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Date de création : 27.11.2008
Dernière mise à jour :
08.02.2013
5848 articles
Il faut lutter pour ses rêves, mais il faut savoir également que quand certains chemins se révèlent impossibles, mieux vaut garder son énergie pour parcourir d'autres routes.
(Paulo Coelho)
Le maître et le scorpion...
Un maître de l'Orient voyant un scorpion se noyer, décida de le tirer de l'eau mais lorsqu'il le fit, le scorpion le piqua.
Par l'effet de la douleur, le maître lâcha l'animal et celui-ci tomba à l'eau une seconde fois.
Le maître tenta de le retirer à nouveau et l'animal le piqua encore.
Quelqu'un qui était en train d'observer la scène, se rapprocha du maître et lui dit : " Excusez-moi, mais vous êtes têtu ! Ne comprenez vous pas qu'à chaque fois que vous tenterez de le retirer de l'eau il vous piquera ?"
Le maître répondit : "La nature du scorpion est de piquer, et cela ne va pas changer la mienne qui est d'aider."
Alors, à l'aide d'une feuille, le maître retira le scorpion de l'eau et le sauva de la noyade.
Puis il lui dit: "Petit scorpion, ne change pas ta nature : si quelqu'un te fait mal, prends juste des précautions. Les uns poursuivent le bonheur, les autres le créent."
Moralité :
Quand la vie te présente mille raisons de pleurer, montre-lui que tu as mille raisons pour sourire.
Préoccupe-toi plus de ta conscience que de ta réputation.
Parce que ta conscience est ce que tu es, et ta réputation, c'est ce que les autres pensent de toi...
Et ce que les autres pensent de toi...c'est leur problème.
(auteur inconnu)
Toute simple et si compliquée !
Allez tranquillement parmi le vacarme et la hâte, et souvenez-vous de la paix qui peut exister dans le silence.
Sans aliénation, vivez autant que possible en bons termes avec toutes les personnes. Dites doucement et clairement votre vérité et écoutez les autres, même le plus simple d’esprit et l’ignorant : ils ont eux aussi leur histoire. Evitez les individus bruyants et agressifs, ils sont une vexation pour l’esprit.
Ne vous comparez avec personne : vous risqueriez de devenir vain et vaniteux. Il y a toujours plus grand et plus petit que vous.
Jouissez de vos projets aussi bien que de vos accomplissements. Soyez toujours intéressé à votre carrière, si modeste soit-elle : c’est une véritable possession dans les prospérités changeantes du temps.
Soyez prudents dans vos affaires car le monde est plein de fourberies. Mais ne soyez pas aveugle en ce qui concerne la vertu qui existe : plusieurs individus recherchent de grands idéaux et partout la vie est remplie d’héroïsme.
Soyez vous-même. Surtout n’affectez pas l’amitié. Non plus ne soyez cynique en amour, car il est, en face de toute stérilité et de tout désenchantement, aussi éternel que l’herbe.
Prenez avec bonté le conseil des années en renonçant avec grâce à votre jeunesse. Fortifiez une puissance d’esprit pour vous protéger en cas de malheur soudain. Mais ne vous chagrinez pas avec vos chimères. De nombreuses peurs naissent de la fatigue et de la solitude.
Au-delà d’une discipline saine, soyez doux avec vous-même. Vous êtes un enfant de l’univers, pas moins que les arbres et les étoiles : vous avez le droit d’être ici. Et, qu’il soit clair ou non, l’univers se déroule sans doute comme il le devrait.
Soyez en paix avec Dieu, quelle que soit votre conception de lui, et quels que soient vos peines et vos rêves, dans le désarroi bruyant de la vie, la paix dans votre âme.
Avec toutes ses perfidies, ses besognes fastidieuses et ses rêves brisés, le monde est pourtant beau. Soyez positif et attentif aux autres.
Tâchez d’être heureux.
Trouvé dans la Cathédrale Saint-Paul de Baltimore en 1692. Auteur inconnu.
