Des manifestants avancent masqués, comme d'autres habitants ces derniers jours à Rouen, peu convaincus par les analyses donnant selon la préfecture un état de l'air "habituel" après le passage du nuage de fumée #Lubrizol
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Par Anonyme, le 26.10.2024
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Par Anonyme, le 23.09.2024
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Par Anonyme, le 08.09.2024
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Par han.t, le 03.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
Utilisation en démographie historique
Les dénombrements de population sont, pour la majeure partie de l’Ancien Régime, faits en feux, et non en habitants réels. La monarchie française ne cesse de s’intéresser aux dénombrements par feux qu’en 1726
Pour estimer le nombre d'habitants d'après celui donné en feux, certains appliquent le coefficient multiplicateur 5. Ainsi pour une population de 34 feux on obtient 170 habitants. Cependant, le facteur de conversion du feu à l’habitant fait encore l'objet de discussions entre historiens. L'État des feux de 1328 pour Paris comptabilise 61 098 feux. Les calculs conduisent à des chiffres de population variant entre 80 000 et 240 000 habitants. Le coefficient de 5 n'est pas une règle mais un indicateur moyen.
Selon les régions et les époques, le coefficient multiplicateur varie : Serge Dontenwill, pour l’actuel département de la Loire sous Louis XIV, utilise un coefficient de 4,5 (suivant ainsi Jacques Dupâquier dans son Population française aux XVIIe et XVIIIe siècles, PUF, 1993).
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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007.
En 2016, la commune comptait 751 habitants, en diminution de 6,94 % par rapport à 2011 (Meuse : -2,33 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
166 | 180 | 143 | 215 | 179 | 180 | 167 | 169 | 171 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
172 | 151 | 154 | 131 | 145 | 188 | 191 | 211 | 195 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
207 | 381 | 500 | 544 | 847 | 1001 | 1075 | 1027 | 1117 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2007 | 2012 |
1312 | 1124 | 1015 | 825 | 705 | 705 | 806 | 821 | 790 |
2016 | - | - | - | - | - | - | - | - |
751 | - | - | - | - | - | - | - |
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999 puis Insee à partir de 2006.)
en 1905 : 381 habitants.
vers 1804 : 174 habitants.
en 1750 : à Dommary, 14 Feux, à Baroncourt, 8 feux, à Bouvigny, 7 feux.
en 1701 : 21 citoyens actifs.
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2012
La fin du cimetière de locomotives au triage de Sotteville
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Dommary-Baroncourt est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est.
Toponymie
Les premières mentions pour Dommary donnent Domna-Maria au Xe siècle et celles de Baroncourt, Baronis-curtis au Xe siècle et Baronis-castrum au XIIe siècle.
Un seul regroupement a été trouvé Inter Baronis-curtem et Domnam-Mariam vers 1125.
Histoire
Ces deux hameaux faisaient partie de la châtellenie de Bouvigny, commune aujourd'hui disparue en tant que telle mais connue sous la dénomination des fermes de Bouvigny.
La rumeur ou l'imagination enfantine signalerait l'existence d'un tunnel secret entre les emplacements du château de Bouvigny et de l'ancienne église de Dommary ou de l'ancien moulin de Baroncourt. Ce dernier semblerait plus logique, le moulin et le château étant sur la même rive de l'Othain.
Avant 1790, Dommary et Bouvigny faisaient partie de la doyenné d'Amel (decanatus christianitatis de Amella) sans aucune mention de Baroncourt. En 1898, la commune de Dommary-Baroncourt est créée avec la fusion des lieudits de Bouvigny, de Dommary et de Baroncourt.
La gare de Baroncourt est toujours en activité ; elle est la seule gare meusienne de la ligne SNCF reliant Nancy à Longwy.
Economie
La fin du cimetière de locomotives au triage de Sotteville
Nouvelle église Sainte-Thérèse à Baroncourt, construite en 1931.
Ancienne église Saint-Mansuy à Dommary, construite vers 1122, détruite en 1974.
Ancienne église à Bouvigny, détruite.
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Un manifestant brandit un fumigène à Rouen, mardi 1er octobre. LOU BENOIST / AFP
Le préfet de Normandie a expliqué que « 160 fûts dans un état délicat » devaient être évacués de l’usine. Des milliers de manifestants réclamant davantage de « transparence » se sont rassemblés à Rouen.
