Publié à 11:36 par acoeuretacris
Tags : climat
Le climat équatorial est un type de climat de la zone chaude intertropicale. Il concerne les régions voisines de l'équateur.
Il se caractérise par une seule saison, de fortes précipitations avec un maximum aux équinoxes et une forte chaleur quasiment constante toute l'année. Ce qui domine est l'impression de moiteur. La pression atmosphérique est toujours basse. Les vents sont rares, hormis quelques tornades ou typhons liés à de faibles pressions locales. Les pluies sont presque quotidiennes, et sont beaucoup plus abondantes aux équinoxes et sont surtout des pluies de soirée. En effet l'air surchauffé connait des mouvements ascendants qui aspirent de l'air humide. En altitude il se produit un refroidissement (nuages de type cumulo-nimbus) qui donne des pluies souvent violentes.
Les cours d'eau ont souvent des débits gigantesques,le Congo écoule 40 000 mètres cubes à la seconde, et l'Amazone près de 150 000. Les sols sont lessivés et donne l'argile latéritique de couleur rouge (due à la présence d'oxyde de fer), les autres minéraux solubles (en particulier les bases) ayant été entrainés. Ce sont généralement des sols pauvres. Sa végétation naturelle est la forêt dense (ou jungle).
Le climat équatorial est celui de l'Amérique centrale, de l'Afrique centrale et de la Polynésie française, au nord de l'Australie. Les moyennes de température sont de 26 °C au mois de janvier et de 24 °C au mois de juillet. Comme nous pouvons le constater, il n'y a pas de saison froide dans ces régions.Par contre, il y a d'abondantes précipitations presque à longueur d'année. Cependant, les précipitations sont encore plus abondantes durant la saison des pluies, entre la fin d'août et le début de novembre. La végétation est très dense dans ces régions; c'est ce qu'on appelle la forêt vierge ou la jungle. C'est un milieu très hostile pour l'humain, il n'est donc pas sécuritaire pour lui de s'y aventurer seul.
On trouve dans la jungle plusieurs espèces d'arbres et de plantes variées telles que: bananiers, ébéniers, acajous, cocotiers, lianes, orchidées, etc. On trouve en outre dans cette région, située le long de l'équateur, de magnifiques oiseaux comme le perroquet. Il est également possible d'y apercevoir des singes, des serpents, de même que différentes espèces d'insectes.
Dans cette région chaude, les habitants cultivent l'hévéa, qui sert à la fabrication du caoutchouc, et ils entretiennent plusieurs espèces d'arbres qui permettent l'exploitation de bois de qualité (acajou, ébène). C'est enfin sous ce climat que poussent les nombreux fruits exotiques dont nous pouvons nous régaler.
Publié à 08:23 par acoeuretacris
« L'amoureuse »
« Elle est debout sur mes paupières
Et ses cheveux sont dans les miens
Elle a la forme de mes mains
Elle a la couleur de mes yeux
Elle s'engloutit dans mon ombre
Comme une pierre sur le ciel.
Elle a toujours les yeux ouverts
Et ne me laisse pas dormir.
Ses rêves en pleine lumière
Font s'évaporer les soleils,
Me font rire, pleurer et rire,
Parler sans avoir rien à dire. »
Paul Eluard
je vous souhaite de passer
une excellente journée...
bisous...
Publié à 17:30 par acoeuretacris
Je vous souhaite une excellente fin de journée....
bisous....
Le port de l’Arsenal
A partir du Bassin de la Villette le Canal de la Villette devient le Canal Saint Martin qui passe sous terre au niveau du Square Frédéric Lemaître.
Il passe sous la Bastille et ressurgit au port de Paris l’Arsenal. Ce port de plaisance participe à l’embellissement du quartier de la Bastille. Il est bordé de jardins en terrasses très agréables par les beaux jours.
Le port peut accueillir plus de 200 bateaux et fait plus de 500 mètres de long. Evidemment cette structuration des canaux est héritée de l’époque du baron Haussmann.
L’Opéra Bastille
En mars 1982, il est décidé de construire un nouvel Opéra. A l’issue d’un concours international lancé en juillet 1982 ou participèrent 1700 architectes, c’est le plan de Carlos Ott, architecte canadien-uruguayen qui fût retenu parmi les 756 projets présentés.
Opéra Bastille
Les travaux débutèrent en novembre 1984 et l’inauguration eu lieu le 13 juillet 1989 lors des manifestations du Bicentenaire de la Révolution.