Comment le ciel est devenu grand..
C’était il y a longtemps… lorsque les hommes avaient un grosproblème ; le ciel était trop bas.
Il était si bas qu'il n'y avait pas de place pour les nuages. Il était si bas que les arbres ne pouvaient pas pousser. Il était si bas que les oiseaux ne pouvaient pas voler. S’ils essayaient, ils se heurtaient aux arbres et aux nuages.
Mais ce qui était plus pénible encore, c’était que le hommes adultes ne pouvaient pas se tenir debout, bien droits comme leur corps le leur demandait. Ils devaient marcher tout penché, en regardant leurs pieds et ne voyaient pas où ils allaient.
Les enfants ne connaissaient pas ce problème. Ils étaient petits, Ils pouvaient se lever aussi droits qu’ils le souhaitaient. Ils ne marchaient pas en regardant leurs pieds et pouvaient voir où ils allaient.
Ils savaient par contre qu’un jour, ils deviendraient des adultes et qu'ils devraient marcher tout penchés en regardant leurs pieds à moins que quelque chose ne se passe.
Un soir, tous les enfants se sont réunis et ils ont décidé de relever le ciel. Les quelques adultes qui les écoutaient riaient sous cape mais soudain, ils ont vu les enfants lever de longs poteaux vers le ciel. Un, deux, trois, quatre…un cri énorme retentit - unnn-uhhhhhh.
Mais rien ne se passe. Le ciel reste comme il a toujours été. Les arbres ne peuvent toujours pas grandir. Les oiseaux ne peuvent toujours pas voler. Il n’y a toujours pas de place pour les nuages et les adultes marchent toujours courbés en regardant leurs pieds sans voir où ils vont.
Le lendemain, les enfants recommencent avec des poteaux plus longs. Un, deux, trois, quatre…un cri énorme retentit - unnn-uhhhhhh. Mais rien ne se passe.
Le soir suivant, les enfants qui sont persévérants essayent encore. Ils prennent des poteaux encore plus longs. Un, deux, trois, quatre…un cri énorme retentit - unnn-uhhhhhh. Mais rien ne se passe.
Le quatrième soir, ils ont trouvé de très très très longs poteaux, les plus longs qu'ils pouvaient trouver et ils se sont mis à compter : un, deux, trois, quatre…un cri énorme a retentit - unnn-uhhhhhh et le ciel s’est soulevé.
Depuis ce jour, le ciel est à sa place. Les arbres peuvent pousser, les oiseaux peuvent voler sans se heurter aux troncs et aux branches. Les nuages ont de la place pour aller et venir et les hommes peuvent se tenir droit en regardant le ciel.
Mais le plus extraordinaire c’est que lorsque le soleil s’est couché la nuit suivante et qu’il a commencé à faire sombre, le ciel troué par les poteaux des enfants s’est mis à scintiller. Dans chaque trou, il y avait une étoile.
(Conte Apache)
Le principe de la Grenouille...
Imaginez une marmite remplie d'eau froide dans laquelle nage tranquillement une grenouille...
Le feu est allum sous la marmite... l'eau chauffe doucement..
Elle est bientôt tiède...
La grenouille trouve cela plutôt agréable et continue à nager...
La température à grimper, l'eau est maintenant chaude. C'est un peu plus que n'apprécie la grenouille... ça la fatigue un peu, mais elle ne s'affole pas pour autant...
L'eau est cette fois vraiment chaude... La grenouille va tout simplement finir par cuire et mourir..
Si la même grenouille avait été placée directement dans l'eau à 50°, elle aurait immédiatement donné le coup de patte adéquat qui l'aurait éjectée aussitôt de la marmite...
Cette expérience montre que lorsqu'un changement s'effectue d'une manière suffisamment lente, il échappe à la conscience et ne suscite la plupart du temps aucune réaction, aucune opposition, aucune révolte...
