Date de création : 09.04.2012
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23.12.2024
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Jean-Sébastien Bach [ ʒɑ̃sebastjɛ̃ bak] (en allemand : Johann Sebastian Bach [ˈjoːhan zeˈbasti̯an baχ]), né à Eisenach (Duché de Saxe-Eisenach) le 21 mars 1685 (31 mars dans le calendrier grégorien) et mort à Leipzig le 28 juillet 1750, est un compositeur et musicien allemand.
Membre le plus éminent d'une famille de musiciens, sa carrière se déroule entièrement en Allemagne centrale, dans sa région natale, au début au service de petites municipalités et de cours princières sans importance politique, puis du conseil municipal de Leipzig, qui lui manifeste peu de considération : ainsi, jamais il n'obtient un poste à la mesure de son génie et de son importance dans l'histoire de la musique occidentale, malgré la considération de certains souverains allemands, tel Frédéric le Grand, pour le « Cantor de Leipzig ».
Devenu très tôt orphelin, sa première formation est assurée par son père, Johann Ambrosius Bach, puis par son frère aîné, Johann Christoph Bach. Mais il est aussi un autodidacte, passionné de son art, copiant et étudiant sans relâche les œuvres de ses prédécesseurs et de ses contemporains, développant sa science de la composition et particulièrement du contrepoint jusqu'à un niveau inconnu avant lui et, depuis lors, jamais surpassé. Jean-Sébastien Bach est un virtuose de plusieurs instruments, le violon et l'alto, mais surtout le clavecin et l'orgue. Sur ces deux derniers instruments, ses dons exceptionnels font l'admiration et l'étonnement de tous ses auditeurs ; il prétend tout jouer à première vue et peut improviser sur-le-champ une fugue à trois voix. Il a aussi une compétence reconnue et très sollicitée en expertise de facture instrumentale.
À la croisée des principales traditions musicales européennes (allemande, française et italienne), il en opère une synthèse très novatrice pour son temps. Bien qu'il ne crée pas de forme musicale nouvelle, il pratique tous les genres existant à son époque, à l’exception de l’opéra : dans tous ces domaines, ses compositions, dont seules une dizaine sont imprimées de son vivant, montrent une qualité exceptionnelle en invention mélodique, en développement contrapuntique, en science harmonique, en lyrisme.
La musique de Bach réalise l'équilibre parfait entre le contrepoint et l'harmonie, avant que cette dernière prenne le pas à partir du milieu du xviiie siècle. Il est, en particulier, le grand maître de la fugue, du prélude de choral, de la cantate religieuse et de la suite, qu’il a portés au plus haut degré d’achèvement. La principale destination de ses œuvres dépend beaucoup des fonctions exercées : pièces pour orgue à Arnstadt, Mühlhausen ou Weimar, de chambre et orchestrales à Cöthen, religieuses à Leipzig notamment.
Inspiré d’une profonde foi chrétienne, ses contemporains le considèrent souvent comme un musicien austère, trop savant et moins tourné vers l’avenir que certains de ses collègues. Il forme de nombreux élèves et transmet son savoir à plusieurs de ses fils musiciens pour lesquels il compose quantité de pièces à vocation didactique, ne laissant cependant aucun écrit ou traité. Mais la fin de sa vie est consacrée à la composition, au rassemblement et à la mise au propre d’œuvres magistrales ou de cycles synthétisant et concrétisant son apport théorique, constituant une sorte de « testament musical ».
Son œuvre, comprenant plus de mille compositions, peu connue de son vivant au-dehors de l'Allemagne, passée de mode et plus ou moins oubliée après sa mort, puis pleinement redécouverte au xixe siècle, est généralement considérée comme l'aboutissement et le couronnement de la tradition musicale du baroque : elle fait l’admiration des plus grands musiciens, conscients de son extraordinaire valeur artistique. Objet d'un véritable culte chez de nombreux musicologues et musiciens, Jean-Sébastien Bach est considéré, depuis sa redécouverte au xixe siècle, comme un des plus grands compositeurs de tous les temps, si ce n'est comme le plus grand
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Karl Friedrich Christian Ludwig, baron Drais von Sauerbronn, dit Karl Drais (1785-1851), est un inventeur badois, connu pour avoir inventé, en 1817, un engin à deux roues breveté, en France, sous le nom de vélocipède, appelé aussi draisienne, premier ancêtre de la bicyclette.