Le 17 mars 1990 « Les Troyens » de Berlioz fût le premier spectacle présenté à l’Opéra Bastille.
Opéra Bastille
D’une emprise de 22 000 m2 au sol pour une hauteur totale de 80 mètres dont 30 mètres en sous-sol ce bâtiment abrite notamment la salle principale de 2700 places, un amphithéâtre de 450 places et un studio de 237 places.
Le canal Saint Martin
A partir du Bassin de la Villette le Canal du même nom devient le Canal Saint Martin qui passe sous terre au niveau du Square Frédéric Lemaître. Il passe sous la Bastille et resurgît au port de Paris l’Arsenal.
C’est à Napoléon 1er que revient l’idée du canal Saint Martin.
Les travaux commencèrent et en 1808, l’eau du canal de l’Ourcq se déversa dans la fontaine des Innocents. L’eau potable alimentait Paris. Son financement est assez cocasse : c’est une taxe sur le vin payée par les Parisiens qui leur permit de boire de l’eau pure !
Les guerres et les difficultés économiques firent que les véritables travaux du canal Saint Martin ne commencèrent qu’en 1822, et l’inauguration eut lieu le 4 novembre 1825.
Entrée du canal place de la Bastille
Il s’étire alors sur quatre kilomètres et demi, avec une dénivellation de 25 mètres. Son plan est parfois plus élevé que la chaussée. Avec ses 9 écluses, le canal ne pouvait être franchi que par des ponts tournants, des passerelles, ce qui faisait obstacle à la circulation.
Au Second Empire des aménagements considérables menés par le baron Haussmann et ses architectes, comme Belgrand et Davioud, transformèrent l’aspect du canal. Des travaux gigantesques abaissèrent son niveau de 6 mètres, un tronçon fut recouvert, ce qui donnera naissance au boulevard Richard-Lenoir, puis l’ouverture de la voûte du Temple donna naissance au boulevard Jules Ferry.
Canal Saint-Martin
En 1960, il fut question de transformer le canal Saint Martin en autoroute urbaine. Heureusement ce projet ne fut pas retenu !
Aujourd’hui ce patrimoine historique est en pleine réhabilitation.
Pour la petite histoire, si vous vous promenez au bord de ce canal vous pourrez voir le fameux « Hôtel du Nord » où a été tourné le film du même nom avec Arletty et Louis Jouvet. (photo ci-dessous). Devant être démoli et face à de nombreuses protestations ce site a été classé monument historique par les autorités de tutelle.
Façade de l’Hôtel du Nord
La colonne de Juillet
Le 14 juillet 1792, la première pierre de cette colonne proposée par Palloy, fut posée, mais le projet esthétiquement controversé en resta là ! En 1793,une fontaine représentant la nature fut installée au centre de la place.
L’éléphant
En 1808, Napoléon désireux de donner à Paris les signes de la grandeur de l’Empire décida de faire ériger une fontaine gigantesque à l’emplacement de la forteresse. En 1810, il décida « il sera élevé à la Bastille une fontaine sous la forme d’un éléphant de bronze, fondu avec les canons pris sur les Espagnols insurgés ; Cet éléphant sera chargé d’une tour à la manière des Anciens, et l’eau jaillira de sa trompe » . Il mesurait 24 m de haut, un escalier à vis était situé dans une de ses pattes afin d’accèder à la tour.
Les architectes Percier et Fontaine se mirent au travail, mais seul le soubassement fut érigé réellement, une maquette grandeur nature en plâtre fut érigée en 1813... Après la chute de l’Empereur, des années passèrent, l’éléphant s’effritait, mais il était toujours là en 1831, gardé par un brave homme nommé Levasseur, logeant dans une des pattes de l’animal ! Mais le pachyderme de plus en plus délabré ne se visitait plus guère, seuls les gamins du quartier en faisaient leur terrain de jeu et où se réfugie Gavroche ! Il faut se rappeler du très beau texte de Victor Hugo dans « les Misérables »(Quatrième partie - Livre sixième - Le petit Gavroche - Où Gavroche tire parti de Napoléon le Grand )
La carcasse ne fut démontée qu’en juillet 1846. Des ruines de l’animal s’échappèrent des hordes de rats qui terrorisèrent le quartier durant des semaines !
