Statistiques

Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour : 28.11.2024
18361 articles


Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Cinéma (1151)
· A à Z : Sommaire (355)
· Mannequin de charme (945)
· Musique (399)
· Monde : France (2777)
· Calendrier : Événements (333)
· Département : Meuse (265)
· Cinéma : Films à classer (153)
· Calendrier : Naissances (246)
· Monde : Etats Unis (1046)

Rechercher
Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "dessinsagogo55" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Thèmes

afrique air amour annonce art article background base belle blogs center centerblog

Articles les plus lus

· Bienvenue sur
· Alessandra Sublet
· Lui : Célébrités nues
· 28 septembre : Naissances
· Loto (jeu de la Française des jeux)

· Feodor Vassiliev et Valentina Vassilyev : 69 enfants nés
· Renaud : Hexagone (Paroles et explications)
· Omar Sharif
· A (Sommaire)
· Mannequin de charme : Sommaire
· Culotte : Sous les jupes des filles
· Julia Channel
· Femme
· Brigitte Lahaie
· Maureen O'Hara

Voir plus 

Derniers commentaires

Le National 

Publié à 00:56 par dessinsagogo55 Tags : center centerblog mort sur merci france place coup presse amis société pouvoir
Le National 

Le National est un quotidien français fondé en janvier 1830 par Adolphe Thiers, Armand Carrel, François-Auguste Mignet et le libraire éditeur Auguste Sautelet qui en sera le premier gérant, pour combattre la Seconde Restauration.

1830

Le nouveau journal, dont le premier numéro paraît le 3 janvier 1830, bénéficie du soutien financier du banquier Jacques Laffitte et du patronage de Talleyrand et du Duc de Dalberg. On a prétendu que le duc d'Orléans a donné sa caution politique, mais il semble peu probable qu'il se soit directement compromis : rien ne l'atteste en tout cas.

 
Saisie des presses du National (27 juillet 1830).

Le titre renvoie à la devise de 1789 : « la Nation, la Loi, le Roi », l'ordre des facteurs n'ayant naturellement rien d'innocent. Le journal milite pour l'établissement d'un régime parlementaire sous forme d'une monarchie constitutionnelle et conteste l'interprétation donnée par Charles X de la Charte de 1814 en frappant des formules dont plusieurs sont restées célèbres :

« Dans la monarchie représentative, la majorité doit prévaloir contre un ministère. »
« La royauté choisit les ministres, [...] mais la majorité de la Chambre les renverse. »
« Le roi règne et ne gouverne pas. »

Le National, en fait défend la Charte de 1814 : mais il se borne à rappeler au gouvernement que la volonté du peuple est souveraine et que les institutions d’un pays ne sont pas immuables.

Lorsque Thiers passe à l’offensive, l’un de ses éditoriaux est interprété par le gouvernement de Charles X comme une menace contre le système gouvernemental et contre les personnes qui l’incarnent, c'est-à-dire le roi et les ministres. Le pouvoir décide alors de poursuivre Sautelet en correctionnelle puisqu’il est le gérant responsable, et Thiers l’auteur de l’article. Tous deux sont condamnés à 1 000 francs d’amende (que Thiers paiera grâce à une souscription auprès des lecteurs du journal) et singulièrement Auguste Sautelet à une peine de trois mois de prison.

Quand Charles X promulgue les Ordonnances de Juillet suspendant la liberté de la presse, c’est au siège du National que se réuniront les journalistes pour signer la protestation de 1830, prémices de la Révolution de 1830, dite des Trois Glorieuses.

 

La monarchie de Juillet

Après les journées de juillet 1830, Armand Carrel prend le contrôle du journal.

À sa mort, en 1836 Le National passe aux mains de MM. Thomas, Trélat, Bastide, Duclerc qui en font l'organe de l'opinion républicaine.

En 1846, Armand Marrast devient rédacteur en chef.

La Seconde République

Le National continuera à servir de tribune et publiera l'appel d'Armand Marrast invitant les Parisiens à manifester le 22 février 1848, à la suite de l'interdiction par le Préfet de Paris d'une réunion publique (Campagne des Banquets), et des centaines d'étudiants se rassemblent place du Panthéon, puis se rendent à la Madeleine où ils se mêlent aux ouvriers. La Révolution de 1848 est en marche.

