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Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
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Par han.t, le 03.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
Le terme écureuil est un nom vernaculaire ambigu qui désigne en français de nombreuses espèces de rongeurs grimpeurs de taille moyenne, parfois même « volants ». Leur queue, plus ou moins touffue selon les espèces, forme un panache ou un plumeau caractéristique. Ils appartiennent presque tous à la famille des Sciuridés, qui comprend aussi les chiens de prairies et les marmottes, mais quelques écureuils volants font partie de la famille des Anomaluridés.
La queue en panache de l'écureuil et son acharnement à faire des provisions pour l'hiver ont contribué à sa popularité et en ont fait un animal emblématique souvent présent dans la symbolique et la culture.
Le terme écureuil vient du latin scūriolus, lui-même emprunté au grec ancien σκίουρος, composé de σκὶα, qui signifie « ombre, » et d'οὐρά, qui signifie « queue ». Suivant les régions et les époques, ce terme a pris plusieurs formes : escureul, escuireul, escuriel, escuriuel
Systématique
Les écureuils appartiennent le plus souvent à la famille des Sciuridae qui comprend aussi des animaux appelés funisciures, héliosciures, tamias et parfois rats (ex. rat palmiste).
le genre Sciurus en est le représentant principal et se rencontre un peu partout dans le monde ;
le genre Epixerus ;
le genre Myosciurus comporte des écureuils pygmées d'Afrique ;
le genre Tamias comprend, entre autres, deux espèces commercialisées sous le nom d'Écureuil de Corée ;
le genre Tamiasciurus est celui des écureuils roux, présents en Amérique du Nord ;
le genre Ratufa, présent en Asie, comporte des animaux appelés écureuils géants ;
le genre des Spermophiles (Spermophilus) inclut quelques espèces appelées écureuils et sont considérés comme écureuils terrestres ;
la sous-famille des Pteromyinae (vrais écureuils volants) ;
D'autres écureuils volants sont des rongeurs de la famille des Anomaluridae.
Physiologie, comportement et écologie
Les caractéristiques générales des écureuils sont celles des rongeurs de la famille des Sciuridés, ou des Anomaluridés pour certains écureuils volants, avec des nuances pour chaque espèce : voir les articles détaillés pour plus d'informations sur leur comportement ou leur physiologie respective.
Il y a 58 genres et 285 espèces dont 56 % sont arboricoles, 12,5 % sont terrestres et 31,5 % volantes. Ils ne sont absents que d'îles et de certains archipels, de l'Australie, de l'Antarctique et de la pointe sud de l'Amérique, ainsi que d'une zone concernant l'Est de l'Afrique du Nord et une partie du Moyen-Orient
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Leur taille varie de 13 cm pour les écureuils pygmées d'Afrique à 90 cm pour les écureuils géants d'Asie.
Les écureuils vont généralement avoir une à deux portées dans l'année. Le nombre de petits issus de ces portées dépendra de l'espèce. Bien que les petits voient le jour sans fourrure, aveugles et sans dents, ils grandissent vite pour arriver à l'aspect que nous connaissons.
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Les cerfs sont de grands herbivores ruminants présents dans l'hémisphère nord. Originellement adaptés aux milieux ouverts enherbés ou à des zones de type savanes tempérées (broutage de feuilles et bourgeons à différentes hauteurs), ils ont formé des populations et sous-populations qui ont évolué, sous la contrainte des dernières glaciations, et plus rapidement ensuite sous la contrainte de la chasse par l'homme et de l’anthropisation des paysages. À la différence du cerf megaloceros, ils ont, sur une part significative de leur aire potentielle de répartition survécu aux chasseurs du paléolithique et du néolithique en se réfugiant dans les zones de forêt dense. Les grands cervidés doivent cependant affronter localement des phénomènes d'insularisation écologique notamment dû à la fragmentation des forêts où ils se sont réfugiés, ou au fait que certaines populations sont issues d'un petit nombre d'individus réintroduits (risques liés à la consanguinité). Des sous-populations ont pu évoluer de manière assez divergente, notamment dans le contexte d'insularisation écologique des îles méditerranéennes au Pléistocène, avec des variations de taille, mais aussi fonctionnelles (par exemple de l'appareil masticateur ou des os du pied, qui sont probablement des adaptations aux modifications des niches écologiques occupées). Le « mégacérin de la Sardaigne » et le « cerf de Sicile » devaient être des herbivores agiles et rapides. Le « megacérin de Sicile », semble quant à lui avoir été plus adapté à des milieux plus fermés et boisés. En Crète, les petits mégacérins, même peu agiles, devaient être adaptés à des terrains difficiles et accidentés, sans qu'on sache exactement quelle pouvait être leur alimentation.
