Statistiques

Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour : 18.01.2025
18545 articles


Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Cinéma (1116)
· A à Z : Sommaire (343)
· Mannequin de charme (914)
· Musique (392)
· Monde : France (3021)
· Calendrier : Événements (333)
· Département : Meuse (213)
· Cinéma : Films à classer (153)
· Calendrier : Naissances (246)
· Monde : Etats Unis (1090)

Rechercher
Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "dessinsagogo55" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Thèmes

aime air amis amour annonce art article background base belle blogs cadre

Articles les plus lus

· Bienvenue sur
· Alessandra Sublet
· Lui : Célébrités nues
· 28 septembre : Naissances
· Loto (jeu de la Française des jeux)

· Feodor Vassiliev et Valentina Vassilyev : 69 enfants nés
· Renaud : Hexagone (Paroles et explications)
· Omar Sharif
· A (Sommaire)
· Mannequin de charme : Sommaire
· Culotte : Sous les jupes des filles
· Julia Channel
· Femme
· Brigitte Lahaie
· Maureen O'Hara

Voir plus 

Derniers commentaires

SNCF : Réunification de la SNCF et de RFF

Publié à 14:21 par dessinsagogo55 Tags : center place société 2010 bleu centerblog sur merci
SNCF : Réunification de la SNCF et de RFF

 

La nouvelle réforme du système ferroviaire est adoptée par le Sénat et l'Assemblée nationale en 2014. Elle prévoit la réunification de la SNCF et de RFF au sein d'une même entité au 1er janvier 2015. À cette occasion une nouvelle organisation sera mise en place. La SNCF s'articulera autour de trois EPIC: un EPIC de tête SNCF qui gérera le gestionnaire de l'infrastructure SNCF Réseau et SNCF Mobilités chargé de l'exploitation des trains.

 

Entre décembre 2014 et janvier 2015, les 31 000 agents de la SNCF en contact avec le public reçoivent de nouvelles tenues (bleu marine avec un liseré rouge) fabriquées par la société bretonne Armor-Lux. Celles-ci remplacent les anciennes tenues grises et violettes dessinées par Christian Lacroix en 2007 qui n'étaient guère appréciées. Déjà en 1996, la SNCF avait fait appel à un couturier, Ted Lapidus, pour créer les tenues (bleu électrique) de ses agents.

 

Entre 2005 et 2010, la SNCF a supprimé 14 200 postes et 4 500 entre 2010 et 2015. Entre 2015 et 2020, ce sont 11 000 à 13 000 postes qui pourraient être supprimés.

 

RFF cesse d'exister le 31 décembre 2014. La nouvelle organisation de la SNCF est effective le 1er janvier 2015. La SNCF, par l'intermédiaire de SNCF Réseau et SNCF Mobilités, devient propriétaire du réseau ferré national et de l'ensemble des gares et infrastructures ferroviaires.

 



Liens externes                                                  
     
     
     
Notes et références                                                    
   
    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

 

 

SNCF : Directive européenne sur la gestion du réseau

Publié à 13:56 par dessinsagogo55 Tags : cadre sur center base france article travail création 2010 annonce centerblog merci
SNCF : Directive européenne sur la gestion du réseau

 

Au début des années 1990, la directive européenne 91/440 vise à permettre une ouverture à la concurrence. Elle impose la séparation de la gestion de l'infrastructure et de l'exploitation des services de transport, c'est-à-dire la distinction du gestionnaire de l'infrastructure et des entreprises ferroviaires ; l'instauration de droits d'accès et de transit pour les « regroupements internationaux » de transport de fret. Elle ne sera transposée par décret dans le droit français qu'en 1995. En outre, l'article premier de cette directive a été abrogé en 2001 par la directive 2001/12/CE.

 

Cette même année 1995, une importante crise due essentiellement au projet de réforme des retraites des cheminots lancée par le gouvernement Alain Juppé se traduit par une longue grève. Le projet est finalement abandonné. Aucun contrat de plan n'a été signé, mais l'État continue d'apporter une aide correspondant aux prestations dites de service public qui incluent : les tarifs spéciaux pour les voyageurs des « Grandes Lignes » (réduction pour les familles nombreuses, pour les militaires, etc.) ; elles représentent en 2006 environ 80 millions d'euros dans les comptes de la SNCF (sur un chiffre d'affaires de 17 milliards d'euros). L'exploitation des transports express régionaux (TER) est réalisée sur la base de conventions avec les régions, devenues autorités organisatrices de transports (AOT) de ceux-ci.

 

L'année 1996 voit l'arrivée de nouvelles réformes à caractère législatif. Elles sont portées par Anne-Marie Idrac, alors secrétaire d'État aux Transports. Elles comprennent la création d'un nouvel établissement public à caractère industriel et commercial chargé de gérer le réseau et l'infrastructure. C'est ainsi que Réseau ferré de France (RFF) est créé le 13 février 1997 par scission de la SNCF. RFF devient alors propriétaire de l'infrastructure et décideur en matière d'aménagement, de développement et de valorisation du réseau mais son exploitation et son entretien sont délégués à la SNCF.

 

Le rapport de la Cour des comptes de 2007 relève que la séparation entre gestion de l'infrastructure et de l'exploitation telle qu'elle a été effectuée en 1997 allait « au-delà des exigences » de l'article 1 de la directive 91-440, qui n'exigeait qu'une séparation comptable.

 

Concomitamment à la création de RFF, l'expérimentation de la régionalisation des services de transports régionaux de voyageurs donne aux régions qui y participent la responsabilité de définir le service public régional et leur transfère les financements de l'État. Cette expérimentation imaginée par Anne-Marie Idrac sera généralisée à toutes les régions en 2002 par le ministre Jean-Claude Gayssot. En 2007, le renouvellement de nombreuses conventions TER entre les régions et la SNCF marque le succès de cette politique de décentralisation, qui a permis une relance des investissements, notamment dans le matériel roulant, et conduit à des taux de croissance du trafic proches de 10 % par an.

 

Dans le cadre de cette réforme, un contrat va formaliser ces nouvelles relations : c'est le « pacte de modernisation ». L'État s'engage alors à désendetter la SNCF et à garantir les acquis des cheminots. Il garantit aussi l'exploitation exclusive de la SNCF sur le réseau ferré. La SNCF s'engage en contrepartie à rédiger un projet industriel, à se recentrer sur le client et à rééquilibrer ses comptes.

 

En 1997, la propriété du réseau est donc transférée à Réseau ferré de France, qui reçoit également la charge de la dette liée à l'infrastructure. La SNCF conserve la mission d'exploiter les services de transport et la partie « commerciale » des gares, et doit acquitter à RFF une redevance pour l'utilisation des voies et de la partie « ferroviaire » des gares. Par ailleurs, bien que la gestion de la circulation et l'entretien du réseau soient de la compétence de RFF qui est le gestionnaire de l'infrastructure, c'est en pratique la SNCF, gestionnaire délégué de l'infrastructure, qui exécute ces tâches pour le compte de RFF, dans le cadre d'une convention entre les deux EPIC.

