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Date de création : 28.05.2009
Dernière mise à jour :
15.08.2012
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J'ai demandé aux étoiles...
De changer tes pensées
En de jolis rêves doux et bleutés
Et de transformer tout tes souhaits
En une douce réalité...
J'ai demandé aux étoiles tant de choses...
Ai je eu raison d'espérer
Je croyais voir dans chaque étoile brillait
Des visages aimés
Alors j'ai lancé ma prière...
Bonne et douce nuit mes amis
Moi je pars dans les bras me reposer
Dans le silence de la nuit
Et dans les doux bras de Morphée
A demain bisous affectueux et amicaux de votre amie Annick
Pour 4personnes :
Préparation Clafoutis aux pêches
1Egoutter les oreillons de pêches (ne pas les partager).
2Dans un saladier, mettre la farine, la levure, le sucre, le sel. Y ajouter les oeufs et mélanger tout doucement. Ajouter l'huile et délayer le tout avec le lait, Ajouter les oreillons de pêches dans la pâte.
3Beurrer un moule à manqué de 24 cm et verser la préparation aux fruits. Enfourner et faire cuire à 180°C pendant 30 minutes (four électrique).
4Laisser refroidir et démouler le gâteau. Déguster ce dessert aussi bien tiède que froid .
Un petit poème d'amitie
Pour embellir votre journee
Celui qu'on écrit avec son coeur
Où les mots ne sont que douceur
Quelques mots de bonheur
Pour une douce journee en couleur
Sur ce petit bout de papier
J y depose un doux baiser
Un baiser de tendresse d'amitie
L’histoire de la Révélation du Coran
dans la Tradition islamique
Nous sommes au mois de Ramadan de l’an 610. Le futur Prophète de l’islam, Mohamed (Paix Soit Sur Lui), a pris l’habitude de s’isoler pour méditer et chercher la voie de Dieu, dans une caverne proche de la Mecque, sur le mont Hira. Plusieurs semaines passent. Et puis, la nuit qui précède le 27 ème jour du mois, soudain, une apparition : un être de lumière.
Ecoutons 1e récit du Prophète Mohammad (SAW) lui-même: “Il m’apprit qu’il était l’ange Gabriel, que Dieu l’avait envoyé pour m’annoncer qu’il m’avait choisi pour son messager L’ange m’apprit à faire mes ablutions, et lorsque je revins le corps purifié, il me demanda de lire. Je répondis : “ Je ne sais pas lire “. Il me prit dans ses bras et me serra très fort, et me laissant ensuite, il me demanda encore une fois de lire. Je lui dis “Mais je ne sais lire”. Il me serra de nouveau et plus fort, puis me demanda de lire, et je répondis que je ne savais pas lire. Il me prit dans ses bras pour la troisième fois et m’ayant serré encore plus fort qu’avant, il me lâcha et dit :
“Lis au nom de ton Seigneur qui a créé ! Qui a créé l’homme d’une adhérence. Lis ! Car ton Seigneur est le Très-Généreux, Qui a enseigné par le calame, Qui a enseigné à l’homme ce qu’il ignorait”
Et Gabriel s’en fut, laissant Mohammad (SAW) en état de choc.
L’événement marque pourlui le début de la Prophétie, à 40 ans. Mais il devra attendre trois longues années avant que de nouveau la révélation divine le touche. Car il s’agit bien, comme son récit en témoigne, d’une révélation et non d’une simple inspiration d’écrivain. Le Coran, tout comme les autres textes sacrés reconnus comme tels (la Torah et ‘Evangile par exemple) est “révélé” en ce sens précis qu’il est comme dicté mot à mot au Prophète Mohammad (SAW), qui doit restituer fidèlement le message divin à son Peuple.
Après trois ans de silence donc, les révélations reprennent, et s’étaleront dans le temps sur les vingt dernières années de Mohammad (SAW), dont les dix dernières se dérouleront à Medine. En effet, le Coran n’apparaîtra pas soudain d’un bloc, construit et définitif. Mais il se révèlera aux hommes par fragments, au grè des circonstances, apportant tel éclaircissement ou telle voie à suivre lorsque le besoin d’être guidé se fera sentir.