Karl Drais est né le 29 avril 1785 à Karlsruhe, capitale du Grand Duché de Bade, ses parents, Karl Wilhelm Friedrich Ludwig, Baron de Drais et Christine Margaretha, née Baronne de Kaltenthal, n'ont pas de gros moyens. Néanmoins son père est conseiller à la cour et son parrain est Karl Friedrich, Grand Duc de Bade. Le jeune Karl commence ses études dans sa ville natale, puis intègre l'école privée de l'administration des eaux et forêts de Pforzheim et de 1803 à 1805 il étudie, les mathématiques, la physique et l'architecture à l'université d'Heidelberg.
Après ses études, il est employé de l'administration des eaux et forêts du Grand Duché de Bade, avant de quitter cette fonction administrative, tout en continuant à recevoir une pension, en 1811 pour rejoindre ses parents à Mannheim où son père a été nommé, l'année précédente, Président de la Haute Cour de Justice. C'est à partir de cette époque qu'il commence à présenter des inventions : en 1812 une machine qui transcrit directement sur la partition les notes de piano, et en 1813-1814 il présente au Congrès l'un de ses deux engins à quatre roues propulsés par l'énergie musculaire humaine
Le 12 juin 1817, Karl Drais a 33 ans lorsqu'il parcourt les 14,4 km de Mannheim au relais de poste de Schwetzingen en seulement un peu plus d'une heure sur sa « machine à courir », « Laufmaschine » en allemand, engin à deux roues, avec un siège et une roue avant comportant une direction à pivot. Le Grand Duc lui octroie un « brevet » de 10 ans, mais c'est en France que l'on trouve un brevet d'importation de cinq ans déposé par Louis-Joseph Dineur pour le baron Drais « pour une machine appelée par lui vélocipède. » :
« Le vélocipède est une machine inventée dans la vue de faire marcher une personne avec une grande vitesse, en rendant sa marche très légère et peu fatigante par l'effet du siège qui supporte le poids du corps qui est fixé sur deux roues qui cèdent avec facilité au mouvement des pieds »
— Brevet du 17 février 1818
Le relatif succès de son invention ne va pas l'enrichir, mais toujours soutenu par le Grand Duc Carl il est nommé professeur de Mécanique et perçoit une pension pour ses inventions. De 1822 à 1827 il va au Brésil comme géomètre, de retour en Allemagne, il invente et construit sa machine à écrire sténographique à 16 caractères. La mort de son père en 1830 lui fait perdre le plus important de ses soutiens et il devient la proie de « rivaux jaloux », il survit à une agression en 1837 et se retire pour travailler au village de Wald Katzenbach. La fin de la vie de Karl Drais va être difficile. Bien que démocrate, la révolution de 1849 le met dans une situation précaire et l'occupation des troupes prussiennes le laisse sans ressources du fait de l'arrêt de sa pension. Il décède le 10 décembre 1851 à Karlsruhe
Inventions
1812, machine à écrire les notes.
1817, le vélocipède ou draisienne, un véhicule à propulsion musculaire, ancêtre de la bicyclette.
1827, une machine à écrire sténographique pour 16 caractères
Le baron Drais n'est pas l'inventeur de la draisine ferroviaire qui pourtant lui doit son nom. Il s'agit d'un véhicule à quatre roues à propulsion musculaire pour l'inspection des voies. Le nom est dérivé de l'invention de Franz Aloys Bernard à Vienne en 1837 qui était un deux-roues sur un rail
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Un hachoir est un ustensile de cuisine pour hacher la viande. Le hachoir existe en différents types, dont le plus connu est figuré sur le croquis ci-dessus. Le hachoir a été inventé dans le milieu du XIXe siècle par Karl Drais.
La plupart des hachoirs fonctionnent en forçant la viande à passer à travers de petits trous à sa sortie au moyen d'une vis sans fin (extrusion).
La chair à saucisse, les farces et la viande hachée sont fabriquées avec des hachoirs.
