Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
10.01.2025
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Culture locale et patrimoine
Une grande borne kilométrique de 5 mètres de hauteur représentant la Voie sacrée est visible à Érize-la-Petite. Elle fut érigée à l'occasion du Tour de France 2001 mais elle était à Lemmes quand les coureurs sont passés car c'est à cet endroit qu'il rejoignaient la Voie Sacrée après être partis de Verdun. Mais, ayant été construite par trois retraités dont un qui est un ancien maire et habitant d'Erize-la-Petite, la borne retrouva place dans le village quelques jours plus tard, sur la petite place devant la mairie.
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John Dos Passos (1896-1970), écrivains américain du xxe siècle.
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Renée de France, comtesse puis duchesse de Chartres, comtesse de Gisors et dame de Montargis, née à Blois le 25 octobre 1510, morte à Montargis le 12 juin 1574 est la fille cadette de Louis XII, roi de France, et d'Anne de Bretagne.
Belle-sœur de François Ier, tante d'Henri II et grand-tante de trois rois François II, Charles IX et Henri III, elle fut mariée à l'âge de 18 ans au duc Hercule II d'Este et passa trente-deux ans de sa vie en Italie à Ferrare.
Comme sa sœur aînée, Claude de France, fut mariée à François d'Angoulême, futur François Ier, elle aurait pu prétendre au trône ducal de Bretagne. Alors, tout fut fait pour l'éloigner, en la mariant au duc de Ferrare. La cour de Ferrare était alors l'une des plus brillantes d'Italie. Mais, si elle y attira beaucoup de Français, elle ne fit aucun effort pour apprendre l'italien.
Princesse acquise à la réforme protestante dès les années 1530, en dépit de l'hostilité de son mari le duc de Ferrare et de Modène, elle reçut en 1536 Jean Calvin, chef de la République théocratique de Genève, avec lequel elle entretint une correspondance. Lorsque son époux interdit en 1554 le calvinisme dans ses États, elle subit de fortes pressions pour l'abandon de ses opinions religieuses. Après la mort de son époux en 1559, elle s'installa en France à Montargis où elle fonda une église réformée. Elle y accueillit nombre de réfugiés protestants durant les guerres de Religion. Princesse éclairée de la Renaissance et femme de tempérance, elle s'opposa à la passion et l'intransigeance de ses coreligionnaires.
Sa fille Anne d'Este, grande dame de la cour de France, fut l'épouse du duc François de Guise, chef charismatique du parti catholique au moment des guerres de religion, puis, devenue veuve, l'épouse du duc de Nemours. Un autre de ses enfants, Luigi d'Este, devint cardinal.
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Jean II, dit « Jean le Bon », né le 26 avril 1319 au Mans et mort le 8 avril 1364 à Londres, fils du roi Philippe VI, est roi de France de 1350 à 1364, le deuxième de la dynastie des Valois. Il est particulièrement connu pour avoir été vaincu et fait prisonnier par le Prince Noir, fils d'Édouard III, à la bataille de Poitiers en 1356, au début de la guerre de Cent Ans.
La dynastie des Valois, qui règne sur la France à partir de 1328, à la place des Capétiens directs, est confrontée à une crise de la féodalité, à la Peste noire de 1348 et aux défaites du début de la guerre de Cent Ans, due aux prétentions du roi d'Angleterre Édouard III, petit-fils (par sa mère) de Philippe IV le Bel, qui conteste l'attribution de la couronne à un cousin, Philippe de Valois, petit-fils de Philippe III. Les deux premiers Valois, incapables de faire rentrer les impôts, recourent à des mutations monétaires pour renflouer le trésor, ce qui entraine des dévaluations extrêmement impopulaires.
Jean le Bon, confronté de surcroît aux intrigues de Charles le Mauvais, roi de Navarre, autre prétendant à la couronne, gouverne dans le secret avec des hommes de confiance. Profitant de ces difficultés, Édouard III et son fils le Prince Noir relancent la guerre en 1355. Le 19 septembre 1356, Jean le Bon est fait prisonnier à la bataille de Poitiers.
Le pays sombre alors dans le chaos. Les états généraux menés par Étienne Marcel et Robert Le Coq prennent le pouvoir à Paris et tentent d'installer Charles de Navarre à la tête du royaume. En 1358, les paysans se soulèvent et s'allient avec Étienne Marcel, mais le dauphin Charles (futur Charles V) se fait nommer régent et retourne la situation.
