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Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
L'église Saint-Étienne de Saint-Mihiel est une église-halle située dans la commune française de Saint-Mihiel dans le département de la Meuse.
Elle fut jusqu'en 1791 la seule église de l'unique paroisse de la ville de St-Mihiel, à l'époque franque elle était dédiée aux saints Cyr de Tarse et Julitte; sur un lieu nommé Godonécourt, en 709, est fondée par le comte austrasien Wulfoad une abbaye bénédictine sur la hauteur castellion (peut-être le camp des Romains) et lui est donné le village voisin, ses terres et ses maisons (c'était le bourg de St-Mihiel). En 819, l'abbé Smaragde décide de rapprocher son abbaye du village. Thierry le grand, évêque de Verdun confirma en 1067 le don des terres de l'église et de la paroisse de la ville, confirmation qui advint en 1094; à partir de ce moment l'abbé est devenu le curé de St-Cyr.
Elle ne prit le nom de Étienne qu'à partir du XIIe siècle quand l'abbé de Saint-Michel revenant de Rome apporta des reliques du saint. Dans des accords de 1145, 1152 et 1194 l'église n'est plus désignée que sous le vocable d'Étienne.
La ville, important centre culturel, cour de justice dite des cents jours comme partie du bailliage du Duché de Bar avait une importante population et activité économique, ce qui attirait plus de monde et la décision fut prise d'agrandir l'église vers l'est en partie sur le cimetière qui l'entourait. Les travaux durèrent de 1503 à 1543; en 1545 eut lieu la dédicace avec les jeux ou mystères de messire saint-Étienne, pape et patron de l'église parociale de la noble ville de Saint-Mihiel décrit par dom Nicole Loupvent, trésorier de l'abbaye. Le financement était assuré, en 1500 par un don de Antoine le bon Duc de Lorraine pour les terrains ou accrues qui s'étaient formés le long de la Meuse à la fabrique de Saint-Étienne. Une levée d'impôt de sept livres et demie par semaine à partir de 1503. Par un emprunt de 800 livres à un noble homme Henri Lebrun.
La Révolution française avait confisqué les revenus de la paroisse pour les adjoindre à ceux de la ville (livres de comptes de la fabrique); le curé Gabriel Tocquot refusant le serment constitutionnel son vicaire François Forquignon fut nommé curé. Le 24 septembre 1791 le Conseil de la ville décidait de couper la ville en deux en créant la paroisse de Saint-Michel ayant comme église celle de l'abbaye et comme presbytère l'ancienne prévôté (Poste actuelle). Le 26 novembre 1793 l'église fut interdite au culte et l'on décida de la détruire; mais il y avait un urgent besoin d'étable et d'abattoir, par suite elle servit d'hôpital.
Le culte y fut de nouveau autorisé en 1802 mais une pétition demandait que soient démolis le clocher, la nef et des chapelles pour élargir la rue. En 1817, une ordonnance royale autorisa les travaux qui ne débutèrent qu'en 1823 avec la suppression de la plus grande part des structures du XIIe siècle. Elle prit alors son apparence actuelle.
Entre 1914 et 1918, elle fut attribuée par l'occupant allemand au culte protestant; la plus grande part des troupes étaient soit bavaroise soit autrichienne et donc de culte catholique romain mais les autres soldats avaient aussi le droit à un lieu de culte.
Elle aurait eu une première rénovation en 1076 en style roman, mais il n'y a pas de traces actuellement.
L'église fut rénovée au XIIIe, il ne reste que quelques parties vers l'avant (visibles jusqu'en 1823) et le XVIe siècle pour la plus grande part. La rénovation du XIXe siècle reprend tout l'avant de l'édifice et englobe la partie du XIIIe. Elle est principalement connue pour son étonnant sépulcre dû au ciseau de Ligier Richier, le célèbre sculpteur lorrain de la Renaissance.
