Statistiques

Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour : 21.06.2024
18121 articles


Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Cinéma (1201)
· A à Z : Sommaire (349)
· Mannequin de charme (955)
· Musique (400)
· Calendrier : Événements (333)
· Monde : France (2683)
· Département : Meuse (285)
· Cinéma : Films à classer (154)
· Calendrier : Naissances (246)
· Mannequin (211)

Rechercher
Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "dessinsagogo55" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Thèmes

air amour annonce art article background base belle blogs center centerblog centre

Articles les plus lus

· Bienvenue sur
· Alessandra Sublet
· Lui : Célébrités nues
· 28 septembre : Naissances
· Loto (jeu de la Française des jeux)

· Feodor Vassiliev et Valentina Vassilyev : 69 enfants nés
· Renaud : Hexagone (Paroles et explications)
· Omar Sharif
· A (Sommaire)
· Mannequin de charme : Sommaire
· Culotte : Sous les jupes des filles
· Julia Channel
· Femme
· Brigitte Lahaie
· Maureen O'Hara

Voir plus 

Derniers commentaires

Livio de Marchi

Publié à 05:28 par dessinsagogo55 Tags : art scupteur bois livio de marchi centerblog sur merci
Livio de Marchi

 

 

 

Liens externes                                                  
   
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
    MISE A JOUR : 2024
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
 

 

 

 

Eunectes

Publié à 04:24 par dessinsagogo55 Tags : faune eunectes anaconda serpent animal sur center soi chez
Eunectes

Anaconda jaune

 

Eunectes est un genre de serpents de la famille des Boidae. Ces serpents sont appelés anacondas.

 

Les quatre espèces de ce genre se rencontrent dans les marécages et les fleuves des régions tropicales et subtropicales d'Amérique du Sud ainsi que dans les marécages du sud de l'île de la Trinité. Ils aiment la chaleur et l'humidité.

 

Ce sont des serpents semi-aquatiques constricteurs non venimeux.

 

Les yeux et les narines des anacondas sont positionnés sur le dessus de leur tête, leur permettant ainsi de respirer et de voir leur proie alors que leur corps volumineux demeure immergé sous la surface. L'anaconda est un serpent constricteur dotés de dents recourbées en arrière et de mâchoires puissantes qu'il utilise pour s'agripper à sa proie qu'il entraîne sous l'eau pour la noyer.

 

Les anacondas ont la réputation de mangeurs d'hommes auprès des habitants des zones où ils vivent. Cependant, le plus souvent, l'anaconda fuit la présence humaine. Les morts d'hommes causées par les anacondas ne sont pas prouvées. Les anacondas ont pour prédateurs les jaguars, les gros caïmans, et les autres anacondas. Un anaconda blessé peut aussi être la proie des piranhas.

 

Chez les anacondas, la femelle, plus grosse que le mâle, attire des partenaires en émettant des phéromones. Une sorte de ballet nuptial se déroule sous l'eau. Les femelles peuvent avoir jusqu'à douze partenaires. Pour caresser sa partenaire, le mâle dispose d'un organe sexuel, vestige des membres postérieurs des lézards, ses ancêtres.

 

L'anaconda est ovovivipare comme tous les boas. Chaque portée peut comporter jusqu'à 50 petits qui mesurent entre soixante et quatre-vingt-dix centimètres. Aussitôt nés, les serpenteaux ne peuvent compter que sur eux-mêmes. Comme pour la plupart des reptiles, peu d'entre eux atteindront l'âge adulte car leurs prédateurs sont nombreux : caïmans, piranhas, oiseaux...

 

Un record officiel fait état d'un anaconda qui mesurait 8,30 mètres pour un poids de plus de 235 kilogrammes, qui fut découvert au Venezuela durant les années 1960 et un autre record en 2016 où l'anaconda pesait 400 kg et mesurait 10 mètres de long et 1 mètre de diamètre.

 

Le grand anaconda est moins long que le python réticulé, l'une des espèces les plus longues de serpents, il est néanmoins plus lourd et plus massif. Il peut peser au-delà de 200 kg et avoir un diamètre de 38 cm. Il s'agit de l'espèce de serpent la plus lourde. Les femelles sont plus grosses que les mâles, mesurant en moyenne entre 6 et 8 m, (9 m maximum), tandis que les mâles mesurent de 4 à 6 m. On les trouve principalement au nord de l'Amérique du Sud, au Venezuela, en Colombie, au Brésil, en Équateur, au nord de la Bolivie, au nord-est du Pérou, en Guyane, au Guyana, au Suriname et à Trinidad. Ces anacondas d'aspect impressionnant étaient mal connus jusqu'en 1992, date à laquelle la première (et jusqu'à présent la seule) étude fut consacrée à cette espèce au Venezuela par le Dr. Jésus Rivas.