 

Cette réforme avait pour but de rendre plus transparentes les relations financières entre l'État actionnaire et les entreprises ferroviaires, en vue de les assainir progressivement, et, à ce titre, de désendetter la SNCF et de rationaliser économiquement les investissements désormais portés par RFF sous condition de rentabilité mais aussi de permettre, dans des conditions non discriminatoires, l'arrivée de nouveaux exploitants ferroviaires (y compris sociétés privées), qui devaient concurrencer la SNCF sur les mêmes voies.

 

Sur le premier aspect, la réforme a permis à la SNCF, désendettée, de redresser sa situation économique, notamment grâce à l'exploitation commercialement efficace des TGV ; après de nombreux conflits entre RFF et la SNCF (à propos du patrimoine, de l'exécution des prestations d'entretien…), une convention pluriannuelle passée entre les deux entreprises en 2007 clarifie ces relations pour la gestion déléguée de l'infrastructure confiée à la SNCF. La question du niveau des péages reste en revanche un sujet de débat non stabilisé. Sur le second aspect — permettre une ouverture à la concurrence —, celle-ci n'a été décidée par le gouvernement français qu'en avril 2006 pour le fret ; cette libéralisation conduit la SNCF à lancer un plan de restructuration de son activité fret, déficitaire depuis 1998. La prochaine étape de concurrence prévue par les textes européens est fixée au 1er janvier 2010 pour les trains de voyageurs internationaux.

 

 
Un train de Fret SNCF tracté par la BB 37023.

Les années 2000 sont marquées par la chute de l'activité fret. Les volumes transportés passent de 50,03 milliards de tonnes kilomètres en 2002 à 19,5 milliards de tonnes kilomètres en 2013.

 

Cependant la dette de la SNCF n'a pas disparu : elle a simplement été transférée à RFF. De plus cette organisation complexe débouchait sur un système absurde : la SNCF payait à RFF le droit d'utiliser le réseau et les infrastructures et RFF payait à la SNCF l'entretien et la gestion de ces derniers. Enfin les relations entre la SNCF et RFF ont souvent été houleuses provoquant des problèmes de communication comme la commande de « trains trop larges » par rapport aux quais

 

Finalement en 2012, pour les 75 ans de la SNCF, Frédéric Cuvillier, ministre des Transports, annonce une réforme ferroviaire comportant notamment la création d'un « gestionnaire d'infrastructure unifié » (GIU).

 

Le 2 avril 2013, la SNCF lance Ouigo, sa marque de TGV à bas coûts.

 

En septembre 2014, la SNCF lance un site de covoiturage, « IDVROOM ». Après avoir racheté « Easycovoiturage.com » et « 123envoiture.com » en 2013, la SNCF décide de créer un site dédié principalement aux trajets entre le domicile et le lieu de travail

 



Liens externes                                                  
     
     
     
Notes et références                                                    
   
    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

 

SNCF : Changement de statut et TGV

Publié à 13:46 par dessinsagogo55 Tags : société sur center place centerblog merci
SNCF : Changement de statut et TGV

 

Le lancement commercial du TGV a lieu le 27 septembre 1981 entre Paris et Lyon. L’innovation est non seulement technique, mais aussi commerciale avec la réservation obligatoire. Depuis cette date, le réseau français de lignes à grande vitesse, LGV, n'a cessé de croitre avec plus de 2 000 km en service et 750 km en travaux en 2014.

 

Au 1er janvier 1983, l'ensemble des actifs de la société d'économie mixte constituée entre l'État et les grands réseaux de chemin de fer revient à l'État selon les termes de la convention signée en 1937. L'État, anticipant cette échéance, décide de constituer un établissement public à caractère industriel et commercial qui est doté du patrimoine et du personnel de la société d'économie mixte. Le 30 décembre 1982, est promulguée la Loi d'orientation sur les transports intérieurs (LOTI) qui crée l'établissement public à caractère industriel et commercial dénommé Société nationale des chemins de fer français. Les agents de l'ancienne société d'économie mixte sont transférés à la nouvelle entité en conservant leur statut spécifique. En lieu et place de la convention de 1937 et de ses avenants, un cahier des charges approuvé par décret et des « contrats de plan » pluriannuels règlent l'ensemble des relations entre l'État et l'entreprise.

 

La marque TER, Transport express régional, est créée en 1987

 

 



Liens externes                                                  
     
     
     
Notes et références                                                    
   
    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

 

SNCF : Histoire

Publié à 13:11 par dessinsagogo55 Tags : sur center france monde article mort société histoire création cadre centerblog merci
SNCF : Histoire

 

 

La Société nationale des chemins de fer français a été créée par convention du 31 août 1937 entre l’État et les différentes compagnies privées de l'époque : Nord, Est, PO, Midi, PLM, auxquelles s'ajoutent les Syndicats du Chemin de fer de Grande Ceinture et de Petite Ceinture et les deux administrations nationales, les chemins de fer d'Alsace et de Lorraine et les chemins de fer de l’État.

 

Le 1er janvier 1938, l’exploitation des lignes de ces anciennes compagnies, syndicats et administrations est transférée à la nouvelle SNCF, les anciennes compagnies de chemin de fer restant propriétaire de leur domaine privé propre. Cette convention a été validée par décret-loi du 31 août 1937 alors que les réseaux comptabilisaient des pertes cumulées de 30 milliards de francs. La SNCF exploite alors un réseau comportant 42 500 km de voies dont 8 % sont électrifiées et emploie 515 000 cheminots. Elle s'organise autour de cinq régions : Est, Nord, Ouest, Sud-Est et Sud-Ouest. Ces régions correspondent, approximativement, aux anciens réseaux privés et publics. Pour rétablir l'équilibre financier de la SNCF un plan de fermeture de 10 000 km de lignes est adopté par le gouvernement Chautemps. La SNCF reprend également l'exploitation des lignes de la Société royale grand-ducale des chemins de fer Guillaume-Luxembourg (GL).

 

La SNCF a été créée, à l'origine, sous le régime d'une société anonyme d'économie mixte, pour une durée de 45 ans, dont l'État possédait 51 % du capital, les 49 % restants appartenant aux actionnaires des sociétés financières ayant succédé aux anciennes compagnies. Les agents de la SNCF ne sont pas des fonctionnaires mais la plupart des membres du personnel (dits « cadre permanent ») bénéficient d'un statut particulier ("statut cheminot") et d'un régime spécial de retraite. Les personnels contractuels sont affiliés au régime général de la sécurité sociale créée au lendemain de la Seconde Guerre mondiale.

 

À la suite de la signature de l'armistice franco-allemand du 22 juin 1940, en application de l'article 13 de la convention d'armistice, les chemins de fer de la zone occupée (soit les deux tiers du réseau SNCF) et le « personnel spécialisé nécessaire » sont mis à la disposition de l'occupant, qui fixe les priorités (ce sera de même pour les routes et voies navigables). L'Alsace-Lorraine étant annexée, son réseau ferroviaire ainsi que le réseau Guillaume-Luxembourg sont exploités par la Deutsche Reichsbahn.

 

Dès l'été 1940, l'occupant allemand effectue des prélèvements de matériel, le premier ordre portant sur 1000 locomotives et 35 000 wagons.

 

À partir de 1941, les locomotives à vapeur de la SNCF sont équipées du traitement intégral Armand (TIA).

