combien ça coute - pour envoyer ses cendres...

Publié à 17:36 par acoeuretacris
combien ça coute - pour envoyer ses cendres...

6 800 euros pour envoyer ses cendres sur la Lune

 

Faire de la Lune sa dernière demeure n'es pas si dingue.

 

Celestis, une société américaine spécialisée dans les obsèques spatiales permettra, dès 2010, d'envoyer un peu de ses cendres sur la Lune.

 

pour un budget plus serré, L'autre Rive... société de Pompes funèbres parisienne, permet d'envoyer une capsule contenant 1g de cendres

en orbite autour de la Terre pour 1 250 euros.

 

L'occasion de cotoyer celles du créateur de la série Star treck ou de Scotty, le monsiur téléportation de l'Enterprise.

 

(www.celestis.com;

www.auterive.fr)



combien ça coute - pour se marier en apesanteur...

Publié à 17:28 par acoeuretacris
combien ça coute - pour se marier en apesanteur...

1 500 000 euros

 

Des étoiles pour témoins à votre mariage ????

 

Possible.

 

La société japonaise First Advantage propose à ses clients de célébrer

leur union dans l'espace dès 2011.

 

Les futurs époux, deux témoins et un pretre, embarqueront dans une

navette pour un voyage d'une heure.

 

Début de la cérémonie au sol suivie d'un échange des consentements 

en apesanteur à 100 km d'altitude.

 

Réservation ouverte depuis juillet 2008.

 

(www.spacewedding.jp)



combien ça coute - Une étoile -

Publié à 17:21 par acoeuretacris
combien ça coute - Une étoile -

79 euros une étoile -

 

Enfin son nom !!!

L'international star registry (ISR) permet en effet à tout un

chacun de baptiser une étoile.

 

Cose faite,on reçoit un "certificat de propriété" et une carte

du ciel avec les coordonnées de l'étoile afin de la localiser

facilement.

 

De nombreuses personnalités comme Mick Jagger ou Elton John ont déjà cédé à la tentation !!!

 

(www.starbox.fr)

 



Le(s) jardin(s) - Le jardin partagé -

Publié à 16:42 par acoeuretacris Tags : le jardin jardin partagé
Le(s) jardin(s) - Le jardin partagé -

Le Poireau Agile ( Paris 10ème)

Le jardin partagé (appelé "jardin communautaire" dans le nord de la France et au Québec) est une forme de gestion en commun d’un terrain par un groupe d’habitants. Cette pratique est née en Amérique du Nord et se développe en France.

Le premier jardin communautaire a été créé à Lille en 1997. A Paris, il existe près de cinquante jardins partagés.

Les jardins collectifs urbains sont nés à New York au début des années 1970, sous le nom de community gardens.

Liz Christy, une artiste qui vivait dans le Lower East Side à Manhattan, se désolait du nombre de terrains vagues dans son quartier. Avec quelques amis, elle tenta d’y remédier en lançant des « bombes de graines » (seed bombs) par-dessus les grilles de terrains laissés à l’abandon, pour les transformer en jardins. Les Green Guerillas (Guerilleros verts) étaient nés. Il existe aujourd’hui plus de 600 community gardens à New York, et des milliers de jardins communautaires à travers l’Amérique du Nord.

Les jardins partagés sont aussi les héritiers des jardins ouvriers (officiellement appelés jardins familiaux en France depuis la loi du 26 juillet 1952).

Ils s'inscrivent également dans un phénomène historique d'appropriation de friches pour leur transformation en jardins potagers pendant les périodes de crises économiques (ex. Potato Patches) ou les guerres (liberty gardens pendant la première guerre mondiale et victory gardens pendant la seconde). On peut encore trouver une référence historique au phénomène des jardins partagés dans le mouvement des diggers ou bêcheux qui pour protester notamment contre "l'enclosure actont" développé un processus d'auto-appropriation des terres pour une gestion agraire en commun.

Ces jardins ont germé à travers l’Europe au tournant du vingtième siècle. Appelés allotment gardens dans les pays anglophones, Kleingärten dans les pays germanophones, les jardins ouvriers permettent encore aujourd’hui à des familles, parfois aux revenus modestes, de se procurer légumes et fruits frais en les cultivant eux-mêmes.

On peut aussi rapprocher les jardins partagés des terrains d’aventure créés sur des friches dans les années 70. Il s’agissait d’espaces de liberté et d’expérimentation pour les enfants et les adolescents. Peu de terrains d’aventure subsistent aujourd’hui en milieu urbain en France, contrairement à l’Amérique du Nord, à l’Allemagne et la Scandinavie.

