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Opération Iskra

Publié à 16:30 par dessinsagogo55 Tags : center article png centerblog image sur vie saint photo gain centre air nuit obstacles carte
Opération Iskra

 

L'opération Iskra (en russe : Операция ИскраOperatsia Iskra, « opération Étincelle ») est une opération soviétique de la Seconde Guerre mondiale conçue pour briser le siège de Léningrad.

L'opération est menée par la 67e armée (en) du front de Léningrad, les 2e armée de choc et 8e armée du front de Volkhov et la flotte de la Baltique avec pour but de créer une liaison terrestre avec Leningrad. L'opération réussit à ouvrir un corridor terrestre de 8 à 10 km de large pour la ville. Une voie ferrée fut rapidement construite dans le corridor permettant un ravitaillement beaucoup plus important que par la route de la vie et réduisant significativement la possibilité de la prise de la ville par les troupes de l'Axe.

Le succès d'Iskra conduisit la Stavka à lancer une opération beaucoup plus ambitieuse nommée opération Polyarnaya Zvezda (« Étoile polaire ») moins de deux semaines plus tard. Cette opération avait pour but de lever définitivement le siège de Leningrad et vaincre de façon décisive le groupe d'armées Nord.

 

À la fin de 1942, les conditions de Leningrad continuent d'être difficiles. Les troupes du front de Leningrad et la flotte de la Baltique sont toujours isolées du reste du pays.

Courant 1942, l'Armée rouge tenta de percer, à deux reprises, le blocus de Leningrad en lançant cependant, l'opération Liouban puis l'offensive Siniavino qui ne furent pas couronnées de succès. La zone située entre la côte sud du lac Ladoga et la ville de Mga (ru), est la distance la plus courte entre la ligne de front de Leningrad et la ligne de front de Volkhov, appelée le Col de bouteille, elle oscille entre 12 km et 16 km et est toujours fortement occupée par la 18e armée allemande.

La planification de l'opération a débuté peu après l'échec de l'offensive Siniavino. Les défaites allemandes sur le front de Stalingrad à la fin 1942 ayant affaibli le front allemand, le commandement soviétique cherche, fin 1942, à planifier ou à mener des opérations offensives sur l'ensemble du front russe en particulier dans le Sud de la Russie, pour le début de l'année 1943.

En novembre 1942, les commandants du front de Leningrad présentent plusieurs propositions pour la préparation d'une nouvelle offensive en vue de libérer à Leningrad.

L'opération Chlisselbourgskaïa (opération Chlisselbourg) est planifiée pour décembre 1942, avec le but d'effectuer une jonction avec le front de Volkhov puis assurer la construction du chemin de fer le long du lac Ladoga.

L'opération Ouritskaïa est planifiée pour février 1943 afin d'établir une jonction entre Leningrad et la tête de pont d'Oranienbaum (en).

Après avoir examiné les deux opérations, la Stavka décide d'abandonner l'opération Ouritskaïa et approuve l'opération Chlisselbourgskaïa sous le nom de code Iskra. Selon la directive 170 703, l'opération Iskra a pour but de réduire le Col de bouteille, empêchant tout ravitaillement de Leningrad, et de créer un contact terrestre avec la ville.

 

Directive 170 703

DIRECTIVE

 

« le 8 décembre 1942 no 170 703

Le commandant des fronts de Volkhov et de Leningrad pour la percée du siège de Leningrad et la préparation de l'offensive de Mga.

8 décembre 1942 22 h 45 min

Le but des efforts conjoints des fronts de Volkhov et de Leningrad est de vaincre le groupe ennemi dans la région de Lipka, Gaïtolovo, Moscou, Doubrovka, Chlisselbourg et ainsi briser le siège de la ville de Leningrad, avant la fin janvier 1943.

Lignes de défense devront être bien établies sur le ??? (une rivière sûrement) Michael, Tortolovo, pour assurer une communication du front de Leningrad, après quoi les troupes pourront se reposer 10 jours.

Dans la première moitié de février 1943, il faudra préparer et mener des opérations pour vaincre l'ennemi dans la région de Mga et nettoyer les alentours du chemin de fer de Kirov et les routes d'accès à la ligne de Raven, Sigolovo, Voïtolovo, Voskresenskoïe.

À la fin de l'offensive de Mga les troupes prendront leurs quartiers d'hiver.

Cet ordre est pour les commandants de régiments, inclusivement.

Confirmez la réception. À transmettre à l'échelon.

Stavka du grand commandement suprême. J. Staline G. Joukov »

 

 

Forces en présences

Forces soviétiques

 

Le total des troupes des deux fronts est de 302 800 officiers et soldats, environ 4 900 pièces d'artillerie et de mortiers (d'un calibre de 76 mm et plus), plus de 600 chars et 809 avions.

Les troupes soviétiques sont environ 5 fois supérieures à celle de l'ennemi en hommes et en matériel.

Front de Léningrad sous le commandement du colonel-général Leonid Govorov

67e armée (en) du lieutenant-général Mikhaïl Pavlovitch Doukhanov (ru)

55e armée du lieutenant-général Vladimir Petrovitch Sviridov (ru)

414 avions de la 13e armée de l'air (en) du colonel-général Stepan Dmitrievitch Rybalchenko (en)

Front de Volkhov sous le commandement des généraux Kirill Meretskov et Ivan Fediouninski

2e armée de choc du lieutenant-général Vladimir Zaharovitch Romanovski (ru)

54e armée (en) du lieutenant-général Alexandr Vassilevitch Soukhomline (ru)

8e armée du lieutenant-général Philipp Nikanorovitch Starikov (ru)

14e armée de l'air (en) du lieutenant-général Ivan Petrovitch Jouravlev (ru)

Soutenu par l'artillerie des navires de la flotte de la Baltique et de la flottille de Ladoga (ru), composé de 1 870 canons et mortiers.

 

Forces allemandes

 

La défense de la zone Schlüsselburg-Siniavino est réalisée par six divisions soit environ 60 000 officiers et soldats, soit 10 000-12 000 combattants par division, avec le soutien de 700 canons et mortiers, et d'environ 50 chars et canons d'assaut.

Le soutien aérien de la 18e armée et de l'ensemble du groupe d'armées Nord est réalisé par la Luftflotte 1 forte d'environ 200 avions.

18e armée du général Georg Lindemann

Luftflotte 1 du colonel-général Alfred Keller

 

Préparation de l'opération

 

 
Colonne de chars soviétiques ; photo prise pendant l'hiver 1942 sur le front de Leningrad.

La zone sud du lac Ladoga est une région très boisée avec de nombreux milieux humides, notamment des tourbières, des marécages et des marais. Ces deux facteurs entraveront la mobilité de l'artillerie et des véhicules blindés, fournissant un avantage considérable aux forces de défense.

L'un des endroits clés se trouvait sur les hauteurs de Siniavino, un monticule haut de 150 mètres qui domine la plaine et qui est l'une des rares zones sèches et claires de la zone.

 

Préparatifs allemands

 

À la suite des difficultés du secteur de Stalingrad et de l'offensive soviétique à Velikie Louki au sud de Leningrad, le groupe d'armées Nord est désormais sur une position défensive vu qu'il a été dépouillé de nombreuses troupes. La 11e armée, qui devait mener l'assaut final sur Leningrad, et qui avait contrecarré la dernière offensive soviétique, a été transférée au groupe d'armées Centre en octobre ainsi que neuf autres divisions qui ont été également réaffectées sur d'autres secteurs.

Au début de l'offensive soviétique, la 18e armée qui est dirigée par Georg Lindemann se compose de 26 divisions réparties sur un front de 450 km. Le rideau défensif de la 18e armée était très mince et très étiré. Ses forces ne lui permettant pas de disposer de réserves de division, chaque division avait une réserve tactique d'un ou deux bataillons, et les réserves de l'armée se composaient d'éléments des 96. ID et 5e division alpine. La Luftflotte 1 fournit le soutien aérien de la 18e armée.