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89glise_Saint-%C3%89tienne_de_Saint-Mihiel
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Le Sépulcre de Saint-Mihiel ou Mise au tombeau de Ligier Richier est un groupe sculpté du XVIe siècle conservé à l'église Saint-Étienne de Saint-Mihiel. C'est une œuvre majeure du sculpteur lorrain Ligier Richier remarquée depuis sa création à nos jours pour l'expression des traits, la noblesse des poses, la perfection de l'exécution et le fini des détails des treize personnages grandeur nature. Le sépulcre apparaît sur la première liste des monuments historiques de 1840 établie par Prosper Mérimée et est classé aux monuments historiques en 1907 avec l'église.
Description
L'œuvre représente la mise au tombeau du Christ. Treize personnages sont représentés légèrement plus grands que nature.
L'ensemble a été réalisé dans trois blocs de pierre de Saint-Mihiel, si bien agencés que jusqu'au XIXe siècle les Lorrains l'ont cru sculpté dans un seul bloc.
Au centre et au premier plan, le Christ porté par Joseph d'Arimathie (à la tête) et Nicodème (à ses pieds), tous deux avec des habits de style Grand prêtre d'Israël et le visage tourné vers la figure du Sauveur. Aux pieds du Christ, Marie Madeleine, baisant les pieds du Christ, lui confère ses adieux. Elle est ornée de bouffants, de crevés qui montrent une mode Renaissance, elle a aussi une ceinture avec des chaînons ciselés. Juste derrière, Marie, en pâmoison, est soutenue par Jean et Marie Cléophée, elles sont habillées à la mode de l'époque de Ligier Richier par les coiffures et ses vêtements. Marie est ici la figure de la Mater Dolorosa. Un ange tient la croix et les instruments de la Passion du Christ.
Complètement à gauche, Marie Salomé prépare un linceul qu'elle dispose dans le tombeau ; ce sont les objets qui étaient à l'origine destinés à Joseph d'Arimathie.
À l'arrière-plan, à droite, deux comparses jouent aux dés la tunique du Christ sous le regard d'un centurion. Ici, tout est en opposition avec l'atmosphère de la scène présentée, ils sont habillés en Romains, jouent, ont une physionomie grossière, des rictus aux lèvres. Leur chef plus pensif tenait une lance aujourd'hui disparue. Tandis qu'une femme, en avant-plan, (Véronique ou Jeanne la Myrophore selon les sources) présente la couronne d'épines sur un linge, elle l'observe avec révérence et est en habit plus simple que son pendant Marie Madeleine.
Historique
Il s'agit de la dernière œuvre du sculpteur avant son départ pour Genève.
Pendant la Révolution française, le groupe de statues avait été caché sous du foin.
Lors de leur réapparition en 1797, l'humidité avait endommagé l'ensemble et surtout les barres de fer qui soutenaient le Christ, ce fut M. Mangeot, artiste sammiellois, qui en 1810 fit une première restauration.
Le Sépulcre étant classé en 1839 comme objet d'art, le Christ étant brisé, l'État finança une réfection par Joseph-Silvestre Brun qui remplaça alors les barres par de la pierre qu'il dissimula en un linge tombant des reins du Christ. En 1865, une polémique enfla, les uns voulant remanier les positions des personnages, mais le conseil de la fabrique s'y opposa.
En 1914, un obus frappa l'église et plusieurs éclats endommagèrent des statues, il fut décidé de protéger le tout sous des sacs de terre au lieu de porter le tout à Metz.
Le sépulcre fut démonté par les Allemands et exposé à Metz pendant la Première Guerre mondiale.
En 1996, le ministère de la Culture répond favorablement à la demande de restauration du sépulcre, et après dix ans de restauration il est à nouveau visible dans son ensemble.
