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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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santé

pour ou contre ?

Publié à 18:29 par fandeloup Tags : france article monde
pour ou contre ?

Des insectes dans nos assiettes : pour ou contre ?

 La Belgique et les Pays-Bas viennent de sauter le pas. Depuis quelques jours, plusieurs chaînes de supermarchés implantées dans ces deux pays d'Europe du Nord commercialisent des produits alimentaires à base d'insectes.

Hamburgers de vers de farine, chips d'asticots ou encore boulettes aux sauterelles peuvent désormais être dégustés par les consommateurs.

La France, plus frileuse sur le sujet, n’a pas encore vu ces petites bêtes atteindre les rayons de nos grandes surfaces. Pourtant, dans le monde, plus de deux milliards d’individus consomment régulièrement près de 1 400 espèces différentes d’insectes.

Riches en protéines et faibles en graisse, ils se révèlent être une source nutritionnelle particulièrement saine. En tant qu’alternative à la viande et au poisson, les insectes sont également présentés comme un excellent moyen de lutter contre l’élevage intensif et ses conséquences désastreuses pour l’environnement.

Selon l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation (FAO), si tous les humains venaient à se nourrir d’insectes, nos émissions de gaz à effet de serre pourraient être réduites de 18 % et le prix de l’alimentation pourrait baisser de 33 %.

Et vous, seriez-vous prêt à vous nourrir d’insectes ?

perte

Publié à 11:57 par fandeloup Tags : automne
perte

En automne, la perte de cheveux est deux fois plus importante que d'habitude.

En effet, nous perdons en moyenne 45 cheveux par jour contre 100 en période automnale !

Voici quelques conseils pour redonner à vos cheveux force et vitalité :

utiliser un shampoing doux, éviter de les rincer avec de l’eau trop chaude et masser régulièrement votre cuir chevelu pour stimuler la circulation sanguine.

Vous pouvez également démarrer une cure de levure de bière pour faire le plein de vitamines et ainsi limiter leur chute.

Et vous, quels sont vos remèdes naturels pour prendre soin de votre chevelure ?

énergie

Publié à 13:48 par fandeloup Tags : pensées vie
énergie

Comment accumuler de l’énergie sans la voler aux autres ?

respirer profondément ;

recevoir l’énergie des plantes = balades en forêt, plantes à la maison,marcher pieds nus dans des lieux naturels 

manger des aliments vivants =fruits, légumes, plantes sauvages, graines germées, algues

Augmenter ses pensées positives ;

développer sa spiritualité, sa compréhension de la vie;

faire le tri dans ses relations (éviter les vampires et les manipulateurs) 

faire de l’exercice = il s’agit juste de se bouger 

si nous voulons nous sentir bien, faisons du bien aux autres, et cette énergie donnée nous sera rendue démultipliée.

Les champs énergétiques des êtres vivants se mêlent constamment, s’entrecroisent et s’influencent.

Faites-vous du bien, et faites du bien aux autres, en vous gorgeant d’énergie, sans la voler !

Café en capsules : un bon goût de cancer

Publié à 13:49 par fandeloup Tags : france chez bonne animaux
Café en capsules : un bon goût de cancer

Café en capsules : un bon goût de cancer

Ces capsules rendent peut-être un arôme plus intéressant que le café « classique », mais avec quelles conséquences?

Bien sur, on ne peut nier le coût supplémentaire que cela représente au niveau du porte-feuille, mais il y a bien plus, il y a l’impact des dosettes sur l’environnement, et surtout, l’impact possible sur notre santé!

Autre solution, pour ceux pouvant être intéressés, repasser au café en grains et torréfié, bien meilleur pour la santé.

Le café préparé à partir de capsules, comme celles que vante si bien l’acteur George Clooney, contient des taux élevés de vapeurs de furane, un composé polycyclique voisin du benzène, entrant dans la composition de solvants comme le tétrahydrofurane (THF).

Reconnu cancérogène chez le rat (leucémies, cancers du foie et de la vésicule biliaire), le furane a été listé comme cancérogène probable chez l’homme.

Le furane est un composé organique hétérocyclique (un cycle à quatre atomes de carbone et un atome d’oxygène) qui se forme durant le traitement thermique des aliments, s’est avéré être cancérigène lors d’études réalisées en laboratoire sur des animaux.