Les jardins partagés fleurissent à travers la France depuis une dizaine d’années. Le réseau national « Le Jardin dans tous ses États » a joué un rôle important dans cette éclosion en permettant des échanges entre jardiniers, élus et techniciens de collectivités locales. Le réseau a organisé un premier forum national à Lille en 1997, à Nantes deux ans plus tard, puis à Paris en 2005.

En Suisse, la ville de Lausanne a été pionnière en permettant dès 1995 la création de jardins en pied d'immeubles, appelés plantages.

Au Québec, les « jardins communautaires » sont divisés en lots individuels cultivés par une personne ou une famille.

Ce type de jardinage est très populaire dans les grandes villes depuis 30 ans . On nomme « jardins collectifs » les jardins indivisibles où « sont décidées en commun et exploitées en commun » les différentes cultures. Cette tendance est plus récente. La ville de Montréal a créé un programme municipal de « jardins communautaires » et plus récemment elle a décidé de soutenir la végétalisation de l'espace public en soutenant les initiatives de « ruelles vertes ».

Quelques exemples d’objectifs des jardins

Ces oasis de paix, de tranquillité et de ressourcement au cœur même de la ville, présentent de sérieux avantages :

  • la rencontre de gens de tout âge, de toute condition et classe sociale et ethnies différentes,
  • l’exercice et la détente en plein air
  • la mise en pratique des connaissances et des goûts,
  • le partage du savoir et l’entraide,
  • le développement de la fierté des jardiniers,
  • la récolte de fruits et légumes plus frais et meilleurs au goût,
  • la possibilité donnée à la tradition agricole de perdurer à travers les générations,
  • la contemplation de la beauté du site et de la nature,
  • le développement d’un certain humour : petites histoires, obstination sur tout et sur rien ... Plaisirs ...

Le jardinage collectif d’un terrain, parfois laissé à l’abandon, améliore le cadre de vie et permet des échanges entre personnes d’origine géographique, de milieux sociaux et d'âges différents. Les jardins partagés, souvent créés en ville, existent aussi en milieu rural.

Le respect de l’environnement est une valeur forte des jardins partagés : les jardiniers choisissent des végétaux adaptés au sol et au climat et évitent les produits phytotoxiques (engrais chimiques, pesticides de synthèse). Le compostage, la récupération de l’eau de pluie et la technique des cultures associées y sont très souvent pratiqués. Ce sont également des lieux d’éducation à l’environnement pour enfants et adultes, qui y apprennent la botanique, ou qui y observent la faune urbaine. Nombreux sont les jardins partagés qui attribuent des parcelles aux écoles du voisinage, qui y mènent des projets pédagogiques.

Certains jardins partagés ont une vocation d’insertion. Ils accueillent des personnes en situation de handicap, des bénéficiaires du revenu minimum d’insertion (RMI) ou des personnes victimes d’exclusion sociale.

Les jardins partagés sont des lieux d'initiative citoyenne. Certains d'entre eux (comme le Jardin solidaire, dans le 20e arrondissement de Paris, qui a été fermé à l'automne 2005 pour laisser la place à un gymnase et des logements sociaux) sont créés par des habitants qui n'attendent pas d'avoir une autorisation pour y proposer des activités. Parfois, les habitants souhaitent ouvrir un jardin pendant quelques mois ou quelques années, en attendant qu'une autre affectation soit décidée. C'est le cas du jardin EcoBOX, dans le 18e arrondissement de Paris, qui a déjà existé sur deux emplacements.

Les associations qui ouvrent et cultivent un jardin y proposent des débats et des événements culturels qui sortent des sentiers battus. Il est fréquent d'y assister à des projections de films qui ne sont pas programmés à la télévision, d'y débattre de sujets peu traités par les médias, comme la biodiversité, la relocalisation de l'économie ou le droit au logement. La gratuité, ou des prix très modérés, permettent d'ouvrir le jardin à tous.

En utilisant les travaux d'Henri Lefebvre on peut aussi percevoir les jardins partagés comme un lieux pour conquerir son droit à la ville, c'est à dire un droit à une qualité de vie urbaine, à ne pas être exclu de la centralité qu'offre la ville.

On peut rapprocher les jardins partagés d'autres lieux autogérés

comme les squats, les crèches parentales ou les bars et restaurants associatifs.



Parcs, réserves... - Le plateau du Colorado -

Publié à 15:57 par acoeuretacris Tags : parcs réserves
Parcs, réserves... - Le plateau du Colorado -

 

Le plateau du Colorado



La région du Colorado, dans le sud-ouest des États-Unis, porte le nom attribué par les conquistadors dans les années 1540 au fleuve, qui charriait alors une boue rougeâtre. En effet, colorado signifie "coloré" en espagnol.


