Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
23.12.2024
18461 articles
>> Toutes les rubriques <<
· Cinéma (1147)
· A à Z : Sommaire (346)
· Mannequin de charme (914)
· Musique (392)
· Monde : France (2908)
· Calendrier : Événements (333)
· Département : Meuse (253)
· Cinéma : Films à classer (153)
· Calendrier : Naissances (246)
· Monde : Etats Unis (1071)
air amour annonce art article automne background base belle bienvenue blogs carte
Articles les plus lus· Bienvenue sur
· Alessandra Sublet
· Lui : Célébrités nues
· 28 septembre : Naissances
· Loto (jeu de la Française des jeux)
· Feodor Vassiliev et Valentina Vassilyev : 69 enfants nés
· Renaud : Hexagone (Paroles et explications)
· Omar Sharif
· A (Sommaire)
· Mannequin de charme : Sommaire
· Culotte : Sous les jupes des filles
· Julia Channel
· Femme
· Brigitte Lahaie
· Maureen O'Hara
allan ehrhardt www.seucon2 vi sureu ibm.fr
Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
allan ehrhardt www.seucon2 vi sureu ibm.fr
Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Renée de France, comtesse puis duchesse de Chartres, comtesse de Gisors et dame de Montargis, née à Blois le 25 octobre 1510, morte à Montargis le 12 juin 1574 est la fille cadette de Louis XII, roi de France, et d'Anne de Bretagne.
Belle-sœur de François Ier, tante d'Henri II et grand-tante de trois rois François II, Charles IX et Henri III, elle fut mariée à l'âge de 18 ans au duc Hercule II d'Este et passa trente-deux ans de sa vie en Italie à Ferrare.
Comme sa sœur aînée, Claude de France, fut mariée à François d'Angoulême, futur François Ier, elle aurait pu prétendre au trône ducal de Bretagne. Alors, tout fut fait pour l'éloigner, en la mariant au duc de Ferrare. La cour de Ferrare était alors l'une des plus brillantes d'Italie. Mais, si elle y attira beaucoup de Français, elle ne fit aucun effort pour apprendre l'italien.
Princesse acquise à la réforme protestante dès les années 1530, en dépit de l'hostilité de son mari le duc de Ferrare et de Modène, elle reçut en 1536 Jean Calvin, chef de la République théocratique de Genève, avec lequel elle entretint une correspondance. Lorsque son époux interdit en 1554 le calvinisme dans ses États, elle subit de fortes pressions pour l'abandon de ses opinions religieuses. Après la mort de son époux en 1559, elle s'installa en France à Montargis où elle fonda une église réformée. Elle y accueillit nombre de réfugiés protestants durant les guerres de Religion. Princesse éclairée de la Renaissance et femme de tempérance, elle s'opposa à la passion et l'intransigeance de ses coreligionnaires.
Sa fille Anne d'Este, grande dame de la cour de France, fut l'épouse du duc François de Guise, chef charismatique du parti catholique au moment des guerres de religion, puis, devenue veuve, l'épouse du duc de Nemours. Un autre de ses enfants, Luigi d'Este, devint cardinal.
|
Jean II, dit « Jean le Bon », né le 26 avril 1319 au Mans et mort le 8 avril 1364 à Londres, fils du roi Philippe VI, est roi de France de 1350 à 1364, le deuxième de la dynastie des Valois. Il est particulièrement connu pour avoir été vaincu et fait prisonnier par le Prince Noir, fils d'Édouard III, à la bataille de Poitiers en 1356, au début de la guerre de Cent Ans.
La dynastie des Valois, qui règne sur la France à partir de 1328, à la place des Capétiens directs, est confrontée à une crise de la féodalité, à la Peste noire de 1348 et aux défaites du début de la guerre de Cent Ans, due aux prétentions du roi d'Angleterre Édouard III, petit-fils (par sa mère) de Philippe IV le Bel, qui conteste l'attribution de la couronne à un cousin, Philippe de Valois, petit-fils de Philippe III. Les deux premiers Valois, incapables de faire rentrer les impôts, recourent à des mutations monétaires pour renflouer le trésor, ce qui entraine des dévaluations extrêmement impopulaires.
Jean le Bon, confronté de surcroît aux intrigues de Charles le Mauvais, roi de Navarre, autre prétendant à la couronne, gouverne dans le secret avec des hommes de confiance. Profitant de ces difficultés, Édouard III et son fils le Prince Noir relancent la guerre en 1355. Le 19 septembre 1356, Jean le Bon est fait prisonnier à la bataille de Poitiers.
Le pays sombre alors dans le chaos. Les états généraux menés par Étienne Marcel et Robert Le Coq prennent le pouvoir à Paris et tentent d'installer Charles de Navarre à la tête du royaume. En 1358, les paysans se soulèvent et s'allient avec Étienne Marcel, mais le dauphin Charles (futur Charles V) se fait nommer régent et retourne la situation.
