RENAULT VEUT PRENDRE UN NOUVEAU DÉPART AVEC SA NOUVELLE MÉGANE 100% ÉLECTRIQUE
Le 06/09/2021 à 18:59
Au salon de Munich, Renault a présenté sa nouvelle Mégane, une voiture qui ne sera commercialisée qu’en version 100% électrique et la première à intégrer le nouveau logo de la marque au losange. Tout un symbole du renouveau souhaité par le patron du groupe français, Luca de Meo
La Mégane change de forme pour passer au 100% électrique. Au salon de Munich, Renault a dévoilé ce lundi son nouveau véhicule, qui passe de la berline compacte à un petit SUV, avec la volonté affichée de relancer les ventes de ce modèle en perte de vitesse ces dernières années.
Avec une positon de conduite plus haute, cette Mégane se révèle plus courte que l'actuelle: 4,21 mètres (très proche d'un Captur), contre 4,35 mètres pour la Mégane IV qui avait été lancée en 2016. Elle dispose toutefois d'un espace à bord optimisé, avec une empattement (la distance entre les deux essieux) en progression sur cette nouvelle Mégane, à 2,70 mètres.
Côté autonomie, point essentiel pour une voiture 100% électrique, Renault commercialisera deux versions différentes. Une première équipée d'une batterie de 40 kWh, offrant environ 300 km d'autonomie selon la norme WLTP, et une deuxième de 60 kWh, permettant d'atteindre 470 km d'autonomie. Des chiffres qui peuvent décevoir ceux qui attendaient un modèle plus endurant mais Renault insiste sur le temps de recharge, en particulier sur autoroute où le véhicule peut encaisser jusqu'à 130 kW de puissance.
Renault évoque ainsi "des temps de recharge qui sont parmi les plus efficaces du marché": une batterie chargée en une nuit (8 heures) sur une wallbox de 7,4 kW et 300 km récupérés en 30 minutes sur les bornes les plus rapides.
Deux moteurs seront également au choix: un premier de 96 kW (soit 130 chevaux) et un second de 160 kW (218 chevaux), avec un 0 à 100 km/h annoncé en 7,4 secondes.
Cette nouvelle Mégane "E-Tech Electric" doit incarner le renouveau du constructeur: c'est le premier modèle conçu sous l'ère Luca de Meo, le nouveau patron du groupe Renault depuis juillet 2020.Le véhicule inaugure ainsi une nouvelle plateforme de l'Alliance Renault-Nissan et optimisée pour le 100% électrique. Les moteurs électriques seront produits sur le site de Cléon et le véhicule sera quant à lui assemblé à Douai, au sein du nouveau pôle ElectriCity.
A l'intérieur, la Mégane profite d'un environnement très moderne et qui marque une évolution importante par rapport aux derniers modèles commercialisés. Elle inaugure en effet le système baptisé "OpenR", réunissant les afficheurs du tableau de bord et l’écran central multimédia (12 pouces), le tout formant un "L inversé". On retrouve également des boutons physiques de raccourcis vers des fonctions comme la climatisation, à l'image des touches piano de Peugeot sur ses derniers modèles.
Côté logiciel, Renault mise sur sur sa nouvelle interface "avec Google intégré, pour une expérience connectée intuitive et optimisée", écrit le constructeur. En début d'année, Ford avait aussi annoncé que ses futurs systèmes d'infodivertissement utiliseraient plein pot l'écosystème numérique du géant américain.
Autre symbole de ce nouveau départ pour Renault, cette Mégane nouvelle génération sera le premier véhicule de série à arborer le nouveau logo du losange. Une réinterprétation moderne du logo "Vasarely" utilisé de 1972 à 1992. On avait déjà pu découvrir ce logo sur le concept R5, qui préfigure le retour de ce modèle, aussi en version "zéro émission".
Jean-Paul Belmondo, monstre sacré du cinéma français, est mort à l'âge de 88 ans
L'acteur laisse un grand vide dans le cinéma après plus de cinquante ans de carrière.
