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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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santé

Dépister le cancer du poumon

Publié à 11:05 par fandeloup Tags : photo
Dépister le cancer du poumon

Dépister le cancer du poumon grâce à une simple prise de sang

CANCER -

Cette prise de sang permettrait de détecter, des années avant que le cancer ne soit visible avec les techniques classiques d’imagerie, la présence de cellules cancéreuses.

Une prise de sang le 4 mars 2008

C’est une "première mondiale". Une équipe médicale française a annoncé samedi qu’il était possible de dépister très en avance le cancer du poumon grâce à une simple prise de sang. Et ce, bien avant qu’une radiographie soit en mesure de révéler le moindre symptôme. Sur 245 sujets sans cancer, dont 168 à risque, cinq présentaient des cellules cancéreuses circulantes.

Toutes ont déclenché un cancer : le test a donc fonctionné à 100% pour ces personnes là. Une équipe de Nice Les travaux ont été menés par l’équipe du professeur Paul Hofman, de l’hôpital universitaire de Nice (sud-est) et du centre de recherche de l’Institut français de la santé et de la recherche médicale (Inserm) de l’université voisine de Sophia-Antipolis.

Leurs résultats ont été publiés vendredi dans la revue scientifique américaine Plos One. "Percée extraordinaire" Cette simple prise de sang permettrait de détecter, des années avant que le cancer ne soit visible avec les techniques classiques d’imagerie, la présence de cellules tumorales circulantes qui jouent le rôle de sentinelles.

L’alerte pourrait jouer un rôle-clé dans la précocité de l’intervention chirurgicale, permettant ainsi, selon l’équipe médicale qui parle d’une "percée extraordinaire dans le domaine des cancers pulmonaires invasifs", de "viser l’éradication du cancer".

Boire trop de lait serait en fait mauvais

Publié à 14:46 par fandeloup Tags : image vie chez femme travail cadre femmes
Boire trop de lait serait en fait mauvais

Boire trop de lait serait en fait mauvais pour les adultes

Une étude, qui doit être "interprétée avec prudence" selon ses auteurs, remet en cause les bienfaits du lait pour les adultes. Une femme qui en consomme plus de trois verres par jour aurait un risque de décès plus élevé de 90%.

Le lait serait-il néfaste lorsque bu en grande quantité par des personnes vieillissantes?

Une étude suédoise, publiée mardi dans la revue médicale britannique The BMJ, jette le trouble sur ses bienfaits couramment vantés pour les adultes.

"Nos résultats pourraient remettre en cause la validité des recommandations" à consommer du lait pour prévenir les fractures liées à l'ostéoporose -maladie à l'origine d'une fragilisation osseuse chez les personnes âgées- relèvent les chercheurs de l'université d'Uppsala, en Suède, qui signent ces travaux.

Plus enclines à souffrir de fractures Les chercheurs ont cherché à savoir si pouvait être établi un lien statistique entre la quantité de lait et de produits laitiers consommés et la survenue de fractures, en particulier de la hanche, ainsi que la survenue de décès.

Le résultat, en apparence contradictoire avec l'image bienfaitrice du lait, est que les femmes absorbant plus de trois verres de lait par jour paraissent plus enclines à souffrir de fractures et à décéder.

Les femmes qui consomment trois verres ou plus de lait par jour ont un risque relatif de décès "de 90% plus élevé" et un risque de fracture de la hanche "de 60% plus élevé" par rapport à celles qui boivent moins d'un verre par jour, explique le Pr Karl Michaelsson principal signataire de l'étude.

Moins prononcé chez les hommes Pour les hommes, le lien statistique entre grande quantité de lait consommé et risque de décès est également observé mais "de manière moins prononcée" tandis qu'aucun lien n'est observé pour les fractures.

Les chercheurs ont analysé des données recueillies sur deux groupes. L'un comportait environ 60 000 femmes de 39 à 74 ans, questionnées sur les habitudes alimentaires et de vie dans le cadre d'une campagne de dépistage du cancer du sein.

L'autre cohorte concernait un groupe de 45 000 hommes de 45 à 79 ans. Les quantités de lait bu quotidiennement ont été quantifiées: entre moins d'un verre, un à deux verres, deux à trois verres et plus de trois verres.

Les quantités de lait fermenté (comme le yaourt) et de fromage consommés ont également été prises en compte. Juste un travail "d'observation" L'analyse concernant les produits laitiers -lait fermenté et fromage- montre également un lien statistique avec fractures et décès, mais "dans le sens inverse".

"Les femmes qui consomment beaucoup de fromage et produits à base de lait fermenté ont un taux de mortalité et fracture plus faible que celles qui en prennent peu", observent les chercheurs. Tous ces études doivent toutefois "être interprétées avec prudence" car il s'agit essentiellement d'un travail "d'observation" qui mériterait d'être confirmée, soulignent-ils.

L'analyse tient de l'observation et aucune relation de cause à effet n'a été formellement démontrée. Le D-galactose présent dans le lait en cause?

Mais les scientifiques suédois avancent une hypothèse pour expliquer l'éventuel effet néfaste du lait à haute dose chez les adultes: la présence en quantité importante de sucres spécifiques, lactose et D-galactose, qui sont peu présents dans les produits fermentés. Le D-galactose pourrait jouer un rôle dans le "stress oxydant" des cellules et l'inflammation des tissus: des expériences ont montré que ce produit injecté chez des souris accélérait le vieillissement.

"Il pourrait y avoir un lien avec le lactose et galactose contenus dans le lait (...) mais une telle relation de cause à effet doit encore être l'objet d'expérimentations", souligne l'équipe suédoise. "Il s'agit d'une étude intéressante, bien conçue mais, comme disent les auteurs, la prudence est de mise", commente la diététicienne et nutritionniste britannique Gaynor Bussell.

"On ne peut pas tirer une conclusion sur une relation de cause à effet car il se peut qu'il y ait un autre facteur difficile à identifier qui va de pair avec la consommation de lait et qui provoque mortalité accrue et fractures."

La vérité très indésirable sur la chimio

Publié à 17:48 par fandeloup Tags : vie monde chez france article travail internet argent nature
La vérité très indésirable sur la chimio

La vérité très indésirable sur la chimio

Auteur : Sylvie Simon | Editeur : Walt |

Le Dr Henri Joyeux, cancérologue a déclaré « 85 % des chimiothérapies sont contestables, voire inutiles » Cela fait des années que la chimiothérapie est dénigrée par de très nombreux cancérologues, français et américains et non des moindres, ont osé exprimer leur doute quant aux guérisons obtenues par les voies classiques.

Hardin B Jones, alors professeur de Physique médicale et de Physiologie à Berkeley, avait déjà communiqué en 1956 à la presse les résultats alarmants d'une étude sur le cancer qu'il venait de mener durant vingt-trois ans auprès de cancéreux et qui l'avait conduit à conclure que les patients non traités ne mourraient guère plus vite que ceux qui recevaient la chimiothérapie, bien au contraire.

« Les patients qui ont refusé tout traitement ont vécu en moyenne douze ans et demi. Ceux qui se sont soumis à l'intervention chirurgicale et aux autres traitements traditionnels ont vécu en moyenne trois ans seulement. »

Et le Dr Jones soulevait aussi la question des sommes fabuleuses engendrées par le « Cancer business ».

