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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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santé

irm

Publié à 10:49 par fandeloup Tags : france société belles images
irm

IRM: des machines plus petites pour répondre à la pénurie ?

Des machines d'IRM plus petites, donc moins cher à fabriquer et à installer, permettent de réaliser des examens sur des membres. Mais elles sont très peu exploitées en France.

«ON N'EST pas toujours obligé d'avoir une Porsche!». Chef du service de rhumatologie de la Pitié-Salpêtrière et président d'honneur de la Société française de rhumatologie, le Pr Pierre Bourgeois aimerait que la France investisse davantage dans des «IRM dédiées ».

Plus petites que les IRM dites «corps entier», ces machines permettent de réaliser des examens de membres. «Leur coût de fabrication est 7 à 10 fois moins cher que les grosses machines d'IRM, explique Pierre Bourgeois, et leur installation est plus simple: la nôtre occupe une pièce de 9 m2 seulement.»

Les machines polyvalentes sont bien plus gourmandes en espace.

Désengorger les IRM "corps entier" «Beaucoup de grosses IRM sont mobilisées pour des examens qui n'en ont pas besoin», regrette ainsi le Pr Bourgeois. Un rapport de la Haute Autorité de santé, remis en décembre 2012 sur saisine de la CNAMTS, estimait d'ailleurs que 40 % des IRM réalisées par le secteur libéral en 2009 concernaient une exploration des membres.

Développer le parc d'IRM dédiées pourrait donc aider à désengorger les IRM «corps entier». Mais l'IRM dédiée n'est actuellement autorisée qu'en association avec une machine polyvalente et reste peu exploitée en France: il n'en existerait qu'à peine une dizaine, toujours selon Pierre Bourgeois.

Moins belles images «Les radiologues nous disent que les machines à IRM dédiées, parce qu'elles sont moins puissantes, donnent de moins belles images. C'est vrai, mais dans la pratique courante cela suffit souvent, poursuit le rhumatologue. Le problème est que le tarif de l'examen est, en France, défini selon la puissance de la machine et non pas selon l'organe examiné.

C'est donc plus rentable pour le radiologue comme pour l'hôpital de faire ces examens sur une grosse machine.» «On a déjà suffisamment de retard dans l'équipement en machines polyvalentes, relève néanmoins le Pr Jean-Pierre Pruvo, secrétaire général de la Société française de radiologie.

Autant s'équiper avec des gros appareils qui peuvent bénéficier à tous les organes.» Dans son rapport de 2012, la HAS ne pouvait pas «certifier l'absence de perte de chance diagnostique» avec les appareils dédiés les moins puissants.

Quant aux IRM dédiées dites à haut champ (les plus puissantes), ils doivent être, affirmait le rapport, adossés à «une IRM corps entier» dès lors que cette dernière ne suffit plus à répondre à la demande.

traumatismes crâniens

Publié à 08:59 par fandeloup Tags : vie france femme travail voiture chez
traumatismes crâniens

L'impact psychique des traumatismes crâniens

Les blessures cérébrales à la suite d'un accident ou d'une agression augmentent les risques de stress post-traumatique.

Cauchemars récurrents, incapacité à retourner sur les lieux de l'accident ou à en parler, souvenirs envahissants revenant en flash, insomnie, difficultés à se concentrer:les symptômes du stress post-traumatique sont désormais bien identifiés.

Ce syndrome handicapant, qui survient à la suite d'un événement violent, a d'abord été identifié chez les militaires. La population générale n'est pas épargnée pour autant, et concentre désormais l'attention de la recherche médicale, dans le but d'affiner l'identification des individus les plus à risques.

Dernière contribution en date, une étude française réalisée par l'Institut de santé publique de Bordeaux (Isped) révèle le poids non-négligeable du traumatisme crânien dans l'apparition du stress post-traumatique.

Publiée mercredi dans la revue Jama Psychiatry, l'étude d'Emmanuel Lagarde, responsable de l'équipe Inserm «Prévention et prise en charge des traumatismes», s'appuie sur un échantillon de 2143 patients rencontrés aux urgences du CHU de Bord eaux entre décembre 2007 et février 2009.

En interrogeant les blessés trois mois après l'accident (chute, accident de la route, agression) qui les avait conduit à l'hôpital, les médecins ont constaté que les personnes souffrant d'un traumatisme crânien avait quatre fois plus de risque de présenter des signes de stress post-traumatique que les individus touchés à d'autres endroits du corps (9 % contre 2,2 %).

