Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
25.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
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Par han.t, le 03.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
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Les cadenas d'amour sont des cadenas que des couples accrochent sur des ponts ou des équipements publics de grandes villes mondiales (Paris, Rome, etc.) pour symboliser leur amour.
Les cadenas comportent parfois les noms de ceux qui les accrochent, ou une autre inscription décrivant leur relation comme la date de leur rencontre, de leur mariage ou de la pose du cadenas. Il est d'usage de jeter ensuite la clé, par exemple dans le fleuve ou la rivière qui coule sous le pont.
Un problème existe lorsque les amoureux se séparent. Certains souhaitent détruire le cadenas. N'y arrivant pas, ils s'en prennent au support et causent de nombreuses dégradations.
Origines
De nombreuses explications pour l'origine de cette coutume existent.
En Serbie, cette tradition existe sur le pont Most Ljubavi depuis la Première Guerre mondiale. Elle est restée peu connue jusqu'à sa description dans le poème Molitva za ljubav (prière pour l'amour) de la célèbre poétesse serbe Desanka Maksimovic pendant la deuxième moitié du xxe siècle.
En Europe de l'ouest, les premiers cadenas sont accrochés dans les années 2000. À Rome, la mode des cadenas sur le Pont Milvius a été décrite en 1992 par l'écrivain Federico Moccia dans son roman Trois mètres au-dessus du ciel, devenu très populaire en 2004 et adapté au cinéma la même année. La mode apparaît clairement à partir de la sortie de la suite du roman, J'ai envie de toi (Ho voglia di te), et de son adaptation au cinéma, tous deux en 2006.
Pour certains, les cadenas d'amour remontent aux années 1980 : à Pécs en Hongrie, sur une grille en fer forgé reliant la mosquée et la cathédrale. Une autre hypothèse en ferait une tradition plus ancienne provenant de Cologne, en Allemagne, où des cadenas sont accrochés à la grille du pont Hohenzollern près de la gare, les amoureux jetant la clef du cadenas dans le Rhin enjambé par le pont.
Popularité et réaction des autorités
Cette pratique est combattue par certaines municipalités qui y voient une dégradation des équipements publics, comme au Ponte Vecchio de Florence ou au pont de l'Académie de Venise.
À Paris, cette habitude a commencé en 2006 sur le pont des Arts et s'est étendue au pont de l'Archevêché ainsi qu'à la passerelle Simone-de-Beauvoir pour atteindre, en avril 2010, environ deux mille cadenas fixés aux balustrades du pont des Arts. La mairie de Paris déclare « que cette mode pose la question de la préservation du patrimoine », et précise qu'« à terme, ces cadenas seront enlevés ». Le 12 mai 2010 au matin, la plupart des cadenas du pont des Arts ont disparu, mais la mairie de Paris se dit étrangère à ce fait. On découvre un mois plus tard qu'il s'agit d'un étudiant de l'École des beaux-arts qui a enlevé tous les cadenas pour en faire une sculpture. Ils réapparaissent néanmoins sur la rambarde ouest du pont de l'Archevêché à l'hiver 2010, et sont ensuite tolérés par la mairie grâce à la publicité qu'ils produisent, bien que certains Parisiens regrettent que les « cadenas gâchent l'esthétique des lieux ». Certains morceaux des grilles du pont des Arts ont d'ailleurs cédé sous le poids des cadenas, créant des trous qui compromettent la sécurité des passants. Le 8 juin 2014, une grille entière tombe côté passerelle. Par conséquent, la ville de Paris décide le 11 août 2014 d'inviter les couples à se prendre en photo sur le pont et de publier les images sur un site dédié, déclarant que « les cadenas ne sont pas bons pour le patrimoine parisien » et ne sont pas « l'idéal pour symboliser l'amour ». Elle installe également des panneaux vitrés sur le pont des Arts pour remplacer les grilles. Les cadenas sont définitivement retirés depuis le 1er juin 2015 et remplacés par des panneaux en bois ; il s'agira à terme de panneaux en verre.
Une pétition, appelée « No Love Locks » a été lancée en 2014 par Lisa Anselmo et Lisa Taylor Huff, une Américaine et une Franco-Américaine habitant à Paris.
