Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
11.02.2025
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Le berger allemand est un chien à la fois très sportif et élégant, grâce à sa taille souple. Son pelage est dense, rude et droit. Sa robe est noire-marron-fauve, noire ou encore grise. Sa truffe est foncée (noire), ses yeux en amande de couleur brune et ses oreilles droites. Sa queue est tombante, touffue. Il existe deux variétés également reconnues : à poils courts ou à poils longs.
Les bergers allemands sont des chiens très polyvalents composés de deux lignées :
la lignée dite de travail : Elle est morphologiquement faite pour être plus à l’aise avec des sauts et des exercices sollicitant son endurance, la vitesse de déplacement et la tonicité. ligne de dos plus droite, gabarit de taille moyenne et athlétique. Il est de couleur grise, noir ou black et tan. Le berger allemand de travail excelle dans les disciplines à haut niveau comme l’IPO ou IGP, le RING, le Mondioring, le troupeau, etc.
la lignée dite de beauté : des critères morphologiques différents : robe noir et feu (même si l’on trouve de nos jours du gris et du noir), un poitrail très développé, ligne de dos formant une inclinaison de l'omoplate à descendre vers le bassin mettant en valeur la posture du chien. Il est fait pour pouvoir trotter longtemps sans fatiguer ses articulations. Il a été sélectionné pour les concours de beauté canine, générant ainsi des hypertypes, source de perte de capacités de saut pour les chiens dont la ligne de dos est trop plongeante. Il a tout de même gardé son aptitude de chien d’utilité puisqu’un certificat IPO ou IGP est obligatoire pour obtenir la confirmation allemande ou Korung.
la Korung est une épreuve de sélection allemande instaurée par le père fondateur de la race : Le capitaine Von Stephanitz, qui évalue à la fois les qualités morphologiques du chien et son goût pour le travail.
D'après le standard de la SCBA, le Berger Allemand est de taille moyenne, légèrement plus long que haut, de ligne athlétique il est vigoureux, musclé, et dispose d'une construction générale solide. Les mâles ont une taille d'environ 60 à 65 cm au garrot et les femelles entre 55 et 60 cm au garrot. Le poids varie de 22 à 32 kg pour la femelle et de 30 à 40 kg pour le mâle.
Caractère
Le berger allemand bien dressé est obéissant. Il fait souvent preuve d'une grande intelligence. Il peut aussi être un très bon chien de garde. Bien éduqué il n'aboiera qu'à bon escient.
Le Berger Allemand incarne la polyvalence à la perfection. Chien de travail par excellence, on peut l'éduquer en tant que chien policier, de troupeau, pisteur et comme chien guide d'aveugle.
Ce chien s’attache très vite aux humains et il s’adapte aussi très bien à la vie de famille.
Il faut l'éduquer fermement mais sans brutalité, car sous des abords parfois impressionnants et dissuasif c'est un grand sensible. Il supporte mal la solitude.
C'est un chien d'extérieur, qui apprécie les grands espaces et l'exercice. Il est sportif et a besoin de se dépenser régulièrement.
À l'âge adulte le berger allemand est souvent un chien très attaché à son entourage, il protège donc parfois instinctivement les enfants.
Problèmes de santé courants
Syndrome de dilatation-torsion gastrique : retournement de l'estomac, ceci se produit principalement si le chien se met à l'effort après avoir mangé, il est donc indispensable de lui donner sa nourriture en fin de journée, avant de dormir, afin qu'il ait le temps de digérer. Cette complication peut être soignée à condition qu'elle soit prise en charge rapidement, mais, elle est très couramment mortelle. De plus, si le chien en est atteint, les facteurs de risque que le chien meure d'un retournement de l'estomac en sont décuplés.
Dysplasie de la hanche ou du coude : une dysplasie est une malformation ou déformation résultant d'une anomalie du développement d'un tissu ou d'un organe. On peut la détecter par la radiographie à 12 mois, ou la prévenir en choisissant les reproducteurs, en évitant l’exces de surpoids ou d’excercices durant la croissance (20% de génétique et 80% d’acquis pendant la croissance). Contrairement à une croyance bien ancrée, la dysplasie n'est pas « la maladie » du berger allemand ; comme toutes les grandes races, il en est atteint, mais les efforts des éleveurs et la prévention permettent de limiter cette affection invalidante.
Myélopathie dégénérative du Berger allemand. C'est un trouble neurologique, causé par une dégénérescence axonale et à une démyélinisation progressive de la moelle épinière. Les chiens porteurs des deux copies de la mutation peuvent être touchés dès six mois, plus souvent vers 8~9 ans avec des variations selon les lignages (âge moyen du pic de complications : 10 ans). Cette maladie n'est pas guérissable et l'animal perdra les fonctions locomotrices de l'arrière train, ainsi que les capacités d'uriner et défequer normalement. Il est recommandé de faire génétiquement dépister l'animal avant achat et/ou reproduction pour limiter le risque de chiots homozygotes de cette mutation.
