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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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santé

bactérie

Publié à 17:03 par fandeloup Tags : monde chez enfants article travail google bretagne
bactérie

En Grande-Bretagne, 70 % du poulet contaminé par la bactérie « Campylobacter » 

Soixante-dix pour cent de la viande de poulet vendue dans les supermarchés britanniques est contaminée par la bactérie Campylobacter, qui peut se révéler mortelle dans certains cas, a révélé jeudi 27 novembre l'Agence britannique de sécurité alimentaire (ou FSA, pour Food Standards Agency).

Presque 18 % des produits concernés présentent même un taux de contamination au-delà des limites tolérées, a ajouté la FSA.

 Au printemps, l'agence avait alerté la population sur la présence de cette bactérie qui se trouve essentiellement dans les volailles, l'invitant à ne pas laver la viande de poulet pour éviter sa dissémination sur les mains ou le plan de travail.

L'agence avait lancé en février une étude – qui doit durer un an – sur ces produits.

280 000 BRITANNIQUES TOUCHÉS CHAQUE ANNÉE

Environ 280 000 Britanniques sont affectés tous les ans par la bactérie, qui provoque des infections intestinales, en général bénignes, mais qui peuvent être fatales chez les très jeunes enfants, les personnes âgées et les individus immunodéprimés.

La FSA a aussi publié ces chiffres par groupe de distribution, révélant que chez Asda, 78 % de la viande de poulet testée présentaient cette bactérie, suivi de Co-operative (73 %), Morrisons, Sainsbury's et Waitrose (tous trois 69 %), Marks & Spencer (67 %) et Tesco (64 %). Les chiffres concernant les chaînes de discount alimentaires Aldi et Lidl n'étaient en revanche pas disponibles.

« Ces résultats montrent que l'industrie alimentaire, en particulier les distributeurs doivent agir davantage » contre le Campylobacter, a déclaré le directeur du FSA, Steve Wearne. 

20 maladies que vous pouvez guérir

Publié à 15:54 par fandeloup Tags : revenu sport soi femmes heureux femme belle amour chez merci vie bonne
20 maladies que vous pouvez guérir

20 maladies que vous pouvez guérir en faisant l'amour !

La 8 est à mettre en pratique dès que possible...

 C’est une étude très sérieuse de l’université de Wilkes qui démontre que faire l’amour deux à trois fois par semaine (au moins !) vous aiderez à aller mieux.

En effet, le sexe libère un anticorps nommé immunoglobuline qui aide renforce les défenses de l’organisme contre les infections et les maladies.

 

1. Le sexe protège du cancer de la prostate. Des recherchent montrent qu’éjaculer souvent (au minimum 5 fois par semaine) diminue le risque d’avoir un jour un cancer de la prostate.

 

2. Le sexe maintien en forme. Eh oui, ce n’est pas pour rien qu’on appelle aussi ça le « sport de chambre » ! Avoir une activité sexuelle régulière est très bon pour votre système cardiaque. En plus, vous faites aussi travailler tous les muscles du corps. Le calcul est simple, en une demi-heure d’ébats, vous brûlez 200 calories. Faites ça 3 fois par semaine, et vous brûlez 600 calories. C’est l’équivalent d’un régime, en beaucoup beaucoup beaucoup plus agréable !

 

3. Le sexe débarrasse des maux de tête. Au moment de l’orgasme, une hormone appelée ocytocine est sécrétée, elle fait augmenter le niveau d’endorphines. Ces derniers agissent comme un antidouleur qui permet au corps de se relâcher et se détendre. Il n’est donc pas rare de ne plus avoir mal à la tête après avoir fait l’amour.

 

4. Le sexe combat la dépression. En général, les femmes qui ont des orgasmes réguliers chaque semaine sont plus détendues, moins stressées et mieux dans leurs baskets. Faire l’amour aide à relâcher la tension nerveuse de l’organisme. De la sérotonine est produite dans le cerveau, elle contrôle les humeurs un peu comme un antidépresseurs.

 

5. Le sexe garde jeune. Pour paraître 10 ans de moins, le secret, c’est le sexe ! Le docteur écossais David Weeks a mené une étude sur les habitudes de vie d’environ 3500 personnes. Chacune d’entre elles avait 3 rapports sexuels minimum par semaine. Ces personnes avaient la particularité de paraître beaucoup plus jeune que leur âge réel. Ce résultat a été confirmé par bien d’autres recherches.

 

6. Le sexe guérit l’esprit.Faire l’amour fait du bien à la tête ! C’est un plaisir très grand que l’on partage avec une personne. C’est aussi une activité saine aussi bien physiquement que mentalement. Lors du rapport sexuel, tous les sens et les émotions sont décuplés. Le sexe est un moment de liberté et d’apaisement.

 

7. Le sexe rend heureux . En général, c’est un fait, les gens qui sont sexuellement actifs sont plus heureux et moins à la merci d’une dépression. Ils voient le verre à moitié plein !

 

8. Le sexe aide à dormir. Il existe plusieurs astuces pour lutter contre l’insomnie, comme par exemple regarder moins la télé ou prendre un bain avant d’aller au lit. Cependant, faire l’amour est peut-être la méthode la plus efficace. Les hommes, eux, s’endorment presque instantanément après le rapport. Pour les femmes, ça a un effet relaxant.

9. Le sexe protège des maladies de la peau. Lors du rapport sexuel, de la testostérone est libérée par le corps. Cette hormone a un rôle primordial, elle permet de garder les os et les muscles en bonne santé, et surtout, elle assure l’aspect jeune de la peau.

 

10. Le sexe protège du cancer du sein. Une étude australienne montre que la stimulation des seins et l’orgasme pousse le corps de la femme à secréter de l’ocytocine. Cette hormone, plus connue comme antidouleur, préviendrait donc des cancers de ce type.

 

 

11. Le sexe protège des maladies cardiovasculaires. Une étude réalisée à l’Université Queen de Belfast montre que faire l’amour trois fois par semaine réduit de moitié le risque d’attaque cardiaque ou d’AVC. Chez les femmes, le rapport sexuel augmente la sécrétion d’œstrogènes, connus pour lutter contre les maladies cardiaques. Pour les hommes, selon une autre étude, le sexe au moins deux fois par semaine réduit le risque de crise cardiaque fatale, de 50% de plus, par rapport aux hommes qui ne font l’amour qu’une fois par mois.