L'œuvre est numérisée par le laboratoire MAP-CRAI de l'École nationale supérieure d'architecture de Nancy en 2012 pour une éventuelle restauration en cas de sinistre ou de dégradation
Intérêt artistique
Son intérêt artistique est tel qu'il est proposé au classement sur la toute première liste des monuments historiques de 1840 établie par Prosper Mérimée ; il est finalement classé au titre immeuble en 1907 avec l'église. Le sépulcre est remarqué depuis sa création par les visiteurs et amis de l'art. En 1757 Dom J. de L'Ilsle écrit: "travaillée avec tant d'art et de délicatesse qu'elle est regardée par les habilles connaisseurs comme une merveille du monde". Dans ses Voyages en Alsace et en Lorraine, Alexandre Müller note : "Ligier Richier ne savait pas seulement animer le marbre mais il possédait au degré suprême l'art des poses et apportait à tous les détails le fini le plus minutieux". L'abbé Souhaut relate dans Les Richier et leurs œuvres : "La grandeur et la simplicité de l'ensemble absorbent le regard, et il semble qu'on ait tout vu, tout compris, tout admiré d'un seul coup d’œil"
https://fr.wikipedia.org/wiki/S%C3%A9pulcre_de_Saint-Mihiel
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Ligier Richier, né vers 1500 à Saint-Mihiel, mort à Genève en 1567, est un sculpteur lorrain du début de la Renaissance. Attaché à la cour de Lorraine et de Bar, il a réalisé plusieurs œuvres majeures conservées dans les départements de la Meuse et de Meurthe-et-Moselle.
L'essentiel de la vie et de la carrière de Ligier Richier s’est déroulé dans les duchés de Lorraine et de Bar, alors indépendants. La première mention de l'artiste date de 1530, lorsque le duc Antoine de Lorraine s’attacha ses talents. En 1543, il devint syndic de la ville de Saint-Mihiel.
Converti au protestantisme, il adressa au jeune duc Charles III de Lorraine une pétition réclamant le libre exercice de la religion réformée, puis quitta la Lorraine vers 1563 et s’exila à Genève, où il mourut en 1567.
Les liens, souvent évoqués, entre Ligier Richier et Michel-Ange, ainsi que ses possibles voyages en Italie, ne semblent pas étayés par les documents historiques et appartiennent probablement à la légende.
La statue de Saint-Mihiel est dédiée à Ligier Richier, à Gérard Richier, son fils, également sculpteur, et à ses petits-enfants Jean-Joseph et Jacob ; ainsi qu'à l'école de Saint-Mihiel.
Œuvres
L’œuvre de Ligier Richier est essentiellement d’inspiration religieuse. En l’absence de signature, ce sont des comparaisons stylistiques qui ont permis d’attribuer à ce sculpteur la plupart des œuvres actuellement reconnues. La particularité du sculpteur est cette précision de la taille des visages et la finesse du drapé sur la pierre.
C’est en partie grâce au récit, aujourd’hui disparu, du marchand champenois, Nicolas Chatourup (ou Chatonrupt), que l’on peut dater et identifier certaines œuvres. Ce dernier s’était rendu en 1532 en pèlerinage à Saint-Nicolas-de-Port et, passant par Bar-le-Duc et Saint-Mihiel, raconte avoir vu dans chaque ville un groupe de statues du sculpteur Ligier Richier.
Ligier Richier a travaillé la pierre, le bois et la terre cuite, et a mis au point un procédé de traitement à la cire (« encaustiquage ») pour donner au calcaire de Lorraine l’apparence du marbre, comme celui qu’il a utilisé pour le gisant de Philippe de Gueldre.
Le Retable de la Passion, œuvre polychrome de l’église de Hattonchâtel (1523). L’attribution à Ligier Richier n’est pas certaine. Il peut s’agir d’une œuvre de jeunesse ou encore d’une commande à laquelle participe le jeune Ligier ou simplement d’un modèle qui l’aura inspiré.
Une de ses réalisations les plus connues est le Transi de René de Chalon dans l'église Saint-Étienne de Bar-le-Duc. Il surmonte le tombeau du cœur et des entrailles de ce dernier, prince d’Orange de la famille de Nassau, tué le 15 juillet 1544 lors du siège de Saint-Dizier. Le traitement en écorché du transi suggère des connaissances étendues en anatomie. Une reproduction de cette œuvre illustrée par un poème d’Henry Bataille et sculptée par le sculpteur Édouard Ponsinet dit Pompon, se trouve sur le tombeau d’Henry Bataille à Moux.