Le furane est donc un peu l’homologue de l’acrylamide, une molécule qui se forme dans les aliments grillés (et leur donne leur goût et leur odeur), et qui est également cancérigène

D’après une équipe de chercheurs espagnols, la substance toxique resterait piégée dans la capsule alors qu’une machine à filtre propose un café trois fois moins dosé en furane car la molécule a pu se volatiliser.

Toutefois, les experts veulent se montrer rassurants : selon eux, il faudrait en boire une vingtaine par jour pour risquer quoi que ce soit. Toutefois, ils oublient de préciser à quel délai : si leur assertion est certainement vraie à court et moyen termes, qu’en est-il à plus long terme.

Acrylamide : une présence embarrassante

Manger des chips et des biscuits, boire du café instantané continue de nous exposer à une contamination à l’acrylamide…

Cette substance chimique, potentiellement cancérogène chez l’homme, se forme lorsque les aliments riches en glucides sont cuits, frits ou rôtis à une température supérieure à 120?°C.

Pour contrer ce poison, l’autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) demandait en 2007 aux différents États d’inciter leurs fabricants alimentaires à faire des efforts pour abaisser la teneur en acrylamide de leurs produits.

Or, le récent rapport dans lequel l’autorité européenne analyse 22 catégories d’aliments montre que rien n’a été fait.

Seuls trois types de produits présentent une baisse de leur taux d’acrylamide :

- les crackers (- 35 %)

- les biscuits (- 49 %)

- le pain d’épice (- 27 %)

En revanche, on trouve toujours plus d’acrylamide dans :

- les biscottes + 36 %

- dans le café instantané + 370 %

- dans les chips qui, avec 4.804 microgrammes par kilo, en détiennent le triste record, battant même celui déjà dénoncé en octobre?2009 et qui n’était alors que de 4.180 microgrammes par kilo. Les mesures volontaires proposées par les industriels

– il est en effet possible en changeant certains modes de fabrication de réduire l’acrylamide

– se sont donc résumées à des déclarations de bonne intention. Et on peut craindre que la situation ne soit encore moins brillante en France : notre pays a transmis en tout et pour tout huit analyses à l’EFSA…

À quand l’obligation de mentionner le taux d’acrylamide sur les emballages ?

Alzheimer : La découverte qui change tout !

Publié à 15:15 par fandeloup Tags : bonne monde chez mode femmes animaux éléments extrait maroc
Alzheimer : La découverte qui change tout !

Pendant que des millions d’euros sont dépensés afin de trouver des médicaments pour traiter les symptômes de la maladie d’Alzheimer, des recherches qui dévoilent les véritables causes de la maladie sont totalement passées sous silence…

Une véritable pandémie Alors que l’incidence de la maladie d’Alzheimer ne cesse d’augmenter dans la population mondiale, ses causes restent encore inconnues. Pire, les traitements jusqu’alors prescrits sont désormais critiqués par les Hautes Autorités de Santé. Quant aux derniers essais cliniques sur de nouvelles molécules, ils ne sont guère encourageants. Les chiffres sont implacables : 35,6 millions d’individus dans le monde souffrent de démence, selon l’Organisation mondiale de la santé. Ils seront deux fois plus nombreux en 2030. Cette prévision est d’ailleurs optimiste puisqu’en trois ans seulement, le nombre de personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer et d’autres démences a progressé de près de 14 %. Malgré cela, certaines études mettent en évidence des faits très surprenants. Et des chercheurs pourraient bien avoir découvert la cause exacte de cette dégénérescence mentale, et les nouvelles qu’ils nous apportent ont de quoi nous réjouir !

La découverte qui change tout Premier élément, la différence de prévalence de la maladie en Asie. Le Japon, en particulier, est une exception parmi les pays industrialisés et riches : la maladie y est presque 10 fois plus rare que dans la plus part des pays riches où elle touche 2 à 4 % des adultes après 65 ans. Intriguant. En Inde, la maladie est nettement moins présente dans les régions rurales (0,51 %) que dans les régions industrielles. Mais quelle différence entre l’Inde rurale, l’Inde industrialisée et le reste du monde ? C’est le Dr Claudio Soto, chercheur et directeur du Centre de recherches des maladies neurodégénératives à l’université médicale du Texas (Houston, États-Unis) qui nous apporte la réponse.