Jacky Bornet
France Télévisions Rédaction Culture
Publié 16:27Mis à jour 17:32
Jean-Paul Belmondo dans "L'Homme de Rio" (1964) de Philippe de Broca. (COLLECTION CHRISTOPHEL / DEAR FILM PRODUZIONE / LES FILMS ARIANE / ARTISTES ASSOCIES)
Jean-Paul Belmondo, l'un des derniers monstres sacrés du cinéma français, s'est éteint à l'âge de 88 ans, a annoncé son avocat à l'AFP, lundi 6 septembre. Diminué depuis un accident vasculaire cérébral survenu en 2001, "Bebel" n'en était pas moins présent et recevait beaucoup de propositions de tournages. Retour sur l'itinéraire d'un enfant gâté du cinéma, mais aussi du théâtre.
La "bande du Conservatoire"
Ce n'est pas aux plateaux que se destinait Jean-Paul Belmondo, mais à la scène. Né le 9 avril 1933 à Neuilly-sur-Seine d'un père sculpteur de renom, Paul Belmondo, et d'une mère artiste-peintre, Madeleine Rainaud-Richard, Jean-Paul ne s'intéresse guère aux études. Sa passion, c'est le sport : le football, le cyclisme et surtout la boxe, qu'il pratiquera en professionnel avec succès. Cette disposition sportive se vérifiera plus tard dans ses performances physiques au cinéma, où il exécutera ses propres cascades – sa marque de fabrique.
Noel et Jean Chevrier prenant la pose avec leurs épées dans une diligence à l'occasion des répétitions de la dramatique "Les trois mousquetaires" (Claude Barma, 1959). (Philippe Bataillon / Ina) Daniel Soreno, Jean-Paul Belmondo, Hubert Noel et Jean Chevrier prenant la pose avec leurs épées dans une diligence à l'occasion des répétitions de la dramatique "Les trois mousquetaires" (Claude Barma, 1959). (Philippe Bataillon / Ina)
En 1946, le jeune Jean-Paul assiste à une représentation des Femmes savantes de Molière à la Comédie-Française. Sa vocation est née, il sera comédien. Elève de Raymond Girard puis de Pierre Dux, Belmondo fait ses classes aux Hôpitaux de Paris en jouant devant les patients. Admis au Conservatoire national supérieur d'art dramatique en 1952, il y rencontre Jean Rochefort, Jean-Pierre Marielle, Bruno Cremer, Pierre Vernier et Michel Beaune. A cette "bande du Conservatoire" s'ajoutent bientôt Jean-Pierre Mocky, Claude Rich, Annie Girardot, Françoise Fabian et Philippe Noiret. Mais Jean-Paul Belmondo ne convainc pas ses maîtres et se voit refuser l'accès à la Comédie-Française. Cela ne l'empêche pas d'être appelé par Jean Anouilh, ni d'interpréter Feydeau ou George Bernard Shaw.
En 1956, Jean-Paul Belmondo tourne son premier film, Les Copains du dimanche, de Jean Astier, qui ne sortira qu'en 1967. Entre-temps, l'acteur est devenu une star. En 1959, il joue D'Artagnan dans Les Trois Mousquetaires, téléfilm réalisé par Claude Barma et diffusé en direct à la télévision le soir de Noël.
En route pour la gloire
En 1958, Marc Allégret lui offre un second rôle dans Sois belle et tais-toi avec Alain Delon, débutant tout comme lui. Ils seront amenés à se revoir… Autre grand cinéaste français, Marcel Carné lui donne un petit rôle dans Les Tricheurs (1958). Sa présence tout au long du film lui permet d'être remarqué auprès de Bourvil, Danielle Darrieux et Arletty. Jean-Luc Godard le compare dans Les Cahiers du cinéma à Jules Berry et Michel Simon.
La Nouvelle Vague est prête à déferler et c'est Claude Chabrol, déjà à son troisième film en 1959, qui dame le pion à François Truffaut et Jean-Luc Godard, en faisant appel au jeune acteur dans A double tour. Godard enchaîne en 1960 en lui donnant le premier rôle dans A bout de souffle avec Jean Seberg, film phare de la Nouvelle Vague. Succès critique et public, le film propulse Belmondo au top. Godard fera appel à lui dans trois autres longs métrages.
