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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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5 conseils alimentaires pour bien dormir Le rituel de la tisane du soir favorise l'endormissement.
À l'occasion de la 15e Journée du sommeil le 27 mars, une enquête de l'Institut national du sommeil et de la vigilance (INSV) et MGEN montre les interactions entre les problèmes de surpoids et le manque de sommeil.
L'organisme livre donc quelques règles d'or alimentaires pour mieux dormir. Ne pas zapper le repas du soir : "Si le corps n'a pas ingéré un apport énergétique suffisant, le sommeil en souffre. Il se fragmente, et l'on se réveille.
Il faut se nourrir suffisamment le soir pour "tenir" jusqu'au matin", explique le Pr Damien Léger, président de l'INSV. Le repas se doit donc d'être consistant, mais léger et facile à digérer.
Protéines à midi et glucides lents le soir : les aliments riches en protéines, comme la viande, augmentent la vigilance, il vaut donc mieux les consommer à midi. Au dîner, les féculents (pommes de terre, riz, pâtes...) sont à privilégier pour leurs glucides lents qui favorisent le sommeil.
Les produits laitiers sont également conseillés. Il est important aussi de dîner 2 à 3 heures avant le coucher.
La tisane, le rituel du soir : certaines plantes possèdent des propriétés calmantes, tels que le tilleul, la camomille, la passiflore, le houblon ou la valériane. Prises en infusion, elles facilitent l'endormissement. Surtout, instauré quotidiennement dans une ambiance relaxante, le rituel de la tisane du soir crée un état propice au sommeil.
Attention à la caféine : le café et le cola ne sont pas les seuls à contenir de la caféine, le thé et le cacao en sont source également. De plus, ses effets mettent longtemps à se dissiper : la moitié de la quantité ingérée est encore présente dans le sang 4 ou 5 heures après la prise. C'est pourquoi il vaut mieux éviter d'en consommer après 15h. L'alcool, ennemi du sommeil :
"L'alcool agit sur le sommeil en deux temps, avec des effets tour à tour facilitateurs et perturbateurs", commente le Pr Adrien.
S'il favorise l'endormissement peu après sa prise, il entraîne d'autres troubles quelques heures plus tard : sommeil léger, réveils nocturnes ou même cauchemars et apnée du sommeil.
Le manque de sommeil augmente les risques d'obésité
Nuits trop courtes et bonne santé ne font pas bon ménage. Mais ce que l'on sait moins, c'est que le manque de sommeil a un impact direct sur notre courbe de poids, et augmente les risques d'obésité.
C'est ce que démontre l'étude annuelle de l'Institut national du sommeil et de la vigilance (INSV) réalisée avec la MGEN sur près de 50.000 internautes et présentée à l'occasion de la 15e Journée du sommeil du 27 mars.
Comportement alimentaire et métabolisme perturbés En cas de manque de sommeil, c'est toute une mécanique interne du corps qui se grippe. Quand on est fatigué, on a tendance à grignoter, surtout des aliments riches en sucres ou en graisses.
Mais le grignotage n'est pas le seul responsable de la prise de poids provoquée par la fatigue. «Si on ne respecte pas son sommeil, le comportement alimentaire et le métabolisme sont perturbés», explique le Dr Joëlle Adrien, présidente du conseil scientifique de l'INSV.
En clair: non seulement on mange plus et mal, mais l'organisme est moins capable de métaboliser les graisses, qu'il va davantage stocker. «Le slogan "Manger-Bouger" promu par le Programme Nationnal Nutrition Santé (PNNS) est bien, mais il faudrait y ajouter "Dormir" pour qu'il soit complet», insiste le Pr Damien Léger, président de l'INSV. Les risques d'obésité sont plus élevés chez les petits dormeurs (de 50% chez les hommes et de 34% chez les femmes).
