Live Is Life est une chanson du groupe autrichien Opus extrait de leur cinquième album studio Live Is Life. Le titre est sorti le 9 septembre 1984.
La chanson est enregistrée en public lors d'un concert donné à Oberwart. Le groupe a, par la suite, réenregistré ce morceau en 1994 sous le titre The Power of Live is Life avant de le décliner en version rock et reggae en 2008.
La chanson a été reprise dès 1985 par le groupe italo disco Stargo, produit par Roberto Zanetti. Cette version se classe dans le Top 50 simultanément avec celle d'Opus et monte jusqu'à la 10e place. En 1985 toujours, le chanteur québécois René Simard fait une version en français sous le titre Chante la la la. En 2002, c'est au tour de Hermes House Band et DJ Ötzi de reprendre avec succès Live is Life (2e en France, 5e en Belgique). Le groupe slovène de musique industrielle Laibach revisite quant à lui le morceau en 1987, le retitrant Leben heißt Leben sur son album Opus Dei et Life is Life en single.
Reprises
En 2007, on trouve cette chanson dans La Face cachée de Bernard Campan (scène du mariage) ;
En 2014, on trouve cette chanson dans la bande originale du long métrage Pas son genre de Lucas Belvaux
En avril 2016, la chanteuse américaine Sofia Carson utilise la mélodie de la chanson pour son premier single Love Is The Name. Pour l’occasion, la mélodie est remixée pour offrir un son plus moderne et aux sonorités latino
En 2017, on trouve quelques notes de la chanson dans la publicité télévisée de Laforêt immobilier mise en scène par Maxime Giroud
Live is life
Live is life
Live is life
When we all give the power
We all give the best
Every minute of an hour
Don't think about a rest
Then you all get the power
You all get the best
When everyone gives everything
And every song everybody sings
Then it's life
Live is life
Live is life
Live
Live is life, when we all feel the power
Live is life, come on stand up and dance
Live is life, when the feeling of the people
Live is life, is the feeling of the band, yeah
When we all give the power
We all give the best
Every minute of an hour
Don't think about a rest
Then you all get the power
You all get the best
And everyone gives everything and every song
Everybody sings
Then it's live
Live is life
Live
Live is life
Live
Live Is life
Live
Live Is life
And you call when it's over
You call it should last
Every minute of the future
Is a memory of the past
'Cause we all gave the power
We all gave the best
And everyone gave everything and every song
Everybody sang
Live is life
Source : LyricFind
Paroliers : Ewald Pfleger / Guenter Grasmuck / Herwig Ruedisser / Kurt Plisnier / Peter Niklas Gruber
Paroles de Live Is Life © Budde Music Publishing GmbH, Budde Music France
|
| |
| |
| |
| |
![](https://i.skyrock.net/6162/33476162/pics/3343311392_1_3_HCBG6mcp.gif) | |
| |
|
Chanson française | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Chanson internationale | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Hymne national | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Musique classique | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Musique de film | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Musique instrumentale | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Parodie | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Chanson paillarde | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Chanson pour enfant | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Dessin animé | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Générique | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Série TV | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
|
Le siège de La Rochelle, ordonné par Louis XIII et commandé par le cardinal de Richelieu, principal ministre du roi, commence le 10 septembre 1627 et se termine par la capitulation de la cité protestante, le 28 octobre 1628.
Origines
Jean Guiton, armateur protestant élu maire de La Rochelle en 1628.
Grâce à l’édit d’Henri IV, La Rochelle, cité riche de 22 000 habitants dont près de 18 000 protestants, est devenue un haut lieu de la religion réformée en France. Ce port, dernière place de sûreté des huguenots, est en relation avec les Provinces-Unies des Pays-Bas qui sont devenues calvinistes, et reçoit de la mer l’aide de l'Angleterre.
Si l’édit de Nantes ramène la paix dans le royaume de France, il a aussi comme effet de transformer les cités protestantes en un « État dans l’État ». La menace vis-à-vis du pouvoir royal est bien réelle, et Richelieu entend bien la réduire à néant.
