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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Rester en bonne santé
Les maladies cardio-vasculaires, en particulier l'atteinte des artères coronaires à l'origine de l'angine de poitrine et de l'infarctus du myocarde, sont favorisées par un certain nombre de facteurs de risque.
Hormis l'hérédité, le sexe et l'âge, les principaux facteurs de risque cardiovasculaire sont modifiables :
Prévention et patient cardiaque
Interview du Pr. Beaune le tabagisme :
presque toutes les personnes faisant un infarctus avant 45 ans sont des fumeurs.
Entre 30 et 70 ans, 4 décès cardiovasculaires sur 10 sont dus au tabagisme, une élévation permanente de la tension artérielle ou hypertension artérielle (HTA), le diabète, qui se définit par un excès de sucre dans le sang, L'excès de cholestérol (ou hypercholestérolémie) :
une élévation du taux des graisses du LDL-cholestérol dans le sang représente un facteur de risque déterminant.
Un HDL-cholestérol bas est également un facteur de risque, l'excès de poids ou l'obésité : la valeur du tour de taille comporte en elle-même une bonne valeur indicative d'un risque vasculaire.
Il faut être vigilant si le tour de taille est ? 88 cm chez la femme et ? 102 cm chez l'homme, La sédentarité : c'est aussi l'un des ennemis de nos artères en contribuant à la survenue ou à l'aggravation de plusieurs facteurs de risque (hypertension artérielle, diabète, surpoids, hypercholestérolémie...).
Les facteurs de risque ne s'additionnent pas, ils se potentialisent, c'est-à-dire qu'ils s'aggravent l'un l'autre.
Ainsi, l'association de plusieurs facteurs de risque, même de faible intensité, peut entraîner un risque très élevé d'être atteint d'une maladie cardiovasculaire.
Par exemple, si vous avez une tension artérielle modérée, une petite intolérance au sucre, un cholestérol moyennement élevé et que vous êtes un petit fumeur, vous êtes beaucoup plus « à risque » que celui qui aura un cholestérol très élevé isolément.
Comment porter assistance à une personne qui se noie ?
Avant d’entreprendre toute action de sauvetage, il faut rapidement analyser la situation, à partir de considérations simples, concernant :
1 - La connaissance que l’on en a de l’environnement, par exemple :
- Les courants, les tourbillons, les obstacles, tels que des rochers, en mer ou en rivière…
- La profondeur du bassin en piscine.
- Les possibilités d’accéder à la victime de façon sécurisée, notamment par une embarcation, une corde, l’aide de témoins…
2 - Ses propres possibilités, par exemple :
- Sa condition physique, sa maitrise de la natation…
- Le risque de malaise par choc thermique, après une exposition prolongée au soleil.
Cette analyse rapide et simple permet d’éviter de s’exposer à un risque inconsidéré. Dès que la personne est sortie de l’eau, des gestes s’imposent en fonction de son état :
Elle répond à vos questions, elle est consciente. Il faut la protéger du soleil ou des intempéries, l’aider à retirer les vêtements mouillés et à trouver une position confortable, la couvrir, la rassurer et contacter les secours (15 SAMU ou 18 Pompiers), puis rester auprès d’elle dans l’attente des secours.
Elle ne répond pas à vos questions, mais vous percevez un souffle en vous penchant vers sa bouche, et sa poitrine se soulève régulièrement. Elle a perdu connaissance, et elle respire, il faut alors la placer sur le coté de telle sorte que les liquides présents au niveau des voies aériennes puissent être évacués vers l’extérieur, et que sa respiration soit facilitée.
Après avoir contacté les secours (15 SAMU ou 18 Pompiers) il faut rester près d’elle, pour surveiller l’évolution de son état. Elle ne répond pas à vos questions et aucun signe de respiration n’est perceptible. Elle a perdu connaissance et ne respire pas. Il faut réaliser un massage cardiaque associé à un bouche à bouche.
-> Vous êtes seul ? La priorité consiste à alerter les secours, puis, après s’être placé sur un des côtés de la victime et avoir dénudé sa poitrine, il faut effectuer des compressions vigoureuses et rapides au milieu du thorax, en alternant 30 compressions thoraciques, et 2 insufflations de bouche à bouche lors d’une bascule prudente de la tête en arrière.