L'Homme de Rio
Le charisme de Belmondo est reconnu par les plus grands cinéastes français établis ou en devenir. Parmi ces derniers, Claude Sautet l'emploie dans son premier long métrage, Classe tous risques (1960), excellent polar qu'il interprète au côté de Lino Ventura. La même année, c'est Moderato Cantabile de Peter Brook, d'après Marguerite Duras. Il est Léon Morin prêtre (1961) pour Jean-Pierre Melville.
Henri Verneuil le confronte au "patron" Jean Gabin dans Un singe en hiver (1962) d'après Antoine Blondin. La rencontre des deux acteurs, d'abord glaciale, deviendra confraternelle, servie par les dialogues de Michel Audiard, dont cette réplique de Gabin à Belmondo : "Môme, t'es mes 20 ans". Un clin d'œil à la relève ?
Belmondo passe du film d'auteur à des rôles plus fédérateurs avec une aisance étonnante. Il ne manquait plus qu'une corde à son arc : le film d'aventure. Elle lui est offerte en 1962 par Philippe de Broca avec Cartouche, où il retrouve son camarade du Conservatoire Jean Rochefort et donne la réplique à Claudia Cardinale. Film de cape et d'épée, cette évocation fantaisiste du célèbre bandit de grands chemins du XVIIIe siècle reste un fleuron du genre. Le personnage colle à la fougue de l'acteur, qui lui apporte une dimension physique inédite dans les scènes d'action.
C'est la raison pour laquelle Philippe de Broca lui propose dans la foulée L'Homme de Rio en 1964. Il y campe un deuxième classe en permission qui se lance dans une aventure abracadabrante pour retrouver sa fiancée enlevée au Brésil. Dans ce scénario librement inspiré des aventures de Tintin (L'Oreille cassée), Belmondo excelle dans les courses-poursuites et les cascades.
Ce rôle qui lui colle à la peau est un tournant dans sa carrière. Sa partenaire, Françoise Dorléac, sœur de Catherine Deneuve, verra la sienne interrompue par un accident mortel en 1967.
Entre films d'auteur et cinéma populaire
Henri Verneuil dirige ensuite Belmondo dans Cent mille dollars au soleil (1964) avec Lino Ventura, puis dans Week-end à Zuydcoote (1964), sur l'évacuation de Dunkerque en 1940. Philippe de Broca le rappelle pour Les Tribulations d'un Chinois en Chine (1965), d'après Jules Verne. Il y retrouve Jean Rochefort et tombe amoureux sur le plateau de sa partenaire Ursula Andress, sacrée à l'époque plus belle femme du monde. Cette liaison provoque la rupture avec sa première épouse. Il renoue en revanche avec Jean-Luc Godard pour une dernière collaboration dans le mythique Pierrot le fou (1965) au côté d'Anna Karina.
En 1969, retour à la comédie avec Bourvil et David Niven dans Le Cerveau, première alliance avec Gérard Oury, à la tête de la plus chère production française jamais tournée à l'époque. Succès garanti.
Jean-Paul Belmondo s'oriente de plus en plus vers un cinéma de pur divertissement, mais il garde des attaches avec le cinéma d'auteur. Il tourne pour François Truffaut La Sirène du Mississippi en 1969 avec Catherine Deneuve, mais le rôle désarçonne son public et le film fait un flop. Idem pour Un homme qui me plaît (1969) de Claude Lelouch, avec Annie Girardot. Deux films tournés aux Etats-Unis, où l'acteur confie n'être pas à son aise.
Au tournant des années 1960-1970, Belmondo devient Bebel, diminutif né de la coquille d'un journaliste qui comparait l'acteur au personnage de Pepel interprété par Jean Gabin dans Les Bas-fonds (Jean Renoir, 1936). Les P devenus des B resteront. 1970 est une grande année pour la star : il forme avec Alain Delon le duo de Borsalino réalisé par Jacques Deray. Devenu un classique, le film est taillé sur mesure pour les deux comédiens au faîte de leur gloire, qui offrent un final d'anthologie. Carton au box-office (4 710 381 entrées), le film fait l'objet d'une suite, Borsalino & Co., mais sans Bebel.