En effet, en mai 1621, La Rochelle proclame son indépendance, et la constitution d’une « Nouvelle République de La Rochelle » est établie sur le modèle de la République des Provinces-Unies des Pays-Bas, sur le modèle de la République de Genève sous Jean Calvin. Le roi Louis XIII confie en juin 1621 au Duc d’Épernon le soin de faire le siège de la ville.
La principale crainte de Richelieu est que cette place forte devienne une sorte de bastion d’où les protestants, aidés financièrement par l’Angleterre et la Hollande, pourraient mettre en péril le pouvoir royal et étendre leur influence à l’ensemble du territoire. Il déclare : « il faut couper la tête du dragon ». Sa décision est donc prise : il faut reprendre sans tarder La Rochelle.
Le roi Louis XIII a fait de brillantes campagnes militaires, mais il est surtout à l'aise dans la guerre de mouvement. Il l'a montré en 1622, en prenant la tête de ses troupes lors de la victoire de l'île de Riez contre les protestants de Benjamin de Rohan (seigneur de Soubise), mais il a échoué en 1621 au siège de Montauban et n'a remporté qu'un demi-succès en 1622 devant Montpellier. Il n'est donc plus question d'engager le prestige royal dans un siège que l'on prévoit long et complexe. Le commandement militaire est confié au cardinal de Richelieu, qui va trouver l'occasion de renouer avec sa vocation militaire.
Ordre de bataille
L'armée de siège comprenait (à compléter) :
Régiment de Chappes
Régiment de Chastellier-Barlot
Régiment d'Estissac
Régiment des Gardes françaises
Régiment de La Bergerie
Régiment de La Chapelle-Balou
Régiment de Marillac
Régiment de Maulny
Régiment de Navarre
Régiment de Piémont
Régiment de Pompadour
Régiment de Rambures
Régiment de Riberac
Régiment de Soissons
Régiment de Vaillac
Régiment de Vaubécourt
Début du siège
La Rochelle est soutenue par l'Angleterre en tant que ville protestante, mais aussi pour freiner le développement de la marine française. George Villiers, duc de Buckingham (orthographié en français de l'époque « Bouquingan ») quitte le port de Portsmouth (que le cardinal appelle « Porsemus » dans ses Mémoires) avec 110 vaisseaux et 8 000 hommes, et débarque sur l'île de Ré le 12 juillet 1627. Informé, Richelieu réagit immédiatement. Il commence le siège de la ville et fait fortifier les îles de Ré et Oléron. L’armée royale déploie quant à elle ses 20 000 hommes autour de la ville, coupant toutes les voies de communication terrestres. Le ravitaillement ne peut plus venir que de la mer
Le commerce est alors bloqué.
La digue
Buckingham s’installe dans un premier temps dans l’île de Ré, le 22 juillet 1627. Bien qu'étant elle aussi protestante, l'île n'a cependant pas rejoint la rébellion contre le roi. Le duc en est chassé par Henri de Schomberg et Toiras puis est battu en mer le 17 novembre. Il finit par rentrer sans gloire en Angleterre. Pour empêcher le ravitaillement par mer, Richelieu entreprend le 30 novembre la construction par 4 000 ouvriers d’une digue longue de 1 500 mètres et haute de vingt. Les fondations reposent sur des navires coulés et remblayés. Des canons pointés vers le large sont disposés en renfort.
Plan de H. Bachot, modifié et complété par Claude Masse relative à la construction de la digue de La Rochelle.
La flotte française, sous le commandement de l'amiral Marino Torre (it) a bloqué le port.
Les secours anglais
L'Angleterre a envoyé trois flottes.
Première expédition de La Rochelle
Pour la première expédition, le roi d'Angleterre Charles Ier envoie une flotte de 80 navires, sous le commandement de George Villiers (1er duc de Buckingham), qui débarque sur l'île de Ré le 12 juillet 1627 avec comme objectif de maîtriser les approches de La Rochelle, et d'encourager la rébellion huguenote de La Rochelle.
C'est le début de la guerre anglo-française.