Par la suite, Le National deviendra l'organe de presse de la majorité républicaine modérée (les « Républicains bourgeois ») issue des urnes aux législatives de 1848 et qui forma la Constituante de la Deuxième République. Le nouveau gouvernement fut dirigé par le général Louis-Eugène Cavaignac. Les parlementaires républicains modérés furent qualifiés de membres du Parti du National en référence à leur journal. Le directeur du National, Charles Thomas, et son rédacteur en chef, Léopold Duras, sont alors membres de l'Association démocratique des amis de la Constitution. Lors de l’'élection présidentielle de décembre 1848, le National défend la constitution républicaine et est partisan de la candidature présidentielle du général Cavaignac, qui arrive en seconde position derrière Louis-Napoléon Bonaparte .

L'interdiction (1851)

Interdit après le coup d’État du 2 décembre 1851, il disparaît le 31 décembre de cette même année. Le dernier propriétaire, directeur-gérant, l'ancien préfet Jean Baptiste Ernest Caylus s'enfuit à New York, mais le personnel du Nation est emprisonné : environ 60 personnes, pères de familles. Les Archives nationales conservent le dossier de dissolution et liquidation de la société.

La reparution (1869)

Le National, reparaît le 18 janvier 1869 sous la direction d’Ildefonse Rousset (1817-1878) avec des journalistes qui quittent Le Siècle comme Émile de La Bédollière.

Le journal combat l'Empire et s’oppose vivement à l'ultramontanisme. Pendant le siège de Paris, il soutient la politique du gouvernement de la Défense nationale puis celle d’Adolphe Thiers, chef du pouvoir exécutif. Il tire à plus de 150 000 exemplaires 

La Troisième République

À compter de mai 1873, Le National représente les idées de la gauche républicaine. Parmi ses principaux rédacteurs, on compte Émile de La Bédollière, Horace Ayraud-Degeorge, Charles Sauvestre, Émile Deschanel, Paul Féval, Alfred Assollant, Théodore de Banville, Paul Foucher, etc. 

Ildefonse Rousset étant décédé en mars 1878, Hector Pessard devient directeur du journal. Il aura pour successeur le député Adolphe Maujan (1853-1914).

Le site Gallica de la Bibliothèque nationale de France présente une collection couvrant les années 1830 à 1836 provenant d'Armand Carrel où il a ajouté à la main le nom des auteurs des articles, puis les années 1869 à 1911 ; la collection des années 1912 à 1914 est incomplète ; quelques numéros datés de 1923 et 1924 sont également en ligne.

 

 



Liens externes                                                  
     
     
     
Notes et références                                                    
   
    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

 

 

 

Le Vélocipède Illustré 

Publié à 21:52 par dessinsagogo55 Tags : sommaire center france centerblog course sur chevaux merci monde femme mort société histoire
Le Vélocipède Illustré 

 

Le Vélocipède Illustré est un bimensuel français dans sa première période de publication français spécialisé dans le cyclisme, fondé en 1869 par Richard Lesclide dit « Le Grand Jacques », et disparut vers 1901.

 

Édité à Paris, il fut fondé par Richard Lesclide, pionnier du journalisme sportif et futur secrétaire de Victor Hugo. Son premier numéro date du 1er avril 1869, soit un mois à peine après l'apparition, le 1er mars précédent, du tout premier journal consacré au cyclisme, Le Vélocipède, fondé à Voiron par A. Favre, fabricant de vélocipèdes et géré par L. Fillet, mais qui cesse sa parution dès le 15 mai.

 

Cette publication disparaît en 1872, et reparaît en 1890.

 

Lancée le 1er avril 1869, à un rythme hebdomadaire puis bi-hebdomadaire, du 3 juin 1869 au 4 septembre 1870, la revue reparaît sous le titre « La Vitesse » du 16 juillet au 27 août 1871 puis du 2 mai au 24 octobre 1872 sous l'en-tête initial de Vélocipède illustré.