-> Un témoin peut vous aider ? Demandez-lui d’alerter les secours, pendant que vous débutez les gestes décrits ci-dessus.
-> Plusieurs témoins peuvent vous aider ? Il faut rapidement répartir les « missions » entre l’alerte, le massage cardiaque et le bouche à bouche, puis prévoir d’une part un relais (car la réalisation d’un massage cardiaque et d’un bouche à bouche sont des manœuvres éprouvantes) et d’autre part, un guidage des secours vers le lieu de l’accident.
Attention : les techniques exposées ne le sont qu’à titre d’information, leur lecture ne confère aucune compétence en secourisme.
Puisqu’il ne faut que quelques heures pour apprendre les gestes à réaliser en cas de détresse, pourquoi ne pas prendre, dès maintenant, son agenda et contacter une association de secourisme?
Pour soigner une piqûre, il faut, après s'être lavé les mains, désinfecter la zone piquée avec de l'eau et du savon, appliquer un antiseptique et surveiller l'évolution de la zone piquée et la température car certaines piqûres, de moustiques notamment, peuvent transmettre des maladies infectieuses.
En cas de signes persistants, comme : douleur, gonflement et rougeur sur le site de la piqûre, fièvre, douleurs articulaires dans les jours qui suivent, consultez un médecin.
Attention ! Certaines situations nécessitent d'appeler les secours immédiatement (le SAMU 15) :
piqûre dans la bouche ou dans la gorge (le gonflement peut être rapide et engendrer des difficultés respiratoires),
piqûres multiples, allergie connue, ou sensation de malaise, de vertiges, pâleur, gonflement du visage et tous signes inhabituels qui peuvent correspondre à une réaction allergique.
Dans l'attente des secours, appliquez les premiers soins décrits ci-dessus, faites s'allonger la victime et surveillez l'évolution de l'état de la victime.
Les échardes ne sont pas à prendre à la légère ! Elles peuvent être source d’infection !
Selon sa localisation, une plaie présentant un corps étranger, tel qu'une écharde ou une épine peut nécessiter l'intervention d'un médecin. Par exemple au niveau du pied, du fait de la macération de la transpiration, il y a un haut risque d'infection.
En pratique, un bain de pied de plusieurs minutes dans une cuvette d'eau savonneuse, va nettoyer la plaie, assouplir les tissus et permettre une extraction délicate du corps étranger, avec une pince à épiler préalablement nettoyée avec de l'alcool.
Puis il faut appliquer un antiseptique et protéger cette plaie par un pansement . Si, après quelques heures, la plaie reste douloureuse, devient rouge et gonflée il faut contacter rapidement son médecin. Comme pour toute plaie, il y a le risque d’infection par le bacille du tétanos, vérifiez le carnet de vaccination !
[A SAVOIR]
Le calendrier vaccinal de l'adulte en ce qui concerne le tétanos, consiste en un rappel tous les 20 ans, à partir de l'âge de 25 ans, donc à 45 ans et 65 ans, puis à 75 ans et 85 ans. Un rattrapage est prévu si le délai est dépassé. En cas de doute, il faut en parler avec son médecin.
Vivre avec un animal durant la grossesse pourrait diminuer le risque d'allergie du bébé
Selon une récente étude américaine, les femmes qui se trouveraient en contact avec un animal domestique durant leur grossesse auraient moins de chance d'accoucher d'un enfant souffrant d'allergies ou d'asthme.
Alors que de plus en plus de personnes souffrent d'allergies à divers composés, l'origine de ces réactions anormales et excessives du système immunitaire n'est pas toujours bien élucidée.
Aujourd'hui, les chercheurs poursuivent donc leurs travaux pour tenter de mieux comprendre ce mécanisme organique voire de trouver des facteurs qui pourraient éventuellement le favoriser.
Une équipe du Henry Ford Hospital de Detroit aux Etats-Unis a ainsi découvert que les femmes enceintes exposées à des animaux domestiques présentaient à l'inverse un risque réduit d'accoucher d'un enfant souffrant d'allergies.
Pour arriver à une telle conclusion, les chercheurs ont suivi de la naissance à l'âge de deux ans le taux d'anticorps IgE des bébés, des molécules associées au développement de l'allergie et de l'asthme.
Ils ont ainsi constaté que les enfants dont la mère avait été exposée durant la grossesse présentaient des niveaux en moyenne 28% moins élevés que chez les autres non exposés.
Les taux étaient encore inférieurs chez les bébés exposés et nés de manière naturelle et non par césarienne.
"Nous pensons que d'avoir une exposition diverse et large à une grande variété de microbactéries à la maison et durant le processus de naissance influence le développement du système immunitaire de l'enfant", a commenté le Dr Christine Cole Johnson, du Henry Ford's Department of Public Health Sciences et principal auteur de l'étude relayée par le Daily Mail.
Celle-ci souligne également que la découverte apporte un élément de plus à "l'hypothèse de l'hygiène".
Cette théorie explique qu'une sous-exposition aux bactéries environnantes (par l'intermédiaire d'une sur-hygiène et d'une utilisation excessive d'antibiotiques) pourrait entrainer l'organisme à sur-réagir à ces micro-organismes et donc provoquer de l'allergie. Une exposition prénatale pour moins d'allergies ?
Ainsi, le docteur Johnson souligne que les bébés nés par voie naturelle seraient exposés dès leur naissance à une grande quantité de bactéries variées, boostant la protection du système immunitaire contre l'allergie.
Alors que les animaux et en particulier les chats peuvent être source de réelles allergies, une exposition à travers la mère pourrait de la même manière empêcher l'organisme du futur enfant de sur-réagir à d'éventuels allergènes, commentent les chercheurs dans l'étude publiée par le Journal of Allergy and Clinical Immunology.
Toutefois, cette théorie fait l'objet d'un vif débat et d'objections de la part de scientifiques, démontrant que des travaux restent à faire pour confirmer ou non cette hypothèse.
Source : Gentside Découverte
Que met-on dans une saucisse vendue 3€/kg, moins cher qu’un kilo de pain ?
"Du gras et de la viande séparée mécaniquement [...]. C’est un processus qui permet de récupérer la viande – de volaille notamment – qui reste collée à la carcasse.
Une machine se charge de récupérer cette chair, mélangée à des os et de la moelle osseuse, et de transformer le tout en pâte de plus ou moins bonne qualité."
Conditions d'élevage déplorables des animaux, piètre qualité... les modes de production et de consommations doivent changer !
Besoin de conseils pour consommer mieux ? www.ciwf.fr/alimentation/consommer-responsable/
Changer le sang et refroidir le corps à 10 degrés : cette solution pourrait sauver des vies
Des victimes de blessures par balles ou par arme blanche vont être refroidies de l'intérieur pour laisser le temps aux chirurgiens d'opérer.
Une méthode qui pourrait sauver de nombreuses vies, et qui va être testée dans un hôpital de Pittsburgh (USA).
Les médecins de Star Trek et autres films et livres d'anticipation l'ont prédit depuis des lustres, mais cette fois, c'est pour de vrai : l'animation suspendue va être utilisée pour la première fois sur un être humain à l'UPMC Presbyterian Hospital de Pittsburgh (Pennsylvanie, USA). Dans des cas extrêmes de blessures, comme par exemple les blessures par balles ou par arme blanche, la victime arrive à l'hôpital en état d'arrêt cardiaque, avec des blessures ouvertes, ayant perdu beaucoup de sang, et les méthodes traditionnelles de réanimation peuvent s'avérer inefficaces.
Dans ces circonstances, les chances de survie sont alors estimées à moins de 10%.
La solution ?
Refroidir le corps de l'intérieur, afin de laisser aux chirurgiens le temps d'opérer. Dans le froid, les réactions chimiques dans le corps ralentissent, et les besoins en oxygène diminuent.
Remplacer le sang par une solution saline froide Le principe est connu depuis des décennies, et l'on a des exemples de personnes tombées dans de l'eau très froide et qui ont pu être ramenées à la vie plus d'une demi-heure après avoir cessé de respirer.
Mais le problème n'est pas de refroidir quelqu'un, c'est bien d'arriver à le ramener ensuite à une température corporelle normale sans qu'il y ait de lésions causées par le processus.
La technique utilisée a été mise au point sur des cochons par l'équipe du professeur Peter Rhee, de l'université de l'Arizona. Elle consiste à remplacer le sang du patient avec une solution saline froide par une canule (un petit tube) placée dans l'aorte.
La température du corps tombe à 10 degrés L'intervention va rapidement porter la température de son corps à environ 10 degrés, et pratiquement stopper toute activité cellulaire, comme le rapporte New Scientist.
Le refroidissement est rapide, et lorsque le patient est dans cet état de "vie ralentie", il peut alors être amené sur la table d'opération, laissant le temps aux chirurgiens de s'occuper de ses blessures. Le corps peut ensuite être graduellement ramené à une température normale, la solution saline étant remplacée par du sang.
Seulement 2 heures pour réparer les dégâts Le Dr Samuel Tisherman, responsable des prochaines expérimentations humaines du procédé à l'hôpital de Pittsburgh, se refuse à parler d'animation suspendue, un terme qui à son sens rappelle trop la science-fiction.
Il préfère évoquer "la préservation et réanimation d'urgence", comme il l'explique à Cnet. De plus, cet état ne peut être maintenu très longtemps. Les chirurgiens n'auront environ que deux heures pour réparer les dégât causés par les blessures à l'organisme du patient.
Mais, au moins, il aura de meilleures chances de s'en sortir. Le feu vert pour des essais sur des êtres humains a été donné par la US Food and Drug Administration, autorité américaine en charge du secteur médical.
C'était nécessaire, car un test grandeur nature soulevait une question éthique : du fait de l'urgence, ni le patient ni sa famille ne pouvaient donner leur consentement pour l'expérimentation.
L'hôpital a d'ailleurs mis en place une adresse email où les habitants peuvent écrire pour informer l'hôpital si ils ne souhaitent pas que cette technique soit utilisée sur eux s'ils étaient blessés. En tout état de cause, ne seront placés en animation suspendue que les patients qui auraient de grandes chances de mourir sans le recours à cette nouvelle technique.
Financée par le département de la défense des Etats-Unis, cette recherche ouvre la voie à d'autres, et peut-être demain à de l'hibernation longue durée. La définition de la mort a changé... Mais ce n'est pas le problème du Dr Tisherman : "Nous essayons de sauver des vies, pas d'expédier des gens sur Mars".
Le fait est qu'il s'agit avant tout d'une grande avancée médicale. Comme le déclarait le professeur Rhee, cité par Forbes, "la définition de "mort" a changé : Chaque jour au travail je déclare des gens décédés.
Ils n'ont pas de signes de vie, pas de pouls, pas d'activité cérébrale. Je signe un papier, sachant au fond de mon coeur qu'ils ne sont pas vraiment morts, que je pourrais à ce moment-la les mettre en état de vie suspendue.
Mais je dois les mettre dans une housse à cadavre. C'est frustrant de savoir qu'il existe une solution." Désormais, cette solution va pouvoir commencer à être mise en oeuvre...
Jean-Paul Fritz - Le Nouvel Observateur
LA MALADIE DE LYME, QUAND LES TIQUES ATTAQUENT !
Paralysie faciale, douleurs articulaires ou encore méningite, la maladie de Lyme, infection bactérienne transmise à l'homme par les tiques, a plusieurs visages.
A mesure que ces petits acariens prolifèrent, la maladie gagne du terrain.
Face au phénomène, le corps médical est dépourvu de moyens réellement efficaces.
Les tests s'avèrent peu fiables, le protocole thérapeutique incertain. La communauté scientifique est divisée face à cette infection, longtemps considérée comme une maladie rare.
Aujourd'hui, les spécialistes internationaux craignent d'avoir à faire face à une épidémie. Enquête sur une affection aussi méconnue que redoutablE
La maladie de Lyme est une infection bactérienne transmise par les tiques qui se répand dans des proportions inquiétantes dans le MONDE entier. Paralysie faciale, douleurs articulaires, méningite... Les malades vivent l'enfer. Face à cette épidémie, le MONDE médical est dépourvu, voire désarmé : tests peu fiables, protocole thérapeutique incertain, communauté scientifique divisée... Sans parti pris, ce documentaire se propose d'explorer les dessous de cette affaire.
Le miel possède de nombreuses vertus thérapeutiques. Il participe à la protection cellulaire et a un effet bénéfique contre le risque de cancer du sein.