Dans la série télévisée Les Raisins verts (1963), Jean-Christophe Averty crée le scandale, notamment en raison de la séquence récurrente dans laquelle un bébé de celluloïd est passé au hachoir à viande
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Un potentiomètre (appelé familièrement potard) est un type de résistance variable à trois bornes, dont une est reliée à un curseur se déplaçant sur une piste résistante terminée par les deux autres bornes. Ce système permet de recueillir, entre la borne reliée au curseur et une des deux autres bornes, une tension qui dépend de la position du curseur et de la tension à laquelle est soumise la résistance.
Il existe l'équivalent sous forme de circuit intégré : le potentiomètre numérique, dorénavant très utilisé dans l'électronique analogique à commande numérique.
Ce dispositif a été inventé par Johann Christian Poggendorff en 1841, afin de réaliser une mesure précise des potentiels de piles (par méthode d'opposition), d'où son nom. C'était alors un rhéostat circulaire dont l'index rotatif était maintenu en contact avec un fil enroulé, par un ressort.
En 1939, le groupe anglo-américain de recherche travaillant sur le radar (radio detecting and ranging) avait remarqué la sensibilité des potentiomètres de réglage des pH-mètres de marque Beckman. L'un des chercheurs du programme, Paul Rosenberg, du Laboratoire des rayonnements du MIT, avait montré qu'ils étaient dix fois plus sensibles que les autres potentiomètres. Beckman avait, du reste, breveté ces composants sous la marque helipot (abréviation de POTentiomètre HELIcoïdal). Il fallait néanmoins les adapter pour qu'ils puissent supporter les incessants chocs et vibrations affectant les véhicules militaires. Pour le contact électrique ponctuel, il remplaça le ressort du rhéostat par un index tournant guidé dans une entaille à la base du bouton : en supprimant une pièce fragile, il devenait ainsi possible de faire tourner le point de contact sans risque de coupure du circuit.
Les potentiomètres sont couramment employés dans les circuits électroniques. Ils servent par exemple à contrôler le volume d'une radio. Les potentiomètres peuvent aussi être utilisés comme des transducteurs puisqu'ils convertissent une position en une tension. Ce type de dispositif peut être rencontré dans des joysticks. Des potentiomètres de petite taille (les trimmers ou trimpots) se retrouvent fréquemment sur les circuits qui nécessitent des ajustements précis pour leur bon fonctionnement. Dans les appareils de la vie quotidienne, ces petits potentiomètres montés à même le circuit sont rarement destinés à être contrôlés par l'utilisateur final.
Un potentiomètre peut être :
rectiligne ou rotatif ;
à gradation linéaire ou logarithmique (« audio ») ou anti-logarithmique (« audio inverse ») : une variation logarithmique est en effet bien adaptée à la perception auditive humaine (loi de Fechner) ;
analogique ou numérique ;
mono ou stéréo ;
avec position d'arrêt ou pas (présence d'un petit cran lorsqu'on le tourne à fond à gauche, lié à un interrupteur) ;
avec cran central (« cranté », permet d'avoir une position « zéro » au centre de la piste) ;
couplé (potentiomètre numérique commandé par un potentiomètre analogique).
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Mercedes-Benz Arocs 8X8
Le Mercedes-Benz Arocs est un camion du constructeur allemand Mercedes-Benz fabriqué depuis 2013. La cabine est dérivée de l'Antos et a été transformée en cabine chantier.
Construction
L'Arocs est destiné au marché des travaux publics.
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Unimog de reconnaissance NRBC de l'Armée de la République de Chine (Taïwan)
Unimog est une marque commerciale de Mercedes-Benz, créée en 1946 pour une série de petits camions utilitaires tout-terrain. Le nom est la contraction de l'expression allemande « UNIversal-MOtor-Gerät », signifiant "engin motorisé universel".