Pour autant, les lecteurs du Coran savent que celui-ci n’est pas une suite de versets sans queue ni tête, mais au contraire un ensemble homogène de 114 sourates. L’explication de ce mystère nous est donnée dans le Coran lui-même “Nous avons fragmenté le Coran pour que tu ne le récites aux hommes que peu à peu, mais certes nous l’avons révélé”. (sourate 17, verset 107)
Mohammad (SAW) qui ne savait ni lire ni écrire, insiste d’abord auprès de ses compagnons pour que les versets soient appris par coeur au fur et à mesure des révélations : on les récitera aux prières liturgiques. En particulier, le Prophète Mohammad (SAW) a pris l’habitude, durant le mois de Ramadan, de réciter la totalité du Coran alors connue, lors de prières supplémentaires, les prières du Tarawih. Sous la surveillance de Gabriel, la mémoire de Mohammad (SAW) devenait “plus féconde que le vent portant la pluie”.
Et pendant le dernier Ramadan de Mohammad (SAW), Gabriel lui fera réciter par deux fois la totalité du Coran, lui signifiant ainsi doublement l’achèvement de sa mission et sa mort prochaine. La tradition d’apprendre le Coran par coeur est donc bien ancrée dans le coeur des musulmans.
Mais les compagnons lettrés prennent également l’habitude de noter les versets par écrit. A partir de quelle date exactement, on ne le sait. Toujours est-il que cinq ans après la première révélation, des traces écrites existent déjà. Et de cela on en est sûr, car c’est à cette époque que le futur Calife Omar, séduit par la lecture de la sourate 20, se convertit à l’islam.
Cette transcription du Coran, alors qu’à cette époque, n’existe par écrit en langue arabe qu’un petit nombre de poèmes, trouve somme toute son bien fondé dans le fait que la première révélation parle déjà de l’importance de l’écrit, de l’enseignement par le calame.
Tout comme le Prophète (SAW) faisait réciter ses Compagnons, il dicte aux scribes les versets, faute de papier (il n’est pas encore inventé) tous les matériaux sont bons : morceaux de parchemin, cuir tanné, tablettes de bois, omoplates de chameaux, morceaux de poterie, nervures médianes des dattiers... Au fur et à mesure, les versets, comme un puzzle s’agenceront, le Prophète Mohammad (SAW) précisant l’emplacement des versets dans les sourates, et des sourates dans l’ensemble du Livre. En effet, si quelquefois, toute une sourate fut révélée d’un coup, à d’autres occasions, les fragments d’un même chapitre vinrent avec des intervalles, à d’autres encore, plusieurs sourates étaient commencées simultanément et se poursuivaient avec des interruptions.
Par le double contrôle oral et écrit, le Prophète (SAW) s’assure de la conservation de l’intégrité du texte. Les mémoires défaillantes peuvent s’appuyer sur un texte écrit, et dans l’autre sens, les erreurs de copie sont corrigés grâce à la mémorisation du texte.
Ainsi, pas un iota du texte sacré ne pourra être modifié par erreur.
Lorsque le Prophète Mohammad (SAW) quitte ce monde, plusieurs Compagnons ont la chance d’avoir retenu par coeur la totalité des versets. Par contre, il n’existe pas de texte complet du Coran. Sur le coup, personne ne s’en émeut outre mesure. La bataille de Yamâma va faire prendre conscience de ce manque.
Là, cinq cents d’un groupe de trois mille musulmans de la première heure et comptant parmi les plus connaisseurs du Coran, trouvent la mort. Omar prend alors conscience du danger et s’en va trouver le Calife Abou-Bakar.
“Les compagnons de l’Envoyé de Dieu tombent à Yamâma à la façon de papillons dans le feu, et je crains qu’ils le fassent toujours s’ils rencontraient une occasion pareille de se faire tuer, cependant qu’ils sont les porteurs du Coran. Ainsi le Coran sera perdu et oublié. Si tu le réunissais et le faisais écrire?”