Lui et son équipe travaillent activement à la compréhension de la maladie d’Alzheimer depuis plusieurs années et leur dernière expérience est révolutionnaire. Cette expérience est relatée dans la revue scientifique Molecular Psychiatry : le Dr Soto et son équipe ont prélevé du tissu d’un cerveau d’homme malade atteint d’Alzheimer et l’ont injecté à des souris en bonne santé. Ils ont ensuite observé ce qui se passait en comparant l’évolution de l’état de santé des animaux comparativement à un groupe de souris de contrôle. Et le résultat est édifiant : toutes les souris ayant reçu un extrait de cerveau contaminé ont développé des plaques amyloïdes et des altérations typiques de la maladie d’Alzheimer. Les chercheurs commentent leurs résultats : « Notre découverte ouvre la possibilité que la maladie d’Alzheimer résulte d’un processus infectieux qui survient aussi dans d’autres maladies neurologiques comme la maladie de la vache folle et sa variante humaine, la maladie de Creutzfeldt-Jakob.

Les mécanismes sous-jacents de la maladie d’Alzheimer sont très similaires aux maladies provoquées par des prions. Cela met en cause une protéine normale qui se met à dysfonctionner et qui devient capable de contaminer les autres protéines. Les mauvaises protéines s’accumulent alors dans le cerveau, formant les plaques amyloïdes qui semblent tuer les cellules neuronales dans la maladie d’Alzheimer. » Traduction : la maladie pourrait être liée à une forme d’infection liée à la consommation de viande ! Ce qui pourrait expliquer les différences géographiques : comparativement au Maroc, le Japon et l’Inde ont une consommation de viande beaucoup plus faible, et d’autant plus qu’on s’éloigne des grandes villes industrielles. Mais au lieu d’identifier ce prion dans les produits animaux, la recherche met tous ses efforts dans la destruction des plaques. Il n’est pas étonnant que tous les médicaments mis au point jusqu’à maintenant aient échoué : qu’ils détruisent une plaque ou cent plaques, ils ne tuent pas le prion!

Les signes qui doivent alerter Les premiers symptômes peuvent être détectés jusqu’à 15 ans avant que la maladie ne soit installée. On observe fréquemment :

? Pertes de mémoire

? Difficultés à accomplir les tâches quotidiennes

? Problèmes de langage

? Désorientation dans le temps et dans l’espace

? Difficultés dans les raisonnements abstraits

? Perte d’objets

? Altération du jugement

? Modification de l’humeur et démotivation Dans ce cas il faut consulter un neurologue ou un gériatre.

 

Ce qu’il faut faire pour prévenir la maladie d’Alzheimer

La bonne nouvelle, c’est que si la maladie d’Alzheimer est une maladie infectieuse, alors toutes les stratégies qui améliorent le fonctionnement du système immunitaire doivent être efficaces pour la prévenir. Et c’est exactement ce que montrent les recherches effectuées jusqu’à aujourd’hui. Une étude française réalisée à Toulouse, portant sur des femmes âgées de 80 ans en moyenne pendant 7 ans, a mis en évidence que celles qui ont les apports alimentaires en vitamine D les plus importants ont 4 fois moins de risques de développer la maladie d’Alzheimer que les autres. Celles qui s’exposent régulièrement au soleil à la mi-journée (moment auquel la synthèse de vitamine D dans la peau est maximale) ont un risque de développer la maladie encore diminué de moitié.

En revanche, la vitamine D ne diminue pas le risque des autres démences séniles, qui ne sont pas provoquées par un agent infectieux. Des constatations tout à fait cohérentes avec le fait que la vitamine D est le plus puissant antiinfectieux et antiviral naturel connu. Bien entendu, la première mesure devrait être de limiter sa consommation de viande, et plus particulièrement de viande issue des élevages industriels qui utilisent à foison des antibiotiques et où les animaux, entassés les uns contre les autres, se transmettent virus et bactéries.

Des filières comme l’agriculture biologique, plus respectueuses des animaux, sont moins propices à héberger des prions toxiques. Voilà de quoi conforter également les végétariens, à condition évidemment de suivre ce mode alimentaire de manière intelligente.