Les conclusions déstabilisantes du Dr Jones n'ont jamais été réfutées. (Walter Last, The Ecologist, vol. 28, n°2, Mars-avril 1998.) Le 4 octobre 1985, le Pr. G.eorges Mathé confirmait à L'Express :

« Il y a de plus en plus de cancers parce que le dépistage est beaucoup plus précoce, mais on ne les maîtrise pas aussi bien qu'on le dit, malgré la chimiothérapie qui est surtout prônée par les chimiothérapeutes et par les laboratoires [ce qu'il appelait la « cancer-connection], et pour cause : ils en vivent.

Si j'avais une tumeur, je n'irais pas dans un centre anticancéreux » (cf. Le Monde, 4 mai 1988).

À son tour, le Dr Martin Shapiro écrivait dans un article

« Chimiothérapie : Huile de perlimpinpin ? », :

« Certains cancérologues informent leurs patients du manque d'évidence que ce traitement soit utile, d'autres sont sans doute égarés par l'optimisme des parutions scientifiques sur la chimiothérapie. D'autres encore répondent à une stimulation économique. Les praticiens peuvent gagner davantage en pratiquant la chimiothérapie qu'en prodiguant consolation et apaisement aux patients mourants et à leurs familles. » (cf. Los Angeles Times, 1er septembre 1987).

Cet avis est largement partagé par les docteurs E. Pommateau et M. d'Argent qui estiment que la chimiothérapie « n'est qu'un procédé de destruction de cellules malignes comme la chirurgie ou la radiothérapie. Elle ne résout pas le problème capital des réactions de l'hôte qui devrait être, en dernier ressort, les seules à rechercher pour arrêter la poussée cancéreuse »

(Leçons de cancérologie pratique). Pour sa part, le Pr Henri Joyeux, cancérologue à Montpellier, a déclaré à maintes reprises que « ce sont des intérêts financiers gigantesques qui permettent d'expliquer que la vérité scientifique soit encore aujourd'hui trop souvent occultée : 85 % des chimiothérapies sont contestables, voire inutiles ».

Pour eux, comme pour bien d'autres médecins, les seuls cas de guérison avec cette thérapeutique sont des cas qui peuvent guérir spontanément, c'est-à-dire dans lesquels l'hôte peut organiser ses propres défenses. Il est difficile d'être plus clair : la chimiothérapie ne sert à rien !

Et pour la progression des cas de guérisons, le Dr Jean-Claude Salomon, directeur de recherche au CNRS, cancérologue, estime que le pourcentage de survie à cinq ans après le diagnostic initial s'est accru pour la seule raison que l'on sait faire des diagnostics plus précoces, mais que s'il n'est pas accompagné d'une baisse de la mortalité, l'augmentation du pourcentage de survie à cinq ans n'est pas un indice de progrès.

« Le diagnostic précoce n'a souvent pour effet que d'allonger la durée de la maladie avec son cortège d'angoisse. Cela contredit bien des affirmations concernant les prétendues avancées thérapeutiques. » (cf. Qui décide de notre santé.

Le citoyen face aux experts, Bernard Cassou et Michel Schiff, 1998) Le Dr Salomon précise qu'on comptabilise sans distinction les vrais cancers et des tumeurs qui n'auraient sans doute jamais provoqué de maladie cancéreuse, ce qui contribue à augmenter artificiellement le pourcentage des cancers « guéris ».

Cela augmente aussi, évidemment, celui des cancers « déclarés ». Encore un fait confirmé par le Dr Thomas Dao, qui fut directeur du département de chirurgie mammaire au Roswell Park Cancer Institute de Buffalo de 1957 à 1988 : « Malgré l'usage répandu de la chimiothérapie, le taux de mortalité par cancer du sein n'a pas changé ces 70 dernières années. »

Ainsi que par John Cairns, Professeur de microbiologie à l'université d'Harvard, qui a publié en 1985, une critique dans le Scientific American : « À part quelques rares cancers, il est impossible de déceler une quelconque amélioration par la chimiothérapie dans la mortalité des cancers les plus importants.

Il n'a jamais été établi que n'importe quel cancer peut être guéri par la chimiothérapie. » Nouvelle confirmation du Dr Albert Braverman, hématologue et cancérologue New Yorkais, dans le Lancet : « De nombreux cancérologues recommandent la chimiothérapie pour pratiquement toutes les tumeurs, avec un optimisme non découragé par un échec quasi immanquable […] aucun néoplasme disséminé, incurable en 1975, n'est guérissable aujourd'hui. » (cf. La Cancérologie dans les années 1990, vol. 337, 1991, p.901).

Quant au Dr Charles Moertal, cancérologue de la Mayo Clinic, il admet que : « Nos protocoles les plus efficaces sont pleins de risques et d'effets secondaires ; et après que tous les patients que nous avons traités aient payé ce prix, seule une petite fraction est récompensée par une période transitoire de régression incomplète de la tumeur. »

Alan Nixon, ancien Président de l'American Chemical Society, est encore plus radical : « En tant que chimiste, entraîné à interpréter des publications, il m'est difficile de comprendre comment les médecins peuvent ignorer l'évidence que la chimiothérapie fait beaucoup, beaucoup plus de mal que de bien. »

Ralph Moss est un scientifique non médecin qui étudie le cancer depuis des lustres. Il écrit des articles sur le sujet dans de prestigieux journaux, tels que leLancet, le Journal of the National Cancer Institute, le Journal of the American Medical Association, le New Scientist, et a publié un ouvrage The Cancer Industry:

« Finalement, il n'existe aucune preuve que la chimiothérapie prolonge la vie dans la majorité des cas, et c'est un grand mensonge d'affirmer qu'il existe une corrélation entre la diminution d'une tumeur et l'allongement de la vie du patient. »

Il avoue qu'il croyait autrefois en la chimiothérapie, mais que l'expérience lui a démontré son erreur : « Le traitement conventionnel du cancer est tellement toxique et inhumain que je le crains davantage que mourir d'un cancer.

Nous savons que cette thérapie ne marche pas — si elle marchait vous ne craindriez pas davantage le cancer qu'une pneumonie. […] Cependant, la plupart des traitements alternatifs, quelles que soient les preuves de leur efficacité, sont interdits, ce qui oblige les patients à se diriger vers l'échec car il n'ont pas d'alternative. Le Dr Maurice Fox, professeur émérite de biologie au MIT (Massachusetts Institute of Technology) a constaté, comme nombre de ses pairs, que les cancéreux qui refusaient les soins médicaux avaient un taux de mortalité inférieur à ceux qui les acceptaient.

Le Centre du Cancer de l'université McGill au Canada a envoyé un questionnaire à 118 médecins spécialisés dans le cancer des poumons afin de déterminer le degré de confiance qu'ils accordaient aux produits que les scientifiques de l'université étaient en train d'évaluer. On leur demandait d'imaginer qu'ils avaient un cancer et de dire quel médicament ils choisiraient parmi six autres en cours d'essais.

Il y eut 79 réponses des médecins, parmi lesquelles 64, soit 81 % n'accepteraient pas de participer aux essais de la chimiothérapie à base de Cisplatine qu'ils étaient en train de tester et 58 autres médecins parmi les mêmes 79, soit 73 %, estimaient que les essais en question étaient inacceptables, étant donne l'inefficacité des produits et leur degré élevé de toxicité.

