Procès
Le 14 octobre 1793, Marie-Antoinette comparaît devant le Tribunal révolutionnaire, mené par l’accusateur public Fouquier-Tinville. Si le procès de Louis XVI devant la Convention avait conservé quelques formes de procès équitable, ce n’est pas le cas de celui de la reine déchue. Le dossier est monté très rapidement, il est incomplet, Fouquier-Tinville n’ayant pas réussi à retrouver toutes les pièces de celui de Louis XVI. Pour charger l’accusation, il parle de faire témoigner le dauphin contre sa mère qui est alors accusée d’inceste par Jacques-René Hébert. Il déclare que l'ancienne reine de France et Mme Élisabeth ont eu des attouchements sur le jeune Louis XVII. Marie-Antoinette ne répond rien et un juré en fait la remarque. Marie-Antoinette se lève et répond « Si je n’ai pas répondu c’est que la nature elle-même refuse de répondre à une telle accusation faite à une mère. J’en appelle à toutes celles qui peuvent se trouver ici ! ». Pour la dernière fois, la foule (et surtout les femmes) applaudit la reine déchue. Une fois la séance terminée, celle-ci demande à son avocat « N’ai je pas mis trop de dignité dans ma réponse ? ». Selon Gaspard Louis Lafont d'Aussonne dans ses mémoires publiés en 1824, des personnes dans la foule dirent le matin du jugement « Marie-Antoinette s'en retirera : elle a répondu comme un ange, on ne fera que la déporter ».
On l’accuse également d’entente avec les puissances étrangères. Comme l'ancienne reine nie, Herman, président du Tribunal, l’accuse d’être « l’instigatrice principale de la trahison de Louis Capet » : c’est donc bien un procès pour haute trahison. Le préambule de l’acte d’accusation déclare également : « Examen fait de toutes les pièces transmises par l’accusateur public, il en résulte qu’à l’instar des Messaline, Frédégonde et Médicis, que l’on qualifiait autrefois de reines de France et dont les noms à jamais odieux ne s’effaceront pas des fastes de l’histoire, Marie-Antoinette, veuve de Louis Capet, a été, depuis son séjour en France, le fléau et la sangsue des Français. » Il ajoute « la cause des troubles qui agitent depuis quatre ans la nation et ont fait tant de malheureuses victimes. »
Les dépositions des témoins à charge s’avèrent bien peu convaincantes. Marie-Antoinette répond qu’elle n’était « que la femme de Louis XVI, et qu’il fallait bien qu’elle se conform[ât] à ses volontés ». Fouquier-Tinville réclame la mort et fait de l’accusée « l’ennemie déclarée de la nation française ». Les deux avocats de Marie-Antoinette, Tronçon-Ducoudray et Chauveau-Lagarde, prévenus au dernier moment et n’ayant ainsi pas eu le temps de prendre pleine connaissance du dossier, ne peuvent que lire à haute voix les quelques notes qu’ils ont eu le temps de prendre.
Quatre questions sont posées au jury :
« 1. Est-il constant qu’il ait existé des manœuvres et des intelligences avec les puissances étrangères et autres ennemis extérieurs de la République, lesdites manœuvres et des intelligences tendant à leur fournir des secours en argent, à leur donner l’entrée du territoire français et à leur faciliter le progrès de leurs armes ?
2. Marie-Antoinette d’Autriche (…) est-elle convaincue d’avoir coopéré à ces manœuvres et d’avoir entretenu ces intelligences ?
3. Est-il constant qu’il ait existé un complot et une conspiration tendant à allumer la guerre civile à l’intérieur de la République ?
4. Marie-Antoinette est-elle convaincue d’avoir participé à ce complot et à cette conspiration ? »
Aux quatre questions, le jury répond « oui ». Lorsque le jury rend son verdict, il n’existe aucune preuve de l’accusation de haute trahison que l’on impute à la reine déchue. Le dossier est vide de toute pièce.
