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Date de création : 27.11.2008
Dernière mise à jour :
08.02.2013
5848 articles
Aimer la vie...
C'est d'abord apprendre
À s'aimer soi-même
À accepter ses limites, s'y adapter
À reconnaître ses forces, les utiliser au service des autres
Oser la vie...
C'est avoir un rêve
Assez puissant pour croire passionnément
Assez grand pour qu'il soi envahissant
Assez beau pour qu'il égaye chaque jour
C'est croire...
Croire que nous sommes une Étincelle divine
Une Étincelle venue rayonner, le temps d'un passage
Croire que nous avons une mission
Croire que nous pouvons l'accomplir, malgré les obstacles
Croire en soi, en l'autrui, en la vie
C'est voir...
Voir toutes les beautés du monde
Au-delà des nuages
Voir tous les élans du coeur
Avec les yeux de l'âme
C'est créer...
À travers le geste, la parole, le regard
Créer et recréer son existence
Et tendre vers l'espoir
Créer la plénitude du moment
C'est communiquer...
Abandonner sa solitude première
S'ouvrir au regard et aux paroles des autres
Reconnaître la puissance d'un groupe
Et s'y joindre en toute confiance
C'est se libérer...
Car la vraie liberté est intérieur
Elle brise les chaînes
Elle nous donne la clé qui mène vers la lumière
Cette Lumière qui nous fait...
Aimer la vie
Texte de lise Thibault
Lieutenant gouverneur du Québec
L'Avare...
(conte africain)
Il était une fois un homme très riche. Il était sans doute l'homme le plus riche de son village. Il était également l'homme le plus avare à telle enseigne qu'on le surnommait M'bibizo signifiant " l'homme avare ".
M'bibizo était unique par son caractère avare, il n'avait ni femme ni employé, il exécutait lui-même tous les travaux domestiques et il était fier de ne rien dépenser.
Un jour, dans l'accomplissement de ses travaux, M'bibizo tomba dans un puits et poussa un cri d'appel au secours très violent :
- A l'aide, à l'aide ! ! ! hurlait-il.
Aussitôt, son voisin le plus proche accourut et lui tendit la main en s'exclamant :
- M'bibizo, donne-moi ta main que je te sorte du puits.
Mais M'bibizo détestait donner quoique se soit et c'est avec retard qu'il finit par tendre sa main. Ce long temps de réaction lui fut fatal. Sans doute aurait-il survécu si son voisin lui avait dit " prends ma main ".
Les sages du village retinrent que ce fut bien l'avarice qui finit par tuer le riche M'bibizo.
(Auteur inconnu)
Bouton d'espoir... Bouton de rêve...
J e conserve dans le coeur une photographie superbe aperçue il y a quelques années dans une revue.
U ne vue d’ensemble d’un de ces paysages presque désertiques des Etats-Unis, sillonné par une longue route sinueuse. De part et d’autre, des herbes sèches brûlées par un soleil implacable. La chaleur semble se dégager sans netteté au ras du sol, et s’élever doucement en petites vagues aériennes et troubles. Pas âme qui vive.
Et pourtant, d’une fente de l’asphalte a surgi, irréelle et fragile, une petite fleur. Tranquille, ou insouciante de l’univers hostile dans lequel elle s’épanouit, elle s’ouvre lentement au monde, bouton d’espoir, bouton de rêve. Elle s’offre à ce soleil meurtrier qui lui accorde la grâce de fleurir un instant et de défier à elle seule la nature et l’homme. Beauté éphémère et insolite qui accroche l’oeil et touche l’âme.
J’ai dans le coeur un précieux bouton d’espoir. Il me plaît de croire qu’il saura vaincre aussi le dur asphalte des désespérances qui parfois recouvre mon chemin de vie. Bouton de rêve qui restera au fond de moi toujours vivace, promesse éternelle d’une vie qui jamais ne se fane, et qui même jamais ne finit vraiment d’éclore.
Marie-Anne Morel
La trappe à souris...
Une souris regardait un jour à travers un trou dans un mur. Elle vit un paysan et sa femme en train de déballer un paquet. Quelle nourriture pouvait-il bien contenir ? Mais quelle ne fut pas sa surprise de découvrir qu'il s'agissait d'une trappe à souris.
Fuyant vers l'arrière de la ferme, la souris criait de tous côtés : « il y a une trappe à souris dans la maison, une trappe à souris dans la maison ! ». Le poulet leva la tête, se gratta et dit : « excusez-moi, Madame Souris, je me rends bien compte que c'est une grande inquiétude pour vous, mais cela ne me regarde pas. Que voulez-vous que j'en fasse ? ». La souris se tourna alors vers le cochon. « Oh, je suis désolé Madame Souris, la seule chose que je peux faire pour vous est de prier. Soyez assurée que je vous porte dans mes prières ». La souris se tourna enfin vers le bœuf. Celui-ci se moquait de la souris : « Oh là là, Madame Souris, mais c'est terrible, une trappe à souris ! Mais je suis gravement en danger, n'est-ce pas ? ». Finalement, la souris se décida d'affronter la trappe à souris seule.