Citons aussi le délicieux Les Mariés de l'an II de Jean-Paul Rappeneau (1971) avec Marlène Jobert. Ou encore Le Casse en 1971, nouveau virage dans la carrière de Jean-Paul Belmondo. Il retrouve Henri Verneuil, qui l'associe à Omar Sharif, dans un polar musclé qui renouvelle le genre en France.
Roi du film d'action
Le Casse sort la même année que French Connection de William Friedkin, et participe à ce qui va devenir le "polar urbain". Mais il intronise aussi le nouveau Bebel, roi du film d'action. Il est en 1973 Le Magnifique de Philippe de Broca dans une parodie des James Bond où il enquille les cascades à la Jerry Lewis. Succès du Casse oblige, Verneuil enchaîne avec Peur sur la ville en 1974, où Belmondo casse la baraque, mais s'enferre dans le genre. L'intrigue importe peu, l'action domine.
Jusqu'à ce que l'acteur se blesse lors de la descente en filin d'un hélicoptère, après avoir enjambé les toits de Paris et parcouru celui d'un métro en marche. Le tandem Verneuil-Belmondo fonctionne toujours : 3 948 746 entrées.
La rupture avec la critique
La même année (1974), Bebel brise son image en jouant et produisant pour Alain Resnais Stavisky, sur le scandale financier des années 1920. Belmondo est enthousiaste de renouer avec un cinéaste "auteuriste". Mais le film, présenté à Cannes, connaît un accueil critique et public mitigé. La comédie et l'action seront désormais ses seuls objectifs. Il retourne donc vite dans le giron de Verneuil… la routine. Déjà étiqueté "commercial" par la critique, Belmondo perd en crédibilité.
Les titres de ses films suivants se limitent à des qualificatifs qui désignent l'acteur : après Le Magnifique (1974), il est L'Incorrigible (1975), L'Animal (1977), Le Guignolo (1980), un carton à 5 millions d'entrées. Suivront Le Professionnel (1981), puis L'As des as de Gérard Oury (5,4 millions d'entrées en 1982 !), Le Marginal (1983). Le public vient voir un Belmondo comme un James Bond. Pour la critique, Bebel est devenu la caricature de Belmondo. La messe est dite.
Bebel en a marre
Bebel sent le vent tourner. Les Morfalous (1984) de son fidèle Henri Verneuil touche le fond, le public commence à se lasser, malgré un score au box-office faramineux. Il revient à la pure comédie dans Joyeuses Pâques (1984) de Georges Lautner, d'après la pièce de Jean Poiret, avec Sophie Marceau à 17 ans. Succès moins vertigineux, mais beau score tout de même (3,5 millions d'entrées).
Robert Hossein, qu'il connaît bien, lui propose en 1987 d'interpréter Kean, la pièce de Jean-Paul Sartre d'après Alexandre Dumas. L'accueil critique est morne mais redonne le goût des planches au comédien. C'est alors qu'intervient le succès au cinéma d'Itinéraire d'un enfant gâté (1988) de Claude Lelouch. Bebel décroche le le César du meilleur acteur pour ce rôle à contre-emploi qui le réhabilite.
Finir sur les planches
En 1990, Jean-Paul Belmondo interprète Cyrano de Bergerac, toujours mis en scène par Robert Hossein. La pièce joue à guichets fermés et s'exporte à travers le monde. Belmondo tourne L'Inconnu dans la maison (1992) de son ami Georges Lautner, puis la version Lelouch des Misérables (1995) qui ne rencontre pas le succès escompté.
En 1996, alors que Bernard Murat adapte au cinéma la pièce Désiré de Sacha Guitry, Jean-Paul Belmondo se livre à une sévère diatribe contre les distributeurs qui, selon lui, négligent le cinéma français. Se détournant du cinéma, il rachète le Théâtre des Variétés à Paris, joue du Feydeau, du Guitry et du Jean-Michel Ribes. Comme un retour aux sources, ces rôles sont ses derniers triomphes.
L'homme est resté accessible jusqu'au bout, tout en préservant sa vie privée. Diminué par la maladie, il resplendissait toujours d'une confiance inaltérable dans la vie, communiquait sa joie d'être au contact du public. Il émanait de lui un charisme solaire, unique dans l'histoire du cinéma français, du cinéma tout court.