Le cerf élaphe comme toute la grande et petite faune des zones tempérées a « récemment » (aux échelles géologiques du terme) dû s'adapter à trois glaciations. De premiers échantillons d'ADN bien conservé ont été trouvés sur des os de trois cerfs (Cervus elaphus) datés de la fin du Pléistocène, trouvés dans la grotte Emine-Bair-Khosar (EBK) à la lisière nord du plateau inférieur du Massif montagneux de Chatyrdag en Crimée. En les comparant à l'arbre phylogéographique connu basé sur l'analyse de séquences d'ADN mitochondrial de cerfs vivant aujourd'hui dans l'hémisphère Nord, les chercheurs ont pu confirmer que la péninsule de Crimée semble avoir servi de refuge à une grande part des cerfs élaphes du nord-Est de l'Europe, et qu'elle a ensuite (Pléistocène supérieur) joué un « rôle majeur » dans la recolonisation et la dispersion des espèces tempérées pour tout le continent eurasien.
Pour éclairer la phylogénie, la phylogéographie du cerf élaphe, une étude publiée en 2004 a comparé la séquence d'ADN mitochondrial du cytochrome b d'échantillons prélevés parmi cinquante et une populations de cerfs réparties dans le monde, mais essentiellement en Asie et Europe.
Plusieurs méthodes ont été combinées (dont le maximum de parcimonie, le maximum de vraisemblance, et l'analyse cladistique imbriquée), qui ont conduit les chercheurs à conclure que les populations de cerf élaphe actuellement présentes seraient originaires de la région située entre le Kirghizistan et l'Inde du Nord, avec deux groupes génétiquement bien distincts, l'un vivant à l'ouest (composé de 4 sous-groupes) et un autre vivant à l'Est (composée de trois sous-groupes).
Ces données ADNmt ne confirment pas la classification traditionnelle considérant que tous les cerfs élaphes constituent une seule espèce, ni sa division en nombreuses sous-espèces
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Anaconda jaune
Eunectes est un genre de serpents de la famille des Boidae. Ces serpents sont appelés anacondas.
Les quatre espèces de ce genre se rencontrent dans les marécages et les fleuves des régions tropicales et subtropicales d'Amérique du Sud ainsi que dans les marécages du sud de l'île de la Trinité. Ils aiment la chaleur et l'humidité.
Ce sont des serpents semi-aquatiques constricteurs non venimeux.
Les yeux et les narines des anacondas sont positionnés sur le dessus de leur tête, leur permettant ainsi de respirer et de voir leur proie alors que leur corps volumineux demeure immergé sous la surface. L'anaconda est un serpent constricteur dotés de dents recourbées en arrière et de mâchoires puissantes qu'il utilise pour s'agripper à sa proie qu'il entraîne sous l'eau pour la noyer.
Les anacondas ont la réputation de mangeurs d'hommes auprès des habitants des zones où ils vivent. Cependant, le plus souvent, l'anaconda fuit la présence humaine. Les morts d'hommes causées par les anacondas ne sont pas prouvées. Les anacondas ont pour prédateurs les jaguars, les gros caïmans, et les autres anacondas. Un anaconda blessé peut aussi être la proie des piranhas.
Chez les anacondas, la femelle, plus grosse que le mâle, attire des partenaires en émettant des phéromones. Une sorte de ballet nuptial se déroule sous l'eau. Les femelles peuvent avoir jusqu'à douze partenaires. Pour caresser sa partenaire, le mâle dispose d'un organe sexuel, vestige des membres postérieurs des lézards, ses ancêtres.
