Monde : France
Le Service du travail obligatoire (STO) fut, durant l'occupation de la France par l’Allemagne nazie, la réquisition et le transfert vers l'Allemagne de centaines de milliers de travailleurs français contre leur gré, afin de participer à l'effort de guerre allemand que les revers militaires contraignaient à être sans cesse grandissant (usines, agriculture, chemins de fer, etc.). Les personnes réquisitionnées dans le cadre du STO étaient hébergées, accueillies dans des camps de travailleurs localisés sur le sol allemand. Il fut instauré par la loi du 16 février 1943, faisant suite au relatif échec des politiques de volontariat et du système dit de Relève, qui aboutit à la présence en 1942, de 70 000 travailleurs venus de France en Allemagne, très en deçà des exigences de l'occupant.
L'Allemagne nazie imposa au gouvernement de Vichy la mise en place du STO, pour essayer de compenser le manque de main-d'œuvre dû à l'envoi d'un grand nombre de soldats allemands sur le front de l'Est, où la situation ne cessait de se dégrader. De fait, les travailleurs français sont les seuls d'Europe à avoir été requis par les lois de leur propre État et non par une ordonnance allemande. C'est une conséquence indirecte de la plus grande autonomie négociée par le gouvernement de Vichy comparativement aux autres pays occupés, qui ne disposaient plus de gouvernement propre.
L'exploitation de la main-d'œuvre française par le Troisième Reich a concerné des travailleurs obligatoires (les requis du STO), des travailleurs volontaires attirés par la rémunération ou « prélevés » dans les entreprises dans le cadre de la Relève ainsi que les prisonniers de guerre. Un total de 600 000 à 650 000 travailleurs français fut acheminé vers l'Allemagne entre juin 1942 et juillet 1944 auquel s'ajoutait la partie des soldats prisonniers retenus de force dans le pays, dont le nombre initial s'élevait à 1 850 000 hommes. Les travaux de recherche citent le chiffre de 1 500 000 Français — prisonniers, réquisitionnés du STO, volontaires — qui auraient travaillé en Allemagne entre 1942 et 1945. La France fut le troisième fournisseur de main-d'œuvre forcée du Reich après l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) et la Pologne et fut le pays qui lui donna le plus d'ouvriers qualifiés.
Les requis ont fait partie jusque dans les années 1970 des oubliés de la Seconde Guerre mondiale, concurrencés sur le plan mémoriel par d'autres victimes de guerre, qui avaient été plus héroïques ou plus victimes qu'eux, notamment les prisonniers de guerre français, les déportés politiques et les victimes de la Shoah. Les premiers travaux de recherche sur la réquisition pour le travail ne sont lancés au Centre national de la recherche scientifique (CNRS) que dans les années 1970 et ne se développeront que dans les années 1990. Les STO ont parfois dû faire face au reproche de n'avoir pas désobéi et d'être partis renforcer le potentiel de la main-d'œuvre du Troisième Reich.
Au moment de leur rapatriement en France, les requis tiennent à être considérés comme des déportés du travail mais la concurrence mémorielle explique qu'ils se voient interdire l'utilisation de cette dénomination. Après une longue bataille parlementaire et judiciaire, les associations d'anciens « requis du travail obligatoire » obtiennent, par décret du 16 octobre 2008, la dénomination officielle de « victimes du travail forcé en Allemagne nazie » mais celle de « déportés du travail » leur est refusée le 28 mars 2011 par la Cour de Cassation
Louis XV, dit « le Bien-Aimé », né le 15 février 1710 à Versailles et mort le 10 mai 1774 dans la même ville, est un roi de France et de Navarre. Membre de la maison de Bourbon, il règne sur le royaume de France du 1er septembre 1715 à sa mort. Il est le seul roi de France à naître et mourir au château de Versailles.