Jean le Bon peut rentrer en France en 1360, après la signature du traité de Brétigny, qui lui rend la liberté, mais cède un tiers du pays à Édouard III. Il faut encore payer son énorme rançon alors que les finances du royaume de France sont au plus bas (il stabilise cependant la monnaie, grâce à la création du franc). Les grandes compagnies de soldats démobilisés pillent les campagnes et bloquent le commerce. Il tente de mettre fin à leurs agissements, mais l'armée royale est vaincue à Brignais (avril 1362). Il tente d'en débarrasser le pays en les emmenant en croisade contre les Turcs avec l'argent du pape, mais essuie un nouvel échec : Innocent VI meurt quinze jours avant son arrivée à Avignon, remplacé par Urbain V qui n'est pas favorable au projet.
|
Ségolène Royal (/segain ».">ɡolɛn ʁwajal), née Marie Ségolène Royal le 22 septembre 1953 à Dakar (Sénégal), est une haute fonctionnaire et femme politique française.
Membre du Parti socialiste, conseillère du président François Mitterrand dans les années 1980, elle est députée de la deuxième circonscription des Deux-Sèvres de 1988 à 2007. Ministre de l'Environnement dans le gouvernement Pierre Bérégovoy, elle est ensuite nommée ministre de l'Enseignement scolaire, puis de la Famille, par Lionel Jospin lors de la troisième cohabitation. En 1995, elle perd les élections municipales de Niort. Elle préside le conseil régional de Poitou-Charentes de 2004 à 2014. Elle est de 1978 à 2007 en couple avec François Hollande, avec qui elle a quatre enfants.
En 2007, Ségolène Royal est la première femme française à accéder au second tour d'une élection présidentielle, mais elle est battue par Nicolas Sarkozy, récoltant 46,94 % des suffrages exprimés. En 2008, elle est défaite de justesse par Martine Aubry lors de l'élection à la fonction de premier secrétaire du Parti socialiste. Elle finit quatrième au premier tour de la primaire socialiste de 2011, puis est battue aux élections législatives de 2012 dans la première circonscription de la Charente-Maritime.
Dans les gouvernements Manuel Valls et Bernard Cazeneuve, entre 2014 et 2017, elle est ministre de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer. Elle quitte ensuite le PS et se voit nommée par Emmanuel Macron ambassadrice chargée de la négociation internationale pour les pôles arctique et antarctique, une fonction dont elle est démise en 2020 en raison de ses critiques envers la politique de l’exécutif. L’année suivante, elle est battue aux élections sénatoriales pour les Français établis hors de France.
|
Dominique Voynet [dɔminik vwanɛ], née le 4 novembre 1958 à Montbéliard (Doubs), est une femme politique française, membre des Verts puis d’Europe Écologie Les Verts.
Elle est candidate des Verts aux élections présidentielles de 1995 (3,3 %) et de 2007 (1,6 %). Après avoir été ministre de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement de 1997 à 2001, elle est sénatrice (2004-2011) et maire de Montreuil (2008-2014).
Médecin anesthésiste, nommée inspectrice générale des affaires sociales au tour extérieur en 2014, elle est à la tête de l'Agence régionale de santé de Mayotte de 2020 à 2021.
|
Élisabeth Guigou, née Vallier le 6 août 1946 à Marrakech (Maroc), est une femme politique française.
Membre du Parti socialiste, elle est la première femme nommée à la tête d'un ministère régalien en France lorsqu'elle devient garde des Sceaux, ministre de la Justice, en 1997.
Élue députée dans le Vaucluse (1997) puis dans la Seine-Saint-Denis (2002-2017), elle préside la commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale de 2012 à 2017.
|
Marie-George Buffet, née Kosellek le 7 mai 1949 à Sceaux (Hauts-de-Seine), est une femme politique française.
Elle est ministre de la Jeunesse et des Sports du gouvernement Jospin (1997-2002), secrétaire nationale du Parti communiste français (2001-2010) et candidate à l'élection présidentielle de 2007, où elle obtient 1,93 % des voix. Elle est députée de la Seine-Saint-Denis de 2002 à 2022.
|
Martine Aubry, née Delors le 8 août 1950 à Paris, est une haute fonctionnaire et femme politique française.
Fille de l’homme politique Jacques Delors, elle devient administratrice civile après des études à l’ENA. Elle adhère au Parti socialiste (PS) en 1974 et travaille dans plusieurs cabinets ministériels après l’arrivée de la gauche au pouvoir en 1981.
Elle exerce les fonctions de ministre du Travail, de l'Emploi et de la Formation professionnelle de 1991 à 1993, puis de ministre de l'Emploi et de la Solidarité de 1997 à 2000. À ce titre, dans le gouvernement Jospin, elle met en œuvre la réforme des 35 heures, instaure la couverture maladie universelle (CMU) et lance les emplois-jeunes.