Les cadenas récupérés sur le pont des Arts ont été vendus aux enchères le 13 mai 2017 pour un montant 250 000 euros reversés à trois associations mobilisées dans l'accueil et l'accompagnement des réfugiés accueillis par la Ville de Paris : Solipam, l'Armée du Salut et Emmaüs Solidarité.
Le maire de Rome, Walter Veltroni a interdit en mars 2007 l'accrochage de cadenas aux installations publiques, en particulier au Pont Milvius, sous peine d'une amende de 50 €. En avril 2007, le réverbère sur lequel les cadenas étaient accrochés a commencé à céder sous leur poids. Ils sont donc enlevés et déplacés à la mairie de Rome. Des poteaux sont ensuite installés sur le pont pour accrocher des cadenas.
À Moscou, les autorités ont installé sur le pont Loujkov des arbres métalliques dont les branches servent à accrocher les cadenas des amoureux. L'effet esthétique produit en fait une attraction pour les touristes.
À Alger, des cadenas ont été accrochés trois fois en septembre 2013, deux fois sur le pont de Télemly et une fois sur le pont des suicides, pour transmettre un message de paix et d'amour, marquer l'« espoir d'un avenir meilleur » et lutter « contre l'intolérance notamment religieuse ». Bien qu'initialement soutenus par le maire d'Alger, les cadenas ont été enlevés par des intégristes après l'appel d'un imam, mais sont aussi dénoncés par d'autres religieux qui voient dans ces cadenas de la « sorcellerie ».
À Séoul, elle a lieu au pied de la N Seoul Tower, qui surplombe la ville. Les cadenas sont accrochés aux grilles garde-corps, ce qui oblige les services d'entretien à remplacer ces dernières afin que tout le monde puisse profiter de la vue.
À Singapour, les cadenas d'amour sont apparus en 2013. Lancé par un centre commercial Central à Clarke Quay. Des centaines de cadenas sont accrochées sur une grille extérieure du centre commercial, le long de la rivière Singapour.
À Taïwan, des cadenas sont apparus au milieu des années 2000 sur la rambarde d'une passerelle enjambant les rails à la gare de Fengyuan, Taichung. Ils sont appelés « cadenas votifs » et portent des vœux écrits au feutre pour conserver ou trouver l'amour, mais aussi pour réussir aux examens ou faire fortune. Selon le chef de gare, la croyance locale est que les trains génèrent un champ magnétique qui imprègne les cadenas et facilite la réalisation des souhaits.
À Ottawa, la passerelle Corktown attire les cadenas d'amour depuis son inauguration en 2007.
À Cologne, des cadenas sont fixés sur le pont Hohenzollern (en allemand Hohenzollernbrücke), qui est un pont sous arc métallique, sur le Rhin, reliant Cologne et Deutz. En juin 2015, le nombre de cadenas a été estimé à 500 000
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Le fourgon pompe-tonne (FPT), aussi appelé tonne-pompe ou autopompe, est un type de fourgon d'incendie.
Il emporte avec lui une pompe d'un débit de 1 000 à plus de 3 000 L/min entraînée par le moteur de l’engin grâce à un embrayage et une citerne (la tonne) de 1 000 à 6 000 L d’eau pour attaquer l’incendie directement et rapidement dès son arrivée sur les lieux. Il peut également comporter une citerne d'émulseur (jusqu'à 500 L) permettant de produire de la mousse pour des feux d'hydrocarbures.
Dans sa cabine, qui peut accueillir jusqu'à huit sapeurs-pompiers, sont arrimés sur les sièges les appareils respiratoires isolants (ARI), prêts à être endossées pendant le trajet.
Dans ses coffres latéraux sont rangés un lot important de matériel ; principalement du matériel de lutte contre l'incendie (lances, tuyaux, raccords et divisions, émulseur, extincteurs, kit feu de cheminée, feu d'origine électrique), de ventilation opérationnelle et de sauvetage.