 

Il se distingue du boa par son museau couvert de boucliers plutôt que de petites écailles. Il est en général de couleur marron-olive foncé, avec deux rangées de grandes taches noires alternant sur le dessus du corps et de petites taches en forme d'œil de couleur blanche sur les côtés; le ventre est blanchâtre. Le biotope de l'anaconda est à la fois terrestre et aquatique, et son activité est principalement nocturne. Il repose immergé dans l'eau, avec seulement une petite partie de la tête au-dessus de la surface, guettant la moindre proie convenable. Il peut également s'enrouler sur les branches d'un arbre au-dessus de l'eau. Bien qu'il soit principalement aquatique, l'anaconda peut se déplacer sur terre en conservant son corps droit, suivant un parcours rectiligne. Grâce à de puissants muscles ventraux, l'animal prend appui sur les écailles dirigées vers l'arrière et en contact avec le sol, ce qui lui permet de pousser son corps en avant.

 

L'anaconda jaune mesure 3 m à l'âge adulte. Les serpents de cette espèce vivent plus au sud, en Bolivie, au Paraguay, en Uruguay, à l'ouest du Brésil et au nord-est de l'Argentine.

 

Ils se nourrissent principalement de gros rongeurs, de tapirs, capybaras, pécaris, poissons, tortues, chiens et de reptiles aquatiques comme les caïmans. Les jeunes anacondas se nourrissent de souris, rats et poissons.

 

L'anaconda se tapit habituellement dans des marécages ou sur les berges des rivières. Il attend en embuscade qu'une proie vienne s'abreuver. Alors, il la mord avec ses dents acérées, la saisit avec ses mâchoires puissantes et l'entraîne sous l'eau. La victime se noie alors ou est étouffée par les muscles de l'anaconda. Il serre à chaque fois un peu plus fort lorsque sa victime expire. L'anaconda peut faire une pression de 2 kg par centimètre carré. La victime étouffe rapidement. Alors, l'anaconda l'avale la tête la première. Il peut avaler une proie bien plus grande que la taille de sa bouche car sa mâchoire peut se désarticuler et est reliée de façon lâche au crâne.

 

L'anaconda n'utilise pas ses dents pour mâcher, ses dents sont orientées vers l'arrière de sa gueule et en se débattant, la victime ne fait qu'aggraver sa blessure. Il se sert de ses dents comme des crampons pour faire avancer la proie dans l'œsophage. Il digère ses proies grâce à de puissants sucs digestifs. Il lui faut six heures d'efforts pour arriver à avaler une proie aussi grosse qu'un capybara. L'anaconda nécessite ensuite quatre ou cinq jours pour digérer voire plusieurs semaines selon l'importance de la proie. L'anaconda devient très vulnérable durant cette période. De plus, ce serpent est capable de jeûner pendant deux ans. Il fait partie des serpents primitifs, donc ne possède pas de venin. Il utilise sa masse et sa puissance pour maîtriser sa victime. Ainsi, être mordu par un anaconda est douloureux mais n'est pas mortel en soi.

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Eunectes

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Locomotive 214 P

Locomotive 214 P

Les Mountain de la série 241 P numéros 1 à 35 sont des locomotives à vapeur unifiées de la SNCF mises en service entre juin 1948 et juillet 1952.

 

La série fut construite en quatre ans, de juin 1948 à juillet 1952, par la société Schneider au Creusot (Saône-et-Loire). Elle reprenait, avec des améliorations, les dispositions de la 241 C 1 de 1930, prototype qui à son tour bénéficiait du retour d'expérience de la précédente série des 241 A de la Compagnie du chemin de fer Paris-Lyon-Méditerranée.

 

 

Ces locomotives étaient de type compound à quatre cylindres et quatre essieux couplés, avec les cylindres haute pression placés à l'intérieur du châssis entre le premier et le second essieu moteur entraînant le troisième essieu moteur, tandis que les cylindres basse pression situés à l'extérieur entraînaient le deuxième essieu moteur. La distribution haute pression était commandée par renvoi de mouvement des tiroirs basse pression et avance prise sur les contre-tiges des pistons haute pression.

 

La chaudière d'un diamètre interne de 1,80 m était dotée d'un foyer « Crampton » prolongé sur l'avant par une chambre de combustion, avec une grille débordante de 5,05 m2 de surface. La voûte du foyer était soutenue par trois « arch tubes » améliorant également la circulation d'eau. L'alimentation en charbon était assuré par un chargeur mécanique stoker de type « HT 1 », et l'alimentation en eau par un injecteur type « U1 » secondé d'un ensemble alimentaire réchauffeur d'eau type « ACFI ». La boîte à fumée mesurait 3 m de longueur et supportait un échappement type double « à trèfle » PLM.

 

Les 241 P furent accouplées aux tenders unifiés du type 34 P d'une capacité de 34 m3 d'eau et 12 tonnes de charbon, et dans quelques cas elles reçurent également des tenders du type 36 P, contenant 36 m3 d'eau et 9 tonnes de charbon.

 

 

La série, qui comprenait 35 unités, était destinée à la reprise des trains lourds sur les sections non électrifiées de la ligne Paris-Lyon-Marseille. Devant l'avancée des électrifications, elles essaimèrent sur les régions de l'Est, du Nord et de l'Ouest.
Les cinq dernières machines de la série, les 241 P 31, 32, 33, 34 et 35 furent à leur sortie d'usine, directement affectées à la région Nord au dépôt de La Chapelle, et ne connurent donc jamais la région Sud-Est.