 

12. Le sexe bonifie l’estime de soi. L’appétit vient en mangeant ! Plus vous avez de rapports sexuels, plus vous en avez envie. Parmi toutes les hormones libérées pendant le câlin, il y a une grande quantité de phéromones. Ces derniers attirent encore plus votre partenaire. Au final, se sentir désiré(e) nous fait sentir beau ou belle, d’où l’augmentation de l’estime.

 

13. Le sexe augmente la maîtrise de soi. Des rapports sexuels réguliers apaisent et réduisent le stress. Ils procurent épanouissement et confiance en soi. Une étude menée à Scotland a démontré que les personnes sexuellement actives gardent beaucoup plus leur sang-froid en cas de situation stressante.

 

14. Le sexe protège de la grippe et de l’asthme. Selon les chercheurs, faire l’amour au moins une fois par semaine augmente la production d’anticorps. Ils nous protègent des infections virales comme la grippe. Le sexe est aussi un antihistaminique efficace, il combat avec succès l’asthme et les rhumes.

 

15. Le sexe fait vivre plus longtemps. Non seulement le sexe vous fait sentir plus jeune, mais la science montre qu’il peut réellement ralentir le processus de vieillissement. Pendant l’orgasme, le corps sécrète la DHEA, une hormone connue pour fortifier le système immunitaire, la réparation des tissus qui aide à garder une peau jeune. La DHEA favorise également la production d’autres hormones comme les œstrogènes, qui peut prolonger la vie par l’amélioration de la santé cardiovasculaire. C’est donc prouvé, le sexe rajeunit !

 

16. Le sexe protège contre les maladies mentales. Selon une étude, le sperme, absorbé par le corps humain permet à la femme de réguler ses hormones de façon optimale. Et quand on sait que les hormones agissent sur l’humeur, ça explique pourquoi ce processus réduit le risque de maladie mentale.

 

17. Le sexe soigne les problèmes de dos. Selon plusieurs études, la stimulation vaginale aurait pour effet d’augmenter la tolérance à la douleur. Selon les scientifiques, ce genre de stimulation peut soulager la douleur causée par les crampes menstruelles, l’arthrite ainsi que le mal de dos.

 

18. Le sexe protège contre les caries. C’est prouvé, la salive nettoie et fait diminuer le niveau d’acide qui cause les caries. Un analgésique, dans la salive, appelé opiorphine soulage les douleurs physiques, selon une étude française

 

 

19. Le sexe soulage de la drépanocytose. Pendant le rapport sexuel, le rythme cardiaque s’accélère et fait donc augmenter le niveau d’oxygène dans le sang et la vitesse de la circulation du sang. Ces deux conditions réunies évitent le développement de la maladie.

 

20. Le sexe contribue au bonheur. Plusieurs économistes de l’Université de Warwick se sont amusés à comparer comment la sexualité et l’argent contribuaient au bonheur. Après avoir interrogé 16 000 personnes, la constatation principale est que les personnes qui sont les plus heureuses sont aussi celles qui font plus l’amour. Et l’impact semble être le plus fort chez les individus au niveau d’éducation élevé. Evidemment, un revenu supérieur, n’implique pas forcément plus de rapports sexuels. Alors si vous espérez vivre longtemps et heureux, faites l'amour aussi souvent que possible. C'est bon pour la santé !

cigarette électronique:

Publié à 08:34 par fandeloup
cigarette électronique:

Dangers de la cigarette électronique: une étude japonaise confirme la présence de substances cancérigènes

SANTE - Dangereuse ou pas, la cigarette électronique?

Depuis sa mise en vente, les spéculations vont bon train. Cette fois, une étude japonaise montre que les vapeurs de cigarettes électroniques contiennent des substances cancérigènes, dans des quantités très variables, qui peuvent dépasser les concentrations de la fumée de cigarette traditionnelle.

Cette étude japonaise a été rendue publique ce jeudi 27 novembre. Il ressort de ce document brut sans conclusion définitive que les vapeurs absorbées contiennent entre autres souvent du formaldéhyde, un composé aussi appelé formol considéré comme favorisant les cancers, de l'acroléine, du glyoxal (ou éthanedial) ou encore du méthylglyoxal.

"Les taux varient grandement d'une marque à l'autre et même pour une même marque d'un échantillon à l'autre", ont souligné les chercheurs qui ont mesuré les concentrations de ces différentes substances pour cinq marques (non citées) de cigarettes électroniques.

"Pour une des marques analysées, l'équipe de recherche a trouvé un niveau de formaldéhyde qui a atteint jusqu'à plus de dix fois celui contenu dans une cigarette traditionnelle", a expliqué à l'AFP le chercheur Naoki Kunugita, du National Institute of Public Health, qui a dirigé l'étude.

L'OMS avait déjà publié une mise en garde Le taux de formaldéhyde n'est toutefois pas constant, "il varie au cours de l'expérience et s'élève particulièrement en cas de surchauffe du fil résistif intégré", précise-t-il.

Les tests ont été réalisés avec une machine qui effectue à chaque fois une série identique de 15 bouffées, à dix reprises, avec la même cartouche, avec des pauses.

Ce rapport de l'Institut national de la santé publique a été remis jeudi au ministère japonais de la santé qui se demande, à l'instar de ses homologues d'autres pays, dans quelle mesure il est nécessaire de réguler l'usage des cigarettes électroniques sans nicotine employant des liquides parfumés.

Même si au Japon les vapoteurs sont moins visibles que les fumeurs traditionnels et les boutiques spécialisées bien moins nombreuses que dans les pays occidentaux, la transition du tabac vers la vapeur est un phénomène croissant qui oblige les autaurité à s'en préoccuper.

La Ligue contre le cancer et l'OMS mettaient déjà en garde sur l'usage de la cigarette électronique. Ses potentiels dangers pour la santé ont toujours été questionnés, mis en avant, mais les études ont souvent été contradictoires.

un ver dans le cerveau

Publié à 11:32 par fandeloup Tags : france photo air homme vie monde extrait voyages
un ver dans le cerveau

Il vit 4 ans avec un ver dans le cerveau

 Un cas très rare.C'est la première fois qu'un tel parasite est découvert au Royaume-Uni.