S'il est surnommé le « Bien-Aimé » en début de règne, l'appréciation du peuple évolue par la suite. À la fin de son règne, il reste aimé dans la plupart des régions de France mais est très impopulaire à Paris, à tel point que sa mort donnera lieu à des fêtes joyeuses dans la capitale.
Orphelin à l'âge de deux ans, duc d'Anjou puis dauphin de France du 8 mars 1712 au 1er septembre 1715, il succède à son arrière-grand-père Louis XIV à l'âge de cinq ans. La régence est exercée par le duc d'Orléans qui doit faire casser le testament de son oncle Louis XIV pour s'imposer, en contrepartie de l'octroi du droit de remontrance au Parlement. Ce droit affaiblit le règne de Louis XV.
Sacré en 1722, ce dernier maintient le duc d'Orléans comme premier ministre jusqu'à sa mort, l'année suivante. Le duc de Bourbon lui succède de décembre 1723 à juin 1726, puis c'est son ancien précepteur, le cardinal de Fleury de juin 1726 à janvier 1743, sous le gouvernement duquel la France prospère et s’agrandit des duchés de Lorraine et de Bar. Sur le plan administratif, la gestion des finances est renforcée. Toutefois, la volonté de faire de la bulle Unigenitus une loi d’État conduit à la confrontation avec les parlements très imprégnés de jansénisme.
À la mort du ministre Fleury, en 1743, Louis XV gouverne seul. Unique survivant de la famille royale à proprement parler (il est le seul arrière-petit-fils de Louis XIV vivant en France), marié à la fille d'un roi de Pologne détrôné, Louis XV est isolé à la tête de l'État, intelligent mais très secret. L'absolutisme de droit divin fait face, d'une part, à l'opposition des parlements qui affirment, à la suite de Le Paige, que leur corps a une ancienneté et, partant, une autorité égale, voire supérieure à celle du roi : en 1763, leur force se manifeste lorsqu'ils obtiennent l'expulsion des jésuites de France, alors qu'un parti dévot et aristocratique souhaite contrôler davantage la monarchie.
Pour diriger l'État, Louis XV s’appuie sur quelques secrétaires d’État et ministres, quelques Conseils ainsi qu’un nombre restreint de hauts fonctionnaires, dont le plus important est Choiseul. Cette machinerie administrative est renforcée par la création des premières grandes écoles masculines d'Etat (École royale de la Marine du Havre, École nationale des ponts et chaussées, École royale du génie de Mézières). Elle relègue la noblesse traditionnelle et les corps locaux, ce qui coupe la monarchie de ses relais traditionnels, dans une France que transforme aussi l'administration économique, sous l'influence de la physiocratie naissante. L'aristocratie et une partie du clergé sont donc nostalgiques d'une monarchie d'équilibre, tempérée par des corps intermédiaires et une morale chrétienne (conforme aux écrits de Fénelon qui ont une grande influence y compris sur le roi lors des traités de paix). Dans la société urbaine, la philosophie des Lumières conteste également son absolutisme tout en s'opposant à l'emprise de l'Église.
Progressivement, l'image du souverain se désacralise et sa gestion de l'État est contestée.
Sur un plan religieux et moral, n'étant pas philosophiquement un libertin, le roi se sent coupable de ses infidélités conjugales. Sous la pression du clan des dévots, manifeste lors de l'épisode de Metz, il finit par ne plus communier, ni pratiquer les rituels thaumaturgiques des rois de France, ce qui entraîne la désacralisation de la fonction royale et une rupture avec son fils, le dauphin.
De plus, sur le plan diplomatique, le royaume voit sa situation, excellente en début de règne, s'affaiblir, ce qui entraîne un coût militaire et fiscal important. D'abord attaché à la paix appuyée sur un pacte de famille (une Europe des Bourbon) le roi doit faire face à la montée de la Prusse de Frédéric II et à celle de la Russie qui s’affirment comme des puissances européennes, face à une Autriche qui doit lutter pour conserver sa place. Enfin, la Grande-Bretagne où le roi abandonne l'idée de restaurer les Stuart catholiques devient une puissance maritime et coloniale rivale à la France ce qui pousse son chancelier Choiseul à préparer une guerre à laquelle il répugne.
