Date de création : 09.04.2012
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Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
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Par Anonyme, le 26.10.2024
Julien Duvivier, né le 8 octobre 1896 à Lille et mort le 29 octobre 1967 à Paris, est un réalisateurfrançais. Il a marqué le cinéma français de la période 1930-1960. Parmi ses films les plus originaux, figurent notamment Pépé le Moko, Panique et Voici le temps des assassins. Célèbre pour sa noirceur et son pessimisme, il connut cependant l'un de ses plus grands succès publics avec son Don Camillo.
Julien Duvivier a fait ses débuts en tant qu'acteur de théâtre en 1916 à l'Odéon, sous la direction d'André Antoine
En 1918, il entre dans le domaine du cinéma chez Gaumont en tant que scénariste ou assistant réalisateur, aux côtés de Louis Feuillade, d'André Antoine, et de Marcel L'Herbier. L'année suivante, en 1919, Duvivier réalisera son premier film, Haceldama ou le prix du sang, qui ne connaîtra cependant pas un grand succès.
Parmi les films qu’il tourne dans les années 1920, plusieurs traitent de sujets religieux, notamment Credo ou la Tragédie de Lourdes (scénario Georges d'Esparbès), L'Abbé Constantin, ou encore La Vie miraculeuse de Thérèse Martin… Sa filmographie ne restera jamais cantonnée cependant à une thématique ni même à un style particulier et en 1926, il tourne L'Homme à l'Hispano avec Georges Galli.
Dans les années 1930, il est engagé par de la société de production Film d'Art fondée par Marcel Vandal et Charles Delac où il pratique le travail d'équipe. Duvivier y restera neuf ans.
C’est avec David Golder, réalisé en 1930, que Duvivier connaît un premier succès. C’est aussi son premier film parlant, et la première expérience du parlant pour l’acteur Harry Baur.
1934 marque la première collaboration de Julien Duvivier avec l’acteur Jean Gabin, qu’il dirige dans Maria Chapdelaine.
En 1935, pour La Bandera, Julien Duvivier s’attache pour l’écriture les talents de Charles Spaak, qui avait jusque-là collaboré avec Feyder, Grémillon, Allégret et L'Herbier. Ils travailleront par la suite souvent ensemble.
Après le tournage du Golem (1936), film fantastique, Duvivier entreprend La Belle Équipe avec Jean Gabin, Charles Vanel, Raymond Aimos, une œuvre qui restera un titre phare du réalisateur. Dans ce film, cinq traîne-savates décrochent le gros lot à la loterie et décident d’acheter en commun une guinguette au bord de l’eau ; mais les imprévus se succèdent, et quand la femme s’en mêle, il n’y a plus grand-chose à sauver. La fin originale du film étant jugée trop pessimiste, les producteurs imposent à Duvivier, à son grand dam, de réaliser un dénouement plus heureux. Si ces deux fins existent toujours, c'est la version optimiste qui a été exploitée en salle.
Trois films s’enchaînent ensuite : L'Homme du jour (1936), Pépé le Moko et Un carnet de bal (1937). Tandis que le premier, avec Maurice Chevalier dans le rôle principal, est un film mineur dans la carrière du réalisateur, les deux autres sont d'incontestables sommets. Pépé le Moko, qui nous plonge dans le milieu de la pègre, et qui a pour décor exotique la ville d’Alger, est par ailleurs le film qui véritablement propulse Gabin au rang de vedette internationale.
En 1938, Duvivier signe un contrat avec la MGM et va tourner aux États-Unis un premier film, une biographie de Johann Strauss, The Great Waltz.
L'année suivante, déjà de retour en France, Duvivier met en scène La Fin du jour, dans lequel des acteurs de théâtre à la retraite luttent pour que la maison de repos créée pour les accueillir eux seuls ne ferme pas ses portes ; on retrouve dans ce film Michel Simon en vieil acteur cabotin, et Louis Jouvet en vieux jeune premier psychotique qui croit encore en son pouvoir de séduction. C’est sans doute le film le plus émouvant du réalisateur et il a souvent déclaré que, de tous ses films, celui-ci était son préféré. Duvivier enchaîne ensuite avec La Charrette fantôme, film fantastique adapté d’un roman de Selma Lagerlöf.
Duvivier tourne en 1940 Untel père et fils, avec Raimu, Michèle Morgan, et Louis Jouvet ; le film, une chronique familiale, ne pourra, à cause de la tournure prise par les événements politiques, être projeté qu’à la fin de guerre, du moins en France. Ce film, en dépit d'une distribution excellente, est généralement considéré comme un film mineur, voire raté, de Duvivier.
Durant la Seconde Guerre mondiale, contrairement à Marcel Carné notamment, qui malgré les circonstances poursuit sa carrière en France, Julien Duvivier part de nouveau travailler aux États-Unis, où il réalise cinq films : Lydia (1941), 2 films à sketches : Six destins, avec Charles Boyer, Rita Hayworth entre autres stars (1942) et Obsessions, avec Edward G. Robinson, Charles Boyer et Barbara Stanwyck (1943), ensuite L'Imposteur, avec Gabin (1943) et Destiny (1944).
À son retour en France, Duvivier éprouve quelques difficultés à renouer avec son succès des années 1930. En 1946, sort Panique. Condensé exhaustif des instincts les plus vils et les plus bas de la nature humaine, l’œuvre, adaptée du roman Les Fiançailles de monsieur Hire de Georges Simenon, reste le film le plus personnel, le plus noir et le plus nihiliste de son auteur. Ce sera un échec cuisant, tant critique que public. La critique lui reprocha une volonté de retour au réalisme poétique d’avant-guerre. Duvivier continuera cependant, après un court détour en Grande-Bretagne en 1948 pour le tournage d'Anna Karénine et un tournage en Espagne pour Black Jack en 1950, à travailler en France jusqu’à la fin de sa vie.