Implantée électoralement dans le Nord, elle est première adjointe au maire de Lille à partir de 1995, maire de cette ville depuis 2001 et présidente de sa communauté urbaine de 2008 à 2014. Lors des élections législatives de 1997, elle l’emporte dans la 5e circonscription du Nord mais démissionne pour siéger au gouvernement et échoue à redevenir députée en 2002.
Lors du congrès de Reims de 2008, elle est élue de justesse première secrétaire du Parti socialiste face à Ségolène Royal, devenant la première femme à exercer cette fonction. Souhaitant être candidate à l’élection présidentielle de 2012, elle se présente à la primaire citoyenne de 2011, qu'elle perd au second tour face à François Hollande. À la suite de l’accession de celui-ci à la présidence de la République, elle quitte la tête du PS.
Elle est ensuite réélue à deux reprises maire de Lille, dépassant les vingt ans de mandat en 2021.
|
Jury de diplôme 1966, au premier plan de 3/4rts dos Jacqueline Mahuzier, à sa droite Henri Malvaux, et stylo dans la bouche Laurent Monod
Henri Émile Albert Malvaux, né le 27 avril 1908 à Beauzée-sur-Aire, aujourd'hui Beausite, (Meuse), et mort à Suresnes le 2 juillet 1994, est un peintre, graveur, sculpteur, mosaïste, cinéaste et enseignant français.
Biographie
Élève de l'École nationale supérieure des arts décoratifs de Paris, Henri Malvaux commence sa carrière comme professeur de dessin au lycée Alain-Fournier de Bourges en 1932, puis il rejoint Mâcon.
Avec Jean Bouvet qui s'occupe des réfugiés politiques espagnols, et qui occupe les fonctions de conseiller municipal à Mâcon, en 1937, à la suite d'un échange avec Jean Eckenroth (contadourien et aumônier des chasseurs alpins) à Pelvoux Saint-Antoine, Jean Bouvet et Henri Malvaux vont rencontrer Jean Giono en villégiature à Briançon. C'est Jean Giono qui fera découvrir la Provence à Malvaux dans les années 1950. Conquis par Suzette, entre Malaucène et Beaumes-de-Venise, il y aménage son atelier face au mont Ventoux et aux Dentelles de Montmirail
Henri Malvaux se situe dans la mouvance des peintres de la réalité poétique. A Mâcon, sa famille est très liée avec la famille Bouvet. Directeur de l'école municipale de dessin de Mâcon de 1939 à 1942, il engage Maxime Descombin pour assurer les cours de sculptures, celui-ci démissionnera en 1942. En 1943, Malvaux est nommé directeur de l'École Nationale des Beaux-Arts de Bourges qui deviendra l'École nationale supérieure d'art de Bourges. En 1948, il organise au Palais Jacques Coeur une exposition de tapisseries de Jean Lurçat. Il incite la céramiste Jacqueline Lerat (née Bouvet) à s'installer au hameau de La Borne cette même année, car il n'a que six élèves et des locaux vétustes. Il crée un atelier de céramique avec four à bois de type Sèvres et un four électrique au sein de l'école d'art de Bourges. Il y introduira un atelier de photographie et de vidéo.
Récipiendaire d'une bourse de voyage , il voyagera en Europe, en Amérique latine et au Canada. Il donne de nombreuses conférences, sans abandonner la peinture.
En 1962, il prend la direction du Centre d'arts et techniques dont il fait évoluer la formation vers un enseignement supérieur en arts appliqués, organisant le passage entre une formation de décorateurs ensembliers, créateurs de mobiliers vers une pédagogie du design et de l’architecture intérieure, il refonde les enseignements et les équipes pédagogiques, et assure la reconnaissance du diplôme ; le centre deviendra l'École Camondo
|
La mort du major Otenin (Tableau de Fournier Sarlovèze)
François Otenin (parfois écrit Ostenin, Othenin ou Ottenin) (17 février 1770 à Beauzée-sur-Aire – 1er avril 1814 à Compiègne) est un militaire s'étant illustré pour avoir tenu tête, ne disposant que de faibles moyens, à l'armée prussienne lors de la défense de Compiègne en 1814. Il est aussi connu sous le nom de Major Otenin.
Biographie
Fils de Christophe Otenin, maître menuisier, et de Barbe Nicolas, François Otenin est né le 14 février 1770 à Beauzée-sur-Aire. Il est le cadet d'une fratrie de trois.
