Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
07.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
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Par han.t, le 03.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
Melissmell, de son vrai nom Mélanie Coulet, est une chanteuse française née le 17 février 1981 à Valence, auteur de quatre albums sortis en 2011, 2013, 2016 et 2022
Melissmell est un mot valise créé en référence à la chanson Smells Like Teen Spirit de Nirvana, à la mélisse, « plante qui soulage les maux des femmes », à la technique vocale du mélisme, et au lis de mer fossile que l'on retrouve dans le sol ardéchoi
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Alice Donadel, dite Alice Dona, née le 17 février 1946 à Maisons-Alfort, est une chanteuse française, également compositrice ; elle fut l'une des premières à interpréter les chansons de Gilbert Bécaud.
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François Ier de Lorraine, 2e duc de Guise et premier prince de Joinville (17 février 1519, Bar-le-Duc - 24 février 1563, Saint-Hilaire-Saint-Mesmin), est un militaire et homme d’État français du xvie siècle. Il fut l'un des meilleurs chefs d'armée du roi Henri II et le principal chef catholique pendant la première guerre de Religion.
Il est pair de France, duc d'Aumale (de 1547 à 1550), puis duc de Guise (de 1550 à 1563), marquis de Mayenne, baron, puis (1551) prince de Joinville, grand chambellan, grand veneur, et grand maître de France (1559).
Compagnon d'enfance d'Henri d'Orléans (futur Henri II), François de Guise est un chef militaire de renom, à la tête d’un puissant lignage. Il s'illustre dans de nombreuses campagnes militaires, dont la prise de Calais aux Anglais et gouverne la France sous le règne de François II (1559-1560) avec son frère, le cardinal Charles de Lorraine. Il est le chef des catholiques durant la première guerre de Religion. En particulier, sa responsabilité est discutée dans le célèbre massacre de Wassy, où des dizaines de protestants, hommes, femmes et enfants, sont massacrés en plein culte, ouvrant ainsi les guerres de Religion en France. Il meurt moins d'un an plus tard, pendant le siège d'Orléans, le 24 février 1563, des suites d'un coup de pistolet tiré par un gentilhomme protestant, Jean de Poltrot de Méré.
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Le Surcouf est un croiseur sous-marin français ayant servi pendant la Seconde guerre mondiale dans les Forces françaises libres. Il coule corps et biens dans la nuit du 18 au 19 février 1942 dans la mer des Antilles à la suite d'un abordage accidentel avec un cargo américain ou, version plus probable, à cause d'un bombardement par méprise de la part d'un hydravion américain. C'était, en tonnage, le plus grand sous-marin militaire du monde de son époque jusqu'à ce qu’il soit surpassé par les sous-marins japonais de la classe I-400 en 1943.
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En 1941, il fuit la zone occupée pour la zone libre. Il est d'abord chanteur d'orchestre à Nice puis en avril à Cannes (son frère le fait engager au Maxim's comme guitariste dans l'orchestre de Bernard Hilda où Ray Ventura le remarque). Il fait partie de décembre 1941 à décembre 1945 de l’orchestre de Ventura lors de son séjour en Amérique du Sud — Brésil, Argentine, Colombie, Uruguay, etc. Il part seul, sans son frère qui était pourtant le leader de leur duo, signant les contrats. Il y exerce ses talents de guitariste-chanteur, et de comique, avec une imitation de Popeye. C'est là qu'il connaît son premier succès personnel, « sauvant » la première soirée de l'orchestre de Ray Ventura au casino d'Urca (Rio de Janeiro) par son imitation de Popeye puis l'interprétation de Maladie d'amour. Ventura revient à Paris en 1945 mais Henri accepte un contrat pour effectuer une tournée solo au Brésil. En jouant une samba au ralenti , Henri Salvador joue de la bossa-nova . Lorsqu'il retrouve son frère André le 5 décembre 1945, ce dernier souhaite reformer leur duo mais Henri, devenu une vedette, refuse, ce qui provoque une douloureuse rupture affective. Il réintègre l'orchestre de Ventura puis, lassé d'être le fantaisiste surtout reconnu pour son jeu scénique, monte son propre orchestre en 1946, avec succès. En 1947, il propose au directeur de Bobino de l’embaucher en vedette à part entière, prenant le pari de n'être payé que par les entrées. Dès sa première scène le 18 octobre 1947, il rencontre le succès qui lance sa carrière de « chanteur créole ». En mars 1948 Jacques Canetti , enthousiasmé par sa voix de crooner, lui propose de passer au Théâtre des Trois Baudets dont c'est le premier spectacle. Énorme succès ! Dans la foulée il enregistre avec Canetti chez Polydor Maladie d'amour et Clopin-Clopant qui recevra le Grand Prix du Disque 1949. Cette collaboration durera jusqu'en 1956 au moment où Michel Legrand et Jacques Canetti, de retour des États Unis, reviennent avec le premier disque de rock. Avec Boris Vian et Henri Salvador ils lanceront les premiers rocks français.