 

Après la rafle du Vel d'Hiv, les 16 et 17 juillet 1942, les juifs arrêtés sont déportés par les autorités françaises dans des trains de la SNCF vers les camps de Drancy, Pithiviers et Beaune-la-Rolande. Le 31 octobre 1942, un conducteur de locomotive, Léon Bronchart, a refusé de conduire un train de juifs vers la déportation ; c'est le seul cas connu. Des trains de déportés sont partis vers la frontière allemande jusqu'en 1944. Au total, environ 76 000 juifs et 86 000 déportés politiques, tziganes, résistants, homosexuels ont été envoyés de France vers les camps de la mort. En 2014, le gouvernement français a accepté de payer une pénalité de 60 millions de dollars au gouvernement américain pour avoir transporté des Américains vers les camps de la mort durant la Seconde Guerre mondiale.

 

Environ 800 employés de la SNCF ont été exécutés par les nazis pour avoir résisté aux ordres ; près de 1 200 autres ont été déportés vers des camps de la mort pour sabotage ou autres actes de désobéissance et 2 361 sont morts tués par balles, mines ou lors de bombardements.

 

Durant la Seconde Guerre mondiale, le réseau ferré est gravement endommagé. La SNCF perd près de 20 % de l'ensemble de ses moyens

 

Après de longues années de reconstruction et de modernisation du réseau, la SNCF retrouve une activité commerciale équivalente à celle d'avant-guerre et peut s'enorgueillir d'exploits techniques. Les 28 et 29 mars 1955 les locomotives CC 7107 et BB 9004 de la SNCF atteignent 331 km/h, double record du monde de vitesse. Dans les années 1950, est définitivement mis au point, par les ingénieurs de la SNCF, l'usage de l'électrification par courant alternatif « à fréquence industrielle », qui se généralise par la suite en France et dans le monde.

 

La SNCF supprime la 3e classe le 3 juin 1956.

Afin de reconquérir une clientèle d'hommes d'affaires, la SNCF participe, dès sa création en 1957, au réseau des trains Trans-Europ-Express (TEE). Parallèlement, elle renouvelle son matériel pour ses « trains drapeaux » en commandant des nouvelles voitures inox.

 

En 1967, le Capitole est le premier train à atteindre 200 km/h en service commercial, sur une partie de son trajet (Orléans-Vierzon) entre Paris et Toulouse.

 

Une convention signée le 27 janvier 1971 modifie substantiellement la convention du 31 août 1937. Cette nouvelle convention donne à la SNCF une autonomie de gestion. Elle met à la charge de l'État la compensation financières des obligations de service public qu'il lui impose. En contrepartie, la société doit rétablir son équilibre financier. Cette convention est approuvée par un décret le 7 avril 197119. Un décret du 23 décembre suivant approuve le nouveau cahier des charges auquel est soumis la SNCF.

 

Face à la concurrence de l'automobile ainsi qu'à l'émergence de transports guidés innovants, tel l'aérotrain, et de nouveaux avions à décollage court, la SNCF se lance dans la grande vitesse ferroviaire, avec le prototype TGV 001 livré en 1972. À la fin des années 1960, pour moderniser ses « trains drapeaux », la SNCF met en service de nouvelles voitures dites « Grand confort »Note 5 sur certaines relations entre Paris et la province.

 

Au début des années 1970, pour accroître la vitesse sur les lignes non électrifiées et moyennement armées, la SNCF met en service de nouvelles rames automotrices ETG (éléments à turbine à gaz) propulsées par une turbine à gaz, appelées turbotrains, auxquelles succéderont les rames RTG (rames à turbines à gaz). Outre l’aspect innovant de leur propulsion, un temps envisagé pour le futur TGV, et de leur légèreté, les ETG Paris-Caen-Cherbourg marquent une rupture commerciale avec le passé ; quasi-cadencement (plusieurs trains à heure fixe au cours de la journée), accès de la vitesse aux voyageurs de 2de classe sans supplément (en rupture avec la philosophie des « trains d’affaires avec suppléments », tels les Trans-Europ-Express). Autant de nouveautés qui seront reprises au lancement du TGV.

 

Le 31 mars 1974, la 141 R 73 du dépôt de Sarreguemines est la dernière locomotive à vapeur de la SNCF qui effectue un service commercial. Un an plus tard, le 9 juin 1975, apparaissent les premières voitures Corail. Leur couleur extérieure (bicolore avec porte d’accès de couleur vive), leur aménagement intérieur (sièges disposés de chaque côté d’un couloir central s’inspirant d’une cabine d’avion, climatisation dans les deux classes, siège en binôme en 2de classe séparé d’un accoudoir amovible, tablette de lecture amovible) et leur douceur de roulement tranchaient radicalement des autres matériels classique en service, parfois datant d’avant-guerre, donnant ainsi un effet de jeunesse et de modernité au transport ferroviaire que souhaite incarner la SNCF face à la concurrence automobile.

 

Au cours de son histoire, la SNCF a fait appel à des designers de renom, tels que Paul Arzens, Jacques Cooper et Roger Tallon, pour l'aspect intérieur et extérieur de ses matériels roulants mais aussi pour la signalétique et son identité visuelle.

 



Liens externes                                                  
     
     
     
Notes et références                                                    
   
    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

SNCF : Société nationale des chemins de fer français

Publié à 12:50 par dessinsagogo55 Tags : center mer france place saint société centerblog sur merci
SNCF : Société nationale des chemins de fer français

 

La Société nationale des chemins de fer français (SNCF) est l'entreprise ferroviaire publique française, officiellement créée par convention entre l'État et les compagnies de chemin de fer préexistantes, en application du décret-loi du 31 août 1937. Elle est notamment présente dans les domaines du transport de voyageurs, du transport de marchandises et réalise la gestion, l'exploitation et la maintenance du réseau ferré national dont elle est propriétaire.

 

La SNCF est composée de trois établissements publics à caractère industriel et commercial (EPIC), mais elle possède de nombreuses filiales, aussi bien de droit public que de droit privé, qui forment le groupe SNCF.

 

Depuis le 1er juillet 2015, la SNCF est constituée de trois établissements publics à caractère industriel et commercial (EPIC) : l'EPIC de tête « SNCF » chargé du pilotage stratégique du groupe, « SNCF Réseau » propriétaire et gestionnaire du réseau ferré national et « SNCF Mobilités » chargé de l'exploitation des trains

 

La SNCF est donc un groupe ferroviaire intégré: elle exerce à la fois le métier d'exploitant (voyageurs et marchandises) et celui de gestionnaire d'infrastructure ferroviaire.

 

La Société nationale des chemins de fer français est devenue un établissement public à caractère industriel et commercial en 1983, alors qu'elle était auparavant une société anonyme d'économie mixte.

 

En 2015, le réseau ferré national propriété de SNCF Réseau compte environ 30 000 km de lignes dont 15 687 km de lignes électrifiées et 2 024 km de lignes à grande vitesse.

 

Chaque jour, elle fait circuler 15 000 trains de fret et de voyageurs et transporte plus de cinq millions de voyageurs. Par son volume d'activité et la taille de son réseau, c'est la troisième entreprise ferroviaire européenne, après la Deutsche Bahn et les Chemins de fer russes.