Pourtant, près d'un tiers des Français dorment moins de six heures par nuit, et 20 % de la population française souffre d'insomnie. Or, «il faut dormir au moins sept heures par nuit et, si besoin, faire une sieste», préconise le spécialiste.
«La relation entre le sommeil et la nutrition est à double sens» «La relation entre le sommeil et la nutrition est à double sens, indique le Dr Joëlle Adrien. Si on s'alimente bien, le sommeil est meilleur et si on dort mieux, on se rue moins sur les aliments qui font prendre du poids». De plus, le manque de sommeil a aussi tendance à augmenter les risques d'hypertension et de diabète».
La solution à cette dette de repos vient peut-être de la sieste. Vingt minutes suffisent pour un effet réparateur au niveau cardiovasculaire et du métabolisme. Dans l'autre sens, une bonne alimentation favorise un bon sommeil, comme l'ont démontré de précédentes études. «Si on prend du café en fin de journée ou si on fait un dîner trop riche, le sommeil sera perturbé», indique la chercheuse.
Donc on y va mollo sur le café, qu'on arrête de boire à partir de 15 h, et on zappe viande rouge et aliments gras au dîner, qu'on évite de prendre trop tard pour enfin dormir comme un bébé.
Polypes du côlon : les symptômes que vous devez connaître
Il se peut que vous ayez entendu parler des polypes du côlon, ou bien que vous-même ou que quelqu’un de votre entourage en souffre. La première question qui se pose est : est-ce grave ?
Il faut savoir que les polypes du côlon sont en majorité bénins. Cependant, ce n’est pas une raison pour les négliger, car à long terme, ils peuvent évoluer et former un cancer. Ainsi, il est toujours conseillé de faire une coloscopie pour les éliminer.
Mais… Quels sont leurs symptômes ? Dans cet article, nous allons aborder ce thème et tout vous expliquer. Vous êtes prêt ?
1. Que sont les polypes du côlon ?
Si par exemple votre médecin vous diagnostique des “polypes dans le côlon”, il est possible que ces mots vous fassent peur, que vous vous sentiez désemparé et vous vous demandez de quoi il s’agit.
Un polype du côlon est en fait quelque chose d’assez commun : une excroissance anormale à l’intérieur des parois du côlon ou du gros intestin.
Les polypes peuvent être ronds comme vous le voyez sur l’image ci-dessus, ou plats. Comme vous le savez, cette zone de notre corps est la partie qui se charge de canaliser et de rediriger toute la matière fécale qui, finalement, sera expulsée par le rectum.
C’est une zone très vulnérable aux bactéries et donc aux inflammations. Il n’est pas rare qu’apparaisse ces polypes, et vous ne devez pas vous alarmer ou imaginer le pire.
Comme nous vous l’avons dit au début de cet article, la majorité des polypes sont bénins. Cependant, ils requièrent une intervention qui est la coloscopie, pour les éliminer de notre intestin.
Les médecins nous disent que plus les polypes sont plats, plus ils ont de risques d’être cancérigènes. Mais une fois de plus, il ne faut pas s’alarmer, car il existe des traitements et la plupart du temps ils sont bénins.
2. Qui est le plus susceptible de souffrir de polypes du côlon ?
Il y a des personnes qui ont plus de prédispositions que d’autres. Les données que nous allons vous présenter sont seulement approximatives, mais jamais déterminantes.
Parfois, on peut nous diagnostiquer des polypes dans le côlon sans que nous ayons aucun antécédents mais, en général, il est bon de tenir compte des facteurs suivants :
Avoir plus de 50 ans.
Souffrir de surpoids.
Etre fumeur/fumeuse.
Avoir un membre de sa famille qui a eu un cancer du côlon.
Boire de l’alcool.
Avoir une vie sédentaire et suivre un mauvais régime alimentaire, élevé en graisses
Quels sont les symptômes des polypes du côlon ?
La plupart des polypes du côlon arrivent souvent sans que des symptômes se fassent ressentir, surtout dans les premiers temps de leur formation. Ils ne font pas mal et comme ils sont petits, ils ne provoquent pas de problèmes pour le fonctionnement du gros intestin.