De son côté, le Dr Ulrich Abel, épidémiologiste allemand du Centre du cancer de Heidelberg-Mannheim, a passé en revue tous les documents publiés sur la chimiothérapie par plus de 350 centres médicaux à travers le monde.

Après avoir analysé, pendant plusieurs années, des milliers de publications, il a découvert que le taux global de réussite de la chimiothérapie à travers le monde était « lamentable », seulement 3 %, et qu'il n'existe tout simplement aucune preuve scientifique indiquant que la chimiothérapie pouvait « prolonger de façon sensible la vie de patients souffrant des cancers organiques les plus courants ».

Il qualifie la chimiothérapie de « terrain vague scientifique » et affirme qu'au moins 80 % de la chimiothérapie administrée à travers le monde est inutile et s'apparente aux « habits neufs de l'empereur », alors que ni le docteur ni le patient ne souhaitent renoncer à la chimiothérapie. Le Dr Abel a conclu : « Nombre de cancérologues tiennent pour acquis que la chimiothérapie prolonge la vie des patients. C'est une opinion fondée sur une illusion qui n'est étayée par aucune des études cliniques ».

Cette étude n'a jamais été commentée par les grands médias et a été entièrement enterrée. On comprend pourquoi. En résumé, la chimiothérapie est elle est très toxique et ne peut faire la différence entre les cellules saines et les cellules cancéreuses.

Elle détruit peu à peu le système immunitaire qui ne peut plus protéger le corps humain des maladies ordinaires. Quelque 67 % des gens qui meurent pendant le traitement de leur cancer le doivent à des infections opportunistes qui n'ont pas été combattues par le système immunitaire.

L'étude la plus récente et significative a été publiée par le journal Clinical Oncology et menée par trois fameux oncologues australiens, le Pr Graeme Morgan du Royal North Shore Hospital de Sydney, le Pr Robyn Ward de l'Université de New South Wales-St. Vincent's Hospital et le Dr Michael Barton, membre de la Collaboration for Cancer Outcomes Research and Evaluation du Liverpool Health Service à Sydney.

Leur travail minutieux est basé sur l'analyse des résultats de toutes les études contrôlées en double aveugle menées en Australie et aux États-Unis, concernant la survie de 5 ans mise au crédit de la chimiothérapie chez les adultes durant la période de janvier 1990 à janvier 2004, soit un total de 72 964 patients en Australie et de 154 971 aux États-Unis, tous traités par chimiothérapie.

Cette vaste étude démontre qu'on ne peut plus prétendre, comme de coutume, qu'il ne s'agit que de quelques patients, ce qui permet aux systèmes en place de les balayer avec mépris du revers de la main. Les auteurs ont délibérément opté pour une estimation optimiste des bénéfices, mais malgré cette précaution, leur publication prouve que la chimiothérapie ne contribue qu'à un peu plus de 2 % à la survie des patients après 5 ans, soit 2,3 % en Australie, et 2,1 % aux États-Unis.

« Certains praticiens restent pourtant optimistes et espèrent que la chimiothérapie cytotoxique prolongera la vie des cancéreux », ont déclaré les auteurs dans leur introduction. Ils demandent à juste raison, comment il se fait qu'une thérapie qui a si peu contribué à la survie des patients au cours des 20 dernières années, continue à obtenir un tel succès dans les statistiques des ventes.

Il est vrai qu'on peut leur répondre que les patients peu curieux ou simplement affolés n'ont aucun choix : on ne leur propose rien d'autre. Massoud Mirshahi, chercheur à l'université Pierre et Marie Curie et son équipe ont découvert en 2009 que de nouvelles cellules du micro-environnement tumoral seraient impliquées dans la résistance à la chimiothérapie des cellules cancéreuses et les récidives avec l'apparition de métastases.

Ces cellules ont été appelées « Hospicells », car elles servent de niches qui ont la propriété de fixer un grand nombre de cellules cancéreuses et de les protéger de l'action de la chimiothérapie. ?Les « Hospicells » proviennent de la différenciation des cellules souches de moelle osseuse, et sont présentes dans les épanchements chez les malades atteints de cancers (liquide d'ascite, épanchements pleuraux). Les cellules cancéreuses, agglutinées autour d'une « Hospicell », forment de véritables petits nodules cancéreux.

Dans ces nodules ont été également identifiées des cellules immuno-inflammatoire. La microscopie électronique a démontré qu'il y avait des zones de fusion entre les membranes des « Hospicells » et celles des cellules cancéreuses, permettant le passage de matériel d'une cellule à l'autre.

De plus, les chercheurs ont observé le transfert de matériel membranaire de l'« Hospicell » vers les cellules cancéreuses, phénomène appelé trogocytose. Plusieurs autres mécanismes, comme le recrutement des cellules immunitaires suppressives ou la sécrétion de facteurs solubles par les « Hospicells » aident aussi à la résistance des cellules cancéreuse contre la chimiothérapie. ?

Compte-tenu de cette importance, il est suggéré que les cellules cancéreuses « nichées » sur une « Hospicell » pourraient être considérées comme responsables de la maladie résiduelle. Pour la recherche, il importe donc de trouver des drogues susceptibles à la fois de détruire les cellules cancéreuses et les « Hospicells ». L'étude la plus significative a été publiée par le journal Clinical Oncology et menée par trois fameux oncologues australiens, le Pr Graeme Morgan du Royal North Shore Hospital de Sydney, le Pr Robyn Ward de l'Université de New South Wales-St.

Vincent's Hospital et le Dr Michael Barton, membre de la Collaboration for Cancer Outcomes Research and Evaluation du Liverpool Health Service à Sydney. D'autres études ont paru dernièrement : La première, publiée dans la revue Nature, indique qu'une grande majorité des études sur le cancer sont inexactes et potentiellement frauduleuses. Les chercheurs n'arrivent que rarement à répliquer les résultats des grandes études « de référence ».

Parmi 53 études importantes sur le cancer, pourtant publiées dans des revues scientifiques de haut niveau, 47 n'ont jamais pu être reproduites avec des résultats semblables. Ce n'est pas une nouveauté d'ailleurs, puisque, en 2009, des chercheurs de l'University of Michigan's Comprehensive Cancer Center avaient également publié des conclusions de célèbres études sur le cancer, toutes biaisées en faveur de l'industrie pharmaceutique.

Et il reste de notoriété publique que certains médicaments contre le cancer provoquent des métastases. Cette longue liste de publications, toutes négatives et non exhaustives quant aux « bienfaits » de la chimiothérapie, pourraient s'expliquer par les travaux de certains chercheurs de la Harvard Medical School à Boston (USA), qui ont constaté que deux médicaments utilisés en chimiothérapie provoquent le développement de nouvelles tumeurs, et non pas le contraire ! Il s'agit de ces nouveaux médicaments qui bloquent les vaisseaux sanguins qui « nourrissent » la tumeur.

Les spécialistes les appellent traitements « anti-angiogénèse ». Ces médicaments, le Glivec et le Sutent (principes actifs, imatinib et sunitinib), ont un effet démontré pour réduire la taille de la tumeur. Cependant, ils détruisent de petites cellules peu étudiées jusqu'à présent, les péricytes, qui maintiennent sous contrôle la croissance de la tumeur. Libérée des péricytes, la tumeur a beaucoup plus de facilité à s'étendre et à « métastaser » dans d'autres organes. Les chercheurs de Harvard considèrent donc maintenant que, bien que la tumeur principale diminue de volume grâce à ces médicaments, le cancer devient aussi beaucoup plus dangereux pour les patients ! (Cancer Cell, 10 juin 2012).