Parmi les merveilles géologiques, le Grand Canyon est sans doute le parc le plus connu. Pourtant, quelques 20 vallées sillonnent le plateau du Colorado. II est difficile de dire laquelle est la plus imposante. Le Zion Canyon, le Bryce Canyon, le parc national des Arches ou les Canyonlands ne sont pas moins impressionnants que le Grand Canyon. Chaque vallée du Colorado surprend par un paysage unique, résultat de forces d'érosion considérables. Ces formes multiples, étonnantes, semblent se modifier en fonction de la lumière, comme si la nature nous offrait un gigantesque diaporama.


Actuellement, ce sont 5 millions de visiteurs par an qui viennent admirer les splendeurs du plateau du Colorado.



Voyage dans le temps



En descendant vers le fond du Grand Canyon, qui peut atteindre 1 600 m de profondeur, le visiteur remonte le temps à raison de 1 million d’années par mètre.


Ce voyage nous entraîne à travers des mers, des marécages et des déserts préhistoriques. Ces mondes aujourd’hui disparus laissent entrevoir une faune variée.


Ces créatures sont maintenant pétrifiées dans la roche mais nous laissent un témoignage primordial sur l’évolution de notre planète.



colorado.jpg


Plateau du Colorado. image Scingram

Pour les géologues, un affleurement est un endroit de la surface de la Terre où les strates rocheuses sont apparentes.
Le Grand Canyon est l’un des affleurements les plus riches de la planète. En effet, les stratifications vont du protérozoïque au mésozoïque.

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Parc national des Arches. image Atonal

Le premier explorateur du Grand Canyon au 19e siècle, John Wesley Powell , comprenait le langage des strates rocheuses visibles sur les flancs de la gorge, témoins à travers ses couches successives sur une période de 2 milliards d'années soit près de la moitié de l'histoire de la Terre.

arche_cc03.jpg

image Vb southern

Aperçu des différentes strates :

Calcaire de Kaibab (de 255 à 260 millions d’années)
Grès de Coconino blanc dans la partie supérieure évoque un désert de hautes dunes vieux de 260 millions d’années
Schiste argileux rouge qui est le limon solidifié d’un delta âgé de 270 millions d’années
Calcaire pourpre qui se compose des restes d’animaux marins de plus de 370 millions d’années
Grès de Tapeats qui évoque un littoral sableux où les trilobites (aujourd'hui disparus) barbotaient dans l'eau peu profonde au paléozoïque (de - 540 à - 250 millions d'années)

Dans le fond de la gorge, les schistes de Vishou nous font remonter à 1,7 milliards d’années.

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Bryce Canyon. image Checco

La position inclinée ou verticale des deux strates inférieures révèle des mouvements puissants de la croûte terrestre, la formation de montagnes et leur nivellement. Ces strates sont surmontées de couches presque horizontales, comme si les 540 derniers millions d'années n'avaient plus connu de mouvements importants de la croûte terrestre.

Autour du plateau, les strates sont morcelées comme dans le Grand Bassin désertique (Great Basin) qui le borde à l'ouest, ou plissées comme dans les montagnes Rocheuses limitrophes au nord-est. Depuis la préhistoire, le plateau du Colorado lui-même est resté mystérieusement épargné par les mouvements de la croûte terrestre.

Les parcs naturels du plateau du Colorado

Parmi les nombreuses vallées qui sillonnent le plateau du Colorado, des canyons moins connus que le Grand Canyon sont tout aussi imposants.

Le Bryce Canyon est un spectaculaire amphithéâtre rocheux creusé dans des strates de calcaire tendre.

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Bryce Canyon. image Zogen

Le parc national des Arches, au nord-est de Canyonlands National Park, présente la plus grande collection mondiale d'arches rocheuses. Le vent et la pluie ont façonné de délicates arches de grès rouge.

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Travestyalpha

Ce parc, situé dans le désert de l’Utah, possède environ 200 arches naturelles. Les falaises de grès ocre sont sculptées par l’érosion.
A l’ère du Jurassique, une mer recouvrait ce plateau. Les sables pétrifiés ont fini par former des blocs évidés par le vent, la pluie et le gel.

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image Greg Smith

Dans le Zion Canyon se trouvent des « rochers pleureurs », des parois rocheuses desquelles l'eau ne cesse de suinter.

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Dave Bluedevil

La mesa de l'Échiquier, qui surplombe le Zion Canyon, est formée de dunes pétrifiées, autrefois déposées ici par les vents du désert.

