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Date de création : 27.11.2008
Dernière mise à jour :
08.02.2013
5848 articles
" C'est en donnant que l'on s'enrichit " , disait Mère Téresa qui en la matière s'y connaissait.
Qu'y a -t-il en effet comme plus belle preuve d'amour que de donner ?
Donner du temps , donner de l'amour , donner de soi ... Mais donner , c'est aussi offrir à l'autre ce qui lui fait plaisir , donner sans arrière - pensée et sans regret...
" Même les fauves sont sensibles aux bons traitements " , note Sénèque.
Le message est clair. Il faut donner pour adoucir , réparer , apaiser.
Même à ceux que nous n'aimons pas. Dire un mot gentil et sourire à une personne désagréable , c'est lui faire cadeau de notre bienveillance et de notre compréhension.
Sans être certains qu'elle nous rendra notre gentillesse.
Mais tant pis.
Donner , c'est donner , reprendre , c'est voler , disent les enfants.
Car donner à nos proches est finalement assez facile ( encore que ... ) , alors que le vrai don est celui qui se fait au - delà même du sentiment , sans rien espérer en retour , pour la beauté du geste en quelque sorte.
Mais attention , nous rappellent les sages , il y a donner et donner. Donner de mauvaise grâce , à contrecoeur , en faisant sentir à l'autre le prix de notre sacrifice , ce n'est pas donner : c'est consentir.
Mieux vaut dans dans ces cas - là s'abstenir , car il n'est rien de plus désolant que quelqu'un qui donne à regret.
La générosité s'accommode mal des comptes d'apothicaire.
En outre , on ne récolte même pas la reconnaissance du donataire.
Alors que donner de bon coeur , donner avec gaieté et enthousiasme , donner en seigneur , est un accomplissement à soi seul , une véritable fête.
En donnant , surtout ce qui nous tient à coeur , on se déleste , on s'accomplit et surtout on gagne quelque chose de plus précieux encore : un ami peut-être , ou quelqu'un qui nous sera reconnaissant de notre bienfait.
On est riche de ce que l'on donne , dit-on communément. Et cette richesse- là n'a pas de prix.
(auteur inconnu)
PARTAGER...
Quand nous partageons notre joie,
Il y a deux fois plus de plaisir;
Quand nous partageons le succès,
Nous allons bien au-delà de ce que nous avons fait.
Quand nous partageons les problèmes,
C'est une moitié de la peine;
Quand nous partageons les larmes,
Un arc en ciel apparait après la pluie.
Quand nous partageons les rêves,
Ils deviennent plus réels;
Quand nous partageons des secrets,
C'est notre coeur que nous révélons.
Si nous partageons un sourire,
c'est notre amour qui se révèle;
Si nous partageons une étreinte,
C'est notre amour qui grandit.
Si nous partageons avec quelqu'un
Sur lequel on peut compter,
Cette personne est toujours
De la famille ou un ami.
et ce qui nous rapproche
Et nous rend attentionné,
Ce n'est pas ce que nous avons,
Mais les choses que nous partageons
Jill Wolf
La maison de Monsieur Fred...
Monsieur Fred disait-on était un homme au dos bossu, pas très joli, avaricieux et qu’en plus il n’aimait pas les enfants.Il habitait une demeure plutôt sombre voire même délabrée dans le petit village.
Pris de curiosité, les enfants décidèrent de visiter Monsieur Fred le 31 octobre, jour de la Fête de l’Halloween. Après tout, pensaient-ils, nous serons tous déguisés et ils nous sera plus facile de l’observer et de cacher peut-être notre peur.
Le jour venu, laissant leurs parents dans l’ignorance de leur visite, les enfants se préparaient tous pour la Fête de l’Halloween. Vanessa se déguisa en petit indienne pensant que peut-être Monsieur Fred se cachait derrière un visage de « peau rouge », Julien se déguisa en cow-boy pensant que Monsieur Fred serait peut-être un ancien cow-boy de l’Ouest, Olivier se déguisa en Batman prêt à défendre ses amis-es avec son épée si il y avait du danger, Mathilde pour sa part croyait que tous les gens se trompaient sur Monsieur Fred et se déguisa seulement en un magnifique tournesol pour lui faire plaisir et tous les enfants se moquèrent un peu mais Mathilde avait peut-être raison. Et tous les autres enfants se déguisèrent selon leur goût et leur cœur.