Au fur et à mesure qu’ils grandissent, ils peuvent se heurter à la matière fécale, et lorsqu’ils sont éraflés, ils saignent. C’est alors que les premiers symptômes apparaissent. Il faut à présent prendre note de ces différents aspects :
Voir ses selles très sombres.
Voir, quand vous vous lavez, la présence de sang dans le rectum.
Sentir des brûlures ou des douleurs quand vous allez aux toilettes.
Sentir des brûlures internes quand vous mangez quelque chose de piquant ou de très assaisonné.
Pour conclure, nous insistons sur le fait que de nombreuses personnes découvrent les polypes presque par hasard, quand elles se font faire des examens secondaires.
Quand votre médecin vous prescrit un examen pour vérifier leur fréquence et leur nombre, cela s’appelle une coloscopie. Ce n’est pas un examen très agréable mais il est très efficace. Ne vous inquiétez pas et suivez toujours les règles que vous indiquent les professionnels.
En général, le médecin optera toujours par l’extraction des polypes du côlon. À long terme, ils peuvent devenir cancérigènes, il vaut donc mieux s’en débarrasser. Ne vous inquiétez pas, il y a toujours de bons résultats et les patients peuvent continuer à avoir une vie normale.
Don d'organes : l'Assemblée s'apprête à faciliter les prélèvements
Un amendement inséré dans la loi Santé de Marisol Touraine vise à faciliter le prélèvement d'organes sur une personne décédée.
s'il est adopté par le Parlement, il renforcera le principe du consentement présumé, levant l'obligation faite aux médecins de consulter la famille du défunt qui sera simplement «informée des prélèvements envisagés et de la finalité de ces prélèvements».
Un nouvel amendement, adopté dans la nuit du 19 au 20 mars à l'Assemblée, et intégré au projet de loi santé de Marisol Touraine, prévoit de rendre systématique la possibilité de prélèvement d'organes chez une personne décédée, sauf si celle-ci a, de son vivant, exprimé clairement son refus
Un nouvel amendement, adopté dans la nuit du 19 au 20 mars à l'Assemblée, et intégré au projet de loi santé de Marisol Touraine, prévoit de rendre systématique la possibilité de prélèvement d'organes chez une personne décédée, sauf si celle-ci a, de son vivant, exprimé clairement son refus.
Le prélèvement d'organes pourrait devenir plus systématique lorsque le défunt n'a pas exprimé de refus de son vivant. Un amendement dans ce sens, intégré au projet de loi Santé défendu par la ministre Marisol Touraine, a été adopté dans la nuit du 19 au 20 mars par la commission des Affaires sociales à l'Assemblée.
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Mieux comprendre le don d'organes : six malades bénéficient de son don d'organes
Il renforce le consentement présumé au don d'organes pour lutter contre le manque de greffons disponibles. Cette mesure, si elle est adoptée, lèverait l'obligation faite aux médecin de consulter la famille qui peut opposer un refus.
Cet amendement, présenté par les députés Jean-Louis Touraine et Michèle Delaunay, est soutenu par le gouvernement. Il prévoit qu'à partir de 2018 les proches de personnes décédées ne seront plus consultés, mais seulement «informés des prélèvements envisagés et de la finalité de ces prélèvements».
La loi actuelle prévoit déjà le consentement présumé au don d'organes, c'est-à-dire que le prélèvement peut être pratiqué dès lors que la personne décédée n'a pas fait connaître son refus de son vivant. Refus qui peut aujourd'hui être exprimé par tout moyen, l'inscription sur un registre national des refus, mais également par le biais des proches, systématiquement interrogés sur une éventuelle opposition au don d'organes exprimée de son vivant par le défunt (si son nom ne figure pas dans le registre national).