Quelques mots d'amour est une chanson française d'amour tube de l'auteur-compositeur-interprète Michel Berger (1947-1992). Enregistrée sur son 5e album Beauséjour de 1980, chez Warner Bros. Records (disque d'or vendu à près de 300 000 exemplaires) elle figure également sur la face B de La Groupie du pianiste, premier single extrait de l'album, vendu à près de 400 000 exemplaires.
Genèse
Michel Berger écrit et compose cette chanson sur le thème de sa solitude mélancolique amoureuse (malgré tous ses fans et amis), de sa recherche complexe de la femme de sa vie, de son besoin de sentiments amoureux, et de cette déclaration d'amour à la femme qu'il aime « Il manque quelqu'un près de moi, Je me retourne tout le monde est là, D'où vient ce sentiment bizarre que je suis seul, Parmi tous ces amis et ces filles qui ne veulent, Que quelques mots d'amour..., J'écoute les battements de mon cœur me répéter, Qu'aucune musique au monde ne saura remplacer, Quelques mots d'amour... ».
Michel Berger a écrit et composé quelques-unes des plus belles chansons d'amour de la chanson française (Attends-moi, de son album Michel Berger de 1973, La Déclaration d'amour pour France Gall en 1974 (qu'il épouse en 1976) pour le premier album studio France Gall de 1976, Que l'amour est bizarre de 1975, Besoin d'amour de son opéra-rock Starmania de 1979, La minute de silence, de son album Voyou de 1983, Les Élans du cœur de 1992...).
Célèbre auteur compositeur des années 1970, ce tube est un des premiers triomphes commercial de Michel Berger en temps qu'interprète, avec La Groupie du pianiste, et Celui qui chante... La chanson est reprise avec succès, entre autres par les deux femmes de sa vie France Gall et Véronique Sanson, ainsi que par Michel Delpech, Roch Voisine, Jenifer, Christophe Willem, Emmanuel Moire et Chimène Badi.
Single et albums
1980 : La Groupie du pianiste, de Michel Berger (sur la face B)
1994 : Celui qui chante (compilation), de Michel Berger
1994 : Simple je – L'Intégrale Bercy, de France Gall
2000 : Avec vous, de Véronique Sanson
Paroles
Il manque quelqu'un près de moi Je me retourne, tout le monde est là D'où vient ce sentiment bizarre Que je suis seul? Parmi tous ces amis Et ces filles qui ne veulent Que quelques mots d'amour
De mon village, capitale Où l'air chaud peut être glacial Où des millions de gens Se connaissent si mal Je t'envoie comme un papillon À une étoile Quelque mots d'amour
Je t'envoie mes images Je t'envoie mon décor Je t'envoie mes sourires des jours Où je me sens plus fort Je t'envoie mes voyages Mes jours d'aéroport Je t'envoie mes plus belles victoires Sur l'ironie du sort
Et dans ces boîtes pour danser Les nuits passent inhabitées J'écoute les battements de mon cœur me répéter Qu'aucune musique au monde ne saura remplacer Quelque mots d'amour
Je t'envoie mes images Je t'envoie mon décor Je t'envoie mes sourires des jours Où je me sens plus fort Je t'envoie mes voyages Mes jours d'aéroport Je t'envoie mes plus belles victoires Sur l'ironie du sort
De mon village à cent à l'heure Où les docteurs greffent les cœurs Où les millions de gens Se connaissent si mal Je t'envoie comme un papillon À une étoile Quelques mots d'amour
Şımarık est le titre d'une chanson de Tarkan écrite par Sezen Aksu, et composée par Tarkan et Ozan Çolakoğlu.
Initialement extraite de l'album Ölürüm Sana, la chanson Şımarık est également présente sur le premier best of de Tarkan sorti en France en 1997 puis dans le reste de l'Europe en 1998.
La chanson est caractérisée par son refrain dans lequel on peut entendre deux baisers bruyants. On pourrait l'écrire "smack-smack".
Le clip vidéo est tourné à Marseille et il est réalisé par Emmanuel Saada.