En 1951, il réalise Sous le ciel de Paris, un film d’une très grande originalité d’un point de vue du découpage scénaristique : au cours d’une journée à Paris, on suit des gens dont les destins vont finir par se croiser. La même année, Duvivier tourne le premier volet des Don Camillo : Le Petit Monde de don Camillo qui rencontre un succès populaire immédiat et auquel il donne lui-même une suite Le Retour de don Camillo, qui sort en 1953. La série se prolongera sous la direction d’autres réalisateurs. En 1952 il tourne La Fête à Henriette film racontant un film en train de se construire au niveau du scénario, dans lequel il s'autoparodie en compagnie d'Henri Jeanson
Dans Voici le temps des assassins (1956), on retrouve Jean Gabin dans le rôle d’un brave restaurateur qui se fait gruger par une jeune femme cynique et sans scrupules, jouée par Danièle Delorme. Un film très noir, et un portrait de femme démoniaque marquant. Duvivier tourne un autre grand film en 1958 : Marie-Octobre, avec Danielle Darrieux, Paul Meurisse, Serge Reggiani et Bernard Blier, entre autres. Un exercice de style : 11 personnages (neuf hommes, deux femmes — la reine et l'ouvrière pourrait-on dire —), unité de lieu, de temps, d'action, et une mise en scène omniprésente, inquisitrice, presque menaçante, avec un souci constant et presque maniaque du cadrage et de la composition de l'image. La même année, le metteur en scène est invité à faire partie du jury au Festival de Cannes.
En 1962, il se livre une dernière fois à l’exercice du film à sketches, avec Le Diable et les Dix Commandements. L’année suivante, sort Chair de poule, dont le scénario est l'adaptation du roman Tirez la chevillette (Come Easy, Go Easy, 1960) de James Hadley Chase et dont l'intrigue présente bien des similitudes avec celle du Facteur sonne toujours deux fois. Une fois de plus Duvivier présente un personnage de garce sans scrupules.
En 1967, alors que la production de Diaboliquement vôtre vient de s’achever, film dans lequel il est question d’un homme rendu amnésique à la suite d’un accident de voiture, Duvivier est lui-même victime d’un accident de la circulation, provoqué par une crise cardiaque qui lui coûte la vie. Il est âgé de 71 ans et laisse derrière lui une filmographie riche de près de 70 titres, parmi lesquels on compte d’incontournables classiques du cinéma mondial.
Il est enterré au cimetière ancien de Rueil-Malmaison dans les Hauts-de-Seine. Son épouse Olga est décédée en 1955.
Thèmes récurrents
La bande, le groupe, la microsociété et la façon dont les individus peuvent évoluer ou pas au sein de leur environnement humain est un thème fréquent : La Belle Équipe qui donne son titre au film, la petite ville de Panique, le village italien des Don Camillo, le groupe d'acteurs retraités de La Fin du jour, le groupe d'anciens résistants dans Marie-Octobre, la gigantesque microsociété qu'est Paris dépeinte de façon impressionniste dans Sous le ciel…, les films de Duvivier sont comme des bouts de vie tissés. À côté de cela on y trouve des personnages à la solitude d'autant plus pesante, déchirante, qu'un monde grouille de vie autour d'eux : le Saint-Clair de La Fin du jour, le Monsieur Hire de Panique, l'assassin et la vieille dame aux chats de Sous le ciel…, le traître aux abois une fois dévoilé dans Marie-Octobre…
On trouve des portraits de femmes particulièrement cyniques dans La Belle Équipe, Panique, Voici le temps des assassins, Chair de poule…
On trouve des scènes se passant sur ou sous les toits dans La Belle Équipe, Panique (extraordinaire scène finale). Sous le ciel de Paris commence, après quelques vues aériennes de Paris, par un plan où l'on voit un chat de gouttière marcher sur un toit ; et l'assassin du film s'est aménagé un atelier de sculpteur dans une mansarde. C'est dans une mansarde également qu'habite le jeune homme de Boulevard — à qui il arrive de temps à autre de fuguer par la lucarne —, ainsi que le cambrioleur, joué par de Funès, du sketch Tu ne déroberas point dans Le Diable et les Dix Commandements…
La voix off : de celle de Dieu (Jean Debucourt) dans les Don Camillo à celle du diable (Claude Rich) dans Le Diable et les Dix Commandements. Une voix off (François Périer) est omniprésente dans Sous le ciel de Paris.
Héritage
Jean Renoir a dit au sujet de Duvivier : « Si j'étais architecte et devais construire un monument du cinéma, je placerais une statue de Duvivier au-dessus de l'entrée. Ce grand technicien, ce rigoriste, était un poète. » Outre Jean Renoir, notamment Ingmar Bergman et Orson Welles tenaient Duvivier en haute estime
Duvivier est l'inventeur d’un univers d’images où le réalisme le plus cru et souvent très noir est pénétré d’une fantaisie insolite. Après la Seconde Guerre mondiale, il donne une représentation tout aussi pessimiste de la société française, qu'il montre dominée par l'hypocrisie, le cléricalisme étroit, la mesquinerie et la rouerie féminine.
Anecdotes
Julien Duvivier a écrit ou collaboré aux scénarios de pratiquement tous ses films.
Julien Duvivier avait la réputation d’être un véritable despote sur les tournages, surtout avec les techniciens.