Dans la nuit, on entendit un bruit dans la maison qui ressemblait à celui d'une trappe à souris se refermant sur une souris. La femme du paysan s'en alla voir ce qui avait été pris. Dans la nuit, elle ne vit malheureusement pas le serpent venimeux dont le bout de la queue avait été pris dans la trappe. Le serpent mordit la femme du paysan. On dut partir à l'hôpital. La femme revint avec de la fièvre. Or, comme tout le monde le sait, il est fortement conseillé de faire boire à quelqu'un qui a de la fièvre une bonne soupe au poulet. Le paysan prit donc sa hache et coupa le cou du poulet. Malheureusement, la maladie continua et beaucoup de gens vinrent pour garder la malade. Le paysan dut tuer son cochon pour nourrir tout le monde. Finalement, la femme mourut et le paysan dut abattre son bœuf pour nourrir les personnes venues pour l'enterrement.
Ainsi donc, la prochaine fois que vous entendrez dire qu'une de vos connaissances est aux prises avec un problème qui ne vous concerne pas, souvenez-vous de la trappe à souris. Lorsqu'un des nôtres est menacé, nous sommes tous en danger. Nous sommes tous impliqués dans ce voyage qu'on appelle la vie. Ayons l'oeil ouvert sur nos proches et faisons un effort pour nous encourager mutuellement.
(auteur inconnu)
Un petit rien...
Un petit rien, c’est dire bonjour
A la voisine et aux amis.
C’est presque rien et c’est facile,
Cela rend la vie plus jolie.
Un petit rien, c’est dire merci
A celui qui vous rend service.
C'est presque rien, un petit mot de courtoisie
Qui rend heureux celui à qui il est dit.
Un petit rien, c’est un sourire
A distribuer sur son chemin.
C’est presque rien, mais c’est beaucoup.
Cela rend heureux et c’est contagieux.
Un petit rien, c’est dire je t’aime
A la personne que l’on aime.
C’est presque rien, c’est important
L’amour s’entretient chaque jour.
Ces petits riens sont peu de choses,
Mais ils illuminent la journée
Ils donnent envie de partager le bonheur
Et cela, ça n’a pas de prix.
(Marie-France Ferrand)
Redevenir un enfant...
Par la présente, je veux donner ma démission du monde des adultes. J'ai décidé d'accepter de reprendre les responsabilités d'un enfant de huit ans.
Je veux aller au McDonald en pensant que c'est un restaurant 4 étoiles. Je veux croire que les M&Ms sont meilleurs que l'argent parce qu'on peut les manger. Je veux installer, avec mes amis, sous un grand chêne, un kiosque de limonade par une belle journée ensoleillée de l'été.
Je veux remonter dans le temps jusqu'au moment où ma vie n'était que couleur, table de multiplication et rimes de gardienne alors que rien ne me dérangeait parce que je ne savais rien et que je m'en foutais. La seule chose qui importait était d'être heureux car j'étais tout à fait inconscient des choses qui pouvaient me tracasser et me choquer.
Je veux croire à nouveau que le monde est juste, que les gens sont honnêtes et bons. Je veux croire que tout est possible. Je veux être inconscient des complexités de la vie pour m'attarder, m'émerveiller et m'exciter avec toutes les choses simples de la vie.
Je veux revivre simplement, ne plus voir mes journées consister en pannes d'ordinateur, en montagne de travaux à faire, en nouvelles négatives, en comptant les journées où je pourrai vivre normalement dans le mois en comptant l'argent que j'ai à la banque et tout ça à travers le mémèrage quotidien, la maladie et la perte d'êtres chers.
Je veux croire au pouvoir du sourire et des caresses, à un monde gentil, à la vérité, à la justice, à la paix, au rêve, et à l'imagination en créant de petits anges avec la neige sur le point de tomber.
Donc... voici mon carnet de chèque, mes clefs d'auto, mes cartes de crédit, mes comptes à payer et ma lettre de démission. Je me retire officiellement du monde ses adultes.
Et si vous voulez en discuter avec moi, vous devrez être vite sur vos patins parce que voyez-vous... "TAG", vous êtes touché !
Brin de sagesse:
"Il n'est jamais trop tard pour être un enfant heureux."
(auteur inconnu)
LES LEÇONS DE LA VIE
Après un certain temps,
Tu apprends la différence entre
Tenir la main d'un ami et l'enchaîner:
Tu apprends que l'amour
Ne signifie pas se reposer sur quelqu'un,
Mais lui apporter un soutien.
Tu commences à accepter tes défaites
Avec la dignité d'un adulte
Et non le désespoir d'un enfant.