Le Professeur Raghu Kalluri, qui a publié ces résultats dans la revue Cancer Cell, a déclaré : « Si vous ne prenez en compte que la croissance de la tumeur, les résultats étaient bon. Mais si vous prenez du recul et regardez l'ensemble, inhiber les vaisseaux sanguins de la tumeur ne permet pas de contenir la progression du cancer. En fait, le cancer s'étend. »

Une étude encore plus surprenante mais moins récente a été publiée par le journal Clinical Oncology et menée par trois fameux oncologues australiens, le Pr Graeme Morgan du Royal North Shore Hospital de Sydney, le Pr Robyn Ward de l'Université de New South Wales-St. Vincent's Hospital et le Dr Michael Barton, membre de la Collaboration for Cancer Outcomes Research and Evaluation du Liverpool Health Service à Sydney.

Leur travail minutieux est basé sur l'analyse des résultats de toutes les études contrôlées en double aveugle menées en Australie et aux États-Unis, concernant la survie de 5 ans mise au crédit de la chimiothérapie chez les adultes durant la période de janvier 1990 à janvier 2004, soit un total de 72 964 patients en Australie et de 154 971 aux États-Unis, tous traités par chimiothérapie.

Cette vaste étude démontre qu'on ne peut plus prétendre, comme de coutume, qu'il ne s'agit que de quelques patients, ce qui permet aux systèmes en place de les balayer avec mépris du revers de la main. Les auteurs ont délibérément opté pour une estimation optimiste des bénéfices, mais malgré cette précaution, leur publication prouve que la chimiothérapie ne contribue qu'à un peu plus de 2 % à la survie des patients après 5 ans, soit 2,3 % en Australie, et 2,1 % aux États-Unis. Enfin, une étude publiée dans la revue Nature Medicine en 2012, pourrait changer l'idée que l'on se fait de la chimiothérapie.

Les chercheurs du Fred Hutchinson Cancer Research Center de Seattle auraient en effet découvert que celle-ci déclencherait chez des cellules saines la production d'une protéine alimentant les tumeurs. Alors que des chercheurs travaillaient sur la résistance à la chimiothérapie dans des cas de cancers métastasés du sein, de la prostate, du poumon et du colon, ils ont découvert par hasard que la chimiothérapie, non seulement ne guérit pas le cancer, mais active plutôt la croissance et l'étendue des cellules cancéreuses.

La chimiothérapie, méthode standard de traitement du cancer aujourd'hui, oblige les cellules saines à libérer une protéine qui en réalité alimente les cellules cancéreuses et les fait prospérer et proliférer. Selon l'étude, la chimiothérapie induit la libération dans les cellules saines d'une protéine, WNT16B, qui aide à promouvoir la survie et la croissance des cellules cancéreuses.

La chimiothérapie endommage aussi définitivement l'ADN des cellules saines, préjudice à long terme qui persiste longtemps après la fin du traitement par chimio.

« Quand la protéine WNT16B est sécrétée, elle interagirait avec les cellules cancéreuses proches et les ferait grossir, se répandre et le plus important, résister à une thérapie ultérieure, » a expliqué le co-auteur de l'étude Peter Nelson du Centre de Recherche Fred Hutchinson sur le cancer à Seattle, concernant cette découverte totalement inattendue.

« Nos résultats indiquent que dans les cellules bénignes les réponses en retour peuvent contribuer directement à une dynamique de grossissement de la tumeur, » a ajouté l'équipe au complet selon ce qu'elle a observé.

Ce qui revient à dire : Éviter la chimiothérapie augmente les chances de recouvrer la santé. Comment se fait-il qu'une thérapie qui a si peu contribué à la survie des patients au cours des 20 dernières années continue à obtenir un tel succès dans les statistiques des ventes. Il est vrai que les patients peu curieux ou simplement affolés n'ont aucun choix : on ne leur propose rien d'autre que « le protocole ».

À quelle pression le cancérologue actuel est-il soumis pour choisir le traitement du patient ?

Jadis, le bon médecin choisissait en son âme et conscience, selon le serment d'Hippocrate, le meilleur traitement pour son patient. Il engageait ainsi sa responsabilité personnelle après un entretien prolongé avec son malade. « Depuis les années 1990 — et singulièrement de façon de plus en plus autoritaire depuis le plan cancer de 2004 — la liberté de soigner du cancérologue a disparu en France et dans certains pays occidentaux.

Au prétexte fallacieux de la qualité des soins, tous les dossiers de patients sont “discutés” en réunion multidisciplinaire où, de fait, l'essai thérapeutique en cours testant les drogues nouvelles est imposé par la “communauté”.

Le praticien qui souhaite déroger à ce système doit s'expliquer et encourt tous les ennuis possibles, en particulier celui de voir le service auquel il participe perdre son autorisation de pratiquer la cancérologie. » Le Dr Nicole Delépine résume ainsi ce qui peut arriver quand on s'éloigne des stricts protocoles pour les adapter à la situation personnelle des malades.

Seuls, 3 médecins sur 4 osent refuser la chimio pour eux-mêmes, en cas de cancer, en raison de son inefficacité sur la maladie et de ses effets dévastateurs sur la totalité de l'organisme humain. Mais ce détail est bien caché aux malades. Le Docteur Jacques Lacaze, diplômé de cancérologie et ardent défenseur des travaux du Dr Gernez sur le sujet, estime que la seule vraie solution est la prévention.

« En effet, un cancer a une vie cachée de 8 ans en moyenne. Durant cette longue période, l'embryon de cancer est très vulnérable, un rien peut le faire capoter. TOUS les spécialistes admettent cette réalité, mais très peu d'entre eux préconisent une politique de prévention. Pourtant, elle est facile à mettre en œuvre. Nous savons que la courbe d'incidence du cancer démarre vers 40 ans, donc qu'un futur cancer s'installe vers 32 ans.

L'étude SUVIMAX a montré qu'une simple complémentation en vitamines et sels minéraux suffisait à faire baisser cette incidence de cancers d'environ 30 %. Cette étude a duré 8 ans. Aucune conséquence en politique de santé publique n'en a été tirée.

Bien entendu, l'industrie pharmaceutique ne veut pas en entendre parler : on ne scie pas la branche sur laquelle on est assis. Le corps médical est sous la coupe des “grands patrons” qui font la pluie et le beau temps et qui sont grassement rémunérés par cette industrie (cherchez sur internet, vous verrez que la plupart de ces grands patrons émargent d'une façon ou d'une autre à un laboratoire).

Et la majorité des médecins de base suivent sans broncher ! Et malheur à ceux qui pensent le contraire et qui contestent chimiothérapie ou vaccins ou antibiothérapie. […] Je dois ajouter, car cela correspond à ma pratique et à des études réelles faites par quelques services spécialisés, de nombreux produits qualifiés de complémentaires ou alternatifs sont efficaces, mais interdits et pourchassés par les autorités aux ordres de l'industrie pharmaceutique. »

Pour en savoir plus, sur la prévention des cancers, vous pouvez consulter le site gernez.asso.fr Il ne faut pas oublier dans cette affaire que seule la pression des personnes concernées, c'est à dire nous tous, fera plier ce système.

soda

Publié à 17:03 par fandeloup Tags : chez
soda

ON LE SAIT: LE COCA-COLA ET TOUTES LES BOISSONS GAZEUSES SUCRÉES DE LA MÊME FAMILLE NE SONT PAS LES MEILLEURES POUR LA SANTÉ. SELON UNE RÉCENTE ÉTUDE MENÉE PAR L’UNIVERSITÉ MACQUARIE À SYDNEY, ELLES POURRAIENT MÊME MODIFIER PROFONDÉMENT LE CERVEAU.