Formats
CD single France
Şımarık (Radio Edit) 3:10
Şımarık (Malagutti Remix Edit) 3:14
Şımarık (Malagutti Remix Extended) 7:00
CD maxi
Şımarık (Radio Edit) 3:10
Şımarık (Malagutti Remix) 4:45
Şımarık (Long Version) 3:55
Şımarık (Extended Malagutti Version) 7:00
Reprises
La chanson a été reprise plusieurs fois, entre autres en 2002 par la chanteuse australienne Holly Valance en anglais sous le titre Kiss Kiss.
Au cinéma
On retrouve la chanson dans plusieurs films, dont Beau Travail.
Aimons-nous vivants est un single musical du chanteur français François Valéry sorti en 1989 tiré de l'album du même titre.
Crédits
Arrangements & Direction d'Orchestre : Christian Cravero
Claviers : Lionel Borée - Christian Cravero
Basse : Michel Iozzia
Batterie & Programmations Rythmiques : Michel Bocchi
Guitares : Philippe Delage
Cuivres : Alex Perdigon - Pierre Holassian - Tony Brenes
Chœurs : Georges & Michel Costa - Bernard Ilous - Francine Chantereau - Dominique Poulain - Martine Latorre - Jean-Luc Spagnolo
Enregistré à Sun Studio par Claude Martenot.
Mixé au Studio Marcadet par Roland Guillotel
Diffusion
La chanson est souvent diffusée dans l'émission Vendredi tout est permis avec Arthur. Elle est également diffusée dans le téléfilm Trop jeune pour moi.
Paroles
Comme une envie de dire "je t'aime" Quand on est au bout de soi-même Quand il n'y a plus aucune raison de le cacher Comme une envie de rêver tout haut Te dire enfin les mots qu'il faut Les mots faciles qui ont le pouvoir de déranger
Et ce soir Je veux briser les ponts
Du silence Franchir le mur du son, le temps d'une chanson
Aimons-nous vivants N'attendons pas que la mort nous trouve du talen
Aimons-nous debout Faisons la paix, faisons l'amour entre nous
Aimons-nous surtout Pour ne plus jamais, jamais vivre à genoux Aimons-nous vivants
Combien de larmes et de sourires De mots qu'on n'a pas osés dire?
Dieu que le silence est une arme qui fait souffrir Combien d'amours inavouées? Combien de passions condamnées Au nom de ceux qui ne pourront jamais en mourir?
Mais ce soir On va se dépasser Faire la fête Au nom de l'amitié, simplement pour chanter
Aimons-nous vivants N'attendons pas que la mort nous trouve du talent Aimons-nous vivants S'il faut danser, je veux danser maintenant
Aimons-nous vivants
C'est vrai On ne peut pas changer le monde Je sais Mais c'est bon d'y croire une seconde Aimons-nous vivants (vivants, vivants) Vivants Maintenant!
Aimons-nous vivants (Maintenant, maintenant) N'attendons pas que la mort nous trouve du talent Aimons-nous vivants S'il faut danser, je veux danser maintenant
Aimons-nous vivants (Vivants, vivants) (Vivants, vivants) Aimons-nous debout (Maintenant, maintenant) Faisons la paix, faisons l'amour entre nous
Sexe : les Françaises plus insatisfaites au lit que leurs voisines européennes
Publié le 3 septembre 2021 à 06h00
Selon un sondage Ifop publié aujourd’hui, elles sont 35% à se déclarer insatisfaites de leur vie sexuelle, le taux le plus élevé des pays européens sondés par l’institut. En cause notamment : les injonctions à la performance, très présentes dans l’Hexagone.
On connaissait déjà le fossé orgasmisque entre hommes et femmes, mais un écart de satisfaction existe aussi entre les femmes françaises et leurs voisines européennes. Selon un sondage Ifop pour The Poken Company publié vendredi, 35% des Françaises sont insatisfaites de leur vie sexuelle, le plus haut taux observé dans l’enquête Ifop, derrière l’Espagne et l’Italie. Réalisée auprès d'un échantillon représentatif de 5025 femmes vivant dans les cinq plus grands pays européens (Espagne, Italie, France, Allemagne, Royaume-Uni), cette étude cartographie la sexualité des Européennes.