Cinq divisions et une partie d'une autre gardaient l'étroit couloir qui sépare les deux fronts soviétiques : le front de Léningrad et le front de Volkhov. Le couloir large de seulement 16 km fut appelé le Col de bouteille.

Depuis le 8 septembre 1942, la ligne de front avait très peu changé depuis que le blocus a été établi, les forces allemandes avaient construit un réseau dense de points forts défensifs, reliés entre eux par des tranchées et protégés par de nombreux obstacles avec une artillerie de verrouillage et de nombreux mortiers.

Malgré la supériorité significative de l'Armée soviétique, le commandement allemand compte garder ses positions, principalement grâce à la puissance de ses positions défensives. La majorité des points d'appui étaient des forteresses qui étaient protégées par une première ligne doublée d'une défense en profondeur composée de champs de mines, de barbelés et de bunkers fortifiés.

Face à la 67e armée soviétique, la défense est tenue par un régiment de la 227e ID, la totalité de la 170e division d'infanterie et un régiment de la 5e division alpine. Ces troupes sont chargées de défendre Schlisselbourg, les cités ouvrières de Nazia no 1, 5 et 6, la gare Podgornaïa, Siniavino, et la cité Saint-Michel. En outre la 61e ID se trouve à la cité ouvrière no 5 au centre du dispositif.

Dans la zone de la 2e armée de choc et de la 8e armée soviétique la défense est tenue par la 227e division d'infanterie, moins un régiment, la 1re division d'infanterieet un régiment de la 223e division d'infanterie et de la sécurité 207e division de sécurité5. Les principaux points de résistance étaient Lipka, la cité ouvrière no 8, Krouglaïa Grove et les villages de Gaïtolovo et Tortolovo.

Les réserves, qui sont positionnées dans la région Mga, sont composées de la 96. ID, de la 5e division alpine moins un régiment, ainsi que le 502e bataillon de chars lourds composé de 23 chars (16 Panzer III, 6 Panzer IV et 1 befehlspanzer

.

Préparatifs soviétiques

 

La Directive 170 703 indiquait que les troupes des front de Volkhov et de Léningrad, devaient attaquer conjointement dans les régions de Lipka, Gaïtolovo, Doubrovka, Schlisselbourg, afin de reprendre le Col de bouteille pour créer un couloir de ravitaillement terrestre pour Leningrad, indiquant que l'opération devait être terminée pour la fin janvier 1943.

La grande différence d'avec l'offensive Siniavino est principalement le lieu et la méthode de l'attaque principale.

Lors de l'offensive de Siniavino, les forces soviétiques ont attaqué au sud de la commune urbaine de Siniavino, ce qui leur a permis de cerner plusieurs divisions allemandes, mais en s'offrant aux contre-attaques de flanc. C'est d'ailleurs les contre-attaques qui ont finalement provoqué l'échec de l'offensive.

L'offensive Iskra sera menée au nord de Siniavino, plus près de la rive du lac Ladoga, éliminant les menaces d'attaques de flanc et augmentant la probabilité de succès. Toutefois, les Soviétiques ont alors abandonné l'idée d'encercler la plupart des forces allemandes dans le Col de bouteille.

L'objectif de la 67e armée est de traverser le fleuve Neva, entre le museau Nevski et Schlüsselburg, de percer les premières lignes ennemies, situées à 12 kilomètres, et se dirigeant dans la direction de Siniavino, prendre les cités ouvrières des tourbières de Nazia7 no 6 et no 1 ainsi que Siniavino et Schlüsselburg. Dans un second temps, après avoir rejoint les forces du front de Volkhov elle devait développer une offensive en direction du sud-est pour atteindre la rivière Moïka.

Du côté du front de Volkhov, l'objectif des différentes composantes de la 2e armée de choc est de percer les défenses ennemies sur une largeur de 12 km, entre Gaïtolova et Lipka, de réduire les points d'appui de la colonie de travailleurs no 8, de la forêt de Krouglaïa Grove puis dans un second temps, se diriger vers l'ouest en direction de Siniavino en se rendant maîtres des colonies de travailleurs nos 1, 5, 7 et de la ville de Siniavino. Dans un troisième temps, une autre partie des troupes de la 2e choc, après avoir fait sa jonction avec les troupes du front de Leningrad, devait prendre la colonie de travailleurs no 2 puis se dirigeant vers le sud capturer la colonie de travailleurs no 6.

L'objectif de la 8e armée était de percer les défenses à Gaïtolovo et d'avancer dans la direction de Tortolovo et Saint-Michel.

Du côté soviétique, le commandement avait une image assez détaillée de la défense ennemie grâce aux efforts du renseignement. Il réussit également à cacher à l'ennemi la direction de l'attaque principale.

Les deux fronts ont reçu plusieurs divisions d'infanterie supplémentaires ainsi que des brigades. Mais elles ont également reçu comme renforts de l'artillerie, du génie, et des unités d'hiver spécialisée comprenant 3 brigades de ski et 4 bataillons d'aérosans (aerosleigh en anglais) qui étaient vitales pour percer les lourdes défenses allemandes. Afin de s'assurer de la supériorité aérienne, qu'ils n'avaient pas eu lors de l'offensive précédente, la force aérienne comporte désormais plus de 800 avions. Les forces blindées lourdes ne pouvant pas bien être utilisées dans les terrains marécageux, elles seront principalement comme bataillons de renfort et d'appoint pour les divisions ou brigades.

Le 10 janvier, la Stavka envoie Joukov pour coordonner la bataille.

Initialement prévue pour le mois de décembre 1942, l'opération est reportée car la glace sur la Neva, le lac Ladoga et les marais n'était pas assez robuste. Un nouveau report a lieu le 1er janvier en raison du manque d'épaisseur de glace sur la Neva. L'opération débute donc le 12 janvier 1943, toutefois la glace n'est pas assez épaisse pour soutenir les véhicules lourds.

  La bataille

 

12 janvier

 

 
Avance soviétique au 12 janvier.

Dans la nuit du 11 au 12 janvier, les bombardiers de nuit soviétiques attaquent le quartier général de la division, les positions d'artillerie, les aérodromes allemands, les centres de communication et les nœuds ferroviaires afin de perturber l'organisation des défenseurs.

L'opération débute le 12 janvier à h 30, après une préparation d'artillerie de h 20 sur le côté ouest, h 40 sur le côté est du Col de bouteille, et un tir de barrage de Katiouchas.

À 11 h 50, sur le front de Léningrad, les 136e et 268e divisions d'infanterie soviétique commencent à traverser la Neva. Chaque division a été renforcée par quatre ou cinq régiments d'artillerie et de mortier, d'un régiment de canons anti-chars et d'un ou deux bataillons de génie. L'attaque qui s'effectue sur 3 points, est également soutenue par 147 chars légers et des véhicules blindés que la Neva gelée pouvait supporter.

Les forces du front de Léningrad progressent fortement entre Schlüsselburg et Gorodok 2. Le secteur nord, est composé de la 136e division et d'un bataillon de la 61e brigade blindée. Le secteur central est composé de la 268e division et du 86e bataillon de chars.

À la fin de la journée, les troupes soviétiques qui ont brisé la défense de la 170. ID établissent une tête de pont d'environ 5 km de large sur 3 km de profondeur. À 18 h les sapeurs construisent des ponts près de Mar'ino pour permettre aux troupes de deuxième échelon et aux chars moyens et lourds d'avancer.

Toutefois les attaques plus au sud, près de Gorodok, effectuées par la 45e division infanterie de la garde (ru) et le 118e bataillon de chars ont seulement abouti à la capture de la première ligne de tranchées allemandes. L'attaque plus au nord, contre Schlisselbourg effectuée par la 86e division d'infanterie et la 61e brigade blindée a échoué, ces unités n'ayant pas réussi à traverser la Neva en raison d'une défense acharnée. En soirée, le commandement du front décide d'exploiter la tête de pont, et y transporte ces unités afin d'attaquer Schlisselbourg à partir du sud. Toutefois les diverses attaques et bombardements ont anéanti deux régiments 61e DI.