Histoire
L'Unimog est développé durant la Seconde Guerre mondiale guerre à partir de 1944 par Albert Friedrich (de), ingénieur chez Daimler-Benz, qui travaillait alors sur les moteurs d'avions. Il souhaite développer un engin motorisé « hybride », combinant les caractéristiques d'un camion avec celui d'un tracteur agricole, afin qu'il soit supérieur aux tracteurs agricoles de l'époque. Il lui adjoint donc des particularités techniques bien précises, telles qu'un moteur de camionnette, quatre roues motrices, ou encore une capacité de franchissement considérable. D'ailleurs la voie entre les roues correspond à un multiple entre deux sillons de pomme de terre : 1,27 mètre. Les premiers prototypes sortent en 1947 (les six prototypes sont nommés de U1 à U6) et le premier modèle de série, l'Unimog 70200 (de), sort des usines Boehringer (de) de Göppingen en juin 1948 (entre 1949 et 1951, 600 Unimog seront produits). Après rachat de la marque par Daimler-Benz en 1951, le modèle devient l'Unimog 2010, auquel succède l'Unimog 401 Diesel en 1953, premier modèle à porter l'étoile Mercedes. À partir de là, l'Unimog n'a cessé d'évoluer. En 2007, les versions produites sont équipées d'un moteur six-cylindres en ligne de 6 litres de cylindrée développant 240 ch. En 2015 le modèle U 4023/5023 est doté d'un quatre-cylindres de 231 ch.
Production
L’Argentine a été le premier pays à accueillir une usine Unimog hors d’Allemagne. Implantée à González Catán (es), dans la banlieue de Buenos Aires, le premier camion Unimog est sorti des chaînes d’assemblage en septembre 1968 ; le programme était initialement destiné à équiper l’armée argentine d’U416 simple et double cabine et d’U406
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Camion Fuso Fighter de 2e génération.
Mitsubishi Fuso Truck and Bus Corporation ou Mitsubishi Fuso sous sa forme abrégée est un constructeur japonais de poids lourds et d'autobus. Il est la propriété principale du constructeur allemand Daimler AG depuis la fin de l'alliance entre Daimler-Chrysler et Mitsubishi Motors.
En mai 2023, Hino Motors et Mitsubishi Fuso annoncent leur volonté de fusionner leur activité à l'horizon 2024
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Michael Schumacher (prononcé en allemand : [ˈmɪçaʔeːl ˈʃcoup ».">uːmaxɐ]), surnommé « Schumi », né le 3 janvier 1969 à Hürth-Hermülheim (RFA, aujourd'hui l'Allemagne), est un pilote automobile allemand. Avec sept titres de champion du monde de Formule 1, 91 victoires en Grand Prix de Formule 1 et 68 pole positions, il possède l’un des plus beaux palmarès de ce sport. Michael Schumacher a détenu la plupart des records de la Formule 1. Il est l'un des plus grands champions du sport automobile.
Après un apprentissage en karting, dans des formules monoplaces, ainsi que dans le championnat du monde des voitures de sport, Michael Schumacher commence sa carrière en Formule 1 lors de l'année 1991, en tant que remplaçant au pied levé de Bertrand Gachot, dans la jeune écurie Jordan, peu avant le Grand Prix de Belgique à Spa-Francorchamps. Dès le Grand Prix suivant, il est recruté par l'écurie Benetton Formula, avec laquelle il conquiert ses deux premiers titres de champion du monde en 1994 et 1995. En 1996, il rejoint la Scuderia Ferrari qu'il contribue à relancer après une longue période d'insuccès, signant au volant des F1 de Maranello 72 de ses 91 victoires, lui apportant cinq titres mondiaux des pilotes consécutifs (de 2000 à 2004) et contribuant directement à l'obtention de six titres constructeurs ; il gagne ainsi le surnom de Baron rouge. À partir de 1997, il a comme adversaire en piste son frère Ralf, de six ans son cadet. Les deux frères n'ont jamais couru au sein de la même écurie. Ils constituent l'unique cas en Formule 1 de deux frères ayant gagné des Grands Prix.