Techniquement, au vu des pièces du procès, la condamnation n’est pas basée sur des faits avérés. On apprit plus tard que l'ancienne reine entretenait une correspondance avec le comte Hans Axel de Fersen où il apparaît que l'Autriche et les monarchies d'Europe se préparaient à la guerre contre la France, ainsi lit-on dans une lettre du 19 avril 1792 adressée au comte que l'ancienne reine écrivait : « Les ministres et les jacobins font déclarer demain au roi la guerre à la maison d'Autriche, sous prétexte que par ses traités de l'année dernière elle a manqué à celui d'alliance de cinquante-six, et qu'elle n'a pas répondu catégoriquement à la dernière dépêche. Les ministres espèrent que cette démarche fera peur et qu'on négociera dans trois semaines. Dieu veuille que cela ne soit point et qu'enfin on se venge de tous les outrages qu'on reçoit dans ce pays-ci! »
La reine déchue, captive, n'était pour autant personnellement pas en mesure d'organiser ou d'ordonner directement quelque directive militaire que ce fût. Sa correspondance avec le comte de Fersen indique néanmoins qu'elle y incite par divers courriers.
En réalité, il fallait condamner la « veuve Capet ». Robespierre a donc intégré au jury le médecin qui soignait la reine à la Conciergerie, Joseph Souberbielle, lequel a indiqué aux autres jurés que de toute façon Marie-Antoinette était médicalement condamnée à brève échéance, car elle avait de forts épanchements sanguins.
La condamnation à mort, pour haute trahison, est prononcée le 16 octobre 1793 vers 4 heures du matin.
Dernière lettre de Marie-Antoinette
À l'annonce de la sentence, Marie-Antoinette rédige une dernière lettre à l'attention de Madame Élisabeth, sœur de Louis XVI.
Cette lettre, qui n'est jamais parvenue à sa destinataire, a été conservée par Robespierre, puis récupérée par le conventionnel Courtois, avant d'être saisie par Louis XVIII. Elle est aujourd'hui conservée dans « l'armoire de fer » des Archives nationales (cote AE/II/1384) et un fac-similé est exposé au Musée des Archives nationales.
Cette lettre, à usage privé, ne contient aucun message d'ordre politique. Marie-Antoinette l'a rédigée dans son cachot de la Conciergerie juste après l'annonce de sa condamnation. L'en-tête porte la mention « Ce 16 octobre, 4 heures 1/2 du matin. » Elle n'est pas signée et ne mentionne aucun nom propre même pas celui de sa destinataire la sœur de Louis XVI, qui partage la captivité des enfants royaux au Temple :
« C'est à vous, ma sœur, que j'écris pour la dernière fois ; je viens d'être condamnée non pas à une mort honteuse, elle ne l'est que pour les criminels, mais à aller rejoindre votre frère. Comme lui innocente, j'espère montrer la même fermeté que lui dans ces derniers moments. Je suis calme comme on l'est quand la conscience ne reproche rien ; j'ai un profond regret d'abandonner mes pauvres enfants ; vous savez que je n'existais que pour eux, et vous, ma bonne et tendre sœur, vous qui avez par votre amitié tout sacrifié pour être avec nous, dans quelle position je vous laisse ! J'ai appris par le plaidoyer même du procès que ma fille était séparée de vous. Hélas ! la pauvre enfant, je n'ose pas lui écrire, elle ne recevrait pas ma lettre, je ne sais même pas si celle-ci vous parviendra, recevez pour eux deux ici ma bénédiction. J'espère qu'un jour, lorsqu'ils seront plus grands, ils pourront se réunir avec vous, et jouir en entier de vos tendres soins. »
Malgré son exécution très proche et son isolement, Marie-Antoinette récuse d'avance toute assistance d'un prêtre assermenté qui aurait prêté le serment de fidélité à la Constitution civile du clergé condamnée par Rome :
« Je meurs dans la religion catholique, apostolique et romaine, dans celle où j'ai été élevée, et que j'ai toujours professée, n'ayant aucune consolation spirituelle à attendre, ne sachant pas s'il existe encore ici des prêtres de cette religion, et même le lieu où je suis les exposerait trop s'ils y entraient une fois. Adieu, adieu ! Je ne vais plus m'occuper que de mes devoirs spirituels. Comme je ne suis pas libre dans mes actions, on m'amènera peut-être un prêtre, mais je proteste ici que je ne lui dirai pas un mot, et que je le traiterai comme un être absolument étranger. »
Celle qui vient de vivre seule une captivité de deux mois et demi, sans pouvoir communiquer avec ses enfants, tente de leur faire passer ses dernières recommandations. Sa préoccupation essentielle concerne l'état d'esprit dans lequel ses enfants assumeront la mort de leurs parents, dans leur vie à venir dont elle ne veut pas douter, alors que le dauphin mourra en captivité. Sans un mot de plainte ni de regret, Marie-Antoinette ne songe plus qu'à laisser un héritage spirituel à ses enfants :
« Qu'ils pensent tous deux à ce que je n'ai cessé de leur inspirer : que les principes et l'exécution de leurs devoirs sont la première base de la vie ; que leur amitié et leur confiance mutuel en fera le bonheur ; […] qu'ils sentent enfin tous deux que, dans quelque position où ils pourront se trouver, ils ne seront vraiment heureux que par leur union, qu'ils prennent exemple de nous : combien dans nos malheurs, notre amitié nous a donné de consolations, et dans le bonheur on jouit doublement quand on peut le partager avec un ami ; et où en trouver de plus tendre, de plus cher que dans sa propre famille. »
Elle donne un dernier conseil : « Que mon fils n'oublie jamais les derniers mots de son père que je lui répète expressément, qu'il ne cherche jamais à venger notre mort. ».