Identifier les plus à risques «Étonnamment, le lien est particulièrement fort entre le traumatisme crânien, qui est une blessure physique, et les manifestations les plus émotionnelles du stress post-traumatique

- les souvenirs intrusifs, les cauchemars, l'angoisse, l'évitement de toute situation pouvant rappeler le drame», souligne Emmanuel Lagarde.

Ce constat interpelle d'autant plus que «pendant longtemps, on pensait au contraire que le traumatisme crânien et le stress post-traumatique n'avaient aucun lien.

Or il semblerait que la blessure ait un rôle à jouer dans la genèse de ces signes-là.» Le travail du chercheur permet de mettre en avant des profils particulièrement vulnérables, qui méritent une attention renforcée du personnel soignant aux urgences.

«Les individus souffrant d'un traumatisme crânien à la suite d'un accident de voiture ont par exemple 12 fois plus de risques de développer un stress post-traumatique», indique-t-il. En revanche, et sans qu'il soit encore possible de l'expliquer, avoir un accident de moto n'augmenterait pas le risque de stress post-traumatique. Au total, on compterait chaque année en France 200.000 personnes souffrant d'un syndrome de stress post-traumatique, dont la moitié aurait aussi eu un traumatisme crânien.

«Ne pas hésiter à consulter» Pour le Dr François Ducrocq, psychiatre à Lille, spécialiste de ces questions,

«l'identification des facteurs de risque ou de protection contre le stress post-traumatique est l'un des enjeux actuels de ce champ de la psychiatrie».

Être une femme, être en souffrance psychique avant l'accident, avoir subi des traumatismes ponctuels ou chroniques au cours de sa vie, notamment pendant l'enfance, comptent parmi les autres facteurs de risques déjà bien identifiés par les psychiatres.

Or l'enjeu est grand puisque les médecins disposent de solutions

- traitements médicamenteux et prise en charge psychologique

- efficaces pouvant réduire la souffrance des individus lorsqu'ils sont dispensés tôt après les événements traumatiques.

Pour autant, la capacité des individus à surmonter un stress aigu dans les minutes suivant le drame reste largement imprévisible.

«Chez certains, des mécanismes d'extinction de stress vont se mettre rapidement en place, alors que d'autres resteront en état de détresse, explique François Ducrocq. Cela peut se manifester par une sidération ou au contraire une agitation, de la panique, ou une dissociation avec les événements. On ne sait pas vraiment pourquoi».

Le psychiatre recommande donc de «ne pas hésiter à consulter après un choc, un accident de la route, une agression, même si personne n'a été blessé et que l'incident semble relever davantage du quotidien que de la catastrophe médiatisée».

tumeur

Publié à 10:14 par fandeloup Tags : vie belle histoire fille enfant
tumeur

La belle histoire du jour : huit heures d'opération pour enlever une tumeur géante

– Une petite fille âgée de 12 ans a subi une opération de plusieurs heures pour se faire enlever une tumeur de plus de 15 kilos, que six chimiothérapies n'avaient pas réussi à traiter.

C'est une opération dont elle se souviendra longtemps. Han Bingbing, une petite chinoise de 12 ans originaire de Canton, au sud du pays, a du subir une opération de huit heures pour enlever une tumeur, rapporte le quotidien britannique Daily Mirror.

Et si la chirurgie a pris autant de temps, c'est que l'abcès avait atteint des dimensions record : d'un poids de 15 kilos, il donnait l'impression que l'enfant était enceinte. Six chimiothérapies L'excroissance avait été repérée dès 2009.

Mais avant d'être opérée, Han Bingbing devait d'abord subir une chimiothérapie. Malheureusement pour elle, celle-ci s'était avérée infructueuse. Alors pour traiter la tumeur, les médecins lui en ont prescrit une autre, puis une autre encore, etc.

Au total, la jeune fille aura subi pas moins de six traitements, sans succès. En janvier, alors que rien ne semblait vouloir arrêter la maladie, l'état de santé de Han a commencé à se dégrader : il lui était devenu presque impossible de marcher, et elle ne respirait plus que difficilement.