Il eut des acteurs fétiches : Harry Baur, Jean Gabin — et des collaborateurs fidèles, comme Charles Spaak, Henri Jeanson, René Barjavel, pour l’écriture
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Période 1919-1930 : les films muets |
Année | Film | Acteurs principaux | |
1919 | Haceldama ou le Prix du sang | ||
1920 | L'Agonie des aigles | Gaby Morlay | |
La Réincarnation de Serge Renaudier | |||
1921 | Crépuscule d’épouvante | ||
1922 | Les Roquevillard | ||
L'Ouragan sur la montagne | |||
Der Unheimliche Gast | Jeanne Helbling | ||
1923 | Le Reflet de Claude Mercœur | ||
1924 | Credo ou la Tragédie de Lourdes | ||
Cœurs farouches | |||
La Machine à refaire la vie | |||
L'Œuvre immortelle | |||
1925 | L'Abbé Constantin | ||
La Nuit de la revanche | |||
Poil de carotte | |||
1926 | L'Homme à l'Hispano | ||
1927 | L'Agonie de Jérusalem | ||
Le Mariage de mademoiselle Beulemans | |||
1928 | Le Tourbillon de Paris | ||
Le Mystère de la Tour Eiffel | |||
1929 | La Divine Croisière | ||
La Vie miraculeuse de Thérèse Martin | Janine Borelli | ||
Maman Colibri | Jeanne Dax | ||
1930 | Au Bonheur des Dames | Dita Parlo | |
Période 1931-1940 : les parlants d'avant-guerre | |||
Année | Film | Acteurs principaux | |
1931 | David Golder | Harry Baur | |
Les Cinq Gentlemen maudits | Harry Baur, Robert Le Vigan | ||
Die Fünf verfluchten Gentlemen | Anton Walbrook | ||
1932 | Poil de carotte | Harry Baur, Robert Lynen | |
La Vénus du collège | |||
Allô Berlin ? Ici Paris ! | Josette Day | ||
1933 | La Tête d'un homme | Harry Baur | |
Le Petit Roi | Robert Lynen | ||
La Machine à refaire la vie | |||
1934 | Le Paquebot Tenacity | Albert Préjean | |
Maria Chapdelaine | Madeleine Renaud, Jean Gabin, Jean-Pierre Aumont | ||
1935 | Golgotha | Robert Le Vigan, Harry Baur, Jean Gabin, Edwige Feuillère | |
La Bandera | Jean Gabin, Annabella, Robert Le Vigan, Raymond Aimos, Pierre Renoir, Gaston Modot | ||
Bout de chou | |||
1936 | La Belle Équipe | Jean Gabin, Charles Vanel, Viviane Romance, Raymond Aimos | |
Le Golem | Harry Baur, Charles Dorat | ||
1937 | L'Homme du jour | Maurice Chevalier, Elvire Popesco | |
Pépé le Moko | Jean Gabin, Mireille Balin, Marcel Dalio, Fernand Charpin, Gabriel Gabrio, Saturnin Fabre, Gaston Modot | ||
Un carnet de bal | Marie Bell, Pierre Richard-Willm, Louis Jouvet, Raimu, Fernandel, Pierre Blanchar, Harry Baur | ||
1938 | Toute la ville danse (The Great Waltz) | Fernand Gravey, Luise Rainer, Miliza Korjus | |
1939 | La Fin du jour | Victor Francen, Louis Jouvet, Michel Simon, Madeleine Ozeray | |
La Charrette fantôme | Pierre Fresnay, Louis Jouvet, Marie Bell | ||
1940 | Untel père et fils | Raimu, Michèle Morgan, Louis Jouvet | |
Période 1941-1944 : l'intermède américain | |||
Année | Film | Acteurs principaux | |
1941 | Lydia | Merle Oberon, Joseph Cotten | |
1942 | Tales of Manhattan | Charles Boyer, Rita Hayworth, Ginger Rogers, Henry Fonda, Charles Laughton, Edward G. Robinson | |
1943 | Flesh and Fantasy | Edward G. Robinson, Charles Boyer, Barbara Stanwyck | |
1944 | L'Imposteur | Jean Gabin | |
Destiny | Alan Curtis | ||
Période 1946-1959 : les films d'après-guerre
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Année | Film | Acteurs principaux | |
1947 | Panique | Michel Simon, Viviane Romance, Paul Bernard | |
1948 | Anna Karénine | Vivien Leigh, Ralph Richardson | |
1949 | Au royaume des cieux | Serge Reggiani, Jean Davy | |
1950 | Black Jack | George Sanders, Agnes Moorehead | |
1951 | Sous le ciel de Paris | Paul Frankeur, Sylvie, François Périer, Brigitte Auber | |
1952 | Fernandel, Gino Cervi | ||
La Fête à Henriette | Dany Robin, Michel Auclair | ||
1953 | Le Retour de don Camillo | Fernandel, Gino Cervi | |
1954 | L'Affaire Maurizius | Madeleine Robinson, Daniel Gélin, Charles Vanel, Anton Walbrook, Eleonora Rossi Drago | |
1955 | Marianne de ma jeunesse | Marianne Hold, Pierre Vaneck | |
Marianne | Marianne Hold, Horst Buchholz | ||
1956 | Voici le temps des assassins | Jean Gabin, Danièle Delorme | |
1957 | Pot-Bouille | Gérard Philipe, Danielle Darrieux, Dany Carrel | |
L'Homme à l'imperméable | Fernandel, Bernard Blier | ||
1959 | La Femme et le Pantin | Brigitte Bardot, Antonio Vilar, Lila Kedrova | |
Marie-Octobre | Danielle Darrieux, Paul Meurisse, Bernard Blier, Serge Reggiani, Lino Ventura, Paul Frankeur, Paul Guers, Daniel Ivernel, Robert Dalban | ||
Période 1960-1967 : derniers films
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Année | Film | Acteurs principaux | |
1960 | La Grande Vie | Giulietta Masina, Gert Fröbe | |
Boulevard | Jean-Pierre Léaud, Pierre Mondy | ||
1962 | La Chambre ardente | Jean-Claude Brialy, Édith Scob, Claude Rich | |
Le Diable et les Dix Commandements | Michel Simon, Micheline Presle, Françoise Arnoul, Mel Ferrer, Claude Dauphin, Charles Aznavour, Lino Ventura , Fernandel, Alain Delon, Danielle Darrieux, Madeleine Robinson, Louis de Funès, Jean-Claude Brialy | ||
1963 | Chair de poule | Robert Hossein, Jean Sorel, Catherine Rouvel | |
1967 | Diaboliquement vôtre | Alain Delon, Senta Berger | |
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Gustave Flourens
Le 8 octobre 1870 le Comité central républicain des Vingt arrondissements appelle les Parisiens à manifester contre la politique du Gouvernement de la Défense nationale.
Déjà le 5 octobre, Gustave Flourens a fait défiler près de 10 000 hommes en armes (surtout des Bellevillois), devant l'hôtel de ville, où siège le Gouvernement qu'ils pensent ainsi impressionner. Le 7, Théodore Sapia, commandant du 146e bataillon de la Garde mobile essaie en vain d'entraîner ses troupes contre le gouvernement. Il est arrêté.
Le 8 octobre, le Comité central républicain des Vingt arrondissements organise une manifestation pour imposer au gouvernement de fixer une date rapide pour les élections municipales (les maires ont été nommés le 7 septembre 1870 par le gouvernement qui pense ainsi contrôler les quartiers de la capitale). S'y ajoute la volonté de contraindre le gouvernement à renoncer à son intention de supprimer les caisses des compagnies de la Garde nationale. Également la Garde nationale veut conserver le droit d'élire et de révoquer ses officiers, droit que le gouvernement veut lui retirer.
Au lieu des milliers de Gardes nationaux attendus, les manifestants sont peu nombreux. C'est un échec pour le Comité. Le gouvernement est provisoirement vainqueur par forfait. Peu désireux d'envenimer les choses, le gouvernement renonce à poursuivre les meneurs, ce qui entraîne la démission le 11 octobre du préfet de police Émile de Kératry, partisan de la manière forte.