Deuxième expédition de La Rochelle
La seconde expédition, dirigée par William Feilding, 1er comte de Denbigh (en), part d'Angleterre en avril 1628, et arrive à proximité de la ville assiégée en mai. Elle était composée de 60 navires et 6 ramberges. La flotte anglaise repart pour Portsmouth sans avoir combattu, le comte de Denbigh déclarant qu'il n'avait pas voulu mettre en danger les vaisseaux du roi dans un combat incertain
Troisième expédition de La Rochelle
Une troisième flotte, qui appareille en août 1628, est envoyée, sous le commandement de l'amiral Robert Bertie, 1er comte de Lindsey (en), pour essayer de soulager et ravitailler la ville. Cette flotte, composée de 29 navires de guerre et 31 navires marchands, arrive en vue de La Rochelle en septembre 1628. Après avoir bombardé des positions françaises pour essayer de forcer la digue en vain, la flotte anglaise est contrainte de se retirer. À la suite de cette dernière attaque, qui échoue à nouveau, la ville, réduite à la famine, capitule sans condition le 28 octobre 1628. Elle ne compte plus que 5 400 habitants
Les affres du siège
Le siège de La Rochelle, d'après une gravure de Jacques Callot
Les vivres commencent à s’épuiser, et les navires anglais venus en soutien sont contraints de rebrousser chemin. La décision est alors prise, comme à Alésia, de faire sortir de la ville les « bouches inutiles ». Sont ainsi expulsés femmes, enfants et vieillards. Tenus à distance par les troupes royales, qui n’hésitent pas à faire feu sur eux, ils errent pendant des jours sans ressources et décèdent de privation. Une deuxième, puis une troisième expédition anglaise échouent, malgré des tirs nourris. Les Rochelais sont contraints de manger chevaux, chiens, chats… Lorsque la ville finit par se rendre, il ne reste que 5 400 survivants sur les 28 000 habitants. Louis XIII leur accorde son pardon. Ils doivent néanmoins fournir leur certificat de baptême, sacrement commun aux catholiques et réformés, les murailles sont rasées
La capitulation est inconditionnelle. Par les termes de la paix d'Alès du 28 juin 1629, les huguenots perdront leurs droits politiques, militaires et territoriaux, mais conserveront la liberté de culte garantie par l'édit de Nantes.
Conditions de la capitulation
Par un édit royal, daté de La Rochelle du 3 novembre 1628, Louis XIII règle le sort de la ville : réautorisation de l'exercice libre et public du culte catholique et maintien du culte réformé (les églises devant être rebâties aux frais des Rochelais et restituées à leurs anciens possesseurs avec les cimetières) ; une croix sera dressée sur la place du château avec une inscription commémorant la reddition ; chaque année, le 1er novembre, une procession solennelle aura lieu en action de grâce ; le temple principal de la ville sera érigé en cathédrale et siège d'évêque ; les rebelles sont pardonnés
Louis XIII et Richelieu font leur entrée à La Rochelle par Pierre Courtilleau.
Littérature
Alexandre Dumas s’empare de cet épisode de l’histoire de France pour en faire un des chapitres de son célèbre roman Les Trois Mousquetaires. Il prend cependant quelques libertés avec la vérité : il n’hésite pas à déplacer certains personnages dans le temps et fait ainsi participer d'Artagnan (le véritable d’Artagnan, âgé d’une quinzaine d’années en 1627, n’a jamais pris part aux faits ; en réalité, ce dernier a dévolu sa carrière à servir Louis XIV, et non Louis XIII sous le règne duquel s'est déroulé le siège de La Rochelle). D'autre part, cet ouvrage — s'il introduit bien le contexte historique — se concentre sur les épisodes de bravoure des principaux protagonistes sans pour autant décrire les événements qui conduisirent à la victoire royale.
Robert Merle dépeint également ce siège dans La Gloire et les Périls, onzième tome de la série Fortune de France. Malgré quelques aménagements narratifs, le siège y est dépeint de façon beaucoup plus réaliste, tant par les détails historiques que par l'esprit général du siège, qui fut long et difficile, et dépendant en outre des capacités d'organisation de Richelieu.