Alors que des milliers de manifestants étaient réunis à Rouen pour réclamer davantage de « transparence » de la part des autorités concernant l’incendie de l’usine chimique Lubrizol, survenu jeudi, la préfecture de Seine-Maritime a publié mardi 1er octobre au soir la liste des produits chimiques incendiés.
5 253 tonnes de produits chimiques détruites dans l’incendie
Face à l’inquiétude d’une partie de la population, le premier ministre, Edouard Philippe, avait promis que la liste et la quantité des produits qui ont brûlé sur ce site industriel classé Seveso seraient rendues publiques. Mardi soir, la préfecture de Seine-Maritime a ainsi publié sur son site Internet plusieurs documents, dont l’un évoque 5 253 tonnes de produits chimiques détruites dans l’incendie. Parmi ces produits, 3 308 tonnes (soit 62,88 %) étaient des « additifs multi-usages ».
« Tous les produits ne sont pas dangereux. La dangerosité dépend de la quantité présente, du devenir des molécules après avoir brûlé et de la manière dont on est exposé (contact cutané, inhalation, ingestion) », peut-on lire dans un autre document accompagnant la liste des produits incendiés.
« Il n’y a pas de risque lié à l’amiante », assure la préfecture
« On peut estimer qu’avec la première série de relevés [effectués vendredi] il n’y a pas de risque lié à l’amiante, avait affirmé plus tôt dans la journée le préfet de Normandie, Pierre-André Durand. Ce risque n’est pas avéré. » Des prélèvements ont été faits dans l’air et sur des surfaces pour rechercher l’impact des fûts qui ont explosé jeudi. « En ce qui concerne l’amiante dans l’air, on est sur le bruit de fond des fibres d’amiante dans l’air, des niveaux extrêmement faibles », a précisé Patrick Berg, responsable de la direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement (Dreal) de Normandie.
« Ce qui est dangereux pour la santé, c’est la présence de fibres d’amiante dans l’air. Ces résultats sont tous négatifs. On ne détecte aucune fibre d’amiante sur les surfaces. Et, dans l’air, le niveau est extrêmement faible. Il est inférieur aux seuils. On attend le résultat d’une deuxième série de relevés », a encore insisté M. Berg.
Le préfet a ajouté qu’« il restait de l’ordre de 1 000 fûts, dont 160 en état délicat, pour lesquels un protocole d’intervention est en cours de finalisation ». Ces fûts « participent aux émanations d’odeurs », a-t-il précisé. Ils contiennent « des agents chimiques qui, en échauffant, peuvent générer des vapeurs gazeuses de mercaptan et d’hydrogène sulfuré. Il faut donc les manipuler avec précaution », a aussi souligné Patrick Berg.
Quant aux odeurs qui incommodent les habitants, elles devraient disparaître d’ici quelques jours, selon la préfecture. La nappe d’hydrocarbures, d’huile, de mousse et d’eau qui subsiste sur le site – et serait à l’origine des mauvaises odeurs – est en cours de pompage, a encore précisé le préfet. « Les pompages (…) vont se poursuivre dans les jours qui viennent jusqu’à ce que les mauvaises odeurs disparaissent », a assuré M. Durand.
Plusieurs milliers de manifestants à Rouen
Dans la soirée, plus de 2 000 personnes ont manifesté dans le centre de Rouen, entre le palais de justice et la préfecture de Seine-Maritime, pour réclamer « la vérité » sur les conséquences de l’incendie de l’usine. « On veut des informations claires, complètes et expliquées sur la réalité de l’incendie de Lubrizol », affirmait Yves Certains, Rouennais présent dans le rassemblement. Comme beaucoup, face aux odeurs incommodantes présentes dans l’agglomération depuis le 26 septembre, il disait « douter de l’absence de pollution de l’air » et portait un masque sur le visage avec l’inscription « Je suis Rouen ». Ses supérieurs avaient autorisé les salariés de la cité administrative, où il travaille, à rester chez eux au lendemain de l’incendie. Le slogan « Etat responsable, Etat coupable » était scandé par un groupe de manifestants, quand d’autres s’inquiétaient des conséquences à long terme du « gros nuage noir » sur l’air, les sols et l’eau.