Mais, pour Jean-Pierre Scotti, président de la Fondation Greffe de vie qui milite pour une modification de la loi actuelle, il est très difficile pour des proches «dans la douleur» de répondre oui en l'espace de quelques instants. Ils ont tendance par précaution à refuser le prélèvement, «quitte à le regretter par la suite», selon lui.
Un taux de refus en augmentation Le taux de refus de prélèvement est passé de 9,6% en 1990 à 33,7% en 2012, voire à près de 40% si on s'en tient aux greffons utilisables, alors même que, selon un sondage réalisé en 2013 par Opinion Way, seuls 21% des Français seraient hostiles aux dons d'organes. Seulement 100 000 personnes se sont inscrites à ce jour dans le registre national des refus.
Or, selon la Fondation Greffe de vie, 19 000 personnes sont aujourd'hui en attente d'une greffe en France. Un nombre qui augmente beaucoup plus vite que celui des greffons disponibles. «1% de refus équivaut à 100 greffons» relève la Fondation qui estime qu'en réduisant le taux de refus, «on pourrait éviter que 500 à 700 personnes meurent chaque année par manque de greffons».
Des associations préfèreraient un «accompagnement» des familles Pour Yvanie Caillé, la directrice de l'association de malades et greffés du rein Renaloo, court-circuiter l'avis des familles «n'est pas forcément la mesure la plus efficace et la plus souhaitable» pour augmenter les dons d'organes. «Je crains des réactions délétères des familles qui risquent de se sentir agressées par l'application stricto sensu de ce texte», relève-t-elle, en soulignant l'importance d'un «dialogue» entre les parents et les équipes de coordination, comme c'est le cas en Espagne où le taux de refus atteint seulement 15%.
C'est en «accompagnant les familles plutôt qu'en leur extorquant un consentement» qu'on réussira, estime-t-elle, à faire augmenter les dons d'organes.
Mais elle préconise également d'autres mesures comme le développement des prélèvements sur des donneurs vivants -possibles notamment pour un organe comme le rein- et sur des donneurs décédés après un arrêt cardiaque.
Kilos superflus: un seul exercice sans bouger resserre tous les muscles
Un seul exercice sans bouger resserre tous les muscles et vous aide à vous débarrasser des kilos superflus.
« La planche » est l’un des exercices les plus populaires et les plus efficaces. Cet exercice fait travailler non seulement les abdominaux, mais aussi tous les muscles du corps.
Faites le cinq minutes par jour et vous serez surpris par les résultats.
Le but de l’exercice est de « flotter » au-dessus du sol au moins une fois par jour pendant plusieurs minutes, en vous appuyant uniquement sur les mains et les pieds.
Bien sûr, ce n’est pas une tâche facile de rester dans une telle position même 2 minutes. À ce moment, de nombreux muscles ont activés. Mais grâce à cet exercice, vous aurez un dos fort, des fesses fermes sans cellulite, des jambes galbées, un ventre plat et de belles mains.
Comment faire la « planche » :
La « planche » est un exercice statique. Il ne nécessite aucun mouvement, il est donc important de bien placer le corps.
Allongez-vous sur le sol, sur le ventre.
Pliez vos coudes à 90 degrés et mettez-vous sur vos avants-bras. Le corps doit former une ligne droite de la tête aux talons.
Tenez-vous uniquement sur vos avants-bras et sur vos doigts de pieds. Les coudes doivent être directement sous vos épaules.
Gardez votre corps aussi plat que possible, contractez les abdominaux et restez contracté.
Pieds:
Assemblez-les. Il sera difficile de maintenir l’équilibre qui augmentera la pression sur les muscles abdominaux.
Jambes:
Elles doivent être droites et serrées, sinon, la pression dans le muscle droit de l’abdomen, sera aussi diminuée.
Fesses :
Contractez et ne relâchez pas jusqu’à la fin de l’exercice, car cela augmente l’activation de tous les muscles du bas du torse.