À 11 h 15, la 2e armée de choc passe à l'offensive et à 11 h 30 c'est au tour de la 8e armée. À cause des lourdes défenses et de la région marécageuse et tourbeuse même gelée, la progression des troupes soviétiques est difficile. Sur les zones nord et centrale, les 128e372e et 256e divisions d'infanterie soviétique réussissent à percer les défenses de la 227e division d'infanterie allemande sur 2 km mais sans parvenir à détruire les points d'appui allemands de Lipka ainsi que le point d'appui de la cité ouvrière no 8. Ce dernier a été une position défensive avec une garnison de 700 hommes et 16 bunkers.

Plus au sud, entre le point d'appui no 8 et Krouglaïa Grove, l'avance de la 327e division d'infanterie soviétique est de 1 km à 2 km seulement, tandis que plus au sud encore, les attaques effectuées par les 80e et 256e divisions d'infanterie et la 73e brigade d'infanterie navale ont seulement réussi à capturer la première ligne de tranchées allemandes défendue par la 1re division d'infanterie allemande.

Le commandement allemand a été contraint à renforcer ses défenses en déployant ses réserves dans la région toute la nuit. Un groupement tactique improvisé composée de cinq bataillons de la 96e division d'infanterie, appuyée par l'artillerie et quatre chars Tigre, s'installe à Gorodok no 2 pour renforcer la 170e division d'infanterie à l'ouest. Un autre groupe de combat de bataillons de la 96e division d'infanterie, est envoyé à Gorodok no 1 pour soutenir la 227e division d'infanterie.

 

13 au 17 janvier

 

 
Avance soviétique au 17 janvier.

Les cinq jours de combat suivants sont féroces et acharnés. L'ennemi offre une résistance acharnée, grâce à ses nombreux points d'appui défensifs. Pour cette deuxième journée, le commandement soviétique décide d'engager les troupes de deuxième échelon. L'avance soviétique est toutefois très lente en raison des lourdes défenses allemandes et de la vaillance des défenseurs. Les Soviétiques sont obligés de repousser des contre-attaques qui perturbent la conquête.

Le 13 janvier, en raison du mauvais temps l'aviation soviétique reste clouée au sol. Pour ces raisons, les Soviétiques subissent de lourdes pertes sans gain de terrain significatif. La 45e division de la garde et la 268e division d'infanterie s'élancent sur la Neva gelée. La défense allemande brise leurs assauts, mais un peu plus loin, la 61e brigade blindée et la 136e division d'infanterie réussissent à installer une tête de pont sur la rive est de la Neva, malgré la défense de fer de la 227 ID et se dirigent en direction de la cité ouvrière no 5. Pour assurer les flancs la 123e brigade d'infanterie est envoyée en direction de la cité ouvrière no 5 et la 123e division d'infanterie accompagnée de la 152e brigade blindée se dirigent en direction de Siniavino et de la cité no 6.

Sur le front de Volkhov, la 2e armée de choc lance ses forces dans la bataille. La 18e division d'infanterie et de la 98e brigade blindée attaquent en direction de la cité no 5, la 71e division d'infanterie en direction de Krouglaïa Grove sans avance significative.

Côté allemand, les défenseurs luttent avec acharnement. Les contre-attaques n'ayant pas réussi, les renforts sont constitués de Kampfgruppen. Ces groupes de combat sont formés principalement à partir des 1re et 61e de la 5e division alpine et de la SS Polizei Division.

Le 14 janvier, la météo s'améliore suffisamment pour permettre un soutien aérien et l'avance soviétique reprend, mais à un rythme lent en concentrant ses attaques à partir du front de Volkhov. Pour accélérer l'encerclement des points d'appui de Lipka, les Soviétiques utilisent, en appui de la 128e DI, la 12e brigade de ski, qui traverse le lac Ladoga, gelé, et attaque les lignes allemandes par l'arrière. Plus au sud, trois divisions d'infanterie et la 98e brigade blindée de la 2e armée de choc attaquent en direction du point d'appui no 5 où s'accrochent les Allemands du 284e régiment d'infanterie de la 96. ID venu renforcer les défenseurs. Dans le secteur de Gaïtolovo la 2e armée de choc lance les 11e191e239e divisions d'infanterie accompagnées de la 13e brigade de ski et de la 122e brigade blindée qui n'arrivent pas à percer et élargir le front au sud. Le seul succès est obtenu par la 256e division d'infanterie qui réussit à prendre la cité ouvrière no 7.

Du côté du front de Leningrad, les quatre chars restant de la 1.Kompanie de la Schwere Panzer Abteilung 502 repoussent l'assaut, à travers la Neva gelée, d'une trentaine de chars T-34. Dans le secteur de Schlisselbourg, les combats sont féroces. La 86e DI soviétique accompagnée d'un bataillon de la 61e brigade blindée attaquent par le sud pendant que la 34e brigade de ski et la 55e brigade d'infanterie, attaquent par le nord à travers le lac Ladoga gelé.

À la fin de la journée, les forces allemandes situées dans les zones de Lipka et de Schlisselbourg sont presque totalement coupées du reste de l'armée allemande.

Le 15 janvier, les Soviétiques se sont battus particulièrement contre les points d'appui 3, 4, 7 et 814 et la poche de Schlisselbourg. Les assauts répétés des forces soviétiques font craquer les défenses allemandes.

Sur le côté ouest, en fin de journée, la cité ouvrière no 3 est enfin prise par la 123e brigade d'infanterie.

Sur le côté est, la 372e division d’infanterie prend les cités ouvrières nos 8 et 4.

La 136e division d'infanterie (ru) et la 61e brigade blindée de la 55e armée venant de l'ouest et la 18e DI et la 16e brigade blindée de la 2e armée de choc venant de l'est font leur jonction au nord du point d'appui no 5, encerclant ainsi la 227. ID et deux bataillons de la 96. ID dans Schlisselbourg. Les Soviétiques concentrent alors tous leurs efforts pour réduire la poche. Leonid Govorov est promu colonel général.

Toutefois une contre-attaque de la 61. ID parvient à rompre l'encerclement et deux régiments rejoignent les troupes assiégées, mais les Soviétiques contre-attaquant également referment l'ouverture. Le général Werner Hühner, commandant la 61e division prenant le commandement des forces de la poche Schlisselbourg, organise la défense avec des Kampfgruppen. Les combats autour de Poselok no 513 font rage entre les défenseurs et la 136e division d'infanterie soviétique.

Le 16 janvier, la 18e division d'infanterie soviétique lance trois assauts sur Poselok no 5 qui sont tous repoussés.

Le 17 janvier, la 18e division d'infanterie soviétique appuyée par la 61e brigade blindée, encerclent le point d'appui après des combats d'une violence inouïe, mais les défenseurs tiennent toujours bon. Les troupes soviétiques sont à 1,5 km-2 km des points d'appui nos 1 et 5.

En fin de journée la 372e division d’infanterie prend la cité no 1.

 

18 au 20 janvier

 

 
Avance soviétique au 21 janvier.

Le 18 janvier, les combats reprennent avec la même intensité. La 123e division d'infanterie de la 67e armée soviétique et la 372e division d'infanterie de la 2e armée de choc font leur jonction à proximité du point d'appui no 1. La 136e division d'infanterie soviétique appuyée par la 61e brigade blindée entrent enfin dans le point d'appui no 5. Le blocus de Leningrad est brisé.

Les troupes allemandes situées au nord de ces jonctions, dont les plus nombreuses sont à Schlisselbourg, se retrouvent donc encerclées. Toutefois les troupes soviétiques occupant WS no 5 sont délogées par un barrage d'artillerie allemand qui permet au Kampfgruppe Hühner d'abandonner la poche de Schlisselbourg, en abandonnant son artillerie et les équipements lourds, et après de terribles combats au corps à corps, à travers la région boisée vers Siniavino, de rejoindre, les lignes allemandes plus au sud.