Tu décides de construire ta vie
Au jour le jour parce que
Les lendemains sont trop incertains.
Tu aides à semer un jardin
Plutôt que d'attendre
Que l'on t'apporte des fleurs.
(Auteur inconnu)
Tout le mystère de la vie est dans tes yeux...
Une fois, je lui ai demandé : « Le sens de la vie, pour toi, c'est quoi ? »
Il a eu un grand sourire, il s'est gratté la tête, et il m'a répondu :
« C'est tellement simple qu'il n'y a rien à raconter. Tout est si naturel en vérité.
C'est un peu l'histoire d'une pomme. Elle est là, au fond de ta poche; tu la sens bien ronde et pleine de suc, tu la savoure d'avance.
Elle a le parfum de la promesse cette pomme.
Tu attends le moment sublime, tu attends d'arriver au sommet de la montagne, au bout de l'effort.
Enfin, tu la sors de ta poche, tu la lustre avec ta manche, tu la fais miroiter au soleil.
Elle exhale une senteur qui te fait venir l'eau à la bouche.
Et c'est l'instant.
L' instant où une pomme toute simple résume la saveur de la vie.
Maintenant, si tu es dans une plantation de pommiers, il y en a à bouche-que-tu-veux.
Tu peux en goûter à satiété, tu ne comprendras guère en quoi le goût de la pomme peut être divin.
Qu'y a-t-il à dire?
Mon histoire est aussi simple que l'histoire d'une pomme.
Et aucun mot ne saura jamais faire comprendre la saveur d'un fruit convoité... »
L'important, c'est le goût de vivre, c'est savourer le goût de la vie.
C'est un cadeau formidable quand on y pense !
Formidable, vraiment...
La pomme ne change pas sa réalité, mais la voilà transfigurée par une façon de voir, de goûter, de ressentir...
Tout le mystère de la vie est dans tes yeux.
Il suffit de les exercer à percer l'apparence des choses.
Et dis toi bien que lorsque l'univers te paraît s'assombrir, ce n'est pas parce que les portes se ferment devant toi, mais parce que ton regard se dérobe à la lumière...
Jade et les sacrés mystères de la vie, F. GARAGNON
Le temps...
Tu ne peux retenir le temps.
Il passe.
Il coule entre tes doigts
Comme l’eau de la fontaine.
Il glisse dans ta main
Comme le sable de la mer.
Tu ne peux rattraper le passé.
Il n’est plus.
Il s’en est allé
Comme le couchant d’hier.
Il est disparu
Comme un souvenir perdu.
Tu ne peux emprisonner le futur.
Il n’est pas encore.
Il viendra à son heure
Comme le levant de demain.
Il te rejoindra
Comme la vague qui s’approche
Du rivage.
Mais tu peux toujours cueillir le présent
Comme un beau présent du ciel.
Ce présent est comme un arbre.
Il plonge ses profondes racines
Dans ton passé tout plein
De souvenir et d’expérience,
Comme une sagesse accumulée.
Et il lance ses longues branches
Vers ton futur tout plein
De promesse et d’espérance,
Comme un projet emballant.
Le présent est fait
De ton passé qui n’est plus
Et de ton futur qui n’est pas encore.
Prends le temps qui t’est donné
À chaque instant qui passe.
Cueille-le précieusement
Comme l’eau du ruisseau
Qui t’est toujours disponible.
Ne gaspille pas ton temps.
C’est un cadeau divin.
Ne passe pas ton temps
À courir après le temps.
Prends ton temps.
Ne dis pas : je n’ai pas le temps
Dis plutôt : mon temps est à moi
Ne sois pas avare de ton temps.
Donne ton temps aux autres
Comme il t’est donné à toi.
Ne cours pas tout le temps.
Prends ton temps...
(auteur inconnu)
La gentillesse...
C'était un jour ensoleillé, un jour de muguet
Qu'elle est venue, sur mon cœur, se poser
Telle une plume virevoltant sur un vent qui naît
C'était un jour merveilleux, un jour de rosée
Perdu dans l'antre glacial de l'intolérance
Où les yeux se ferment aux malheurs d'autrui
J'ai découvert de verts pâturages, immenses
Où poussent les fleurs de notre conscience meurtrie
Quand s'imposent la méchanceté, les tourments, les malheurs
Tous ces mots gravés sur la misère humaine
Elle est là, telle un baume apaisant les douleurs
Elle est là, caressant l'histoire de la peine
Oui, je l'ai vu dessiner des "je t'aime"
Sur tous nos cœurs de haine
Oui, je l'ai vu donner le sourire
Sur toutes les lèvres prêtent à mourir
Ainsi bien souvent, elle donne
Pour ne jamais recevoir
Ainsi bien souvent, elle étonne
Pour ne pas paraître dérisoire
Céderic Doutrelepont