Pendant les dernières années de sa vie, le Prophète (SAW) employait de manière officielle des secrétaires, les uns pour les tâches courantes, d’autres pour la transcription de la révélation coranique. Le jeune Zaïd ibn Thâbit faisait partie de ce groupe. Il était même devenu le scribe principal de Mohammad (SAW) et comptait parmi les personnes qui connaissaient la totalité du Coran par coeur.
Tout naturellement, le Calife Abou-Bakar le chargera donc de réunir le Coran dans son ensemble. Mais le Calife, avec le scrupule qui le caractérise, tient à ce que les précautions soient prises : pour chaque verset, Zaïd devra trouver au moins deux témoignages écrits, avant de l’inclure dans la copie définitive. Et le calife demandera aux habitants de Médine d’apporter les fragments écrits qu’ils possèdent. Sur la totalité du Coran, la Tradition nous apprend que seuls deux versets ne se trouvèrent par écrit que chez une seule personne. Cette copie appelée Mushaf (feuilles réunies), sera conservée par le Calife Abou-Bakar et après lui par son successeur Omar.
Pendant ce temps, l’enseignement du Coran est encouragé dans tout l’empire musulman, qui ne cesse de s’accroître. Omar, toujours perspicace, entrevoit le besoin d’envoyer des copies du Mushaf dans les principaux centres, afin d’éviter tout risque de déviation, et d'erreurs de prononciation dans les pays non-arabes. Mais il n’en aura pas le temps, et c’est le troisième Calife Osman qui s’en chargera.
Il demandera à une commission présidée par le même Zaïd ibn Thâbit d’établir sept copies à partir du Mushaf, en autorisant la révision de l’orthographe dans le sens d’une plus grande lisibilité du texte, en particulier pour les non arabophones.
Après lecture publique de la nouvelle édition devant les savants du Coran que compte Médine, ces copies sont envoyées aux quatre coins de l’empire, avec ordre du calife de détruire tout texte ne correspondant pas au texte officiel. En effet, certaines divergences existaient du fait d’erreurs de copie, ou encore de la prise en compte d’un commentaire comme faisant partie du texte. Et il importait que ces textes inexacts soient détruits.
Des copies envoyées par Osman, il en reste de nos jours une, complète, que l’on peut admirer au musée Topkapi d’lstanboul, et une autre où il manque quelques feuillets à Tachkent. Et entre ces copies et les millions d’exemplaires éditées de nos jours, aucune différence... Ou plutôt si, une différence existe, quant à l’orthographe. En effet, à l’époque de la révélation, l’écrit venait à peine de faire son apparition. Pour les vingt huit lettres que compte l’alphabet, seuls quinze signes différents existaient. Ainsi le b, le t, le th, le n et le y avaient presque la même façon de s ‘écrire et n’étaient pas différenciés par ce qu’on appelle des signes diacritiques : les points sur ou sous les lettres en arabe, les accents en français. On reconnaissait donc les lettres selon le contexte, leur emplacement dans le mot. De même, si en arabe, les voyelles longues sont représentées, les voyelles courtes et d’autres signes ne le sont qu’exceptionnellement, quand il y a ambiguïté. Ce sont en effet les fonctions grammaticales des mots qui permettent de les deviner. Tel est encore le cas dans l’arabe écrit courant. Cette écriture ne permet donc pas à une personne non arabophone de lire le texte phonétiquement (pis-aller malgré tout nécessaire pour le croyant).
Le Coran bénéficia donc jusqu’à la deuxième moitié du premier siècle de l’Hégire de différentes réformes orthographiques pour être tel que nous le connaissons actuellement.
Ramadan Mubarak à mes amies musulmanes et amis musulmans, qu'Allah vous protège et vous garde...
Pour 1 pain :
Préparation : 15 min + 15 min
Repos :2 heures + 1 heure
Cuisson : 25 à 30 min
Ingrédients :
250 gr de farine
250 gr de semoule de blé dur fine
200 à 300 ml d’eau
2 cc de sel
3 cs d’huile d’olive
1 sachet de levure de boulanger
Préparation :
Une boite de tomates pelées (ou 4 tomates fraiches)
2 carottes coupées en petits morceaux (ou 4 si vous voulez épaissir votre chorba en les mixant une fois cuites). Vous pouvez aussi varier les légumes.