C'est alors que le chirurgien en chef de l'hôpital Fuda de Canton, Li Han, a décidé de l'opérer coûte que coûte. Aujourd'hui, Han Bingbing va mieux : la tumeur enlevée, elle va pouvoir reprendre une vie de petite fille normale. Quant à la facture de ses traitements, ils ont été gracieusement payés par des donateurs.

soins

Publié à 13:25 par fandeloup Tags : vie chez femme femmes animaux
soins

Les médicaments soignent mieux les hommes que les femmes..

SANTÉ

Selon une enquête du magazine Science et Vie, les médicaments soignent mieux les hommes que les femmes. Explications sur ces résultats surprenants.

Les médicaments soignent mieux les hommes que les femmes selon une enquête publiée par le magazine Science et Vie dans son nouveau numéro du mois de juillet.

Il existe bel et bien une distinction entre les deux sexes dans ce domaine. Le sexe d'un malade peut changer l'efficacité du médicament qui lui a été prescrit par son médecin et les cas sont nombreux.

Les scientifiques se sont également aperçus que les traitements n'ont pas les mêmes effets chez les patients. Les risques d'effets secondaires sont 50% supérieurs chez les femmes selon une étude allemande.

Prenons le cas de l'aspirine.

Ce médicament très répandu protège davantage le cerveau des femmes de l'AVC tandis que chez les hommes, il diminue les risques d'infarctus.

Quant aux somnifères, ils restent plus longtemps dans l'organisme chez la femme ce qui implique un ajustement dans les doses. À partir de ces constats, l'institut national de la santé américain a demandé aux laboratoires d'analyser leurs études en fonction du sexe des individus ou des animaux sur lesquels ils effectuent leurs essais cliniques.

Réajuster les posologies selon les sexes ?

La recherche scientifique doit s'adapter à cette nouvelle réalité. La différence de sexe n'apparaissait pas comme un élément majeur de l'analyse des résultats. Cela risque de changer après toutes ces constatations. Mais attention, à ne pas tomber dans les travers inverses.

"Le comble serait d'imaginer que les hommes sont tous les mêmes, et les femmes aussi. Il ne faudrait pas que des stéréotypes guident la manière dont on soigne les patients", souligne Susan Phillips, médecin chercheuse à la Queen's University de Kingston au Canada. La "nouvelle guerre" des sexes était déjà évoquée par l'institut de médecine américain il y a dix ans :

"Comprendre l'origine des différences sexuelles est important pour développer des nouveaux modes de prévention, de diagnostic et de traitement." Si la recherche scientifique prend ce virage, les médecins devront sûrement réajuster les posologies des médicaments selon le sexe de leurs patients.

sida

Publié à 18:22 par fandeloup Tags : afrique monde homme bonne enfants
sida

Sida : la fin de l'épidémie "possible" dans une quinzaine d'années...

Le nombre de morts du sida dans le monde a chuté de plus de 30% en 10 ans, tout comme le nombre de nouvelles infections par le VIH, laissant espérer une extinction de l'épidémie d'ici à 2030, a indiqué mercredi l'Onusida.

"Mettre fin à l'épidémie de sida est possible" bien que le nombre de personnes vivant avec le virus ait encore légèrement progressé l'an dernier, passant à 35 millions contre 34,6 millions en 2012, a affirmé le directeur exécutif de l'Onusida, Michel Sibidé, en conférence de presse à Genève. "

Si nous accélérons l'ensemble de la mise à niveau en matière de VIH d'ici à 2020, nous serons sur la bonne voie pour mettre fin à l'épidémie d'ici à 2030.

Sinon, nous risquons de prolonger le temps qu'il faudra, en ajoutant une décennie voire davantage", a-t-il prévenu.

En mettant fin à l'épidémie d'ici à 2030, le monde éviterait 18 millions de nouvelles infections et 11,2 millions de décès liés au sida entre 2013 et 2030. En 2013, le nombre de morts du sida a reculé à 1,5 million (-11,8% en un an), la plus forte chute depuis le pic de l'épidémie en 2005, selon le rapport annuel des experts de l'ONU. Et le nombre de nouvelles infections est passé de 2,2 millions en 2012 à 2,1 millions en 2013.

Autre progrès, les ressources financières allouées à la lutte contre cette maladie ne cessent d'augmenter: 19,1 milliards de dollars l'an dernier (14 milliards d'euros), contre 4,6 milliards il y a 10 ans. Mais la bataille est loin d'être achevée, a souligné M. Sibidé, expliquant que "22 millions de personnes n'ont pas accès à un traitement salvateur".