Ils partirent très tôt avant la grande noirceur. La maison de Monsieur Fred se situait à quelques kilomètres tout de même.
Les enfants s’amusaient en se rendant chez Monsieur Fred et ricanaient de bon cœur.Ils se faisaient peur, ils chantaient, et les Hoo Hoo rebondissaient dans la noirceur.
Il ne restait bientôt que quelques pieds et il sera à la porte de Monsieur Fred. La maison était si triste, aussi noire que le ciel la nuit. Mais Mathilde s’écria : « Regardez, Monsieur Fred a placé des décorations pour la Fête de l’Halloween. Vous savez ce que cela veut dire. » dit-elle. Les enfants la regardèrent un peu surpris. Se pouvait-il que Monsieur Fred aime les enfants ?
Tous bien déguisés, ils arrivaient le 31 octobre à la porte de Monsieur Fred. Vanessa pris la poignée comme Chaperon Rouge et cogna à la porte. Les enfants entendirent une voix : « Oui, j’arrive. » Ils furent pris de panique sauf Mathilde qui croyait toujours à la bonté de Monsieur Fred.
« Bonjour les enfants. » dit-il, le sourire aux lèvres. Les enfants tous estomaqués sourirent eux aussi dans leurs costumes. Monsieur Fred s’avança vers chaque citrouille pour déposer de magnifiques bonbons de toutes les couleurs et en plus il déposa dans chaque citrouille, une pièce de monnaie. Olivier, déguisé en Batman en perdit son bâton, Vanessa, la petite Indienne ne dit aucun mot, Julien quant à lui perdit son chapeau de cow-boy seule la tendre Mathilde garda sa fleur et regarda Monsieur Fred, lui sourit et lui dit : « Je le savais que vous étiez gentil. » Monsieur Fred touché par ce langage d’enfant leur demanda à tous et toutes de s’asseoir et il leur raconta son histoire.
Mes enfants, vous savez, ma maison n’est pas un palais, je ne suis pas non plus un homme d’une beauté convoitée mais mon cœur est grand, si vous saviez.
Vous savez, l’amour m’a souri et je suis tombé sous son charme et cet amour nous a donné un magnifique petit garçon. Un jour, alors qu’il s’amusait avec sa bicyclette, une auto l’a frappé et il s’est envolé vers les anges. Mon amour de femme est morte de chagrin. Et moi, je suis resté seule…Et voilà mes enfants, c’est moi Monsieur Fred.
Les enfants l’embrassèrent très fort et lui dirent que tous les jours ils viendraient le visiter. Ils retournèrent chacun à leur maison.
Mathilde avait eu raison. Les méchancetés qu’on avait proclamé à l’égard de M. Fred étaient complètement fausses.
Lorsque les parents apprirent leur sortie d’Halloween, ils étaient sur le point de se fâcher lorsque les enfants leur racontèrent la vérité sur Monsieur Fred. Les parents furent très surpris et prirent une décision.
Dorénavant, Monsieur Fred ne sera plus jamais seul…il aura plein d’amis !
« Ne jugez jamais sans savoir... qui sait ce que vous trouverez... »
(auteur inconnu)
Ouvre les yeux...
Ouvre les yeux à la vie
Ouvre les yeux sur le monde
Personne n'est parfait
On a tous nos défauts nos qualités
Ouvre les yeux sur ta vie
Ouvre les yeux sur ceux qui t'entourent
Regarde autour de toi
Les gens heureux et les gens tristes
Ouvre les yeux
La vie est trop courte
Pour ne pas en profiter
Ouvre les yeux
Ouvre les yeux au bonheur
Ne passe pas a coté
Tout est éphémère
Profites-en vite
Ouvre les yeux ne regarde pas en arrière
Ouvre les yeux vas de l'avant
Combien de temps te reste t'il
Pour profiter de la vie
Ouvre les yeux
sans te poser de question
Vis au jour le jour
Sans penser au lendemain
Ouvre les yeux
Ouvre ton coeur
(auteur inconnu)
La fenêtre...