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James Melzer

Le fleuve Colorado

Le Colorado semble étirer paresseusement ses méandres à travers la plaine, mais en réalité, ses eaux sont puissantes et sauvages.
Long de 2 333 km, ce fleuve naît de la fonte des neiges dans les montagnes Rocheuses et se jette dans le golfe de Californie.

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Marc Shandro

Il y a 5 milliards d’années, le Colorado serpentait à travers une plaine. Après le soulèvement du plateau du Colorado, le fleuve a creusé plus de 1 600 km de profonds canyons sans dévier de son cours.

En 1869, pour effectuer son voyage en bateau, qui se révéla plus dangereux que prévu, John Wesley Powell avait choisi la plus mauvaise période qui soit. En effet, avant d'être domestiqué par une succession de barrages, le Colorado connaissait chaque année des crues importantes.
Il atteignait alors ponctuellement le débit de 2 300 m3/s. Lors d'une crue en 1927, le volume d’alluvions charriées par le fleuve a atteint le niveau incroyable de 27 millions de tonnes en une journée au point de mesure de Bright Angel.

colorado_river_02.jpg

Scingram

Aujourd'hui encore, la déclivité et les importants volumes charriés donnent au Colorado une force d'érosion peu commune. En évaluant le volume d'alluvions pour calculer l'érosion moyenne par mètre carré, on obtient le résultat de 15 cm tous les 1 000 ans, soit 1 500 m en 10 millions d'années.

Le canyon pourrait avoir atteint sa profondeur actuelle en un temps relativement court. Certains éléments laissent penser que la plus grande gorge de la planète serait même plus jeune encore.

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Grand Canyon. image Checco

Le Colorado est le fleuve le plus régulé du monde. En 1935, un grand barrage a été construit, le Hoover Dam, qui fournit de l’électricité et de l’eau.
En 1960, le Glen Canyon Dam, haut de 216 m a permis de stocker l’eau fournie par les eaux de pluie.
Mais, en limitant le débit du Colorado, le barrage exerce un effet négatif sur le Grand Canyon. Trop de sédiments s’accumulent dans certaines parties du canyon.



Boissons et cocktails - Le kir -

Publié à 15:53 par acoeuretacris Tags : Boissons
Boissons et cocktails - Le kir -

 Le Kir tient son nom d'un chanoine, Félix Kir qui est né en 1876 en Côte d'Or et fut ordonné prêtre en 1901. Grand résistant pendant la seconde guerre mondiale il reçoit la Légion d'Honneur en 1946.
La même année il devint alors député Maire de Dijon et va le rester jusqu'à sa mort.


C'est durant cette période que le Chanoine eu l'idée d'offrir dans toutes les manifestations dijonnaises un apéritif que tous les bourguignons connaissaient déjà sous le nom de «blanc-cassis» et que les gens buvaient dans tous les bistrots de France.
Cet apéritif ayant atteint une belle renommée, la famille Damidot propriétaire de la plus grande société liquoriste Dijonnaise la belle maison Lejay-Lagoutte demanda au député-maire s'il pouvait utiliser son nom.


Celui-ci accepta, sans doute flatté que cette grande famille ai pu penser à lui pour lui rendre un tel hommage.
Quelques temps plus tard, s'apercevant du succès grandissant de cette appellation il fit appeler les autres liquoristes pour leur allouer à eux aussi ce privilège .


Mais il était trop tard ! la marque était déposée. Malgré d'innombrables procès, et en tout dernier ressort la Cour de Cassation le 27 octobre 1992 donna raison pour toujours a la maison «Lejay-Lagoutte» qui reste seule titulaire de l'appellation 'Kir'.

 

Voici donc le dosage originel d'un vrai « KIR »

1/3 de Crème de Cassis de Dijon
2/3 de bourgogne blanc Aligoté

Même s'il est vrai que dans la majorité des établissements actuels (à cause du surplus de sucre amené par le cassis) les proportions sont maintenant :
1/5 de liqueur de Cassis
4/5 d'Aligoté

 

Vous trouverez de multiples déclinaisons de ce mélange de base. Avec de la framboise, de la mure, de la pêche, du champagne, du vin pétillant etc.

Mais il faut rendre grâce à la clairvoyance de cet éminent chanoine mort en 1968 à 92 ans qui à permis que ce petit 'apéro régional' devienne aujourd'hui l'apéritif français le plus bu dans le monde. Evidement à consommer toujours avec modération.