 

Mesures hygiéno-diététiques

Une stratégie complète anti-Alzheimer implique donc en premier lieu de veiller à son alimentation. Un des acides gras les plus importants dans la structure cérébrale est le DHA, un acide gras oméga-3 à longue chaîne, retrouvé en grande quantité dans les poissons gras. Avec l’âge, la teneur en DHA du cerveau diminue alors que les lésions dégénératives augmentent. D’après les chercheurs de l’université Tuffs (Boston, États-Unis), ceux qui ont le plus de DHA dans le sang ont un risque de développer la maladie d’Alzheimer plus faible de 47 %. Pour avoir de bons apports en DHA, il suffit de consommer des poissons gras à raison de 3 portions par semaine en privilégiant les petits (maquereaux, sardines, anchois, etc.). Toutefois, les récentes considérations sanitaires sur la qualité du poisson (contaminé par les PCB, dioxines, métaux lourds, etc.) peuvent également pousser à se tourner vers des compléments alimentaires en gélule.

La vitamine D et les oméga-3 constituent les deux stratégies micro nutritionnelles les plus efficaces contre la maladie, mais d’autres éléments jouent aussi un rôle :

? Mangez des légumes verts : d’après les chercheurs de l’association américaine de neurologie, une consommation régulière de légumes verts préserve les fonctions intellectuelles. Certains pensent que c’est leur teneur élevée en vitamine B9, laquelle joue un rôle important au niveau du cerveau, qui expliquerait ces bénéfices.

? Soigner son hypertension : l’hypertension artérielle est un des facteurs favorisants les plus évidents de la maladie. Une tension artérielle élevée multiplie par 6 le risque d’en être atteint. Dans l’étude SystEur, le Pr Françoise Forette montre que des personnes hypertendues voient le risque de survenue d’une démence diminuer de 5 % si elles suivent un traitement anti- hypertenseur.

? Eviter le diabète : les personnes diabétiques présentent un risque de survenue de maladie d’Alzheimer augmenté de 65%.

? L’activité physique : l’activité physique exerce des effets protecteurs au niveau du cerveau par différents mécanismes. Tout d’abord en faisant circuler l’oxygène et l’énergie, ce qui accélère les processus de nettoyage et l’efficacité du système immunitaire, mais aussi tout simplement parce que les activités musculaires sont des tâches complexes pour le système nerveux, ce qui le pousse à s’entretenir. Une activité comme le tennis est donc plus protectrice qu’une activité comme la marche à pied.

? Ne pas fumer : le tabagisme double le risque de survenue de la maladie d’Alzheimer. Le risque peut même tripler chez les gros fumeurs.

? Rester svelte : le cerveau ne supporte pas le surpoids et l’obésité. Les personnes touchées par la maladie d’Alzheimer ont un poids significativement plus élevé que la population moyenne. Dans une étude qui a duré 18 ans, les personnes atteintes avaient un indice de masse corporelle (IMC) de 27.7, très supérieur à celui des personnes indemnes de maladie. Et quand l’IMC augmente d’un point, le risque de la maladie d’Alzheimer augmente de 36%.

Les bienfaits de l'ail cru et cuit

Publié à 16:58 par fandeloup Tags : richesse éléments
Les bienfaits de l'ail cru et cuit

Les bienfaits de l'ail cru et cuit

Depuis toujours, l’ail (cru ou cuit) est utilisé dans les préparations alimentaires pour en relever le goût.

Ses bienfaits pour la santé ont d’ailleurs été mis en exergue dans de nombreuses études. En voici quelques-uns...

Réduction des risques de certains types de cancer

La consommation de légumes de la famille des alliacées dont fait partie l’ail permettrait de protéger contre le cancer de l’estomac et de l’intestin. Le risque de contracter un cancer de l’intestin diminuerait ainsi de 30% et de 50% pour celui de l’estomac. Pour cela, il faut en manger 18 grammes par semaine, soit six gousses à peu près.

Protection contre les maladies cardiovasculaires

L’ail fait partie des aliments recommandés par l’American Heart Association (AHA) afin de prévenir les maladies cardiovasculaires comme l’hypertension artérielle. Plusieurs études démontrent par ailleurs les bienfaits de l’ail sur la réduction du taux de cholestérol. Une consommation régulière d’ail permettrait également de réduire les triglycérides sanguins.

Traitement de certaines infections

Les vertus anti-infectieuses de l’ail sont également assez connues surtout dans les régions de l’Extrême-Orient telles que la Chine. Les acides phénoliques qui le composent ont des vertus antiseptiques. L’ail contient également de l’allicine, une molécule antibiotique qui aide le corps à combattre certaines infections bactériennes.