Selon François Kraus, directeur de l'expertise « Genre, sexualités et santé sexuelle » à l'Ifop, cette proportion de femmes insatisfaites s’explique par plusieurs facteurs : « La plus forte insatisfaction mesurée en France tient sans doute à des éléments culturels - comme l'injonction à la performance qui pousse à des pratiques qui ne sont pas les plus épanouissantes - mais surtout à une pluralité de facteurs (ex : forte consommation d'antidépresseurs, chômage élevé, stress lié à vie professionnelle, conditions de confinement...) qui s'avèrent défavorables à cet épanouissement sans pour autant relever de leur sexualité stricto sensu », explique-t-il. Corrélé au degré d’insatisfaction sexuelle, le mécontentent de sa vie sentimentale atteint également des sommets en France : 28% contre 16% en Allemagne par exemple.
LES FRANÇAISES SONT CELLES QUI ONT LE PLUS DE PARTENAIRES
Vous vous demandez peut-être dans quelle catégorie la France ne se situe pas au dernier rang. Et bien soyez fières : l’Hexagone est le pays où les femmes ont le plus de partenaires ! 20% des Françaises ont eu plus de 10 partenaires, largement au-dessus de l’Italie (9%) et de l’Espagne (13%).
« Si la transition de la France d'un modèle de sexualité à un autre doit beaucoup aux évolutions sociétales et caractéristiques culturelles propres à l'Hexagone (notamment dans son rapport plus distant à la religion), elle s'inscrit dans un mouvement plus large affectant l'ensemble du continent et dont l'indicateur - la multiplication des partenaires sexuels des femmes au cours d'une vie nous paraît très révélateur, à savoir l'indépendance sexuelle croissante des femmes et le déclin du discours moral ayant longtemps insinué que “la valeur des femmes tient à leur parcimonie avec laquelle elle se donnent” », poursuit François Kraus. Les Françaises ont donc la quantité, reste à obtenir la qualité.
L'AMX-10 P était le véhicule militaire blindé de combat, de transport et d'appui adopté par l'infanterie française en 1973 et construit par GIAT.
Son remplacement commença à partir de 2008 par le Véhicule blindé de combat d'infanterie (VBCI), jusqu’en 2015, date de son retrait complet.
Description
Caisse
La caisse blindée est formée de plaques d'aluminium corroyé et soudé. Elle est de forme rectangulaire, avec un glacis incliné et pointu. Un écran pare-vague de forme rectangulaire recouvre la partie avant du glacis.
Le poste de pilotage est situé sur la gauche du glacis et comporte trois épiscopes, dont un adapté à la vision nocturne et une trappe d'accès. Le moteur est placé à sa droite, sous des grilles de refroidissement.
L'habitacle est situé en arrière et peut accueillir huit combattants ou diverses armes et munitions. L'accès s'effectue par l'arrière de la caisse, à l'aide d'une rampe relevable, percée de deux portes et de meurtrières. Des trappes sont présentes sur le toit du véhicule et permettent le tir pour les passagers.
Armement
La tourelle Toucan II est située en position centre gauche. Elle est biplace, équipée de deux épiscopes (chef de bord et tireur) adaptés à la vision nocturne, d'une couronne de sept meurtrières d'observation et de deux trappes d'accès. Elle pointe en site de - 8° à + 50° et tourne sur 360°.
Vue arrière d'un AMX-10P trappe ouverte. Celle ci dispose de deux portes.
Origines et construction
L'AMX-10 P est conçu en remplacement de l'AMX-13 VCI, avec la capacité de franchir des coupures humides et de combattre dans un contexte de conflit NBC. Il est doté d'une mobilité comparable à celle du char AMX-30, pour appuyer ses déploiements.
Le blindé est développé au milieu des années 1960 par le GIAT, sur le site de l'AMX/APX au plateau de la Minière à Satory (Versailles). Il est fabriqué en série à partir de 1973 par l'Atelier de Construction de Roanne (ARE aujourd'hui Nexter Systems), pour l'armée française, puis avec succès pour l'exportation.
Les livraisons à l'armée de terre française commencent en 1973. Un total de 1 810 engins sont produits jusqu’en 1994.
Engagements
L'AMX-10 P est engagé à plusieurs reprises sur des théâtres extérieurs.