 

Elles servirent pendant une vingtaine années et furent progressivement retirées du service dès 1965 avec la 241 P 1 radiée le 31 décembre 1965, pour s'achever avec les 241 P 9 et 16 qui furent les dernières radiées le 20 novembre 19732. Ces machines étaient surnommées les « grosses P » par opposition aux 141 P qui étaient affublées du surnom de « petites P ».

 

Le dernier train régulier tracté par une de ces Mountain fut assuré par la 241 P 17 le 28 septembre 1969 entre Nantes et le Mans.

 

Les dépôts d'affectation furent les suivants:

Région Méditerranée : Marseille-Blancarde

Région Sud-Est : Dijon-Perrigny, Lyon-Mouche, Nevers

Région Est : la Villette, Noisy-le-Sec, Chaumont

Région Nord : La Chapelle

Région Ouest : Le Mans

 

Sur la région Sud-Est les premières 241 P furent livrées au dépôt de Dijon-Perrigny en mai et juin 1948, pour assurer la traction des trains sur la ligne de Paris à Lyon qui n'était pas encore électrifiée. Puis au fur et à mesure de la progression l'électrification de la « ligne impériale », les Mountain furent mutées aux dépôts de Lyon Mouche puis Marseille-Blancarde sur la région Méditerranée. La 241 P 5 du dépôt de Marseille-Blancarde sera la dernière à quitter la région Méditerranée le 28 juillet 1962 au terme de l'électrification de la « ligne impériale ». Elle poursuivirent leur carrière sur la région Sud-Est au dépôt de Nevers à partir de 1958, sur les relations de Vierzon à Clermont-Ferrand et Moret - Veneux-les-Sablons à Clermont-Ferrand, jusqu'en septembre 1969.

 

Au Nord, le dépôt de La Chapelle reçu neuf 241 P entre 1951 et 1953 pour les trains de la ligne Paris-Lille. Les locomotives quittèrent le dépôt du 18e arrondissement de Paris en janvier 1959, à la suite de la mise sous tension de la dernière section de ligne entre Longueau et Paris-Nord.

 

Le dépôt de la Villette fut le premier de la région Est à recevoir des 241 P à la fin de l'année 1958 pour la traction des trains sur la ligne 1 entre Paris et Bar-le-Duc ; mais les travaux de reconversion de ce dépôt à la traction électrique auront pour conséquence le transfert de ses 241 P au dépôt de Noisy-le-Sec en mai 1961 pour une période de seize mois. Après la mise sous tension de l'intégralité de la ligne de Paris à Strasbourg en mai 1962, les 241 P furent regroupées au dépôt de Chaumont sur la ligne 4 où elles circuleront en direction de Mulhouse jusqu'à leur dernier roulement effectué en mai 1968.

 

À la région Ouest, le dépôt du Mans reçoit ses premières 241 P au mois de janvier 1959 en provenance de la région Nord. Les vingt 241 P que comptera le dépôt manceau remorqueront des rapides sur des distances importantes comme le Mans - Brest 411 km, et le Mans - Nantes - Quimper 440 km. Les 241 P achèveront leur carrière sur le Mans - Nantes où elles effectuèrent leurs ultimes circulations en septembre 1969.

 

Caractéristiques

 

Surface de grille: 5,052 m2

Surface de chauffe: 244,57 m2

Surface de surchauffe: 108,38 m2

Nombre d'éléments: ?

Nombre de cylindres: 2 HP et 2 BP

Diamètre cylindres HP: 446 mm

Course pistons HP: 650 mm

Diamètre cylindres BP: 674 mm

Course pistons BP: 700 mm

Pression de la chaudière: 20 kg/cm2

Diamètre des roues motrices: 2 020 mm

Diamètre des roues du boggie: 1 000 mm

Diamètre des roues du bissel: 1 350 mm

Masse à vide: 120,15 tonnes

Masse en ordre de marche: 131,4 tonnes

Masse adhérente: 81,6 tonnes

Longueur hors tout de la locomotive seule: 17,172 m

Puissance maximum indiquée: 2 944 kW

Puissance maximum à la jante: ? kW

Puissance maximum au crochet du tender: 2 210 kW

Effort de traction maximum: 199 KN

Vitesse maxi en service: 120 km/h

À titre indicatif, la consommation en exploitation était d'environ 100 litres d'eau et 25 kg de charbon au kilomètre.

 

Tender:

 

Tare du tender: 36,7 tonnes

Capacité en eau: 34 m3

Capacité en charbon: 12 tonnes

Masse du tender en ordre de marche: 82,7 tonnes

Masse totale locomotive + tender: 214,1 tonnes

Longueur du tender: 9,955 m

Longueur totale locomotive + tender: 27,117 m

 

Machines préservées

 

4 exemplaires ont été préservés :

la 241 P 9, conservée depuis 2008 à Toulouse, par l'AAATV Midi-Pyrénées qui réalise les travaux de remise en état de marche.

la 241 P 16, conservée en état de présentation au musée français du chemin de fer à Mulhouse.

la 241 P 17, conservée au Creusot et remise en marche en 2005 après 12 ans de travaux par l'association CFC. Logo monument historique Classé MH (1990).

la 241 P 30, conservée en état de présentation jusqu'en 2019 par l'association du Vapeur Val-de-Travers - VVT à Saint-Sulpice (canton de Neuchâtel, Suisse). Rachetée par l'AJECTA, la machine est désormais préservée à Longueville depuis le mois de juin 2019.