Propriétés anti-oxydantes

L’ail contient du sélénium et plusieurs oligo-éléments aux propriétés antioxydantes. De ce fait, il permet de lutter contre les radicaux libres responsables du vieillissement prématuré des cellules de l’organisme, qu’il soit qu’il soit consommé cru ou cuit. De plus, ce condiment aide l’organisme à se débarrasser de certains vers intestinaux, tout en facilitant la digestion. Enfin, grâce à sa richesse en vitamines A, B, C et E, il contribue à donner du tonus. L’ail cru est préférable à l’ail cuit, car ses composés sulfurés peuvent être désactivés par la chaleur de la cuisson. Afin de conserver un maximum de ses principes actifs, il est recommandé de rajouter les gousses d’ail une vingtaine de minutes, voire moins, avant la fin de la cuisson de vos plats.

Traitement anti-vieillissement

Publié à 15:36 par fandeloup Tags : monde homme chez bonne article texte vie
Traitement anti-vieillissement

Traitement anti-vieillissement : premiers tests «prometteurs» sur l'homme

Après les souris, les scientifiques auraient menés leur premiers tests sur les humains Après les souris, les scientifiques auraient menés leur premiers tests sur les humains

Les premiers essais cliniques d'un traitement anti-vieillissement fonctionnant sur la souris ont été conduits sur l'homme rapporte ABC Australie, ce mardi.

Il ne s'agirait, pour l'instant, que de premières expérimentations mais celles-ci montreraient des «résultats prometteurs» selon le professeur en génétique à Harvard et à l'université de Nouvelle-Galles du Sud (Australie) David Sinclair.

«Nous sommes passés de la souris aux premières études sur l'homme», a déclaré l'universitaire.

«Des essais cliniques ont été conduits autour du monde et nous espérons que cela marchera aussi pour l'homme d'ici quelques années». L'expérience menée sur la souris consistait à remplacer les gènes âgés par des gênes plus jeunes, en utilisant des protéines et des molécules d'origine naturelle.

Après une semaine d'expérience, les rongeurs utilisés, âgés de deux ans, présentaient les indices du vieillissement d'une souris de six mois. Ce qui, selon les chercheurs, reviendrait à ce qu'une personne âgée de soixante ans se retrouve dans la peau d'une personne de vingt ans. Des chercheurs australiens parviennent à «rajeunir» des souris (12/2013)

«Nous avons découvert les gènes qui contrôlent la manière dont le corps combat le vieillissement, et ces gènes, si vous les manipulez de la bonne façon, peuvent avoir des effets très puissants, et même permettre d'inverser l'horloge biologique - au moins sur la souris pour l'instant», explique le chercheur australien. «Nous les nourrissons avec une molécule appelée NMN, qui permet d'inverser complètement le vieillissement des muscles en une semaine.Maintenant nous nous attachons à essayer d'inverser tous les aspects du vieillissement possible», détaille David Sinclair. Le but est avant tout de vieillir en bonne santé

Des avancées qui pourraient permettre, selon le chercheur, de développer des médicaments capables de restaurer la jeunesse des cellules humaines; même si la découverte d'une «pilule magique», capable de faire rajeunir l'être humain, serait encore à des années de recherches, notamment en raison du prix des essais sur l'homme -environ 50 000 dollars par jour.

Les scientifiques ont toutefois bon espoir que les recherches se déroulent dans les meilleures conditions possible, étant donné que le processus anti-vieillissement est naturellement à l'oeuvre chez l'être humain. Dans le quotidien britannique The Guardian, l'équipe de chercheurs à l'origine du traitement avait précisé sa démarche expliquant qu'il ne s'agissait pas temps de vivre plus longtemps que de vieillir en bonne santé.

«Les gens s'imaginent que la recherche contre le vieillissement se concentrent sur les moyens d'atteindre les 200 ans, mais le but recherché est avant tout de permettre aux personnes de vivre le plus longtemps possible dans de bonnes conditions», avait spécifié David Sinclair.