Lors de la Levée en masse du 23 février 1793, il s'enrôle dans l'armée et est incorporé avec son frère Jean-Baptiste dans le 5e bataillon de la Meuse et plus tard dans la 132e demi-brigade. L'armée de la Moselle, dont les frères Otenin faisaient partie, se rassembla entre la Sambre et la Meuse sous le commandement de Jourdan. Ce dernier ne tarda pas à franchir la Sambre et à investir Charleroy dans le courant de prairial an II. Mais avant que ce général eût réussi à mettre ses forces en ligne, il fut assailli par des troupes supérieures en nombre et contraint de se replier de nouveau de l'autre côté de la rivière. C'est ce même jour que Jean-Baptiste Otenin, son frère benjamin et alors sergent au 1er bataillon de la 132e demi-brigade d'infanterie, sera tué.
Caporal le 9 brumaire an II, sergent le 20 ventôse suivant, adjudant le 19 frimaire an IV, lieutenant le 13 prairial an VIII, capitaine le 16 nivôse an XIII, il fit partie des armées de Belgique, du Nord, de Sambre-et-Meuse, de Mayenne, du Danube, d'Helvétie, et du Rhin. Au cours de ses glorieuses campagnes, il fut blessé à Muttenthal en 1799, et fait prisonnier en 1800. Le 1er octobre 1811, il fut nommé chef de bataillon au 33e de ligne. Ayant pris part à la campagne de Russie avec le 2e Corps, Otenin fut à nouveau grièvement blessé à la Moskowa.
Le 18 juin 1812, Napoléon étant à Gumbinnen (Prusse), passa en revue le 2e corps du duc de Reggio, dont faisait partie le 33e de ligne ; le chef de bataillon, Otenin, reçut des mains de l'Empereur la croix de Chevalier de la Légion d'honneur. Il sera fait Officier de la Légion d'honneur l'année suivante, le 21 avril 1813.
Mort du Commandant François Othenin
La mort héroïque du Major Otenin a fait l'objet de plusieurs commémorations :
Une pierre tumulaire à la mémoire du Major a été placée par le conseil Municipal de Compiègne au cimetière du Clamart le 21 mars 1865. Elle porte les inscriptions suivantes : "A la mémoire de François Ostenin, Major au 136e Régiment de Ligne, Officier de la Légion d'Honneur, Né à Beauzée (Meuse) le 19 février 1770, mort le 1er avril 1814 en défendant à la tête d'une très faible garnison la place de Compiègne assiégée par un corps d'armée de dix-huit mille prussiens. La ville de Compiègne reconnaissante.". Elle a par la suite été déplacée vers le parc de Songeons.
Une rue de Compiègne, proche du Château qu'il a si bien défendu, porte son nom (épelé Othenin, anciennement rue de Chartres).
Une rue de son village natal de Beauzée-sur-Aire porte son nom (rue Otenin).
Une statue à son effigie était érigée le 15 juillet 1914, Boulevard des Cours (actuel cours Guynemer) à Compiègne. Cette statue a été refondue le 22 décembre 1941 en application de la Loi de mobilisation des métaux non ferreux du 11 octobre 1941 du régime de Vichy sur l'enlèvement des statues de bronze en vue de leur fonte. Cette loi intervient en période d'Occupation allemande durant laquelle les statues ont été fondues pour récupérer le métal, mais aussi plus rarement dans un but idéologique.
Une caserne porte son nom à Compiègne
|
Beausite est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est.
Elle rassemble les villages de Beauzée-sur-Aire, Amblaincourt, Deuxnouds-devant-Beauzée et Seraucourt.
Géographie
Beausite est à 18 kilomètres au sud-est de Clermont-en-Argonne, la commune fait partie de la Communauté de communes De l'Aire à l'Argonne dont elle est le siège.
Nubécourt | Nubécourt | Saint-André-en-Barrois |
Pretz-en-Argonne | Courcelles-sur-Aire | |
Pretz-en-Argonne | Pretz-en-Argonne | Courcelles-sur-Aire |
La commune est traversée par la rivière Aire, le ruisseau de Deuxnouds et le ruisseau Bunet.
En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 015 mm, avec 14,3 jours de précipitations en janvier et 9,7 jours en juillet1. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chaumont_sapc », sur la commune de Chaumont-sur-Aire à 7 km à vol d'oiseau, est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 850,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,1 °C, atteinte le 25 juillet 2019; la température minimale est de −15,5 °C, atteinte le 20 décembre 2009.
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Urbanisme
Beausite est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bar-le-Duc, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 86 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants.
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (80 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,6 %), forêts (17,7 %), prairies (14,6 %), zones urbanisées (1,5 %), zones agricoles hétérogènes (1,5 %). L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (xviiie siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Toponymie
Seraucourt : en patois Seraoucoû.
Meuse | ||||||||||||||||
Département de la Meuse : Communes | ||||||||||||||||
A | B | C | D | E | F | G | H | I J K | L | M | N O | P Q | R | S | T U | V W X |
Visitez la Meuse
|