Calvaire à l’église Saint-Étienne de Bar-le-Duc
Calvaire à l’église Saint-Gengoult de Briey
Calvaire à l’église Notre-Dame de Bar-le-Duc
Gisant de Philippe de Gueldre, duchesse de Lorraine puis sœur clarisse morte en 1547, en l’église des Cordeliers de Nancy
L’Enfant Jésus et la Tête de Saint-Jérôme, conservés au musée du Louvre, à Paris.
La Pâmoison de la Vierge à l’abbatiale Saint-Michel de Saint-Mihiel.
Pietà en l’église Saint-Martin d’Étain, classée monument historique en 1905
La Mise au tombeau en l'église Saint-Étienne de Saint-Mihiel (autre appellation « Sépulcre de Saint-Mihiel »). Il s’agit d’une des dernières réalisations de Ligier Richier et la plus célèbre avec Le Transi de René de Chalon.
La Dame de Génicourt en l’église de Génicourt-sur-Meuse
Le département de la Meuse a créé la « route Ligier Richier » sous forme d’un circuit touristique de découverte de l’artiste, de Bar-Le-Duc à Étain, passant par Saint-Mihiel.
Œuvres autrefois attribuées à Ligier Richier
Le Christ portant sa croix, (Église Saint-Laurent de Pont-à-Mousson)
La Sainte Femme au bonnet, Église de Clermont-en-Argonne
Le Calvaire de Génicourt, Église de Génicourt-sur-Meuse
Jésus crucifié en la cathédrale Notre-Dame-de-l'Annonciation de Nancy
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Val-de-Marne : une fête clandestine avec plus de 300 personnes dégénère, au moins un participant positif au Covid
Où ça, un confinement ? Appelés vendredi soir par un riverain en raison d'un tapage nocturne à Joinville-le-Pont (Val-de-Marne), les policiers se sont retrouvés au cœur d'une fête. Ou plutôt, une boîte de nuit : entre 300 et 400 personnes étaient rassemblées dans un loft. La soirée a rapidement dégénéré à l'arrivée des forces de l'ordre, ces derniers essuyant des jets de projectiles.
Selon Le Parisien, qui révèle l'information, les forces de l'ordre sont arrivées vers 2 heures du matin. Le lieu, un loft qui serait loué par son propriétaire pour des soirées clandestines, se situe dans un pavillon ultra sécurisé. C'est un convive qui, quittant la fête, permet à la douzaine de policiers d'entrer.
Deux grenades de désencerclement utilisées
La porte du loft est, elle, gardée par un vigile. Quand ce dernier permet aux policiers de pénétrer des lieux, ils découvrent une véritable discothèque, faisceaux lumineux et bar installé pour l'occasion. L'ambiance est lourde : une bagarre a éclaté, impliquant "une centaine d’individus" parmi les fêtards, a précisé la branche locale du syndicat Unité SGP Police.
Selon le quotidien, les convives pensent dans un premier temps que les policiers sont des personnes déguisées. Les fonctionnaires sont finalement pris à partie. Au point de devoir jeter deux grenades de désencerclement. S'ensuit une scène de panique, les invités cherchant à quitter les lieux. L’un d'entre eux a été retrouvé un peu plus tard dans une rue adjacente, grièvement blessé à l’œil et dénonçant un tir de LBD. Il a été pris en charge par le Samu.
Une enquête notamment pour violences volontaires sur personnes dépositaires de l'autorité publique a été ouverte samedi, a appris LCI auprès du parquet de Créteil.
Cette grave entorse aux règles du confinement pourrait par ailleurs avoir des conséquences sanitaires. Dans un tweet, la préfecture de police de Paris indique samedi qu'au moins un des convives était positif au Covid-19. Tous les participants sont donc invités à se faire dépister dans les plus brefs délais.