Une étude a montré que consommer une boisson sucrée sur le long terme mène à l’hyperactivité et à l’altération de centaines de protéines présentes dans le cerveau.

Des modifications cérébrales identiques ont été constatées chez les malades du cancer ou chez les gens souffrant d’Alzheimer.

La recherche a été menée sur des rats mais selon les scientifiques australiens, elle indique sans aucun doute que la consommation de ces boissons a des conséquences sur notre santé, physique et mentale.

« Ces boissons représentent une proportion importante de l’apport calorique quotidien de beaucoup d’adultes », s’alarment les scientifiques.

« Mais elles provoquent des changements durables du comportement et un changement profond dans la chimie du cerveau. Si vous avez soif, buvez de l’eau. »

Si cette dernière étude se concentrait sur le cerveau, on sait déjà que les boissons gazeuses jouent un rôle dans les crises cardiaques, le diabète, la prise de poids, la fragilité des os, le cancer du pancréas et de la prostate, de la faiblesse musculaire et on en passe.

ongles

Publié à 19:48 par fandeloup
ongles

Ongles mous et cassants ?

Une huile fortifiante super simple à préparer !

Mélangez huile d'olive et huile de ricin dans les mêmes quantités, ajoutez quelques gouttes d'huile essentielle de citron (en fonction de la quantité d'huile), c'est prêt !

Appliquez sur vos ongles et laissez poser !

Pas la peine de vider vos bouteilles d'huile, très peu de quantité suffit !

A vous de jouer !

fibromyalgie

Publié à 09:56 par fandeloup Tags : vie
fibromyalgie

Lorsque la fibromyalgie mène à l'euthanasie, faute d'un traitement..

Il y a deux semaines Els Winne a été euthanasiée. Elle avait 48 ans. Elle souffrait d'une fibromyalgie depuis 6 ans. En plein débat sur l'extension de la loi sur l'euthanasie, rappelons qu'une personne ne doit pas forcément être condamnée par la médecine pour avoir le droit de demander une euthanasie.

Els Winne n'était pas en phase terminale, parce qu'on ne meurt pas de fibromyalgie, mais elle souffrait terriblement. La fibromyalgie ne se voit pas. Et pourtant, elle gâche la vie de Christine depuis plus de 20 ans :

"C'est une douleur permanente, 24 heures sur 24, qui est usante, autant physiquement que moralement, il y a des jours où je ne quitte même pas mon lit parce que j'ai trop mal et malheureusement dans mon cas, même la morphine ne fait plus d'effet".

Parfois, le syndrome est plus fort que la volonté de vivre. Els Winne, 48 ans, vient d'être euthanasiée par le docteur Declercq, à Ostende. Pourtant, la fibromyalgie ne tue pas. Et la recherche avance à grands pas depuis quelques années.

Nathalie Roussel, docteur en sciences médicales, fait partie d'un groupe de recherche de l'université d'Anvers sur les douleurs chroniques : "On a su démontrer qu'il y a un dérèglement du système nerveux qui est probablement à l'origine des douleurs chroniques des patients avec la fibromyalgie ainsi que d'autres troubles qu'on pensait inexplicables jusqu'à présent".

Il y a donc un espoir, même si Nathalie Roussel nuance, on est encore loin du remède miracle. Mais imaginons que dans 5 ans, on trouve un médicament, le docteur Declercq regrettera-t-il d'avoir pratiqué cette euthanasie sur sa patiente ? :

"Non parce qu'on a fait le choix avec tous les arguments qu'on a maintenant, c'est bien possible qu'on trouve une solution, espérons qu'on la trouve dans 5 ans, mais pour ces gens-là, c'est trop tard, 5 ans."

Ebola

Ebola

Ebola : tout ce qu'il faut savoir © © ursule - Fotolia.com L'épidémie d'Ebola en cours en Afrique de l'Ouest est la plus importante jamais enregistrée depuis l'identification de la maladie en 1976. En France, même si le risque d'importation du virus Ebola par le biais des voyageurs est faible, les autorités de Santé se préparent à y faire face. Quels sont les sympt...mes ? Quand consulter ? Comment s'attrape le virus Ebola ? Réponses.

 

Ebola : quels sont les symptômes ?

La fièvre hémorragique Ebola débute brutalement par l'apparition d'une fièvre élevée (> ou = à 38° C). Elle s'accompagne de douleurs articulaires et musculaires, ainsi que de maux de tête. Le tout s'associe à une importante fatigue générale. "En 3 à 4 jours, apparaissent d'autres symptômes au niveau de la peau et des muqueuses (conjonctivite, éruption cutanée, difficulté à avaler) et digestifs (diarrhée, vomissements)", précise le ministère de la Santé. Période d'incubation. Le délai entre le moment où une personne est contaminée et le moment où elle développe des symptômes varie entre 2 et 21 jours. Pendant cette période, elle n'est pas contagieuse. La phase terminale est marquée par des signes neurologiques (troubles de la vigilance, agitation, ...) et des hémorragies externes (saignements de nez et des gencives, toux sanglantes, selles sanglantes, etc.)

 

Ebola : comment se transmet le virus ?

La première chose à retenir c'est que tant que la personne contaminée ne développe pas de symptômes, elle n'est pas contagieuse. De plus le risque de transmission du virus est faible dans la première phase de la maladie et augmente à mesure qu'elle s'aggrave. Le virus Ebola se transmet par contact direct. On peut donc être contaminé de deux manières : - soit via des fluides corporels tels que le sang, la salive, l'urine, le lait maternel, le sperme, la sueur, les selles et les vomissements des personnes infectées, vivantes ou non. - soit via des objets contaminés par des fluides corporels de patients infectés (par exemple, des aiguilles). Ce mode de contamination est le plus souvent accidentel et a lieu essentiellement dans un environnement médical. Lorsqu'un soignant touche du matériel médical ayant servi aux soins par exemple. Pas de transmission dans l'air. Aucun risque cependant de contracter le virus dans les lieux publics ou dans les transports au contact d'autres malades, comme c'est le cas avec la grippe. En effet, aucune transmission du virus par voie aérienne n'a été rapportée à ce jour. Comment se fait-il que des soignants soient contaminés par Ebola ? Depuis le début de l'épidémie, on estime à plus de 373 le nombre des personnels médicaux infectés par le virus Ebola (source : MSF). "Cela se produit s'ils ne portent pas un équipement de protection individuelle ou n'appliquent pas convenablement les mesures de lutte contre l'infection pour soigner ces patients, explique l'OMS. Il faut informer les soignants à tous les niveaux du système de santé de la nature de la maladie et du mode de transmission; ils doivent par ailleurs appliquer strictement les précautions recommandées de lutte contre l'infection." En Afrique de l'Ouest où sévit actuellement une épidémie Ebola, la viande de brousse issue de la faune sauvage chassée principalement en Afrique (antilope, éléphant, chauve-souris, serpent, singe, etc.) est également une des sources de contamination. Par ailleurs, les rites funéraires au cours desquels les proches du défunt sont en contact direct avec le corps de la victime peuvent jouer un rôle dans la transmission du virus.