Un jeune couple venait de s’installer dans un nouveau quartier.
Le lendemain matin, au moment où le couple prenait le petit déjeuner, la femme aperçut leur voisine qui étendait du linge sur un séchoir.
Quel linge sale ! dit-elle. Elle ne sait pas laver.
Peut-être a-t-elle besoin d’un nouveau savon pour mieux faire sa lessive !
Son mari regarda la scène mais garda le silence.
C’était le même commentaire chaque fois que la voisine séchait son linge…..
Après un mois, la femme fut surprise de voir un matin que le linge de sa voisine était bien propre et elle dit à son mari:
Regardes ! Elle a appris à laver son linge maintenant…..
Qui le lui a enseigné ?
Le mari répondit:
Non… Je me suis levé tôt ce matin et j’ai lavé les vitres de notre fenêtre.
Ainsi va la vie :
Tout dépend de la propreté de la fenêtre à travers laquelle
nous observons les faits.
Avant de critiquer, il faudrait peut-être vérifier d’abord
la qualité de notre regard.
Alors, nous pouvons voir avec clarté la limpidité du coeur des autres.
Ah ! J’allais oublier….
Aujourd’hui, je te vois mieux qu’hier.
Et toi ?
Auteur inconnu
Aimer la vie
C'est d'abord apprendre
À s'aimer soi-même
À accepter ses limites, s'y adapter
À reconnaître ses forces, les utiliser au service des autres
Oser la vie...
C'est avoir un rêve
Assez puissant pour croire passionnément
Assez grand pour qu'il soi envahissant
Assez beau pour qu'il égaye chaque jour
C'est croire...
Croire que nous sommes une Étincelle divine
Une Étincelle venue rayonner, le temps d'un passage
Croire que nous avons une mission
Croire que nous pouvons l'accomplir, malgré les obstacles
Croire en soi, en l'autrui, en la vie
C'est voir...
Voir toutes les beautés du monde
Au-delà des nuages
Voir tous les élans du coeur
Avec les yeux de l'âme
C'est créer...
À travers le geste, la parole, le regard
Créer et recréer son existence
Et tendre vers l'espoir
Créer la plénitude du moment
C'est communiquer...
Abandonner sa solitude première
S'ouvrir au regard et aux paroles des autres
Reconnaître la puissance d'un groupe
Et s'y joindre en toute confiance
C'est se libérer...
Car la vraie liberté est intérieur
Elle brise les chaînes
Elle nous donne la clé qui mène vers la lumière
Cette Lumière qui nous fait...
Aimer la vie
Texte de lise Thibault
Lieutenant gouverneur du Québec
Le pardon
Le pardon est pour moi un geste d'amour,
c'est un cadeau que l'on offre à ceux qui nous ont blessé;
que ce soit par des paroles désobligeantes
qui nous ont fait pleurer
ou par des gestes déplacés qui nous ont déséquilibré...
Pardonner, c'est aussi un signe de sagesse
car cela demande beaucoup de courage
et cela n'est vraiment pas toujours facile de faire cet effort,
mais c'est le plus beau cadeau que l'on peut se faire
pour nous aider à retrouver la paix intérieure
et continuer de grandir dans notre coeur.
Être capable de pardonner, c'est se donner la chance
de vivre en équilibre avec soi-même, sans rancune,
sans colère, et sans méchanceté.
Sans ce sentiment de frustration qui nous étouffe
et qui nous rend malheureux
en venant tourmenter notre esprit
tout en nous rongeant l'intérieur...
Pardonner, c'est déposer une rose dans le jardin de l'amour
car c'est dans notre coeur que ses pétales s'ouvriront,
pour venir embellir ces précieux moments de bonheur
où tu connais la joie de redonner à quelqu'un
une seconde chance de bonheur.