Il équipe le bataillon français de la KFOR engagé en 1999 au Kosovo
Neuf exemplaires de ce blindé sont déployés en Côte-d'Ivoire en octobre 2005, pour appuyer la Force Licorne dans une démonstration de force
À la suite du conflit israélo-libanais de 2006, la FINUL voit ses moyens d'actions renforcés par une résolution de l'ONU. L'armée française envoie en conséquence deux compagnies d'infanterie mécanisée du régiment de marche du Tchad. Les AMX-10 P sont remplacés dans cette mission en septembre 2010 par des VBCI
Modernisation et retrait
Cent-huit AMX-10 P français ont été revalorisés entre 2006 et octobre 2008 pour un coût de 50 millions d'euros
La Délégation Générale pour l'Armement (DGA) a passé contrat en septembre 2005 avec Nexter, et le dernier exemplaire est livré le 23 octobre 2008 au 92e Régiment d'Infanterie de Clermont-Ferrand
L' AMX-10 P revalorisé est modernisé au niveau des moyens de commandement et communication avec un système d’information terminal et de navigation (SIT) et des postes radio de dernière génération. La mobilité est augmentée avec l'amélioration de la boîte de vitesses, l'installation d’une assistance au passage de vitesses et le renforcement des suspensions. La protection est revue avec des blindages en acier rapportés sur l'avant, les côtés et le toit, un fumigène large bande (système de défense rapprochée GALIX) et des moyens de détection et d'extinction rapides des incendies et explosions. L'armement reçoit un moyen de visée tout temps. Des kits d’installation sont implantés pour le missile Eryx, le lance-roquette AT4CS et le groupe de combat FÉLIN.
Cette version rénovée devait rester en service jusqu'au moins 2020, mais le retrait semble effectif en 2015.
Au sein des forces françaises, l'AMX-10 P a été remplacé à partir de 2008 par le Véhicule blindé de combat d'infanterie.
Versions
AMX-10 PAC de l'armée du Singapour avec un canon de 90 mm.
AMX 10 P : version de base (P pour personnel)
AMX 10 PH : version modifiée du P dans les années 1980 (place des pots fumigènes)
AMX 10 P Milan : équipé de deux lanceurs Milan
AMX 10 HOT : lance-missiles antichar HOT (appelé aussi AMX Lancelot)
Carte des utilisateurs d'AMX-10P actuels en bleu, et les anciens utilisateurs en rouge.
Arabie saoudite Bosnie-Herzégovine : 25 exemplaires livré en 1999 par le Qatar Émirats arabes unis France : 331 exemplaires en parc en 2011, retrait total en 2015 1er régiment de tirailleurs (1er RTir) de Épinal, dans la 1re BM Régiment de marche du Tchad (RMT) de Meyenheim, 2e BB 152e régiment d'infanterie (152e RI) de Colmar, 7e BB 1er régiment d'artillerie de marine 16e bataillon de chasseurs de Sarrebourg (Allemagne), 2e BB Grèce Indonésie : 100 exemplaires équipant le Corps des fusiliers marins Irak : 100 véhicules sont livrés entre 1981 et 1982. Plusieurs AMX-10P font l'objet d'une rénovation en 2015 par les équipes techniques irakiennes Maroc Mexique Qatar Singapour
DERNIERS ARTICLES : Bienvenue sur 3 blogs en 1 Chez-Pilette-et-Filousse dessinsagogo55new Citation Avec la participation de Christne B La banque d'i François Valéry : Emmanuelle Emmanuelle est une chanson d'amour de François Valéry, enregistrée en single, extrait de son album Emmanuelle de 1980, un des plus importants succès de sa carrière, et Affaire Ghislaine Leclerc Sylvain Schrutt L'affaire Ghislaine Leclerc est une affaire criminelle française dans laquelle Ghislaine Leclerc-Bouzaiene, 57 ans, a été abattue de quatre balles, dans Charles Messier Charles Messier, né à Badonviller dans la principauté de Salm-Salm le 26 juin 1730 et mort à Paris le 12 avril 1817, est un astronome français, éminent chasseur de co Ford GPA Le Ford GPA (pour General Purpose Amphibious, littéralement en français amphibie polyvalent) est un véhicule amphibie américain engagé durant la Seconde guerre mondia