Plus loin, elle écrit : « Je pardonne à tous mes ennemis le mal qu'ils m'ont fait. Je dis ici adieu à mes tantes et (mots rayés) et à tous mes frères et sœurs. » Resteront sans doute de cette lettre retrouvée en 1816 ces mots : « Mon Dieu ayez pitié de moi ! Mes yeux n'ont plus de larmes pour pleurer pour vous mes pauvres enfants. Adieu, Adieu ! »
Exécution et inhumation
Marie-Antoinette est exécutée le même jour à midi et quart. Le matin du 16 octobre, Marie-Antoinette est menée, mains entravées et sur une charrette — alors que Louis XVI avait eu droit à un carrosse —, de la Conciergerie, jusqu'à la place de la Révolution (ancienne place Louis-XV, actuelle place de la Concorde). D'après certains historiens, elle subit avec dignité les sarcasmes et les insultes lancés par la foule massée sur son passage (elle mettra une heure pour traverser la place et monter à l'échafaud)50. Le peintre et révolutionnaire Jacques-Louis David, observant le cortège depuis la rue Saint-Honoré, en dessine un croquis resté légendaire. Selon ces mêmes historiens, c'est avec courage qu'elle monte à l'échafaud. En marchant sur le pied du bourreau Sanson, elle lui aurait demandé pardon. Ce seront ses dernières paroles.
Selon une légende, ses cheveux auraient entièrement blanchi (phénomène connu sous le nom de « syndrome de Marie-Antoinette ») les jours suivant son retour de Varennes.
Le jour de son exécution, la reine déchue aurait trébuché et perdu un escarpin, récupéré par un fidèle et conservé actuellement au musée des beaux-arts de Caen. Cette chaussure a fait l'objet d'une exposition en 1989.
Tout comme pour Louis XVI, il est ordonné que les cerceuils des membres de la famille royale soient recouvertes de chaux. Marie-Antoinette est inhumée avec la tête entre les jambes dans la fosse commune de la Madeleine, rue d’Anjou-Saint-Honoré (Louis XVIII fera élever à cet endroit la chapelle expiatoire située de nos jours sur le square Louis-XVI, seul endroit de Paris portant encore le nom du roi). Ses restes et ceux de Louis XVI furent exhumés le 18 janvier 1815 et transportés le en la basilique de Saint-Denis.
« Le premier crime de la Révolution fut la mort du Roi, mais le plus affreux fut la mort de la Reine » dit Chateaubriand.
Le comte de Mollien relate les propos de Napoléon sur l'exécution de la reine déchue (tiré des Mémoires d'un Ministre du trésor public 1780-1815) :
« Si ce n'est pas un sujet de remords, ce doit être au moins un bien grand sujet de regret pour tous les cœurs français que le crime commis dans la personne de cette malheureuse reine. Il y a une grande différence entre cette mort et celle de Louis XVI, quoique, certes, il ne méritât pas son malheur. Telle est la condition des rois, leur vie appartient à tout le monde ; il n'y a qu'eux seuls qui ne peuvent pas en disposer ; un assassinat, une conspiration, un coup de canon, ce sont là leurs chances ; César et Henry IV ont été assassinés, l'Alexandre des Grecs l'eût été s'il eût vécu plus longtemps. Mais une femme qui n'avait rien que des honneurs sans pouvoir, une princesse étrangère, le plus sacré des otages, la trainer d'un trône à l'échafaud à travers tous les genres d'outrages! Il y a là quelque chose de pis encore que le régicide ! »
Personnalités barisiennes
Naissance à Bar-le-Duc.