 

Modélisme

 

Les 241 P ont été reproduites à l'échelle HO par :

la firme Jouef (de 1971 à 2002) puis Jouef/Hornby en 2016

la Maison des trains

l'artisan Loco-Diffusion, sous forme de kit à monter en laiton

la firme suisse Fulgurex (modèle haut de gamme en laiton)

la firme suisse Lemaco (modèle haut de gamme en laiton)

À l'échelle N par :

la firme suisse Lemaco (modèle haut de gamme en laiton)

 



Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/241_P

 
     
     
Notes et références                                                    
   
    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

 

 

 

 

 

 

Silure

Publié à 18:19 par dessinsagogo55 Tags : silure poisson faune sur france center
Silure

Le silure est un poisson sans écaille avec une peau vert-brun très glissante car recouverte de mucus. Son ventre est assez clair, de couleur jaune ou blanc et il existe également des spécimens albinos de couleur jaune, jaune-orangé. La tête du silure est massive et plate avec une grosse bouche dotée de lignes de dents très petites et nombreuses orientées vers l’arrière de sa gueule. Il possède six barbillons : deux longs sur la mâchoire supérieure et quatre courts sur la partie inférieure de sa tête. On compte quatre nageoires : une anale, une dorsale munie d’un aiguillon et des pelviennes de chaque côté également munies d’un dard.

 

Les silures mesurent environ 1,5 m de long en moyenne et les poissons de plus de 2 m sont de plus en plus communs, pour un poids allant de 50 kg à 150 kg. Les plus gros silures atteignent des tailles allant de 2,65 à 2,75 m, le record dans les eaux françaises étant de 2,74 m

 

Le silure est un poisson omnivore solitaire, lucifuge (qui évite la lumière), vivant d'ordinaire dans les zones les plus profondes de son habitat. Ce comportement peut cependant évoluer exceptionnellement, comme mis en évidence par une étude sur des silures du Tarn chassant en pleine journée des pigeons venus s'abreuver sur les rives de la rivière en se projetant hors de l'eau. Ils sont également très nombreux dans la Seine, à Paris en particulier.

 

Ils vivent en moyenne vingt ans. La période des amours se situe de mai à juillet dans des eaux à 20 °C ; la femelle peut pondre jusqu'à 500 œufs. Après avoir fécondé la femelle, le mâle reste deux jours avec elle et lui donne des coups de tête dans le ventre pour tenter de tuer les oeufs et ainsi l'inciter à reprendre leurs ébats

 

 

Parce que s'alimentant volontiers au niveau du sédiment et étant susceptible de vivre longtemps, dans une eau polluée, le silure fait partie des poissons reconnus bioaccumulateurs. En raison de sa propension à bioconcentrer les métaux lourds, certains métalloïdes ou des polluants peu biodégradables tels que les PCB, furanes ou dioxines, le silure peut dans certains milieux aquatiques pollués être durablement ou provisoirement interdit de pêche, de détention et de toute commercialisation en France

 

 

Espèces

 

 

Truite

Publié à 16:07 par dessinsagogo55 Tags : faune truite poisson création sur france center place
Truite

Les qualités gustatives en cuisine de la truite sauvage sont largement reconnues. Par le biais de la pêche en milieu naturel, elle est de ce fait assez recherchée pour cela.

 

La pratique de la pêche (de loisir ou de façon sportive) de la truite peut se réaliser de plusieurs façons :

 

Pêche au appâts naturels

Pêche au toc

Pêche au vairon manié

Pêche au vif

Pêche au appâts artificiels

Pêche aux leurres

Pêche à la mouche

 

Des œufs fécondés sont placés sur des frayères artificielles, et des alevins sont élevés et relâchés dans les rivières, pour participer au repeuplement de milieux dégradés, menacés ou surexploités. Néanmoins, si ces pratiques sont souhaitables et bénéfiques lorsqu'il s'agit d'espèces autochtones, elles ne contribuent pas à la sélection naturelle, peuvent poser des problèmes de diversité génétique et sont néfastes lorsqu'il s'agit d'introduire des espèces exogènes, ou des poissons susceptibles d'être anormalement porteurs de maladies ou parasites.

 

Par exemple, en France :

 

l'introduction de la truite arc-en-ciel, souvent pour répondre à une gestion à court terme de la ressource halieutique, provoque à terme la disparition de la truite fario avec laquelle elle entre en concurrence alimentaire ;

 

l'introduction massive et répétitive de truites farios de souche « atlantique » (généralement en provenance d'élevages danois) est la cause de la quasi-disparition de la truite fario de souche « méditerranéenne » à cause de la « pollution » génétique due au métissage. De rares groupes sont restés génétiquement « purs », essentiellement dans les rivières corses.