Il prend une première fois sa retraite à l'issue de la saison 2006. Son dernier Grand Prix, au Brésil le 22 octobre 2006, malgré une défaite au championnat du monde face à Fernando Alonso, est marqué par une spectaculaire remontée de la dernière à la quatrième place, ponctuée par une douzaine de dépassements, démontrant qu'il quitte la compétition en pleine possession de ses moyens. De 2007 à 2009, il officie toujours à la Scuderia comme consultant et il reprend parfois le volant dans le cadre d'essais privés. Après un retour avorté en août 2009 à la suite d'un accident de moto et des douleurs au cou, Schumacher est de retour en Formule 1 en 2010 chez Mercedes. Il y effectue trois saisons sans obtenir de nouvelle victoire. Le 4 octobre 2012, il annonce officiellement la fin de sa carrière en Formule 1 à l'âge de 43 ans.
Le 29 décembre 2013, Michael Schumacher est victime d'un grave accident de ski à Méribel, en Savoie. Il souffre d'un traumatisme crânien avec coma qui nécessite une intervention neurochirurgicale immédiate ; son pronostic vital est engagé. Il sort du coma le 16 juin 2014 et quitte l'hôpital de Grenoble pour poursuivre une phase de réadaptation au Centre hospitalier universitaire vaudois de Lausanne jusqu'au 9 septembre où il est pris en charge à son domicile. On apprend, en septembre 2016, qu'il ne peut pas marcher ni se tenir debout. Sa famille et son entourage proche tiennent à ce qu'aucune information sur son état de santé ne soit divulguée, il en va ainsi les années suivantes. Ils témoignent cependant d'une impossibilité à communiquer avec lui dans le documentaire Schumacher sorti en septembre 2021.
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L'Alpenkorps (« corps alpin ») est une unité de l'armée allemande créée en 1915 qui combat lors de la Première Guerre mondiale. Formé pour le combat en montagne dans le Tyrol, l'Alpenkorps développe une forte capacité offensive et est le précurseur des divisions d'attaque de l'armée allemande. Cette unité est considérée comme une des meilleures unités de l'armée allemande.
En 1915, l'Alpenkorps est engagé dans la campagne de Serbie. En 1916, l'unité est employée durant les mois de juin et de juillet dans la bataille de Verdun, puis au cours de l'automne dans les combats de Roumanie. En 1917, l'unité est transférée en Italie et participe à la bataille de Caporetto. En 1918, l'Alpenkorps est engagée dans la bataille de la Lys, puis dans des combats défensifs sur la Somme, puis en octobre et novembre sur le front serbe. L'unité est dissoute au cours du mois de décembre 1918.
Première Guerre mondiale
Composition
Sauf précision contraire, cette section de l'article a pour source : US Army 1920, p. 8.
1915 - 1916
1re brigade de jäger bavaroise
1re régiment de jäger bavarois
Régiment d'infanterie du Corps royal bavarois (de)
2e brigade de jäger
2e régiment de jäger
3e régiment de jäger
203e régiment d'artillerie de campagne
103e, 105e et 106e compagnies de pionniers
1917
1re brigade de jäger bavaroise
1re régiment de jäger bavarois
régiment de gardes du corps bavarois
2e régiment de jäger
commandement d'artillerie divisionnaire
203e régiment d'artillerie de campagne
6e bataillon d'artillerie de montagne
1918
1re brigade de jäger bavaroise
1re régiment de jäger bavarois
régiment de gardes du corps bavarois
2e régiment de jäger
7e commandement d'artillerie divisionnaire
203e régiment d'artillerie de campagne
6e bataillon d'artillerie de montagne (état-major, 1re, 2e et 17e batteries)
3 escadrons du 4e régiment de chevau-légers bavarois
Historique
1915
mai - 16 octobre : regroupement de bataillons de jägers, mouvement par Innsbruck dans le Tyrol. Puis à partir du 23 mai, mouvement de rocade vers le Trentin dans la région de Campitello di Fassa pour bloquer les incursions italiennes des alpinis ; nombreuses actions locales (violent combat le 24 septembre).
16 - 25 octobre : retrait du front, transport par V.F. sur le front de l'ouest par Innsbruck, Neu-Ulm, Stuttgart, Deux-Ponts pour atteindre la région de Laon.
25 - 28 octobre : transport par V.F. sur le front serbe en passant par Mézières, Germersheim, Augsbourg, Munich, Vienne, Budapest, Temeswar pour atteindre Weisskirchen.