 

Le groupe SNCF détient des participations majoritaires ou minoritaires dans des sociétés de droit privé et la tutelle de l'État est exercée par la direction générale des Infrastructures, des Transports et de la Mer du ministère de la Transition écologique et solidaire. Le siège social de la SNCF se trouve à La Plaine Saint-Denis, 2 place aux Étoiles, à côté de la gare du Stade de France - Saint-Denis desservie par la ligne D du RER.

 

En 2017, le groupe SNCF a enregistré un chiffre d'affaires de 33,5 milliards d'euros et un résultat net de 1,3 milliard d'euros

 

Le reste du groupe SNCF intervient dans les domaines suivants : logistique et transport routier de marchandises, transport routier de voyageurs (Keolis), liaison maritime (ex-SeaFrance), ingénierie (EFFIA, INEXIA), commerce en ligne (anciennement Voyages-sncf.com, devenu Oui.sncf le 7 décembre 2017), billettique (Ritmx). Le groupe possède aussi des participations dans des sociétés ferroviaire et gestionnaires d'infrastructure portuaire partagées avec d'autres partenaires comme Eurostar, Thalys, Elipsos, Lyria et Nuovo Trasporto Viaggiatori.

 



Liens externes                                                  
     
     
     
Notes et références                                                    
   
    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

 

 

Eudes (Odon) de Saint-Amand

Publié à 05:49 par dessinsagogo55 Tags : center mort image centerblog sur merci vie saint homme dieu coupable
Eudes (Odon) de Saint-Amand

Armoiries Eudes de Saint-Amand

 

 

Eudes (Odon) de Saint-Amand est le 8e maître de l'Ordre du Temple.

Il est originaire d'une famille noble du Limousin mais est arrivé sans doute assez jeune en Palestine car lorsqu'il parvient à la tête des templiers il a déjà derrière lui une carrière militaire bien remplie puisqu'il a occupé la charge de maréchal du royaume et de vicomte de Jérusalem. Il devient templier à une date inconnue et succède à l'éphémère Philippe de Milly à la tête de l'Ordre du Temple vers 1171. Il est réputé pour sa sagacité et son courage mais est décrit ainsi par le chroniqueur (et évêque) Guillaume de Tyr : « Homme méchant, superbe, arrogant, ne respirant que la fureur, sans crainte de Dieu et sans égard pour les hommes... Il mourut de misère, sans emporter les regrets de personne. »

 

À peine élu, il s'oppose au roi Amaury Ier de Jérusalem en refusant de livrer à la justice du roi Gantier du Mesnil, un templier coupable du meurtre d'un émissaire du Vieux de la Montagne. L'affrontement entre les deux hommes n'a pas lieu du fait de la mort du roi, remplacé par le jeune et malade Baudouin IV de Jérusalem, puis de celle de Nur ad-Din, l'Atabeg d'Alep, a qui succède Saladin. En 1177, ce dernier lance un raid sur les alentours d'Ascalon avec environ 20 000 hommes. Aussitôt Baudouin IV s'avance à sa rencontre avec à peine 3 000 fantassins et 375 chevaliers dont 80 templiers conduits par leur chef. Ceux-ci chargent à l'avant-garde et bousculent les premières lignes du sultan Ayyoubide.

 

«L'ange exterminateur semblait les suivre dans la mêlée »

Cette bataille d'Ascalon (18 novembre 1177) est une large victoire des chrétiens remportée en partie par la fougue et la furie de la charge des Templiers. Deux ans plus tard, Saladin organise des raids depuis Banias vers la région de Beyrouth, d'une part pour approvisionner l'émirat de Damas, atteint de disette à la suite de sécheresse, et d'autre part pour affaiblir le royaume de Jérusalem. Baudouin IV le lépreux réunit des troupes pour y mettre fin, accompagné du comte Raymond III de Tripoli et d'Eudes de Saint-Amand. Le camp de Saladin est repéré du haut d'une hauteur de 900 mètres que Guillaume de Tyr nomme Mesaphar et l'armée descend le mont pour intercepter une troupe de pillards menés par Farrukh-Shâh, un neveu de Saladin, qui rentre d'un raid. Pendant la descente, Eudes entraîne avec lui les Templiers et les chevaliers du comte de Tripoli et distance l'infanterie et le roi. Cette troupe de six cents chevaliers n'a aucun mal à écraser la trentaine de pillards musulmans, mais l'armée est ainsi dangereusement dispersée, et ne peut résister à la contre-attaque de Saladin (10 juin 1179). Alors que les soldats se débandent, les Templiers et les Tripolitains résistent et sont pour la plupart tués à l'exception d'Eudes de Saint-Amand et de quelques autres.

 

Le sultan souhaite l'échanger contre l'un de ses neveux prisonnier de l'Ordre mais le maître refuse qui répond :«Je ne veux point autoriser par mon exemple la lâcheté de mes religieux qui se laisseraient prendre dans l'espoir d'être rachetés. Un templier doit vaincre ou mourir, et ne peut donner pour sa rançon que son poignard et sa ceinture». Emmené en captivité il meurt à Damas le 9 octobre 1179, « regretté de personne », selon Guillaume de Tyr, tandis qu'El-Imad, juriste et secrétaire de Saladin, écrit qu'il « passa de sa prison aux cachots de l'Enfer »

 

Les hommes de son temps

 

Au cours de sa vie et comme maître de l'ordre du Temple, Eudes de Saint-Amand a côtoyé des hommes qui ont marqué leur temps :

Saladin

 


Liens externes                                                  
     
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

 

 

Lolo Ferrari

Lolo Ferrari

 

 

Ève Vallois, dite Lolo Ferrari, née le 9 février 1963 à Clermont-Ferrand et morte le 5 mars 2000 à Grasse, est une chanteuse, actrice et actrice de films pornographiques française.

 

L'origine de son pseudonyme, Lolo Ferrari, se décompose ainsi :

le prénom « Lolo » vient du mot d'argot désignant un sein mais il fait aussi référence à Lola Lola, personnage incarné par Marlène Dietrich dans L'Ange bleu

le nom « Ferrari » provient du patronyme de son grand-père maternel. Elle dut se battre — et obtint gain de cause — devant la justice pour garder ce nom, la marque automobile italienne Ferrari estimant qu'il s'agissait d'un nom déposé.

 

Elle grandit dans la région de La Baule-Escoublac (Loire-Atlantique), dans une famille de quatre enfants, un père ingénieur et une mère professeur de sport. Pendant son adolescence, elle effectue quelques petits boulots, notamment dans le mannequinat et plus tard dans le cinéma. En 1988, à 25 ans, elle épouse Éric Vigne, âgé de 41 ans. Eve a toujours eu une grande admiration pour Amanda Lear, Brigitte Bardot et Marilyn Monroe, auxquelles elle veut ressembler, aussi bien sur le plan physique que sur leur façon de mener des carrières de chanteuses et d'actrices.