 

Pour tenter de remédier à cet état de fait, de nombreuses AAPPMA, outre des mesures de protection du groupe local (augmentation de la maille, création de parcours no-kill...) ont mis en place des structures de production et d'élevage de la souche locale.

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Truite

 

 

 

 

 

Truite

Publié à 15:30 par dessinsagogo55 Tags : mer truite poisson png faune center vie
Truite

Truite Arc en ciel

 

 

Le terme truite est un nom vernaculaire ambigu désignant plusieurs espèces de poissons de la famille des salmonidés.

 

Les truites vivent dans des eaux claires et vives, principalement en Amérique du Nord, en Europe, dans le nord de l'Asie et dans les rivières de l'Atlas au Maroc. Elles ont été également introduites en Australie et en Nouvelle-Zélande au XIXe siècle. Selon les espèces, la durée de vie peut varier de 7 ans à plusieurs dizaines d'années. Une truite de 80 cm peut dépasser les 5 kg. Certains spécimens vivant en lac dépassent le mètre et 15 kg.

 

Les truites n'ont pas d'épines dans les nageoires, et elles possèdent toutes une nageoire adipeuse à l'arrière, proche de la queue, qui est une caractéristique commune à tous les salmonidés.

 

Bien que la plupart des truites vive exclusivement en eau douce, certaines espèces (Oncorhynchus mykiss et Salmo trutta ou fario notamment) présentent des spécimens qui passent leur vie adulte dans l'océan et remontent les rivières pour se reproduire. on parle alors de truite de mer.

 

 

Les truites sont carnivores. Elles se nourrissent principalement de vers et d'insectes, mais les espèces et les spécimens les plus imposants chassent également d'autres poissons, particulièrement les vairons.

 

 

La truite saumonée est une appellation de truites le plus souvent de truite arc-en-ciel d'élevage, ayant la chair couleur saumon du fait de leur alimentation.

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Truite

 

 

 

 

Grand requin blanc

Publié à 13:53 par dessinsagogo55 Tags : requin poisson roman png sur plat mer france base homme animaux livre center
Grand requin blanc

Le Grand requin blanc (Carcharodon carcharias) est une espèce de requin de la famille des Lamnidae et de l'ordre des Lamniformes (et non des Carcharhiniformes car dépourvu de paupière nictitante). Il est le seul représentant actuel du genre Carcharodon.

 

Avec une taille maximale supérieure à 6 m de long, c'est l'un des plus grands poissons prédateurs vivant actuellement dans les océans. La population des grands requins blancs a diminué de 75 % dans l’Atlantique Nord-Ouest.

 

Il est considéré comme un requin dangereux puisqu'il est responsable d'attaques contre les hommes, la grande majorité d'entre elles étant non mortelles. Néanmoins, contrairement à certaines idées reçues, il n'est pas un « mangeur d'hommes » et l'homme n'est pas une proie pour lui, la plupart des attaques étant dues à une erreur d'analyse visuelle du requin. Le grand requin blanc a une alimentation très variée : pinnipèdes, poissons, tortues marines, cétacés...

 

Ce type de requin est connu du grand public pour avoir été le sujet du best-seller Les Dents de la mer de Peter Benchley et de son adaptation cinématographique par Steven Spielberg.

 

Mesures

 

Le grand requin blanc mesure en moyenne de 4 à 6 m de long. À approximativement 26 ans, âge de sa maturité sexuelle, il mesure 3,50 à 4,10 m. Les requins blancs de Méditerranée sont plus massifs que leurs cousins océaniques. Les femelles sont matures plus tard, environ 33 ans et mesurent alors 4 à 5 m

 

La taille du plus grand spécimen jamais pêché a fait l'objet d'un grand nombre de débats, de conjectures et de fausses informations

 

Pendant des décennies, le livre Guinness des records, ainsi que les travaux de nombreux ichtyologues, présentaient deux spécimens comme les plus grands jamais capturés : l'un de 11 m capturé dans les eaux sud australiennes près de Port Fairy dans les années 1870, et l'un de 11,30 m capturé au Nouveau-Brunswick, Canada dans les années 1930. Richard Ellis et John E. McCosker, dans leur livre The Great White Shark (1991), dédient un chapitre entier à ce sujet. Ils concluent que le plus grand spécimen jamais capturé et mesuré correctement devait faire 6,40 m (mesuré à plat sur le sol et non suspendu à un filin) pour 3 324 kg. Il a été pêché à Cuba en 1945. Le requin blanc de 7,13 m, capturé en 1987 à Malte, ne devait mesurer d'après les experts qu'entre 5,30 et 5,70 m.

 

Concernant les records non vérifiés de plus de 10 mètres, Richard Ellis et John E. McCosker doutent de la fiabilité des mesures, notant qu'elles étaient trop importantes en les comparant aux très grands requins blancs avérés que l'on a pu répertorier. Le requin blanc de 11,30 m prétendument pêché au New Brunswick (Canada) a été mal identifié car il s'agissait d'un requin pèlerin, ayant un corps de forme similaire au requin blanc. La question du requin blanc de 11 m de Port Fairy dans les eaux australiennes a été réglée dans les années 1970, lorsque J. E. Reynolds a examiné les mâchoires du requin et a conclu qu'il ne faisait que 5 m de long. Il a suggéré qu'une erreur avait été commise dans l'enregistrement original en 1870.