En début d'après-midi, les forces soviétiques nettoient Schlisselbourg et Lipka des forces allemandes et commencent à liquider le reste des forces réfugiées dans les forêts du sud du lac Ladoga.

Les 19 et 20 janvier, les débris du Kampfgruppe Hühner atteignent dans les premières lignes allemandes. L'évasion a été coûteuse pour les deux parties.

Les forces soviétiques, ayant éliminé les forces allemandes encerclées qui n'avaient pu s'échapper, continuent leur offensive vers le sud en direction de Siniavino. Cependant, la 18e armée qui avait renforcé ses positions défensives dans le secteur avec la SS Polizei Division, les 21e et 11e DI et la 28e division alpine les forces soviétiques parviennent à capturer le WS no 5, mais sont incapables d'avancer plus loin.

 

21 au 30 janvier

 

Le 21 janvier, incapables d'avancer plus loin, les Soviétiques commencent à fortifier très fortement la région pour contrecarrer toute tentative allemande d'une contre-attaque et d'un rétablissement du blocus de Leningrad.

Le 22 janvier, la construction de la ligne ferroviaire reliant Leningrad au reste du pays à travers le couloir capturé commence, conformément au plan du Comité de Défense ordonnant que la construction soit terminée dans les 20 jours. Les travaux ont été achevés en avance sur le calendrier et les trains commencent à livrer du matériel à partir du 6 février 1943.

Le 30 janvier, l'opération Iskra est officiellement terminée.

Bilan

 

 
La carte de la bataille.

L'opération Iskra est une victoire stratégique pour les forces soviétiques. Du point de vue militaire, l'opération a éliminé la possibilité de la capture de la ville. D'autre part le front de Leningrad sera désormais très bien ravitaillé, renforcé et capable de coopérer plus étroitement avec le front de Volkhov. Pour la population civile, l'opération Iskra permet le ravitaillement en nourriture ainsi que la possibilité d'évacuer plus de civils de la ville. La fin du blocus a également eu un effet stratégique, bien qu'il ait été éclipsé par la reddition de la 6e armée allemande à Stalingrad quelques jours plus tard. En effet, le char Tigre, capturé intact par les Soviétiques lors de cette bataille, est évacué par les forces soviétiques pour être étudié.

Cette victoire conduit à des promotions pour Leonid Govorov, qui est promu, le 15 janvier, au grade de colonel-général et Joukov, qui est promu, le 18 janvier, maréchal de l'Union soviétique. En outre Govorov et Meretskov sont décorés, le 28 janvier, de l'ordre de Souvorov 1re classe. Les 136e et 327e divisions d'infanterie sont promues et deviennent les 63e et 64e divisions de la garde, alors que la 61e brigade blindée devient la 30e brigade blindée de la garde.

Du côté allemand, faute de renforts suffisants, le commandement du groupe d'armées Nord prit la décision de raccourcir la ligne de front, en évacuant les saillants de Demiansk et de Rjev. Le saillant de Demiansk qui resta tout au long 1942, malgré son encerclement pendant quelques mois, était une importante tête de pont stratégique. Ce saillant avec celui de Rjev, également évacué au printemps 1943, pouvaient potentiellement être utilisés pour encercler un grand nombre de forces soviétiques. Cependant, dans la situation qui s'était développée, leur conservation n'était plus possible.

Malgré ces conditions, la Stavka savait que l'opération Iskra était incomplète, car le couloir qui avait été ouvert était étroit et il était encore à portée de l'artillerie allemande ; les hauteurs stratégiques de Siniavino qui étaient ainsi encore sous contrôle allemand. Joukov planifia une opération beaucoup plus ambitieuse nommée offensive Polyarnaya Zvezda (« Étoile polaire »). L'opération avait pour but de vaincre de façon décisive de groupe d'armées Nord, mais elle échoua dès le début. Les forces soviétiques réalisèrent, en 1943, plusieurs autres offensives dans la région, élargissant lentement le couloir, avant de capturer Siniavino en septembre. Toutefois, la ville était encore soumise à un siège partiel. Les bombardements aériens et d'artillerie durèrent jusqu'en janvier 1944, lorsque les lignes allemandes furent percées par l'offensive Leningrad–Novgorod, levant totalement le siège.

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Op%C3%A9ration_Iskra

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Claude Berri : Filmographie

Claude Berri : Filmographie

 

En tant que réalisateur

 

Années Titres Notes Box-office France
1962 Le Poulet (Court-métrage) Film sorti en 1965
Récompensé de l'Oscar du meilleur court-métrage de fiction en 1966
Également producteur
-
1964 Les Baisers (segment « Baiser de 16 ans ») Film à sketches -
La Chance et l'amour (segment « La Chance
du guerrier »
)
Film à sketches 181 471 entrées
1966 Le Vieil homme et l'enfant Également scénariste 2 728 049 entrées
1968 Mazel Tov ou le Mariage Également scénariste, acteur et producteur 411 586 entrées
1969 Le Pistonné Également scénariste et producteur 1 918 622 entrées
1970 Le Cinéma de papa Également scénariste et acteurN 1 167 132 entrées
1972 Sex-shop Également scénariste et acteur 1 465 092 entrées
1975 Le Mâle du siècle Également scénariste, acteur et producteur 136 124 entrées
1976 La Première fois Également scénariste 1 180 831 entrées
1977 Un moment d'égarement Également scénariste 911 534 entrées
1980 Je vous aime Également scénariste 1 350 035 entrées
1981 Le Maître d'école Également scénariste 3 015 596 entrées
1983 Tchao Pantin Également scénariste. 3 829 139 entrées
1986 Jean de Florette Également adaptation 7 223 781 entrées
Manon des sources Également adaptation 6 645 177 entrées
1990 Uranus Également scénariste 2 545 412 entrées
1993 Germinal Également scénariste et producteur 6 161 776 entrées
1996 Lucie Aubrac Également scénariste 1 708 050 entrées
1999 La débandade Également scénariste et acteur 197 721 entrées
2001 Une femme de ménage Également scénariste et producteur 875 351 entrées
2004 L'Un reste, l'autre part Également scénariste et producteur 865 516 entrées
2006 Ensemble, c'est tout Également scénariste et producteur 2 312 431 entrées
2009 Trésor Également scénariste et producteur 655 437 entrées
Total au Box-office - - 47 171 777 entrées
 
Titres Années Box-office France
Jean de Florette 1986 7 223 657 entrées
Manon des sources 1986 6 645 117 entrées
Germinal 1993 6 161 776 entrées
Tchao Pantin 1983 3 829 139 entrées
Le Maître d'école 1981 3 105 596 entrées
Le Vieil Homme et l'Enfant 1967 2 728 049 entrées
Uranus 1990 2 542 412 entrées
Ensemble, c'est tout 2007 2 312 638 entrées

 

En tant que scénariste ou adaptateur

1962 : Janine (court métrage) de Maurice Pialat (scénariste, dialoguiste et acteur)

1972 : L'Œuf de Jean Herman (adaptateur)

1985 : Le Fou de guerre de Dino Risi (adaptateur français du scénario et producteur)

 

En tant que producteur

 

1962 : Le Poulet de Claude Berri

1967 : Marie pour mémoire de Philippe Garrel - producteur associé

1968 : Oratorio for Prague court-métrage documentaire de Jan Němec

1969 : L'Enfance nue de Maurice Pialat

1970 : Le Pistonné de Claude Berri

1970 : La Maison de Gérard Brach

1972 : L'Œuf de Jean Herman

1973 : Pleure pas la bouche pleine de Pascal Thomas

1975 : Le Mâle du siècle de Claude Berri

1976 : Je t'aime moi non plus de Serge Gainsbourg - (coproducteur)