Bas du dos :
Le moment le plus important. Pour la bonne exécution de l’exercice, le bas du dos doit être complètement plat.
Estomac :
Rentrez bien le ventre. Pendant l’exercice ne relâchez pas, mais ne retenez pas votre souffle.
Coudes :
Pour éviter un charge inutile sur vos épaules, mettez directement vos coudes en dessous des articulations des épaules. Maintenez cette position aussi longtemps que vous le pouvez.
Pour commencer, 10 secondes suffisent. En règle générale, les gens tiennent entre 10 secondes et 2 minutes. Après une pause de deux minutes, répétez l’exercice. 5 répétitions suffisent. Si vous êtes un débutant, n’essayez pas de battre un record, commencez doucement. Il est très important de faire cet exercice tous les jours, de préférence au même moment.
Les avantages de la « planche »
Fesses toniques
L’exercice se concentre sur les fessiers et les ischio-jambiers. Donc non seulement vous aurez de belles fesses mais vous vous débarrasserez également de la cellulite.
Dos fort.
Au cours de l’exercice, les muscles du bas du dos sont actifs, ainsi que les épaules et la nuque. Ainsi, cet exercice peut prévenir l’ostéochondrose du cou et de la colonne vertébrale Pieds serrés séduisants. La charge principale de l’exercice tombe sur les pieds. Il comprend tous les muscles de la jambe, des hanches aux doigts de pieds. Ne vous inquiétez pas si vous avez une sensation de brûlure dans vos muscles, c’est signe que les muscles travaillent.
Mains tendues. Avec cet exercice, vous entraînez intensément les mains. La moitié du poids du corps tient sur elles. Ventre plat. Lorsque tout le corps est tendu, les muscles abdominaux sont automatiquement contractés.
Les aliments qui deviennent toxiques lorsqu’ils sont réchauffés
Certains aliments changent leur composition et perdent leurs propriétés nutritionnelles, et deviennent même toxiques lorsqu’ils sont réchauffé.
Parmi ces aliments on trouve:
Les champignons
Les champignons doivent être consommés immédiatement après la cuisson et si vous en avez laissé pour le lendemain, mieux vaut les consommer froids. Ceci s’applique également aux soupes et au risotto aux champignons. Lorsque les champignons sont réchauffés, il se produit un changement dans la composition des protéines et même une modification du goût. Ils peuvent ainsi causer des problèmes digestifs et perdre leurs avantages nutritifs.
Poulet
De même que pour les champignons, réchauffer de la viande entraîne une modification de la composition des protéines. Il n’est donc pas recommandé de réchauffer la viande à des températures élevées, et en particulier le poulet, qui contient plus de protéines que la viande rouge. Des températures moins élevées pourraient mieux préserver la viande, si toutefois vous tenez à la réchauffer.
Pommes de terre
La pomme de terre est un aliment très nutritif qui ne devrait pas être réchauffé car il y perd la plupart de ses valeurs nutritives et en devient même toxique. Mangez-en immédiatement après la préparation ou même à froid – c’est alors que le pourcentage le plus élevé d’amidon résistant pour un sentiment durable de satiété. Si vous préparez un ragoût pendant plusieurs jours, ajoutez les pommes de terre subséquemment.
Epinards
L’épinard est un aliment avec un pourcentage élevé de nitrates, qui, après réchauffement, se transforment en nitrites. Les nitrites sont potentiellement cancérigènes, il est donc recommandé de ne manger que des épinards frais ou immédiatement après la cuisson.
Betterave
Tout comme les épinards, les betteraves contiennent des nitrates qui, après réchauffement, deviennent extrêmement dangereux. Cela ne signifie pas que vous ne pouvez pas manger le reste de betteraves le lendemain de leur cuisson, mais plutôt qu’il faut les consommer froides.
Céleri
Le céleri, qui est le plus couramment utilisé pour les soupes, doit toujours être retiré de la marmite après la cuisson, tout comme les carottes, et être mangé tout de suite après. Il contient également des nitrates.La soupe peut être réchauffée si vous enlevez le céleri et les carottes.