 

Pour conclure, la taille maximale est estimée à 7,5 m de long tout au plus, par des spécialistes comme l'Italien Alessandro de Maddalena, mais les grands requins blancs de plus de 6 mètres sont extrêmement rares. Aucun grand requin blanc atteignant les 7 mètres n'a jamais été capturé.

 

En France, à Sète, le 13 octobre 1956, fut pêchée une femelle. Cette dernière mesurait 5,83 mètres et pesait environ 2 tonnes. (Le muséum de Lausanne fit l'acquisition de ce spécimen. Une reproduction en plâtre est visible en ce musée.)

 

La masse du grand requin blanc mâle varie entre 680 et 2 000 kg. Celui de la femelle est compris entre 1 000 et 1 900 kg. Ellis et McCosker écrivent en ce qui concerne la masse des requins blancs et concluent qu'ils peuvent peser jusqu'à 3 tonnes mais notent également que le plus lourd pesé scientifiquement pesait 3,3 tonnes.

 

Deep Blue

 

« Deep Blue » est le surnom donné à l'un des plus grands spécimens de requin blanc jamais observés à partir de l'année 2013.

 

Il s'agit d'une femelle vivant au large de l'île Guadalupe (Mexique). Sa taille est estimée à 20 pieds, soit 6,09 mètres

 

Ce requin femelle fascine aussi bien les scientifiques que le grand public. L'une des vidéos faites en 2013 par le biologiste marin Mauricio Hoyos Padilla et mise en ligne sur YouTube en juin 2015 a déjà été vue plus de 7 millions de fois au 14 août 2015, date de sa présentation au JT de 20 heures de France 2.

 

Il s'agit d'un requin femelle, dont l'imposante taille donne à penser qu'elle a environ 50 ans.

 

Or, pour mettre bas, les requins femelles se rapprochent des côtes afin de libérer leurs petits dans des eaux peu profondes, où il y a moins d'animaux prédateurs et où la nourriture est plus abondante. Mais ces zones proches des côtes sont très exposées à plusieurs menaces humaines.

 

En 2015, le biologiste Mauricio Hoyos Padilla et son association Pelagios-Kakunjá souhaitent donc réunir des dons pour sécuriser les endroits où les requins femelles mettent bas, en taguant les requins femelles en vue de créer une base de données permettant de développer de nouvelles stratégies de conservation près des côtes de l'île Guadalupe

 

Nicole et Lydia

 

En 2004, une femelle grand requin blanc, surnommée Nicole, parcourt l'hémisphère sud. Puis en 2013, une autre femelle, surnommée Lydia, traversant l'Atlantique, devient la coqueluche des réseaux sociaux comme Deep Blue.

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Grand_requin_blanc

 

 

 

 

 

Sphyraena barracuda

Publié à 11:53 par dessinsagogo55 Tags : barracuda poisson animal sur center mer vie monde
Sphyraena barracuda

 

 

Le barracuda (Sphyraena barracuda) est une espèce de poissons carnivores de grande taille, de la famille des Sphyraenidae.

 

C'est un assez grand poisson, pouvant mesurer jusqu'à 2 m de long pour 50 kg. Le corps du barracuda est allongé, avec une mâchoire inférieure de grande taille et des dents en forme de croc. Les deux ailerons dorsaux sont largement espacés, le premier ayant cinq épines et le second une épine et neuf rayons mous. Les extrémités des nageoires les plus postérieures sont blanches. Les flancs portent généralement quelques taches noires variables

 

Le grand barracuda a une large répartition, étant présent dans presque toutes les mers et océans tropicaux et subtropicaux du monde, à l'exception du Pacifique est. On les trouve généralement autour des récifs (surtout les jeunes, qui aiment les estuaires), mais ils apparaissent également dans les mers ouvertes. Ils se rencontrent entre la surface et une trentaine de mètres de profondeur, parfois jusqu'à 100 m.

 

Depuis la fin des années 1970, alors qu'il était auparavant très épisodique en Nord Méditerranée, le barracuda a largement colonisé les côtes nord de cette mer, en particulier dans tout le golfe de Gênes (de Gênes jusqu'au Massif de l'Estérel). Cette présence nouvelle, probablement due au réchauffement climatique, inquiète certains pêcheurs professionnels en raison de la voracité de l'animal sur les espèces autochtones, y compris sur d'autres prédateurs locaux, notamment les loups (nom du bar en Méditerranée).

 

Les barracudas vivent isolés ou en bancs (surtout les jeunes). Ce sont des prédateurs voraces qui comptent, pour la chasse, sur l'effet de surprise suivi d'une courte accélération (jusqu'à 60 km/h). Ils se nourrissent d'autres poissons et de céphalopodes.