Jennifer Cohn, de Médecins Sans Frontières, a précisé que 12 millions de personnes y avaient accès dans les pays en développement.

- Généraliser le dépistage -

En outre, "sur les 35 millions de personnes vivant avec le VIH, 19 millions ne savent pas qu'ils sont VIH-positifs (...) car ils sont marginalisés, criminalisés, discriminés", a déploré M. Sibidé, citant notamment les personnes prostituées et les prisonniers. Or "en Afrique subsaharienne, 90% des personnes dont le test VIH s'est révélé positif ont ensuite accédé à la thérapie antirétrovirale", a-t-il dit.

L'Onusida souhaite donc accélérer les tests de dépistage dans les cinq ans à venir. "C'est ce qu'on a fait en Afrique du Sud et cela a bien marché", a-t-il poursuivi, louant les progrès réalisés par ce pays qui reste toutefois le plus touché par l'épidémie.

Outre ce pays, le rapport révèle que 75% des nouvelles infections en 2013 étaient concentrées dans 15 pays seulement (Afrique du Sud, Brésil, Cameroun, Chine, Etats-Unis, Russie, Inde, Indonésie, Kenya, Mozambique, Nigeria, Tanzanie, Zambie et Zimbabwe).

Mais cette année-là, les nouvelles contaminations ont été en très grande majorité enregistrées en Afrique subsaharienne, région la plus touchée par le virus, avec 1,5 million de nouvelles infections (dont 210.000 enfants).

Un chiffre en baisse de 33% par rapport à 2005. Au total, dans cette région, 24,7 millions de personnes vivaient avec le VIH en 2013, dont 2,9 millions d'enfants, et 1,1 million de personnes en sont mortes.

- Homosexualité criminalisée -

L'Onusida déplore encore le manque d'accès aux préservatifs en Afrique subsaharienne, avec seulement huit préservatifs disponibles par an par personne. Par ailleurs, pour Olumide Femi Makanjuola, à la tête de l'association nigériane de défense des droits de l'Homme "Initiative for human rights", la loi qui criminalise l'homosexualité au Nigeria, entérinée en janvier, "a installé un climat de peur".

"Même quand des services sont disponibles, les gens ont peur de demander de l'aide", de crainte d'être stigmatisés comme homosexuels -- qu'ils le soient ou non -- et d'être arrêtés, a-t-il dit à l'AFP.

En Asie comme en Afrique , les nouvelles infections ont diminué ces dernières années (-6% entre 2005 et 2013). Mais l'Asie reste fortement touchée avec 4,8 millions de personnes contaminées.

En Amérique latine, les nouvelles infections ont baissé de 3% entre 2005 et 2013. Sur la même période, elles ont en revanche augmenté de 5% en Europe de l'Est et en Asie Centrale, et de 8% en Europe occidentale et centrale et en Amérique du Nord.

coca

Publié à 10:28 par fandeloup
coca

Ce qui arrive dans votre corps 30 mn après avoir bu un Coca..

Soleil, chaleur, gorge sèche. Votre main se referme sur la canette en fer-blanc, glacée, et constellée de petites gouttes d’eau. Vous faites pivoter l’anneau du couvercle… « Pshhht ! », c’est le soulagement.

Le liquide pétillant s’écoule à flots dans votre gorge. Le gaz carbonique vous monte au nez,vous fait pleurer, mais c’est si bon ! Et pourtant… Une dizaine de minutes plus tard La canette vide, vous avez avalé l’équivalent de 7 morceaux de sucre !

[1]En principe, vous devriez vomir d’écœurement

 

[2] Mais l‘acide phosphorique contenu dans la boisson gazeuse masque le sucre par un goût acidulé, donnant ainsi l’illusion de désaltérer.

 

[3] Après une vingtaine de minutes

Votre taux de sucre sanguin augmente brutalement, mettant une première fois votre organisme à l’épreuve.

Votre pancréas s’emballe, sécrète de l’insuline en masse. Celle-ci est malgré tout vitale, elle seule peut permettre de transformer l’énorme surplus de sucre que vous avez dans le sang en graisse, ce que votre corps est mieux capable de supporter.