 

À la recherche de célébrité et d'argent s'ajoutant la motivation impérieuse de changer de physionomie, Ève Vallois, encouragée par son mari — qui devint bientôt son manager et sembla, dès lors, abuser de la vulnérabilité de sa femme — ne subit pas moins de 25 opérations de chirurgie esthétique pour devenir Lolo Ferrari. Elle subit un lifting du visage ; ses yeux furent redessinés par trois fois ; ses lèvres furent gonflées, son nez retouché, mais elle tint surtout à augmenter la taille de son tour de poitrine. Après de nombreuses opérations, celui-ci fut porté à 180 cm, entraînant visiblement une importante tension du tissu mammaire épidermique. Selon le Guinness Book des records (éd. 2003), chacun de ses seins pesait 2,8 kg et contenait 3 litres de sérum. Elle fut élue « femme à la plus grosse poitrine du monde ». Le moule de la prothèse des seins de Lolo Ferrari a été fait par un spécialiste, avec un métal utilisé dans les tableaux de bord d'avion.

Une brassière fut conçue pour soutenir sa poitrine, car les multiples opérations qu'elle avait subies entraînaient chez elle de nombreuses souffrances physiques — ses seins l'empêchaient de dormir sur le ventre ou sur le dos — et psychologiques — elle ne parvenait plus à prendre l'avion, de peur que sa poitrine n'éclate en plein vol. Lolo Ferrari dut suivre un traitement médicamenteux très lourd pour l'aider à retrouver le sommeil. Son état mental déclina, la plongeant dans ce que son entourage considérait comme une continuelle dépression.

Elle fit sensation au Festival de Cannes en 1996 avec le film Camping Cosmos de Jan Bucquoy, lancé par le producteur belge Francis De Smet. Elle utilisa alors la formidable publicité que lui procurait sa poitrine pour obtenir un rôle régulier dans Eurotrash, programme diffusé par Channel 4. Le battage médiatique mené autour de sa personne la mena ensuite vers d'autres programmes.

Elle commença ainsi à se produire dans des cabarets de striptease, pour y chanter et s'y déshabiller. Elle s'essaya ensuite aux films érotiques, puis se tourna rapidement vers la pornographie. Elle posa pour le magazine Color Climax, très réputé dans le milieu de la pornographie.

À la suite de sa rencontre avec Bernard Schol, et son espoir d'une carrière dans la musique pop, elle signera avec Sony qui sortit le titre Air Bag Generation. Vint ensuite Set Me Free. Mais le succès ne fut pas au rendez-vous ; d'autant que son époux refusa qu'elle réponde à l'invitation de diverses chaînes de télévision et autres plateaux.

Elle tenta aussi de créer une marque de lingerie, Lolo Ferrari Underwear, mais la marque de voiture Ferrari demanda que la marque n'utilise pas le même nom, pour ne pas créer d'amalgame entre les deux enseignes.

Réduite au statut de bête de foire, Lolo Ferrari devint alors, pour certains, la cible de médisances récurrentes, quand elle constituait, pour d'autres, un véritable objet de culte.

 

Mort et interrogations

 

Le matin du 5 mars 2000, elle fut retrouvée inanimée à son domicile de Grasse. L'autopsie révéla qu'elle avait ingéré une forte dose de médicaments, sans qu'on parvînt immédiatement à déterminer si l'ingestion était volontaire ou contrainte. Selon son mari, Lolo Ferrari avait déjà réfléchi à son départ : elle aurait rendu visite à une entreprise de pompes funèbres, peu de temps avant sa mort, pour organiser ses funérailles, et aurait souhaité une tombe de couleur blanche pour être enterrée avec son ours en peluche favori, Winnie l'ourson.

Mais son mari fut arrêté peu après, car sa version des faits parut manquer de cohérence aux yeux des enquêteurs, qui mirent en avant le fait qu'au moment du décès de Lolo Ferrari, les médicaments n'étaient toujours pas passés dans le sang et n'avaient donc pas encore agi, ajoutant que son corps portait des traces de tentatives d'étouffement et de strangulation. Néanmoins, le 20 février 2007, une ordonnance de non-lieu fut rendue en faveur d'Éric Vigne, qui demanda et obtint des dommages et intérêts pour son arrestation

 

Discographie

 

1996 : Air Bag Generation (CD Single - CD Maxi - Vinyl Maxi)

1996 : Dance, dance, dance

1997 : Don't leave me this way

1999 : Set Me Free (jamais édité)

 

Filmographie sélective

 

1995 : Le King de ces Dames, de Gabriel Pontello

1995 : Ferrari Plein Pot

1996 : Big DD

1996 : Camping Cosmos, de Jan Bucquoy

1996 : Double Airbags

1996 : Planet Boobs'

1997 : Lolo Ferrari Special - The Biggest Tits In The World

1998 : Mega Tits 6

1999 : Quasimodo d'El Paris, de Patrick Timsit : la fée

2005 : "The Dark Side of Porn" - Death of a Porn Star

2006 : Der Generalmanager oder How To Sell A Tit Wonder, de Steffen Jürgens (documentaire à partir d'archives)

 

Célébrité

 

Le compositeur belge Michel Fourgon a écrit un opéra intitulé Lolo Ferrari sur la vie tumultueuse de l'actrice et créé le 8 mars 2013 à l'Opéra de Rouen. Entre les grands airs classiques est intercalé un passage plus rock inspiré du tube Airbag Génération.

Documentaires télévisés

« Les dernières heures de Lolo Ferrari » le 26 mai 2003 dans Secrets d'actualité sur M6, puis le 21 janvier 2009 dans Enquêtes criminelles : le magazine des faits divers sur W9.

« Lolo Ferrari : la vérité sur sa mort » le 27 janvier, le 2 février, les 14 et 19 avril 2010 et le 17 février 2011 dans 90' faits divers sur TMC.

 

 
Liens externes                                                  
     
     
     
Notes et références                                                    
   
    Liste des actrices pornographiques françaises
    Lolo Ferrari
   
   
    Lolo Ferrari : Airbag Generation
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

 

 

Actualité française : 1962

Actualité française : 1962

Actualité française

 

 

  mars
  Jacques Mesrine, pour la première fois, est incarcéré dix-huit mois à Évreux, pour braquage.
07/03/1962 ouverture de la conférence d’Évian (voir Accords d'Évian).
10/03/1962 attentat d'Issy-les-Moulineaux. L'explosion d'une voiture piégée fait trois morts et quarante-sept blessés.
18/03/1962 signature des accords d'Évian.
19/03/1962 cessez-le-feu en Algérie en application des accords d'Évian.
26/03/1962 l'armée française ouvre le feu sur des manifestants pieds-noirs à Alger, rue d'Isly (80 morts). Début de l'exode des pieds-noirs.

 

  août
04/08/1962 loi Malraux pour la protection du patrimoine.
22/08/1962 attentat manqué de l’OAS au rond-point du Petit Clamart contre le Général de Gaulle.