Leur espérance de vie semble dépasser les 15 ans

 

 

Le barracuda est un prédateur de poissons et d'invertébrés marins au corps mou, et en aucun cas de mammifères, qu'il n'est pas adapté à chasser ou à consommer. Cependant c'est un animal curieux et courageux, et il ne doit pas être importuné par les plongeurs et pêcheurs, car il demeure capable de se défendre ou même d'attaquer préventivement. Les incidents avec des hommes sont extrêmement rares bien que les barracudas suivent parfois des plongeurs dans les récifs, ou plus souvent des chasseurs sous-marins, attirés par leurs proies. Si leur dentition peut être impressionnante, leur mâchoire demeure faible et leurs dents fragiles, et ils ne représentent pas une menace sérieuse pour un adulte, même si les gros individus peuvent tout de même provoquer de larges plaies

 

Comme beaucoup de grands prédateurs, le barracuda est une proie recherchée dans la pêche au gros.

 

Les barracudas sont comestibles mais il faut bien se renseigner au préalable sur la situation géographique dans laquelle ils ont été péchés, puisque leur chair peut de temps en temps contenir une toxine, la ciguatera. Cependant il reste un poisson à la chair prisée qui peut se préparer en papillote au four avec par exemple du fenouil, des oignons, du citron...

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Sphyraena_barracuda

 

 

 

Claude Rich

Publié à 01:54 par dessinsagogo55 Tags : france femme sur prix moi vie saint amour homme mort dieu air centre fille maison art sourire amitié film center
Claude Rich

Claude Rich, né le 8 février 1929 à Strasbourg (Bas-Rhin) et mort le 20 juillet 2017 à Orgeval (Yvelines), est un acteur français.

Il a notamment reçu deux César, celui du meilleur acteur en 1993 pour Le Souper et un César d'honneur en 2002.

 

Enfance, formation et débuts

 

Claude Rich passe les premières années de sa vie à Strasbourg, jusqu'en 1935, puis il emménage avec sa mère et ses trois frères et sœurs à Paris, au 95, boulevard Saint-Michel après la mort de son père, ingénieur de métier, victime à 40 ans de la grippe. Sa mère espère qu'il deviendra prêtre, et bien qu'il ne choisisse pas la voie de la prêtrise, elle ne lui en tiendra pas rigueur, car elle-même ayant voulu être sculptrice, elle l'aidera beaucoup dans son désir d'être acteur. La foi de sa maman laissera néanmoins des traces, car son père étant d'origine alsacienne et sa mère d'origine bordelaise, il se définit comme chrétien-alsacien.

 

Durant la Seconde Guerre mondiale, vers 1943-1944, il vit aussi en pension à Neauphle-le-Vieux, à l’École du Gai Savoir de Michel Bouts où sa passion du théâtre est née. Pendant que son frère est engagé dans la 1re armée de de Lattre, Claude Rich assiste à la Libération de Paris.

 

Il commence à travailler comme employé de banque, suit en parallèle les cours Dullin, le Centre d'Art Dramatique de la rue Blanche, et intègre le Conservatoire national supérieur d'art dramatique, promotion de 1953 dont il sort avec le deuxième prix (par ailleurs, aucun premier prix n'est décerné cette année-là). C'est là qu'il se lie d'amitié avec plusieurs élèves qui deviendront tous d'illustres acteurs : Jean Rochefort, Jean-Paul Belmondo, Jean-Pierre Marielle, Bruno Cremer. Ensemble ils forment ce qui fut appelé la « bande du Conservatoire ».

 

Carrière

 

Claude Rich fait ses débuts au théâtre de la Renaissance, et participe au film Les Grandes Manœuvres de René Clair, ce qui lance sa carrière cinématographique en 1955.

 

 

Il interprète fréquemment des rôles secondaires de jeune premier dans les années 1960, notamment en donnant la réplique à Lino Ventura dans Les Tontons flingueurs (1963) de Georges Lautner ou à Louis de Funès dans Oscar (1967). En 1968, Alain Resnais lui propose l'un des plus grands rôles de sa carrière dans le film de science-fiction Je t'aime, je t'aime, dans lequel il interprète un homme voyageant dans son passé après une tentative de suicide. Le réalisateur l'a choisi pour son timbre de voix qu'il apprécie particulièrement.

 

Durant les décennies 1970 et 1980, il retourne à sa passion première, le théâtre, notamment dans Hadrien VII pour lequel il est récompensé par le Prix du Syndicat de la critique, ainsi que dans un passage très remarqué à la Comédie-Française pour le rôle-titre de Lorenzaccio d'Alfred de Musset, mis en scène par Franco Zeffirelli (1976). Cela ne l'empêche pas d’apparaître plusieurs fois sur grand écran, notamment dans La Femme de Jean (1974) dans un rôle atypique, Adieu poulet (1975), Le Crabe-Tambour (1977) et La Guerre des polices (1979).

 

En 1989, il joue Talleyrand dans la pièce Le Souper de Jean-Claude Brisville, au côté de Claude Brasseur. L’adaptation cinématographique de cette pièce lui permet d'effectuer un retour en force au cinéma en 1992. Sa prestation sera récompensée par le César du meilleur acteur en 1993.