En effet, il peut stocker la graisse, certes, sous forme de bourrelets disgracieux, mais provisoirement inoffensifs, tandis que le glucose est pour lui un poison mortel lorsqu’il est en haute dose dans le sang.

Seul le foie est capable de stocker le glucose mais sa capacité est très limitée.

Après une quarantaine de minutes

La grande quantité de caféine présente dans le Coca est entièrement absorbée par votre corps. Elle dilate vos pupilles et fait monter votre pression sanguine. Au même moment, les stocks de sucre dans votre foie saturent, ce qui provoque le rejet du sucre dans votre sang. Après ¾ d’heure Votre corps se met à produire plus de dopamine.

Il s’agit d’une hormone qui stimule le « centre du plaisir » dans le cerveau. Notez que la même réaction se produirait si vous preniez de l’héroïne. Et ce n’est pas le seul point commun entre le sucre et les drogues. Le sucre peut également provoquer une dépendance.

A tel point qu’une étude a démontré que le sucre était plus addictif que la cocaïne.

 

[4] Ce n’est donc pas un hasard si « l’accro » qui s’apprête à boire son Coca est aussi fébrile qu’un narcomane en manque.

Après 1 heure

Vous entrez en chute de sucre (hypoglycémie), et votre niveau d’énergie, aussi bien physique que mental, s’effondre. Pour éviter cette cascade de catastrophes, la seule véritable solution est de boire de l’eau.

pet

Publié à 15:48 par fandeloup Tags : bonne amis
pet

Etude: L'odeur de pet serait bonne pour la santé.

OLFACTOTHERAPIE

- Elle pourrait permettre de lutter contre le cancer, les AVC et les crises cardiaques…

Amis hygiénistes, ne ralez plus quand quelqu’un se lâche à vos côtés. En dégazant égoïstement, il contribue peut-être à votre bonne santé.

Des chercheurs de l’Université d’Exeter, qui ne reculent devant aucun sujet visiblement, révèlent que le gaz responsable de la puanteur des pets, est en réalité très bon pour l’organisme.

Le sulfure d’hydrogène en l’occurence, aurait une action bénéfique en matière de prévention du cancer, des AVC et des crises cardiaques, du diabète ou de l’arthrite, d’après l’étude publiée dans la revue Medical Chemistry Communications.

«Lorsque les cellules deviennent stressées par la maladie, elles activent des enzymes afin de produire d’infimes quantités de sulfure d’hydrogène. Cela permet de maintenir l’activité des mitochondries (l’organite à l’intérieur d’une cellule) qui permettent aux cellules de vivre en contrôlant l’inflammation» explique le professeur Matt Whiteman de l’école de médecine de l’Université d’Exeter.

La fonction cellulaire protégée

En observant ce processus naturel, les scientifiques ont donc établi un composé, appelé AP39, qui délivre ce gaz capté par les mitochondries. Administré en petites quantités à des cellules affectées, l’AP39 contribuerait au maintien de la fonction cellulaire. Les dernières recherches indiquent que les cellules stressées traitées avec ce composé sont protégées. A croire qu’une bonne crise d’aérophagie peut aussi avoir du bon.

mc do

Publié à 18:07 par fandeloup Tags : société image vie monde chez enfants heureux cheval extrait
mc do

C'est le WE et vous avez peut-être emmené vos enfant au fast-food McDonald's.

Normal vous êtes de bons parents et comme vos enfants adorent les frites et les Big Mac, tout naturellement vous leur avez fait ce plaisir. Comment ? Vous n'avez pas d'enfants ?

Ah, je vois vous êtes au chômage à cause de la crise et de l'inefficacité de nos gouvernements successifs et vous avez donc reporté vos projets de mariage ainsi que celui de devenir des parents…

Mais dans ce cas, peut-être qu'en cette période de coupe du monde de football vous avez pris des menus à emporter chez l'ami Ronald afin de les déguster devant le match du soir avec vos potes.

Quel que soit votre cas, félicitations, vous servez de cobaye et prenez votre part à la régulation de la population Mondiale, surtout ne changez rien et ne supprimez pas votre consommation de viande, mangez des Burgers.

Chauve, diabétique, stérile, vous n'aurez que l’embarras du choix mais rassurez vous, votre espérance de vie diminuera également…

Les frites

Il serait juste de supposer qu’il y a trois ingrédients dans les frites de McDonald's : pommes de terre, huile et sel. Dès l’an dernier McDonald a commencé une campagne plus transparente afin de créer une image plus saine et des consommateurs plus soucieux de la société.