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
https://fr.wikipedia.org/wiki/Manifestation_du_8_octobre_1870 | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
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La bataille de Perryville, aussi connue sous le nom de bataille des Chaplin Hills est une bataille de la guerre de Sécession qui s'est déroulée le 8 octobre 1862, dans les Chaplin Hills, à l'ouest de Perryville, dans le Kentucky. Elle est le point d'orgue de la grande offensive confédérée, aussi appelée campagne du Kentucky.
Description
L'armée du Mississippi du général confédéré Braxton Bragg remporta d'abord une victoire tactique contre le simple corps de l'armée de l'Ohio du major général unioniste Don Carlos Buell. Mais la bataille est considérée comme une victoire stratégique de l'Union car Bragg se retira vers le Tennessee juste après, laissant la frontière du Kentucky aux mains de l'Union pour le restant de la guerre.
Le 7 octobre, l'armée de Buell, dans la poursuite de Bragg, convergea en trois colonnes vers la croisée de routes que constituait la petite ville de Perryville. Les forces de l'Union firent d'abord face à des combats d'escarmouche avec la cavalerie confédérée sur la route de Springfield (Springfield Pike) avant que le combat ne devienne plus général, sur Peters Hill, avec l'arrivée de l'infanterie confédérée. Les combattants désespérèrent d'atteindre Perryville, en raison de la chaleur et du manque d'eau potable dans les alentours. Le jour suivant, à l'aube, les combats reprirent autour de Peters Hill avec l'avancée d'une division de l'Union vers le pic, s'arrêtant juste avant la ligne confédérée. Dans l'après-midi, une division confédérée se heurta avec le flanc droit unioniste, le premier corps du major général Alexander M. McCook, et le força à reculer. Quand d'autres divisions confédérées rejoignirent la bataille, la ligne de l'Union opposa une résistance farouche, contre-attaqua, mais dut finalement reculer, certaines de ses troupes étant mises en déroute.
Buell, quelques kilomètres en arrière de l'action, n'était pas informé que la bataille se déroulait et n'envoya des réserves sur le front que tard dans l'après-midi. Les troupes de l'Union, sur leur flanc droit, renforcées par deux brigades, stabilisèrent leur ligne et l'attaque confédérée, hésitante, fut stoppée. Plus tard, trois régiments confédérés attaquèrent la division unioniste sur la route de Springfield, mais furent repoussés et reculèrent dans Perryville. Les troupes unionistes les poursuivirent et des combats d'escarmouche se produisirent dans les rues, alors gagnées par la pénombre du soir tombant. Les renforts de l'Union menaçaient alors le flanc gauche confédéré. Bragg, à court d'hommes et de ravitaillement, se retira durant la nuit, et poursuivit la retraite confédérée par le Cumberland Gap jusqu'à l'est du Tennessee.
En considérant les pertes par rapport aux forces engagées des deux côtés, la bataille de Perryville fut l'une des plus sanglantes de la guerre de Sécession et la plus importante disputée dans l'État du Kentucky.
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Rinso est une marque de savon et de détergent à lessive commercialisée par Unilever . La marque a été créée par Robert S Hudson et à l'origine appelée Hudson's Soap, qui a été vendue à Lever Brothers de Port Sunlight , en Angleterre , en 1908. Elle a été introduite aux États-Unis par Lever Brothers Company en 1918.
Rinso a été l'une des premières poudres de savon commercialisées en masse. Il a été annoncé largement sur Etats-Unis la radio , étant le commanditaire de plusieurs programmes de radio tels que le populaire jour soap opera Big Sister 1936-1946, l'anthologie dramatique Grand Central Station de 1940 à 1942, les programmes de nuit Big Town à partir de 1937 1942, maire de la ville de 1942 à 1943, et notamment le Amos « n » Andy Montrer de 1943 à 1950. Pendant ce temps , heureusement scandé les annonces du produit le slogan « Rinso blanc, Rinso brillant » et se vantait que Rinso contenu " Le solium, l'ingrédient du soleil ". En 1936, le spectacle sponsoriséLe Rinso Music Hall a été enregistré à Londres et diffusé sur Radio Luxembourg et Radio Normandie , suivi de 1937 à 1939 par la populaire Rinso Radio Revue .
La prétention du produit à un meilleur rinçage était due à son incorporation de silicate de sodium comme adjuvant plutôt que, ou en plus du carbonate de sodium le plus couramment utilisé. Le précipité calcique de l' eau dure formé de métasilicate a tendance à être plus fin et donc moins susceptible d'être piégé dans un tissu que le carbonate de calcium crayeux .
Dans les années 1950, les ventes ont chuté lorsqu'un nouveau détergent , Tide , fabriqué par son rival Procter & Gamble , s'est révélé beaucoup plus populaire. Rinso a été remanié au début des années 1950 en tant que détergent avec un agent de bleuissement ajouté, et a été marqué et conditionné de manière distincte comme Rinso Blue, pour le différencier de la poudre de savon Rinso White toujours disponible. Au milieu des années 1960, le produit de savon a été abandonné. Le détergent a de nouveau été reformulé et a reçu un nouveau nom, Sunshine Rinso. La justification du changement de nom était que le nouveau Rinso amélioré avait désormais des "blanchisseurs de soleil". Il y avait beaucoup de soutien publicitaire (par exemple, une publicité très jouée pendant cette période était une version pop d'un jingle Sunshine Rinso, réglé sur You Are My Sunshine). Les ventes ne se sont pas sensiblement améliorées et Rinso a finalement disparu des étagères des magasins au milieu des années 1970, bien que le détergent liquide Rinso Blue soit encore visible sur les étagères américaines aussi récemment qu'à la fin des années 1980.
En 1953, c'était la première marque de savon à lessive introduite au Brésil . Bien qu'il ne soit plus produit dans le pays depuis des décennies, "Rinso" est encore de l'argot pour "savon à lessive" dans certaines régions du sud du Brésil.
En 1992, 99 Cents Only Stores, basée en Californie du Sud, a acheté les droits du nom «Rinso» à Unilever pour une utilisation aux États-Unis. Les produits de nettoyage de marque Rinso sont désormais bien en vue dans leurs magasins.