29 octobre 1915 - 15 février 1916 : engagée dans la campagne de Serbie, l'Alpenkorps est intégré au groupe d'armée « Below ».
30 octobre : franchissement du Danube à Orşova, il atteint Gradiste puis longe la Morava en direction de Kruševac.
1er - 8 novembre : progression par Požarevac, Kragujevac le 4 novembre pour atteindre Kraljevo le 8 novembre.
13 - 14 novembre : poursuite des troupes serbes à travers le Sandjak de Novipazar.
24 - 28 novembre : progression le long de l'Ibar pour atteindre Ribariće et la frontière avec le Monténégro.
21 - 22 décembre : mouvement de rocade, le corps alpin est localisé dans la région de Niš et de Leskovac.
23 décembre 1915 - 15 février 1916 : occupation de secteur de Koumanovo, Skopje, Vélès.
1916
15 février - 21 mars : retrait du front, quelques éléments encore en secteur dans la région de Skopje.
21 mars - 1er avril : transport par V.F. sur le front de l'ouest par Belgrade, Budapest, Breslau, Dresde, Leipzig, Cologne, Aix-la-Chapelle, Liège, Charleville, repos.
2 - 30 avril : mouvement vers le front, occupation d'un secteur dans la région de Cernay-lès-Reims.
30 avril - 30 mai : retrait du front, repos dans la région de Charleville, puis vers Spincourt.
1er - 23 juin : engagé dans la bataille de Verdun, mouvement vers la ligne de front par le fort de Douaumont. À partir du 22 juin, attaque en lien avec la 1re division d'infanterie bavaroise à sa gauche et la 103e division d'infanterie à sa droite en direction respective de l'ouvrage de Thiaumont, de Fleury-devant-Douaumont et du fort de Souville. Prise de Fleury.
24 juin - 3 juillet : retrait du front, réorganisation.
4 juillet - 5 août : mouvement vers le front, attaque en direction de Fleury et du fort de Souville, prise de l'ouvrage du Morpionn 1.
5 - 27 août : mouvement de rocade, occupation d'un secteur du front en Argonne dans la région de Fontaine-en-Dormois et de Vauquois. Le 3e régiment de jägers est transféré à la 200e division d'infanterie.
28 août - 26 septembre : retrait du front, transport par V.F. sur le front roumain.
26 - 29 septembre : engagée dans la région de Sibiu en association avec la 187e division d'infanterie, le corps occupe le col Turnu Roșu bloquant la retraite de troupes roumaines ; combats très violents.
30 septembre - 21 novembre : attaque et progression en direction de Brașov pour atteindre le monte Sule.
21 novembre - 7 décembre : progression dans la plaine de Valachie. Engagée dans la bataille de l'Argeș qui entraine la prise de Bucarest. Le corps participe ensuite à la capture des champs de pétrole de Ploiești.
7 décembre 1916 - 2 janvier 1917 : progression et combat le long de l'Ialomița. À partir du 15 décembre, bataille autour de Râmnicu Sărat, le corps alpin occupe le flanc gauche de la 9e armée allemande en liaison avec le groupe d'armée de l'archiduc Joseph. Progression vers les rives de la Siret, puis vers Odobești.
1917
2 janvier - 10 avril : occupation et organisation de positions le long de la Putna le long de la frontière avec l'Empire russe.
10 avril - 6 mai : retrait du front, repos dans la région de Karlsburg.
6 mai - 15 juin : transport par V.F. vers le front de l'ouest par Karlsburg, Szeged, Budapest, Vienne, Salzbourg, Rosenheim, Munich, Strasbourg, Colmar, Neuf-Brisach, puis repos.
15 juin - 20 juillet : occupation d'un secteur du front en Alsace entre le canal du Rhône au Rhin et Aspach.
20 juillet - 2 septembre : retrait du front, transport par V.F. sur le front de l'est, en Roumanie. À partir du début août, le corps est engagée dans la région de Panciu.
10 août : combats dans la région de Trifești.
2 septembre - 23 octobre : retrait du front, mouvement vers le front italien dans le secteur de l'Isonzo. Occupation d'un secteur du front vers Tolmin.