«Je ne sais pas si cela nous permettra de vivre jusqu'à 150 ans, mais le plus important, c'est que nous ne passions les 20 à 30 dernières années de notre vie en mauvaise santé».

sida

Publié à 17:23 par fandeloup Tags : article photo texte pouvoir monde chez animal
sida

Sida : la piste des koalas pour guérir la maladie

L'être humain serait capable de se guérir de cette maladie, en intégrant le virus à ses propres gênes.

 Deux équipes de chercheurs français, de l'Inserm de Créteil et de l'Inserm-Université d'Aix-Marseille et des hôpitaux de Marseille, ont fait une découverte qui pourrait être déterminante pour les malades infectés par le virus du Sida.

Selon eux, l'être humain serait capable de guérir de cette maladie en intégrant le virus à ses propres gênes. L'étude est publiée ce mardi 4 novembre par la revue Clinical Microbiology and Infection. La découverte est venue... du monde animal.

C'est en effet en observant les koalas que les scientifiques français ont fait cette avancée qui pourrait s'avérer considérable. Ils ont constaté que ces mammifères commençaient à devenir résistants à un rétrovirus, similaire au sida humain, qui les décimait depuis les années 1920.

Les chercheurs affirment que cette résistance n'est pas nouvelle, qu'elle s'est déjà produite pour beaucoup de grandes épidémies. Des rétrovirus désactivés dans 8% du génôme humain « Il y a plusieurs millions d'années, la riposte de l'espèce humaine pour lutter contre les retrovirus a été d'intégrer ses gènes en les détériorant. C'est en fait la plus ancienne façon de lutter contre les microbes», explique le professeur Didier Raoult, directeur de l'unité des maladies infectieuses et tropicales émergentes à la faculté de médecine de Marseille.

Ce dernier ajoute que 8% du génome humain contient des rétrovirus désactivés. Certains patients ont ainsi déjà réussi à vaincre les retrovirus à la manière des koalas. Les chercheurs ont trouvé chez deux personnes les anticorps du VIH, alors qu'elles n'avaient pas les symptômes de la maladie et que le virus n'était pas détectable dans leur sang.

Une analyse réalisée grâce à des technologies modernes de séquençage massif a permis de reconstituer le génome du VIH présent dans leur organisme, et de constater que ces gènes ont été «interrompus», toujours aux mêmes endroits. Brisé, le virus ne peut donc plus se multiplier, même s'il reste présent à l'intérieur de l'ADN des patients.

Ils ont spontanément guéri de l'infection de cette façon. C'est l'enzyme Apobec permet d'ordinaire aux hommes de lutter contre les virus mais elle est neutralisée par une protéine du VIH. Raison pour laquelle le virus peut se dupliquer. Or, en 2014, des chercheurs de l'université de Nashville (Tennessee), aux États-Unis, ont montré que cette enzyme pouvait être réactivée.

D'où l'immense espoir ouvert par la recherche sur l'«intégration du rétrovirus désactivé» : grâce à la stimulation de l'Apobec, on va pouvoir aider à guérir les malades du sida, mais aussi permettre de détecter chez les patients nouvellement infectés ceux qui ont une chance de guérir spontanément, sans recourir à l'arsenal des trithérapies...

rhume

Publié à 19:35 par fandeloup Tags : bonne
rhume

Ce qui marche (vraiment) pour stopper un rhume astuces contre le rhume. Astuces contre le rhume.  Le rhume n'est pas très grave et, à vrai dire, il n'y a pas grand-chose à faire pour vous en débarrasser. Mais, par contre, vous pouvez soulager ses symptômes et réduire sa durée. Ce qui marche (vraiment) pour stopper un rhume astuces contre le rhume.

 

Se moucher

Ce qui marche (vraiment) pour stopper un rhume Petit cours de médecine : lorsque vous êtes enrhumé, le virus du rhume se multiplie dans vos narines et votre nez commence à couler. Petit à petit, celui-ci n'arrive plus à jouer son rôle de barrière contre les microbes et l'écoulement nasal s'intensifie. A ce moment-là, il est indispensable de bien vous moucher afin de faciliter l'évacuation des sécrétions et de dégager les fosses nasales. Ainsi, vous guérissez généralement rapidement. En revanche, si vous passez votre temps à renifler, les sécrétions vont s'écouler en arrière des fosses nasales, vers le pharynx, l'oreille, les sinus.