1978 : Vas-y maman de Nicole de Buron (non crédité)

1979 : Tess de Roman Polanski

1980 : Inspecteur la Bavure de Claude Zidi

1982 : Deux heures moins le quart avant Jésus-Christ de Jean Yanne

1983 : L'Africain de Philippe de Broca

1983 : Banzaï de Claude Zidi

1983 : L'Homme blessé de Patrice Chéreau

1983 : La Femme de mon pote de Bertrand Blier

1983 : Garçon ! de Claude Sautet

1985 : Les Enragés de Pierre-William Glenn

1985 : Le Fou de guerre de Dino Risi (également adaptation française)

1987 : Hôtel de France de Patrice Chéreau

1988 : À gauche en sortant de l'ascenseur d'Édouard Molinaro

1988 : L'Ours de Jean-Jacques Annaud

1988 : Trois places pour le 26 de Jacques Demy

1988 : La Petite Voleuse de Claude Miller

1989 : Valmont de Miloš Forman

1992 : L'Amant de Jean-Jacques Annaud

1993 : Une journée chez ma mèrede Dominique Cheminal

1994 : La Reine Margot de Patrice Chéreau

1994 : La Séparation de Christian Vincent

1995 : Les Trois frères de Didier Bourdon et Bernard Campan(également acteur)

1995 : Gazon maudit de Josiane Balasko - (producteur exécutif)

1996 : Le Roi des aulnes (Der Unhold) de Volker Schlöndorff - (producteur exécutif)

1997 : Didier d'Alain Chabat

1997 : Arlette de Claude Zidi

1997 : Le Pari de Didier Bourdon et Bernard Campan

1998 : Mookie d'Hervé Palud - (producteur associé)

1999 : Astérix et Obélix contre César de Claude Zidi

1999 : Mauvaise passe de Michel Blanc

2001 : La Boîte de Claude Zidi

2001 : Ma femme est une actrice d'Yvan Attal

2002 : Amen. de Costa-Gavras

2002 : Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre d'Alain Chabat

2003 : Le Bison (et sa voisine Dorine) d'Isabelle Nanty

2003 : Une femme de ménage de Claude Berri

2003 : Les Sentiments de Noémie Lvovsky

2004 : San-Antonio de Frederic Auburtin

2004 : Ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants d'Yvan Attal

2005 : L'Un reste, l'autre part de Claude Berri

2005 : Les Enfants de Christian Vincent

2005 : Le Démon de midi de Marie-Pascale Osterrieth

2005 : La Maison du bonheur de Dany Boon

2007 : Ensemble, c'est tout de Claude Berri

2007 : La Graine et le Muletd' Abdellatif Kechiche

2008 : Bienvenue chez les Ch'tis de Dany Boon

 

Claude Berri acteur

Théâtre

 

1958 : Procès à Jésus de Diego Fabbri, mise en scène Marcelle Tassencourt, théâtre Hébertot

1959 : Tchin-Tchin de François Billetdoux, mise en scène François Darbon, Poche Montparnasse

1962 : Les Petits Renards de Lillian Hellman, mise en scène Pierre Mondy, théâtre Sarah-Bernhardt

 

Cinéma et Télévision

 

1953 : Rue de l'Estrapade de Jacques Becker (silhouette, non crédité)

1953 : Le Bon Dieu sans confession de Claude Autant-Lara : Thierry (non crédité)

1954 : Le Blé en herbe de Claude Autant-Lara : le fils du forain (non crédité)

1955 : French Cancan de Jean Renoir : un jeune homme à l'inauguration (non crédité)

1958 : Les Jeux dangereux de Pierre Chenal : Un jeune

1958 : Les Cinq Dernières Minutes : Réactions en chaîne (téléfilm) de Claude Loursais : le steward

1959 : Asphalte de Hervé Bromberger (non-crédité)

1959 : J'irai cracher sur vos tombes de Michel Gast : David

1959 : Cristobal de Lugo (téléfilm) de Jean-Paul Carrière

1960 : Les Bonnes Femmes de Claude Chabrol : un copain de Jane

1960 : La Vérité de Henri-Georges Clouzot : Georges

1960 : Un beau dimanche de septembre de Marcel Cravenne : Michel

1961 : Janine (court-métrage) de Maurice Pialat Claude

1961 : La Bride sur le cou de Roger Vadim : Bernard

1961 : Les lâches vivent d'espoir de Claude Bernard-Aubert

1962 : Les Sept Péchés capitaux (film à sketches) de Claude Chabrol : André (segment « L'Avarice »)

1964 : Et vint le jour de la vengeance (Behold a Pale Horse) de Fred Zinnemann

1964 : Les Cinq Dernières Minutes : 45 tours... et puis s'en vont (téléfilm) de Claude Loursais : Marcel Limonest

1965 : Compartiment tueurs de Costa-Gavras : un porteur (non crédité)

1965 : Le Temps d'apprendre à vivre (court métrage) de Henri Graziani : Simon

1966 : La Ligne de démarcation de Claude Chabrol : le chef de famille juif (non crédité)

1969 : Mazel Tov ou le Mariage de Claude Berri : Claude

1970 : Le Cinéma de papa de Claude Berri : Claude

1972 : Sex-shop de Claude Berri : Claude

1975 : Le Mâle du siècle de Claude Berri : Claude

1981 : Le Roi des cons de Claude Confortès : l'agent de police

1982 : Deux Heures moins le quart avant Jésus-Christ de Jean Yanne : le psychanalyste de César (scène coupée)

1983 : L'Homme blessé de Patrice Chéreau : le client

1990 : Stan the Flasher Serge Gainsbourg : Stan Goldberg

1994 : La Machine François Dupeyron : Hughes

1995 : Les Trois Frères de Didier Bourdon et Bernard Campan : le président du tribunal

1997 : Didier Alain Chabat : type à l'aéroport

1998 : Un grand cri d'amour Josiane Balasko : Maillard

1999 : La Débandade de Claude Berri : Claude Langmann

2001 : Les Rois mages Didier Bourdon et Bernard Campan : un passant (non crédité)

2001 : Va savoir Jacques Rivette : le libraire

2002 : Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre Alain Chabat : le peintre de Cléopâtre

2003 : Les Clefs de bagnole Laurent Baffie : lui-même

2004 : Ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants Yvan Attal : le père de Vincent

2007 : Jacquou le Croquant de Laurent Boutonnat : un villageois

 

 

Apparitions documentaires

 

1995 : L'Univers de Jacques Demy d'Agnès Varda : lui-même

2003 : Claude Berri, le dernier nabab (téléfilm) de Mathias Ledoux : lui-même

2004 : Le Fantôme d'Henri Langlois de Jacques Richard : lui-même

 

 

 

Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Claude_Berri
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12 janvier : Événements

Publié à 22:55 par dessinsagogo55 Tags : center centerblog prix sur chevaux afrique france saint histoire maison 2010 air annonce film mali
12 janvier : Événements

 

 

Événements

 

 