Elle reparaît en 1890, sous l'égide de son fondateur âgé de 67 ans, Richard Lesclide, sa femme Juana Richard Lesclide en est rédacteur en chef sous le pseudonyme de « Jean de Champeaux », et en prendra la direction à la mort de son mari en 1892.

Paul Faussier, journaliste sportif, membre de la Société vélocipédique métropolitaine et qui organisa la première course de « voitures sans chevaux » le 28 avril 1887 entre Neuilly et Versailles en deviendra le rédacteur en chef.

Elle cessera de paraître vers 1901.

 

Le périodique de 4 pages au grand format est en majorité consacré à la vélocipédie sous tous ses aspects, circulation, voyages, courses et innovations. Il comprend, par ailleurs, des rubriques sur les spectacles et des articles scientifiques n’ayant qu’un rapport lointain avec la vélocipédie, par exemple sur les moteurs électriques.

Nous suivons l’évolution technique très rapide du vélocipède primitif de 1868 à roues en bois cerclées de fer au véloce (diminutif courant) de 1870 aux roues à rayons métalliques en tension à bandages en caoutchouc et le foisonnement d’inventions. Le tour du monde à vélocipède publié en feuilleton est un récit, quelque peu délirant, de Richard Lesclide qui nous emmène de Paris à la Sibérie jusqu’au Kamtchatka.

Des publicités de constructeurs de vélocipèdes et d’accessoires (roues, bandages en caoutchouc, compteurs, lanternes) figurent en dernière page.

Le Vélocipède Illustré organisa notamment la première course cycliste ville à ville de l'histoire : le fameux Paris-Rouen du 7 novembre 1869.

En 1871 et 1872, l’élan était brisé : le journal avait perdu ses correspondants étrangers et une partie de ses abonnés tués au combat ou éloignés de la vélocipédie par les circonstances. La disparition d’une partie des constructeurs entraîna le déclin de la publicité.

 

 
Liens externes                                                  
     
     
     
     
Notes et références                                                    
   
    Évolution de la bicyclette depuis la draisienne de 1818
    Le Vélocipède Illustré 
    Vélo
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 



Toutanmacron

Publié à 00:27 par dessinsagogo55 Tags : centerblog sur france monde

Souris (informatique)

Publié à 23:00 par dessinsagogo55 Tags : sur centerblog gif humour
Souris (informatique)

Le prototype de souris (boitier en bois) de Douglas Engelbart.

 

 

La souris a été inventée en 1963 et présentée au public en 1968 par Douglas Engelbart du Stanford Research Institute après des tests d'utilisation basés sur le trackball. Elle a été améliorée par Jean-Daniel Nicoud à l'EPFL dès 1979 grâce à l'adjonction d'une boule et de capteurs ; il fabriqua la souris Depraz qui fut à l'origine de l'entreprise Logitech.

Pendant plusieurs décennies, les souris étaient des trackballs inversées. La friction de la boule contre la table permettait le mouvement du pointeur sur l'écran. Le système mécanique à boule avait tendance à ramasser la poussière de la surface horizontale et à encrasser les rouleaux capteurs, ce qui exigeait un nettoyage interne régulier. L'absence de cet inconvenient dans les souris à capteur optique a expliqué leur succès et la disparition des souris à boule.

Les premières souris à capteur optique nécessitaient un tapis de souris spécial quadrillé.

Depuis 2000, les souris à boules ont été progressivement remplacées par les souris optiques, ne nécessitant plus ce tapis spécifique

 

  souris
  Souris : Dessin
  Souris : Dessin
  Souris : Gif dessinsagogo55
  Souris (informatique)
HUMOUR
  La souris

 

Shae Marks

Publié à 16:38 par dessinsagogo55 Tags : article film sur vie amour enfants couples centerblog sommaire
Shae Marks

Christy Shae Marks (née le 1er juin 1972) est une mannequin et actrice américaine . Elle est la Playboy Playmate du mois de mai 1994.