En conséquence, la société a fait une liste de leurs ingrédients et les techniques de traitement disponibles sur leur site web. Il s’avère qu’il y a 17 ingrédients dans les frites !

Elles contiennent entre autres :

Pommes de terre : ouf ! Je suis heureux que ça soit le premier ingrédient Huile de canola :

l’huile de canola est maintenant génétiquement modifié Huile de soja Hydrogénée :

comme l’huile de canola, l’huile de soja est maintenant extraite de soja génétiquement modifié Huile de Carthame :

elle devrait être une huile de cuisson plus saine, malheureusement l’huile de carthame est chauffée à de longues températures élevées avant qu’elle ne soit utilisée pour la cuisson, l’amenant à être chimiquement modifiée par la chaleur, et elle devient une source d’inflammation dans le corps lorsque c’est le cas.

Arôme naturel :

l’arôme naturel de McDonald est apparemment obtenu à partir d’une source végétale, mais le surnom de «naturel» ne signifie rien, car il peut même contenir potentiellement du glutamate monosodique neurotoxique (MSG) Dextrose :

un type de sucre Pyrophosphate de sodium : cet ingrédient est apparemment utilisé pour maintenir la couleur des frites Acide citrique : utilisé comme agent de conservation Diméthylpolysiloxane :

utilisé comme agent anti-mousse, ce produit chimique industriel est généralement utilisé dans les produits de calfeutrage et scellant et est livré avec une liste de problèmes de sécurité Huiles végétales pour la friture :

mélange de 7 ingrédients incluant : l’huile de canola, l’huile de maïs, l’huile de soja, l’huile de soja hydrogénée avec de la tert-butylhydroquinone (TBHQ), de l’acide citrique, et le diméthylpolysiloxane. Nous avons discuté de la plupart de ces ingrédients ci-dessus.

TBHQ : est un dérivé du pétrole comme le butane utilisé comme agent de conservation.

Le Big Mac Pour savoir la recette du fameux hamburger de chez Mc Do, le Big Mac, il suffit de demander au comptoir d’un de leur Fast-Food : 3 buns de pain, 2 steaks hachés, du cheddar fondu, des oignons, des cornichons, 2 lits de salade et le tout baignant dans une sauce inimitable….

On pourrait s’arrêter là et saliver mais la réalité devrait nous faire passer l'envie d'en manger…Nul besoin de tester ou d’effectuer des recherches pour savoir que cette « nourriture » est toxique, il suffit simplement de lire la liste des ingrédients que Mc Donald’s met à la disposition de tous ses clients pour comprendre qu’un burger Mc Do est une aberration alimentaire.

Le « bun de pain » Pas moins de 20 additifs chimiques s’ajoutent à la farine et l’eau pour la recette du « pain ».

Agents anti-microbiens, colorants, agents de texture, conservateurs… La plupart de ces produits chimiques sont généralement utilisés dans l’industrie du plastique.

Voici la composition du petit « pain » (dénommé Big Mac® Bun) :

Farine enrichie (farine de blé raffiné, farine d’orge malté, niacine, fer, thiamine, mononitrate, riboflavine, acide folique, enzymes) – Eau – Sirop de maïs à haute teneur en fructose – Sucre – huile de soja et/ou huile de soja partiellement hydrogénée – Sel – Sulfate de calcium (E516) – Carbonate de calcium (E170) colorant blanc – Gluten de blé – Sulfate d’ammonium (E517) stabilisateur – Chlorure d’ammonium (E510) – Stéaryl de sodium lactylé, (E481) Emulsifiant, stabilisant -Esters mixtes acétiques et tartriques des mono et diglycérides d’acides gras (E472) – Acide ascorbique (E300) – Azodicarbonamide (E927) Mono- et diglycérides (E471) – Mono- et di-glycérides éthoxyles (E488) – Orthophosphate monocalcique (E341) – enzymes – gomme de guar (E412) – Peroxide de calcium (E930) – farine de soja- conservateur E282, E281) – Lécithine de soja – Graines de sésame – Agent de panification.

Est-il logique qu'il puisse avoir l’appellation « pain » ?

C’est tout sauf du pain !