Rinso a été remplacé par une autre marque de détergent Unilever, Surf , sur ses quatre principaux marchés. Cependant, Rinso est toujours fabriqué par Unilever pour les marchés turc , asiatique et d'Amérique centrale . Rinso a été lancé en Indonésie en tant que première marque de détergent du pays. Depuis 2013, Rinso est leader sur le marché indonésien des détergents
Dans la culture populaire
Dans la comédie musicale Hair , il est mentionné dans la chanson "I'm Black / Ain't Got No".
Dans le film cinématographique de 1970, Watermelon Man , "Rinso white" est mentionné alors que Jeff Gerber tente de lui enlever la "noirceur".
"Rinso White" est chanté, ou plutôt crié, dans la version Spike Jones de Liebesträume .
Rinso était le sponsor de la série télévisée australienne de 1957, Leave It to the Girls
Dans Agent Carter saison 2 épisode 10, Howard Stark complimente l'un des agents SSR sur son parfum, et on lui dit que c'est Rinso
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Frank Morris
1960-1962
11 juin 1962 - Rendue célèbre par le film L'Évadé d'Alcatraz avec Clint Eastwood, l'évasion de Frank Morris et des frères John et Clarence Anglin reste un mystère. Disparus de leur cellule dans la nuit et de la prison via les bouches d'aération, on ne put jamais les retrouver. C'est seulement au petit matin que les gardes s'aperçoivent de leur évasion ; leurs cellules sont vides et leur absence dissimulée par des têtes de mannequins fabriqués en papier mâché. Le FBI lance alors l'une des plus grandes chasses à l'homme jamais entreprises — sans succès. Des effets personnels (vestes, lettres et photos) sont par la suite retrouvés dans la baie de San Francisco et plusieurs semaines plus tard, un corps en tenue bleue comme celui des détenus d'Alcatraz est repêché. Mais son état de détérioration est tel qu'il ne put jamais être identifié. Frank Morris, John et Clarence Anglin ont été officiellement portés disparus et présumés noyés. La cellule des évadés est reconstituée lorsque l'on visite la prison, notamment les trois cellules avec les mannequins et les bouches d'aération forcées. En 2009, on voit encore un avis de recherche des trois évadés, avec leurs visages vieillis informatiquement, qui semble destiné surtout à entretenir un mythe folklorique.
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Cascadia 2020
Freightliner LLC est le plus important constructeur de véhicules poids lourds des États-Unis d'Amérique. Il fait partie du groupe allemand Daimler.
Les marques du groupe Freighliner sont :
Detroit Diesel Corporation ;
Freightliner Custom Chassis Corporation ;
Freightliner Trucks ;
Freightliner Market Development Corporation ;
Sterling Trucks ;
Thomas Built Buses ;
Unimog ;
Western Star Trucks.
Leland James, né en 1892, décédé en 1964 était le Président d'une compagnie de transport Consolidated Freightways Inc, constituée dès 1929, de Spokane, Washington. Dans le but d'améliorer la productivité de ses camions, la compagnie n'hésitait pas à modifier ses véhicules, pour accroître leur charge utile et réduire leur maintenance. L'atelier se tourna ensuite vers un autre concept de camion : Le C.O.E. ou Cab Over Engine : (camion à cabine avancée). Et pour réduire les coûts la firme utilisa un châssis de Fageol (un manufacturier de camions), et nommé le CF-100.
En 1939, Leland James voulait quelque chose de mieux que les camions proposés par les fabricants. Il créa donc une filiale sous le nom de Freightways Manufacturing Corp à Salt Lake City, Utah, pour construire un camion qui répondrait aux besoins de sa compagnie.
En 1942, le groupe fut en partie démantelé car en situation de monopole dans sa région, la justice américaine trouvant incompatibles les fonctions de constructeur et de transporteur, et toute la production fut rapatriée à Portland, Oregon. Et une nouvelle compagnie la Freightliner Corporation fut fondée.
En 1948, la compagnie décida de commercialiser le model 800, surnommé Bubblenose (nez tronqué) et l'un des premiers acheteurs fut le transporteur Hyster Company. (un fabricant de chariot élévateur), Ce camion parcourut 4 millions de milles et à sa retraite, il fut restauré et présenté au: Smithsonian Museum of History and Techology.
En 1949, un modèle à cabine couchette fut introduit.
En 1951, Freightliner signe un accord avec White Motor Company, pour que ce dernier distribue ses camions au sein de son réseau. Cette signature permet à la firme de se concentrer sur la production. Cet accord prendra fin en 1977.
En 1974, Freightliner introduit son premier modèle à capot, (conventional).
En 1981, Daimler-Benz, racheta Freightliner.
En 1991, l'entreprise offre sur le marché deux nouvelles gammes, un camion à capot nommé FLD, pour des travaux difficiles et des longues distances, et la gamme Business Class, pour des travaux urbains et des livraisons locales en porteur et en tracteur. En 1992, la firme introduit un autre modèle dérivé du FLD et nommé Classic, un camion au look rétro à long capot, avec filtres à air extérieur, et des tuyaux d'échappement en hauteur à côté des portes.
En 1995, Freightliner inaugure deux nouveaux modèles : le Columbia et le Century Class. Aussi la firme entra sur le marché des camions plus légers avec la formation de la Custom Châssis Corporation. Ensuite la compagnie acheta la société American LaFrance un fabricant de camion de pompier, mais qui fut revendue à un groupe d'investisseurs de New York en 2006.
En 1997, la firme offrit son dernier modèle à cabine avancée et développé avec la collaboration de Mercedes et nommé Argosy, avec des marchepieds amovibles qui pivotent latéralement en devenant un escalier. Aussi la division poids lourds de Ford a été vendue à Daimler-Benz qui renomma la compagnie : Sterling Trucks (à ne pas confondre avec l'ancien Sterling, Daimler-Benz possède le nom depuis 1955), et ensuite transmit le contrôle de la marque à Freightliner. En 1998, Freightliner acheta la compagnie Thomas Built Buses, un constructeur d'autobus.
En 1999, l'entreprise inaugure un autre modèle du nom de Coronado, et destiné à des chauffeurs-propriétaires, avec des accessoires de série recouverts de chrome.
En 2000, Daimler-Benz prit possession de Western Star Trucks pour 670 millions de dollars US, d'une compagnie australienne dont le propriétaire était Terrence Peabody et confia la gestion de la compagnie canadienne à Freightliner. Toutefois cet achat ne comprenait pas la division australienne, et garda donc l'usine située à Queensland pour fournir son marché intérieur : l'Australie et la Nouvelle-Zélande, et ce sous le nom de Western Star. Aussi la même année, Daimler-Benz prit le contrôle de Detroit Diesel Corporation- DDC,
En 2002, Consolidated Freightways Inc, déclara faillite, la cour de justice de la Californie autorisa la vente de la division canadienne à TransForce.