Bonbons et gourmandises - Le Touron du Pays Basque -

Publié à 15:17 par acoeuretacris Tags : bonbons touron du pays basque
Bonbons et gourmandises - Le Touron du Pays Basque -

touron basque

Le Touron du Pays Basque

 

Description:

Comme le nougat, l'ancêtre du touron est une pâte à base de sucre ou de miel mélangée à des pistaches, des pignons et des noix, décrite par les médecins médiévaux et arabes, et dont l'Anonyme Andalou nous donne plusieurs recettes appelées « halwa » (douceurs) au 13e siècle.

Aujourd’hui encore, ce cousin du nougat se décline de différentes façons : noir ou blanc, tendre ou dur, onctueux ou cassant. Le touron est une confiserie qui se mange surtout pendant les fêtes de fin d'année.

Histoire:

Avant que le sucre n’atteigne les côtes de la Mer Méditerranée au Moyen Âge, le miel était le principal ingrédient des recettes sucrées. Et quand le miel rencontra le blanc d’œuf, les amandes et les noix, ce fut un coup de foudre qui donna naissance à une véritable gourmandise, le touron.

Son nom semble provenir de l’Espagne sous domination arabe. Le mot espagnol « turron » vient d’un verbe arabe qui signifie rôtir, duquel serait ensuite dérivé le verbe latin « torrere », qui signifie faire sécher ou griller. Selon d’autres sources, le mot « torrone » viendrait de la façon des pâtissiers du Moyen Âge qui travaillaient le touron jusqu’à lui faire prendre la forme d’un château ou d’une tour.



Bonbons et gourmandises - Le coussin de Lyon -

Publié à 15:11 par acoeuretacris Tags : bonbons coussin de lyon
Bonbons et gourmandises - Le coussin de Lyon -

Description:

Le coussin de Lyon est une spécialité pâtissière lyonnaise à base de chocolat et de pâte d'amande. Cette friandise est un carré de pâte d'amande candie, vert pâle avec un filet vert foncé, fourré d'une ganache de chocolat parfumé au curaçao.

Histoire:

Lors de l'épidémie de peste 1643, les échevins lyonnais font le vœu d'organiser une procession sur la colline de Fourvière où l’on allait déjà prier la Vierge pour l'implorer d'épargner la ville. Ce faisant, ils remettent un cierge de sept livres de cire et un écu d’or sur son coussin de soie.

Chaque année depuis lors, le 8 septembre, les magistrats de Lyon renouvellent le vœu des échevins tandis que retentissent les trois coups de canon annonçant à la ville que le vœu a été respecté.

C'est ce qui donna au chocolatier Voisin, installé à Lyon depuis 1897, l'idée d'utiliser la forme du coussin pour créer sa confiserie en 1960. Elle est devenue au fil du temps la première spécialité de confiserie française à base de ganache au chocolat.

Le succès de cette friandise ne s'est jamais démenti. On peut se procurer les coussins à la pièce et également dans des boites en velours rappelant la forme originelle du coussin de soie.



Bonbons et gourmandises - La briquette de Lorraine -

Publié à 15:07 par acoeuretacris Tags : bonbons briquette de lorraine
Bonbons et gourmandises - La briquette de Lorraine -

Description:

Petit bonbon à base de réglisse qui se laisse fondre doucement sur la langue.

Vous découvrirez sa fraicheur intense et son délicieux parfum de réglisse et de menthe.

Histoire:

Issus d'une région minière de l'Est de la France, la Briquette de Lorraine permettait aux mineurs de se rafraichir la gorge et de s'empêcher de fumer quand ils étaient au fond de la mine.



Bonbons et gourmandises - Le Cotignac d'Orléans -

Publié à 15:02 par acoeuretacris Tags : bonbons cotignac d orléans
Bonbons et gourmandises - Le Cotignac d'Orléans -


L'origine de cette délicieuse confiserie remonte à l'Antiquité: un subtil compromis entre la pâte de fruit et la gelée.

Mais c'est au cours du Moyen Age qu'elle apparut véritablement en France, dans la région d'Orléans. Cette friandise accompagna régulièrement les repas du XIVe siècle et fut un peu plus tard la confiserie préférée de François Ier.

Comble du raffinement, Louis XIV et Louis XV offraient des Cotignacs d'Orléans aux Princes, ambassadeurs et aux invités de marque.

Ils se présentent dans de petites boîtes rondes en sapin et pour savourer cette friandise comme il se doit, pliez-vous à son rituel: Cassez dans le couvercle un copeau qui servira de cuillère et plonger le dans cette délicieuse pâte à base de coing.

Aujourd'hui encore, promenez-vous rue Royale à Orléans et vous découvrirez ce trésor...



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