 

Citron pressé chaud

Boire une boisson chaude a pour effet d'humidifier l'appareil respiratoire : l'eau chaude dégage de la vapeur qui va en partie fluidifier les sécrétions et aider au mouchage. Le citron a quant à lui une action antiseptique, efficace contre les virus du rhume. Pressé et mélangé à de l'eau chaude (avec un peu de sucre), c'est donc un allié idéal pour soigner votre rhume, tout en vous apportant une bonne dose de vitamines, qui stimuleront vos défenses immunitaires.

 

Inhalations

Comme avec les boissons chaudes, l'intérêt des inhalations est de fluidifier les sécrétions nasales pour mieux respirer. La méthode est toute simple : il suffit de faire bouillir de l'eau et de remplir un grand bol aux trois quarts. Ajoutez-y un peu de gros sel et d'herbes aromatiques (thym, romarin, etc.) ou quelques gouttes d'huiles essentielles d'eucalyptus. Placez ensuite votre tête recouverte d'une serviette éponge au dessus du bol et respirez ainsi dix à vingt minutes.

 

Un jus de fruit frais au réveil

Les fruits sont naturellement riches en vitamines, qui permettent de booster le système immunitaire. Le plein de vitamines en période de rhume est donc tout à fait conseillé pour se sentir mieux. Privilégiez les kiwis (les plus riches en vitamine C) mais aussi les agrumes, en particulier le citron qui est antiseptique. Pour conserver le maximum de vitamines, préférez les fruits crus (ils perdent en vitamines à la cuisson).

 

Fumer moins

Pour éviter une aggravation de leur rhume, les fumeurs sont invités à ralentir leur consommation quotidienne de cigarettes. Et pour cause : fumer provoque un assèchement des muqueuses respiratoires, alors propices au développement des virus.

ebola

Publié à 10:35 par fandeloup Tags : homme france femme voyage
ebola

Un cas confirmé d'Ebola accueilli et soigné en France

Une personne contaminée par le virus Ebola est actuellement soignée en France. Dans un bref communiqué, le ministère de la Santé a fait savoir ce dimanche que "la France accueille un cas confirmé d'Ebola après une évacuation sanitaire".

C'est à la demande de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) que la France a accepté de prendre en charge ce cas confirmé. On ne connait pas la date précise de l'arrivée de cette personne en France, ni même s'il s'agit d'un homme ou d'une femme.

Ce que l'on sait c'est que cette personne travaillait au Sierra Leone "dans la lutte contre Ebola", et "a fait l’objet d’une évacuation sanitaire médicalisée et sécurisée par avion spécial.

L’ensemble du circuit de prise en charge a été sécurisé, depuis le décollage de Freetown et le voyage en avion jusqu’à l’hospitalisation en isolement de haute sécurité en chambre dédiée à l’Hôpital d’Instruction des Armées Bégin (Saint-Mandé), où elle reçoit des soins médicaux attentifs" précise le communiqué.

Marisol Touraine tient tout de même à rappeler qu'aucun cas de fièvre Ebola n'a été confirmé en France. Mi-septembre, une infirmière française contaminée par le virus lors d'une mission au Liberia avait été hospitalisée à l'hôpital Bégin avant de le quitter, guérie, début octobre. Il s'agissait du premier cas de fièvre Ebola sur le territoire.

La ministre de la Santé note également que la France est "engagée" dans la prise en charge "des personnels humanitaires mobilisés par les organisations non gouvernementales et les agences des Nations Unies pour combattre le virus dans les pays touchés".

Douze hôpitaux de référence en France pour les "cas possibles" En France, selon le ministère de la Santé, moins de 500 "signalements" pour Ebola ont été répertoriés depuis juin, 18 cas ont été classés comme "cas possibles", mais aucun d'entre eux ne s'est révélé positif.

Pour les cas "possibles", des analyses sont réalisées au plus vite (en quelques heures) par le laboratoire de référence à Lyon pour déterminer si la personne est infectée ou non.

Ces cas sont isolés et pris en charge dans l'un des douze hôpitaux de référence pour recevoir des cas suspects ou avérés d'Ebola en France (dont Bichat, Necker et Bégin dans la région parisienne). Les contacts avec ces personnes sont alors réduits au minimum.

L'épidémie d'Ebola a fait au moins 4922 morts pour 13.703 cas recensés au 27 octobre, en quasi-totalité dans trois pays limitrophes: le Liberia, la Sierra Leone et la Guinée, selon le dernier bilan de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS).