Date de création : 09.04.2012
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
L'Aigle noir est une chanson de Barbara parue en 1970 dans l’album auquel elle donne son nom. Sur la pochette originale, la chanson est « dédiée à Laurence », nièce de la chanteuse.
Genèse
Alors qu'elle termine un nouvel album en 1970, Barbara se rend compte qu'il lui manque un titre. Elle raconte avoir retrouvé dans le tiroir d'une commode un texte écrit quelques années plus tôt, à la suite d'un rêve dans lequel elle aurait vu un aigle descendre vers elle. Elle se met au piano et compose une musique sur ce texte en s'inspirant d'une sonate de Beethoven.
En mai 2015, selon un sondage BVA, elle est désignée comme la troisième « chanson préférée des Français », derrière Mistral gagnant de Renaud et Ne me quitte pas de Jacques Brel.
Le texte de Barbara reprend quelques mots de la prophétie de l’aigle d’Ézéchiel, dans la Bible Segond
Interprétations du sens du texte
Une interprétation psychanalytique de la chanson a été proposée par Philippe Grimbert. Selon lui, la chanson décrirait un rêve de Barbara, rêve dans lequel elle dort au bord d'un lac, jusqu'à ce qu'un aigle noir fasse irruption dans le ciel, troublant son sommeil. Barbara reconnaîtrait cet aigle comme un personnage émergeant de ses souvenirs d'enfance, sans dire à l'auditeur de la chanson quel est ce personnage.
Dans ses mémoires posthumes inachevés, Il était un piano noir... (1997), Barbara révèle qu'elle a été victime de viols de la part de son père pendant son enfance mais, à aucun moment, elle n'établit de lien entre cette chanson et son père. Grimbert voit un lien entre cet événement et la chanson, en la rapprochant d'un ouvrage de Freud publié en 1910, Un souvenir d'enfance de Léonard de Vinci, dans lequel le psychanalyste relève l'unique épanchement de Vinci sur son enfance. Encore au berceau, « un vautour vint à moi, m'ouvrit la bouche avec sa queue et plusieurs fois me frappa avec cette queue entre les lèvres ». Freud associe la queue du vautour à un membre viril, un pénis. Ce qui fait dire à Grimbert qu'il pourrait y avoir eu un traumatisme sexuel infantile chez Barbara.
Pour Patrick Bruel (qui a repris le titre en 2015 sur l'album Très souvent, je pense à vous…), « L'Aigle noir aurait pu faire référence à l'emblème du Troisième Reich. » Une interprétation considérée comme « possible puisque Barbara, issue d'une famille juive alsacienne, était âgée d'une dizaine d'années pendant l'Occupation. Ses parents ont fui sous le régime de Vichy, et la famille s'est réfugiée en Isère pendant les deux dernières années de la guerre ».
Dans le cadre de l'affaire Gérard Depardieu, après la publication, en avril 2023, des témoignages de treize femmes dans Mediapart accusant Gérard Depardieu de violences sexuelles, des mouvements féministes interviennent dans plusieurs villes en France pour empêcher la tournée de Gérard Depardieu chantant Barbara. Parmi les interpellations des manifestantes à Gérard Depardieu, une revient régulièrement : « L’Aigle noir, c’est toi ».
Musiciens
Arrangements, direction et orchestre de Michel Colombier
Reprises
Maria del Mar Bonet en catalan (1971).
Warum Joe sur leur album Toccare La Verità (1984).
Bibie sur l'album Tendress'moi (1988).
Marie Carmen en 1992 (album Miel et Venin) et en concert en 1996 (album Déshabillez-moi).
Killers sur l'album Cités interdites (1992).
Les Charts en concert en 1995 (cd bonus avec le double CD Acte 1).
Marie-Paule Belle en 1996, sur l'album collectif Les plus belles chansons françaises - 1970 (Atlas).
Catherine Ribeiro en concert en 1997 (album Chansons de légende) et en 2002 (double CD Live au Théâtre Toursky).
Nicole Croisille sur l'album collectif Hommage - Ils chantent Barbara (1998, Atlas).
Patricia Kaas en concert en 1998 (double CD Rendez-vous), en 2000 (double CD Live) et en 2005 (CD Toute la musique...).
Les Enfoirés en concert en 1998 (Duo interprété par Patricia Kaas et Pascal Obispo, lors du concert des Enfoirés en cœur, sur CD).
Florent Pagny en concert en 1998 (album En concert) et en 2012 (double cd Ma liberté de chanter - Live acoustic).
Rikard Wolff en suédois en 2000 (Den Svarta Örnen).
Laurent Brennetot sur son album de reprises en 2000.
Nina en catalan (2002).
Roland Romanelli, instrumental sur l'album de Romanelli - Ann'so, Ma plus belle histoire d'amour... Barbara (2002).
Lucid Beausonge sur l'album collectif Hommage à Jacques Brel - Hommage à Barbara (coffret Hommage aux grands de la chanson, Sélection du Reader's Digest, 2003).
Mathieu Rosaz sur son album Chante Barbara (2003).
Thierry Amiel sur son album Paradoxes (2003).
Hélène Fasan sur son album Crie (2004).
Michel Sardou en concert en 2005 (double CD Live 2005 au Palais des sports), en 2013 (double CD Live 2013 - Les Grands Moments à l'Olympia) et lors de sa dernière tournée intitulée La Dernière Danse en 2017-2018.
Paule-Andrée Cassidy en concert en 2008 (album Pieds nus).
Jason Kouchak sur son album Comme d'Habitude (2010).
Opium du peuple sur l'album Best Off (2010).
Marina Xavier, en français (sur son album Where do you start? de 2010).
Daphné sur son album de reprises 13 chansons de Barbara en 2012.
Roger Mas en catalan, en concerts et enregistrée sur son album live Roger Mas i la Cobla Sant Jordi-Ciutat de Barcelona (2012).
Patrick Bruel sur son album Très souvent, je pense à vous… (2015), regroupant 15 chansons signées de Barbara.
Gérard Depardieu sur son album Depardieu chante Barbara (2017), regroupant 14 titres Live repris par Gérard Depardieu et Gérard Daguerre.
Talya Eliav en hébreu, sur son album Talya Eliav chante Barbara (2017)
Karen Ackers, chanteuse américaine.
Et de multiples versions par des chanteuses japonaises. L'Aigle Noir et Barbara étant très populaires au Japon, un dessin animé a été créé sur le thème de L'Aigle Noir.
Une extrapolation lyrique sur le thème de L'Aigle Noir, "Démon Ailé", a été composée par la compositrice Marie-Rose Diebold et l'auteur et contralto Christian Le Gall (Théâtre du Roseau. Paris 1992)
La chanson est illustrée dans l'album Chansons de Barbara en bandes dessinées. Quand la narration dit « C'est alors que je l'ai reconnu », l'oiseau se transforme en homme.
La chanson est parodiée par Marcel Gotlib dans un album de la bande dessinée Rubrique-à-brac, l'aigle noir devenant un éléphant rose, au cours d'un rêve sous l'influence de l'alcool : Barbara rend visite un après-midi (vers 16 heures) à un ami. Ce dernier, sorti de son lit, se réveille avec la gueule de bois et lui raconte l'étrange histoire qui lui est arrivée alors qu'il rentrait chez lui au petit matin après sa nuit de beuverie : marchant, il s'est retrouvé seul près d'un lac, où il s'est endormi. Peu après, il fut réveillé par un éléphant rose « venant de nulle part et semblant crever le ciel… » Il le reconnait alors ! L'éléphant n'est autre que Fanfan la peluche de son enfance. Il le supplie de l'emmener comme avant « cueillir des étoiles, sur un nuage blanc ». L'éléphant rose refuse car il empeste l'alcool et « dans un bruissement d'ailes prend son vol pour regagner le ciel », en maugréant que les enfants ne devraient jamais grandir. En rentrant chez elle, Barbara se remet au piano et, selon la parodie de Gotlib, cette histoire lui inspira la chanson L'Aigle noir.
Dans le sketch des Frères ennemis intitulé L'Aigle noir, l'un des protagonistes tente d'interpréter la chanson tandis que l'autre ne cesse de l'interrompre avec des remarques sur les bizarreries et les incohérences du texte. À la fin ils reçoivent un coup de téléphone de la S.P.A. qui les accuse de « massacrer » ce pauvre aigle.