 

  octobre
01/10/1962 le Conseil d’État estime inconstitutionnel le recours à l’article 11 (référendum) pour réviser la Constitution.
04/10/1962 motion de censure votée par l'Assemblée nationale contre le gouvernement Pompidou grâce à l'article 49-2 de la constitution (pour exprimer le refus de la proposition de réforme du mode d'élection du président de la république). C'est la seule motion de censure adoptée à ce jour sous la Ve république, qui en a connu une cinquantaine.
06/10/1962 démission du gouvernement Pompidou.
09/10/1962 de Gaulle dissout l'Assemblée nationale.
13/10/1962 mise en place d'un contrôle douanier décidé par de Gaulle entre la France et Monaco. Il ne dure que quelques heures et visait à mettre la pression sur le Prince
17/10/1962 grève à la Radiodiffusion-télévision française.
18/10/1962 de Gaulle annonce qu’il se retirera si sa proposition du 4 septembre est rejetée ou timidement acceptée.
19/10/1962 le Conseil d'État annule l'ordonnance du Général de Gaulle qui avait institué la Cour militaire de justice 5 mois plus tôt.
28/10/1962 référendum sur l'élection au suffrage universel du président de la République : 62 % de oui. Dans son allocution consacrée aux élections législatives, de Gaulle demande aux électeurs de confirmer leur vote au référendum et condamne le « régime désastreux des partis ».

 

 

 

 

Économie et société

  Hiver 1962-1963 particulièrement froid.
  47 millions d’habitants en France. La population de l’agglomération parisienne se stabilise.
  0,2 % d'excédent budgétaire.
  361 milliards de francs de PIB.
  La Guerre d'Algérie s'achève après 8 ans de conflit.
  2 millions de Français ont été mobilisés
  25 000 ont été tués.
  200 000 ont été blessés.
  de 4 000 à 4 500 civils français (Pieds-Noirs) ont été tués de 1954 à 1964
  15 000 à 150 000 musulmans qui servaient au côté des Français (harkis, moghaznis, GMS ) sont massacrés après le 19 mars par les FLN
  153 000 moudjahidines ont été tués au combat. La population algérienne a perdu de 350 000 à 400 000 habitants, soit 3 % de la population
  les opérations militaires en Algérie de 1954 à 1962 ont coûté plus de 40 milliards de francs au budget de l'État, soit 13 % du PIB.
  La Guerre d'Algérie représente la dernière mobilisation de masse du contingent hors de la métropole. Les dépenses militaires, qui représentaient près de 5 % du PIB en 1962 sont considérablement réduites et passeront à 2,5 % du PIB en 1970. Démobilisation massive des forces armées qui passent de 1,5 million à 400 000 hommes.

 

Conflit algérien
Année
1954 1955 1956 1957 1958 1959 1960 1961 1962 1963
Dépenses militaires (francs 1960) 12 milliards 11 milliards 14 milliards 14,6 milliards 14,8 milliards 16,3 milliards 16,1 milliards 16 milliards 14,5 milliards 13,9 milliards
% du PIB 7,5 6,3 7,5 6,9 6 6,2 6 5,5 5 4,6
Dont affecté à l'Algérie (francs 1960) 0,5 milliard 2 milliards 4,6 milliards 5,5 milliards 7 milliards 7,5 milliards 7,7 milliards 7,8 milliards 2,5 milliards 0
Effectif militaire déployé 50000 83000 120000 250000 400000 450000 470000 480000 80000 0
                     

 

 

 

 

  Cinéma  
  Film français : 1962  

 

Naissances Décès Identité Profession N
8 octobre 1868 23 septembre 1962 Jacques Ourtal peintre fr
28 juillet 1872 26 novembre 1962 Albert Sarraut homme politique fr
13 mai 1873 14 octobre 1962 Jules Bentz compositeur, organiste et maître de chapelle fr
11 février 1876 26 novembre 1962 Joseph-Victor Communal peintre  fr
18 octobre 1881 9 décembre 1962 Paul Baudier, peintre, graveur et illustrateur fr
20 mars 1882 22 novembre 1962 René Coty ancien président de la république fr
2 juillet 1882 21 septembre 1962 Marie Bonaparte princesse, écrivain, psychanalyste fr
6 novembre 1882 4 novembre 1962 Gabriel Belot poète, peintre et graveur fr
25 juillet 1883 31 octobre 1962 Louis Massignon orientaliste  fr
27 juin 1884 16 octobre 1962 Gaston Bachelard philosophe fr
19 février 1887  ?  décembre 1962 Auguste Durand-Rosé peintre  fr
25 mai 1887 8 octobre 1962 François Eberl peintre figuratif fr
4 mars 1889 16 novembre 1962 Jean-Gabriel Domergue peintre et graveur  fr
14 janvier 1891 24 septembre 1962 Félix Goethals coureur cycliste fr
8 avril 1894 9 novembre 1962 Henri Féréol journaliste parlementaire et résistant fr
10 septembre 1897 9 juillet 1962 Georges Bataille écrivain fr
9 juillet 1898 14 septembre 1962 Marcel Delannoy compositeur fr
31 octobre 1925 28 septembre 1962 Roger Nimier écrivain fr
12 janvier 1962 12 mars 2015 Stéphane de Rosnay journaliste, éditeur de presse et producteur de cinéma fr
21 janvier 1962 1er août 2003 Marie Trintignant actrice fr
22 janvier 1962   Isabelle Nanty actrice fr
30 janvier 1962   Éric de Moulins-Beaufort   fr
4 février 1962   Jacqueline Lorains actrice de films pornographiques. fr
12 février 1962   Corinne Benizio humoriste et actrice fr
18 février 1962   Marianne James chanteuse et comédienne fr
1 mars 1962 26 novembre 2008 Loumia Hiridjee femme d'affaires, cofondatrice de la marque Princesse tam.tam  fr
2 mars 1962   Pierre Carles documentariste fr
7 mars 1962   Alain Robert grimpeur urbain fr
2 mai 1962   Jean-François Bernard coureur cycliste fr
25 mai 1962   Gilles Bouleau journaliste fr
29 juin 1962   Guy Lecluyse, comédien et humoriste fr
29 juin 1962   Frédéric Laffont réalisateur  fr
5 juillet 1962   Philippe Vandel journaliste fr
13 juillet 1962   Thierry Dedegbe taekwondoïste fr
25 juillet 1962   Étienne Leenhardt journaliste fr
1 août 1962   Mac Lesggy, ingénieur agronome, animateur et producteur de télévision fr
5 août 1962   Emmanuel Chain journaliste, producteur de télévision et animateur fr
6 août 1962   Marc Lavoine chanteur fr
8 août 1962   Emmanuel Patron acteur fr
31 août 1962   Nicolas Brouwet évêque catholique, évêque auxiliaire de Nanterre. fr
2 septembre 1962   Dominique Farrugia humoriste fr
8 septembre 1962   Jean-Félix Lalanne guitariste et compositeu fr
11 septembre 1962   Pierre Huyghe artiste plasticien  fr
12 septembre 1962   Philippe Cassard pianiste classique et producteur de radio fr
19 septembre 1962   Christian Sudol homme d'affaires fr
21 septembre 1962 2 mai 2016 Hubert Mounier musicien, chanteur et auteur de bande dessinée  fr
4 octobre 1962 22 mai 2015 Jean-Luc Sassus footballeur fr
9 octobre 1962 9 août 2015 Coyote dessinateur fr
12 octobre 1962   Patrick Bosso humoriste et acteur  fr
23 octobre 1962 24 novembre 2014 Laurent Rachou comédien-dramaturge fr
26 octobre 1962   Mireille Delunsch, soprano lyrique fr
29 octobre 1962   Thierry Lamy scénariste de bande dessinée  fr
31 octobre 1962   Guillaume de Tanoüarn prêtre catholique traditionaliste et philosophe fr
29 novembre 1962   Catherine Chabaud navigatrice fr
30 novembre 1962   Gérard Vives acteur, humoriste et animateur de télévision fr
6 décembre 1962   Claude Chirac conseillère en communication fr
14 décembre 1962   Cendrine Dominguez animatrice et productrice de télévision fr
16 décembre 1962   Liane Foly chanteuse fr
16 décembre 1962   Charly Mottet coureur cycliste fr
26 décembre 1962   Jean-Marc Ferreri,  footballeur fr
28 décembre 1962 6 janvier 1999 Michel Petrucciani   fr