Shae Marks a été découverte par un photographe de Playboy à l'âge de 20 ans lorsqu'elle a été invitée à poser pour une publicité pour World Gym à Houston, au Texas  Un mois plus tard, en octobre 1993, elle s'est envolée pour Los Angeles, en Californie (rencontrant son futur mari sur le vol), a fait un tir d'essai pour une page centrale et a été acceptée comme camarade de jeu du mois de mai 1994. Au cours de son passage avec Playboy , Marks était un représentant itinérant de l'entreprise, visitant des ports d'escale comme Hong Kong et le Danemark . Après son apparition sur Playmate, Marks a continué à apparaître dans plusieurs éditions spéciales de Playboyy compris Book of Lingerie , Girls of Summer et Voluptuous Vixens .

Plus tard, elle est entrée dans l'arène d'acteur, apparaissant dans des émissions de télévision telles que Marié ... avec des enfants , Renegade , Viper et Baywatch . Des marques ont également été présentées dans des publicités pour la bière Molson , ainsi que dans des mannequins pour Frederick's of Hollywood , Venus Swimwear et d'autres catalogues

Marks avait un rôle de treize épisodes dans la série d'action de super-héros de télévision Black Scorpion en tant que personnage de Babette . Elle a également joué des rôles dans des films tels que Day of the Warrior (1996), LETHAL Ladies: Return to Savage Beach (1998) et la comédie française Stewart Stoves Love Stinks .

Marks a fait une apparition sur le 22 janvier 1996, épisode de WWF Monday Night Raw en tant que valet de Hunter Hearst Helmsley lors de son match contre Razor Ramon .

Vie personnelle 

Shae Marks est née à la Nouvelle-Orléans, en Louisiane , où elle a passé la majeure partie de son enfance. Selon son Playmate Profile, elle était un garçon manqué qui grandissait. Peu après son dixième anniversaire, la famille de Marks a déménagé à Peachtree City, en Géorgie , une banlieue d'Atlanta. Pendant ses études secondaires, elle a joué au soccer et au tennis et a participé à la natation et au cheerleading. Après avoir obtenu son diplôme de McIntosh High School , elle s'est brièvement spécialisée en journalisme à l' Université de Géorgie de l'Ouest , mais a ensuite abandonné et est retournée à la Nouvelle-Orléans

Marks s'est marié en 1998

Filmographie

Cover Me (1995), Candy Jefferson

Scoring (1995), Phyllis

Jour du guerrier (1996), Tiger

Blue Heat: The Case of the Cover Girl Murders (1997), Candy

Playboy Real Couples Sex in Dangerous Places (1995), elle-même

Playboy Voluptuous Vixens (1997), Elle-même

Playboy Gen-X Girls (1998), elle-même

Playboy Blondes, Brunettes, Rousses (1991), Elle-même

LETHAL Ladies: Return to Savage Beach (1998), Tiger

L'amour pue (1999), Jasmine

Aiguillon du scorpion noir (2001), Babette

Apparitions télévisées sélectionnées

Baywatch , Girl in Logan's Tower - dans l'épisode "Sweet Dreams" (1995)

High Tide - dans l'épisode "Thank Heaven for Little Girls" (1995)

Marié ... avec des enfants , Colleen - dans l'épisode "Pump Fiction" (1995)

Marié ... avec des enfants , Inga - dans l'épisode "The Two That Got Away" (1995)

WWF Monday Night Raw - escorte du ring de Hunter Hearst Helmsley (1996)

Silk Stalkings , Marla Hess - dans l'épisode "Playing Doctor" (1996)

Viper , Connie Matuszak - dans l'épisode "First Mob Wives Club" (1997)

Renegade , Michelle - dans l'épisode "Sex, Lies and Activewear" (1997)

 

 

Retour à : Mannequin de charme : Sommaire
Retour à : Playboy 1994
Retour à : Playboy : Playmates (Sommaire)
Retour à : SOMMAIRE
Direct sur la rubrique :  Mannequin de charme
Comment ça marche ??? Aide
 Actu de dessinsagogo55
Mise à jour :

 

Le Pére Noél Macron

Publié à 14:01 par dessinsagogo55 Tags : centerblog monde sur france merci
Le Pére Noél Macron

 

 

