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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Les autruches, qui forment le genre Struthio, sont des oiseaux de la famille des Struthionidae. Le mot dérive de l'italien ostruce, lui-même issu du latin avis struthio, d'après le grec ancien στρουθίων.
Histoire
Aristote parle de l’autruche aux livres I et II des Parties des animaux, ainsi que dans le livre II de la Génération des animaux. Empruntant de nombreux passages à Aristote, le livre X de l’Histoire naturelle de Pline l'Ancien, consacré aux oiseaux, s’ouvre sur l’autruche. Pline la considérait comme un animal intermédiaire entre les mammifères et les oiseaux.
La sous-espèce d’autruche Struthio camelus syriacus est attestée au Moyen-Orient jusqu’à son extermination au xxe siècle. Pendant les quinze millions d’années qui ont précédé, du début du Miocène jusqu’à la fin du Pléistocène, des autruches de différentes espèces, dont certaines de grande taille comme Struthio wimani, Struthio anderssoni ou le genre Pachystruthio, qui pesait jusqu'à environ 300 kg, ont vécu en Eurasie dans ce qui est aujourd’hui la steppe eurasienne, y compris durant les périodes glaciaires pendant lesquelles elles ont voisiné avec des mammouths, des rhinocéros laineux et, vers la fin, avec les premiers humains
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La baleine bleue (Balænoptera musculus), appelée aussi rorqual bleu, est une espèce de cétacés de la famille des balænopteridés. Sa longueur moyenne est de 25 à 27 m pour un poids de 130 tonnes, les femelles étant plus grandes que les mâles. C'est le plus gros animal vivant à notre époque et même, dans l'état actuel des connaissances, ayant vécu sur Terre (devant deux grands sauropodes dont le Diplodocus hallorum). Le spécimen confirmé le plus long mesurait 33,5 m de long et le plus lourd pesait 190 tonnes.
Long et mince, le corps de la baleine bleue peut prendre diverses teintes de gris-bleuté sur le dos et un peu plus clair en dessous. On dénombre au moins trois sous-espèces distinctes : B. m. musculus dans l’Atlantique Nord et le Pacifique Nord, B. m. intermedia de l’océan Antarctique et B. m. brevicauda découverte dans l’océan Indien et dans le sud de l’océan Pacifique. B. m. indica, découverte dans l’océan Indien, pourrait être une autre sous-espèce. Comme les autres baleines, la baleine bleue se nourrit essentiellement d’un petit crustacé, le krill, de planctons mais également de petits poissons et parfois de calmars.
Les baleines bleues étaient abondantes dans presque tous les océans avant le début du xxe siècle. Pendant près de quarante ans, elles furent chassées par les baleiniers qui ont amené l'espèce au bord de l'extinction avant qu'elle ne soit protégée par la communauté internationale en 1966. Un rapport de 2002 estimait qu’il y avait entre 5 000 et 12 000 baleines bleues à travers le monde, localisées dans au moins cinq groupes. En 2018, l'UICN estime la population entre 5 000 et 15 000 individus. Des études plus récentes sur la sous-espèce B. m. brevicauda suggèrent qu’il pourrait s’agir d’une sous-estimation. Avant la chasse industrielle à la baleine, la plus forte population se trouvait dans l’Atlantique, qui en comptait approximativement 240 000 (entre 202 000 et 311 000). L'espèce est classée en danger d'extinction par l'UICN.
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Le Crabe de cocotier (Birgus latro) est le plus grand des arthropodes terrestres. De la famille des bernard l'hermite, ce n'est donc pas un crabe au sens strict. Il est connu pour sa capacité à casser des noix de coco grâce à ses fortes pinces, pour en manger le contenu. Il se répartit dans des îles et îlots de l'océan Pacifique et de l'océan Indien.
Cet arthropode a un développement complexe associé à de singulières caractéristiques morphologiques. Son odorat est très performant et il a développé diverses stratégies pour préserver l'eau indispensable à sa respiration.
Description
Généralement, l'adulte pèse jusqu'à quatre kilogrammes, sa longueur allant jusqu'à 40 centimètres pour une envergure d'une patte à l'autre pouvant aller jusqu'à un mètre. Le mâle est généralement plus grand que la femelle (dimorphisme sexuel). Des auteurs affirment avoir trouvé des spécimens de plus de 17 kilogrammes, ce qui est généralement accepté comme la limite théorique pour un arthropode terrestre. Cependant, pour les animaux aquatiques qui sont soutenus par l'eau, la taille maximale d'un arthropode peut être supérieure (par exemple pour le crabe-araignée géant du Japon Macrocheira kaempferi). Ces mensurations font du crabe de cocotier le plus grand arthropode terrestre du monde.