En 2007, Freightliner offrit sur le marché un autre camion, nommé Cascadia, ce modèle a coûté 400 millions de dollars US en développement.
En 2015, Freightliner propose le premier camion semi-autonome, le Freightliner Inspiration
À partir de 2018, Freightliner importe en Amérique du Nord le Mercedes-Benz Econic européen, légèrement adapté et commercialisé sous le nom de Freighliner Econic SD.
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
https://fr.wikipedia.org/wiki/Freightliner_LLC | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
Freightliner LLC | |||||||||||||||||||||||||||
Freightliner México | |||||||||||||||||||||||||||
Freightliner | |||||||||||||||||||||||||||
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Décès
304 (ou au ier siècle) : Sainte Justine de Padoue (voire de Nicomédie), vierge martyre fêtée comme sainte ci-après (° entre ier siècle et iiie siècle si bien exécutée en 304). |
336 : Marc, 34e pape, en fonction en 336 (° 290). |
929 : Charles III, roi de France de 898 à 922 (° 17 septembre 879). |
1106 : Hugues de Die, prélat français (° v. 1040). |
1612 : Giovanni Battista Guarini, écrivain et poète italien (° 10 décembre 1538). |
1754 : Alexandre Dubois-Descours, marquis de La Maisonfort, officier de marine français (° 6 octobre 1680). |
1819 : Marc-Théodore Bourrit, alpiniste, chantre, compositeur, artiste peintre, graveur, écrivain et historiographe suisse (° 6 août 1739). |
1834 : Nicolas-Charles de Vincent, général et diplomate autrichien (° 11 août 1757). |
1847 : Alexandre Brongniart, minéralogiste et naturaliste français (° 5 février 1770). |
1849 : Edgar Allan Poe, écrivain américain (° 19 janvier 1809). |
1870 : Fernand Ogier de Baulny, entomologiste français (° 17 janvier 1839). |
1881 : Augustin-Pierre Dubrunfaut, chimiste français (° 1er septembre 1797). |
1886 : |
William Barnes, prêtre anglican et écrivain britannique (° 22 février 1801). |
Gideon Jacques Denny, peintre américain (° 15 juillet 1830). |
Antonio Romero y Andía, compositeur et clarinettiste espagnol (° 11 mai 1815). |
1894 : Oliver Wendell Holmes, écrivain, médecin, essayiste et poète américain (° 29 août 1809). |
1900 : « Dominguín » (Domingo Del Campo y Álvarez dit), matador espagnol (° 12 juin 1873). |
1906 : |
Honoré Beaugrand, homme politique canadien, maire de Montréal de 1885 à 1887 (° 24 mars 1848). |
Émile Pouvillon, écrivain français (° 10 octobre 1840). |
1912 : « El Jerezano » (Manuel Lara Reyes dit), matador espagnol (° 8 décembre 1867). |
1925 : Christopher « Christy » Mathewson, joueur de baseball américain (° 12 août 1880). |
1949 : Joséphine Marguerite Operti, religieuse italienne carmélitaine, fondatrice de la congrégation des Sœurs Carmélites de Sainte Thérèse en 1894 (° 16 novembre 1871). |
1956 : Émile Parys, syndicaliste et homme politique belge |
1958 : « Saleri II » (Julián Sainz Martínez dit), matador espagnol (° 19 juin 1891). |
1959 : Mario Lanza, artiste lyrique américain (° 31 janvier 1921). |
1963 : Gustaf Gründgens, acteur allemand (° 22 décembre 1899). |
1964 : Albert Willemetz, auteur et scénariste français (° 14 février 1887). |
1970 : Alphonse-Marie Parent, prêtre canadien (° 2 avril 1906). |
1974 : René Dary, acteur français (° 18 juillet 1905). |
1975 : Antonio Bienvenida (Antonio Mejías Jiménez dit), matador espagnol (° 25 juin 1922). |
1983 : George Abell, astronome américain (° 1er mars 1927). |
1991 : |
Leo Durocher, joueur de baseball américain (° 27 juillet 1905). |
Natalia Ginzburg, écrivain italien (° 14 juillet 1916). |
1993 : |
Cyril Cusack, acteur irlandais (° 26 novembre 1910). |
Agnes de Mille, chorégraphe, danseuse et metteur en scène américaine (° 18 septembre 1905). |
1994 : Niels Kaj Jerne, immunologiste danois, prix Nobel de médecine en 1984 (° 23 décembre 1911). |
1998 : Walter Bryce Gallie, philosophe, sociologue et historien écossais (° 5 octobre 1912). |
2001 : |
Marie-Louise Camille « Gaby » Basset, actrice française, première épouse de Jean Gabin (° 29 mars 1902). |
Mongo Beti (Alexandre Biyidi Awala dit), écrivain camerounais (° 30 juin 1932). |
Roger Gaudry, chimiste, chercheur et gestionnaire québécois (° 15 décembre 1913). |
2002 : Marcel Paillé, gardien de but de hockey sur glace québécois (° 8 décembre 1932). |
2003 : Israel Asper, entrepreneur canadien (° 11 août 1932). |
2006 : Anna Politkovskaïa (Анна Степановна Политковская), journaliste russe (° 30 août 1958). |
2007 : Norifumi Abe (阿部典史), pilote de moto japonais (° 7 septembre 1975). |
2009 : Irving Penn, photographe américain (° 6 juin 1917). |
2010 : Milka Planinc, femme politique croate, Première ministre yougoslave de 1982 à 1986 (° 21 novembre 1924). |
2011 : Ramiz Alia, homme politique albanais, président de la République d'Albanie de 1982 à 1992 (° 18 octobre 1925). |
2013 : Patrice Chéreau, metteur en scène et réalisateur français (° 2 novembre 1944). |
2015 : |
Gene Allen, directeur artistique américain (° 17 juin 1918). |
Dominique Dropsy, footballeur français (° 9 décembre 1951). |
2016 : |
Peter Denton (en), footballeur anglais (° 1er mars 1946). |
Ross Higgins (en), acteur et chanteur australien (° 14 juin 1930). |
Lioudmila Ivanova (Людмила Ивановна Иванова), actrice russe (° 22 juin 1933). |
Natalie Lamb (de), chanteuse américaine de jazz et de blues (° 10 novembre 1932). |