La sauce « inimitable »

(Big Mac® Sauce) : Huile de soja – Condiment de cornichons (fait avec : cornichons coupés en cubes, sirop de maïs à haute teneur en fructose, sucre, vinaigre, sirop de maïs, sel, Chlorure de calcium (E509), Gomme xanthane (E415), Sorbate de potassium (E202), Extraits d’épice, Monooléate de polyoxyéthylène de sorbitane (polysorbate 80) (Émulsifiant)-Extrait de vinaigre – Eau- Jaunes d’œufs – Sirop de maïs à haute teneur en fructose – poudre d’oignon – Graine de moutarde – Sel – épices – Alginate de propane-1(E405) – Sodium benzoate (conservateur) – Son de moutarde – Sucre – Poudre d’ail – protéine végétale (maïs hydrolysé, soja et blé, donc = glutamate de sodium) – Couleur caramel (E150c) – Extraits de paprika – Lécithine de soja – Curcuma (juste pour la couleur) – Disodium de calcium d’EDTA (E385) (conservateur d’arôme).

Les steaks de bœuf McDonald’s McDonald’s nous explique qu’ils sontcomposés de bœuf maigre, et de parties un peu plus grasses. Le tout est mixé, et compacté dans des galettes.

Cependant, McDo oublie de nous dire que la viande qui sert à la confection de ces « délicieux » Burgers est porteuse de maladies à cause, notamment des élevages intensifs qui ont recours massivement aux antibiotiques et aux hormones pour faire grossir leur têtes de bétail plus rapidement, mais qui favorisent dans le même temps le développement de bactéries telles que la Salmonella et le Campylobacter, et la recrudescence de certaines affections comme le Staphylococcus Aureus et l’E. Coli. Le site de McDo ne nous dis pas non plus que de la viande de cheval est utilisée pour un certain % car elle est 3 fois moins coûteuse que la viande de bœuf…

Pas de souci pour cela puisque McDo rajoute des arômes naturel de bœuf (contenant du blé hydrogéné et du blé hydrolysé)

tests

Publié à 09:13 par fandeloup Tags : chez france monde
tests

Des tests plus rapides contre les bactéries résistantes..

De nouveaux dispositifs d'analyse rapides pourraient aider à limiter le développement des bactéries multirésistantes aux antibiotiques et traiter plus efficacement les patients.

En moyenne, 5 % des patients hospitalisés développent une infection nosocomiale, selon une enquête menée en 2012 en France. Ce chiffre montait jusqu'à 26 % dans les services de réanimation.

Souvent causées par des bactéries courantes, ces infections peuvent s'avérer mortelles. Une issue dramatique due à l'extrême fragilité de certains patients mais aussi aux résistances aux antibiotiques de plus en plus fréquentes chez ces bactéries.

En milieu hospitalier, le manque de techniques de diagnostic rapide contribue au développement de ces résistances. Pour identifier quelle souche bactérienne infecte un patient, il faut du temps, parfois plusieurs jours.

«Étant donné l'état des patients, il est impensable de les laisser sans traitement, la seule solution est alors de leur donner un antibiotique à large spectre, voire plusieurs antibiotiques à l'aveugle», précise Patrice Nordmann, directeur du Centre national de référence de la résistance aux antibiotiques et professeur à l'université de Fribourg.

Une surexposition aux antibiotiques de dernière génération qui conduira plus ou moins rapidement à les rendre inefficaces, comme le soulignait un grand rapport de l'OMS en avril.

Toutes les régions du globe sont aujourd'hui concernées par des résistances aux antibiotiques dits de «dernier recours», tels que les carbapénèmes.

Ces molécules sont utilisées notamment pour venir à bout de Klebsiella pneumoniae, bactérie parmi les plus présentes chez les patients français atteints d'infections nosocomiales.

Si, en France, seuls 2 % de ces souches sont résistantes aux carbapénèmes, dans certaines régions du globe la molécule n'est déjà plus efficace chez 50 % des patients.

«Aujourd'hui, dans le monde entier, les résistances bactériennes mettent en péril les progrès faits en matière de santé et compromettent les soins apportés aux patients, explique au Figaro Keiji Fukuda, sous-directeur général de l'OMS pour la sécurité sanitaire.»

«Si Louis Pasteur entrait dans nos laboratoires, il serait capable de faire les tests lui-même tellement les techniques ont peu évolué», se désole Hosam Zowawi, microbiologiste à l'université de Brisbane (Australie) et à l'université de Riyad (Arabie saoudite).