1528 : couronnement de Gustave Ier Vasa.
1598 : le pape Clément VIII s'empare du duché de Ferrare.
1616 : fondation de Belém.
1755 : Catherine II de Russie fonde la première université russe à Moscou, qui ouvrira ses portes le 28 avril.
1780 : fondation du Neue Zürcher Zeitung.
1794 : début des fusillades d'Avrillé et bataille de la forêt de Princé, lors de la guerre de Vendée.
1822 : l'Assemblée nationale d'Épidaure proclame l'indépendance de la Grèce.
1848 : début de la révolution sicilienne.
1870 : obsèques de Victor Noir et manifestation républicaine de plus de cent mille personnes.
1871 : fin de la bataille du Mans.
1903 : à Paris, première réunion de l'Académie Goncourt. Le premier prix sera attribué le 21 décembre à Eugène Torquet, dit John-Antoine Nau, pour Force ennemie.
1910 : aux États-Unis, une loi interdisant la traite des Blanches entre en vigueur.
1913 : les derniers omnibus à chevaux disparaissent au profit des autobus.
1920 : naufrage, au large des Sables-d’Olonne, du paquebot Afrique, pire catastrophe maritime de l'histoire de la marine marchande française avec 568 morts.
1922 : démission d'Aristide Briand de la présidence du Conseil.
1926 : l'Institut Pasteur annonce la découverte d'un sérum contre le tétanos.
1930 : Le Nez (en russe : Nos), opéra en trois actes et un épilogue de Dmitri Chostakovitch, est créé au Petit Théâtre de Leningrad (Saint-Pétersbourg).
1943 : début de l'Opération Iskra.
1945 : début de l'offensive Vistule-Oder.
1951 : Albert Guay est pendu à Montréal, pour le meurtre de vingt-trois personnes dans la destruction par une bombe d'un avion DC-3 vol 108 de la Canadian Pacific Airline, le 9 septembre 1949.
1959 : fondation de la maison de disques américaine Motown par Berry Gordy à Détroit.
1964 : déclenchement de la révolution de Zanzibar.
1974 : la comète Kohoutek atteint son point le plus rapproché de la Terre, soit une distance de 120 millions de kilomètres. L'observatoire Hale, en Californie, réussit à photographier la comète et sa queue longue de 21 millions de kilomètres.
1981 : la série Dynastie, mettant en vedette Joan Collins, débute sur la chaîne de télévision ABC.
1987 : la chaîne de télévision ABC annonce que le téléfilm américain sur les horreurs de la guerre nucléaire, The Day After, sera diffusé en Union soviétique. La diffusion de ce film aux États-Unis en novembre 1983, puis en Europe, avait connu un retentissement particulier.
1990 : Air France prend le contrôle d'Air Inter.
1992 : nouvelle Constitution au Mali.
1993 : une semaine après s'être échoué sur les rochers près des îles Shetland au nord de l'Écosse, le pétrolier libérien Braer se brise en trois morceaux, laissant échapper la majeure partie des 85 000 tonnes de pétrole brut qu'il transportait.
1998 : dix-neuf pays européens signent le premier instrument du droit international interdisant le clonage d'êtres humains.
2000 : les homosexuels sont acceptés dans l'armée en Grande-Bretagne.
2004 : lancement du Queen Mary 2.
2005 : lancement de la sonde Deep Impact.
2010 : séisme en Haïti.
2012 :
résolution 2033 du Conseil de sécurité des Nations unies ayant pour sujet la coopération entre l’Organisation des Nations unies et les organisations régionales et sous-régionales aux fins du maintien de la paix et de la sécurité internationales.
début de manifestations en Roumanie.
2015 : bataille de Kolofata.
2018 : en République tchèque, 1er jour du premier tour de l'élection présidentielle.
2018 : l'Algérie, pour la première fois, fête officiellement Yennayer, le « Nouvel An berbère ».

 

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/12_janvier

 

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12 janvier : Naissances

Publié à 22:43 par dessinsagogo55 Tags : center presse centerblog prix sur homme femme musique 2010
12 janvier : Naissances

Naissances

 


1483 : Henri III de Nassau-Breda, militaire des Pays-Bas bourguignons († 14 septembre 1538).
1628 : Charles Perrault, homme de lettres français († 16 mai 1703).
1653 : Antonio Maria Salvini, homme de lettres italien († 16 ou 17 mai 1729).
1715 : Jacques Duphly, musicien français († 15 juillet 1789).
1726 : François-Henri d'Harcourt, militaire français († 22 juillet 1802).
1767 : Pierre Daru, homme d'État et homme de lettres français († 5 septembre 1829).
1846 : Louis Billot, prélat français († 18 décembre 1931).
1849 : Jean Béraud, peintre français († 4 octobre 1935).
1852 : Joseph Joffre, militaire français († 3 janvier 1931).
1853 : Gregorio Ricci-Curbastro, mathématicien italien († 6 août 1925).
1861 : James Mark Baldwin, psychologue américain († 8 novembre 1934).
1873 : Théophane de Poltava, prêtre, archevêque et théologien russe († 6 février 1940).
1876 :
Jack London, écrivain américain († 22 novembre 1916).
Ermanno Wolf-Ferrari, musicien italien († 21 janvier 1948).
1893 :
Hermann Göring, homme politique allemand († 15 octobre 1946).
Alfred Rosenberg, théoricien et homme politique allemand nazi († 16 octobre 1946).
1894 :
Georges Carpentier, boxeur français († 28 octobre 1975).
Marcel Roels, comédien belge († 27 décembre 1973).
1899 :
Pierre Bernac, chanteur français († 17 octobre 1979).
Paul Hermann Müller, chimiste suisse, prix Nobel de physiologie ou médecine en 1948 († 12 octobre 1965).
1902 : Ray Teal, acteur américain († 2 avril 1976).
1905 : Tex Ritter, acteur et chanteur américain († 2 janvier 1974).
1906 : Emmanuel Levinas, philosophe français († 25 décembre 1995).
1907 : Sergueï Korolev, ingénieur aéronautique soviétique († 14 janvier 1966).
1908 : Jean Delannoy, réalisateur français († 18 juin 2008).
1910 :
Mary Haas, linguiste américaine († 17 mai 1996).
Patsy Kelly, actrice américaine († 24 septembre 1981).
Géry Leuliet, prélat français († 1er janvier 2015).
Luise Rainer, actrice allemande († 30 décembre 2014).
José Salazar López, prélat mexicain († 9 juillet 1991).
1914 :
Émile Rummelhardt, footballeur français († 15 janvier 1978).
Orlando Villas Boas, explorateur brésilien († 12 décembre 2002).
1915 : Joseph-Aurèle Plourde, prélat canadien († 5 janvier 2013).
1916 :
Gérard Jaquet, homme politique français († 6 avril 2013).
Pieter Willem Botha, chef d'État sud-africain († 31 octobre 2006).
1917 : Maharishi Mahesh Yogi, gourou indien († 5 février 2008).
1919 : Jacques Mauclair, acteur français († 20 décembre 2001).
1923 : Allice Miller, psychologue et philosophe suisse d'origine polonaise († 14 avril 2010).
1925 :
Katherine MacGregor, actrice américaine († 13 novembre 2018).
Georges Perron, prélat français.
1926 :
Morton Feldman, musicien américain († 3 septembre 1987).
Ray Price, chanteur, compositeur et musicien country († 16 décembre 2013).
1927 : Salvatore Martirano, musicien américain († 17 novembre 1995).
1928 :
Daniel Filipacchi, homme de presse français.
André Labarrère, homme politique français († 16 mai 2006).
1929 :
Nicole de Buron, écrivaine et journaliste française († 11 décembre 2019).
Jaakko Hintikka, philosophe finlandais († 12 août 2015).
1930 :
Tim Horton, défenseur de hockey sur glace et homme d’affaires canadien, fondateur de la chaîne de restaurants Tim Hortons († 21 février 1974).
Glenn Yarbrough, chanteur de musique folk américain du groupe The Limeliters († 11 août 2016).
1936 : Émile Lahoud, 10e président de la République libanaise.
1937 :
Marie Dubois, actrice française1 († 15 octobre 2014).
Shirley Eaton, actrice britannique.
1939 : José-Maria Flotats, acteur catalano-hispano-français.
1941 : Long John Baldry, chanteur et guitariste de blues britannique († 21 juillet 2005).
1942 :
Hedayat Amine Arsala, homme politique afghan.
Michel Mayor, astrophysicien suisse.
1943 : Jean-Louis Bianco, homme politique français.
1944 :
Guy Fischer, homme politique français.
Joe Frazier, boxeur américain († 7 novembre 2011).
Hans Henning Atrott, philosophe allemand
1946 : Cynthia Robinson, trompettiste et chanteuse américaine, membre du groupe Sly and the Family Stone.
1948 : Gordon Campbell, homme politique canadien.
1949 :
Haruki Murakami, écrivain japonais.
Hélène Rioux, romancière québécoise.
1950 : Patrice Dominguez, joueur de tennis français († 12 avril 2015).
1951 :
Kirstie Alley, actrice américaine.
Paul Dhaille, homme politique français.
Charlotte Julian, actrice et chanteuse française.
1952 : Walter Mosley, romancier américain.
1953 :
Brigitte Girardin, femme politique française.
Mary Harron, réalisatrice américaine.
1954 : Howard Stern, animateur de radio et télévision américain.
1955 : Kerry-Lynne Findlay, femme politique canadienne.
1956 :
Marie Colvin, journaliste américaine, correspondante de guerre († 22 février 2012).
Nikolai Noskov, musicien russe.
1957 : John Lasseter, réalisateur américain.
1960 :
Guido Bontempi, cycliste italien
Élie Kakou, humoriste français († 10 juin 1999).
Oliver Platt, acteur et producteur canadien.
Dominique Wilkins, joueur de basket-ball américain.
1961 : Casey Candaele, joueur de baseball américain.
1962 :
Gaëtan Huard, footballeur français.
Emanuele Pirro, pilote automobile italien.
1963 : François Girard, réalisateur et scénariste québécois.
1964 :
Valdo Cândido de Oliveira Filho, footballeur brésilien.
Blanca Li, chorégraphe espagnole.
1965 : María Luisa Ramos Urzagaste, diplomate et femme politique bolivienne.
1966 :
Ara Aprikian, chef d'entreprise français.
Olivier Martinez, acteur français.
Sergueï Revine, spationaute russe.
Rob Zombie, musicien américain.
1967 : Takehiko Inoue, mangaka japonais.
1968 :
Farrah Forke, actrice américaine.
Heather Mills, mannequin britannique.
El Zotoluco, matador mexicain.
1970 :
Raekwon, chanteur américain.
Zack de la Rocha, chanteur américain.
1974 : Melanie Chisholm, chanteuse britannique, membre du groupe Spice Girls.
1975 : Jocelyn Thibault, gardien de but québécois de hockey sur glace.
1976 : Delfynn Delage, actrice française.
1977 : Cade McNown, américain, joueur de football américain.
1979 :
Roland Haldi, snowboardeur suisse.
Marián Hossa, joueur de hockey sur glace professionnel slovaque.
Andre Hutson, basketteur américain.
Julien Kapek, athlète français
Romain Maillard, athlète français.
Gema Pascual, coureuse cycliste espagnole.
Jenny Schmidgall-Potter, joueuse de hockey sur glace américaine.
David Zabriskie, coureur cycliste américain.
1980 : Amerie, chanteuse américaine.
1981 : Niklas Kronwall, hockeyeur professionnel suédois.
1982 : Paul-Henri Mathieu, joueur de tennis français.
1985 : Assa Traoré, porte-parole de la famille d'Adama Traoré.
1987 :
Naya Rivera, actrice, mannequin américaine († 8 juillet 2020).
Salvatore Sirigu, footballeur italien.
1988 : Claude Giroux, hockeyeur professionnel canadien.
1989 :
James Justice, basketteur américain.
Axel Witsel, footballeur belge.
1991 : Pixie Lott, chanteuse britannique.
1993 : Zayn Malik, chanteur britannique.
1994 : Emre Can, footballeur allemand.
1995 :
Alessio Romagnoli, footballeur italien.
Maverick Viñales, pilote de Moto GP
1998 : Nathan Gamble, acteur américain.