Anne Pashley, athlète britannique, médaillée olympique en 1956 (° 5 juin 1935). |
Gonzalo Peralta, footballeur argentin (° 17 septembre 1980). |
Martha Roth (en), actrice italienne (° 29 mai 1932). |
Wolfgang Suschitzky (en), photographe et cinématographe britannique (° 29 août 1912). |
Alistair Urquhart (en), auteur et militaire écossais (° 8 septembre 1919). |
William Bond « Bill » Warren (en), historien du cinéma et critique de films américain (° 26 avril 1943). |
Rebecca Wilson (en), journaliste et présentatrice australienne (° 22 décembre 1961). |
2017 : |
Hugo Budinger, joueur allemand de hockey sur gazon (° 10 juin 1927). |
George Dempsey, basketteur américain (° 19 juillet 1929). |
Hugo Dollheiser, hockeyeur sur gazon allemand (° 18 septembre 1927). |
Viatcheslav Vsevolodovitch Ivanov, linguiste et indo-européaniste soviétique puis russe (° 21 août 1929). |
Temir Jumakadyrov, homme politique kirghize (° 4 août 1979). |
Catherine Prévert, scripte française (° 21 décembre 1944). |
Kundan Shah, réalisateur et scénariste indien (° 19 octobre 1947). |
2018 : |
René Bouin, homme politique français (° 23 avril 1937). |
Mohamed Douihasni, homme politique algérien (° 1947). |
Oleg Pavlov, écrivain russe (° 16 mars 1970). |
Celeste Yarnall, actrice américaine (° 26 juillet 1944). |
2019 : |
André Barbault, astrologue français (° 1er octobre 1921). |
Eugène Saccomano, journaliste français (° 23 septembre 1936). |
Makoto Wada, illustrateur, graphiste et réalisateur japonais (° 10 avril 1936). |
2020 : |
Nabil Bechaouch, footballeur tunisien (° 1970). |
Jean Martin, pianiste français (° 7 novembre 1927). |
Mario J. Molina, chimiste et ingénieur mexicain (° 19 mars 1947). |
Károly Vekov, historien, historien de l'art, enseignant et homme politique hongrois (° 26 septembre 1947). |
2021 : |
James Brokenshire, Myriam Sarachik, Ronald S. Stroud, |
le Dr. Jean-Daniel Flaysakier, médecin et chroniqueur médical français de télévision (° 23 septembre 1951). |
Étienne Mougeotte, journaliste et dirigeant de médias français (° 1er mars 1940). |
Naissances
1471 : Frédéric Ier, roi de Danemark et de Norvège de 1523 à 1533 († 10 avril 1533). |
1552 : Sir Walter Raleigh, marin, homme d'État et poète anglais († 29 octobre 1618). |
1573 : William Laud, archevêque de Cantorbéry de 1633 à 1645 († 10 janvier 1645). |
1719 : Jacques Cazotte, écrivain français († 25 septembre 1792). |
1732 : Gilbert Soury, prêtre catholique français, inventeur de la « Jouvence de l'Abbé Soury » († 12 janvier 1810). |
1772 : Jean-François O'Mahony, militaire français († 1842). |
1779 : Louis-Charles d'Orléans, prince du sang français († 30 mai 1808). |
1786 : Louis-Joseph Papineau, homme politique canadien († 25 septembre 1871). |
1794 : |
Théodore-Bara Proust, homme politique français († 15 mars 1845). |
David Lévi Alvarès, pédagogue français († 16 juillet 1870). |
1832 : William Thomas Blanford, géologue et naturaliste britannique († 23 juin 1905). |
1836 : Henri-Elzéar Taschereau, magistrat canadien († 14 avril 1911). |
1839 : Anna Brassey, écrivaine voyageuse britannique († 14 septembre 1887). |
1841 : Antoine de Hohenzollern-Sigmaringen, prince allemand combattant lors guerre austro-prussienne de 1866 († 5 août 1866). |
1860 : Mary Eucharia Ryan, religieuse et pédagogue irlandaise († 1er mai 1929). |
1871 : Simen Fougner, banquier et homme politique norvégien, représentant au Storting († 28 avril 1963). |
1885 : Niels Bohr, physicien danois, prix Nobel de physique en 1922 († 18 novembre 1962). |
1889 : Fanny Durack, nageuse australienne, première championne olympique de natation († 21 mars 1956). |
1894 : Delmer « Del » Lord, réalisateur, scénariste et producteur américain d'origine canadienne († 23 mars 1970). |
1895 : Maurice Grevisse, grammairien belge († 4 juillet 1980). |
1897 : |
Elijah Muhammad, militant religieux américain, meneur de la Nation of Islam († 25 février 1975). |
Charles Chauvel, réalisateur australien († 11 novembre 1959). |
1898 : Jean Grimaldi, chanteur et directeur de théâtre burlesque québécois († 14 octobre 1996). |
1900 : |
1900 : Heinrich Himmler, homme politique nazi allemand († 23 mai 1945). |
Roger François, haltérophile français, champion olympique en 1928 († 15 février 1949). |
1901 : Souvanna Phouma, prince et homme politique laotien, Premier ministre du Laos de 1951 à 1952, de 1956 à 1958, en 1960 et de 1962 à 1975 († 10 janvier 1984). |
1904 : Suzanne Savale, résistante française († 6 septembre 1952). |
1905 : Andrew Vabre « Andy » Devine, acteur américain († 18 février 1977). |
1907 : Pierre Simon, illustrateur, peintre et dessinateur français († 30 janvier 1999). |
1909 : Shura Cherkassky, musicien américain († 27 décembre 1995). |
1911 : Vaughn Monroe, chanteur, musicien et chef d’orchestre américain († 21 mai 1973). |
1913 : Elizabeth Janeway, romancière et critique littéraire américaine († 15 janvier 2005). |
1914 : |
Sarah Churchill (Sarah Millicent Hermione Tuchet-Jesson dite), actrice britannique († 24 septembre 1982). |
Alfred Drake, acteur et chanteur américain († 25 juillet 1992). |
Gelsomino Girotti, joueur de basket-ball italien. |
1916 : Walt Whitman Rostow, économiste et théoricien politique américain († 13 février 2003). |
1917 : |
June Allyson (Ella Geisman dite), actrice américaine († 8 juillet 2006). |
Mila Parely, actrice française († 14 janvier 2012). |