L'anaconda est ovovivipare comme tous les boas. Chaque portée peut comporter jusqu'à 50 petits qui mesurent entre soixante et quatre-vingt-dix centimètres. Aussitôt nés, les serpenteaux ne peuvent compter que sur eux-mêmes. Comme pour la plupart des reptiles, peu d'entre eux atteindront l'âge adulte car leurs prédateurs sont nombreux : caïmans, piranhas, oiseaux...
Un record officiel fait état d'un anaconda qui mesurait 8,30 mètres pour un poids de plus de 235 kilogrammes, qui fut découvert au Venezuela durant les années 1960 et un autre record en 2016 où l'anaconda pesait 400 kg et mesurait 10 mètres de long et 1 mètre de diamètre.
Le grand anaconda est moins long que le python réticulé, l'une des espèces les plus longues de serpents, il est néanmoins plus lourd et plus massif. Il peut peser au-delà de 200 kg et avoir un diamètre de 38 cm. Il s'agit de l'espèce de serpent la plus lourde. Les femelles sont plus grosses que les mâles, mesurant en moyenne entre 6 et 8 m, (9 m maximum), tandis que les mâles mesurent de 4 à 6 m. On les trouve principalement au nord de l'Amérique du Sud, au Venezuela, en Colombie, au Brésil, en Équateur, au nord de la Bolivie, au nord-est du Pérou, en Guyane, au Guyana, au Suriname et à Trinidad. Ces anacondas d'aspect impressionnant étaient mal connus jusqu'en 1992, date à laquelle la première (et jusqu'à présent la seule) étude fut consacrée à cette espèce au Venezuela par le Dr. Jésus Rivas.
Il se distingue du boa par son museau couvert de boucliers plutôt que de petites écailles. Il est en général de couleur marron-olive foncé, avec deux rangées de grandes taches noires alternant sur le dessus du corps et de petites taches en forme d'œil de couleur blanche sur les côtés; le ventre est blanchâtre. Le biotope de l'anaconda est à la fois terrestre et aquatique, et son activité est principalement nocturne. Il repose immergé dans l'eau, avec seulement une petite partie de la tête au-dessus de la surface, guettant la moindre proie convenable. Il peut également s'enrouler sur les branches d'un arbre au-dessus de l'eau. Bien qu'il soit principalement aquatique, l'anaconda peut se déplacer sur terre en conservant son corps droit, suivant un parcours rectiligne. Grâce à de puissants muscles ventraux, l'animal prend appui sur les écailles dirigées vers l'arrière et en contact avec le sol, ce qui lui permet de pousser son corps en avant.
L'anaconda jaune mesure 3 m à l'âge adulte. Les serpents de cette espèce vivent plus au sud, en Bolivie, au Paraguay, en Uruguay, à l'ouest du Brésil et au nord-est de l'Argentine.
Ils se nourrissent principalement de gros rongeurs, de tapirs, capybaras, pécaris, poissons, tortues, chiens et de reptiles aquatiques comme les caïmans. Les jeunes anacondas se nourrissent de souris, rats et poissons.
L'anaconda se tapit habituellement dans des marécages ou sur les berges des rivières. Il attend en embuscade qu'une proie vienne s'abreuver. Alors, il la mord avec ses dents acérées, la saisit avec ses mâchoires puissantes et l'entraîne sous l'eau. La victime se noie alors ou est étouffée par les muscles de l'anaconda. Il serre à chaque fois un peu plus fort lorsque sa victime expire. L'anaconda peut faire une pression de 2 kg par centimètre carré. La victime étouffe rapidement. Alors, l'anaconda l'avale la tête la première. Il peut avaler une proie bien plus grande que la taille de sa bouche car sa mâchoire peut se désarticuler et est reliée de façon lâche au crâne.