L’éléphant de la Bastille
La colonne
Reprenant le décret de 1792,Louis Philippe décréta en 1833 qu’une colonne serait érigée au centre de la place en l’honneur des révolutionnaires morts lors des Trois Glorieuses : « une colonne reposant sur un piédestal dont les quatre faces seraient ornées d’inscriptions rappelant le grand évènement qu’il s’agissait de transmettre à la postérité »
Les travaux furent confiés aux architectes Alavoine et Duc. Les tambours de bronze furent coulés aux forges de Fourchambault puis ajustés et posés sur place. Le chapiteau de 11 tonnes coulé d’une seule pièce aux forges du Roule. Au cours de son transport, les 12 chevaux traînant le chariot refusèrent d’aller plus loin que le boulevard de Ménilmontant. La foule nombreuse qui avait suivi le parcours prit la décision de dételer les chevaux et de pousser le chariot jusqu’à la Bastille ! C’est donc à bras d’hommes qu’il arriva sur la place ! C’est le 28 avril 1840 que l’édifice fut inauguré.
La place de la Bastille sous Louis Philippe
Lithographie de Benoist
L’ensemble repose sur un massif circulaire en marbre blanc entouré d’une grille, percé d’une porte qui mène à la galerie funéraire où sont disposés les deux grands sarcophages de 13 mètres sur deux, contenant les restes des Martyrs des Trois Glorieuses et de la Révolution de 1848, mais pas seulement ces corps. Dans la hâte, au moment de l’exhumation des dépouilles des révolutionnaires, on leur adjoignit par erreur, des momies égyptiennes rapportées 50 ans plus tôt par les savants qui avaient suivi Bonaparte lors de la campagne d’Egypte.
Ces momies se dégradaient dans une salle de la Bibliothèque Nationale, et avaient été enfouies dans le jardin attenant, à l’endroit même où après les révoltes de juillet 1830, les corps des émeutiers furent ensevelis. C’est ainsi que mêlées aux Révolutionnaires, des momies Egyptiennes reposent sous la Bastille !
Colonne de Juillet de nos jours
Le piédestal est décoré de bas-reliefs sur lesquels figurent les dates du 27,28,29 juillet. Le fût de la colonne haut de 23 mètres de haut est formé de 21 tambours cylindriques et porte en lettres d’or les noms des 615 combattants de juillet.
Au sommet, le chapiteau de bronze serti d’une élégante balustrade porte la boule de laquelle s’envole le Génie de la Liberté. Celui-ci représente « la Liberté qui s’envole en brisant des fers et semant la lumière » Il est nu, le pied gauche posé sur la sphère, la jambe droite levée, les ailes déployées, une étoile sur le front. La main gauche soutient les chaînes brisées du Despotisme, alors que sa main droite brandit le flambeau de la Civilisation.
Sous la colonne, une avenue d’eau de près de 2 kilomètres de long, couverte de voûtes de pierre relie en sous sol le bassin de l’Arsenal au canal Saint Martin.
Génie de la Bastille
La Prise de la Bastille
Lorsque débute la Révolution, la Bastille n’est plus la forteresse terrifiante de jadis, mais reste le symbole de l’arbitraire royal. C’est ce symbole que le peuple de Paris allait abattre ce 14 juillet 1789 !
Bien des jours avant, la colère grondait, c’était la disette, il y avait des rumeurs de complot, des troupes se regroupaient autour de Paris, et enfin le renvoi de Necker qui mit le feu aux poudres.
Le 13 juillet des boulangeries furent pillées, une milice forte de 48 000 hommes se crée, le tocsin sonne... Paris veut se défendre, mais pour cela il faut des armes ! Des armes, il y en a, à l’Hôtel de Ville, aux Invalides... On y court, mais il n’y en a que quelques milliers de fusils et quelques canons
L’aube du 14 juillet se lève et Labarthe, un fourrier des armées, crie à la foule : « il y a des armes à la Bastille » Une immense clameur s’en suit -A la Bastille ! A la Bastille !
C’est ainsi que la foule des parisiens prennent le chemin du Faubourg Saint- Antoine, la foule grossit au fur et à mesure... Personne ne pense à « prendre la Bastille », seules les armes et les munitions sont visées !
La suite des évènements ne sera qu’une longue suite de malentendus, d’incompréhension, et dans la confusion la plus extrême, le gouverneur de la Bastille, le marquis de Launay, tire sur la foule pour défendre une vieille forteresse pratiquement vide de prisonniers, vouée depuis des années à la démolition !
La suite fut bien sûr, la fureur et le massacre, la tête de Launay et de quelques autres furent promenées dans Paris, les sept prisonniers libérés portés en triomphe, la journée du 14 juillet s’achève dans le sang...
A Versailles, Louis XVI qui n’avait rien pris à la chasse inscrivait sur son journal intime : « 14 juillet : rien ».