1919 : Georges Duby, historien français († 3 décembre 1996). |
1921 : |
Raymond Goethals, joueur et entraîneur de football belge († 6 décembre 2004). |
André Jacob, philosophe français, universitaire, encyclopédiste, devenu centenaire. |
1923 : |
Michel Kuehn, prélat français († 18 septembre 2012). |
Jean-Paul Riopelle, peintre, graveur et sculpteur canadien († 12 mars 2002). |
1925 : Jacques Crozemarie, fondateur français de l'ARC († 24 décembre 2006). |
1926 : |
Claude Le Sauteur, peintre québécois († 29 novembre 2007). |
Simone Bertière, écrivaine française. |
1927 : |
Juan Benet, écrivain espagnol († 5 janvier 1993). |
Al Martino (Alfred Cini dit), chanteur et acteur américain († 13 octobre 2009). |
1928 : Raymond Lévesque, chanteur québécois († 15 février 2021). |
1931 : Desmond Mpilo Tutu, prélat sud-africain, prix Nobel de la paix en 1984 († 26 décembre 2021). |
1933 : Gilbert Chapron, boxeur français († 5 septembre 2016). |
1934 : |
Amiri Baraka, écrivain, dramaturge et essayiste américain († 9 janvier 2014). |
Ulrike Meinhof, activiste allemande († 8 mai 1976). |
1935 : Thomas Keneally, écrivain australien, auteur de La liste de Schindler. |
1936 : Charles Dutoit, chef d'orchestre suisse. |
1937 : Édouard-Jean Empain, homme d’affaires belge († 20 juin 2018). |
1938 : |
Ann Haydon-Jones, joueuse de tennis britannique. |
Marin Karmitz, exploitant, distributeur, producteur et réalisateur de cinéma français, fondateur de la société MK2. |
1939 : Yvon Le Corre, peintre, navigateur et auteur breton et français († 25 août 2020). |
1943 : Oliver North, militaire américain. |
1944 : Jean Arthuis, homme politique français. |
1945 : |
Kevin Godley, musicien anglais du groupe 10cc. |
Jean-Luc Thérier, pilote de rallye français († 31 juillet 2019). |
1946 : |
1946 : Bernard Lavilliers (Bernard Oulion, dit), chanteur français. |
Catharine MacKinnon, juriste et militante féministe américaine. |
1950 : Jakaya Kikwete, économiste et homme d'État tanzanien, président de la République du 21 décembre 2005 au 5 novembre 2015. |
1951 : |
Enki Bilal (Enes Bilal dit), auteur de bande dessinée et cinéaste français. |
John Mellencamp, chanteur américain. |
1952 : |
Mary Badham, actrice américaine. |
1952 :Vladimir Poutine (Влади́мир Влади́мирович Пу́тин), homme d'État russe, président de la Fédération de Russie de 1999 à 2008, et depuis 2012. |
Jacques Richard, hockeyeur canadien († 8 octobre 2002). |
Ludmilla Tourischeva (Людми́ла Ива́новна Тури́щева), gymnaste soviétique. |
1953 : |
Pawel Lewicki, scientifique en psychologie cognitive américain. |
Hector Juan Samuel « Tico » Torres, musicien américain. |
1954 : Christine Verger, haute fonctionnaire française. |
1955 : Yo-Yo Ma, violoncelliste américain d'origine chinoise. |
1956 : Brian Sutter, hockeyeur canadien. |
1959 : |
Simon Cowell, cinéaste britannique. |
Jean-Marc Fournier, homme politique québécois. |
1960 : |
Viktor Lazlo (Sonia Dronnier dite), chanteuse française. |
Hubert Mansion, musicien et chanteur belge francophone, l'un des trois frères membres du groupe Léopold Nord et Vous. |
1964 : Valérie Maurice, présentatrice de télévision française. |
1965 : Marco Apicella, pilote automobile italien. |
1967 : |
Toni Braxton, chanteuse américaine. |
Marcos Sánchez Mejías (Marcos Ruiz de Alda Sánchez Mejías dit), matador espagnol. |
1968 : |
Sextoy,(Delphine Palatsi), DJ française († 3 février 2002). |
Thomas Edward « Thom » Yorke, musicien britannique du groupe Radiohead. |
1971 : |
Daniel Boucher, chanteur canadien. |
Elena Shevchenko, gymnaste soviétique, championne olympique. |
1973 : |
Nelson de Jesus Silva, footballeur brésilien. |
Clara Dupont-Monod, écrivaine et journaliste française. |
1974 : Charlotte Perrelli, chanteuse suédoise. |
1976 : |
Marc Coma, pilote de rallye-raid moto espagnol. |
Taylor Hicks, chanteur américain, 5e gagnant de l’émission American Idol. |
Gilberto Silva, footballeur brésilien. |
Santiago Solari, footballeur argentin. |
1977 : Ivan Gavalugov, homme politique bulgare. |
1978 : Alesha Dixon, chanteuse britannique. |
1979 : |
Aaron Ashmore, acteur canadien. |
Shawn Ashmore, acteur canadien. |
Simona Amânar, gymnaste roumaine, triple championne olympique. |
1980 : Edison Chen, acteur chinois. |
1982 : |
Madjid Bougherra, footballeur algérien. |
Jermain Defoe, footballeur anglais. |
Robert Louis « Robby » Ginepri, joueur de tennis américain. |
Yundi Li (李云迪), pianiste chinois. |
Jacob Adam « Jake » McLaughlin, acteur américain. |
1983 : Marouane Zemmama, footballeur marocain. |
1986 : |
Bree Olson (Rachel Marie Oberlin dite), mannequin et actrice de cinéma pornographique américaine. |
Anthony Jordan « A. J. » Price, basketteur américain. |
Holland Roden, actrice américaine. |
1987 : Sam Querrey, joueur de tennis américain. |
1989 : |
Hugo Clément, journaliste français. |
Kilian Le Blouch, judoka français. |
1992 : Akou Dulcie Nodjo, escrimeuse togolaise. |
1993 : Lucas Pazat, céiste français. |
1997 : Nicole Maines, actrice transgenre américaine. |
1998 : Trent Alexander-Arnold, footballeur international anglais. |
2000 : Oumaima El Bouchti, taekwondoïste marocaine. |
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
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Naissances | 7 octobre : Naissances | ||||||||||||||||||||||||||
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