Cela vaut au royaume d'être impliqué dans deux conflits majeurs : la guerre de Succession d'Autriche qui est militairement bien conduite mais ne débouche sur aucun gain diplomatique et la couteuse guerre de Sept Ans. Les engagements ont lieu dans les Pays Bas, en Allemagne ou sur mer. Sur les océans, l’Angleterre déploie une flotte alors sans égale qui soutient sa politique vigoureuse d’expansion outre-mer. La France connaît quelques succès militaires sur le continent européen et parvient à s'étendre en Corse. Elle perd en revanche, le contrôle d'une grande partie de son empire colonial (Nouvelle-France en Amérique, Indes).
Le roi doit alors faire face aux remontrances fiscales des parlements, qu'il finit par briser en 1771 en les faisant réformer par son chancelier Maupeou. Cette opposition et celle d’une partie de la noblesse de la cour, sa relation avec Madame de Pompadour, puis l'hostilité du nouveau dauphin envers sa dernière maitresse Madame du Barry, sa difficulté à se faire valoir à une époque où l’opinion publique (essentiellement alors parisienne) commence à compter, ses hésitations entre fermeté et laisser-faire, qui donnent lieu à des changements de stratégie brusques finit par le rendre très impopulaire. Sa mort — de la variole — provoque des festivités dans Paris, comme il y en avait eu à la mort de Louis XIV.
Sous une apparente stabilité, son règne est celui d'une mutation silencieuse. Les arts sont florissants, notamment la peinture, la sculpture, la musique et les arts décoratifs. L'architecture française atteint un de ses sommets, tandis que les arts décoratifs (meubles, sculptures, céramiques, tapisserie, etc.) appréciés, tant en France que dans les cours européennes, connaissent une forte expansion. Mais, c'est surtout en philosophie et en politique, que les mutations des Lumières s'affirment et entraînent de profondes mutations à partir de 1750.
Félix Faure, né le 30 janvier 1841 à Paris et mort le 16 février 1899 dans la même ville, est un homme d'État français. Il est président de la République du 17 janvier 1895 à sa mort.
Issu d'une famille modeste, il entame une carrière de tanneur, avant de devenir un riche négociant en cuir. Progressivement, il entre en politique, œuvrant d'abord à l'échelon local, dans la ville du Havre, avant d'être élu député de la Seine-Inférieure à quatre reprises, siégeant parmi les Républicains modérés à la Chambre des députés.
Désigné ministre de la Marine par Charles Dupuy en 1894, il est élu, quelques mois plus tard, président de la République grâce à l'appui des monarchistes et des modérés ligués contre la candidature d'Henri Brisson, du centre-gauche. Sa présidence est d'emblée marquée par l'affaire Dreyfus, qui divise la France en deux camps résolument opposés.
Les circonstances de sa mort, survenue brutalement au palais de l'Élysée quatre ans seulement après son élection et alors qu'il se trouvait en compagnie de sa maîtresse Marguerite Steinheil, sont passées à la postérité.
Muriel Moreno, nom de scène de Muriel Laporte, née le 24 janvier 1963 à Chinon (Indre-et-Loire), est une chanteuse, auteur-compositeur, productrice et DJ française, connue pour avoir été la chanteuse du groupe Niagara entre 1984 et 1993.
Biographie
Époque Niagara
Muriel Denise Francine Laporte grandit à Chinon jusqu'à ses 10 ans environ avant de déménager à Nantes. Son père est notaire et sa mère est professeur de sciences naturelles au lycée. À 13 ans, elle lit déjà Simone de Beauvoir ou Benoîte Groult. Elle fait des études littéraires puis s'oriente en histoire de l'art à Rennes, où elle obtiendra une maîtrise avec mention. C'est en 1981 qu'elle y rencontre Daniel Chenevez. Muriel devient chanteuse au sein du groupe Les Espions, groupe éphémère, puis L'Ombre Jaune avec Daniel Chenevez aux claviers et José Tamarin à la guitare. Ils font leur premier concert puis une apparition aux Rencontres Trans Musicales fin 1982 suivie d’une performance dans la région. Muriel sera parallèlement DJ à Rennes tout en continuant ses études.