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Précarité : La Fondation Abbé-Pierre veut un « électrochoc » pour les « 300.000 SDF »
CRISE SOCIALE Son délégué général, Christophe Robert demande d’anticiper la « bombe à retardement » que va représenter la reprise des expulsions le 1er avril 2021
Le chiffre est particulièrement inquiétant et symbolique : depuis 2012, le nombre de sans-domicile fixe a doublé en France. Il tourne ainsi autour de « 300.000 », affirme Christophe Robert, délégué général de la Fondation Abbé-Pierre, dans les colonnes du Journal du Dimanche. « C’est effrayant ! Ce chiffre doit être un électrochoc », s’insurge-t-il craignant la reprise des expulsions.
Au total, la Fondation a comptabilisé « environ 185.000 personnes en centres d’hébergement », « 100.000 dans les lieux d’accueil pour demandeurs d’asile », et « 16.000 personnes dans les bidonvilles ». « S’y ajoutent les sans-abri, plus difficiles à quantifier », selon lui. « Nous craignons qu’une partie bascule dans la très grande précarité », alerte Christophe Robert. Car si pendant le premier confinement « tout le monde s’est mobilisé pour les personnes sans domicile », la configuration est aujourd’hui différente avec « beaucoup d’expulsions de squats et de bidonvilles ces derniers mois ».
« Une bombe à retardement »
« Plus de 9.000 places supplémentaires ont déjà été ouvertes. Mais ça reste très tendu », ajoute-t-il. Car selon la Fondation Abbé-Pierre, « avec la crise économique et le chômage de masse, beaucoup de gens risquent de ne plus pouvoir payer leur logement ». « Et les expulsions vont reprendre à partir du 1er avril prochain. Nous devons anticiper cette bombe à retardement », prévient Christophe Robert, demandant notamment « la création d’un fonds d’aide au paiement des loyers et des charges, doté de 200 millions d’euros ». Et en aval, « nous devons développer des solutions de logement durable », ajoute-t-il, plaidant pour la construction de 150.000 logements sociaux par an.
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Fils d’un mineur et d’une trieuse de charbon de Decazeville, Léon Lacombe avait connu une enfance misérable et avait dû commencer à travailler très jeune. Révolté et devenu anarchiste il ne trouva bientôt plus de travail dans la région qu’il dut quitter à la suite d’un vol chez un cultivateur.
Militant individualiste en région parisienne, Léon Lacombe était recherché au début des années 1910 pour plusieurs meurtres et actions illégalistes. Ses papiers furent retrouvées par la police lors d’une perqusition à Asnières au domicile d’André De Bläsus et d’Anna Mahé.
Le 14 septembre 1912 avec trois autres compagnons il était interpellé en gare des Aubrais pour infraction à la police des chemins de fer. Il parvenait à s’enfuir, abattait le contrôleur qui le poursuivait et s’enfuyait sur la bicyclette de sa victime.
Le 1er novembre 1912 avec trois autres anarchistes il cambriolait le bureau de poste de Bezons (Seine-et-Oise) où le receveur était tué. Il se serait ensuite réfugié dans les locaux du journal L’Idée libre, passage de Clichy à Paris où son camarade Jules Erlebach dit Ducret avec lequel il avait préparé le cambriolage, officiait comme relieur et libraire. La police effectuait une perquisition le 8 novembre dans ces locaux, arrêtait trois personnes mais ne trouvait pas Lacombe.
Dans la nuit du 3 au 4 décembre 1912, se sentant traqué, il séquestrait Jules Erlebach, persuadé que ce dernier était un indicateur de police et l’avait trahi. Après l’avoir interrogé une partie de la nuit, il lui tirait une balle dans la gorge, le blessant très grièvement. Erlebach décédera des suites de cette blessure le 12 janvier 1913.
Léon Lacombe fut arrêté le 11 mars 1913 devant une baraque de lutteur lors d’une fête au Boulevard de la Villette. Il était porteur d’une bombe et de détonateurs. Lors de son interrogatoire il aurait reconnu l’attaque du bureau de poste de Bezons qu’il déclara avoir préparé avec Erlebach.