Il a développé une méthode utilisant la spectrométrie de masse pour identifier en moins de quatre heures les bactéries qui sécrètent des bêta-lactamases, enzymes capables de détruire certains antibiotiques, comme les pénicillines et les carbapénèmes.

Récemment récompensé par la Fondation Rolex pour ces travaux, il espère pouvoir tester cette technique dans huit hôpitaux de la région du Golfe.

Patrice Nordmann et son équipe ont de leur côté développé en 2012 deux premiers tests rapides utilisant une méthode colorimétrique. Ils viennent de publier dans le Journal of Clinical Microbiology une technique similaire permettant cette fois de détecter l'activité bêta-lactamase chez les bactéries de la souche Acinetobacter baumannii.

«En trente minutes à deux heures, il est maintenant possible d'identifier trois des bactéries les plus fréquentes dans les hôpitaux, ainsi que leurs résistances, se félicite le chercheur. Cette technique est simple et peu onéreuse et pourrait donc être déployée dans de nombreux pays.»

 

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Publié à 19:20 par fandeloup Tags : jeune chez paris soi bretagne vie homme divers
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Les malades mentaux, victimes avant tout

Souffrir d'une pathologie psychiatrique multiplie par 2,5 le risque de mourir assassiné. Dans l'imaginaire collectif, le malade mental est dangereux. Un préjugé renforcé par quelques faits divers , comme ce jeune homme poignardé en 2008 dans les rues de Grenoble par une personne souffrant de schizophrénie.

Résultat:

45 % des Français pensent que les patients atteints de pathologies psychiatriques sont dangereux pour les autres, selon un récent sondage pour la fondation Fondamentale. Or, les malades mentaux sont plus nombreux à être victimes de meurtres, selon une étude publiée en juin dans la revue médicale The Lancet.

Les addictions montées du doigt

Etre malade mental multiplie par 2,5 le risque de mourir par homicide, selon les chercheurs du Centre des maladies mentales de Manchester en Grande-Bretagne.

Pour parvenir à ce résultat, les médecins ont analysé les données concernant l'état psychique des victimes et des personnes reconnues coupables d'homicides sur trois ans.

Sur 1496 personnes assassinées sur la période, 90 avaient été en contact avec les services de santé mentales dans les 12 mois précédents.

Dans le même temps, les personnes souffrant de troubles psychiatriques avaient deux fois plus de risques d'être auteur d'un meurtre que d'en être victime. Sur les 90 victimes, un tiers ont été tuées par un autre malade mental qu'elles connaissaient.

Dans ces cas, alcool, toxicomanie et antécédents de violences étaient monnaie courante, notent les auteurs de l'étude. Or, selon plusieurs études, une grande partie de l'excès de violence observée chez les patients souffrant de troubles mentaux graves est attribuable aux addictions associées, plus qu'aux troubles mentaux en soi.

«L'enquête épidémiologique Nesarc, sur plus de 25.000 personnes en population générale, a montré que si on élimine les substances psychoactives chez les malades mentaux, il n'y a pas plus de risques criminogènes que dans le reste de la population», explique le professeur Frédéric Rouillon, chef de service à l'hôpital Saint-Anne à Paris.

Une vie plus courte

En 2011, la Haute Autorité de santé s'était emparée du sujet des actes violents commis par des malades mentaux et contrairement à ce montre l'étude du Lancet, sa conclusion était sans appel:

«La vérité documentée est que la très grande majorité des comportements violents sont le fait de sujets indemnes de troubles mentaux graves (troubles schizophréniques et autres troubles délirants, et troubles de l'humeur): ces derniers seraient en lien avec 0,16 cas d'homicide pour 100 000 habitants et par an, alors que le taux d'homicides en population générale est de 1 à 5 pour 100 000 habitants et par an.»

En revanche, pour la HAS, comme pour l'étude anglaise, les malades mentaux sont bien plus victimes de violences que le reste de la population. La proportion à subir des actes violents serait de 7 à 17 fois plus élevée chez les schizophrènes et bipolaires.

«Les malades mentaux sont surtout avant tout victimes d'eux-mêmes. Entre 15 à 20 % des personnes atteintes de schizophrénie se suicident, et leur espérance de vie est de 8 ans inférieure à celle de la population générale», rappelle Frédéric Rouillon.