Le Berger allemand est sujet à des troubles immunitaires qui peuvent créer des allergies, des fistules anales, des otites...
De nombreux bergers allemands souffrent d'une ligne du dos trop plongeante, un hypertype qui entraîne une démarche maladroite (en « grenouille ») et des problèmes dorsaux
Utilisation
Le berger allemand est un chien de travail, utilisé comme guide d'aveugles, il est aussi capable de retrouver des rescapés victimes d'avalanches ou de tremblements de terre comme en Haïti, son flair est aussi utilisé pour retrouver de la drogue ou des explosifs.
Le berger allemand accompagne son maître n'importe où, ainsi il peut être parachuté afin de pouvoir effectuer des interventions particulièrement délicates. Plusieurs chiens policiers de cette race ont même obtenu des médailles en reconnaissance de leur courage après des actions ou des sauvetages spectaculaires
Cette polyvalence est le résultat d'une grande complicité entre le maître et son chien, ce qui en fait un excellent chien de garde puisqu'il défendra les biens et la famille de son maître. Ainsi l'éducation du berger allemand est un fondamental à ne surtout pas négliger.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Berger_allemand
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Le berger allemand (aussi appelé berger d’Alsace, berger alsacien ou chien-loup d'Alsace) est une race de chiens (Canis lupus familiaris) tirant son nom de son pays d'origine, l'Allemagne, où elle est apparue à la fin du XIXe siècle. La Fédération cynologique internationale le reconnaît sous le nom de Deutscher Schäferhund, ce qui laisse à penser que durant des milliers d'années, des animaux proches des bergers allemands, et de leur cousins belges ou hollandais ont existé dans cette région d'Europe.
En 1878, les éleveurs allemands de chiens à aptitudes bergères réalisent une première tentative de regroupement dans un but d’amélioration de leurs chiens. Ceux-ci sont très variés d’un point de vue phénotypique, notamment selon les régions : par exemple, le type Wurtemberg porte les oreilles droites, alors que celui de Thuringe a les oreilles tombantes. Il existe également des chiens différents en Bavière ou dans la Hesse. Mais leur principal point commun est leur caractère qui fait d’eux de bons gardiens de troupeaux et de biens : intelligence, obéissance, vigilance, incorruptibilité. On retrouve également chez tous robustesse et rusticité puisque jusqu’alors la sélection empirique qui a été réalisée ne visait qu’à obtenir de bons livres généalogiques et tentent d’établir une société, le Phylax, mais le projet n’aboutit pas.
C’est le capitaine de cavalerie Max Emil Frédéric von Stephanitz qui sera le véritable « père » de la race. Après avoir longtemps admiré les aptitudes des chiens de berger, il décide d’en acheter un le 3 avril 1899. Son nom d'origine est Hektor von Linksrhein qu’il rebaptisera ensuite Horand von Grafath. Celui-ci est gris et jaune, plutôt de type berger de Thuringe (mais à oreilles droites). Von Stephanitz et Arthur Meyer créent ensuite le club de race le 22 avril 1899 à Karlsruhe (« Der Verein für deutsche Schäferhunde » ou SV), le capitaine sera à sa tête pendant trente-cinq ans.
Le 28 septembre 1899 est publié le premier standard de la race, et en 1900, Horand inaugure le livre des origines du SV (« Zuchtbuch »).
Ce qui fera plus tard la force de la race, c’est la largesse de ses dirigeants dans la première définition du berger allemand : « tout chien de berger vivant en Allemagne qui, grâce à un exercice constant de ses qualités de chien de berger, atteint la perfection de son corps et de son psychisme dans le cadre de sa fonction utilitaire ». Les buts sont clairs, c’est donc par et pour le travail que la sélection du berger allemand commence.
Le club présente rapidement une activité importante et organisée. Dès 1902 un journal est édité pour tous ses membres, et en 1903 un registre de sélection voit le jour avec la compilation des performances des reproducteurs. Les progrès seront rapides car bien dirigés à l’échelon national et bien suivis par les efforts des éleveurs (1 215 membres en 1906). On commence à rechercher des femelles du même type et à organiser des expositions pour uniformiser la race, et notamment une exposition nationale d’élevage qui permet à tous les éleveurs du pays de choisir des reproducteurs homogènes.
Peu à peu on trouva au berger allemand d’autres utilités que la garde des troupeaux (ceux-ci ayant vu leur effectif diminuer). Ses qualités de robustesse, son flair hors pair et son obéissance à toute épreuve encouragèrent la police allemande à l’utiliser. En 1914, le SV et l’armée organisent une démonstration des possibilités du berger allemand en temps de guerre, à laquelle il paya ensuite un lourd tribut.