Incroyable découverte dans la tête de ce patient. Un ver d'un centimètre a été extrait du cerveau d'un Britannique qui était allé consulter son médecin pour des maux de tête, ont révélé des scientifiques vendredi.

La petite bête, le Spirometra erinaceieuropei, nichait dans le cerveau de cet homme de 50 ans depuis quatre ans, se déplaçant d'un côté à l'autre.

 Depuis 1953, seuls 300 cas ont été enregistrés dans le monde. Ce ver provoque une inflammation des tissus et, s'il atteint le cerveau, des pertes de mémoire et des maux de tête.

Sa rareté le rend mystérieux aux yeux des scientifiques qui ignorent son cycle de vie. Toutefois, il est censé s'attraper en consommant de petits crustacés infectés des lacs chinois, de la viande de reptile et d'amphibiens crue, ou en usant de cataplasmes de grenouille, un remède chinois pour calmer les inflammations des yeux.

"Ce ver est un mystère" "Nous ne nous attendions pas à découvrir une infection de ce genre au Royaume-Uni mais avec le développement des voyages ce genre de parasites inconnus apparaissent parfois", a déclaré Effrossyni Gkrania-Klotsas, du service des maladies infectieuses de l'hôpital Addenbrooke, à Cambridge, qui a retiré le ver.

Le parasite a été donné à des généticiens du Wellcome Trust Sanger Institute de Cambridge qui ont réussi à séquencer son génome pour la première fois, leur permettant d'étudier des traitements potentiels."Ce ver est un mystère et nous ne savons pas quelles espèces il peut infecter ou comment, a expliqué le docteur Hayley Bennett, de l'équipe du Wellcome Trust.

Les humains constituent un hôte accidentel et rare". "Le parasite reste à l'état de larve durant toute la période d'infection", et pourrait se nourrir d'acides gras, a déclaré Hayley Bennett.

encens

Publié à 10:51 par fandeloup Tags : femmes monde bonne amour travail amitié jeux rose art douceur air pensées pouvoir
encens

LES ENCENS PURIFICATEURS

Leurs effets sont en fonction des souhaits et de la personnalité de l'utilisateur.

 

ACACIA : Encens de bénédiction et de pouvoir, il stimule le psychisme, protège du "mauvais oeil", redonne l'harmonie dans les lieux d'habitation.

 

ARABIE : Appuie les actions magiques, les invocations en plein air.

 

BENJOIN : Calme l'esprit et purifie la maison.

 

BENJOIN NOIR : Cet encens très puissant est utilisé pour purifier les pièces très chargées, il est utilisé dans certains rituels. Il est nécessaire pour faire un "grand nettoyage" car il chasse les forces négatives émanant du monde astral, mental et physique.

 

BETHLEEM : Encens sacré, il appuie les invocations sur les autels.

 

BOIS DE SANTAL : Suscite l'amour, la joie, l'éveil des sens.

 

CAMPHRE : Forte purification des lieux, protection psychique, améliore la santé (goût assez désagréable).

 

CÈDRE, DE PIN OU AUTRE CONIFÈRE : Dégage une forte odeur mais ils protègent, calment les nerfs, redonnent l'énergie et renforcent les médiums dans leur fonction. Il fixe aussi les amitiés.

 

COPAL : Cette résine d'Amérique du sud est utilisé dans les travaux occultes, les purifications des lieux et renforce l'affectivité et touche aux sentiments.

 

EPINETTE : Effet aphrodisiaque, il favorise aussi la concentration.

 

JASMIN : Suscite la douceur, entraîne le calme et la paix intérieure. Recommandé pour la méditation.

 

JÉRUSALEM : Appuie les rituels de bougies et de chandelles.

 

LAVANDE : Elimine les ondes négatives, permet une bonne détente du système nerveux, apporte la sérénité, protège toute la famille et développe les facultés de voyance.

 

LIBAN : Pour dénouer les problèmes administratifs, les procès en justice.

 

LOURDES : Favorise l'amour exclusivement pour les femmes et les jeunes filles.

 

MANNES : Favorise les gains aux jeux et les opportunités dans les affaires.

 

MYRRHE : Cet encens lunaire purifie les lieux, apporte bonheur et santé dans la famille, facilite la voyance.

 

NAZARETH : Favorise les activités commerciales et le travail.

 

OLIBAN : Favorise les pensées claires, élimine les ondes négatives, est un excellent support de projection mentale et visualisation.

 

ORANGE : Apporte chance, amour et prospérité.

 

PONTIFICAL : Pour les rituels, les cérémonies religieuses, les prières et les actions à distance.

 

PATCHOULI : Il est un aphrodisiaque, augmente l'art de plaire et de séduire.

 

ROSE : Protège et intensifie l'amour, l'amitié et les sentiments sincères.

 

SOUFFRE : Cet encens est utilisé seul ou associé à d'autres plantes dans un but d'intense purification dans les travaux occultes.

 

TILLEUL : Elimine les pensées négatives projetées par les gens de notre entourage, favorise les demandes spéciales.

 

VATICAN : Réservé à tous les cas graves et difficiles.... 

Alzheimer

Publié à 08:52 par fandeloup Tags : moi bonne enfants photo photos femme mort fille livre livres
Alzheimer

5 choses à ne jamais dire à une personne atteinte d'Alzheimer

Marie Marley, auteur du livre Come back early today Hier après-midi, je suis entrée dans la chambre spacieuse de mary, une femme atteinte de démence qui reçoit peu de visiteurs et avec qui je passe un peu de temps, bénévolement, chaque semaine.

Je me suis assise à sa petite table, surchargée de livres, de photos, de journaux et d'autres objets qu'elle veut garder à portée de main. J'ai d'abord saisi une photo encadrée de Mary, posant en compagnie de son mari et de ses trois enfants- deux fils et une fille.

"Parlez-moi de votre fille", ai-je demandé, utilisant une phrase ouverte qui ne suggérerait ni bonne ni mauvaise réponse.

C'est une astuce que j'ai trouvée dans le livre The best friends approach to Alzheimer's care (Soigner Alzheimer par la technique du meilleur ami), de Virginia Bell et David Troxell.

"Oh, elle s'appelle Connie, m'a-t-elle dit. Elle a quatre enfants- deux garçons et deux filles." Elle a poursuivi, me donnant plusieurs détails sur Connie et sa famille. J'ai pris ensuite une photo de Mary avec sa sœur jumelle Bernice. Elle m'a expliqué qu'elles prenaient des leçons de piano ensemble quand elles étaient petites. Quelques minutes plus tard, je lui ai demandé si sa fille avait joué d'un instrument.

"Je n'ai pas de fille", a-t-elle déclaré, d'un ton neutre.

"Oh", ai-je insisté, me saisissant à nouveau de la photo de famille et la brandissant devant ses yeux. "Vous venez juste de me dire que vous aviez une fille. La voilà."

Le visage de mary s'est décomposé. "Je suppose que j'ai une fille", a-t-elle dit très calmement. Son embarras m'a fait de la peine, et je me suis reproché immédiatement d'avoir souligné son erreur. Je me suis rendu compte que je venais à l'instant de transgresser une des règles cardinales du comportement à adopter avec une personne atteinte de démence.

Je venais de le lire le matin même, dans The best friends approach to Alzheimer's care : "laissez-lui l'opportunité de sauver la face". Dans une discussion avec un malade d'Alzheimer, plusieurs règles de conduite s'imposent.

Voici les cinq plus basiques, que je développerai par la suite :

 

1- ne lui dites pas qu'il a tort ;

 

2- ne pas le contredire ;

 

3- ne pas lui demander s'il se souvient de telle ou telle chose ;

 

4- ne pas lui rappeler que son conjoint, parent ou autre proche est mort et

 

5- ne pas évoquer de sujets qui pourraient le contrarier.

Ne lui dites pas qu'il a tort : pour permettre au malade de sauver la face, il vaut mieux ne pas le contredire ou le corriger s'il se trompe. Il n'y a aucune raison de faire ça. S'il est encore assez alerte, il se rendra compte de son erreur et se sentira mal. Même s'il ne comprend pas son erreur, le fait de le corriger pourrait le mettre dans l'embarras ou se révéler pénible.

Ne pas le contredire : contredire une personne atteinte de démence n'est jamais la solution. Premièrement, parce qu'on ne peut pas avoir le dessus. Et deuxièmement, parce que cela peut le contrarier ou le mettre en colère. J'ai appris il y a longtemps de cela, lorsque je prenais soin de Ed, mon bien-aimé Roumain, mon âme sœur, que la meilleure chose à faire est de simplement changer de sujet - de préférence pour quelque chose d'agréable qui retiendra son attention. De cette façon, il y a fort à parier qu'il oubliera le désaccord.

Ne pas lui demander s'il se souvient de telle ou telle chose : lorsque l'on discute avec un malade d'Alzheimer, il est tentant de lui demander s'il se souvient d'une personne ou d'un évènement.

"Qu'as-tu mangé à midi ?", "Qu'as-tu fait ce matin ?", "Te souviens-tu qu'on a mangé des bonbons quand je t'ai rendu visite la semaine dernière ?", "Voici David. Tu te souviens de lui ?"

Evidemment, il ne se souvient pas. Sinon, on ne lui aurait pas diagnostiqué la démence. Le fait d'avoir oublié quelque chose pourrait l'embarrasser ou le frustrer.

Il vaut mieux dire : "Je me rappelle qu'on a mangé des bonbons la dernière fois. C'était délicieux."

Ne pas lui rappeler qu'un proche est mort : il n'est pas rare qu'une personne atteinte de démence pense que son conjoint, parent ou autre proche est vivant alors qu'il est décédé. Le malade pourrait être désorienté ou blessé que la personne en question ne vienne pas lui rendre visite. Si quelqu'un l'informe que cette personne est morte, il pourrait ne pas le croire ou se fâcher. S'il le croit, il sera probablement très attristé par la nouvelle. Il est d'autant plus inutile de l'en informer qu'il est à même d'oublier rapidement l'information et de penser à nouveau que le proche est vivant.

Il existe une exception à cette règle: si le malade demande si le proche est mort. Il vaut mieux alors lui donner une réponse honnête, même s'il l'oubliera dans peu de temps, puis de changer de sujet de conversation.

Ne pas évoquer de sujets qui pourraient le contrarier : il n'y a aucune raison d'évoquer un sujet si l'on sait qu'il va contrarier la personne. Si l'on n'est pas sur la même longueur d'ondes en politique, inutile d'en parler. C'est le meilleur moyen de déclencher une dispute, ce qui irait à l'encontre de la deuxième règle ci-dessus. Personne n'aura le dessus et le malade en ressentira colère et frustration. Voilà pour les conseils. J'espère qu'ils vous seront utiles au moment de rendre visite à votre proche et vous permettront de passer un meilleur moment ensemble.

une petite fille opérée dans le ventre de sa mère

Publié à 08:36 par fandeloup Tags : photo chez monde enfants france cadre fille tube bébé paysage couples prénom
une petite fille opérée dans le ventre de sa mère

Paris : une petite fille opérée dans le ventre de sa mère

Une petite fille, née il y a dixjours, est le premier bébé à avoir subi, en France, une intervention sur la moelle épinière avant même sa naissance. Fabuleux.

On ne connaît pas son visage, ni même son prénom . De cette patiente, prise en CHARGE à l'hôpital Armand-Trousseau à Paris (XIIe), nous savons juste qu'elle est née il y a dix jours et qu'elle a été OPÉRÉE dans le ventre de sa mère.

Pour la première fois en France, cette naissance inédite -- révélée hier -- survient après une intervention de chirurgie fœtale effectuée en juillet chez la future maman, au terme du cinquième mois de grossesse.

Le bébé souffrait de spina-bifida opéré in utero. Cette malformation du système nerveux central concerne en moyenne 1 grossesse sur 1 000.

Elle conduit à des lésions irréversibles, responsables de paralysies des jambes et d'incontinence. Concrètement, c'est le tube neural, qui donne naissance à la moelle épinière et à l'ensemble du système nerveux, qui ne se referme pas complètement dans le bas du dos.

Résultat :

plusieurs vertèbres ne peuvent pas venir se souder pour constituer la COLONNE vertébrale. D'où le nom de cette malformation : spina-bifida, qui signifie « épine fendue en deux » en latin.