Jean le Bon peut rentrer en France en 1360, après la signature du traité de Brétigny, qui lui rend la liberté, mais cède un tiers du pays à Édouard III. Il faut encore payer son énorme rançon alors que les finances du royaume de France sont au plus bas (il stabilise cependant la monnaie, grâce à la création du franc). Les grandes compagnies de soldats démobilisés pillent les campagnes et bloquent le commerce. Il tente de mettre fin à leurs agissements, mais l'armée royale est vaincue à Brignais (avril 1362). Il tente d'en débarrasser le pays en les emmenant en croisade contre les Turcs avec l'argent du pape, mais essuie un nouvel échec : Innocent VI meurt quinze jours avant son arrivée à Avignon, remplacé par Urbain V qui n'est pas favorable au projet.
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Ségolène Royal (/segain ».">ɡolɛn ʁwajal), née Marie Ségolène Royal le 22 septembre 1953 à Dakar (Sénégal), est une haute fonctionnaire et femme politique française.
Membre du Parti socialiste, conseillère du président François Mitterrand dans les années 1980, elle est députée de la deuxième circonscription des Deux-Sèvres de 1988 à 2007. Ministre de l'Environnement dans le gouvernement Pierre Bérégovoy, elle est ensuite nommée ministre de l'Enseignement scolaire, puis de la Famille, par Lionel Jospin lors de la troisième cohabitation. En 1995, elle perd les élections municipales de Niort. Elle préside le conseil régional de Poitou-Charentes de 2004 à 2014. Elle est de 1978 à 2007 en couple avec François Hollande, avec qui elle a quatre enfants.
En 2007, Ségolène Royal est la première femme française à accéder au second tour d'une élection présidentielle, mais elle est battue par Nicolas Sarkozy, récoltant 46,94 % des suffrages exprimés. En 2008, elle est défaite de justesse par Martine Aubry lors de l'élection à la fonction de premier secrétaire du Parti socialiste. Elle finit quatrième au premier tour de la primaire socialiste de 2011, puis est battue aux élections législatives de 2012 dans la première circonscription de la Charente-Maritime.
Dans les gouvernements Manuel Valls et Bernard Cazeneuve, entre 2014 et 2017, elle est ministre de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer. Elle quitte ensuite le PS et se voit nommée par Emmanuel Macron ambassadrice chargée de la négociation internationale pour les pôles arctique et antarctique, une fonction dont elle est démise en 2020 en raison de ses critiques envers la politique de l’exécutif. L’année suivante, elle est battue aux élections sénatoriales pour les Français établis hors de France.
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Dominique Voynet [dɔminik vwanɛ], née le 4 novembre 1958 à Montbéliard (Doubs), est une femme politique française, membre des Verts puis d’Europe Écologie Les Verts.
Elle est candidate des Verts aux élections présidentielles de 1995 (3,3 %) et de 2007 (1,6 %). Après avoir été ministre de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement de 1997 à 2001, elle est sénatrice (2004-2011) et maire de Montreuil (2008-2014).
Médecin anesthésiste, nommée inspectrice générale des affaires sociales au tour extérieur en 2014, elle est à la tête de l'Agence régionale de santé de Mayotte de 2020 à 2021.
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Élisabeth Guigou, née Vallier le 6 août 1946 à Marrakech (Maroc), est une femme politique française.
Membre du Parti socialiste, elle est la première femme nommée à la tête d'un ministère régalien en France lorsqu'elle devient garde des Sceaux, ministre de la Justice, en 1997.
Élue députée dans le Vaucluse (1997) puis dans la Seine-Saint-Denis (2002-2017), elle préside la commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale de 2012 à 2017.
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Marie-George Buffet, née Kosellek le 7 mai 1949 à Sceaux (Hauts-de-Seine), est une femme politique française.
Elle est ministre de la Jeunesse et des Sports du gouvernement Jospin (1997-2002), secrétaire nationale du Parti communiste français (2001-2010) et candidate à l'élection présidentielle de 2007, où elle obtient 1,93 % des voix. Elle est députée de la Seine-Saint-Denis de 2002 à 2022.
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Martine Aubry, née Delors le 8 août 1950 à Paris, est une haute fonctionnaire et femme politique française.