En 1922, l’examen de Körung est mis en place pour la sélection des reproducteurs ; ceux qui sont déclarés aptes à la reproduction sont inscrits dans le registre Körbuch. En 1926, le livre des origines compte déjà 346 000 chiens inscrits. Dans les années 1950, l’épreuve du coup de feu et le test de caractère font leur apparition. Le SV est renommé pour le dirigisme qu’il impose à l’élevage : nombre de saillies limité, choix de l’étalon en accord avec le surveillant d’élevage, interdiction de faire saillir une femelle recommandée par un mâle non recommandé, etc. Toutes ces mesures visent à guider la sélection pour le mieux.
Katzmair et Funk succèdent à von Stephanitz, puis le Dr Rummel en 1971. En 1974, est créée l’Union mondiale des Associations de Berger Allemand (WUSV), grâce à la volonté de regroupement du Dr Rummel, qui encourageait « un dialogue fructueux, aussi bien pour l’élevage que pour l’utilisation ». En 1982, Hermann Martin (élevage von Arminius) devient président du SV. Le premier championnat de travail WUSV se déroule à Munster du 16 au 18 septembre 1988. En 1994, Peter Messler prend la tête du SV jusqu’en décembre 2002 ; lui succède alors Wolfgang Henke. Les membres du club font preuve de beaucoup de motivation et de dynamisme pour voir évoluer leur race. Ils se retrouvent très fréquemment lors de réunions pour parler de leurs chiens
https://fr.wikipedia.org/wiki/Berger_allemand
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Le terme écureuil est un nom vernaculaire ambigu qui désigne en français de nombreuses espèces de rongeurs grimpeurs de taille moyenne, parfois même « volants ». Leur queue, plus ou moins touffue selon les espèces, forme un panache ou un plumeau caractéristique. Ils appartiennent presque tous à la famille des Sciuridés, qui comprend aussi les chiens de prairies et les marmottes, mais quelques écureuils volants font partie de la famille des Anomaluridés.
La queue en panache de l'écureuil et son acharnement à faire des provisions pour l'hiver ont contribué à sa popularité et en ont fait un animal emblématique souvent présent dans la symbolique et la culture.
Le terme écureuil vient du latin scūriolus, lui-même emprunté au grec ancien σκίουρος, composé de σκὶα, qui signifie « ombre, » et d'οὐρά, qui signifie « queue ». Suivant les régions et les époques, ce terme a pris plusieurs formes : escureul, escuireul, escuriel, escuriuel
Systématique
Les écureuils appartiennent le plus souvent à la famille des Sciuridae qui comprend aussi des animaux appelés funisciures, héliosciures, tamias et parfois rats (ex. rat palmiste).
le genre Sciurus en est le représentant principal et se rencontre un peu partout dans le monde ;
le genre Epixerus ;
le genre Myosciurus comporte des écureuils pygmées d'Afrique ;
le genre Tamias comprend, entre autres, deux espèces commercialisées sous le nom d'Écureuil de Corée ;
le genre Tamiasciurus est celui des écureuils roux, présents en Amérique du Nord ;
le genre Ratufa, présent en Asie, comporte des animaux appelés écureuils géants ;
le genre des Spermophiles (Spermophilus) inclut quelques espèces appelées écureuils et sont considérés comme écureuils terrestres ;
la sous-famille des Pteromyinae (vrais écureuils volants) ;
D'autres écureuils volants sont des rongeurs de la famille des Anomaluridae.
Physiologie, comportement et écologie
Les caractéristiques générales des écureuils sont celles des rongeurs de la famille des Sciuridés, ou des Anomaluridés pour certains écureuils volants, avec des nuances pour chaque espèce : voir les articles détaillés pour plus d'informations sur leur comportement ou leur physiologie respective.
Il y a 58 genres et 285 espèces dont 56 % sont arboricoles, 12,5 % sont terrestres et 31,5 % volantes. Ils ne sont absents que d'îles et de certains archipels, de l'Australie, de l'Antarctique et de la pointe sud de l'Amérique, ainsi que d'une zone concernant l'Est de l'Afrique du Nord et une partie du Moyen-Orient
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Leur taille varie de 13 cm pour les écureuils pygmées d'Afrique à 90 cm pour les écureuils géants d'Asie.
Les écureuils vont généralement avoir une à deux portées dans l'année. Le nombre de petits issus de ces portées dépendra de l'espèce. Bien que les petits voient le jour sans fourrure, aveugles et sans dents, ils grandissent vite pour arriver à l'aspect que nous connaissons.
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Les cerfs sont de grands herbivores ruminants présents dans l'hémisphère nord. Originellement adaptés aux milieux ouverts enherbés ou à des zones de type savanes tempérées (broutage de feuilles et bourgeons à différentes hauteurs), ils ont formé des populations et sous-populations qui ont évolué, sous la contrainte des dernières glaciations, et plus rapidement ensuite sous la contrainte de la chasse par l'homme et de l’anthropisation des paysages. À la différence du cerf megaloceros, ils ont, sur une part significative de leur aire potentielle de répartition survécu aux chasseurs du paléolithique et du néolithique en se réfugiant dans les zones de forêt dense. Les grands cervidés doivent cependant affronter localement des phénomènes d'insularisation écologique notamment dû à la fragmentation des forêts où ils se sont réfugiés, ou au fait que certaines populations sont issues d'un petit nombre d'individus réintroduits (risques liés à la consanguinité). Des sous-populations ont pu évoluer de manière assez divergente, notamment dans le contexte d'insularisation écologique des îles méditerranéennes au Pléistocène, avec des variations de taille, mais aussi fonctionnelles (par exemple de l'appareil masticateur ou des os du pied, qui sont probablement des adaptations aux modifications des niches écologiques occupées). Le « mégacérin de la Sardaigne » et le « cerf de Sicile » devaient être des herbivores agiles et rapides. Le « megacérin de Sicile », semble quant à lui avoir été plus adapté à des milieux plus fermés et boisés. En Crète, les petits mégacérins, même peu agiles, devaient être adaptés à des terrains difficiles et accidentés, sans qu'on sache exactement quelle pouvait être leur alimentation.
Le cerf élaphe comme toute la grande et petite faune des zones tempérées a « récemment » (aux échelles géologiques du terme) dû s'adapter à trois glaciations. De premiers échantillons d'ADN bien conservé ont été trouvés sur des os de trois cerfs (Cervus elaphus) datés de la fin du Pléistocène, trouvés dans la grotte Emine-Bair-Khosar (EBK) à la lisière nord du plateau inférieur du Massif montagneux de Chatyrdag en Crimée. En les comparant à l'arbre phylogéographique connu basé sur l'analyse de séquences d'ADN mitochondrial de cerfs vivant aujourd'hui dans l'hémisphère Nord, les chercheurs ont pu confirmer que la péninsule de Crimée semble avoir servi de refuge à une grande part des cerfs élaphes du nord-Est de l'Europe, et qu'elle a ensuite (Pléistocène supérieur) joué un « rôle majeur » dans la recolonisation et la dispersion des espèces tempérées pour tout le continent eurasien.
Pour éclairer la phylogénie, la phylogéographie du cerf élaphe, une étude publiée en 2004 a comparé la séquence d'ADN mitochondrial du cytochrome b d'échantillons prélevés parmi cinquante et une populations de cerfs réparties dans le monde, mais essentiellement en Asie et Europe.
Plusieurs méthodes ont été combinées (dont le maximum de parcimonie, le maximum de vraisemblance, et l'analyse cladistique imbriquée), qui ont conduit les chercheurs à conclure que les populations de cerf élaphe actuellement présentes seraient originaires de la région située entre le Kirghizistan et l'Inde du Nord, avec deux groupes génétiquement bien distincts, l'un vivant à l'ouest (composé de 4 sous-groupes) et un autre vivant à l'Est (composée de trois sous-groupes).
Ces données ADNmt ne confirment pas la classification traditionnelle considérant que tous les cerfs élaphes constituent une seule espèce, ni sa division en nombreuses sous-espèces
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Anaconda jaune
Eunectes est un genre de serpents de la famille des Boidae. Ces serpents sont appelés anacondas.
Les quatre espèces de ce genre se rencontrent dans les marécages et les fleuves des régions tropicales et subtropicales d'Amérique du Sud ainsi que dans les marécages du sud de l'île de la Trinité. Ils aiment la chaleur et l'humidité.
Ce sont des serpents semi-aquatiques constricteurs non venimeux.
Les yeux et les narines des anacondas sont positionnés sur le dessus de leur tête, leur permettant ainsi de respirer et de voir leur proie alors que leur corps volumineux demeure immergé sous la surface. L'anaconda est un serpent constricteur dotés de dents recourbées en arrière et de mâchoires puissantes qu'il utilise pour s'agripper à sa proie qu'il entraîne sous l'eau pour la noyer.
Les anacondas ont la réputation de mangeurs d'hommes auprès des habitants des zones où ils vivent. Cependant, le plus souvent, l'anaconda fuit la présence humaine. Les morts d'hommes causées par les anacondas ne sont pas prouvées. Les anacondas ont pour prédateurs les jaguars, les gros caïmans, et les autres anacondas. Un anaconda blessé peut aussi être la proie des piranhas.
Chez les anacondas, la femelle, plus grosse que le mâle, attire des partenaires en émettant des phéromones. Une sorte de ballet nuptial se déroule sous l'eau. Les femelles peuvent avoir jusqu'à douze partenaires. Pour caresser sa partenaire, le mâle dispose d'un organe sexuel, vestige des membres postérieurs des lézards, ses ancêtres.
L'anaconda est ovovivipare comme tous les boas. Chaque portée peut comporter jusqu'à 50 petits qui mesurent entre soixante et quatre-vingt-dix centimètres. Aussitôt nés, les serpenteaux ne peuvent compter que sur eux-mêmes. Comme pour la plupart des reptiles, peu d'entre eux atteindront l'âge adulte car leurs prédateurs sont nombreux : caïmans, piranhas, oiseaux...
Un record officiel fait état d'un anaconda qui mesurait 8,30 mètres pour un poids de plus de 235 kilogrammes, qui fut découvert au Venezuela durant les années 1960 et un autre record en 2016 où l'anaconda pesait 400 kg et mesurait 10 mètres de long et 1 mètre de diamètre.
Le grand anaconda est moins long que le python réticulé, l'une des espèces les plus longues de serpents, il est néanmoins plus lourd et plus massif. Il peut peser au-delà de 200 kg et avoir un diamètre de 38 cm. Il s'agit de l'espèce de serpent la plus lourde. Les femelles sont plus grosses que les mâles, mesurant en moyenne entre 6 et 8 m, (9 m maximum), tandis que les mâles mesurent de 4 à 6 m. On les trouve principalement au nord de l'Amérique du Sud, au Venezuela, en Colombie, au Brésil, en Équateur, au nord de la Bolivie, au nord-est du Pérou, en Guyane, au Guyana, au Suriname et à Trinidad. Ces anacondas d'aspect impressionnant étaient mal connus jusqu'en 1992, date à laquelle la première (et jusqu'à présent la seule) étude fut consacrée à cette espèce au Venezuela par le Dr. Jésus Rivas.
Il se distingue du boa par son museau couvert de boucliers plutôt que de petites écailles. Il est en général de couleur marron-olive foncé, avec deux rangées de grandes taches noires alternant sur le dessus du corps et de petites taches en forme d'œil de couleur blanche sur les côtés; le ventre est blanchâtre. Le biotope de l'anaconda est à la fois terrestre et aquatique, et son activité est principalement nocturne. Il repose immergé dans l'eau, avec seulement une petite partie de la tête au-dessus de la surface, guettant la moindre proie convenable. Il peut également s'enrouler sur les branches d'un arbre au-dessus de l'eau. Bien qu'il soit principalement aquatique, l'anaconda peut se déplacer sur terre en conservant son corps droit, suivant un parcours rectiligne. Grâce à de puissants muscles ventraux, l'animal prend appui sur les écailles dirigées vers l'arrière et en contact avec le sol, ce qui lui permet de pousser son corps en avant.
L'anaconda jaune mesure 3 m à l'âge adulte. Les serpents de cette espèce vivent plus au sud, en Bolivie, au Paraguay, en Uruguay, à l'ouest du Brésil et au nord-est de l'Argentine.
Ils se nourrissent principalement de gros rongeurs, de tapirs, capybaras, pécaris, poissons, tortues, chiens et de reptiles aquatiques comme les caïmans. Les jeunes anacondas se nourrissent de souris, rats et poissons.
L'anaconda se tapit habituellement dans des marécages ou sur les berges des rivières. Il attend en embuscade qu'une proie vienne s'abreuver. Alors, il la mord avec ses dents acérées, la saisit avec ses mâchoires puissantes et l'entraîne sous l'eau. La victime se noie alors ou est étouffée par les muscles de l'anaconda. Il serre à chaque fois un peu plus fort lorsque sa victime expire. L'anaconda peut faire une pression de 2 kg par centimètre carré. La victime étouffe rapidement. Alors, l'anaconda l'avale la tête la première. Il peut avaler une proie bien plus grande que la taille de sa bouche car sa mâchoire peut se désarticuler et est reliée de façon lâche au crâne.
L'anaconda n'utilise pas ses dents pour mâcher, ses dents sont orientées vers l'arrière de sa gueule et en se débattant, la victime ne fait qu'aggraver sa blessure. Il se sert de ses dents comme des crampons pour faire avancer la proie dans l'œsophage. Il digère ses proies grâce à de puissants sucs digestifs. Il lui faut six heures d'efforts pour arriver à avaler une proie aussi grosse qu'un capybara. L'anaconda nécessite ensuite quatre ou cinq jours pour digérer voire plusieurs semaines selon l'importance de la proie. L'anaconda devient très vulnérable durant cette période. De plus, ce serpent est capable de jeûner pendant deux ans. Il fait partie des serpents primitifs, donc ne possède pas de venin. Il utilise sa masse et sa puissance pour maîtriser sa victime. Ainsi, être mordu par un anaconda est douloureux mais n'est pas mortel en soi.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Eunectes
Le silure est un poisson sans écaille avec une peau vert-brun très glissante car recouverte de mucus. Son ventre est assez clair, de couleur jaune ou blanc et il existe également des spécimens albinos de couleur jaune, jaune-orangé. La tête du silure est massive et plate avec une grosse bouche dotée de lignes de dents très petites et nombreuses orientées vers l’arrière de sa gueule. Il possède six barbillons : deux longs sur la mâchoire supérieure et quatre courts sur la partie inférieure de sa tête. On compte quatre nageoires : une anale, une dorsale munie d’un aiguillon et des pelviennes de chaque côté également munies d’un dard.