L’Ombre Jaune devient Niagara (en référence au film d’Henry Hathaway avec Marilyn Monroe, Moreno étant l'anagramme de Monroe) et propose ses chansons au jury rennais de « Coups de talents dans l’Hexagone », une opération du ministère de la Culture qui permet de financer l’enregistrement de jeunes artistes. Ils entrent en studio pour enregistrer leur premier single, signent chez Polydor et Tchiki Boum sort en septembre 1985, titre diffusé dans les médias. Avec cette chanson, les Niagara trouvent le succès. José Tamarin quitte le groupe en 19863. L'Amour à la plage, leur 2e single, sort en mai 1986 et devient l'un des tubes de l’été. Le duo s’installe à Paris. En octobre 1986, le single Je dois m’en aller installe Muriel dans le rôle d’une femme sexy à la Barbarella. Le premier album Encore un dernier baiser sort en novembre 1986 suivi par le tube Quand la ville dort. Le groupe passe à l’Olympia au printemps 1987 et fait une première tournée française.
L'album Quel Enfer ! arrive en avril 19886. Muriel Moreno se présente sous un nouveau look avec une chevelure rouge flamboyant et arbore de nombreux chapeaux extravagants. Assez !, Soleil d’hiver et Flammes de l’Enfer figurent au top 50 et Niagara part en tournée en 1989 passant par le Maroc, la Tunisie, le Canada et les États-Unis (New York et Chicago).
Un nouvel album, Religion, sort en avril 1990 avec des titres comme J'ai vu, Pendant que les champs brûlent, Psychotrope et La vie est peut-être belle. Niagara repart sur la route pour un « Religion Tour ».
En 1992, le duo retourne pourtant en studio pour La Vérité, la plus grosse production de Niagara (La fin des étoiles, Un million d’années, Le Minotaure). Niagara est en Suède quand Muriel Moreno devient totalement aphone. Le reste de la tournée européenne est annulé. Elle redémarre quelques semaines plus tard en France pour se terminer à Montréal. De retour dans le sud de la France, Niagara donne un dernier concert.
Carrière solo
En 1994, Muriel Moreno installe un studio dans sa maison du 11e arrondissement de Paris, où elle travaille seule sur des titres personnels : textes, musique, programmation, production. Le 10 mai 1996, elle sort Toute seule, un album intimiste dont sont extraits les singles Près du lac vert et Tout va bien si j’évite d’y penser avec un premier vidéo-clip. Elle compose la musique des films Thérapie russe, en 1997, et Locked in the Syndrom, en 1998. Elle retourne à la Schola Cantorum, puis au CIM (école de jazz), où elle apprend la batterie.
Elle se lance dans l’electro minimaliste. Novice en musique électronique, elle réalise l'album Required Elements, qui sort en mars 2000 dans quinze pays, et le simple You Can’t Get Rid of It est classé en Angleterre. Divers artistes collaborent au mixage des morceaux comme Yarol Poupaud et Alexkidc. Surviving the Day sort en mars 2001 dans dix-huit pays. Muriel Moreno devient également DJ.
Muriel Moreno rencontre Marc Collin, auteur de l’opus Nouvelle Vague, qui s’est vendu à un million d’exemplaires dans le monde. De leur rencontre naît le groupe Dynamo et un premier simple River of No Return, sorti en 2004 avec le retour de Muriel Moreno comme chanteuse. Le deuxième titre, I Wish I Was a Boy (style new wave techno), est le titre principal de la bande originale du film Riviera. Le groupe sort, en janvier 2006, un troisième titre dance Bark Like a Dog.