Si nous regardons ce qui se passe dans notre société depuis
quelques décennies, nous subissons une lente dérive à laquelle
nous nous habituons...
Des tas de choses qui nous auraient horrifiés il y a 20, 30 ou
40 ans ont été peu à peu banalisées et nous dérangent
mollement à ce jour ou laissent carrément indifférents la
plupart des gens AU NOM DU PROGRES et de la science...
Les pires atteintes aux libertés individuelles, à la dignité du
vivant, à l'intégrité de la nature, à la beauté et au bonheur de
vivre s'effectuent lentement et inexorablement avec la
complicité des victimes ignorantes ou démunies...
Les noirs tableaux annoncés pour l'avenir, au lieu de susciter
des réactions et des mesurespréventives ne font que préparer
psychologiquement le peuple à accepter des conditions de vie
décadentes, voire DRAMATIQUES !!!
Le GAVAGE PERMANENT d'informations de la part des
médias sature les cerveaux qui n'arrivent plus à faire la part
des choses...
Lorsque j'ai annoncé ces choses pour la première fois, c'était
pour demain... là, c'est pour AUJOURD'HUI !!!
Alors si vous n'êtes pas comme la grenouille déjà à moitié cuite,
donnez le coup de patte salutaire avant qu'il ne soit trop tard...
(Olivier Clerc... Ecrivain et philosophe)
Qu'est-ce que je fais moi ici maintenant pour continuer ma route
sur la terre? Qu'est-ce que je fais pour enlever les barrières qui
m'empêchent de trouver mon droit de passage? Qu'est-ce qui
m'empêche d'être une personne heureuse et de sourire à la vie ?
Pensez-y à deux fois...
Une vielle légende indienne raconte qu'un brave trouva un jour un oeuf
d'aigle et le déposa dans le nid d'une « poule de prairie ».
L'aiglon vit le jour au milieu d'une portée de poussins de prairie et grandit avec eux.
Toute sa vie l'aigle fit ce qu'une poule de prairie fait normalement.
Il chercha dans la terre des insectes et de la nourriture.
Il caqueta de la même façon qu'une poule de prairie.
Et lorsqu'il volait, c'était dans un nuage de plumes et sur quelques mètres à peine.
Après tout, c'est ainsi que les poules de prairie sont censées voler.
Les années passèrent. Et l'aigle devint très vieux.
Un jour, il vit un oiseau magnifique planer dans un ciel sans nuage.
S'élevant avec grâce, il profitait des courants ascendants,
faisant à peine bouger ses magnifiques ailes dorées.
"Quel oiseau splendide !" dit notre aigle à ses voisins.
"Qu'est-ce que c'est ?"
"C'est un Aigle, le roi des oiseaux," caqueta sa voisine.
"Mais il ne sert à rien d'y penser à deux fois. Tu ne sera jamais un aigle."
Ainsi l'aigle n'y pensa jamais à deux fois.
Il mourut en pensant qu'il était une poule de prairie.
Vous est-il arrivé de penser que vous étiez une poule de prairie ?
Pensez-y à deux fois...
Le chèque en blanc !
Pierre, coach et thérapeute, a pour ami - et client - Serge, un jeune cadre dynamique qui se plaint sans arrêt du manque d'argent.
Il n'a pas assez de succès auprès des femmes ? C'est parce qu'il ne peut pas les épater et les couvrir de cadeaux. Il lui arrive d'être déprimé ? C'est parce que sa banque le relance pour un découvert. Il veut se mettre à son compte mais n'y arrive pas ? c'est parce qu'il n'a pas le capital de départ.
"Ah, si j'étais né riche... Si je gagnais au loto !"
Pierre n'arrive pas à faire sortir cette idée obsédante de la tête de Serge.
Un jour, lui vient une idée:
Il lui dit :
"Aujourd'hui, je vais te faire un chèque en blanc: prend ce qu'il te faut pour être heureux et pour pouvoir faire ce qui te tient à coeur"
...et il sort son carnet de chèque, en signe un et le lui donne. Serge, un peu abasourdi, prend le chèque et s'en va...