Il participe, en 1949, au film Nous irons à Paris, de Jean Boyer, aux côtés de l’orchestre de Ray Ventura, des Peter Sisters, de Martine Carol et d’autres vedettes de l’époque.
En 1949 il passe à l'ABC, le temple des music-halls parisiens, dans la revue de Mistinguett Paris s’amuse. C’est là qu’il rencontre Jacqueline Garabédian, étudiante égyptienne qui devient son épouse le 24 janvier 1950 et son imprésario.
Par la suite, devenu chanteur, il est accompagné par plusieurs musiciens tels que Philippe Gérard, Henri Leca, Jack Diéval, surnommé le « Debussy du jazz », Joe Boyer, Michel Legrand… Il fait toujours en sorte de combiner sur ses albums chansons très fantaisistes et chansons douces, bien que le grand public se montre plus enthousiaste sur les premières, tandis que la concurrence est sévère dans le domaine des secondes (André Claveau, Georges Ulmer, etc.).
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Adolphe Thiers, né le 15 avril 1797 (26 germinal an V) à Marseille et mort le 3 septembre 1877 à Saint-Germain-en-Laye, est un avocat, journaliste, historien et homme d'État français.
Arrivé à Paris à 24 ans, ambitieux et sans fortune — il aurait servi de modèle à Balzac pour le personnage de Rastignac —, journaliste anticlérical et patriote de l'opposition libérale, auteur à succès avec une Histoire de la Révolution française, il est un exemple de l'évolution des classes dirigeantes françaises à la recherche d'un nouvel ordre institutionnel stable après l'effondrement de la monarchie absolue en 1789, par son rôle majeur dans la mise en place des régimes politiques successifs ayant suivi l'échec de la Restauration en 1830.
Il contribue aux Trois Glorieuses et joue un rôle décisif dans la mise en place de la monarchie de Juillet. Élu à l'Académie française, marié et devenu riche, il est député, plusieurs fois ministre et deux fois président du Conseil. Partisan d'une monarchie constitutionnelle dans laquelle « le roi règne, mais ne gouverne pas », il s'éloigne du roi Louis-Philippe Ier au nom de l'esprit « national » sur la politique étrangère (crise de 1840) et devient l'adversaire de Guizot au nom des libertés parlementaires.
Après la révolution de 1848, il se rallie à la République et devient l’une des figures du parti de l'Ordre. Opposé au coup d’État du 2 décembre 1851 du futur Napoléon III, dont il avait appuyé la candidature à la présidence de la République en 1848, il ne se rallie pas au Second Empire et commence une longue traversée du désert. Il écrit la suite de sa Révolution, l'Histoire du Consulat et de l'Empire en vingt volumes, qui sont de nouveau un succès de librairie. Élu en 1863 à Paris, il devient un des principaux orateurs de l'opposition libérale et s'oppose à la guerre franco-allemande de 1870.
En février 1871, après la chute du Second Empire consécutive à la défaite de Sedan pendant la guerre contre la Prusse et l'échec du Gouvernement provisoire de la Défense nationale, il devient « chef du pouvoir exécutif de la République française », c’est-à-dire à la fois chef de l’État et du gouvernement, avec Jules Dufaure comme vice-président du Conseil. Il négocie le traité de paix avec Bismarck et réprime dans le sang l'insurrection de la Commune. En août 1871, par la loi Rivet, il devient président de la République française. Il organise notamment l'emprunt national qui permet l'évacuation anticipée du territoire par les troupes d'occupation. En mars 1873, il est salué par l'Assemblée nationale comme « le libérateur du territoire ».
Son ralliement à une « République conservatrice » provoque en mai 1873 sa mise en minorité par les monarchistes, majoritaires à l'Assemblée nationale, et entraîne sa démission de la présidence de la République. Mais il a ouvert la voie à un rapprochement de la droite orléaniste libérale et des républicains modérés dirigés par Léon Gambetta, alliance qui, par la voie de l'« opportunisme », va fonder la Troisième République.
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Jean-Claude Killy, né le 30 août 1943 à Saint-Cloud, est un skieur alpin, coureur automobile et dirigeant français, triple champion olympique de ski alpin à Grenoble en 1968.
Il fait partie de la grande génération de skieurs français des années 1960 qui domine les compétitions alpines sous la direction d'Honoré Bonnet. À cette époque, il est un sportif sous contrat avec les douanes françaises. Par la suite, il devient membre du Comité international olympique au sein duquel il dirige plusieurs commissions de coordination des Jeux olympiques d'hiver, préside à l'organisation d'événements sportifs majeurs en France et siège au conseil d'administration de plusieurs grandes compagnies. Il est dans les années 1990 (de 1992 à 2001) le président directeur général d’Amaury Sport Organisation.
Au cours de sa carrière sportive, Killy devient le deuxième skieur après Toni Sailer en 1956 à remporter les trois épreuves de ski alpin (descente, slalom, slalom géant) lors des mêmes Jeux olympiques en 1968 à Grenoble et l'un des deux Français à avoir remporté 3 médailles d'or au cours de mêmes Jeux olympiques d'hiver (avec Martin Fourcade). Il gagne également six titres de champion du monde et s'adjuge les deux premières Coupes du monde de ski alpin de l'histoire, en 1967 et 1968. Il détient par ailleurs durant cinquante ans le record de victoires pour un skieur français en Coupe du monde (dix-huit). Il se reconvertit ensuite dans les sports mécaniques (participation aux 24 Heures du Mans entre autres).