Jean Crocq (xve siècle), sculpteur sur bois et pierre.
Jean III de Lorraine (1498-1550), cardinal, intime du roi François Ier.
Louis de Lorraine (1500-1528), évêque de Verdun, comte de Vaudémont.
Marie de Guise (1515-1560), Reine consort d’Écosse.
Gilles de Trèves (1515-1582), doyen de la collégiale Saint-Maxe et seigneur de Ville-sur-Saulx, dote Bar-le-Duc d’un collège qui porte son nom.
François de Guise (1520-1563), duc de Guise, duc d’Aumale, pair de France et grand maître de France, militaire et homme d’État.
Jean Errard (1554-1610), mathématicien et ingénieur militaire.
Didier Dounot (1574-1640), juriste et mathématicien.
Jacques Houzeau (1624-1681), sculpteur, membre de l'Académie royale.
Jean-Henry d'Anglebert (1629-1691), musicien claveciniste et compositeur.
Louis Joblot (1645-1723), naturaliste.
Rémy Ceillier (1688-1763), bénédictin, historien de l'Église catholique.
Pierre Parisot dit Père Norbert (1697-1769), frère mineur capucin.
Jean-Antoine Louis (1742-1796), fonctionnaire municipal de Strasbourg, député de la Convention nationale.
Nicolas Champion de la Meuse (1756-1815), homme politique de la Révolution et du Premier Empire.
Florentin Ficatier (1765-1817), général de la Révolution et de l’Empire.
Nicolas-Charles Oudinot (1767-1847), duc de Reggio, maréchal d'Empire.
Jean-Joseph Regnault-Warin (1773-1844), romancier et pamphlétaire.
Rémy Joseph Isidore Exelmans (1775-1852), maréchal de France.
François Augustin Caunois (1787-1859), sculpteur et médailleur.
Frédéric Lanthonnet (1788-?), militaire, maréchal de camp.
Charles-Louis Moreau (1789-1872), homme politique et avocat, président de la cour d'appel de Nancy, député de la Meurthe.
Nicolas-Charles-Victor Oudinot (1791-1863), duc de Reggio, général de division.
Charles Desaux (1797-1882), homme politique, député de la Meuse, né à Bar-le-Duc.
Adolphe Moreau (1802-1879), homme politique, député de la Meuse.
Gaspard Launois (1806-1886), homme politique, député de la Meuse.
Émile Grignard (1807-1870), géomètre du cadastre puis fondateur et directeur de la Compagnie du chemin de fer de Lyon (la Croix-Rousse) au camp de Sathonay.
Edme Collot (1808-1860), homme politique, député de la Meuse.
Pierre Michaux (1813-1883), et son fils Ernest (1842-1882), inventeurs du vélocipède à pédales (michaudine).
Maurice de Vaines (1815-1872), artiste-peintre.
François Joseph Tronville (1817-1878), artiste-peintre.
Henri Bompard (1821-1906), homme politique et industriel dans la filature.
Henri de Beurges (1822-1912), homme politique.
Charles-Maurice de Moncets (1827-1096), général de brigade.
Claude Millon (1828-1887), homme politique et avocat, maire de Bar-le-Duc, député de la Meuse.
Edmond Laguerre (1834-1886), mathématicien, connu pour les polynômes qui portent son nom.
Auguste Vivenot (1835-1884), homme politique, sénateur de la Meuse.
Charles-Maurice Ernest Jacquelot de Moncets (1838-1906), général de division.
Albert Cim (1845-1924), romancier, critique littéraire et bibliographe.
Jules Develle (1845-1919), homme politique et avocat.
Marcel Hébert (1851-1916), philosophe.
Olivier Sainsère (1852-1923), homme politique et grand amateur d’art, collectionneur et mécène.
Jacques Onfroy de Bréville dit Job (1858-1931), dessinateur et illustrateur de livres d’enfants.
Georges Robineau (1860-1927), haut fonctionnaire, gouverneur de la Banque de France.
Raymond Poincaré (1860-1934), homme d'État, 10e Président de la République française de février 1913 à février 1920.
Pierre de Bréville (1861-1949), compositeur.
Émile Bréhier (1876-1952), écrivain, philosophe et historien.
Jules-Henri Desfourneaux (1877-1951), bourreau.
Marcel Ulrich (1880-1933), homme politique et ingénieur des mines.