Fille de l’homme politique Jacques Delors, elle devient administratrice civile après des études à l’ENA. Elle adhère au Parti socialiste (PS) en 1974 et travaille dans plusieurs cabinets ministériels après l’arrivée de la gauche au pouvoir en 1981.
Elle exerce les fonctions de ministre du Travail, de l'Emploi et de la Formation professionnelle de 1991 à 1993, puis de ministre de l'Emploi et de la Solidarité de 1997 à 2000. À ce titre, dans le gouvernement Jospin, elle met en œuvre la réforme des 35 heures, instaure la couverture maladie universelle (CMU) et lance les emplois-jeunes.
Implantée électoralement dans le Nord, elle est première adjointe au maire de Lille à partir de 1995, maire de cette ville depuis 2001 et présidente de sa communauté urbaine de 2008 à 2014. Lors des élections législatives de 1997, elle l’emporte dans la 5e circonscription du Nord mais démissionne pour siéger au gouvernement et échoue à redevenir députée en 2002.
Lors du congrès de Reims de 2008, elle est élue de justesse première secrétaire du Parti socialiste face à Ségolène Royal, devenant la première femme à exercer cette fonction. Souhaitant être candidate à l’élection présidentielle de 2012, elle se présente à la primaire citoyenne de 2011, qu'elle perd au second tour face à François Hollande. À la suite de l’accession de celui-ci à la présidence de la République, elle quitte la tête du PS.
Elle est ensuite réélue à deux reprises maire de Lille, dépassant les vingt ans de mandat en 2021.
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Jury de diplôme 1966, au premier plan de 3/4rts dos Jacqueline Mahuzier, à sa droite Henri Malvaux, et stylo dans la bouche Laurent Monod
Henri Émile Albert Malvaux, né le 27 avril 1908 à Beauzée-sur-Aire, aujourd'hui Beausite, (Meuse), et mort à Suresnes le 2 juillet 1994, est un peintre, graveur, sculpteur, mosaïste, cinéaste et enseignant français.
Biographie
Élève de l'École nationale supérieure des arts décoratifs de Paris, Henri Malvaux commence sa carrière comme professeur de dessin au lycée Alain-Fournier de Bourges en 1932, puis il rejoint Mâcon.
Avec Jean Bouvet qui s'occupe des réfugiés politiques espagnols, et qui occupe les fonctions de conseiller municipal à Mâcon, en 1937, à la suite d'un échange avec Jean Eckenroth (contadourien et aumônier des chasseurs alpins) à Pelvoux Saint-Antoine, Jean Bouvet et Henri Malvaux vont rencontrer Jean Giono en villégiature à Briançon. C'est Jean Giono qui fera découvrir la Provence à Malvaux dans les années 1950. Conquis par Suzette, entre Malaucène et Beaumes-de-Venise, il y aménage son atelier face au mont Ventoux et aux Dentelles de Montmirail
Henri Malvaux se situe dans la mouvance des peintres de la réalité poétique. A Mâcon, sa famille est très liée avec la famille Bouvet. Directeur de l'école municipale de dessin de Mâcon de 1939 à 1942, il engage Maxime Descombin pour assurer les cours de sculptures, celui-ci démissionnera en 1942. En 1943, Malvaux est nommé directeur de l'École Nationale des Beaux-Arts de Bourges qui deviendra l'École nationale supérieure d'art de Bourges. En 1948, il organise au Palais Jacques Coeur une exposition de tapisseries de Jean Lurçat. Il incite la céramiste Jacqueline Lerat (née Bouvet) à s'installer au hameau de La Borne cette même année, car il n'a que six élèves et des locaux vétustes. Il crée un atelier de céramique avec four à bois de type Sèvres et un four électrique au sein de l'école d'art de Bourges. Il y introduira un atelier de photographie et de vidéo.
Récipiendaire d'une bourse de voyage , il voyagera en Europe, en Amérique latine et au Canada. Il donne de nombreuses conférences, sans abandonner la peinture.
En 1962, il prend la direction du Centre d'arts et techniques dont il fait évoluer la formation vers un enseignement supérieur en arts appliqués, organisant le passage entre une formation de décorateurs ensembliers, créateurs de mobiliers vers une pédagogie du design et de l’architecture intérieure, il refonde les enseignements et les équipes pédagogiques, et assure la reconnaissance du diplôme ; le centre deviendra l'École Camondo
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