Incarcéré à la prison de la Santé, il parvenait le 5 avril lors d’une promenade à grimper sur le toit de la prison. Après avoir jeté des tuiles sur les gardiens et avoir parlementé avec son avocat Me Boucheron qui avait été appelé, il se précipita dans le vide après lui avoir dit adieu et avoir crié "Vive l’anarchie". Selon Le Journal de Genève, Lacombe avait déclaré à l’un de ses gardiens : "Vous ne m’aurez pas comme vous le croyez. Quand mon heure sera venue, je saurai disparaître. On ne me conduira pas à la guillotine" (cf. 6 avril 1913).
Sources : J. Maitron "Histoire du mouvement anarchiste...", op. cit. = Notice de J. Maitron in "Dictionnaire biographoqie du mouvement ouvrier...", op. cit.// Le Journal de Genève, 10 novembre, 5, 6 & 7 décembre 1912, 14, 16 & 17 mars, 6 avril 1913// Notes de M. Enckell//
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Constantin Rossi, dit Tino Rossi, est un chanteur et acteur français, né le 29 avril 1907 à Ajaccio (Corse) et mort le 27 septembre 1983 à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine).
Sa chanson Petit Papa Noël, sortie en 1946, demeure la chanson la plus vendue de l'histoire en France
Constantin Rossi naît à Ajaccio, 43 rue Fesch. Son père, Laurent, est artisan tailleur. Sa mère, Eugénie, se consacre, en plus de l'atelier familial, à ses huit enfants. Constantin porte le prénom de l'un de ses frères, décédé en bas âge à la fin de l'année 1906. Dès son enfance, il passe son temps à chanter et préfère l'école buissonnière aux études.
À moins de 20 ans, il rencontre à Ajaccio Annie Marlan (1907-1981), l'une des violonistes venues donner un concert à la terrasse du Café Napoléon, en tombe amoureux, part avec elle sur la Côte d'Azur, l'épouse à Toulon et devient vite le jeune père de Pierrette (1927-2011). Tino ayant du mal à trouver un travail stable à Toulon, Annie demande rapidement le divorce.
De retour à Ajaccio, il devient (grâce aux relations de son père) changeur au casino, où il rencontre la secrétaire du directeur, Faustine Fratani (1912-1985), qui deviendra sa deuxième épouse en septembre 1934. À la suite de l'incendie du casino en 1929, ils retournent sur le continent dans l'espoir d'une embauche au casino d'Aix-en-Provence, sans succès. Le couple s'installe alors à Marseille dans une chambre miteuse du quartier des Réformés, en haut de la Canebière. De repas trop légers en boulots trop temporaires (voiturier, plongeur, portier de boîte de nuit...), Tino Rossi traverse les mois les plus pénibles de sa vie. Sa seule consolation : retrouver au bar « Le Terminus » les étudiants corses de la faculté de droit d'Aix-en-Provence (Raymond Filippi, Dominique Stefanaggi, Alfred Albertini, Jean Orsoni...) et chanter pour ces futurs ténors du barreau ou magistrats de renom
Le baryton-basse provençal Adrien Legros (1903-1993) le remarque alors, lui donne des conseils pour mieux respirer et poser sa voix, et le met en relation avec le producteur de tournées Louis Allione, dit « Petit Louis », qui le produit sur de petites scènes provençales (la toute première fois en 1930, dans le village vauclusien de Lauris) en le présentant comme « Le Roi des chanteurs de charme », une expression qui le suivra tout au long de sa carrière. Constantin choisit alors de devenir Tino, en se rappelant la façon dont l'évêque d'Ajaccio avait détaché les syllabes de son prénom en le bénissant lors de sa confirmation : « Constant-tino ».