Œufs
Les œufs sont des aliments à haut risque qui deviennent également toxiques après une exposition à des températures élevées. Ceci ne s’applique pas aux aliments faits d’œufs brouillés dans des sauces telles que la béchamel, mais réfère aux plats faits avec des œufs durs ou frits, comme la moussaka.
Tous à poil ! Voici pourquoi nous devrions être nus plus souvent...
Souvent, la nudité est un tabou, mais vous allez voir qu'elle peut surtout être quelque chose d'extrêmement bénéfique. Que ce soit pour le corps ou pour l'esprit, être à poil, ça fait du bien !
Explication... 5 raisons de se mettre nue plus souvent :
1. "Parfait" est une illusion Même si la plupart du temps je suis contente avec mon corps, je reçois souvent une immense pression par rapport à la notion de "perfection". Depuis toute petite, j'ai appris à me mettre en valeur pour plaire aux hommes - comment flirter, porter des talons, des jupes courtes, dessiner mes sourcils, me maquiller, etc... Mais au final, quand les habits tombent, j'ai tendance à m'inquiéter de toutes les imperfections car soyons honnête, personne n'est parfait. "Imperfection" voudrait dire qu'il y a une perfection, et ce n'est pas vrai. Tout le monde est différent. Quand je regardais autour de moi au spa l'autre jour, ce n'était pas mon corps qui me séparait des autres, mais mon attitude.
2. Etre vulnérable devant les autres est une bonne chose En Europe - particulièrement en Allemagne - c'est tout à fait normal de laisser tomber les maillots de bain et de se baigner à poil. Aller au sauna est un passe-temps bien connu et tout le monde sait que les gens y sont nus. Dans le cours de yoga où j'enseigne, il y a même un sauna ou sous-sol, au cas où vous n'avez pas assez sué pendant les exercices. Et je me suis rendu compte qu'observer d'autres corps nus pouvait permettre de se sentir plus confortable dans notre peau.
3. Quand vous jugez les autres, c'est vous que vous jugez J'ai réalisé que j'avais peur de me confronter à mon propre jugement. Au lieu de pratiquer l'auto-compassion, j'ai préféré la peur. La société moderne nous a appris à juger et à critiquer plutôt que d'aimer et de protéger. La première fois que j'ai fait un cours de yoga en tant que professeure, et que j'ai vu tout le monde dans la position du chien, j'ai compris et j'ai vu toutes les sortes différentes de chiens. Ce n'était pas les gens que l'on voit dans les magazines, il ne me ressemblaient pas non plus. Mais c'était beau à voir. Quand vous vous comparez aux autres, c'est un peu comme de l'autoflagellation. Nous devons prendre soin de nos corps, que ce soit physiquement ou émotionellement, et parfois c'est également important - si ce n'est pas le plus important - de s'entretenir mentalement. La méditation est très efficace pour ça.
4. Quand vous êtes à l'aise toute nue, vous vous sentez moins obligés de mettre du maquillage et des talons Je n'ai jamais été ue fille très girly, ce n'est simplement pas ma personnalité. De temps en temps, j'ai envie de porter du rouge à lèvres (en général je n'en ai pas) mais je réalise et accepte le fait que je n'en ai pas besoin. Me mettre en valeur est juste une façon de me dénigrer. Le fait de gommer tous les artifices m'a juste rendu plus à l'aise avec ce que je suis vraiment.
5. Se mettre nue pour Dame Nature fait le plus grand bien Tout comme la neige sur les sommets immaculés des Alpes, un jour notre corps fondra. Mes fesses seront flasques et ma peau ridée. Si il y a une seule chose que la pratique du yoga m'a appris, c'est que je ne suis pas mon corps et que je ne suis pas mon esprit. Tout est matériel, et change en permanence. Même m'asseoir là maintenant, écrire ceci, n'empêche pas mon corps de changer. Ma peau est une barrière matérielle au monde qui m'entoure et quelque part, retirer mes vêtements, me fait sentir plus en paix avec la nature ainsi qu'avec moi-même. Ceux qui cherchaient un prétexte pour vivre dans le plus simple appareil, voilà, il n'y a plus qu'à !