Des manifestants avancent masqués, comme d'autres habitants ces derniers jours à Rouen, peu convaincus par les analyses donnant selon la préfecture un état de l'air "habituel" après le passage du nuage de fumée #Lubrizol
Quelques centaines de personnes viennent de partir du palais de justice de Rouen, direction la préfecture pour demander "la vérité" sur les conséquences de l'incendie #Lubrizol. Toujours bcp de suspicions sur la réalité d'une pollution malgré les prises de paroles des autorités
Parallèlement, le parquet de Rouen a annoncé se dessaisir de l’enquête sur l’incendie au profit du pôle de santé publique et environnement du parquet de Paris, en raison « de l’importance du sinistre survenu sur un site classé Seveso, du nombre de plaintes déposées et de la complexité des investigations ». Le parquet explique dans un communiqué que « le périmètre de départ de feu commence à être identifié, sans pour autant qu’il soit aujourd’hui possible de préciser avec certitude sur quelle emprise le sinistre a débuté ». Lubrizol avait affirmé lundi que l’origine du feu semblait être « extérieure » au site.
Le parquet a recensé par ailleurs « plus d’une quarantaine de plaintes » portées à sa connaissance. « Elles sont transmises ou en cours de transmission », précise-t-il. Selon le communiqué, l’enquête porte actuellement sur « l’exploitation des divers moyens de vidéosurveillance » et le « recueil de témoignages ». « Les causes de l’incendie restent à établir », souligne encore le parquet.
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Saint-Brieuc : Il trouve des liasses de billets en francs cachés dans les murs de son appartement
FAUSSE JOIE L’heureux propriétaire du logement ne pourra pas les échanger
La vraie fausse joie. A Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor), un homme qui rénovait son nouvel appartement a eu la surprise de découvrir des liasses de billets cachés entre la laine de verre et la cloison. La mauvaise nouvelle, c’est qu’il s’agit de francs, et qu’il n’est plus possible de les échanger contre des euros.
L’histoire rapportée par Ouest-France a de quoi faire sourire. Elle s’est déroulée il y a quinze jours dans un vieux bâtiment du quartier Saint-Michel, non loin du centre de la préfecture des Côtes-d’Armor. Alors qu’il entreprend des travaux de rénovation dans son nouveau logement, Ivory a vu des billets tomber par dizaines à ses pieds : 72.900 francs au total, soit un peu plus de 11.000 euros.
Plus de 50 millions de billets en circulationPassé la joie de cette improbable découverte, le trentenaire a rapidement compris qu’il ne pourrait pas tirer grand-chose de son butin, les francs n'étant plus échangeables depuis 2012. « Au pire des cas, je pourrais tapisser mes nouvelles toilettes avec », a fait savoir le jeune homme à Ouest-France. On pense aussi à un Monopoly du XXe siècle.
En 2012, la Banque de France avait estimé qu'il restait 55 millions de billets en francs encore en circulation, soit l’équivalent de 8,38 millions d’euros.
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L’ancien président de la République comparaîtra devant le tribunal correctionnel pour les dépenses excessives de sa campagne présidentielle de 2012.
Ses avocats auront tout tenté. En vain. Nicolas Sarkozy devra bien répondre de son rôle dans l’affaire Bygmalion devant un tribunal correctionnel. La Cour de cassation a confirmé définitivement mardi 1er octobre le renvoi en procès de l’ancien président de la République pour les dépenses excessives de sa campagne présidentielle malheureuse de 2012. Un procès était suspendu depuis deux ans et demi à de nombreux recours.
Le Conseil constitutionnel avait déjà rejeté la question prioritaire de constitutionnalité soulevée par Nicolas Sarkozy, qui arguait de la règle du non bis in idem qui veut que l’on ne peut être condamné deux fois pour les mêmes faits. Il estimait l’avoir déjà été définitivement par le Conseil constitutionnel en 2013. Les « sages » avaient alors confirmé le rejet de ses comptes à cause d’un dépassement de 363 615 euros qu’il avait dû rembourser. Mais cette sanction avait été prononcée avant la révélation au printemps 2014 d’un système de fausses factures visant à dissimuler l’explosion du plafond de dépenses de ses meetings – près de 20 millions d’euros de dépassement –, organisés par l’agence Bygmalion.
De son côté, la Cour de cassation avait notamment à se prononcer, mardi 1er octobre, sur la validité de l’ordonnance de renvoi. Les conseils de Nicolas Sarkozy avaient souligné que l’un des juges d’instruction saisi – le magistrat aujourd’hui à la retraite Renaud Van Ruymbeke – avait refusé de signer l’ordonnance de renvoi marquant ainsi son désaccord avec son collègue Serge Tournaire, premier juge saisi. La Cour suprême de l’ordre judiciaire a définitivement validé l’ordonnance de renvoi. Elle devait aussi trancher sur une série d’irrégularités soulevées par sept des prévenus dans l’arrêt de la chambre de l’instruction du 25 octobre 2018 qui avait confirmé leur renvoi en correctionnelle.