Après des réalisations mineures, Muriel Moreno met un terme à sa carrière musicale en 2010.
Après la musique
Depuis 2010, elle a cessé son activité de DJ pour se lancer dans le fitness, suivant une formation à l’Institut des métiers de la forme pour devenir professeur de yoga et d'exercices corporels (méthode Pilates) exerçant dans plusieurs clubs de Paris et de sa région
Hervé Edwy Plenel, dit Edwy Plenel, né le 31 août 1952 à Nantes, est un journaliste politique français.
Militant trotskiste dans les années 1970, il est tout d'abord journaliste à Rouge, l'hebdomadaire de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR). Quelques années plus tard, il s'éloigne de l'extrême gauche et entre au service Éducation du Matin de Paris, puis au journal Le Monde en 1980.
D'abord spécialiste des questions d'éducation, il devient « rubricard police » et s'y fait remarquer par ses enquêtes. Ses révélations sur la plupart des affaires de la présidence de François Mitterrand feront de lui une figure du journalisme d'investigation à la française, critique des différents pouvoirs. Principal animateur de la nouvelle formule du Monde apparue en 1995, il est directeur de la rédaction de 1996 à 2004, année de sa démission de ce poste dans un contexte de crise provoqué par la publication en 2003 de La Face cachée du « Monde », livre critique vis-à-vis de la direction du journal.
Depuis 2008, il est président et cofondateur du site web d'information Mediapart.
Chocolat: très mauvaise nouvelle pour tous les gourmands les prix vont exploser
Découvrez comment la pénurie et l'envolée des prix du cacao menace et impacte grandement le prix du chocolat en France. Vous êtes un grand fan de chocolat ? Si la réponse est oui, vous avez sans doute remarqué la hausse de prix de nombreux produits cultes. Et oui, une pénurie de cacao en est responsable.
La pénurie de cacao impacte le marché du chocolat Ce n’est plus un secret pour personne. Depuis quelques mois, les prix du cacao ont grimpé en masse. En effet, ils ont atteint leur pic depuis près d’un demi-siècle. Ce n’est donc pas rien.
La raison de cette hausse de prix sur le cacao, et donc le chocolat ? Cette flambée des prix est attribuée en grande partie à une mauvaise récolte dans des pays producteurs majeurs.
Le Ghana et la Côte d’Ivoire notamment ont eu de très petites récoltes. La France n’a donc pas pu échapper à cette pénurie. Depuis, le pays a eu beaucoup de mal à se fournir en cacao pour faire son chocolat.
La progression constante des prix du cacao se poursuit donc. Actuellement, elle culmine à 5 874 et 5 386 dollars la tonne respectivement sur les marchés de Londres et de New York. Un signal d’alarme qui inquiète tous les fans de chocolat.
La grosse baisse de la production dans des nations clés comme le Ghana et la Côte d’Ivoire n’est donc pas à négliger. Entraînée par des conditions climatiques très mauvaises, il est dur de trouver des solutions.
Sans surprise. Ces deux pays ont à eux deux environ 60 % des productions de cacao au niveau mondial.
Cette crise du cacao suscite donc une certaine panique chez les chocolatiers. Cela dans le monde entier. Et pour cause… Les dernières rumeurs annoncent une pénurie prolongée de cette matière première essentielle.
Des ruptures de stock et une inflation des prix à prévoir
Avec une offre de cacao de plus en plus rare et coûteuse, les temps sont durs. Les signes de perturbation sur le marché du chocolat se font d’ailleurs beaucoup sentir.
Pour commencer, les stocks achetés à des prix plus bas, bien en deçà des tarifs actuels du cacao, s’épuisent très vite dans de nombreux magasins. Mais ce n’est pas tout.
Cette situation laisse présager de gros défis pour les adeptes de chocolat. Sont prévus des hausses potentielles des prix et même des ruptures de stock dans les rayons des supermarchés.