Une intervention pratiquée par une dizaine d'hôpitaux dans le monde L'exploit s'est déroulé dans l'établissement de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) par l'équipe du service de médecine foetale, en collaboration avec celle du service de neurochirurgie de l'hôpital Necker-Enfants malades (AP-HP, Paris XVe).

Dans les dix jours qui ont suivi cette intervention, une normalisation des anomalies cérébrales provoquées par la malformation a été constatée par les médecins.

La grossesse s'est ensuite poursuivie dans des conditions normales et la maman a accouché par césarienne, à 8 mois, le 9 novembre. « Le bébé ainsi que la maman sont en parfaite santé », COMMUNIQUEl'AP-HP.

« Cette malformation est dépistée dès l'échographie. Les premières interventions, dans le cadre de la prise en charge du spina-bifida, ont été réalisées dans les années 1990 aux Etats-Unis et au Brésil. En France, cela fait une dizaine d'années que nous y réfléchissons. Mais certains se demandaient s'il y avait de la place pour ce type d'opération dans notre pays. En effet, le diagnostic prénatal est ici l'un des meilleurs au monde et la grande majorité des couples choisit, à l'issue du diagnostic, d'interrompre la grossesse. Aujourd'hui, nous avons une demande de couples qui souhaitent bénéficier de cette chirurgie. Ce serait presque non éthique de ne pas la leur proposer, sans faire, pour autant, de prosélytisme d'un côté comme de l'autre », précise le Pr Jean-Marie Jouannic, du centre pluridisciplinaire de diagnostic prénatal de l'Est parisien, installé à Trousseau.

Dans le monde, seule une dizaine d'hôpitaux réalise aujourd'hui cette opération.

Son risque majeur ?

Un accouchement prématuré dans les heures ou les jours qui suivent. « Cette intervention ne va pas guérir l'enfant, ajoute le Pr Jouannic. L'objectif est de réduire les conséquences liées à la malformation.Cette réparation permet de stopper la fuite du liquide céphalorachidien et donc de protéger le cerveau. Le développement moteur et intellectuel des enfants est ainsi amélioré mais tout commence aujourd'hui pour cette petite fille et ses parents. »

LA MÈRE et l'enfant doivent sortir de l'hôpital parisien pour rejoindre leur domicile, en province, en fin de semaine.

La chirurgie foetale encore RARE

Elle reste très limitée dans le paysage médical français. La chirurgie fœtale est aujourd'hui exclusivement pratiquée pour des maladies ou des malformations qui, si elles ne sont pas opérées au cours du développement du fœtus, vont entraîner son décès ou un handicap très lourd qui ne pourra pas être corrigé après la naissance.

Exemples ?

Le syndrome transfuseur-transfusé au cours de grossesses gémellaires. Ce syndrome survient lorsqu'il existe un déséquilibre des échanges sanguins entre deux fœtus partageant le même placenta. L'un grossit alors que la croissance du second est freinée.

Ici, la chirurgie consiste à séparer le placenta en deux avec un taux de survie des fœtus de 80 % alors qu'il n'est que de 20 % en l'absence d'intervention.

La chirurgie cardiaque du fœtus en est aussi à ses balbutiements dans des CASd'hypoplasie du cœur. Il s'agit d'une malformation de l'aorte ou de l'artère pulmonaire qui peut entraîner une atrophie du ventricule. L'intervention permet alors de déboucher la valve à l'aide d'une sonde miniature.

LES SYMPTÔMES DE LA FIBROMYALGIE

Publié à 16:52 par fandeloup Tags : femmes vie chez divers tube livre pensées
LES SYMPTÔMES DE LA FIBROMYALGIE

LES SYMPTÔMES DE LA FIBROMYALGIE

Les symptômes de la fibromyalgie Souvent définie COMME un syndrome de fatigue chronique à composante rhumatologique, la fibromyalgie est une maladie polymorphe qui TOUCHE les femmes en particulier. Dans le livre Fibromyalgie, les auteurs postulent qu'elle est une conséquence d'un excès de stress chronique. Découvrez ses principaux symptômes.

 

Des besoins primordiaux niés

Il est très peu probable de faire une fibromyalgie si l’on n’a pas un terrain génétique d’hypersensibilité. La fatigue amplifie cette tendance (intolérance aux imprévus, aux contrariétés, au chaud, au froid, etc.).

Mais ce terrain seul ne suffit pas pour tout expliquer. Lorsque l’on est fatigué, il est simple de se reposer, ce que ne font pas les personnes TOUCHÉES par le syndrome de fatigue chronique.

Or ce qui favorise l’apparition de la fibromyalgie c’est que la PERSONNE ne s’est pas écoutée, qu’elle ne s’est pas arrêtée, qu’elle n’a pas pris les moyens et le temps de récupérer proportionnellement à ses efforts.

Le (ou « la » car ce sont le plus souvent des femmes) futur fibromyalgique, est une personne qui ne s’autorise pas à ressentir sa fatigue ou ses inconforts, qui ne s’arrête pas dans la journée, parfois dans la semaine, parfois dans le mois, parfois dans l’année, parfois pendant des années.

Une personne qui nie ses besoins. Souvent une personne très généreuse, qui se croit obligée de faire des tas de choses qu’elle pourrait déléguer ou laisser ceux qui le lui demandent assumer leurs responsabilités.

Une personne dont les proches, les collaborateurs ou la hiérarchie « profitent » souvent en se déchargeant sur elle. Elle a malheureusement perdu de vue que pour donner, il faut avoir. Ces personnes tiennent sur « les nerfs ».

La stimulation provenant de l’intensité de leurs activités leur sert à plusieurs titres de véritable drogue. Cela évite de penser et de se laisser envahir par l’anxiété ou les pensées négatives. Le « challenge » permanent joue un rôle d’antidépresseur.

Cependant, lorsque l’on ne ponctue pas volontairement son agenda de pauses récupératrices, quand les ressources physiques et neuronales sont épuisées, quand les troubles rendent la poursuite de rythme infernal IMPOSSIBLE, le système bloque et les problèmes commencent à apparaître.