Liens externes                                                  
 

 

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
    MISE A JOUR : 2023
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
 

 

 

Panhard : la production de véhicules militaires

Publié à 23:59 par dessinsagogo55 Tags : center article 2010 centerblog sur merci société
Panhard : la production de véhicules militaires

 

 

 

Début 2005, PSA Peugeot Citroën vend la société Panhard aux automobiles Auverland, fondée vingt ans plus tôt par François Servanin, mais conserve le nom prestigieux de « Panhard » pour une éventuelle utilisation civile future. Déjà en 1979, Peugeot avait envisagé de ressusciter le nom de Panhard pour l'appliquer aux modèles de Chrysler-Europe, avant de choisir finalement Talbot. Le nouvel ensemble prend le nom de « Panhard general defense » sous la direction de Christian Mons.

En 2010, « Panhard » déploie une activité de production de véhicules militaires, avec un chiffre d'affaires de 70 millions d'euros en 2007, dix fois plus petit que celui de son concurrent GIAT. Ses véhicules sont en première ligne en Afghanistan, au Kosovo et chaque année lors du défilé du 14 juillet sur les Champs-Élysées. Son catalogue propose une quinzaine de véhicules légers et sa production se monte annuellement à 9 500 véhicules.

Panhard Défense : depuis 2012

 

En 2012, « Panhard general defense » est racheté par Renault Trucks qui appartient au groupe Volvo et devient « Panhard Defense ». En 2016, Volvo avait souhaité vendre ses activités de défense dont Panhard, mais en octobre 2017, le groupe suédois a finalement décidé de retirer son offre car il n’était pas satisfait des propositions de rachats.

Poursuite de la production de véhicules militaires

La société Panhard conclut des accords avec Citroën, puis Peugeot, et s'oriente vers la construction d'engins blindés sous la dénomination de Société de constructions mécaniques Panhard-Levassor. Alors que Panhard fusionne avec Citroën en 1965, la société en est détachée en 1975 pour devenir une filiale de Peugeot S.A, sous la dénomination de SCMPL, Société de construction mécaniques Panhard-Levassor, avec un siège au 18 avenue d'Ivry à Paris. Jean Panhard en est le président de 1965 à 1981.

Panhard : 1967-2005

À partir de 1967, Panhard ne va plus construire de véhicules civils mais la firme poursuit la production des véhicules militaires blindés dans son usine de Marolles-en-Hurepoix, l'engin blindé de reconnaissance.

 

Panhard general défense : 2005-2012

Début 2005, PSA Peugeot Citroën vend la société Panhard aux automobiles Auverland, fondée vingt ans plus tôt par François Servanin, mais conserve le nom prestigieux de « Panhard » pour une éventuelle utilisation civile future. Déjà en 1979, Peugeot avait envisagé de ressusciter le nom de Panhard pour l'appliquer aux modèles de Chrysler-Europe, avant de choisir finalement Talbot. Le nouvel ensemble prend le nom de « Panhard general defense » sous la direction de Christian Mons.

En 2010, « Panhard » déploie une activité de production de véhicules militaires, avec un chiffre d'affaires de 70 millions d'euros en 2007, dix fois plus petit que celui de son concurrent GIAT. Ses véhicules sont en première ligne en Afghanistan, au Kosovo et chaque année lors du défilé du 14 juillet sur les Champs-Élysées. Son catalogue propose une quinzaine de véhicules légers et sa production se monte annuellement à 9 500 véhicules.

 

 

Les véhicules militaires

Panhard développe et produit des véhicules militaires depuis 1906. Détenu par le groupe PSA Peugeot Citroën, Panhard a été cédé en février 2005 à son concurrent Auverland et la nouvelle entité a pris le nom de « Panhard General Defense ». Panhard comptait un effectif de 350 personnes à la fin 2010 et réalisait plus de 100 millions d'euros de chiffre d'affaires. En octobre 2012, alors qu'elle employait 330 personnes et avait un chiffre d'affaires de 81 millions, elle est rachetée par Renault Trucks Defense et devient « Panhard Defense ».