En effet, si la crise persiste, les tablettes de chocolat pourraient devenir un luxe qui ne sera plus accessible à tous. Une très mauvaise nouvelle donc.
De plus, le futur du chocolat semble assombri par les prévisions de l’Organisation internationale du cacao (ICCO). Elle annonce une baisse prévue de la production mondiale en fèves de cacao pour l’année à venir.
La réunion récente du groupe de travail d’experts de l’ICCO a révélé une grande baisse des stocks de fèves en Côte d’Ivoire et au Ghana au cours des deux dernières années seulement. Cette tendance très inquiétante laisse entrevoir des temps difficiles pour les amateurs de chocolat à travers le monde entier.
Il va donc être compliqué d’éviter la pénurie et l’inflation des prix sur le long terme. En effet, l’envolée des prix du cacao présage des jours incertains pour les amoureux du chocolat en France.
Alors que les conséquences de cette crise se font déjà sentir sur le marché en France, il est temps de savourer chaque bouchée de chocolat, car qui sait ce que l’avenir réserve à cette délicieuse gourmandise chocolatée. Affaire à suivre donc…
Georges Ernest Jean-Marie Boulanger, né le 29 avril 1837 à la Caliorne à Rennes (France) et mort le 30 septembre 1891 à Ixelles (Belgique), est un officier général et homme politique français. Ministre de la Guerre en 1886, il est notamment connu pour avoir ébranlé la Troisième République, porté par un mouvement nommé « boulangisme ».
Charles de Habsbourg, né le 24 février 1500 à Gand (comté de Flandre) et mort le 21 septembre 1558 au monastère de Yuste (Espagne), élu en 1520 empereur sous le nom de Charles V, couramment en français Charles Quint, fils de Philippe le Beau et de Jeanne la Folle, héritier par son père des possessions de la maison de Habsbourg (royaume de Hongrie, royaume de Bohême, archiduché d'Autriche, etc.) ainsi que des dix-sept provinces des Pays-Bas et de la Franche-Comté, par sa mère des royaumes de Castille et d'Aragon (sous le nom de Charles Ier) et de l'empire colonial espagnol, ainsi que du royaume de Naples (Charles II), est le monarque européen le plus puissant de la première moitié du xvie siècle.
Cette accumulation de territoires et de pouvoirs est en partie le résultat du hasard (la mort de sa tante, Isabelle d'Aragon, princesse des Asturies, en 1498, puis du fils de cette dernière, l'infant Miguel de la Paz, en juillet 1500, ont fait de sa mère l'héritière des deux couronnes espagnoles), mais surtout le résultat d'une politique délibérée d'alliances matrimoniales qui a fait de lui l'héritier de quatre dynasties : petit-fils de la duchesse Marie de Bourgogne, de Maximilien d'Autriche, d'Isabelle la Catholique, reine de Castille, et de Ferdinand le Catholique, roi d'Aragon et de Naples, il est duc de Bourgogne sous le nom de Charles II, roi des Espagnes sous le nom de Charles Ier (en espagnol Carlos I), mais est surtout passé à la postérité comme l'empereur romain germanique Charles V (en allemand Karl V.).
Il apparaît comme le dernier empereur qui ait souhaité réaliser le rêve carolingien d'un empire à la tête de la chrétienté unie. Cette volonté d'unité chrétienne face à la progression de l'Empire ottoman dans les Balkans et en Méditerranée a été systématiquement combattue par les rois de France François Ier et Henri II, qui recherchent volontiers l'alliance turque, et remise en cause par la Réforme protestante, initiée par Martin Luther à partir de 1517. À ces problèmes qui se posent pendant tout son règne s'ajoutent des révoltes en Castille, dans le Saint-Empire, en Flandre et en Brabant.