 

Des troubles du sommeil

Les symptômes les plus fréquemment liés au syndrome de fatigue chronique (SFC) et à la fibromyalgie sont des réveils nocturnes, associés en général à des préoccupations, des soucis, des doutes, des craintes…

La fatigue devient d’autant plus ardue à faire disparaître que le sommeil – période la plus importante pour récupérer – est perturbé. On constate aussi souvent des difficultés d’endormissement (associées à la tension pulsionnelle élevée) et des réveils précoces pouvant évoquer une dépression.

Sans être aussi CLAIREMENTperturbé, le sommeil peut tout simplement ne pas être assez récupérateur pour de nombreuses raisons souvent simples : mauvaise oxygénation de la chambre, apnée du sommeil, dîners trop lourds, alcool le soir…

 

Une dépression et des douleurs

La dépression s’explique par la baisse de l’énergie DISPONIBLEpour les neurones. Le cerveau a beau ne peser que 2 à 3 % du poids du corps, il consomme 20 à 30 % de l’énergie du corps (oxygène et glucose).

La fatigue retentit donc sur la combativité, l’humeur et la capacité décisionnelle d’adaptation. La dépression augmente la nociception (sensibilité à la douleur) et s’accompagne donc presque AUTOMATIQUEMENT d’un mal-être et de sensations douloureuses qui touchent principalement les muscles, mais aussi les tendons et les organes internes, en particulier le tube digestif et la vésicule biliaire.

C’est aussi la raison pour laquelle les antidépresseurs ont des effets antalgiques, utilisés chez beaucoup de fibromyalgiques, même en l’absence de dépression.

La douleur TOUCHANT les racines des membres caractérise la FORME appelée fibromyalgie.

Pourquoi les racines des membres ?

Parce que c’est là que les muscles sont raccordés, par les tendons, aux os. Le stress entraîne des tensions musculaires, les tensions affectent les tendons qui peuvent s’enflammer.

On pourrait dire pour simplifier que la fibromyalgie est un syndrome fatigue chronique compliqué par une tendinite généralisée. Elle touche plus facilement les endroits où les tensions sont naturellement continues : le cou, les épaules, les omoplates, les coudes, le bas du dos, les hanches, les genoux.

Ce sont les endroits sollicités par le maintien de la tête, du buste et du bassin droits, ou par le levage de poids pour les coudes et les épaules.

Le PATIENTen est moins conscient, mais des muscles profonds comme le psoas (qui relie le haut de la cuisse aux vertèbres lombaires) sont la plupart du temps également concernés et relèvent de techniques d’ostéopathie et de relaxation appropriées.

Les muscles et les fascias (sortes de gaines fibreuses qui enveloppent les muscles) sont aussi affectés : tensions sensibles qui peuvent devenir chroniques et constituer des contractures douloureuses, souvent sous la forme de « nœuds », de crampes fréquentes…

 

Un état général qui va en s’empirant

Cet état douloureux contribue à aggraver des tensions musculaires, la fatigue physique, la fatigue psychologique, la tendance dépressive, les troubles du sommeil...

Pire, à réduire l’activité qui est nécessaire au maintien DE la masse musculaire. Or le mouvement est à la fois un antidépresseur et un antalgique. Lorsque l’on bouge moins physiquement, on laisse la PLACE aux pensées négatives, et, sur le plan neurologique, au passage des informations douloureuses.

Nous en avons tous fait l’expérience : pour supporter une douleur, un pincement par exemple, mieux vaut marcher dans tous les sens, s’agiter que DE rester paralysé sur place. Comme ces soldats qui ont reçu des éclats d’obus dans la cuisse, qui, dans le feu du combat, ne s’en aperçoivent pas mais qui hurlent de douleur dès qu’ils s’arrêtent.

 

Des intolérances alimentaires

On retrouve souvent, chez ceux qui souffrent de syndrome de fatigue chronique et de fibromyalgie, divers problèmes digestifs, notamment des intolérances alimentaires. Les déséquilibres intestinaux et parfois la candidose (infection intestinale par un champignon) jouent également un rôle aggravant puisqu’elles réduisent les fonctions de la flore intestinale, dont on connaît aujourd’hui le rôle fondamental dans l’immunité.

 

Une hypersensibilité fréquente aux produits chimiques

On compte dans l’air que nous respirons, dans les liquides que nous buvons, dans les aliments que nous mangeons, dans les vêtements que nous portons, dans les crèmes que nous mettons sur notre peau… près de 150 000 molécules dites « xénobiotiques », c’est-à-dire « étrangères à notre biologie ».

Elles sont pour la plupart issues de synthèses chimiques. Plus cette « CHARGE chimique » est élevée, plus elle joue un rôle contributeur dans la fatigue.

Éliminer, neutraliser ces polluants et réparer les dégâts qu’ils nous causent, coûte en effet de l’énergie. Indéniablement, il EXISTE une vulnérabilité aux polluants qui est souvent constatée chez les personnes souffrant de fibromyalgie et de SFC.

On reconnaît en effet un véritable syndrome additionnel d’hypersensibilité chimique chez des patients qui ont été peu exposés dans leur vie (pas de tabagisme, peu de viande ou de poisson grillé, pas d’exposition professionnelle à des produits chimiques, pas d’administration prolongée de médicaments…).

Dernier aspect de la maladie : tous ces symptômes (la fatigue, le stress, la douleur, la dépression, l’inflammation, la vulnérabilité aux infections et aux polluants) s’amplifient les uns les autres...

pyramide

Publié à 15:26 par fandeloup
pyramide

La pyramide anti-cancer, établie par l’Institut américain sur le cancer, devrait être affichée dans toutes les cuisines.

Les 33 aliments cités contiennent une grande variété de légumes, de fruits, d’herbes aromatiques et quelques céréales.

Au sommet de la pyramide on trouve le chou (et la choucroute).

Les aliments inclus dans cette pyramide soulignent l’importance de ces aliments dans la prévention, non seulement du cancer, mais de nombreuses autres maladies.

Ainsi la haute dose teneur en vitamine C des choux et de la choucroute protège des refroidissements, leur teneur en fer et en vitamine B6 accroît la sensation de bien-être et aiguise la forme en général, et l’acétylcholine exerce un effet apaisant sur le système neuro-végétatif.