En 1932, à Marseille, alors qu'il arpente avec son père la rue Saint-Ferréol, son attention est attirée par une pancarte sur la devanture d'un magasin : « Enregistrez votre voix pour cent sous ». Tino enregistre ainsi un disque en fer blanc qu'il destine à sa mère (comme le fera vingt ans plus tard Elvis Presley). Un représentant de la maison de disques Parlophone, présent dans la boutique, l'entend et l'invite à Paris pour enregistrer, moyennant 1 000 francs, son premier vrai disque (qui sera aussi le premier disque de chansons corses jamais gravé puisqu'il comprend O Ciuciarella et la berceuse Nini-Nanna)
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Toujours à Marseille, le 3 mars 1933, Tino est engagé « en qualité de ténorino » par Justin Milliard à l'Alcazar pour sept jours et quatorze représentations, avant de passer sur une autre scène mythique de la ville, le Théâtre des Variétés
La maison de disques Columbia s'intéresse alors rapidement à lui. En 1933, séduit par le dynamisme de son directeur Jean Bérard dans le domaine novateur de la publicité, il s'engage à ses côtés et enregistre notamment La Sérénade de Toselli, J’ai rêvé d'une fleur, L'Aubade du roi d’Ys, Le Tango de Marilou (son premier tube) et Venise et Bretagne, qui berça l'enfance très francophile de la reine d'Angleterre Élisabeth II.
Le succès de ces premiers enregistrements est prometteur. Un courrier abondant commence à arriver chez Columbia. La firme comprend qu'elle tient un « oiseau rare » et l'intègre dans ses tournées par le biais d'Émile Audiffred, où il côtoie les grands artistes Lucienne Boyer, Damia, Pills et Tabet, Mireille, Jean Sablon...
Encouragé par ses premiers succès, Tino Rossi, classé « Chanteur » et également inscrit à la rubrique « Ténor » des catalogues des disques Columbia des années 1930 répertoriant les interprétations classiques, souhaite l’accord de Reynaldo Hahn avant d’enregistrer ses mélodies D’une prison et Paysage. Confiant en son « poulain », Jean Richard, le directeur des studios Columbia à Paris, décide d’organiser l’enregistrement à son insu, le 9 juillet 1935. Tino Rossi ne connut jamais la réponse à sa requête, néanmoins la qualité de ses gravures fit dire à Reynaldo Hahn : « [Sa] voix tire son attrait de cette matière somnambulique, de cette simplicité poussée à l'excès avec un art, probablement inconscient, du modelage musical. »
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Scania série R
Scania est un constructeur suédois de poids lourds et d'autocars ainsi que de moteurs industriels et marins, dont le groupe allemand Volkswagen AG détient la totalité du capital
Scania tient son nom d'une province du sud de la Suède, la Scanie, où son histoire a débuté. Son emblème est celui de la province, un griffon, créature fantastique mi-aigle mi-lion.
La maison Scania d'aujourd'hui descend directement de la société Vagnfabriks-Aktiebolaget i Södertälje (Vabis) fondée en 1891. En 1911, Vabis fusionne avec Maskinfabriksaktiebolaget Scania in Malmö et la marque devient « Scania-Vabis ».
En 1936, la marque développe son premier moteur Diesel.
En 1969, Scania-Vabis fusionne avec Saab, constructeur d'automobiles et d'avions militaires, pour donner naissance à Saab-Scania AB : la marque « Scania » apparaît pour les camions et les bus.
Dans les années 1980, Scania collabore avec la dictature militaire au Brésil en lui transmettant des informations sur les activités des militants syndicaux de l'entreprise. Ces informations sont utilisées par la police pour surveiller, harceler et arrêter les syndicalistes afin d‘empêcher l‘organisation de grèves.
En 1995, le groupe se divise en deux entités totalement distinctes, Scania AB et Saab AB.
En 2000, General Motors (GM) acquiert 100 % du capital de Saab Automobile et Volkswagen AG acquiert 18,7 % du capital de Scania ainsi que 34,0 % des droits de vote, pour environ 3 milliards de marks allemands. La même année sort le millionième véhicule de la marque. Onze usines sont alors réparties dans cinq pays.
En 2008, Volkswagen AG devient le principal propriétaire de la marque avec 68,6 % des droits de vote et 37,73 % du capital et le 13 mai 2014, Volkswagen AG acquiert la totalité de Scania.
Le titre Scania est retiré de la bourse en 2014.