 

Ebola : quand faut-il consulter ?

La ministre de la Santé, Marisol Touraine, a mis en place un numéro vert pour répondre aux interrogations des Français sur le virus Ebola. Il s'agit du 0800 13 00 00. Inutile d'aller consulter si vous avez été en contact avec une personne qui toussait un peu fort dans le métro. A l'heure actuelle, une consultation est nécessaire si vous revenez d'une zone où l'on sait que la maladie à virus Ebola est présente ET que vous avez de la fièvre (supérieure ou égale à 38 °C). Appelez immédiatement le 15 et restez à votre domicile en limitant au maximum les contacts avec votre entourage. Par ailleurs, ne consultez pas un médecin généraliste ou un service d'urgence afin d'éviter de multiplier les contacts. Si vous revenez d'un pays où circule Ebola et que vous êtes malade, mais que vous n'avez pas de fièvre, c'est que vous n'avez probablement pas contracté Ebola. Néanmoins, le ministère de la santé conseille d'appeler le 15 en cas de doute, "en décrivant vos symptômes et en mentionnant que vous êtes de retour d'un pays où une épidémie d'Ebola est en cours." Ne vous déplacez pas aux urgences d'un hôpital ou au cabinet de votre médecin traitant. Si vous revenez d'un pays où circule Ebola et que vous n'avez pas de fièvre, le ministère de la Santé recommande de surveiller votre température pendant 21 jours (le temps d'incubation). Si vous avez été en contact avec une personne qui revient d'un pays où circule le virus Ebola, pas de panique. En effet, le fait de revenir d'un pays de la zone à risque ne constitue pas un élément suffisant pour être un "cas suspect". Les personnes qui ne présentent pas de symptômes ne sont pas contagieuses même si elles sont en phase d'incubation après avoir contracté le virus. Pour la même raison, si votre enfant est en classe avec un enfant revenant d'une pays touché par Ebola, celui-ci ne sera pas évincé de l'école. Comme pour toute personne de retour d'un pays de la zone à risque, les parents de l'enfant concerné doivent surveiller sa température pendant 21 jours après le retour.

 

Ebola : quels contrôles à l'arrivée des vols directs des pays touchés par Ebola ?

Les passagers arrivant à Roissy-Charles-de-Gaulle sur le vol quotidien d'Air France en provenance de Conakry, en Guinée, seront contrôlés à partir du samedi 18 octobre, a indiqué la ministre de la Santé, Marisol Touraine. Ces examens seront menés par l'équipe médicale de l'aéroport en liaison avec la Croix-Rouge et la Protection civile. L'état de santé des voyageurs qui embarquent en Afrique de l'Ouest est par ailleurs toujours contrôlé. Rappelons que Londres avait jusqu'à présent été la seule capitale de l'UE à avoir introduit des contrôles à l'arrivée dans ses principaux aéroports et gares, suivant les exemples américain et canadien.

 

 Ebola : comment sont pris en charge les malades en France ?

Afin d'éviter toute psychose, le ministère de la Santé a choisi de ne pas communiquer les cas "suspects" d'Ebola, avant d'avoir les résultats définitifs. En revanche, si un cas se confirmait, il jouerait la transparence : "Je m'engage à en informer immédiatement l'opinion publique", a déclaré Marisol Touraine, vendredi 10 octobre. Quel dispositif de prise en charge en France ? Une procédure établie par le ministère de la Santé prévoit le transport, l'isolement dans une structure hospitalière adaptée, la réalisation des examens sans risque d'exposition des professionnels et la prise en charge thérapeutique des possibles cas suspects. Il existe en France 12 établissements de santé de référence : l'hôpital Bichat et l'hôpital Necker à Paris, l'hôpital Bégin à Saint-Mandé (94), le CHU de Lille, le CHU de Rennes, le CHU de Rouen, l'hôpital Nord à Marseille, l'hôpital de la Croix-Rousse à Lyon, le CHU de Bordeaux, le CHU de Strasbourg, le CHU de Nancy, le CH de La Réunion. Tous sont opérationnels et répondent à des critères très précis : présence d'un service de maladies infectieuses, d'un service de réanimation doté de chambres d'isolement, d'un service de médecine nucléaire, d'un laboratoire de confinement total des agents infectieux, d'une aire permettant à un hélicoptère de se poser. Ces hôpitaux disposent par ailleurs de lits en salle d'isolement. La première étape de la prise en charge des patients consiste en leur isolement afin de stopper la chaîne de transmission du virus.

 

Peut-on voyager dans l'un des pays touchés par le virus Ebola ?

Le ministère de la Santé recommande aux voyageurs de suspendre "sauf raison impérative" tout projet de voyage dans les pays où des cas de fièvre hémorragique à virus Ebola sont avérés : Guinée, Sierra Léone, Libéria et Nigéria. Toute personne souhaitant néanmoins voyager dans l'un de ces pays doit se signaler auprès des postes diplomatiques français ou s'inscrire sur le site Ariane du ministère des Affaires étrangères, afin d'être suivi et recontacté si nécessaire. Si vous devez maintenir votre voyage, le respect des mesures de protection individuelles est le seul moyen de prévenir l'infection. Rappelons qu'il n'existe pas, à ce jour, de vaccin pour se protéger du virus Ebola. éviter de se déplacer ou de séjourner dans les zones de foyer de l'épidémie ; respecter les consignes des autorités locales ; respecter les règles d'hygiène de base et, notamment, se laver fréquemment les mains avec du savon ou une solution hydro-alcoolique ; éviter tout contact rapproché avec des personnes ayant de la fièvre ; éviter tout contact avec des animaux sauvages (singes, chauves-souris...) vivants ou morts ; ne pas consommer, ni manipuler de viande de brousse ; cuire soigneusement avant consommation les produits animaux (sang, viande, lait...). En cas d'apparition brutale de fièvre dans un pays où circule le virus, contactez rapidement les services de l'ambassade ainsi qu'un médecin. En savoir plus : consultez le site du ministère des Affaires étrangères, rubrique "conseils aux voyageurs".

 

Ebola : quels traitements ?

Lors de l'hospitalisation de l'infirmière de Médecins sans frontières (MSF) à l'hôpital Bégin, un arrêté ministériel a autorisé à titre dérogatoire la prescription "pour le traitement des personnes contaminées par le virus Ebola, dans les établissements de santé de référence et dans les hôpitaux d'instruction des armées", de trois médicaments :

- le favipiravir (Avigan). Il s'agit d'un antiviral contre la grippe développé par la société japonaise Toyama Chemical. Un essai thérapeutique mené par l'Inserm débutera à partir de novembre sur une soixantaine de patients en Guinée.

- le TKM-100-802 de la société canadienne Tekmira.

- le ZMapp. Ce médicament, élaboré par une firme de biotechnologie de San Diego, Mapp Biopharmaceutical, est un cocktail d'anticorps développé à partir de cellules de souris et composé de protéines extraites de plantes de tabac.

boissons qui aident à purifier le foie

Publié à 17:29 par fandeloup
boissons qui aident à purifier le foie

5 boissons qui aident à purifier le foie naturellement

 Le foie est l’un des organes les plus importants de notre corps, car il remplit des fonctions vitales pour notre santé. Cet organe se charge de la désintoxication, de la régulation du métabolisme, de la purification du sang, de synthétiser les protéines plasmatiques, d’absorber et de stocker les vitamines, etc.