Il s’agit donc d’un «chou-miracle» (Wunderkraut) au sens véritable du terme.

la relation entre les émotions et les maladies

la relation entre les émotions et les maladies

La maladie, LE MAL A DIT…

La relation entre les émotions et les maladies

 « Tout ce qui ne s’exprime pas s’imprime! »  Le corps n’est pas juste un « instrument » ou un « véhicule », je le considère comme un temple ( le temple de l’âme) et aussi comme » le film de votre vie ».

Toutes les émotions que vous refoulez à l’intérieur de vous-même parce que vous ne pouvez pas ou ne voulez pas les verbaliser, peuvent se cristalliser dans différentes parties de votre corps.

Les émotions génèrent des symptômes physiques, par exemple;

LA PEUR, L’ANGOISSE donnent des palpitations cardiaques, des vertiges, sueurs, tremblements, mains moites.

LA PANIQUE peut provoquer des diarrhées.

LA COLÈREretenue ou LA RANCUNE : une crise de foie.

LA DIFFICULTÉ A TROUVER OU A PRENDRE SA PLACEpeut provoquer des infections urinaires à répétition.

QUELQUE CHOSE QU’ON NE VEUT PAS ENTENDRE OU QUAND ON NE VEUT PAS S’ÉCOUTER, des otites, douleurs d’oreilles.

QUELQUE CHOSE QU’ON N’A PAS OSÉ DIRE, QU’ON A RAVALÉ , une angine, des maux de gorge.

UN REFUS DE CÉDER, DE PLIER, D’OBÉIR OU DE SE SOUMETTRE, des problèmes de genoux.

PEUR DE L’AVENIR, PEUR DU CHANGEMENT, PEUR DE MANQUER D’ARGENT, des douleurs lombaires.

INTRANSIGEANCE, RIGIDITÉ, douleurs cervicales et nuque raide. CONFLIT AVEC L’AUTORITÉ, douleurs d’épaules.

TOUT PRENDRE SUR SOI, également douleurs d’épaules, sensation d’un fardeau.

SERRER LES DENTS POUR AFFRONTER QUELQU’UN OU UNE SITUATION SANS RIEN DIRE…douleurs dentaires, aphtes, abcès.

PEUR DE L’AVENIR, DIFFICULTÉS A ALLER DE L’AVANT, OU BESOIN DE « LEVER LE PIED »: douleurs dans les jambes, les pieds, les chevilles. La colonne vertébrale est aussi un merveilleux terrain d’investigation de toutes nos émotions refoulées,decodage dos

Bien sûr, il ne faut pas généraliser, l’origine d’une douleur peut être tout simplement mécanique, un faux mouvement ou un coup de froid….mais si vous ne trouvez pas d’explications contextuelles, alors essayez d’entrer « en contact » avec ce qui se joue au plus profond de vous

 

Maladies du foie :

le foie représente les choix, la colère, les changements et l’adaptation. On peut souffrir du foie quand on ne parvient pas à s’adapter à des changements, professionnels ou familiaux. Difficultés d’ajustement à une situation. Sentiment de manque continuel ou peur de manquer.

Colère refoulée. Personnes sujettes aux maladies du foie : les personnes qui critiquent et qui jugent beaucoup (elles-mêmes et les autres) et/ou qui se plaignent souvent.

 

Maladies de la vésicule biliaire :

La vésicule biliaire est en rapport avec l’extérieur, la vie sociale, la lutte, les obstacles, le courage.

Se battre. Esprit de conquête. Se faire de la bile, s’inquiéter, s’angoisser. Sentiment d’injustice. Colère, rancune. Se sentir envahi, empiété sur son territoire par une personne autoritaire. Agressivité rentrée et ruminante, mécontentement retenu. Se retenir de passer à l’action. Difficultés à faire un choix, de peur de se tromper.

 

LA GLANDE THYROÏDE

Profonde tristesse de ne pas avoir pu dire ce qu’on aurait voulu. Sentiment d’être trop lent par rapport à ce qu’on attend de nous. Impuissance, sentiment d’être coincé dans une situation, être devant un mur, dans une impasse. Être bloqué dans la parole ou dans l’action, être empêché d’agir. Pas le droit de parler, de s’exprimer. Ne pas se sentir écouté. Difficultés à s’affirmer. Une déception ou une injustice n’a pas été « avalée » et est restée en travers de la gorge.

 

LES HERNIES

En règle générale : de la détresse implose à l’intérieur et demande à être libérée. Désir de rompre ou de quitter une situation où on se sent coincé, mais où l’on reste par peur de manquer de quelque chose, généralement du matériel.

Auto-punition parce qu’on s’en veut, incapacité à réaliser certaines choses qu’on voudrait. Frustration de travailler dur, se sentir poussé à aller trop loin, ou essayer d’atteindre son but d’une manière excessive, qui en demande trop. Une poussée mentale (de stress) essaie de sortir.

Mais en plus, le lieu où siège l’hernie indique son message émotionnel de manière plus précise et complémentaire :

 

Hernie inguinale : (dans l’aine) : difficulté à exprimer sa créativité, secret que l’on renferme et qui nous fait souffrir. Désir de rompre avec une personne qui nous est désagréable, mais avec laquelle on se sent engagé ou qu’on est obligé de côtoyer. On aimerait sortir, s’extirper de cette situation. Hernie ombilicale : nostalgie du ventre de la mère où tout était facile et où se sentait totalement en sécurité. Refus de la vie.

 

Hernie discale : conflit intérieur, trop de responsabilité, sentiment de dévalorisation, ne pas se sentir à la hauteur de ce qu’on attend de nous, projets et idées non reconnus. La colonne vertébrale représente le soutien. Besoin d’être appuyé, soutenu, mais difficulté ou impossibilité de demander de l’aide.

 

Hernie hiatale : se sentir bloqué dans l’expression de ses sentiments, de son ressenti. Refouler ses émotions. Tout vouloir diriger, ne pas se laisser porter par la vie mais la contrôler.

 

LES GENOUX

Douleurs aux genoux, genoux qui flanchent, genoux qui craquent, douleurs aux ménisques : refus de plier, de se « mettre à genoux » (de se soumettre) de céder, fierté, ego, caractère inflexible ou au contraire, on subit sans rien oser dire, on s’obstine, mais nos genoux nous disent que nous ne sommes pas d’accord avec cette situation. Difficultés à accepter les remarques ou les critiques des autres. Problèmes avec l’autorité, la hiérarchie, problèmes d’ego, d’orgueil. Devoir s’incliner pour avoir la paix. Ambition réfrénée ou contrariée par une cause extérieure, Entêtement, humiliation. Culpabilité d’avoir raison. Colère d’être trop influençable.