Les silures mesurent environ 1,5 m de long en moyenne et les poissons de plus de 2 m sont de plus en plus communs, pour un poids allant de 50 kg à 150 kg. Les plus gros silures atteignent des tailles allant de 2,65 à 2,75 m, le record dans les eaux françaises étant de 2,74 m
Le silure est un poisson omnivore solitaire, lucifuge (qui évite la lumière), vivant d'ordinaire dans les zones les plus profondes de son habitat. Ce comportement peut cependant évoluer exceptionnellement, comme mis en évidence par une étude sur des silures du Tarn chassant en pleine journée des pigeons venus s'abreuver sur les rives de la rivière en se projetant hors de l'eau. Ils sont également très nombreux dans la Seine, à Paris en particulier.
Ils vivent en moyenne vingt ans. La période des amours se situe de mai à juillet dans des eaux à 20 °C ; la femelle peut pondre jusqu'à 500 œufs. Après avoir fécondé la femelle, le mâle reste deux jours avec elle et lui donne des coups de tête dans le ventre pour tenter de tuer les oeufs et ainsi l'inciter à reprendre leurs ébats
Parce que s'alimentant volontiers au niveau du sédiment et étant susceptible de vivre longtemps, dans une eau polluée, le silure fait partie des poissons reconnus bioaccumulateurs. En raison de sa propension à bioconcentrer les métaux lourds, certains métalloïdes ou des polluants peu biodégradables tels que les PCB, furanes ou dioxines, le silure peut dans certains milieux aquatiques pollués être durablement ou provisoirement interdit de pêche, de détention et de toute commercialisation en France
Espèces
Silurus aristotelis Garman, 1890
Silurus biwaensis (Tomoda, 1961)
Silurus chantrei Sauvage, 1882
Silurus duanensis Hu, Lan and Zhang, 2004
Silurus gilberti Hora, 1938
Silurus glanis Linnaeus, 1758 — Silure glane
Silurus grahami Regan, 1907
Silurus lanzhouensis Chen, 1977
Silurus lithophilus (Tomoda, 1961)
Silurus mento Regan, 1904
Silurus meridionalis Chen, 1977
Silurus microdorsalis (Mori, 1936)
Silurus morehensis Arunkumar and Tombi Singh, 1997
Silurus palavanensis (Herre, 1924)
Silurus soldatovi Nikolskii and Soin, 1948
Silurus triostegus Heckel, 1843
Les qualités gustatives en cuisine de la truite sauvage sont largement reconnues. Par le biais de la pêche en milieu naturel, elle est de ce fait assez recherchée pour cela.
La pratique de la pêche (de loisir ou de façon sportive) de la truite peut se réaliser de plusieurs façons :
Pêche au appâts naturels
Pêche au toc
Pêche au vairon manié
Pêche au vif
Pêche au appâts artificiels
Pêche aux leurres
Pêche à la mouche
Des œufs fécondés sont placés sur des frayères artificielles, et des alevins sont élevés et relâchés dans les rivières, pour participer au repeuplement de milieux dégradés, menacés ou surexploités. Néanmoins, si ces pratiques sont souhaitables et bénéfiques lorsqu'il s'agit d'espèces autochtones, elles ne contribuent pas à la sélection naturelle, peuvent poser des problèmes de diversité génétique et sont néfastes lorsqu'il s'agit d'introduire des espèces exogènes, ou des poissons susceptibles d'être anormalement porteurs de maladies ou parasites.
Par exemple, en France :
l'introduction de la truite arc-en-ciel, souvent pour répondre à une gestion à court terme de la ressource halieutique, provoque à terme la disparition de la truite fario avec laquelle elle entre en concurrence alimentaire ;
l'introduction massive et répétitive de truites farios de souche « atlantique » (généralement en provenance d'élevages danois) est la cause de la quasi-disparition de la truite fario de souche « méditerranéenne » à cause de la « pollution » génétique due au métissage. De rares groupes sont restés génétiquement « purs », essentiellement dans les rivières corses.
Pour tenter de remédier à cet état de fait, de nombreuses AAPPMA, outre des mesures de protection du groupe local (augmentation de la maille, création de parcours no-kill...) ont mis en place des structures de production et d'élevage de la souche locale.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Truite
Truite Arc en ciel
Le terme truite est un nom vernaculaire ambigu désignant plusieurs espèces de poissons de la famille des salmonidés.
Les truites vivent dans des eaux claires et vives, principalement en Amérique du Nord, en Europe, dans le nord de l'Asie et dans les rivières de l'Atlas au Maroc. Elles ont été également introduites en Australie et en Nouvelle-Zélande au XIXe siècle. Selon les espèces, la durée de vie peut varier de 7 ans à plusieurs dizaines d'années. Une truite de 80 cm peut dépasser les 5 kg. Certains spécimens vivant en lac dépassent le mètre et 15 kg.