Liste (non exhaustive) des véhicules militaires Panhard

1906 à 1911 : Panhard-Genty 24 HP (1906) et Panhard 24 HP (1911), voitures de reconnaissance armée

1911 / 1913-1914 : Châtillon-Panhard, utilitaire lourd pour du transport militaire.

1914 : Panhard 103, automitrailleuse partiellement blindée

1913 : Panhard 105, automobile de guerre blindée

1926 : Panhard 138, automitrailleuse de cavalerie dont dérive le type 165, transformée en voiture de commandement blindée.

1926 : Panhard 16 cv X46, automitrailleuse

1930 : Panhard 165/175 TOE, automitrailleuse de découverte

1932 : Panhard 179 (Camion Blindé Panhard)

1935 : Panhard AMD-178 ou AMD 35

1940 : Panhard 201 (prototype) qui donne naissance à l'Engin Blindé de Reconnaissance (EBR, 1951)

1956 : Panhard ETT

1966 : Panhard AML 60/90

1969 : M3 Panhard

1977 : Panhard VCR

1977 : Panhard ERC-90 Sagaie

1985 : production de la Peugeot P4 (1981) sous le nom de Panhard PL 30

1990 : Panhard Véhicule blindé léger (VBL)

2002 : Panhard Petit Véhicule Protégé (PVP)

2005 : Panhard VPS (Véhicule Patrouille Spéciale) dérivée de la Peugeot P4

2010 : prototype Panhard SPHINX Engin blindé de reconnaissance et de combat

2011 : prototype CRAB (Combat Reconnaissance Armoured Buggy)

 



Liens externes                                                  
 

 

 
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

 

 

FIFA

Publié à 18:56 par dessinsagogo55 Tags : center centerblog sur afrique merci france saint monde jeux 2010
FIFA

La FIFA est fondée le 21 mai 1904 à Paris au 229, rue Saint-Honoré dans les locaux de l'Union des sociétés françaises de sports athlétiques (USFSA), sous l'impulsion de Robert Guérin, secrétaire du comité football de l’USFSA. Les membres fondateurs sont : les Pays-Bas, la Belgique, la Suède, le Danemark, la Suisse, l'Espagne et la France.

 
Le congrès de la F.I.F.A. en mai 1923 (une croix : Jules Rimet).

Un an plus tard, l'Allemagne , l'Italie, l'Autriche et la Hongrie rejoignent la FIFA. Les Britanniques refusent d'abord d'être membres mais rejoignent finalement la FIFA quelques mois plus tard. S'engage alors un bras de fer entre l’USFSA française et la Football Association anglaise. La première est fondatrice de la FIFA et violemment hostile au professionnalisme. La seconde a donné son feu vert aux professionnels dès 1885. Le débat ne se fait pas sur cette question, mais sur l'interprétation des textes fondateurs de la FIFA, qui n'acceptent qu'une fédération et une seule, par nation. C'est la stratégie voulue par l’USFSA afin d'éliminer les ligues concurrentes françaises. N'étant pas reconnues par la FIFA, ces fédérations sont interdites de matchs internationaux. Ainsi, l'USFSA demanda à la FA de ne présenter qu'une seule fédération à la candidature à la FIFA pour représenter tout le Royaume-Uni, et non les quatre fédérations (Angleterre, Écosse, Pays de Galles et Irlande du Nord) qui demandent leur adhésion à la FIFA au même moment. Un vote des membres fondateurs tranche la question ; la France est mise en minorité. Vexés, les Français claquent la porte et l’USFSA quitte la FIFA. La France ne reste pas longtemps hors du giron de la FIFA et c'est le Comité français interfédéral, principal concurrent de l’USFSA, qui la rejoint. L’USFSA se retrouve alors dans la situation d'arroseur arrosé, car sa position hors de l'organisation l'a marginalisée.