L'anaconda n'utilise pas ses dents pour mâcher, ses dents sont orientées vers l'arrière de sa gueule et en se débattant, la victime ne fait qu'aggraver sa blessure. Il se sert de ses dents comme des crampons pour faire avancer la proie dans l'œsophage. Il digère ses proies grâce à de puissants sucs digestifs. Il lui faut six heures d'efforts pour arriver à avaler une proie aussi grosse qu'un capybara. L'anaconda nécessite ensuite quatre ou cinq jours pour digérer voire plusieurs semaines selon l'importance de la proie. L'anaconda devient très vulnérable durant cette période. De plus, ce serpent est capable de jeûner pendant deux ans. Il fait partie des serpents primitifs, donc ne possède pas de venin. Il utilise sa masse et sa puissance pour maîtriser sa victime. Ainsi, être mordu par un anaconda est douloureux mais n'est pas mortel en soi.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Eunectes
Le silure est un poisson sans écaille avec une peau vert-brun très glissante car recouverte de mucus. Son ventre est assez clair, de couleur jaune ou blanc et il existe également des spécimens albinos de couleur jaune, jaune-orangé. La tête du silure est massive et plate avec une grosse bouche dotée de lignes de dents très petites et nombreuses orientées vers l’arrière de sa gueule. Il possède six barbillons : deux longs sur la mâchoire supérieure et quatre courts sur la partie inférieure de sa tête. On compte quatre nageoires : une anale, une dorsale munie d’un aiguillon et des pelviennes de chaque côté également munies d’un dard.
Les silures mesurent environ 1,5 m de long en moyenne et les poissons de plus de 2 m sont de plus en plus communs, pour un poids allant de 50 kg à 150 kg. Les plus gros silures atteignent des tailles allant de 2,65 à 2,75 m, le record dans les eaux françaises étant de 2,74 m
Le silure est un poisson omnivore solitaire, lucifuge (qui évite la lumière), vivant d'ordinaire dans les zones les plus profondes de son habitat. Ce comportement peut cependant évoluer exceptionnellement, comme mis en évidence par une étude sur des silures du Tarn chassant en pleine journée des pigeons venus s'abreuver sur les rives de la rivière en se projetant hors de l'eau. Ils sont également très nombreux dans la Seine, à Paris en particulier.
Ils vivent en moyenne vingt ans. La période des amours se situe de mai à juillet dans des eaux à 20 °C ; la femelle peut pondre jusqu'à 500 œufs. Après avoir fécondé la femelle, le mâle reste deux jours avec elle et lui donne des coups de tête dans le ventre pour tenter de tuer les oeufs et ainsi l'inciter à reprendre leurs ébats
Parce que s'alimentant volontiers au niveau du sédiment et étant susceptible de vivre longtemps, dans une eau polluée, le silure fait partie des poissons reconnus bioaccumulateurs. En raison de sa propension à bioconcentrer les métaux lourds, certains métalloïdes ou des polluants peu biodégradables tels que les PCB, furanes ou dioxines, le silure peut dans certains milieux aquatiques pollués être durablement ou provisoirement interdit de pêche, de détention et de toute commercialisation en France
Espèces
Silurus aristotelis Garman, 1890
Silurus biwaensis (Tomoda, 1961)
Silurus chantrei Sauvage, 1882
Silurus duanensis Hu, Lan and Zhang, 2004
Silurus gilberti Hora, 1938
Silurus glanis Linnaeus, 1758 — Silure glane
Silurus grahami Regan, 1907
Silurus lanzhouensis Chen, 1977
Silurus lithophilus (Tomoda, 1961)
Silurus mento Regan, 1904
Silurus meridionalis Chen, 1977
Silurus microdorsalis (Mori, 1936)
Silurus morehensis Arunkumar and Tombi Singh, 1997
Silurus palavanensis (Herre, 1924)
Silurus soldatovi Nikolskii and Soin, 1948
Silurus triostegus Heckel, 1843
Les qualités gustatives en cuisine de la truite sauvage sont largement reconnues. Par le biais de la pêche en milieu naturel, elle est de ce fait assez recherchée pour cela.