2 oignons
un petit bouquet de coriandre
une branche de celeri
de la viande d'agneau coupé en petits morceaux
une poignée de pois chiches secs mis à tremper la veille (ou une petite boite)
une cuillère à soupe de piment doux ou paprika
une cuillère à soupe de raz el hanout
une demi cuillère de poivre blanc moulu
Une cuillère à soupe de concentré de tomates
Une poignée de vermicelles (cheveux d'ange)
Vous coupez vos légumes en petits morceaux dans un litre d'eau, vous les mettez à cuire pour après les mixer. Ajouter ensuite la viande, les pois chiches et les épices, le concentré de tomates.
Lorsque tout est cuit, ajouter les vermicelles et remuer pendant 5 minutes ensuite laisser gonfler.
Fête nationale suisse
La Suisse est un pays frontalier avec l'Italie, la France, l'Allemagne, l'Autriche et le Liechtenstein. Sept millions de Suisses y vivent, dont la majorité parlent le suisse allemand. Environ 20 % des Suisses parlent le français. L'italien et le romanche sont également des langues parlées par environ 10% de la population suisse.
La devise de la Suisse, "Un pour tous, tous pour un", en latin "Unus pro omnibus, omnes pro uno", est étroitement liée à l'histoire de la Suisse. En 1868, des inondations affectent les populations des Alpes et cette devise est alors lancée par les autorités suisses afin de susciter des manifestations de solidarité envers les sinistrés.
La fête nationale Suisse commémore un traité d'alliance passé au début du mois d'août 1291 entre "les hommes de la vallée d'Uri, la communauté de Schwytz et celle des hommes de la vallée inférieure d'Unterwald". Ce traité est considéré comme le début officiel de la Confédération Suisse, même si les structures de la Suisse actuelle ont été posées en 1848. Le 1er août, décrété fête nationale, est donc un jour férié dans toute la Suisse. Les festivités sont ponctuées par un grand feu de joie, des cortèges aux lampions et bien entendu, des feux d'artifices.
L'hymne officiel de la Suisse est le Cantique suisse (paroles de Leonhard Widmer, musique de Alberich Zwyssig).
Sur nos monts, quand le soleil
Annonce un brillant réveil,
Et prédit d'un plus beau jour le retour,
Les beautés de la patrie
Parlent à l'âme attendrie;
Au ciel montent plus joyeux
Les accents d'un cœur pieux,
Les accents émus d'un cœur pieux.
Lorsqu'un doux rayon du soir
Joue encore dans le bois noir,
Le cœur se sent plus heureux près de Dieu.
Loin des vains bruits de la plaine,
L'âme en paix est plus sereine,
Au ciel montent plus joyeux
Les accents d'un cœur pieux,
Les accents émus d'un cœur pieux
Lorsque dans la sombre nuit
La foudre éclate avec bruit,
Notre cœur pressent encore le Dieu fort;
Dans l'orage et la détresse
Il est notre forteresse;
Offrons-lui des cœurs pieux:
Dieu nous bénira des cieux,
Dieu nous bénira du haut des cieux.
Des grands monts vient le secours;
Suisse, espère en Dieu toujours !
Garde la foi des aïeux, Vis comme eux !
Sur l'autel de la patrie
Mets tes biens, ton cœur, ta vie!
C'est le trésor précieux
Que Dieu bénira des cieux,
Que Dieu bénira du haut des cieux.
Que la nuit vous soit douce
Loin des heurts, des secousses
Faites tous de beaux rêves
En ce jour qui s'achève
Morphée vous tend ses bras
Pour sommeil ou ébats
Chacun ses petits plaisirs
Avant de s'endormir
Un séjour au pays des songes
Serein voyage qui se prolonge
Trouvez y votre inspiration
Pour vos prochaines créations.