 

 

 

Emmanuelle Arsan

Publié à 17:26 par dessinsagogo55 Tags : littérature roman sur vie homme chez enfants film livre maison center
Emmanuelle Arsan

Emmanuelle Arsan, née Marayat Bibidh, de son nom d'épouse Marayat Rollet-Andriane, née le 19 janvier 1932 à Bangkok, et morte le 12 juin 2005 chez elle, dans sa maison qui portait le nom de Chantelouve d'Emmanuelle, à Callas, après une longue maladie, est une romancière française d'origine thaïlandaise, principalement connue pour avoir signé le roman érotique Emmanuelle. On l'a également vue comme actrice dans le film américain La Canonnière du Yang-Tse.

 

Marayat Bibidh épouse en 1956 un diplomate français, Louis-Jacques Rollet-Andriane.

En 1966, sous le nom de Marayat Andriane, elle joue le rôle de Maily, aux côtés de Steve McQueen, dans La Canonnière du Yang-Tse (The Sand Pebbles) de Robert Wise. Mais c'est surtout comme écrivain qu'elle devient célèbre, en publiant chez Éric Losfeld, sous pseudonyme, son roman Emmanuelle (1959) qui sera aussitôt interdit de publicité. Cela n'empêche pas le roman d'obtenir un succès planétaire et de faire l'objet d'un grand nombre d'adaptations au cinéma et à la télévision.

Selon certains témoignages, le véritable auteur des romans signés Emmanuelle Arsan aurait été non pas Marayat Rollet-Andriane, mais son époux. Une autre hypothèse serait celle d'un roman rédigé à quatre mains par les deux époux.

Suzanne Brogger, écrivaine et amie du couple, confie dans une postface écrite pour la réédition de La Philosophie Nue que l'auteur est bien Louis-Jacques Rollet-Andriane.

Emmanuelle Arsan a également signé le scénario d'un film, Laure (intitulé "Forever Emmanuelle" dans certains pays internationaux, sans doute pour le faire bénéficier du succès du film homonyme), sorti en 1976, où elle tient aussi un rôle secondaire, et dont la réalisation (non signée) lui a été attribuée. Mais, selon des critiques et des témoignages de membres de l'équipe, le film aurait été écrit et en partie réalisé par son époux, une autre partie de la mise en scène étant assurée par le directeur de la photographie, Roberto D'Ettorre Piazzoli.

Louis-Jacques Rollet-Andriane revient, en poèmes, sur sa vie avec Marayat et sur l’œuvre d'Emmanuelle Arsan dans le recueil Le livre des cendres d'Emmanuelle publié à titre posthume en mai 2017 par Les Cahiers de l'Égaré et les éditions Le Sélénite

Œuvre

 

Emmanuelle – Éric Losfeld (édition clandestine), 308 p., 1959

Emmanuelle L'anti-vierge – Éric Losfeld (édition clandestine), 356 p., 1960

Emmanuelle – La leçon d'homme – Paris, Éric Losfeld, Le Terrain Vague, 232 p., 1967

Emmanuelle – L'anti-vierge – Paris, Éric Losfeld, Le Terrain Vague, 296 p., 1968

Epître à Paul VI (Lettre ouverte au pape, sur la pilule) - Paris, Éric Losfeld, 1968

Nouvelles de l'érosphère – Paris, Éric Losfeld, Le Terrain Vague, 215 p., 1969

Dessins érotiques de Bertrand vol. 1- Pistils ou étamines, une liesse promise - Paris, Eric Losfeld, 1969

Emmanuelle à Rome (sous le pseudonyme de Bee Van Kleef) – Paris, Eureditions, 280 p., 1971. Rééd. Montréal, Les Presses Libres, 1972. Rééd. Toulouse, Livre d'Oc, 1979. Rééd. Paris, Belfond, 2013

Mon "Emmanuelle", leur pape, et mon Éros – Paris, Christian Bourgois, 219 p., 1974

L'Hypothèse d'Éros – Paris, Filipacchi, 287 p., 1974

Les Enfants d'Emmanuelle – Paris, Opta, 317 p., 1975

Laure – Paris, Pierre Belfond, 312 p., 1976

Néa – Paris, Opta, 264 p., 1976

Toute Emmanuelle - Paris, Pierre Belfond, 224 p., 1978

Vanna – Paris, Pierre Belfond, 315 p., 1979

Sainte louve - Paris, Pierre Belfond, 352 p., 1983

Les Soleils d'Emmanuelle - Paris, Pierre Belfond, 264 p., 1988. Rééd. Paris, Belfond, 2013

Emmanuelle (Première édition intégrale) – Paris, Robert Laffont/Jean-Jacques Pauvert, 1988

Les Débuts dans la vie - Paris, Le Grand Livre du mois, 191 p., 1989. Rééd. Paris, Belfond, 2013

Valadié - Paris, Éditions Lignes, 190 p., 1989

Chargée de mission - Paris, Pierre Belfond, 201 p., 1991

Bonheur - Les Cahiers de l'Égaré, 91 p., 1993

Aurélie - Paris, Pierre Belfond, 213 p., 1994. Rééd. Paris, Belfond, 2013

La Siamoise nue - Paris, Le Cercle, 552 p., 2003

Bonheur 2 - Les Cahiers de l'Égaré, 125 p., 2008

Parce qu'ils ne pouvaient pas s'en empêcher dans Disparition de Michel Bories, Les Cahiers de l'Égaré, 250 p., 2008

La Philosophie nue - Éditions Le Sélénite, 116 p., 2016

 

 

 

 

 

Valérie Kaprisky

Valérie Kaprisky

Valérie Chérès, dite Valérie Kaprisky, née le 19 août 1962 à Neuilly-sur-Seine, est une actrice française. Kaprisky est le nom de naissance de sa mère.

Après avoir passé son enfance dans la banlieue parisienne, Valérie Kaprisky déménage à l'âge de 8 ans à Cannes. Des amis de ses parents lui font découvrir le septième art par l'intermédiaire du Festival. En 1975, le passage de Romy Schneider sur la Croisette la persuade de faire elle aussi carrière dans le cinéma. A 17 ans, elle revient seule à Paris et s'inscrit au cours Florent. Après avoir figuré dans quelques spots publicitaires, elle est remarquée par Jean-Marie Poiré qui la choisit pour son premier rôle sur grand écran dans Les hommes préfèrent les grosses.