La Coupe du monde, trophée majeur de la FIFA, est créée par Jules Rimet, alors président de la fédération internationale. Enchanté par le spectacle donné par l'équipe d'Uruguay aux Jeux olympiques de 1924 et 1928, Rimet lance la machine Coupe du monde en 1930. L'Uruguay qui fête alors son centenaire en 1930 est un candidat idéal pour l'organisation du premier rendez-vous mondial. Le trophée de la Coupe du monde est baptisé du nom de Jules Rimet. La Coupe Rimet prend définitivement la route du Brésil après son troisième succès dans l'épreuve en 1970, comme le prévoit le règlement. Un nouveau trophée est donc forgé pour l'édition 1974. L'expression « FIFA World Cup » est plus récente. Jusqu'en 1990, la Coupe du monde s'intitula Weltmeisterschaft en Allemagne (1974), Mundial en Argentine (1978), Espagne (1982) et Mexique (1986) puis Mondiale en Italie en 1990. Le crochet par les États-Unis est fatal à cette tradition linguistique, et la Coupe est désormais baptisée « FIFA World Cup », qui est une marque déposée. Le français est la langue officielle de la FIFA au même rang que l'anglais (comme l'allemand et l'espagnol). La terminologie « Coupe du monde FIFA » est également acceptée.

La FIFA déménage à Zurich en 1932 en raison du statut de la Suisse et des graves soucis financiers de la Fédération depuis le krach boursier d’octobre 1929. Avec l'augmentation importante des sources de revenus (droits TV, publicités et produits sous licence principalement), la situation financière est aujourd'hui excellente.

Ainsi, la FIFA annonçait en avril 2004 qu'elle prévoit un bénéfice de 144 millions de dollars pour 1,64 milliard de dollars de revenus sur la période 2003-2006 (cycle de quatre ans incluant la Coupe du monde 2006). Elle a réalisé un bénéfice de 631 millions de dollars sur la période 2007-2010 (cycle incluant la coupe du monde en Afrique du Sud). En 2013, à l'orée de la coupe du monde au Brésil, les réserves de trésorerie de la FIFA se montaient à 1,4 milliard de dollar

 



Liens externes                                                  
 

 

 
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

 

 

 

 

L'Humanité

Publié à 17:43 par dessinsagogo55 Tags : martine homme center centerblog sur merci monde presse
L'Humanité

 

L'Humanité est un journal français — socialiste jusqu'en 1920, puis communiste — fondé en 1904 par le dirigeant socialiste Jean Jaurès. Organe central du Parti communiste français de 1920 à 1994, il en reste très proche après l’ouverture de ses pages à d'autres composantes de la gauche. Comme de nombreux titres de la presse écrite, il bénéficie de subventions de l'État.

 

Le premier numéro de L'Humanité paraît le lundi 18 avril 1904. Journal de quatre pages vendu cinq centimes et tiré à 130 000 exemplaires, son fondateur Jean Jaurès, explique que ce nouveau quotidien socialiste (qui a alors comme sous-titre de la manchette « Journal socialiste quotidien ») doit être dans un premier temps un outil pour l'unification du mouvement socialiste français et, par la suite, un des leviers de la lutte révolutionnaire contre le capitalisme. La rédaction s'installe 110, rue de Richelieu dans le quartier de la presse, puis, en raison du loyer excessif, 27, rue du Croissant à partir du premier mai 1909 et, le 24 juillet 1913, lors du passage aux six pages, au 142, rue Montmartre.

Dans son premier éditorial intitulé « Notre but », Jaurès souhaite fixer deux règles de fonctionnement à son nouveau journal : la recherche d'information étendue et exacte pour donner « à toutes les intelligences libres le moyen de comprendre et de juger elles-mêmes les événements du monde », et l'indépendance financière

Repères

Listes des dirigeants du journal

Les directeurs

1904-1914 : Jean Jaurès

1914-1918 : Pierre Renaudel

1918-1958 : Marcel Cachin

1958-1974 : Étienne Fajon (adjoint de 1948 à 1958)

1974-1994 : Roland Leroy

1994-2000 : Pierre Zarka (adjoint de 1992 à 1994)

2000 : Patrick Le Hyaric

Les rédacteurs en chef (depuis 1926

1926-1929 : Paul Vaillant-Couturier

1929-1932 : Florimond Bonte

1932-1934 : André Ferrat

1934-1937 : Paul Vaillant-Couturier

1937-1950 : Georges Cogniot

1950-1958 : André Stil

1958-1984 : René Andrieu

1984-2001 : Claude Cabanes (directeur de la rédaction)