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/12_janvier

 

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12 janvier : Décès

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12 janvier : Décès

Décès


690 : Benoît Biscop, homme d'Église anglo-saxon (° v. 628).
 888 : Charles III le Gros, empereur d'Occident (° 839).
1167 : Aelred de Rievaulx, homme d'Église anglais (° 1110).
1321 : Marie de Brabant, reine de France, veuve du roi Philippe III (° v. 1256).
1464 : Thomas Ebendorfer, historien autrichien (° 10 août 1388).
1519 :
Maximilien Ier, empereur romain germanique. (° 22 mars 1459).
Vasco Núñez de Balboa, conquistador espagnol (° 1475).
1557 : Eberhard Billick, carme allemand, théologien scolastique et opposant à la Réforme protestante dans la ville de Cologne, à l'époque du concile de Trente (° 1499).
1665 : Pierre de Fermat, mathématicien français (° 20 août 1601).
1674 : Giacomo Carissimi, compositeur italien (° 1605).
1700 : Marguerite Bourgeoys, religieuse française, sainte de l'Église catholique (° 17 avril 1620).
1705 : Luca Giordano, artiste italien (° 18 octobre 1634).
1714 : François VII, duc de La Rochefoucauld (° 1634).
1778 : François Bigot, administrateur français, dernier intendant de la Nouvelle-France (° 30 janvier 1703).
1810 : Gilbert Soury, prêtre catholique français, inventeur de la « Jouvence de l'Abbé Soury » (° 7 octobre 1732).
1822 : Johann Gottlob Schneider, philologue et naturaliste allemand (° 18 janvier 1750).
1858 : Charles de Menthon d'Aviernoz, noble militaire et personnalité politique savoyarde (° 7 février 1893).
1872 : Victor de Persigny, homme politique français (° 11 janvier 1808)
1877 : François Buloz, patron de presse français (° 20 septembre 1803).
1899 : Hiram Walker (en), distillateur américain (° 4 juillet 1816).
1909 : Hermann Minkowski, mathématicien allemand (° 22 juin 1864).
1924 : Alexis Lapointe, athlète québécois (° 4 juin 1860).
1945 : Victor Dillard, prêtre jésuite mort à Dachau (° 24 décembre 1897).
1951 : Jacques de Baroncelli, cinéaste français (° 25 juin 1881).
1960 : Nevil Shute, écrivain britannique (° 17 janvier 1899).
1974 : Patricia de Connaught, membre de la famille royale britannique, petite-fille de la reine Victoria (° 17 mars 1886).
1976 : Agatha Christie, romancière britannique (° 15 septembre 1890).
1977 : Henri-Georges Clouzot, cinéaste français (° 20 novembre 1907)
1986 : Marcel Arland, écrivain français, membre de l'Académie française (° 5 juillet 1899).
1987 : Jacques Hérold, peintre français (° 10 octobre 1910).
1988 : Michel Labrousse, historien français (° 25 décembre 1912).
1990 : Laurence J. Peter, pédagogue américain (° 16 septembre 1919).
1996 :
François Bresson, psychologue français (° 1921).
Serge Tolstoï, écrivain français (° 14 septembre 1911).
Bartel Leendert van der Waerden, mathématicien néerlandais (° 2 février 1903).
1997 :
André Brugerolle, homme politique français (° 1er décembre 1906).
Jean-Edern Hallier, écrivain français (° 1er mars 1936).
Charles Brenton Huggins, physiologiste américain, prix Nobel de physiologie ou médecine en 1966 (° 22 septembre 1901).
1998 : Roger Clark, pilote de rallye automobile anglais (° 5 août 1939).
1999 : Doug Wickenheiser, hockeyeur professionnel canadien (° 30 mars 1961).
2000 : Marc Davis, technicien d’animation américain (° 30 mars 1913).
2001 :
Luiz Bonfá, musicien brésilien (° 17 octobre 1922).
William Hewlett, entrepreneur américain (° 20 mai 1913).
Vladimir Semitchastny, homme politique soviétique et président du KGB (° 15 janvier 1924).
2002 : Cyrus Vance, homme d'État américain (° 27 mars 1917).
2003 :
Kinji Fukasaku, acteur et cinéaste japonais. (° 3 juillet 1930).
Leopoldo Galtieri, ancien chef d'État argentin (° 15 juillet 1926).
Maurice Gibb, musicien britannique, membre des Bee Gees (° 22 décembre 1949).
2004 :
Martin Gendron, acteur québécois (° 17 octobre 1973).
Randy VanWarmer (en), chanteur, compositeur et guitariste américain (° 30 mars 1955).
2005 : Amrish Puri, acteur indien (° 22 juin 1932).
2006 :
Günther Landgraf, physicien allemand (° 14 septembre 1928).
René de Naurois, prêtre et résistant français (° 24 novembre 1906)
2007 :
Alice Coltrane, musicienne américaine, veuve de John Coltrane (° 27 août 1937).
Stephen Gilbert, peintre et sculpteur britannique (° 15 janvier 1910).
Larry Stewart, homme d'affaires et philanthrope américain (° 1er avril 1948).
2008 :
Ángel González, poète espagnol (° 3 septembre 1925).
Stanisław Wycech, vétéran polonais de la Première Guerre mondiale (° 27 juin 1902).
2009 :
Claude Berri, réalisateur et acteur français (° 1er juillet 1934).
Friaça, footballeur brésilien (° 20 octobre 1924).
Nicolas Genka, écrivain franco-allemand (° 3 décembre 1937).
Arne Næss, philosophe norvégien (° 27 janvier 1912).
2010 :
Daniel Bensaïd, philosophe et homme politique français (° 25 mars 1946).
Serge Marcil, homme politique québécois (° 20 janvier 1944).
2017 :
Giulio Angioni, écrivain italien (° 28 octobre 1939).
William Peter Blatty, écrivain, scénariste et réalisateur américain (° 7 janvier 1928).
Faig Jabbarov, footballeur azéri (° 26 juin 1972).
Graham Taylor, footballeur et entraîneur anglais (° 15 septembre 1944).
2018 :
Françoise Dorin, comédienne, romancière et parolière française (° 23 janvier 1928).
Pierre Pincemaille, musicien et organiste français (° 8 décembre 1956).