En 1983, elle obtient son premier rôle important dans À bout de souffle, made in USA de Jim McBride, le remake américain du film éponyme de Jean-Luc Godard, dans lequel elle est la partenaire sulfureuse de Richard Gere. En 1984, sa prestation d'aspirante actrice entretenant une relation charnelle avec son metteur en scène dans La Femme publique lui permettant d'être nominée au César de la meilleure actrice. Le film est un succès et contribue largement au lancement de sa carrière.

Valérie Kaprisky reste associée à des rôles provocateurs : adolescente séductrice et manipulatrice dans L'Année des méduses, flamboyante Gitane changeant complètement la vie d'un homme chez Philippe de Broca, jeune femme mystérieuse au passé douteux dans Milena ou encore mère dévorée par une passion inattendue dans Mouvements du désir. Le fait qu'elle apparaisse fréquemment nue dans La Femme publique et L'Année des méduses contribue à attirer l'attention sur elle.

À la fin des années 1980, elle décide de ne plus accepter de rôle « déshabillé ». Elle déclare par la suite : « C'est vrai que, d'un coup, j'ai eu un problème avec la nudité. Je l'avais acceptée car la plupart des rôles féminins l'exigeaient dans les années 80. Mais j'avais le sentiment qu'on ne retenait que ça. À un moment, me retrouver nue sur un plateau m'a semblé insupportable ! ». De son propre aveu, son refus de la nudité à l'écran contribue alors à la raréfaction des propositions de rôles qui lui sont faites. Elle est également affectée par l'échec commercial de Milena.

Moins demandée au cinéma, Valérie Kaprisky continue d'apparaître à l'écran. Elle tourne, sous la direction d'Alexandre Arcady, Dis-moi oui (1995), puis Une place parmi les vivants de Raoul Ruiz (2003), dans lequel elle tient un des rôles principaux.

En 2009, elle tient l'un des rôles principaux dans la mini-série L'Internat diffusée sur M6. La série n'est pas reconduite pour une deuxième saison.

Éclectique, elle n'hésite pas à s'essayer à différents genres, comme le film policier Mon petit doigt m'a dit... dans lequel elle donne la réplique à André Dussollier, son partenaire de Mon ami le traître ou encore le drame social, Les Irréductibles.

 

Filmographie

Cinéma

1981 : Le jour se lève et les conneries commencent

1981 : Brantôme 81: Vie de dames galantes de José Bénazéraf : …

1981 : Les hommes préfèrent les grosses de Jean-Marie Poiré : une copine d'Éva

1982 : Aphrodite de Robert Fuest : Pauline

1982 : Une glace avec deux boules ou je le dis à maman de Christian Lara : Marie, l'amie de Vanessa

1982 : Légitime Violence de Serge Leroy : Nadine

1983 : À bout de souffle, made in USA (Breathless) de Jim McBride : Monica Poiccard

1984 : La Femme publique d'Andrzej Żuławski : Ethel

1984 : L'Année des méduses de Christopher Frank : Chris

1986 : La Gitane de Philippe de Broca : Mona

1988 : Mon ami le traître de José Giovanni : Louise

1989 : Stradivari de Giacomo Battiato : Francesca

1991 : Milena de Véra Belmont : Milena Jesenska

1993 : La Fine è nota de Cristina Comencini : Maria Manni

1994 : Mouvements du désir de Léa Pool : Catherine

1995 : Dis-moi oui d'Alexandre Arcady : Nathalie

1997 : Glam de Josh Evans (en) : Treasure

2003 : Fenêtre sur couple de Claude Lallemand : Fany (court-métrage)

2003 : Une place parmi les vivants de Raoul Ruiz : Maryse

2003 : L'Acqua... il fuoco de Luciano Emmer : Iris

2005 : Mon petit doigt m'a dit... de Pascal Thomas : Françoise Blayes

2006 : Les Irréductibles de Renaud Bertrand : Laurence

2007 : Le Cœur des hommes 2 de Marc Esposito : Jeanne

2008 : Envoyés très spéciaux de Frédéric Auburtin : Françoise Poussin

2009 : Tricheuse de Jean-François Davy : Marion

2014 : Salaud, on t'aime de Claude Lelouch : Francia

Télévision

1991 : L'Amérique en otage de Kevin Connor : Zaleh

1994 : Rendez-moi ma fille d'Henri Helman

1995 : Noël et après de Daniel Vigne : Nicole

1997 : L'Enfant du bout du monde de Christian Faure : Alice Valère

1998 : La Dernière des romantiques de Joyce Buñuel : Lise Marie

1998 : Il Tesoro di Damasco feuilleton de José María Sánchez : Marie

1999 : Brigade des mineurs de Michaëla Watteaux : Laurence Dorlaville

2000 : Toute la ville en parle de Marc Rivière : Fabienne Serrant

2001 : Les Enquêtes d'Éloïse Rome de Denys Granier-Deferre : épisode Le Prix d'un homme

2002 : Sentiments partagés de Daniel Janneau : Lisa

2004 : L'Homme de mon choix de Gérard Cuq : Camille Rozières

2004 : Moitié-moitié de Laurent Firode : Elizabeth Da Silva

2005 : Jaurès, naissance d'un géant de Jean-Daniel Verhaeghe : Louise

2005 : Galilée ou l'Amour de Dieu de Jean-Daniel Verhaeghe : Marina

2006 : Commissaire Valence de Jean-Luc Breitenstein : épisode Double Face

2006 : Commissaire Cordier de Eric Summer : épisode Haute sécurité

2007 : Le Clan Pasquier de Jean-Daniel Verhaeghe

2009 : C'est mon tour de Patrice Martineau : Élodie

2009 : L'Internat : Elsa Lendorff

2010 : Any Human Heart de Michael Samuels : Gabrielle Dupetit

2011 : Joséphine, ange gardien, épisode 62 : Yasmina réalisé par Sylvie Ayme : Hélène Weiler

2013 : Commissaire Magellan d'Étienne Dhaene : épisode Chaud devant ! : Sylvia Galtier

2013 : Julie Lescaut, épisode L'ami perdu réalisé par René Manzor : Ariane

2015 : Section de recherches (saison 9, épisodes 9 à 12) : Laura Belmont / Annabelle Imbert

2015 : Le Secret d'Élise d'Alexandre Laurent : Catherine Enthoven

2015 : Meurtres à La Rochelle d'Étienne Dhaene : Alexandra Larcher

2016 : Section de recherches (saison 10, épisodes 1 à 4) : Laura Belmont

2017 : Les Crimes silencieux de Frédéric Berthe : Myriam Lévin

2018 : Un si grand soleil : Jo Real

Théâtre

1992 : Passagères de Daniel Besnehard, mise en scène Andréas Voutsinas, Théâtre de la Gaîté-Montparnasse

2007, 2008 : Faces d'après le film de John Cassavetes, Théâtre national de Nice

2009 : Faces d'après le film de John Cassavetes, Théâtre La Criée, Théâtre Nanterre-Amandiers

Dans l'art

Un buste en glaise de Valérie Kaprisky fut réalisé par le sculpteur Daniel Druet