5-6 jours passent et Pierre surveille son compte... un peu anxieux tout de même du débit qu'il va peut-être constater. Il se demande surtout s'il n'a pas fâché Serge.
Mais rien... pas de nouvelles, ni de Serge ni du chèque .
Pourtant, 2 semaines après, Serge revient et lui dit:
"Voilà, j'ai pris... un euro! J'ai mis des jours à réfléchir au montant qui me rendrait heureux. Et, brusquement, j'ai réalisé que je mettais sur le dos de l'argent bien des choses qui n'ont rien à voir:
- Mon manque d'audace
- Mon esprit pessimiste
- Mon manque de créativité
- etc.
J'ai mis cet euro dans un cadre, et je veux m'en souvenir comme le déclencheur d'une nouvelle vie. Je vais changer tout cela en moi, et l'argent viendra de lui-même, j'en suis certain."
La confiance que Pierre avait mis en Serge était plus grande que celle qu'avait Serge en lui-même. Stupéfait de constater cela, Serge commença graduellement, avec l'aide de Pierre, à changer des choses en lui.
Aujourd'hui, il ne parle plus jamais d'argent.
L'argent n'est qu'une monnaie d'échange. C'est une conséquence et non une cause.
A chaque fois que je me rends chez Serge, je regarde la pièce de monnaie, et je pense à mon propre rapport avec l'argent: est-ce que je possède de l'argent ou est-ce que c'est l'argent qui me possède ?
Si on apporte peu aux autres, on reçoit peu. Si on apporte beaucoup, on retire beaucoup. Cela peut être sous forme d'argent, d'amour, de reconnaissance, selon nos choix.
Et pour apporter beaucoup aux autres, il faut tout d'abord s'enrichir intérieurement.
(auteur inconnu)
LES MOTS AU QUOTIDIEN...
Les mots de tous les jours
ne portent ni veston ni cravate
ils dépeignent le quotidien
ils parlent de sentiments
de caresses et d'affection
ils tapent sur l'épaule
du copain qui est dans le pétrin
qui a besoin de compréhension
ils lui disent les mots qu'il faut
et ils versent avec compassion du baume
sur les plaies qui marquent sa peau
sans se prendre pour des acrobates
les mots sourient aussi à la vie
ils leur arrivent de faire les bouffons
de marcher les pattes en l'air
ils s'esclaffent et rigolent
ils racontent des blagues
souvent même assez polissonnes
s'expriment sans faire de détours
sur le sexe et la drague
ils s'amusent à jouer des tours
sans prendre les choses trop au sérieux
mais les mots comme va le vent
vite changent de direction
virent de tribord à bâbord
deviennent tantôt tristes
avec des accents mélancoliques
tantôt ils sont remplis d'angoisse
affichent des visages affligés
parfois avec gène ils bafouillent
ne savent plus trop quoi dire
alors tout piteux ils se taisent
leurs silences éloquents en disent long
à d'autres moments leur ton est lyrique
ils s'enfilent comme des perles
et s'alignent pour former des vers
qui disent avec plus de douceur
l'amour que l'on n'ose déclarer tout haut
ils prononcent tout bas les déclarations
de l'amoureux transi à sa bien-aimée
et quand ils deviennent muets
ce n'est pas parce qu'ils bougonnent
c'est qu'ils n'ont plus rien à dire
et que dans le dictionnaire ils dorment
(auteur inconnu)
Il a neigé
Il a neigé dans l'aube rose
Si doucement neigé,
Que le chaton croit rêver.
C'est à peine s'il ose
Marcher.
Il a neigé dans l'aube rose
Si doucement neigé,
Que les choses
Semblent avoir changé.
Et le chaton noir n'ose
S'aventurer dans le verger,
Se sentant soudain étranger
À cette blancheur où se posent,
Comme pour le narguer,
Des moineaux effrontés.
Maurice Carême