Beaucoup de facteurs et de mauvaises habitudes mettent en danger la santé de cet organe indispensable, ce qui affecte notre santé générale. Il est donc important de ne pas négliger un quelconque problème hépatique, car il pourrait se convertir en une affection grave et difficile à maîtriser.

La santé du foie peut être soumise à rude épreuve si nous ne faisons pas attention, car beaucoup de nos habitudes peuvent être à l’origine de la détérioration de sa santé et de certaines complications. Aujourd’hui, nous allons vous montrer comment préparer 5 boissons qui permettent de nettoyer le foie de façon naturelle afin de prévenir un grand nombre de maladies.

 

Jus de pommes

Pommes

La pomme est riche en fibres, et contient de l’acide malique, un composant qui aide à ramollir les calculs biliaires. Boire du jus de pommes est idéal pour nettoyer le foie d’une façon naturelle, et par conséquent, prévenir tout type d’infection hépatique.

Vous aurez besoin de :

½ kilo de pommes

½ citron Sucre (selon le goût)

Eau

Comment le préparer ?

Lavez un kilo de pommes, mais ne les pelez pas. Coupez-les en morceaux, puis placez-les dans un mixeur. Ajoutez le jus d’un demi-citron, le sucre selon votre goût, et deux verres d’eau. Mixez tous les ingrédients, et dégustez ce délicieux jus. Conseils Buvez le jus de pommes pendant six jours, de préférence à jeun. Pendant cette cure au jus de pommes pour détoxifier votre foie, évitez de consommer des protéines, des produits laitiers et de la friture.

 

Thé vert

Le thé vert est connu mondialement pour ses propriétés et bienfaits sur l’organisme. Il est notamment riche en catéchines, un type d’antioxydant végétal qui, selon différentes études, possède la capacité d’éliminer l’accumulation de graisses dans le foie, et de stimuler la fonction hépatique adéquate.

Comment le consommer ?

Buvez des infusions de thé vert avec modération. Le mieux est de le consommer à jeun ou avant de vous reposer. Une surconsommation de thé vert peut entraîner des effets secondaires qui affectent d’autres parties de l’organisme.

 

Smoothie au pamplemousse

Pamplemousse

Ce smoothie nettoie le foie, aide à détoxifier l’organisme, et à renforcer le système lymphatique. Il n’a aucun effet secondaire, c’est pourquoi vous pouvez le consommer tous les jours, sans risque pour la santé.

Vous aurez besoin de :

2 gros pamplemousses

2 gousses d’ail frais

1 morceau de racine de gingembre frais

4 citrons 300 ml d’eau distillée filtrée

1 cuillerée ou pastille d’acidophiles

2 cuillerées d’huile d’olive à pression à froid

Comment le préparer?

D’abord, pressez les citrons et les pamplemousses pour obtenir leur jus. À part, râpez le gingembre et broyez l’ail pour en extraire le jus. Placez tous les ingrédients dans le mixeur, puis ajoutez les jus, le gingembre, et l’ail. Mixez et buvez avant d’aller vous coucher.

 

Jus d’airelles rouges

Les airelles rouges possèdent des propriétés dépuratives et détoxifiantes qui sont idéales pour nettoyer le foie. Leur teneur en vitamines, minéraux, antioxydants essentiels en font un allié de taille pour la santé de votre organisme, car ils permettent d’éviter beaucoup de maladies.

Vous aurez besoin de :

2 grosses pommes rouges

1 grosse poire verte

1/2 tasses d’airelles rouges fraîches

1 grande branche de céleri

1 petit concombre

Comment le préparer ?

Mélangez tous les ingrédients dans un mixeur sans les peler. Mixez, puis buvez ce jus. Vous devez consommer ce jus pendant cinq jours consécutifs.

 

Jus de carottes

carotte-pomme

La carotte contient des vitamines et des minéraux comme la vitamine A, la vitamine B, la vitamine C, du calcium, du phosphore et du potassium. Ces composants sont dépuratifs et permettent d’empêcher un grand nombre d’infections hépatiques, car ils aident à détoxifier et éliminer les substances indésirables.

Vous aurez besoin de :

½ concombre non pelé

4 carottes non pelées

1 branche de céleri

Comment le préparer ?

Lavez bien tous les ingrédients, puis coupez-les en petits morceaux. Mixez tous les ingrédients jusqu’à l’obtention d’un mélange homogène. Buvez votre jus de carottes pendant sept jours consécutifs.

Les aliments qui vous aideront

Publié à 15:58 par fandeloup Tags : photo
Les aliments qui vous aideront

 Les aliments qui vous aideront à brûler les graisses

Vous vous êtes déjà demandé comment faire pour brûler les graisses de manière naturelle ? Si vous n’avez pas encore trouvé la réponse, nous allons vous la donner ici ! Il existe en effet certains aliments qui peuvent vous aider à brûler les graisses en trop dans votre organisme. De par leurs composants et leurs caractéristiques, ces aliments nous aident de manière simple et surtout, de manière saine ! Ils nous apportent également énormément de bienfaits pour la santé.

 

Les fruits secs fruits secs

Les noix et les amandes sont très bonnes et surtout très efficaces pour nous enlever l’envie de grignoter entre les repas. Elles nous empêchent donc de prendre des calories en trop. La méthode est très simple. Dès que vous avez un peu faim, mangez un petit peu de noix ou d’amandes (à peu près 24 unités). Votre estomac se sentira plein, rassasié et surtout satisfait !

 

Les légumineuses

En raison de leur haute teneur en fibres, ces aliments sont très efficaces pour aider à brûler les graisses. En effet, les fibres rassasient pleinement notre organisme, donc pas besoin de manger plus que ce que l’on a besoin !

 

Les légumes verts

Les légumes verts contiennent beaucoup de fibres, mais aussi de l’eau, et ne représentent qu’une quantité minimale de calories. Vous pouvez donc satisfaire votre appétit et recevoir en même temps des vitamines et des minéraux ! Ces derniers manquent souvent dans notre organisme.

 

Les produits laitiers

Le lait, les yaourts et les fromages, bien évidemment tous sans graisses, sont très bénéfiques pour l’organisme. En effet, ils ont plus de calcium que n’importe quel autre aliment, ce qui favorise la formation des os en les maintenant solides et sains. Ils peuvent aussi nous aider à combattre l’excès de graisse.

 

Les œufs

Il a souvent été dit que les œufs ne doivent pas être consommés trop souvent car ils augmenteraient les taux de cholestérol et de triglycéride. Mais rien de tout cela n’est vrai ! De récentes recherches ont démontré que manger un à deux œufs par jour nous aide à augmenter les niveaux de protéines dont notre corps a besoin. Ils sont également riches en vitamine B12, un nutriment qui aide à détruire les dépôts de graisse !

 

Le thé vert

Le thé vert nous vient de l’Est. Il contient des catéchines, qui sont des substances qui éliminent les graisses en nettoyant l’organisme. Comment ? Elles augmentent le métabolisme et la vitesse à laquelle le foie élimine la graisse. Il est également recommandé de consommer quatre à six tasses par jour, de sorte que les toxines soient éliminées par l’urine !