Le roi s’endort paisiblement lorsque le duc de La Rochefoucault-Liancourt le réveille et s’engage alors l’échange célèbre : - Sire la Bastille est prise, le gouverneur a été assassiné, on porte sa tête au bout d’une pique - Mais, c’est une révolte ? - Non, Sire, c’est une révolution !
Dés le 16 Juillet la démolition de la Bastille est ordonnée. C’est un entrepreneur en bâtiments Palloy qui emploiera 800 ouvriers pour abattre « le bastion de la tyrannie » Les pierres ont servi à construire le pont de la Concorde. Avec les pierres restantes, le « patriote Palloy » fit aussi des modèles réduits de la forteresse, des encriers, des souvenirs qu’il vendit aux quatre coins de la France.
Le 16 juin 1792, l’Assemblée Législative décrète que sur le terrain de la prison sera établi un espace appelé Place de la liberté, et qu’au milieu de cette place serait érigée une colonne surmontée de la statue de la Liberté.
Sa construction fut décidée au XIVème siècle pour défendre la partie orientale de Paris contre les Anglais. La construction débuta entre les années 1367 et 1371. C’est sur les plans du prévôt Hugues Aubriot que cette dernière fut construite. La main d’oeuvre se faisant cruellement sentir, Aubriot envoya les archers « recruter » tous les oisifs de la capitale pour les enrôler de force sur le chantier.
Devant le mécontentement général, Aubriot fut disgracié et devint le premier « hôte » de ce bâtiment.
Le château était composé de huit tours dont les murs avaient six pieds d’épaisseur un pied étant égal à 33 cm. Elles étaient reliées entre elles par des murs de neuf pieds d’épaisseur. Un large fossé, que l’eau de la Seine remplissait en hiver, entourait la forteresse.
Note : Cette forteresse était située légèrement à l’est de la place actuelle, un pavage spécial à l’angle du boulevard Henri IV, des rues St Antoine et Jacques Coeur indique l’emplacement de certaines des tours.
On retrouve le même marquage dans la station de la ligne 5 ainsi que quelques pierres d’un ancien bastion encastrées dans le mur de la station. Au 5 place de la Bastille se trouve une plaque sur laquelle est gravé le plan exact du château.
Le château devient une prison d’état
Bien que quelques détenus aient séjourné à la Bastille, ce n’est qu’à partir du XVIIème siècle sous Richelieu qu’elle devint prison d’état. L’internement se faisait par lettres de cachet sur ordre du Roi et non par jugement. On enfermait les criminels d’Etat, traîtres ou espions, les écrivains qui déplaisaient au Pouvoir, des fils de famille débauchés. Des aristocrates tels que le marquis de Sade, qui en sortit peu de temps avant le 14 juillet 1789, des écrivains comme Voltaire y séjournèrent.
Ce dernier accusé d’avoir écrit un pamphlet contre les filles du Roi est y resta près d’un an, en 1717. A sa sortie il reçu du Régent une pension de mille écus qui lui donna l’occasion de faire un bon mot : « Je remercie Votre Altesse Royale de ce qu’elle veut bien se charger de ma nourriture, mais je la prie de ne plus se charger de mon logement ».
Autre prisonnier célèbre Henri Masers dit de Latude (1725-1805), connu surtout pour ses très nombreux pamphlets. Il y a passé 28 ans de sa vie pour avoir tenté de faire chanter la marquise de Pompadour, lui avoir envoyé un colis explosif. Il se plaignait que la poularde servie à la Bastille n’était pas assez truffée ou exigeait des robes de chambre doublées de fourrure !
Le plus célèbre et néanmoins mystérieux prisonnier fut le masque de fer. Qui était-il ? Un frère jumeau de Louis XIV comme l’affirmait Voltaire, le comte Mattioli, le prêtre Eustache Dauger ou l’ancien page du Roi Eustache de Cavoye, le mystère subsiste... On possède deux extraits du journal de Dujonca, major de la Bastille sur lequel on peut lire : « Du jeudi 18 septembre 1698, à trois heures de l’après-midi, Monsieur de Saint-Mars, gouverneur de la Bastille, venant de son gouvernement des îles Sainte-Marguerite, à amené avec lui dans sa litière un prisonnier qu’il avait à Pignerol, lequel est toujours masqué et dont le nom ne se dit pas. »
Cinq ans plus tard : « Du lundi 19 novembre 1703, le prisonnier inconnu, toujours masqué d’un velours noir qu’il gardait depuis longtemps, s’est trouvé un peu mal hier en sortant de la messe. Il est mort aujourd’hui sur les dix heures du soir, sans avoir eu une grande maladie. »
D’une façon générale, les prisonniers étaient bien traités, ils pouvaient faire venir leurs meubles, donner des dîners.. Certains prisonniers pouvaient même aller se promener en ville à condition de réintégrer leur prison le soir ! Les repas servis étaient parfois somptueux, et coûtaient très cher à l’Etat, c’est pourquoi Necker projetait de fermer la Bastille.