Les truites n'ont pas d'épines dans les nageoires, et elles possèdent toutes une nageoire adipeuse à l'arrière, proche de la queue, qui est une caractéristique commune à tous les salmonidés.
Bien que la plupart des truites vive exclusivement en eau douce, certaines espèces (Oncorhynchus mykiss et Salmo trutta ou fario notamment) présentent des spécimens qui passent leur vie adulte dans l'océan et remontent les rivières pour se reproduire. on parle alors de truite de mer.
Les truites sont carnivores. Elles se nourrissent principalement de vers et d'insectes, mais les espèces et les spécimens les plus imposants chassent également d'autres poissons, particulièrement les vairons.
La truite saumonée est une appellation de truites le plus souvent de truite arc-en-ciel d'élevage, ayant la chair couleur saumon du fait de leur alimentation.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Truite
Le Grand requin blanc (Carcharodon carcharias) est une espèce de requin de la famille des Lamnidae et de l'ordre des Lamniformes (et non des Carcharhiniformes car dépourvu de paupière nictitante). Il est le seul représentant actuel du genre Carcharodon.
Avec une taille maximale supérieure à 6 m de long, c'est l'un des plus grands poissons prédateurs vivant actuellement dans les océans. La population des grands requins blancs a diminué de 75 % dans l’Atlantique Nord-Ouest.
Il est considéré comme un requin dangereux puisqu'il est responsable d'attaques contre les hommes, la grande majorité d'entre elles étant non mortelles. Néanmoins, contrairement à certaines idées reçues, il n'est pas un « mangeur d'hommes » et l'homme n'est pas une proie pour lui, la plupart des attaques étant dues à une erreur d'analyse visuelle du requin. Le grand requin blanc a une alimentation très variée : pinnipèdes, poissons, tortues marines, cétacés...
Ce type de requin est connu du grand public pour avoir été le sujet du best-seller Les Dents de la mer de Peter Benchley et de son adaptation cinématographique par Steven Spielberg.
Le grand requin blanc mesure en moyenne de 4 à 6 m de long. À approximativement 26 ans, âge de sa maturité sexuelle, il mesure 3,50 à 4,10 m. Les requins blancs de Méditerranée sont plus massifs que leurs cousins océaniques. Les femelles sont matures plus tard, environ 33 ans et mesurent alors 4 à 5 m
La taille du plus grand spécimen jamais pêché a fait l'objet d'un grand nombre de débats, de conjectures et de fausses informations
Pendant des décennies, le livre Guinness des records, ainsi que les travaux de nombreux ichtyologues, présentaient deux spécimens comme les plus grands jamais capturés : l'un de 11 m capturé dans les eaux sud australiennes près de Port Fairy dans les années 1870, et l'un de 11,30 m capturé au Nouveau-Brunswick, Canada dans les années 1930. Richard Ellis et John E. McCosker, dans leur livre The Great White Shark (1991), dédient un chapitre entier à ce sujet. Ils concluent que le plus grand spécimen jamais capturé et mesuré correctement devait faire 6,40 m (mesuré à plat sur le sol et non suspendu à un filin) pour 3 324 kg. Il a été pêché à Cuba en 1945. Le requin blanc de 7,13 m, capturé en 1987 à Malte, ne devait mesurer d'après les experts qu'entre 5,30 et 5,70 m.
Concernant les records non vérifiés de plus de 10 mètres, Richard Ellis et John E. McCosker doutent de la fiabilité des mesures, notant qu'elles étaient trop importantes en les comparant aux très grands requins blancs avérés que l'on a pu répertorier. Le requin blanc de 11,30 m prétendument pêché au New Brunswick (Canada) a été mal identifié car il s'agissait d'un requin pèlerin, ayant un corps de forme similaire au requin blanc. La question du requin blanc de 11 m de Port Fairy dans les eaux australiennes a été réglée dans les années 1970, lorsque J. E. Reynolds a examiné les mâchoires du requin et a conclu qu'il ne faisait que 5 m de long. Il a suggéré qu'une erreur avait été commise dans l'enregistrement original en 1870.
Pour conclure, la taille maximale est estimée à 7,5 m de long tout au plus, par des spécialistes comme l'Italien Alessandro de Maddalena, mais les grands requins blancs de plus de 6 mètres sont extrêmement rares. Aucun grand requin blanc atteignant les 7 mètres n'a jamais été capturé.
En France, à Sète, le 13 octobre 1956, fut pêchée une femelle. Cette dernière mesurait 5,83 mètres et pesait environ 2 tonnes. (Le muséum de Lausanne fit l'acquisition de ce spécimen. Une reproduction en plâtre est visible en ce musée.)
La masse du grand requin blanc mâle varie entre 680 et 2 000 kg. Celui de la femelle est compris entre 1 000 et 1 900 kg. Ellis et McCosker écrivent en ce qui concerne la masse des requins blancs et concluent qu'ils peuvent peser jusqu'à 3 tonnes mais notent également que le plus lourd pesé scientifiquement pesait 3,3 tonnes.