Le corps du crabe de cocotier, comme celui de tous les décapodes, se compose d'une partie antérieure (céphalothorax) munie de dix pattes et d'un abdomen. La paire la plus antérieure est munie de grosses pinces qu'il utilise pour casser les noix de coco ou soulever des objets (pouvant peser jusqu'à 28 kilogrammes) par exemple. Les deux paires suivantes servent à la locomotion. Les pattes de la quatrième paire ont des extrémités biramées. Ces crustacés peuvent gravir les arbres jusqu'à une hauteur de six mètres, ce qu'ils font dans les cocotiers ou dans les palmiers pour en consommer les fruits. Les deux pattes de la paire postérieure sont minuscules et habituellement maintenues à l'intérieur de la carapace dans la cavité qui abrite les organes respiratoires. La femelle possède trois pléopodes (appendices articulés) du côté gauche pour porter ses œufs.
Les yeux du crabe de cocotier sont rouges et la couleur de son corps varie d'un bleu violet à un rouge orangé suivant son habitat.
Image d'un crabe de cocotier du Dictionnaire d'Histoire Naturelle, 1849.
Bien que Birgus latro appartienne à la superfamille des Paguroidea, seuls les juvéniles récupèrent les coquilles des gastéropodes pour protéger leur abdomen mou. Parfois, ils utilisent même les coquilles des noix de coco brisées. Au contraire de bien d'autres espèces de Paguroidea, l'adulte du crabe de cocotier ne transporte pas de protection artificielle, mais durcit naturellement son abdomen en y ajoutant des couches de chitine. Ils recroquevillent également leur queue sous leur corps de manière à se protéger comme le font la plupart des Brachyura appelés « vrais crabes ». Toutefois, le crabe mue à intervalle régulier. La mue prend trente jours.
Le crabe de cocotier adulte n'est pas apte à la nage et se noierait au bout de quelques heures malgré son système de branchies rudimentaire, probablement un vestige de son évolution. Il utilise un organe spécifique, nommé poumon branchiostégal, pour respirer. Cet organe peut être considéré comme un stade intermédiaire entre la branchie et le poumon et est une des adaptations les plus significatives du crabe de cocotier à son habitat. Les chambres de cet organe sont situées dans la partie supérieure du céphalothorax, et contiennent un tissu similaire à celui des branchies. Mais, celui-ci est adapté pour capter l'oxygène de l'air plutôt que celui de l'eau, tout en ayant besoin d'eau pour fonctionner. Le crabe y pourvoit en humidifiant son poumon avec sa paire de pattes postérieures tout en les nettoyant. Ce procédé fonctionne également avec de l'eau salée, puisque le crabe a quand même besoin de contact avec la mer pour équilibrer sa teneur en sel. L'animal réduit sa perte d'eau notamment grâce à son abdomen durci.
Une autre particularité du crabe de cocotier est son odorat très performant, qui fonctionne différemment si les molécules humées sont des molécules hydrophiles dans l'eau ou des molécules hydrophobes dans l'air. Vivant dans l'eau, la majorité des autres crabes ont sur leurs antennes des organes spéciaux, nommés aesthetascs, qui déterminent la provenance et la concentration des odeurs dans l'eau. Par contre, chez le crabe de cocotier, qui vit sur la terre ferme, les aesthetascs sont très différentes de celles des autres crabes et ressemblent davantage aux organes olfactifs des insectes nommés sensilles.
Le crabe de cocotier bouge par saccades ses antennes comme le font les insectes pour améliorer la perception. Ainsi il peut distinguer des odeurs intéressantes à de grandes distances, en particulier celles provenant de ses sources de nourriture : la viande en décomposition, la banane, la noix de coco
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Nothomyrmecia macrops, la Fourmi dinosaure ou Fourmi de l'aube, est une espèce de fourmis australiennes.
Unique représentant connu du genre Nothomyrmecia, cette espèce a été décrite en 1934 par John S. Clark à partir de spécimens d'ouvrières entreposés au Musée national du Victoria et vraisemblablement collectés fin 1931 près de l’extrémité occidentale de la Grande Baie australienne. Elle n'a plus été observée pendant 45 ans et a été redécouverte en 1977 sur la péninsule d'Eyre.