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/12_janvier

 

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Mort de l'acteur Etienne Draber

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Mort de l'acteur Etienne Draber

Mort de l'acteur Etienne Draber (P.R.O.F.S, Les Sous-doués), père de l'humoriste et comédienne Stéphanie Bataille

 

Le 11/01/2021 à 13:01 par Marc ArlinModifié le 11/01/2021 à 13:26
 
 

Le comédien Etienne Draber est mort ce lundi matin, à l'âge de 81 ans. Second rôle à la carrière prolifique, il était aussi le père de l'humoriste et comédienne Stéphanie Bataille.

 

C'est le journaliste de l'AFP Jean-François Guyot qui a annoncé la triste nouvelle sur Twitter : le comédien Etienne Draber est mort ce lundi 11 janvier, à l'âge de 81 ans. L'acteur a été emporté par la Covid-19, selon le journaliste. Né à Strasbourg le 26 mars 1939, Etienne Draber avait fait ses classes au Conservatoire National Supérieur d'Art Dramatique, dont il était ressorti lauréat. Après des débuts au théâtre sous la direction de Jean-Louis Barrault dans les années 60, il obtient son premier rôle au cinéma en 1965 dans le film Les Baratineurs de Francis Rigaud. Dans les années 70, il fait quelques apparitions face à Jean-Paul Belmondo dans L'héritier, aux côtés de Michel Piccoli et Gérard Depardieu dans Sept morts sur ordonnance ou Nathalie Baye dans Le plein de super. A la fin de cette décennie et pendant toute la décennie suivante, sa carrière s'oriente vers des comédies populaires comme Et la tendresse bordel ou Je vais craquer, avec Christian Clavier. Un de ses rôles les plus célèbres est celui de Bonnet, le censeur des turbulents enseignants Fabrice Luchini et Patrick Bruel dans P.R.O.F.S. de Patrick Schulmann.

 
 
Etienne Draber, visage familier des téléspectateurs

 

Il joue aussi le père de Julien Sanquin, incarné par l'acteur Philippe Taccini, dans Les Sous-doués de Claude Zidi. Dans un registre plus sérieux, on le voit dans Diva de Jean-Jacques Beineix, Milou en mai de Louis Malle ou Madame Bovary de Claude Chabrol. Dans les années 90, il se spécialise dans les rôles de notable pour la télévision. Il fait aussi un passage par l'écurie AB Productions : il incarne Monsieur Grand-Coin du Toit, patron de presse, dans la sitcom Le miel et les abeilles puis Marcel Charvet, directeur du conservatoire d'art dramatique, formant les jeunes héros de la série L'école des passions. Dans les années 2000, il continue d'être un visage familier pour le grand public, figurant au casting de séries à succès comme B.R.I.G.A.D en 2004, La Crim', en 2005, S.O.S 18 en 2008, ou encore Plus belle la vie (où il joue Robert, l'amant de Wanda Legendre). Son dernier rôle au cinéma, il l'a tenu en 2018 aux côtés de Stéphane Plaza et Julie Ferrier dans J'ai perdu Albert de Didier Van Cauwelaert. Etienne Draber était aussi le père de l'humoriste et comédienne Stéphanie Bataille, ancienne membre de la Bande à Ruquier et ayant fait plusieurs apparitions sur le petit comme sur le grand écran (Dix pour centLe sang de la vigneFlorideUne famille à louer, le remake de Knock avec Omar Sy...).

 

 

Liens externes                                                  
 

 

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Mort de Georges Pernoud

Publié à 18:54 par dessinsagogo55 Tags : center femme background centerblog fille prix sur mer merci france amour homme mode mort nature annonce
Mort de Georges Pernoud

Mort de Georges Pernoud : pluie d'hommages au père de Thalassa

 
 
 
La Rédaction (La Rédaction), Mis à jour le 11/01/21 18:36

 

 

Georges Pernoud est mort. Le présentateur de Thalassa est décédé dimanche 10 janvier 2021, a annoncé sa fille aînée Fanny Pernoud à l'AFP ce lundi : "Il est décédé dans un hôpital en région parisienne des suites d'une longue maladie", sans préciser laquelle. Il avait 73 ans.

 

De nombreuses personnalités rendent hommage à Georges Pernoux ce lundi 11 janvier, suite à l'annonce de son décès. Parmi les noms connus qui ont eu une pensée pour le présentateur du magazine de la mer, on compte le président de la République Emmanuel Macron, qui a salué sur Twitter un homme qui "a transmis aux Français son amour de la mer et des paysages. À notre génération, aujourd’hui, de protéger cette nature qu’il nous a appris à connaître. Pensées pour ses proches et pour ses collègues." Celle qui lui a succédé en 2017, Fanny Agostini, s'est quant à elle souvenue d'"un grand monsieur et une source d’inspiration. C’est avec émotion que je lui dis un dernier 'bon vent'." De son côté, Nicolas Hulot a estimé sur France 3 qu'il a "contribué aux premiers pas de l'écologie".

 
 

Georges Pernoud a présenté Thalassa de 1975 à 2017. D'abord voix off, il est ensuite apparu à l'écran, son visage devenant indissociable du magazine de la mer. Ses "bons vents" à chaque fin d'émission ont d'ailleurs marqué des générations, l'émission rassemblant des millions de téléspectateurs. Georges Pernoud présente Thalassa pendant 42 ans, jusqu'en 2017, une longévité exceptionnelle pour un animateur et une émission TV. Deux reportages de Thalassa avaient d'ailleurs été récompensés par le prix Albert-Londres.

 

France 3 prévoit un hommage à Georges Pernoud. Stéphane Sitbon-Gomez, numéro 2 de France Télévisions et directeur des antennes et des programmes, a annoncé au micro d'Europe 1 que France 3 préparait un hommage pour celui qui a travaillé auprès de la troisième chaîne pendant plus de quarante ans. France Télévisions "lui rendra un hommage spécial vendredi soir sur France 3, là où il avait habituellement rendez-vous avec les Français", car Thalassa était diffusée le vendredi soir.

 

 

 

Liens externes                                                  
 

 

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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