 

Pour la télévision, Claude Rich tourne peu : sous le faux air d'un diplomate américain marié à Claude Jade, mais secrètement un agent secret dans le feuilleton Le grand secret (1989) ; dans La Vérité en face (1993) il incarne aux côtés de Danielle Darrieux un ancien membre de la Résistance soupçonné d'avoir parlé sous la torture ; son rôle de Léon Blum dans Thérèse et Léon de Claude Goretta avec Dominique Labourier ; sans oublier son portrait d'un psychiatre célèbre, le professeur Silberstein, aux côtés de Maruschka Detmers dans Clarissa de Jacques Deray.

 

Il collabore à de nombreux films historiques, dont Le Colonel Chabert (1994), La Fille de d'Artagnan (1994) qui lui vaut d'être nommé pour le César du meilleur acteur dans un second rôle, Le Bel Été 1914 (1996) ou encore Capitaine Conan (1996).

 

Lors de la Berlinale 1996, il est membre du jury.

 

Il ne dédaigne pas pour autant les productions plus grand public, notamment dans les comédies La Bûche en 1999, qui lui vaut d'être de nouveau nommé pour le César du meilleur acteur dans un second rôle, ou encore Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre (2002) où il interprète le druide Panoramix.

 

Acteur au sourire malicieux et à la voix reconnaissable entre toutes, il multiplie les apparitions au cinéma dans les années 2000, notamment dans Le Coût de la vie (2003), Là-haut, un roi au-dessus des nuages (2004), Le Mystère de la chambre jaune (2003), Le Cou de la girafe (2004), Président (2006), Le crime est notre affaire (2008).

 

Il est récompensé par un César d'honneur en 2002, pour l'ensemble de sa carrière.

 

Durant cette décennie, il se fait par ailleurs beaucoup remarquer sur le petit écran pour ses interprétations ambitieuses de personnages historiques tels que Galilée dans Galilée ou l'Amour de Dieu au côté de son copain de Conservatoire Jean-Pierre Marielle, Voltaire dans Voltaire et l'Affaire Calas (2007).

 

Il est à nouveau nommé en 2009 pour le César du meilleur acteur dans un second rôle grâce à son interprétation dans le film de François Dupeyron Aide-toi, le ciel t'aidera.

 

En 2012, il incarne le père de Jean-Pierre Bacri, président de section du Conseil d'État, homme précieux et autocentré, dans la comédie de mœurs Cherchez Hortense ; cela lui vaut une nomination pour le César du meilleur acteur dans un second rôle en 2013.

 

Mais c'est au théâtre qu'il consacre l'essentiel de son énergie et de son talent, dans ses dernières années, avec deux pièces d'Antoine Rault mises en scène par Christophe Lidon, Le Diable Rouge (2008-2009) et L'Intrus (2011-2012).

En 2015, il se produit pour la dernière fois au cinéma dans le film d'Alain Choquart, Lady Grey

 

Vie privée

 

En 1957, il fait l'acquisition d'une maison à Orgeval dans les Yvelines. Il se marie le 26 juin 1959 avec l'actrice Catherine Renaudin à Paris. Le couple aura deux filles, Delphine, comédienne, et Natalie Rich-Fernandez, peintre. Ils ont un fils adoptif, Rémy (adopté après la mort de son père, le comédien Bernard Noël).

 

Catholique, il se rend à la messe chaque dimanche mais se voit comme un « chrétien un peu pitoyable » et déclare : « Je ne suis pas un très bon chrétien. Je n’étudie pas beaucoup ma religion, mais je crois en l’amour de Dieu. De la même façon que l’on ne sait pas toujours pourquoi on aime une personne, j’aime Dieu. Je le fréquente tous les dimanches. Lorsqu’il m’arrive de confier à quelqu’un mon intention d’aller à la messe le dimanche et que mon interlocuteur me fait part de son étonnement, je lui dis que c’est moi qui suis étonné qu’il n’aille pas à l’église ». Il dit avoir prié pour jouer un rôle dans une pièce où Dieu serait évoqué mais ne veut pas jouer de rôles militants : « Ne me transformez pas en comédien catholique. Je veux rester un acteur qui puisse jouer tour à tour un salaud ou un saint. »

 

En décembre 2006, il signe un manifeste de « soutien total » à Benoît XVI et pour que puisse être célébrée la messe tridentine, [considérant] « comme une grâce la diversité des rites dans l'Église catholique ».

 

Décès

 

 

Claude Rich meurt le 20 juillet 2017 des suites d'un cancer à son domicile en région parisienne à l'âge de 88 ans. Ses obsèques ont eu lieu le 26 juillet 2017 en l'église Saint-Pierre-Saint-Paul d'Orgeval dans les Yvelines, là où il est ensuite inhumé, en présence de nombreuses personnalités du cinéma et du théâtre.

 

Hommage

 

Son nom a été donné à un espace culturel de la commune alsacienne de Masevaux, inauguré en sa présence en 2004.

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Claude_Rich

 

 

Leanna Decker : dessinsagogo55

Publié à 19:55 par dessinsagogo55
Leanna Decker : dessinsagogo55

Leanna Decker : dessinsagogo55