1987
Paeoles
Attends, attends, j’ai envie mais attendsC’est tellement beau avant, après on sera grandAttends, attends, on va le faire, attendsC’est la première fois et j’ai un peu froidFais-moi encore l’amour avec les yeuxComme les enfants, jouons aux amoureuxMême si c’est plus un jeu... Plus un jeu
Attends, attends, on a toute la nuit
Tout un été, toute une vie aussi
Attends, attends, on n’est pas tellement vieux
Laissons encore le soleil dans nos yeux
Il y a longtemps que je t’attends... Que je t’attends
Attends, attends, j’ai pas peur mais attends
On est si bien comme ça, après je ne sais pas
Attends, attends, c’est vrai je t’aime, attends
Et parle-moi un peu, dis-moi les mots bleus
Je ne sais pas si je vais bien savoir
Il y a trop de lumière pour bien se voir
J’ai tellement envie d’y croire... Envie d’y croire
Attends, attends, on a toute la nuit
Tout un été, toute une vie aussi
Attends, attends, on n’est pas tellement vieux
Laissons encore le soleil dans nos yeux
Il y a longtemps que je t’attends... Que je t’attends
Attends, attends, j’ai envie mais attends
C’est tellement beau avant, après on sera grand
Attends, attends, j’ai un peu froid
Attends, attends, j’ai pas peur mais attends
On est si bien comme ça, après je ne sais pas
Attends, attends, j’ai envie mais attends
C’est tellement beau avant, après on sera grand
|
| |
| |
| |
| |
![](https://i.skyrock.net/6162/33476162/pics/3343311392_1_3_HCBG6mcp.gif) | |
| |
|
Chanson française | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Chanson internationale | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Hymne national | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Musique classique | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Musique de film | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Musique instrumentale | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Parodie | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Chanson paillarde | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Chanson pour enfant | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Dessin animé | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Générique | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
Série TV | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
|
La péninsule de Hel, dans le Nord de la Pologne (en saumon)
La bataille de Hel est une des plus longues batailles de l'invasion de la Pologne au cours de la Seconde Guerre mondiale.
La péninsule de Hel, avec la ville de Hel, était une poche de résistance de l'armée polonaise qui résista durant de longs jours à l'invasion allemande. Environ 3 000 soldats de l'unité de la région fortifiée de Hel (Helski Rejon Umocniony), rattachée au groupe de défense côtier (Grupa Obrony Wybrzeża), commandé par le kontradmirał Włodzimierz Steyer, défendit solidement la zone contre toute attente du 9 septembre jusqu'au 2 octobre 1939, date à laquelle les Polonais se rendirent
Les installations militaire polonaises
Lors du déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, Hel, principale base de la marine polonaise depuis 1928, est forte de 3 000 soldats, et possède plusieurs batteries côtières de canons antiaériens et anti-navires, construites peu de temps avant la guerre, en 1936.
La bataille
Hel est d'abord attaquée par les forces allemandes aériennes (Luftwaffe) et maritimes (Kriegsmarine) dès le 1er septembre 1939. Après plusieurs défaites face à l'ennemi (bataille de la forêt de Tuchola, bataille de Westerplatte, bataille de Gdynia et la bataille de Kępa Oksywska (en)), les forces polonaises du nord encore disponibles se regroupent sur Hel. Les forces allemandes commandées par le general der Flieger Leonhard Kaupisch (en) et le generaloberst Fedor von Bock atteignent la baie de Puck (en) le 8 septembre et stoppent le 12 au niveau des villes de Swarzewo et Władysławowo, à l'entrée de la péninsule de Hel, isolant ainsi la bande de terre du reste de la Pologne.
Le 21 septembre, Hel est pilonnée par les canons des cuirassés allemands Schleswig-Holstein et Schlesien, qui prennent pour cible en priorité les batteries de défense côtière de la région fortifiée de Hel.
Après la chute de Varsovie et de Modlin, en raison du manque de vivres et de munitions, le moral des défenseurs de Hel est affaibli. Le 1er octobre, les Polonais décident d'entamer des pourparlers de capitulation de Hel. Les troupes polonaises cessent le feu dès 11 h, tandis que les Allemands continuent de tirer jusqu'à 16 h.
Durant l'occupation, Hel devient un centre de formation majeur des équipages des sous-marins U-Boot de la Kriegsmarine. La région ne sera libérée par les Soviétiques que le 14 mai 1945, six jours après la capitulation nazie.