Après sa carrière sportive, il prend des postes importants au sein de divers organismes sportifs : membre du comité exécutif alpin de la Fédération internationale de ski, membre du CIO, coprésident du comité d'organisation des Jeux olympiques d'Albertville 1992, président de la commission de coordination des Jeux olympiques d'hiver du CIO, président exécutif du directoire des mondiaux de ski alpin de Val d'Isère en 2009. Il démissionne du CIO à 70 ans, en mars 2014.
Jean-Claude Killy a donné son nom au grand domaine skiable qui regroupe les stations savoyardes de Tignes et de Val d'Isère.
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Étienne Nicolas Méhul, né le 22 juin 1763 à Givet (Ardennes) et mort le 18 octobre 1817 à Paris 9e, est un compositeur français, et le plus important compositeur d’opéras en France pendant la Révolution française. Étienne-Nicolas Méhul est aussi un des fondateurs du Conservatoire de Paris.
Quittant l'abbaye de Laval Dieu, où il était élève-organiste, pour la capitale, il a traversé en effet l'une des périodes les plus agitées de cette ville, s'attachant essentiellement à la création musicale, même s'il fut aussi le compositeur d'un des plus fameux hymnes patriotiques issus de cette période, le Chant du départ, et il était l'ami de nombreux artistes et écrivains. Il fut un des premiers musiciens dits « romantiques » en France, contribuant à élargir le champ sonore de la symphonie, comme ses contemporains Haydn et Beethoven. Ses opéras ont profondément influencé Hector Berlioz qui disait de lui :
« Il était persuadé que l’expression musicale est une fleur suave, délicate et rare, d’un parfum exquis, qui ne fleurit point sans culture et qu’on flétrit d’un souffle ; qu’elle ne réside pas dans la mélodie seulement, mais que tout concourt à la faire naître ou à la détruire : la mélodie, l’harmonie, les modulations, le rythme, l’instrumentation, le choix des registres graves ou aigus des voix et des instruments, le degré de vitesse ou de lenteur de l’exécution, et les diverses nuances de force dans l’émission du son. »
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David Douillet, né le 17 février 1969 à Rouen (Seine-Maritime), est un judoka et homme politique français.
Il est l'un des judokas français les plus titrés de l'histoire. Il évoluait dans la catégorie des « poids lourd », la plus massive en judo. Son palmarès compte deux titres olympiques obtenus en 1996 à Atlanta et 2000 à Sydney. Il est aussi quadruple champion du monde et champion d'Europe. Certaines de ses récompenses ont également été remportées en « toutes catégories », où aucune limite de poids n'est imposée.
Ses performances et son association avec l'opération caritative « Les Pièces Jaunes » en font une personnalité populaire pendant et après sa carrière ; il est à deux reprises la personnalité préférée des Français. Reconverti en homme d'affaires, puis en consultant sportif pour le groupe Canal+, il se rapproche progressivement du milieu politique. En 2009, il obtient de premières responsabilités au sein de l'UMP dont il intègre le bureau exécutif. À la fin de cette même année, lors d'une législative partielle organisée en raison de la déchéance de Jacques Masdeu-Arus, il est élu député dans la 12e circonscription des Yvelines.
Le 29 juin 2011, il est nommé secrétaire d’État chargé des Français de l'étranger. Le 26 septembre suivant, Chantal Jouanno ayant démissionné, il est nommé ministre des Sports. Il est réélu député lors des élections législatives de 2012 et battu à celles de 2017.
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Léon Gambetta, né le 2 avril 1838 à Cahors et mort le 31 décembre 1882 à Sèvres, était un homme d’État français. Il est l'une des personnalités politiques les plus importantes des premières années de la Troisième République française.
Avocat, opposant au Second Empire, élu député en 1869, il défend le « programme de Belleville », qui est assez radical (extension des libertés publiques, séparation des Églises et de l’État, vote de l'impôt sur le revenu, élection des fonctionnaires, suppression des armées permanentes, etc.).
Le 4 septembre 1870, après la défaite de Sedan et depuis l'hôtel de ville de Paris, il proclame le retour de la République. Le 7 octobre suivant, ministre de l'Intérieur du gouvernement de la Défense nationale, il quitte en ballon la capitale, assiégée par les troupes prussiennes, afin d'organiser les combats en province.
Après le traité de Francfort, il contribue à la pérennisation du régime républicain. Devenu une figure des républicains modérés, il est président de la Chambre des députés de 1879 à 1881, puis président du Conseil et ministre des Affaires étrangères pendant deux mois entre 1881 et 1882, sous la présidence de Jules Grévy, avec qui son inimitié est de notoriété publique.
Léon Gambetta meurt moins d'un an après avoir quitté la tête du gouvernement, à l'âge de 44 ans.
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