En 2019, une expérimentation de camions Scania hybrides est menée en Suède sur une portion d'autoroute electrifiée
Scania fabrique une gamme de véhicules porteurs et tracteurs se déclinant selon trois lettres désignant le type de cabine : « L », « P », « G », « R » et " S " (de la plus petite à la plus grande).
Cabines G : transport courte/moyenne distance avec cabine courte, intermédiaire ou avec couchette (pavillon abaissé, cabine normale ou highline).
Cabines L : transport courte distance (utilisation urbaine).
Cabines R : transport longue distance avec cabine intermédiaire ou avec couchette (pavillon abaissé, cabine normale, highline ou topline).
Cabines P : distribution avec cabine courte, intermédiaire ou avec couchette (pavillon abaissé, cabine normale ou highline).
Cabines S : transport longue distance avec couchette
Cabine highline (cabine intermédiaire)
Cabine topline (cabine haute)
Cabine T (Torpedo) : cabine reculée derrière le moteur, avec un capot s’ouvrant vers l’avant, à l’américaine.
Il existe aussi des cabines à utilisation spécifique : à accès bas, CrewCab et CrewCab double.
Les puissances de moteurs disponibles vont de 230 à 770 ch. Une large palette de transmissions est disponible, du classique 4x2 au 10x4 en passant par les transmissions intégrales de 4x4 à 8x8. Un bureau étudie également les développements pour des applications spéciales comme les véhicules militaires, les camions de chantier off-road, les camions outils.
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
https://fr.wikipedia.org/wiki/Scania | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
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Scania | |||||||||||||||||||||||||||
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Jacques Dutronc, né le 28 avril 1943 à Paris, est un chanteur, auteur-compositeur et acteur français.
Comme chanteur, c'est sa collaboration avec le parolier Jacques Lanzmann qui en fera une des célébrités notables de l'époque yéyé avec les tubes Et moi, et moi, et moi, Mini, mini, mini, Les Play-Boys, Les Cactus, J'aime les filles, Il est cinq heures, Paris s'éveille, L'Hôtesse de l'Air, L'Opportuniste et Le Petit Jardin, notamment.
En 1973, Jacques Dutronc entame une carrière d'acteur au cinéma, avec Antoine et Sébastien de Jean-Marie Périer. Il tourne par la suite pour Claude Lelouch, Andrzej Żuławski, Jean-Luc Godard, Jean-Pierre Mocky, Claude Chabrol, etc.
En 1992, il obtient le César du meilleur acteur pour Van Gogh de Maurice Pialat. Un César d'honneur lui est remis en 2005 pour l'ensemble de cette carrière.
Jacques Dutronc est le fils cadet de Pierre et Madeleine Dutronc, famille d'intellectuels artistes. C'est son père ingénieur aux Charbonnages de France et pianiste amateur qui l'initie à la musique dans l'appartement parisien familial du 67, rue de Provence, aussi prend-il rapidement des cours de piano et de violon
.
Il fait ses études à l’école communale de la rue Blanche, à l’école Rocroy-Saint-Léon, devenue lycée Rocroy-Saint-Vincent-de-Paul rue du Faubourg-Poissonnière et au lycée Condorcet à Paris. À partir de 1958, Jacques Dutronc fréquente ce qui devient bientôt le lieu culte du rock français : le Golf-Drouot d'Henri Leproux. C'est là qu'il retrouve d'autres copains, futurs confrères et concurrents : Long Chris, Dany Logan, Johnny Hallyday et Eddy Mitchell. À 16 ans, il contracte la maladie de Bouillaud qui le laisse cloîtré chez lui pendant un an. Il en profite pour emprunter la guitare de son frère et débute en autodidacte, en reproduisant des sons, des accords de chanson qu'il entend à la radio ou sur des disques. Il commence à maîtriser un peu la guitare et monte alors le groupe Les Tritons avec ses copains de la « bande du square de la Trinité ». Le succès de Johnny Hallyday l'incite à poursuivre dans une carrière musicale
En 2014 et 2017, il forme avec Eddy Mitchell et Johnny Hallyday le trio Les Vieilles Canailles.
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
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