La pratique de la pêche (de loisir ou de façon sportive) de la truite peut se réaliser de plusieurs façons :
Pêche au appâts naturels
Pêche au toc
Pêche au vairon manié
Pêche au vif
Pêche au appâts artificiels
Pêche aux leurres
Pêche à la mouche
Des œufs fécondés sont placés sur des frayères artificielles, et des alevins sont élevés et relâchés dans les rivières, pour participer au repeuplement de milieux dégradés, menacés ou surexploités. Néanmoins, si ces pratiques sont souhaitables et bénéfiques lorsqu'il s'agit d'espèces autochtones, elles ne contribuent pas à la sélection naturelle, peuvent poser des problèmes de diversité génétique et sont néfastes lorsqu'il s'agit d'introduire des espèces exogènes, ou des poissons susceptibles d'être anormalement porteurs de maladies ou parasites.
Par exemple, en France :
l'introduction de la truite arc-en-ciel, souvent pour répondre à une gestion à court terme de la ressource halieutique, provoque à terme la disparition de la truite fario avec laquelle elle entre en concurrence alimentaire ;
l'introduction massive et répétitive de truites farios de souche « atlantique » (généralement en provenance d'élevages danois) est la cause de la quasi-disparition de la truite fario de souche « méditerranéenne » à cause de la « pollution » génétique due au métissage. De rares groupes sont restés génétiquement « purs », essentiellement dans les rivières corses.
Pour tenter de remédier à cet état de fait, de nombreuses AAPPMA, outre des mesures de protection du groupe local (augmentation de la maille, création de parcours no-kill...) ont mis en place des structures de production et d'élevage de la souche locale.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Truite
Truite Arc en ciel
Le terme truite est un nom vernaculaire ambigu désignant plusieurs espèces de poissons de la famille des salmonidés.
Les truites vivent dans des eaux claires et vives, principalement en Amérique du Nord, en Europe, dans le nord de l'Asie et dans les rivières de l'Atlas au Maroc. Elles ont été également introduites en Australie et en Nouvelle-Zélande au XIXe siècle. Selon les espèces, la durée de vie peut varier de 7 ans à plusieurs dizaines d'années. Une truite de 80 cm peut dépasser les 5 kg. Certains spécimens vivant en lac dépassent le mètre et 15 kg.
Les truites n'ont pas d'épines dans les nageoires, et elles possèdent toutes une nageoire adipeuse à l'arrière, proche de la queue, qui est une caractéristique commune à tous les salmonidés.
Bien que la plupart des truites vive exclusivement en eau douce, certaines espèces (Oncorhynchus mykiss et Salmo trutta ou fario notamment) présentent des spécimens qui passent leur vie adulte dans l'océan et remontent les rivières pour se reproduire. on parle alors de truite de mer.
Les truites sont carnivores. Elles se nourrissent principalement de vers et d'insectes, mais les espèces et les spécimens les plus imposants chassent également d'autres poissons, particulièrement les vairons.
La truite saumonée est une appellation de truites le plus souvent de truite arc-en-ciel d'élevage, ayant la chair couleur saumon du fait de leur alimentation.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Truite
Le Grand requin blanc (Carcharodon carcharias) est une espèce de requin de la famille des Lamnidae et de l'ordre des Lamniformes (et non des Carcharhiniformes car dépourvu de paupière nictitante). Il est le seul représentant actuel du genre Carcharodon.
Avec une taille maximale supérieure à 6 m de long, c'est l'un des plus grands poissons prédateurs vivant actuellement dans les océans. La population des grands requins blancs a diminué de 75 % dans l’Atlantique Nord-Ouest.
Il est considéré comme un requin dangereux puisqu'il est responsable d'attaques contre les hommes, la grande majorité d'entre elles étant non mortelles. Néanmoins, contrairement à certaines idées reçues, il n'est pas un « mangeur d'hommes » et l'homme n'est pas une proie pour lui, la plupart des attaques étant dues à une erreur d'analyse visuelle du requin. Le grand requin blanc a une alimentation très variée : pinnipèdes, poissons, tortues marines, cétacés...