 

Les maladies

 

LA PEAU, eczéma, acné, psoriasis Les maladies de peau ont très souvent, à l’origine, un conflit de séparation mal géré, une séparation mal vécue, soit par la mère, soit par l’enfant, ou la peur de rester seul et un manque de communication. Séparation aussi envers soi-même : dévalorisation de soi vis-à-vis de l’entourage. Porter trop d’attention à ce que les autres peuvent penser de nous.

 

Eczéma : anxiété, peur de l’avenir, difficultés à s’exprimer. Impatience et énervement de ne pas pouvoir résoudre une contrariété. Séparation, deuil, contact rompu avec un être cher. chez les enfants, l’eczéma peut résulter d’un sevrage trop rapide ou d’une difficulté de la mère à accepter que son enfant ne soit plus « en elle ».Sevrage de l’allaitement ou reprise du travail de la maman et culpabilité non exprimée, mais que l’enfant ressent et somatise ainsi. Querelles ou tensions dans la famille, que l’enfant ressent. Insécurité.

 

Acné : manière indirecte de repousser les autres, par peur d’être découvert, de montrer ce qu’on est réellement, parce qu’on pense qu’on ne peut pas être aimé tel que l’on est. Puisqu’on se rejette, on crée une barrière pour que les autres ne nous approchent pas. Refus de sa propre image, de sa personnalité ou de sa nouvelle apparence. Honte des transformations corporelles. Difficulté à être soi-même, refus de ressembler au parent du même sexe.

 

Psoriasis :personne souvent hypersensible qui n’est pas bien dans sa peau et qui voudrait être quelqu’un d’autre. Ne se sent pas reconnue, souffre d’un problème d’identité. Le psoriasis est comme une cuirasse pour se défendre. Besoin de se sentir parfait pour être aimé. Souvent une double conflit de séparation, soit avec deux personnes différentes, soit un ancien conflit non résolu, réactivé par une nouvelle situation de séparation. Se sentir rabaissé ou rejeté, à fleur de peau. Se protéger d’un rapprochement physique, ou protéger sa vulnérabilité, mettre une barrière.

 

LES BRAS :

Il y a de nombreuses causes émotionnelles liées aux douleurs et aux problèmes de bras. Les bras sont le prolongement du coeur et sont liés à l’action de FAIRE et de RECEVOIR, ainsi que l’autorité, le pouvoir. Les douleurs aux bras peuvent être liées à de la difficulté à aimer ce que je dois faire. Se sentir inutile, douter de ses capacités, ce qui amène la personne à se replier sur elle et à s’apitoyer sur ses souffrances. Se croire obligé de s’occuper de quelqu’un. Ne pas se sentir à la hauteur lorsqu’on est le « bras droit » de quelqu’un. Difficulté à prendre les autres dans ses bras, à leur montrer de l’affection. Je m’empêche de faire des choses pour moi-même, parce que je me souviens des jugements négatifs et des interdictions durant mon enfance, ce qui m’avait blessé. Je ne me permets pas de prendre ou je regrette d’avoir pris quelque chose, ou je pense que j’ai obtenu quelque chose que je ne méritais pas. Ou quelque chose me revient de droit , que je n’ai pas pris, je ressens de la colère. Se rapporte au fait d’avoir été jugé par ses parents. Vouloir emprisonner quelqu’un dans ses bras pour l’avoir sous contrôle, mais avoir dû le laisser s’envoler, et ne plus pouvoir l’aimer et le protéger (un enfant, par exemple…). Vivre une situation d’échec, devoir baisser les bras.

 

ÉPAULES :

c’est ce qui PORTE. Les épaules portent les joies, les peines, les responsabilités, les insécurités. Le fardeau de nos actions et tout ce qu’on voudrait faire, mais qu’on ne se permet pas, ou qu’on n’ose pas… On se rend responsable du bonheur des autres, on prend tout sur soi, on a trop à faire, on se sent écrasé, pas épaulé, pas soutenu. Douleurs possibles aussi quand on nous empêche d’agir, ou que l’on on nous impose des choses. Lorsqu’on vit une situation dont ont ne veut plus, on désire passer à autre chose, mais le manque de confiance en soi nous bloque. On manque d’appui, on manque de moyens. On ne se sent pas aidé. Une personne chère ou l’un de nos parents vit de la tristesse et on aimerait prendre son chagrin et ses problèmes pour l’en libérer.

Colère retenue contre un enfant ou une autre personne qui se la coule douce alors qu’on ne se donne même pas le droit de prendre un temps de pause.

Au travail ou à la maison, avec son conjoint, on se sent dans l’obligation de se soumettre, on se sent dominé sans oser réagir. On vit de l’insécurité affective (douleur épaule gauche) ou de l’insécurité matérielle (douleur épaule droite).

 

Épaules rigides et bloquées :

blocage de la circulation de l’énergie du coeur, qui va vers l’épaule, puis vers le bras, le bras donne (le bras droit) et reçoit (le bras gauche). Ce blocage d’énergie est souvent retenu dans une articulation ou un tissu (capsulite, bursite).

L’énergie doit circuler du coeur vers les bras pour permettre de FAIRE, de réaliser ses désirs. On porte des masques, on bloque ses sentiments, on entretient des rancunes (douleurs dans les trapèzes, surtout à gauche). parfois envers soi-même.

On paralyse ses épaules pour s’empêcher d’aller de l’avant, de faire ce qu’on aimerait vraiment. On prend le fardeau sur soi plutôt que d’exprimer ses demandes et ses ressentis, de peur de mécontenter l’autre. Difficulté ou impossibilité à lever le bras : conflit profond avec sa famille, difficulté à voler de ses propres ailes.

Essayez de modifier, clarifier ou de lâcher-prise par rapport à la situation qui vous perturbe.

« Le mal a dit » = votre douleur essaie de vous dire quelque chose, de vous signaler que quelque chose perturbe l’harmonie en vous, d’attirer votre attention sur quelque chose à changer dans votre vie.