Ernest Wickersheimer (1880-1965), bibliothécaire, directeur de la Bibliothèque nationale et universitaire de Strasbourg.
Henri Royer (1885-1974), architecte, a contribué à la reconstruction de Reims.
Marguerite Eberentz (1895-1973), résistante.
Maurice Parisot (1899-1944), résistant, chef du Bataillon de guérilla de l'Armagnac.
Pierre Camonin (1903-2003), organiste, compositeur et improvisateur.
André Grandvalet dit Ded Rysel (1903-1975), chansonnier et acteur.
Jean Driesbach dit Jean Dries (1905-1973), peintre.
Gaston Floquet (1917-2001), artiste plasticien et traducteur.
Jennifer (chanteuse) (1942-2015), chanteuse.
Christian Pierret (1946-), homme politique socialiste, ministre, député des Vosges et maire de Saint-Dié-des-Vosges.
Michel Bernard (1958-), écrivain.
Marie-Anne Frison-Roche (1959-), professeur de droit économique à Sciences Po.
Jean-Michel Corillion (1964-), réalisateur et chef-opérateur.
Didier Gustin (1966-), imitateur et acteur.
Jean-Philippe Doux (1972-), journaliste et chroniqueur de télévision.
Magali Humbert-Faure (1972-), coureuse cycliste française.
Sophie Thalmann (1976-), animatrice et mannequin, Miss France 1998.
Ludovic Hubler (1977-), entrepreneur social et écrivain-voyageur.
Anaïs Delva (1986-), chanteuse et comédienne.
Benjamin Compaoré (1987-), athlète, spécialiste du triple saut.
Claire Jacquet (1988-), athlète, spécialiste du canoë-kayak.
Félix Bour (1994-), athlète, spécialiste en athlétisme.
Autres personnalités liées à la ville
Liste de personnalités qui sont décédées, ont vécu ou ont fortement influencé la ville de Bar-le-Duc.
Jean-Louis Simien (1736-1803), général de brigade, mort à Bar-le-Duc.
Guillaume Latrille de Lorencez (1772-1855), général des armées de la Révolution et de l'Empire, mort à Bar-le-Duc.
Jean Landry Gillon (1788-1856), magistrat et homme politique, adjoint au maire de Bar-le-Duc, député de la Meuse, mort à Bar-le-Duc.
Laurent-Charles Maréchal (1801-1887), dessinateur, pastelliste et maître-verrier, considéré comme le chef de file de l'École de Metz, mort à Bar-le-Duc.
Ernest Bradfer (1833-1887), maître de forges, homme politique, maire de Bar-le-Duc, mort à Bar-le-Duc.
André Theuriet (1833-1907), poète, romancier, académicien, passa sa jeunesse à Bar-le-Duc où il situe l'action d'un grand nombre de ses romans.
Paul Lardin (1844-1942), manufacteur d'armes.
Wlodimir Konarski (1852-1906), graveur, conseiller de préfecture et historien, mort à Bar-le-Duc.
Éloi Ragon (1853-1908), abbé, helléniste et latiniste, mort à Bar-le-Duc.
Rudolf Diesel (1858-1913), ingénieur thermicien allemand et industriel, créateur en juin 1897 de la Société française des moteurs Diesel à combustion interne, dont le siège est à Bar-le-Duc.
Pol Chevalier (1861-1935), homme politique et avocat, maire de Bar-le-Duc, sénateur de la Meuse, mort à Bar-le-Duc.
Paul Henry Ferrette (1869-1933), homme politique, avocat et journaliste, conseiller municipal de Bar-le-Duc, député de la Meuse, mort à Bar-le-Duc.
Charles Aimond (1874-1968), prêtre catholique, écrivain, historien et musicien, mort à Bar-le-Duc.
Georges Bernanos (1888-1948), écrivain, séjourne à Bar-le-Duc en 1920 où il écrit son premier roman Sous le soleil de Satan.
Lucien Polimann (1890-1963), clerc et homme politique d'extrême droite, mort à Bar-le-Duc.
Gaston Thiébaut (1898-1982), homme politique, député de la Meuse, mort à Bar-le-Duc.
Jean Bernard (1923-2004), homme politique, maire de Bar-le-Duc, député de la Meuse.
Bertrand Pancher (1958-), homme politique, maire de Bar-le-Duc, député de la Meuse, président du conseil général de la Meuse.