 

Le vinaigre de cidre vinaigre

Grâce à diverses études, il a été démontré que le vinaigre de cidre active très rapidement certaines enzymes dans notre corps ! Celles-ci augmentent et accélèrent la décomposition des graisses. Ce produit est vivement recommandé par les spécialistes, qui invitent leurs patients à rajouter du vinaigre de cidre dans les salades, car il s’agit d’une combinaison excellente et très saine

 

Les pommes, les baies et les mûres

Les pommes sont riches en flavonoïdes, un composé chimique qui développe encore plus la capacité calorique ! mûres Les baies et les mûres contiennent elles de la pectine, un ingrédient qui vous rassasiera en peu de temps !

Souvenez-vous… Comme vous venez de le voir, il y a énormément d’aliments qui peuvent nous aider à brûler les graisses naturellement. En plus, ils sont tous délicieux ! L’idéal est d’en consommer fréquemment, car vous obtiendrez ainsi les meilleurs résultats possibles et ce, en très peu de temps. Si vous ajoutez un peu d’exercice, voir même une simple promenade quotidienne, vous pouvez être sûr que les résultats ne se feront pas attendre !

transpiration excessive

Publié à 14:32 par fandeloup Tags : sport monde chez bonne mer société
transpiration excessive

 Comment éviter la transpiration excessive

Toutes les personnes transpirent, soit parce que c’est l’été, soit parce qu’elles font du sport ou parce que le chauffage est très élevé. Cependant, le problème est lorsque la transpiration est excessive au point de se voir sur les vêtements et générer des odeurs. Porter des vêtements avec une grande auréole sous les aisselles peut en effet être embarrassant pour certains. Découvrez quelques conseils et remèdes maison pour la transpiration excessive.

 

Que savoir sur la transpiration « normale » et excessive

Le moyen qu’a le corps pour éliminer les toxines et les impuretés, ainsi que la graisse, c’est par la sueur ou la transpiration. La sueur est produite par les glandes apocrines, qui sécrètent des phéromones, qui ont des objectifs d’attraction sexuelle. Cependant, dans la société d’aujourd’hui, l’odeur est un motif de rejet. Parmi les causes de la transpiration excessive on peut inclure l’alimentation, la génétique ou la drogue. Le nom médical pour cette condition est l’hyperhydrose. Elle peut également affecter le visage, les mains et les pieds et c’est un problème dont souffre près de 5% de la population mondiale. La cosmétique n’est pas une bonne solution, parce que tout ce que vous obtenez avec des parfums ou des déodorants c’est de « couvrir », ce qui peut éventuellement provoquer une irritation de la peau.

 

Conseils pour éviter la sudation excessive

Modifier vos attentes :

Un problème fréquent chez ceux qui sont confrontés tous les jours à la transpiration excessive est de penser inconsciemment « cette fois je ne vais pas transpirer », mais c’est impossible. Quand ces personnes commencent à transpirer elles sont frustrés, déprimées, honteuses, etc Pendant l’été, analysez la sueur comme quelque chose de normal, qui pose un problème à tout le monde. Cela vous permettra de réduire votre anxiété.

 

Rappelez-vous de toujours bien sécher la sueur :

Bien sûr, vous vous sentez humide et ne voyez pas de moyen d’échapper à ce problème. Cependant, quand on est quelque part, il faut sécher ses vêtements pour que ça soit plus agréable et terminer avec vos aisselles ou vos pieds.

 

Laissez tomber la caféine :

Non seulement elle est présente dans le café, mais aussi dans d’autres thés et boissons non alcoolisées (surtout dans les « colas »). Vous serez plus détendue et allez moins transpirer si vous buvez des jus de fruits frais et de l’eau qu’un café latte.

 

Mettez des vêtements cool :

Les vêtements en Lycra et autres matériaux synthétiques ne font qu’exacerber le problème. Les meilleurs vêtements sont les chemises ou les chaussettes en coton qui ne sont pas près du corps, mais permettent de laisser respirer les pores. Évitez les couleurs très sombres, préférez les tons blancs ou pastels.

 

Remèdes maison contre la transpiration excessive

Faites-vous un déodorant ou anti-transpirant maison. Celui que vous achetez dans les magasins ne font que supprimer l’odeur, mais ne vous arrête pas la transpiration et ils obstruent aussi les pores avec des toxines (c’est pour cela que vous avez les aisselles sombres).

Les ingrédients de ce déodorant naturel sont :

¼ tasse de bicarbonate de soude, 8 cuillères à soupe d’huile de noix de coco vierge (non raffinée),

¼ tasse de fécule de maïs et quelques gouttes d’huile essentielle (en option).

Mélanger le bicarbonate de soude et la fécule de maïs, ajouter de l’huile de noix de coco, en battant bien. Laisser refroidir et se solidifier. Appliquer sous les aisselles, en prenant soin de ne pas le faire après rasage.

 

Une autre recette de déodorant maison :

Prenez une demi-tasse de vinaigre et 30 gouttes d’huile essentielle de romarin ou de lavande.

Laisser reposer une semaine dans un récipient avec un couvercle hermétique, dans un endroit sec, sans contact direct avec la lumière.

Placez trois cuillères à soupe dans l’eau du bain.

 

L’exfoliation :

La sueur peut être causée par des pores obstrués de manière excessive par les produits de nettoyage que nous utilisons aujourd’hui.

Les meilleurs ingrédients pour cela sont l’avoine, le sel de mer, le café moulu et le jus de citron. Frottez la zone deux fois par semaine le soir avant de vous coucher.

vinaigre et citron

Le lait de magnésie peut être un bon désodorisant maison en éliminant des odeurs tout en évacuant l’humidité.

Une autre alternative consiste à frotter des jus de navets sous les aisselles ou là vous transpirez trop.

Les bains de vapeur peuvent aussi aider à éliminer les toxines du corps qui vont ensuite s’échapper à travers les pores. Cela va aussi détendre le corps et l’esprit, en réduisant le niveau d’hormones de stress.

Prenez un bain de 20 minutes par jour, et buvez beaucoup d’eau pour rester hydratée. Utiliser de la poudre anti-transpirante qui absorbe l’humidité et qui tue les bactéries qui causent les odeurs. Une autre option consiste à mélanger une cuillère à soupe de fécule de maïs avec quelques gouttes d’huile essentielle et d’appliquer après la douche.

 

Les tisanes, en particulier celles de sauge, sont efficaces pour réduire la transpiration. Cette plante est riche en vitamine B et en magnésium, ainsi elle permettra de réduire la stimulation des glandes sudoripares. Boire deux tasses par jour au maximum et faire attention à ne pas faire trop bouillir l’infusion car cela pourrait libérer des toxines nocives pour votre santé.

 

Boire du jus de raisin ou du jus de tomate peut aider à maintenir la température du corps et à l’empêcher de devenir trop chaud, ce qui provoque la transpiration. Boire un verre par jour ou tous les deux jours, le matin. Cela contribuera également à réduire le risque de cancer ou de maladie cardiaque. Les pommes de terre peuvent arrêter la transpiration excessive.

Coupez quelques tranches de pomme de terre crue et frotter le jus sur la peau. Laisser reposer quelques minutes (à sec), puis rincez avec de l’eau et du savon doux.