Ce type de requin est connu du grand public pour avoir été le sujet du best-seller Les Dents de la mer de Peter Benchley et de son adaptation cinématographique par Steven Spielberg.
Le grand requin blanc mesure en moyenne de 4 à 6 m de long. À approximativement 26 ans, âge de sa maturité sexuelle, il mesure 3,50 à 4,10 m. Les requins blancs de Méditerranée sont plus massifs que leurs cousins océaniques. Les femelles sont matures plus tard, environ 33 ans et mesurent alors 4 à 5 m
La taille du plus grand spécimen jamais pêché a fait l'objet d'un grand nombre de débats, de conjectures et de fausses informations
Pendant des décennies, le livre Guinness des records, ainsi que les travaux de nombreux ichtyologues, présentaient deux spécimens comme les plus grands jamais capturés : l'un de 11 m capturé dans les eaux sud australiennes près de Port Fairy dans les années 1870, et l'un de 11,30 m capturé au Nouveau-Brunswick, Canada dans les années 1930. Richard Ellis et John E. McCosker, dans leur livre The Great White Shark (1991), dédient un chapitre entier à ce sujet. Ils concluent que le plus grand spécimen jamais capturé et mesuré correctement devait faire 6,40 m (mesuré à plat sur le sol et non suspendu à un filin) pour 3 324 kg. Il a été pêché à Cuba en 1945. Le requin blanc de 7,13 m, capturé en 1987 à Malte, ne devait mesurer d'après les experts qu'entre 5,30 et 5,70 m.
Concernant les records non vérifiés de plus de 10 mètres, Richard Ellis et John E. McCosker doutent de la fiabilité des mesures, notant qu'elles étaient trop importantes en les comparant aux très grands requins blancs avérés que l'on a pu répertorier. Le requin blanc de 11,30 m prétendument pêché au New Brunswick (Canada) a été mal identifié car il s'agissait d'un requin pèlerin, ayant un corps de forme similaire au requin blanc. La question du requin blanc de 11 m de Port Fairy dans les eaux australiennes a été réglée dans les années 1970, lorsque J. E. Reynolds a examiné les mâchoires du requin et a conclu qu'il ne faisait que 5 m de long. Il a suggéré qu'une erreur avait été commise dans l'enregistrement original en 1870.
Pour conclure, la taille maximale est estimée à 7,5 m de long tout au plus, par des spécialistes comme l'Italien Alessandro de Maddalena, mais les grands requins blancs de plus de 6 mètres sont extrêmement rares. Aucun grand requin blanc atteignant les 7 mètres n'a jamais été capturé.
En France, à Sète, le 13 octobre 1956, fut pêchée une femelle. Cette dernière mesurait 5,83 mètres et pesait environ 2 tonnes. (Le muséum de Lausanne fit l'acquisition de ce spécimen. Une reproduction en plâtre est visible en ce musée.)
La masse du grand requin blanc mâle varie entre 680 et 2 000 kg. Celui de la femelle est compris entre 1 000 et 1 900 kg. Ellis et McCosker écrivent en ce qui concerne la masse des requins blancs et concluent qu'ils peuvent peser jusqu'à 3 tonnes mais notent également que le plus lourd pesé scientifiquement pesait 3,3 tonnes.
« Deep Blue » est le surnom donné à l'un des plus grands spécimens de requin blanc jamais observés à partir de l'année 2013.
Il s'agit d'une femelle vivant au large de l'île Guadalupe (Mexique). Sa taille est estimée à 20 pieds, soit 6,09 mètres
Ce requin femelle fascine aussi bien les scientifiques que le grand public. L'une des vidéos faites en 2013 par le biologiste marin Mauricio Hoyos Padilla et mise en ligne sur YouTube en juin 2015 a déjà été vue plus de 7 millions de fois au 14 août 2015, date de sa présentation au JT de 20 heures de France 2.
Il s'agit d'un requin femelle, dont l'imposante taille donne à penser qu'elle a environ 50 ans.