Au terme d'une vie de combats, miné physiquement et désabusé par ses échecs face à la France, aux luthériens et à sa propre famille, il se dépouille volontairement de ses pouvoirs. Par une série de conventions avec son frère Ferdinand, il lui cède les États autrichiens et la dignité impériale. Le 25 octobre 1555, à Bruxelles, il abdique ses droits sur les Pays-Bas, unis par la Pragmatique Sanction (1549) et séparés de l'Empire par la transaction d'Augsbourg, en faveur de son fils Philippe, déjà duc de Milan et roi de Naples, et lui cède enfin ses droits sur l'Espagne en 1556. Il se retire alors dans le Monastère de Yuste pour ses dernières années de vie. Il y meurt le 21 septembre 1558, âgé de 58 ans. Ses restes sont transférés en 1574 de ce monastère à la nécropole royale de l'Escurial, édifiée par son fils Philippe à 40 km de Madrid.
Disciplines au programme des Jeux de Paris
Athlétisme
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Aviron |
Badminton |
Basket-ball • 5 × 5 • 3 × 3 |
Boxe |
Breakdance |
Canoë-kayak • Course en ligne • Slalom |
Cyclisme • Cyclisme sur route • Cyclisme sur piste • VTT • BMX |
Équitation • Saut d'obstacles • Dressage • Concours complet |
Escalade |
Escrime |
Football |
Golf |
Gymnastique • Gymnastique artistique • Gymnastique rythmique • Trampoline |
Haltérophilie |
Handball |
Hockey sur gazon |
Judo |
Lutte • Libre • Gréco-romaine |
Sports aquatiques • Natation sportive • Plongeon • Natation artistique • Water-polo |
Pentathlon moderne |
Rugby à sept |
Skateboard |
Surf |
Taekwondo |
Tennis |
Tennis de table |
Tir • Carabine • Pistolet • Tir aux plateaux |
Tir à l'arc |
Triathlon |
Voile |
Volley-ball • En salle • Beach-volley |
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Marie Payet, née le 17 août 1992 à La Réunion, est un mannequin et une chanteuse qui a été élue Miss Réunion 2011 et deuxième dauphine de Miss France 2012, Delphine Wespiser.
Elle représente la France au concours international Miss Univers 2012, le 19 décembre 2012 à Las Vegas, compétition où elle parvient en finale et termine 6ème.
En 2008, alors âgée de 16 ans, Marie Payet est élue Elite Model Look Réunion.
Elle se présente en 2011 à l'élection de Miss Réunion, concours qu'elle remporte à la suite d'un show télévisé par Antenne Réunion le 16 juillet 2011.
Marie représente donc La Réunion à l'élection de Miss France 2012 où elle termine 2e dauphine de Delphine Wespiser.
Passionnée de chant depuis son plus jeune âge, Marie Payet rêvait de devenir chanteuse. Ce rêve se réalise à la suite d'une collaboration avec Bernard Joron, leader du groupe réunionnais Ousanousava, qui écrit pour elle une chanson intitulée Fleur Créole.
Depuis l'été 2012, elle co-anime avec un présentateur de l'île de la Réunion, Stéphane (Christophe) Bégert, un jeu télévisé Tout le monde joue diffusé tous les soirs de la semaine sur Antenne Réunion.
Elle est devenue très amie avec Delphine Wespiser. Elles ont notamment fait un voyage à l'île Maurice à la fin du mois de juin 2012.
À cause du calendrier, Delphine Wespiser ne peut pas concourir à Miss Univers, puisqu'au début du mois de décembre, la Miss France doit être auprès des futures candidates. La directrice de la société Miss France a donc décidé d'envoyer sa deuxième dauphine. L'élection a lieu à l'hôtel Planet Hollywood Resort and Casino à Las Vegas au Nevada. Chloé Mortaud et Alexandra Rosenfeld ont fait le déplacement pour la soutenir tandis que Sylvie Tellier commentera l'élection en direct sur Paris Première.
Bien cotée par les bookmakers, Marie Payet se classe parmi les 10 finalistes de l'élection Miss Univers 2012.
Discographie
Single
2012 : Fleur Créole