1988-1998 : Martine Bulard (rédactrice en chef de L'Humanité Dimanche, transformé en L'Humanité-Hebdo)

2001-2008 : Pierre Laurent (directeur des rédactions de L'Humanité et de L'Humanité Dimanche)

2008 : Patrick Apel-Muller (directeur de la rédaction)

 



Liens externes                                                  
 

 

 
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

 

 

 

 

 

 

 

Actualité française : 1904

Publié à 16:58 par dessinsagogo55 Tags : center création centerblog sur france afrique travail film
Actualité française : 1904

Actualité française

 

 

  Création des semaines sociales de France, à l'initiative du Lyonnais Marius Gonin et du lillois Adéodat Boissard.
  Les Rothschild dotent une fondation pour construire des logements sociaux pour les ouvriers.
  L’industrie automobile augmente au rythme de 28,3 % par an de 1904 à 1913.
  Journée de travail limitée à 10 heures.
  Menica Rondelly écrit Nissa la Bella, devenu l'hymne de la ville de Nice.
  Après avoir déménagé dans plusieurs lieux sur l'île d'Ouessant, la station Ouessant TSF créé par Camille Tissot, indicatif FFU (station Française Fixe de Ushant), a été la première station française marine de TSF opérationnelle en liaison avec une flotte de 80 paquebots sur la fréquence marine de 500 kHz. Détruite en 1944 par fait de guerre, Ouessant TSF n'a jamais été reconstruite.

 

 

 

  janvier
05/01/04 Alexandre Millerand est exclu du parti socialiste.

 

 

  mars
28/03/04 suppression de l’enseignement congréganiste.

 

  avril
08/04/04 entente cordiale franco-anglaise. Convention anglo-française concernant le Maroc et l’Égypte (Delcassé).
18/04/04 à Paris, parution du premier numéro de L'Humanité, sous la direction de Jean Jaurès.
23/04/04 visite du président Émile Loubet à Rome. Le Vatican proteste en raison de la politique anticléricale du gouvernement français.

 

  mai
23/05/04 création à Paris de la FIFA (Fédération internationale de football).

 

  juin
07/06/04 cyclone sur la ville de Mamers faisant 17 morts.

 

  juillet
05/07/04 loi interdisant l'enseignement aux congrégations religieuses.
09/07/04 fondation de l'OGC Nice.
30/07/04 la France rompt ses relations diplomatiques avec le Vatican et rappelle son ambassadeur. (À l'origine la loi française de séparation de l'Église et de l'État a échaudé le Vatican. Puis Émile Combes, Président du Conseil des Ministres, prétend vouloir nommer les évêques français, sans solliciter le Vatican. Plus tard, le Pape Pie X refuse de recevoir le président Émile Loubet. Enfin, le Vatican rappelle deux évêques français « républicains », pour un entretien sans en informer la France.)

 

  octobre
28/10/04 début de l'affaire des fiches. Le ministre de la guerre Louis-Joseph André établit des fiches sur les officiers ayant des pratiques religieuses et les fait étudier par les Francs-Maçons. Le Figaro révèle l'affaire et le ministre est contraint de démissionner.

 

  novembre
  départ de Marseille de l'expédition de De Segonzac au Maroc (hiver 1904-1905).
21/11/04 le système de l'indigénat est introduit en Afrique-Occidentale française

 

  décembre
02/12/04 les capitaines français Aguttes et Prokos se heurtent à des pillards Oulad Djerrir à une cinquantaine de kilomètres de Tombouctou. Ils les mettent en déroute mais ne peuvent pas les poursuivre, faute de posséder suffisamment de méharis.

 

 

 

  Cinéma
  Film français : 1904

 

 

Naissances Décès Identité Profession N
17 mai 1904 15 novembre 1976  Jean Gabin acteur fr
26 septembre 1904 26 septembre 1971 Nicolas Baudy écrivain et journaliste fr
11 novembre 1904 1987 Christian Mégret écrivain fr