L'HYPOTHYROIDIE ET LE SYSTEME NERVEUX
Les conséquences de l’hypothyroïdie sur le système nerveux. Il faut mentionner en priorité la somnolence. Les patients disent souvent qu’ils s’endorment partout, dès qu’ils cessent leurs activités. Le sommeil peut être prolongé (jusqu’à 10h30 ou même 12 heures), profond, avec un réveil matinal très difficile, nécessitant beaucoup de temps et... de café.
Parfois, on observe l’inverse, à savoir un sommeil trop léger avec une hypersensibilité au bruit. Il n’est pas du tout inhabituel de rencontrer simultanément un symptôme et son contraire, comme déjà discuté avec le gain de poids mais aussi la perte de poids.
Dans tous les cas de figure, le sommeil est rapporté comme non récupérateur et le patient s’éveille aussi fatigué qu’à son coucher, sans aucune motivation et sans force vitale. Une manifestation typique des cas modérés d’hypothyroïdie consiste à surcharger son agenda, privilégiant des activités multiples souvent brouillonnes et inefficaces.
Cette hyperactivité compensatrice dynamise les patients car elle stimule la fonction thyroïdienne (tout comme le fait une activité sportive d’intensité modérée, parfois recherchée par ces patients).
Toutefois, dès que que la machine s’arrête, c’est l’écroulement total et on connaît des patients débordant d’activité pendant leur journée de travail qui s’effondrent une fois rentrés chez eux. Ils trouvent à peine la force de se traîner du divan à leur lit, sans aucune énergie pour se préparer un repas du soir de qualité décente.
Quand à leurs dimanches, il ne faut pas vous faire un dessin, d’où la notion de «syndrome du dimanche». Poursuivons dans le domaine neurologique avec les troubles auditifs: Acouphènes Perte d’audition Vertiges Syndrome de Ménière... On retrouve la gamme quasi complète des pathologies de l’oreille interne ; Or, les ORL ne font pas nécessairement le rapprochement !!!
Les patients peuvent être affectés par les troubles musculaires les plus divers: Crampes (nocturnes mais pas nécessairement, aussi au cours de la pratique sportive) Contractures, voire myopathie véritable ou inflammation du muscle avec hausse nette des enzymes spécifiques CPK détectée à la biologie sanguine.
La tendance aux contractures musculaires provoque souvent des blocages aigus. Torticolis Dorsalgies Lumbagos paralysants qui clouent les patients dans leur sofa... L’ampleur de ces contractures musculaires devrait toujours faire rechercher une insuffisance thyroïdienne dont la correction constituera la seule manière de soulager durablement, parfois définitivement, ces cas autrement infernaux.
Que dire alors de la fameuse fibromyalgie, une étiquette collée un peu trop facilement sur le dos des patients hyper-algiques !!!
Et si c’était, là encore, un coup bas de cette thyroïde ???
L'entorse
Une entorse est un étirement ou une déchirure d’un ou de plusieurs ligaments d’une articulation. Les ligaments sont les faisceaux de bandes de tissus fibreux, très résistants et peu extensibles, qui unissent les os entre eux. Ils donnent une stabilité aux articulations.
*Entorse légère : un étirement des ligaments, souvent appelé foulure. À ce stade, l’articulation est encore fonctionnelle ;
*Entorse modérée : un étirement des ligaments accompagné d’une déchirure partielle ;
*Entorse grave : une rupture complète du ou des ligaments. Il se peut aussi que le tendon se détache de l’os entraînant avec lui un petit morceau d’os.
(voir schéma)