En 1788 le lieutenant du Roi, du Pujet préconisait la fermeture de la forteresse et évaluait à 140 000 livres l’économie qui serait ainsi réalisée. Le roi payait des sommes considérables pour l’entretien du personnel : traitement du gouverneur, officiers, soldats, porte-clefs, médecin, aumônier... Beaucoup de personnel pour peu de détenus : 19 à l’arrivée de Louis XVI, 9 le 1er janvier 1789 et 7 le 14 juillet de cette même année !
Portrait d'un carambar
Origine, âge, mensurations, signe particulier... Le portrait détaillé de "Monsieur" Carambar. En un demi-siècle, ce bonbon, que le monde entier nous envie, n'a pas pris une ride
Date de naissance :
Le Carambar est né en 1954, dans une chocolaterie de Marcq-en-Baroeul. On doit son goût inimitable à Mr Fauchille et Augustin Gallois. Sa forme longiligne, quant à elle, est le fruit du hasard. Ce serait à la suite du dérèglement d'une machine que cette friandise serait sortie en barre.
Le carambar original au caramel
Nom(s) :
A l'origine, Carambar, association des mots caramel et barre, s'écrivait Caram'bar, avec une apostrophe. Ce n'est qu'en 1977, après s'être également appelé Super caram'bar, qu'il perd son appendice pour ne plus s'écrire qu'en un seul mot.
Taille :
Variable. Au fil des générations, sa taille à été modifiée plusieurs fois. Mais, depuis 1990, le Carambar s'est standardisé et mesure 7,5 cm pour un poids idéal de 8gde douceur.
Composition originale :
Sirop de glucose, lait écrémé concentré sucré, sucre, huile de coprah hydrogénée, cacao maigre en poudre, sel, gélatine, arômes.
Goût(s) :
A l'origine, le carambar à un goût de caramel et de chocolat. Aujourd'hui, de plus en plus inventif, il se décline en version Grenadine, Cola ou Pomme d'amour, surprenant les papilles des grands et des petits.
Signe particulier :
Les histoires drôles "Amuse tes amis" et "Blagues tordantes" que contient sa jolie papillote jaune et rouge.
Son pire ennemi :
Les dentistes qui le supportent depuis un demi-siècle !
Ses dérivés :
On n'arrête plus la vague Carambar ! Outre le marchandising classique de la marque, le Carambar inspire toutes sortes de fans, du cuisinier à l'écrivain. Ainsi, que diriez-vous de déguster une très bonne tarte aux carambars tout en dévorant "Dakar en barre", un livre dont le héros résout un meurtre grâce aux indices dissimulés à l'intérieur des papillotes ?
Le saviez vous ?
Pour vous donner une idée de son succès, 98% des français connaissent ce petit bout de friandise... Au total, cela fait pas mal d'aficionados ! Et la folie du Carambar est universelle puisque, toutes les 40 secondes, quelque part dans le monde, un gourmand savoure cette barre au caramel. Cela représente 700 millions de carambars vendus chaque année. Mis bout à bout, on pourrait faire deux fois le tour de la terre avec toutes ces friandises et, en poids, plus d'une fois la Tour Eiffel. Décidément, le Carambar n'a pas fini de nous étonner.
Blagues en papillotes
Dans la série "Devinettes"
Qu'est-ce qui est vert et qui nage au fond de l'eau ?
Réponse : Un chou marin !
Comment ramasse-t-on la papaye ?
Réponse: Avec une fou-fourche !
Qu'est ce qu'un canif ?
Réponse : Un petit fien
Quel est l'animal le plus rapporteur ?
Réponse : Le cheval parce que cheval dire à ma mère.
J'ai 3 têtes, 3 jambes, 1 bras et 6 doigts. Qui suis-je ?
Réponse :Un menteur !
Qu'est-ce qui fait 4 mètres de haut, qui a 87 dents pointues et qui hurle à la mort ?
Réponse :Je ne sais pas, mais cours !