24 - 31 octobre : engagée dans la bataille de Caporetto en première ligne. Attaques en direction de San Pietro al Natisone et le long du , prise du Monte Madlessena puis progression rapide vers Cividale del Friuli.
1er novembre 1917 - 24 janvier 1918 : poursuite des troupes italiennes.
8 novembre : franchissement du Tagliamento vers Bonzicco.
11 novembre : progression jusqu'à la Piave.
19 novembre : franchissement de la Piave, attaques violentes et couteuses vers le monte Grappa et Pederobba, puis organisation et occupation des positions conquises.
12 décembre : action locale vers le Monferana. À partir du 15 décembre, retrait du front et repos et instruction dans la région de Porderone. Au cours du mois de janvier, mouvement vers Spilimbergo et San Daniele del Friuli.
1918
24 janvier - 10 avril : transport par V.F. sur le front de l'ouest en Alsace par Salzbourg, Munich, Ulm, Fribourg-en-Brisgau et Saverne, puis repos et instruction dans la région de Sarrebourg.
10 - 13 avril : transport par V.F. vers les Flandres, par Metz, Sedan, Namur pour atteindre Lille.
14 avril - 7 mai : engagée dans la bataille de la Lys. Le 14 avril, attaque en direction de Bailleul.
15 - 23 avril : placé en seconde ligne.
24 - 29 avril : en première ligne, attaques violentes et meurtrières sur Locre, sur le mont Kemmel et sur le village de Kemmel. À partir du 26 avril, organisation des positions conquises.
29 - 30 avril : nouvelle attaque en direction du mont Rouge.
7 mai - 29 juillet : retrait du front, concentration du corps dans la région de Tourcoing ; puis repos et instruction dans la région d'Audenarde.
30 juillet - 8 août : transport par V.F. de la région de Tourcoing à la région de Ham.
8 - 29 août : mouvement vers le front, occupation d'un secteur entre Puzeaux et Hattencourt, actions locales de part et d'autre. Le corps repousse les tentatives de percées des troupes canadiennes et françaises. À partir du 26 août, repli des unités derrière le canal de la Somme à l'est de Épénancourt et Béthencourt-sur-Somme.
30 août - 18 septembre : mouvement de rocade, occupation d'un nouveau secteur vers Péronne. À partir du 2 septembre, engagé pour renforcer la ligne de front lors de la bataille du mont Saint-Quentin en occupant une ligne entre Moislains et Bussu. Les jours suivants, attaques des troupes britanniques, les unités de l'Alpenkorps sont contraintes de se replier sur une ligne Épehy - Ronssoy ; organisation des nouvelles positions.
18 - 24 septembre : engagé dans la bataille d'Épehy, combats extrêmement violents avec de lourdes pertes. Devant la pression des troupes britanniques, les unités se replient entre Villers-Guislain et Haute-Bruyère. Le 24 septembre, relève par la 8e division d'infanterie.
24 septembre - 8 octobre : retrait du front, repos vers Forest-en-Cambrésis. Transport par V.F. sur le front serbe, les troupes se concentrent autour de Niš.
9 - 31 octobre : repli successif par Kruševac tenu jusqu'au 23 octobre, par Paraćin le 24 octobre. Le 27 octobre, les unités sont au nord de Kragujevac ; le 31 octobre l'Alpenkorps est à Belgrade et franchit le Danube.
1er - 11 novembre : placé en seconde ligne. Après l'armistice, les unités traversent avec difficulté la Hongrie pour atteindre l'Allemagne qu'elles atteignent à la fin novembre. En décembre 1918, l'Alpenkorps est dissous.
Chefs de corps
Grade | Nom | Date |
---|---|---|
Generalleutnant | Konrad Krafft von Dellmensingen | 21 mai 1915 - 28 février 1917 |
Generalleutnant | Leo Sontag (de) | 1er mars - 4 septembre 1917 |
Generalmajor | Ludwig von Tutschek (de) | 5 septembre 1917 - 2 décembre 1918 |
Personnalités célèbres ayant servi dans l'unité
Franz von Epp
Henri de Bavière (de)
Konrad Krafft von Dellmensingen
Erich Löwenhardt
Friedrich Paulus
Erwin Rommel
Ferdinand Schörner
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Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
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