Or, pour mettre bas, les requins femelles se rapprochent des côtes afin de libérer leurs petits dans des eaux peu profondes, où il y a moins d'animaux prédateurs et où la nourriture est plus abondante. Mais ces zones proches des côtes sont très exposées à plusieurs menaces humaines.
En 2015, le biologiste Mauricio Hoyos Padilla et son association Pelagios-Kakunjá souhaitent donc réunir des dons pour sécuriser les endroits où les requins femelles mettent bas, en taguant les requins femelles en vue de créer une base de données permettant de développer de nouvelles stratégies de conservation près des côtes de l'île Guadalupe
En 2004, une femelle grand requin blanc, surnommée Nicole, parcourt l'hémisphère sud. Puis en 2013, une autre femelle, surnommée Lydia, traversant l'Atlantique, devient la coqueluche des réseaux sociaux comme Deep Blue.
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Grand_requin_blanc | |||||||||||||||||||||||||||
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Le barracuda (Sphyraena barracuda) est une espèce de poissons carnivores de grande taille, de la famille des Sphyraenidae.
C'est un assez grand poisson, pouvant mesurer jusqu'à 2 m de long pour 50 kg. Le corps du barracuda est allongé, avec une mâchoire inférieure de grande taille et des dents en forme de croc. Les deux ailerons dorsaux sont largement espacés, le premier ayant cinq épines et le second une épine et neuf rayons mous. Les extrémités des nageoires les plus postérieures sont blanches. Les flancs portent généralement quelques taches noires variables
Le grand barracuda a une large répartition, étant présent dans presque toutes les mers et océans tropicaux et subtropicaux du monde, à l'exception du Pacifique est. On les trouve généralement autour des récifs (surtout les jeunes, qui aiment les estuaires), mais ils apparaissent également dans les mers ouvertes. Ils se rencontrent entre la surface et une trentaine de mètres de profondeur, parfois jusqu'à 100 m.
Depuis la fin des années 1970, alors qu'il était auparavant très épisodique en Nord Méditerranée, le barracuda a largement colonisé les côtes nord de cette mer, en particulier dans tout le golfe de Gênes (de Gênes jusqu'au Massif de l'Estérel). Cette présence nouvelle, probablement due au réchauffement climatique, inquiète certains pêcheurs professionnels en raison de la voracité de l'animal sur les espèces autochtones, y compris sur d'autres prédateurs locaux, notamment les loups (nom du bar en Méditerranée).
Les barracudas vivent isolés ou en bancs (surtout les jeunes). Ce sont des prédateurs voraces qui comptent, pour la chasse, sur l'effet de surprise suivi d'une courte accélération (jusqu'à 60 km/h). Ils se nourrissent d'autres poissons et de céphalopodes.
Leur espérance de vie semble dépasser les 15 ans
Le barracuda est un prédateur de poissons et d'invertébrés marins au corps mou, et en aucun cas de mammifères, qu'il n'est pas adapté à chasser ou à consommer. Cependant c'est un animal curieux et courageux, et il ne doit pas être importuné par les plongeurs et pêcheurs, car il demeure capable de se défendre ou même d'attaquer préventivement. Les incidents avec des hommes sont extrêmement rares bien que les barracudas suivent parfois des plongeurs dans les récifs, ou plus souvent des chasseurs sous-marins, attirés par leurs proies. Si leur dentition peut être impressionnante, leur mâchoire demeure faible et leurs dents fragiles, et ils ne représentent pas une menace sérieuse pour un adulte, même si les gros individus peuvent tout de même provoquer de larges plaies
Comme beaucoup de grands prédateurs, le barracuda est une proie recherchée dans la pêche au gros.
Les barracudas sont comestibles mais il faut bien se renseigner au préalable sur la situation géographique dans laquelle ils ont été péchés, puisque leur chair peut de temps en temps contenir une toxine, la ciguatera. Cependant il reste un poisson à la chair prisée qui peut se préparer en papillote au four avec par exemple du fenouil, des oignons, du citron...
https://fr.wikipedia.org/wiki/Sphyraena_barracuda
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