Candidat déconnecté de sa campagne « peu crédible »
Dans l’ordonnance de renvoi, désormais validée de façon définitive, le magistrat Serge Tournaire distinguait plusieurs niveaux de responsabilité. Celles des dirigeants de Bygmalion, des cadres de l’UMP, du directeur de la campagne de Nicolas Sarkozy et, enfin, celle du candidat. A son propos, le juge d’instruction écrit que « plus que quiconque, il était supposé connaître, respecter et faire appliquer par ses équipes les dispositions légales » en matière de financement de campagne.
« L’autorité de Nicolas Sarkozy, son expérience politique et l’enjeu que représentait pour lui sa nouvelle candidature à la magistrature suprême rendent peu crédible l’hypothèse d’un candidat déconnecté de sa campagne laissant ses équipes ou son parti et ses dirigeants agir en dehors de lui et décider de tout à sa place », ajoute-t-il.
A l’issue de son instruction, le juge a considéré que « Nicolas Sarkozy a incontestablement bénéficié des fraudes révélées par l’enquête qui lui ont permis de disposer, lors de sa campagne de 2012, de moyens bien supérieurs à ce que la loi autorisait (…). Toutefois, l’enquête n’a pas établi qu’il les avait ordonnées, ni qu’il y avait participé, ni même qu’il en avait été informé ». C’est pour ces raisons que Nicolas Sarkozy n’est pas poursuivi pour les infractions de « faux », « d’escroquerie » ou de « recel d’abus de confiance », comme les autres mis en examen.
Nicolas Sarkozy doit par ailleurs être jugé prochainement dans le cadre de l’affaire dite « Bismuth » – du nom choisi par l’ancien président pour utiliser un téléphone occulte – pour « trafic d’influence » et « corruption » d’un haut magistrat de la Cour de cassation. Il est, en outre, mis en examen depuis mars 2018 dans l’enquête sur le financement libyen présumé de sa campagne de 2007, pour « corruption passive », « recel de détournements de fonds publics libyens » et « financement illégal de campagne électorale ». La cour d’appel de Paris doit examiner, le 17 octobre, sa requête pour demander l’annulation de ces poursuites.
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Ce mardi 1er octobre marque le premier jour d'Octobre rose, mois de sensibilisation contre le cancer du sein. L'un des objectifs de cet événement : encourager les femmes à participer au dépistage généralisé mis en place en 2004, soit une mammographie tous les deux ans entre 50 et 74 ans. Pourtant, chaque année en France, il y a encore 50.000 nouveaux cas et 12.000 femmes qui meurent du cancer du sein. Alors, certains remettent en cause l’efficacité du dépistage. Mais que lui reproche t-on ? Et comment l'améliorer ? Europe 1 fait le point.
Un constat inquiétant, d'abord : seule la moitié des femmes suivent à la lettre le dépistage généralisé du cancer du sein et font bien une mammographie tous les deux ans avec le bon reçu à partir de leur 50 ans. Ce qui est très peu, même si entre 10 et 15% des femmes font un dépistage hors protocole, avec une ordonnance de leur gynécologue.
La piste du dépistage individualiséLe sur-diagnostic, ensuite, demeure un problème important. Certaines tumeurs sont des cancers qui n'évoluent pas mais qui sont quand même traitées, dans le doute. Ces cas représentent 10 à 15 % des cancers du sein aujourd'hui. Les patientes traversent ainsi, inutilement, une période de traitements et d'angoisses. Enfin, les faux positifs - des lésions qui ont l'air cancéreuses mais qui s'avèrent finalement bénignes à la biopsie - sont encore très nombreux.
Pour remédier à ces problèmes, la piste du dépistage individualisé est évoquée. Chaque femme ferait des examens en fonction de son propre risque. Ainsi, une femme à risque élevé - en raison notamment d'antécédents familiaux, hormonaux ou d'une mauvaise hygiène de vie -, pourrait commencer les mammographies plus tôt, à 40 ans, et les faire ensuite tous les ans. Une femme à faible risque pourrait, elle, commencer plus tard, à 50 ans, et n'en faire que tous les trois ou quatre ans seulement.
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