où tu es né, elle t'emporte loin avec elle…et de méandres en lignes droites, elle passe nonchalante ou turbulente…
Longeant les rives de l'enfance et de l'adolescence, au pays du bonheur elle s'attarde un instant…..
Et passe, passe le temps …….et la rivière de la vie court toujours , toujours plus vite bien trop vite , elle tourbillonne et bouillonne, et parfois même elle se trouble, elle fait des vagues, des petits bons, de belles cascades……. mais inexorablement elle continue quoiqu'il advienne, malgré les joies et puis les peines, elle nous emporte comme un bateau au fil du temps , au fil de l'eau ….. Souvent aussi, elle nous éloigne pour quelques uns pour quelques temps de nos campagnes, de nos montagnes, et il faudra tant bien que mal apprendre à vivre loin des racines……
Viendra le jour et le moment où tu voudras certainement tout remonter à contre-sens, et c'est ainsi qu’au beau matin d’un joli jour, tu boucleras le cœur content, tous les bagages du beau voyage ……..
Sur le bateau, au fil du temps au fil de l’eau, tu reviendras sans aucun doute poser à terre, près de la source, les souvenirs bons ou mauvais, et planter là, où tu es né, un havre de vie, un havre de paix …………
(auteur inconnu)