« Deep Blue » est le surnom donné à l'un des plus grands spécimens de requin blanc jamais observés à partir de l'année 2013.
Il s'agit d'une femelle vivant au large de l'île Guadalupe (Mexique). Sa taille est estimée à 20 pieds, soit 6,09 mètres
Ce requin femelle fascine aussi bien les scientifiques que le grand public. L'une des vidéos faites en 2013 par le biologiste marin Mauricio Hoyos Padilla et mise en ligne sur YouTube en juin 2015 a déjà été vue plus de 7 millions de fois au 14 août 2015, date de sa présentation au JT de 20 heures de France 2.
Il s'agit d'un requin femelle, dont l'imposante taille donne à penser qu'elle a environ 50 ans.
Or, pour mettre bas, les requins femelles se rapprochent des côtes afin de libérer leurs petits dans des eaux peu profondes, où il y a moins d'animaux prédateurs et où la nourriture est plus abondante. Mais ces zones proches des côtes sont très exposées à plusieurs menaces humaines.
En 2015, le biologiste Mauricio Hoyos Padilla et son association Pelagios-Kakunjá souhaitent donc réunir des dons pour sécuriser les endroits où les requins femelles mettent bas, en taguant les requins femelles en vue de créer une base de données permettant de développer de nouvelles stratégies de conservation près des côtes de l'île Guadalupe
En 2004, une femelle grand requin blanc, surnommée Nicole, parcourt l'hémisphère sud. Puis en 2013, une autre femelle, surnommée Lydia, traversant l'Atlantique, devient la coqueluche des réseaux sociaux comme Deep Blue.
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
https://fr.wikipedia.org/wiki/Grand_requin_blanc | |||||||||||||||||||||||||||
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Le barracuda (Sphyraena barracuda) est une espèce de poissons carnivores de grande taille, de la famille des Sphyraenidae.
C'est un assez grand poisson, pouvant mesurer jusqu'à 2 m de long pour 50 kg. Le corps du barracuda est allongé, avec une mâchoire inférieure de grande taille et des dents en forme de croc. Les deux ailerons dorsaux sont largement espacés, le premier ayant cinq épines et le second une épine et neuf rayons mous. Les extrémités des nageoires les plus postérieures sont blanches. Les flancs portent généralement quelques taches noires variables
Le grand barracuda a une large répartition, étant présent dans presque toutes les mers et océans tropicaux et subtropicaux du monde, à l'exception du Pacifique est. On les trouve généralement autour des récifs (surtout les jeunes, qui aiment les estuaires), mais ils apparaissent également dans les mers ouvertes. Ils se rencontrent entre la surface et une trentaine de mètres de profondeur, parfois jusqu'à 100 m.
Depuis la fin des années 1970, alors qu'il était auparavant très épisodique en Nord Méditerranée, le barracuda a largement colonisé les côtes nord de cette mer, en particulier dans tout le golfe de Gênes (de Gênes jusqu'au Massif de l'Estérel). Cette présence nouvelle, probablement due au réchauffement climatique, inquiète certains pêcheurs professionnels en raison de la voracité de l'animal sur les espèces autochtones, y compris sur d'autres prédateurs locaux, notamment les loups (nom du bar en Méditerranée).
Les barracudas vivent isolés ou en bancs (surtout les jeunes). Ce sont des prédateurs voraces qui comptent, pour la chasse, sur l'effet de surprise suivi d'une courte accélération (jusqu'à 60 km/h). Ils se nourrissent d'autres poissons et de céphalopodes.
Leur espérance de vie semble dépasser les 15 ans
Le barracuda est un prédateur de poissons et d'invertébrés marins au corps mou, et en aucun cas de mammifères, qu'il n'est pas adapté à chasser ou à consommer. Cependant c'est un animal curieux et courageux, et il ne doit pas être importuné par les plongeurs et pêcheurs, car il demeure capable de se défendre ou même d'attaquer préventivement. Les incidents avec des hommes sont extrêmement rares bien que les barracudas suivent parfois des plongeurs dans les récifs, ou plus souvent des chasseurs sous-marins, attirés par leurs proies. Si leur dentition peut être impressionnante, leur mâchoire demeure faible et leurs dents fragiles, et ils ne représentent pas une menace sérieuse pour un adulte, même si les gros individus peuvent tout de même provoquer de larges plaies
Comme beaucoup de grands prédateurs, le barracuda est une proie recherchée dans la pêche au gros.
Les barracudas sont comestibles mais il faut bien se renseigner au préalable sur la situation géographique dans laquelle ils ont été péchés, puisque leur chair peut de temps en temps contenir une toxine, la ciguatera. Cependant il reste un poisson à la chair prisée qui peut se préparer en papillote au four avec par exemple du fenouil, des oignons, du citron...
https://fr.wikipedia.org/wiki/Sphyraena_barracuda