" Je te pardonne " est un mot qui guérit et enrichit notre vie...
(auteur inconnu)
UN OBSTACLE SUR LA ROUTE
Il y a très longtemps, un roi fit placer un gros rocher sur une route. Puis, il se cacha et attendit pour voir si quelqu'un enlèverait l'énorme rocher.
Quelque uns des marchants et courtisans les plus riches du royaume passèrent pas là et firent tout simplement le tour du rocher. Plusieurs d'entre eux en profitèrent pour accuser le roi de négliger les routes, mais aucun ne fit quoi que ce soit pour enlever le rocher du chemin.
Puis, un paysan passa par là avec une grosse caisse de légumes. En approchant du rocher, le paysan déposa son fardeau et essaya de pousser le rocher vers le fossé. Après beaucoup d'efforts, il finit pas réussir.
Lorsqu'il se pencha pour reprendre sa caisse de légumes, il aperçut une bourse pas terre, à l'endroit même où était le rocher. La bourse contenait plusieurs pièces d'or et une note écrite par le roi, dans laquelle il disait que l'or appartenait à la personne qui avait enlevé le rocher.
Le paysan venait d'apprendre ce que beaucoup de gens ne comprennent jamais :chaque obstacle nous donne l'occasion d'améliorer notre sort
Brian CAVANAUGH
SOYONS GASTRONOMES DE LA VIE
La vie comble toujours celui qui l'apprécie,
Qui goûte chaque fruit que donne la saison,
Qui contemple sans fin chaque péripétie
D'un jour qui va vers l'autre au bout de l'horizon.
Heureux celui qui voit partout la poésie
Sans devoir la chercher au sein de sa raison !
Dans la source qui naît où l'azur s'extasie
Et les coquelicots qui poussent à foison.
Arrêtons de chercher midi à quatorze heures,
De nous laisser berner par quantité de leurres,
Posons notre regard sur ce qui nous émeut :
La feuille qui s'envole et le vent qui murmure,
Tandis que dans le ciel, la terre qui se meut
Nous mène chaque nuit vers une autre aventure.
Louis DELORME
“Il faut devenir des sources. Il faut que les autres aient envie de se désaltérer à notre source. Certaines personnes ont fait de leur vie un petit filet d'eau ; ils ouvrent le robinet doucement, ils font du goutte-à-goutte pour s'économiser.
Mon ami Raphaël est une vraie cascade. Je lui ai demandé comment il faisait pour avoir tant à dépenser et, à force de se donner, s'il n'avait pas peur d'être sec.
Il m'a tout expliqué : “Tu as déjà regardé une cascade ? C'est comme une chute et une renaissance perpétuelle. L'eau n'arrête pas de tomber à profusion. On dirait même que plus elle s'enfuit, et plus elle arrive. Plus elle dépense d'énergie et de fougue, et plus elle est généreuse. Plus l'eau s'exprime de manière impulsive et entière, et plus elle est pure. Eh bien, toi, c'est pareil. Tu as entendu parler des nappes phréatiques ? C'est de l'eau de dessous la terre qui alimente les puits et les sources. Je crois, moi, qu'on a des sortes de nappes phréatiques qui sillonnent notre être tout entier. Si on ne sait pas libérer la source, elle se tarit et on devient des cœurs secs. C'est pour cette raison qu'il faut devenir des sources pour les autres. Pour pas qu'ils meurent de soif. Bien sûr, on ne s'improvise pas source, on devient. Tu penses peut-être qu'il faut avoir beaucoup d'eau pour en donner. Tu te trompes. Saint-Éxupéry a dit : “Plus tu donnes, plus tu t'enrichis ; plus tu vas puiser à la source véritable, plus elle est généreuse”.Quand on a compris cela, on ne donne plus au goutte-à-goutte, on donne en cascade. Plus les sentiments jaillissent, plus ils arrivent en trombe. Plus tu libères ta source, et plus son flot grossit”.
François Garagnon
Extrait de ” Jade et les sacrés mystères de la vie “