Seule espèce vivante de la tribu des Prionomyrmecini, Nothomyrmecia macrops appartient à la sous-famille des Myrmeciinae, dont elle conserve de nombreuses caractéristiques anatomiques et comportementales souvent considérées comme primitives (elle est parfois qualifiée de « fossile vivant »). C'est une espèce nocturne et arboricole.
Distribution actuelle
Les plus fortes populations de cette fourmi se trouvent dans le Sud de l'État d'Australie-Méridionale
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La Pie bavarde (Pica pica) est l'une des grandes espèces de corvidés parmi les plus répandues en Europe et dans une grande partie de l'Asie. Les pies peuvent aisément être identifiées grâce à leur morphologie et à leur plumage noir et blanc caractéristique. Il existe 13 sous-espèces de pie bavarde.
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Le terme écrevisse est un nom vernaculaire donné à certaines espèces de crustacés décapodes d'eau douce appartenant en général à la super-famille des Astacoidea mais dispersés dans plusieurs genres. Ces différentes espèces d'animaux ressemblant à de petits homards, dont ils sont proches.
Étymologies
Le terme français moderne dérive de l'ancien français escreveice, d'une sonorité proche de « crevette » et de « crabe », l'origine de ces termes germaniques étant l'ancien bas francique krebitja qui a aussi donné l'ancien haut allemand krebiz et l'allemand moderne Krebs pour désigner les Astacidés c'est-à-dire la famille qui regroupe les homards, écrevisses, langoustines, etc.
Description anatomique
Comme tous les crustacés, leur corps est protégé par un exosquelette (cuticule tégumentaire chitineuse sécrétée par l'épiderme sous-jacent)qui est composé de trois parties :
la tête ou céphalon, formée de six segments soudés, elle porte sur les trois premiers segments deux yeux mobiles et pédonculés, une paire d’antennules et une paire d’antennes. Les trois segments suivants portent respectivement les mandibules, maxillules et maxilles ;
le thorax ou péréion est fait de huit segments soudés entre eux et avec la tête), les trois premiers segments portent 3 paires de pattes dites « pattes-mâchoires » alors que les pattes des cinq segments suivants servent à la marche (pattes marcheuses, qui expliquent le classement des écrevisses dans l'ordre des décapodes, mot latin qui signifie « à dix pattes »). Les 3 premières paires de pattes se terminent par une pince, alors que les deux autres se terminent par un simple crochet (ou griffe).
l’abdomen ou pléon est formé de six segments porteurs d'« appendices bi-ramés » (doubles appendices natatoires) dits « pléopodes » : l'extrémité du dernier (segment VI ou telson)) forme une palette natatoire constituant la queue de l'animal. L'anus débouche sur la face ventrale sous le telson.
Le dimorphisme sexuel est plus marqué avec l'âge : les pinces du mâle deviennent plus grandes que celles des femelles, alors que l'abdomen des femelles tend à augmenter de volume. Les pléopodes de la femelle sur les segments II à V portent les œufs en période d’incubation. Les pléopodes des segments I et II sont, chez le mâle, des « baguettes copulatoires » guidant le sperme vers les œufs lors de l’accouplement.
Taxonomie et répartition dans le monde
Les écrevisses appartiennent à la classe des crustacés, elle-même classée dans l'ordre des décapodes. Selon Sinclair et al. (2004) en 2004, 593 espèces d’écrevisses étaient regroupées en 30 genres eux-mêmes répartis en trois familles :
Astacidae (14 espèces, toutes dans l'hémisphère nord, surtout en Amérique du Nord) ;
Cambaridae (409 espèces, toutes dans l'hémisphère nord et surtout en Amérique du Nord) ;
Parastacidae (170 espèces, toutes dans l’hémisphère sud et essentiellement en Australie)
Là où elles sont naturellement présentes, on trouve des écrevisses dans presque tous les habitats d'eaux douces sauf en Antarctique et en Afrique (où la niche écologique occupée ailleurs par les écrevisses est ici entièrement prise par des crabes d'eau douce et des crevettes d'eau douce). L'écrevisse est également absente d'Asie centrale. Partout où elle est connue, elle a été pêchée et mangée par l'Homme.
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