À l’arrière, on trouve suspendus de chaque côté, parfois deux dévidoirs mobiles armés chacun de 200 m de tuyaux ainsi qu'une lance du dévidoir tournant appelée aussi LDT ou « pissette » alimentée directement par la réserve d'eau, armée de quatre tuyaux semi-rigides de 20 m (deux tuyaux depuis 2009 à la suite de la note d'information opérationnelle no 09-528 de la DSC) plus une longueur supplémentaire de 2 m. Le FPT est le premier et principal camion utilisé pour la lutte contre l'incendie. Il peut opérer seul sur des feux d'une certaine importance, puisqu'il peut en plus, mettre en batterie et alimenter trois grosses lances jusqu'à 400 m, branchées sur un point d'eau, une borne d'incendie ou un pompage dans un cours d'eau, réservoir isolé, piscine, etc.
Il existe en France des versions plus petites des FPT, appelées fourgons pompe-tonne légers (FPTL) ; un FPTL est armé par quatre à six personnes.
Il existe également une variante tout-terrain du FPT. Il s'agit en fait d'un FPT monté sur un châssis surélevé avec une transmission 4×4. Ce type de véhicule peut ainsi emprunter des routes escarpées et est notamment employé pour les feux de forêt. On l'appelle le FPTHR (fourgon pompe-tonne hors route).
En 2006, la BSPP s'est de nouveau dotée de FPT construits sur base de camions Mercedes-Benz Atego dotés d'une citerne de 3 200 L.
En 2011, ils ont été rejoints par une deuxième génération construits quant à eux sur base de Renault Midlum 270 et dotés d'une citerne de 3 300 L. En outre, elle possédait encore en juillet 2012 plusieurs fourgons d'appui, désignés FA, construits sur base de camions Renault gamme G. Ils étaient principalement utilisés comme engins de réserve.
Certains départements français ont choisi de se doter de FPTSR qui sont des FPT qui emportent tout le matériel de secours routier. Enfin, de nouvelles versions « tunnelisées » (FPT-TU et FPTSR-TU) ont fait leur apparition à la suite des drames des tunnels du Mont-Blanc et du Fréjus. Ces FPT « tunnelisés » sont équipés de système de conduite infrarouge permettant de progresser dans des atmosphères enfumées et sont également équipés d'un système d'autoprotection.
Il existe également quelques rares FPTSR-RR rail/route équipés d'un bogie escamotable leur permettant d'évoluer sur les rails de voies ferrées ; dont un en service aux Neyrolles pour la ligne du Haut-Bugey, entièrement rénovée pour le passage des TGV pour Genève, et qui comporte des tunnels dont l'accès routier est quasiment impossible
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Un fourgon d'appui est un agrès de la brigade de sapeurs-pompiers de Paris destiné prioritairement à l'attaque du feu.
Aspect général
Un fourgon d'appui est un camion poids lourd construit à partir du châssis d'un véhicule industriel et doté d'une cabine aménagée pour l'accueil de sapeurs-pompiers, le transport du matériel nécessaire à l'extinction de l'incendie, ainsi que la citerne permettant la première attaque. Celle-ci dispose d'une capacité de 1 000 litres. Cette citerne est généralement appelée « tonne » dans le jargon des sapeurs-pompiers.
Utilisations
Un fourgon d'appui est armé par six sapeurs-pompiers : un chauffeur, un chef d'agrès, et deux binômes d'attaque.
Outre sa tonne d'eau, il dispose d'un matériel d'attaque composé de 400 mètres de tuyaux de 110 millimètre de diamètre rangés en écheveau, de deux dévidoirs pour des tuyaux de 70 mm, d'une pompe ayant une capacité de 2 000 litres par minute, et de divers petits matériels d'épuisement et de signalisation. Une échelle trois plans est également disponible à bord. Comme l'ensemble des véhicules de sapeurs-pompiers français, ceux-ci disposent d'avertisseurs sonores et lumineux utilisés lors des interventions.
Entrés en service en 1990 les fourgons d'appui ont généralement été retirés du service en 2007, mais quelques exemplaires étaient encore en 2012 utilisés comme véhicules de réserve, en remplacement des engins immobilisés pour entretien mécanique. D'autres ont terminé leur service actif comme véhicules de formation au centre d'instruction de Villeneuve-Saint-Georges. Dans la nomenclature de la BSPP les fourgons d'appui étaient désignés FA.
Les fourgons d'appui servaient exclusivement dans les Centres de secours étant une caserne PC de compagnie. Le fourgon d'appui était généralement intégré au sein du binôme FACA accompagné du camion d'accompagnement
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