En janvier 2015, Dieudonné est condamné par le tribunal de grande instance de Paris pour violation du droit moral, pour avoir modifié le titre et les paroles de L'Aigle noir en Le Rat noir ; le tribunal ayant estimé que sa chanson dénaturait l'originale et qu'elle ne pouvait être considérée comme une parodie notamment en raison de la violence des propos tenus
Paroles
Un beau jour, Ou peut-être une nuit Près d'un lac, je m'étais endormie Quand soudain, semblant crever le ciel Et venant de nulle part, Surgit un aigle noir. Lentement, les ailes déployées, Lentement, je le vis tournoyer. Près de moi, dans un bruissement d'ailes, Comme tombé du ciel, L'oiseau vint se poser. Il avait les yeux couleur rubis Et des plumes couleur de la nuit. À son front, brillant de mille feux, L'oiseau roi couronné Portait un diamant bleu. De son bec, il a touché ma joue. Dans ma main, il a glissé son cou. C'est alors que je l'ai reconnu : Surgissant du passé, Il m'était revenu. Dis l'oiseau, O dis, emmène-moi. Retournons au pays d'autrefois, Comme avant, dans mes rêves d'enfant, Pour cueillir en tremblant Des étoiles, des étoiles. Comme avant, dans mes rêves d'enfant, Comme avant, sur un nuage blanc, Comme avant, allumer le soleil Être faiseur de pluie Et faire des merveilles. L'aigle noir, dans un bruissement d'ailes Prit son vol pour regagner le ciel. Quatre plumes, couleur de la nuit, Une larme, ou peut-être un rubis. J'avais froid, il ne me restait rien. L'oiseau m'avait laissée Seule avec mon chagrin. Un beau jour, ou était-ce une nuit Près d'un lac je m'étais endormie. Quand soudain, semblant crever le ciel Et venant de nulle part Surgit un aigle noir. |
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MUSIQUE (S) | |||||||||||||||||||||||||||
Barbara : L'Aigle noir | |||||||||||||||||||||||||||
ADRESSE(S)EXTERNE(S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DATE | ../../1970 | ||||||||||||||||||||||||||
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Cambodia est le quatrième single de la chanteuse britannique Kim Wilde. Le single est sorti fin 1981, une année où Kim Wilde comptait déjà trois singles au top des charts et un premier best-seller.
Cambodia a plus tard été inclus sur le second album studio de Kim Wilde, Select sorti en 1982. Dans cette version, le titre est suivi d'un long passage instrumental, reprenant le thème principal à un tempo plus soutenu, intitulé Reprise.
Musicalement et lyriquement, Cambodia a montré un changement de direction pour Wilde par rapport à la musique new wave de son premier album. La chanson a été principalement axée sur le synthétiseur, avec un son oriental des percussions.
Les paroles, qui racontent l'histoire de l'épouse d'un pilote de l'US Air Force basé en Thaïlande, dont le mari disparaît mystérieusement lors d'un vol au-dessus du Cambodge et ne revient jamais, sont inspirées de quelques-unes des tragédies qui ont eu lieu au Sud-Viêt Nam. Lors de l'écriture des paroles, Marty Wilde a imaginé un pilote américain volant à bord d'un McDonnell Douglas F-4 Phantom II, abattu par un missile anti-aérien. Il était initialement prévu d'inclure au titre Reprise un bruitage de moteurs à réaction, suivi du son d'une fusée de soufflage du Phantom II. Cependant, la pochette du single montrant une bande dessinée mettant en vedette des hélicoptères, ces sons ont dû être remplacés.
Réception
Le single fut un succès international, atteignant la première position des charts en Suède, en Suisse et au Danemark. Il fut également numéro un en France, où il s'est vendu à un million d'exemplaires et est certifié disque de platine. Le single a été publié au format vinyle 7" ainsi qu'au format 12" en Allemagne, mais pas dans une version remixée ou longue. La Face-B de ces singles est un morceau exclusif intitulé Watching For Shapes.
Reprises
Le groupe norvégien Apoptygma Berzerk sur You and Me Against the World fait une reprise très accélérée aux accents électroniques propre au groupe.
Cette chanson a été aussi reprise par Vorwerk sous le titre Vietnam.
Dans la culture de la musique Electronique, ce titre est devenu un classique avec de nombreux remix.
Dans la culture
2006 : Dans Paris - bande originale du film.
2014 : La French - bande originale du film.
2015 : Discount - bande originale du film.
2018 : The Strangers : Prey At Night - bande originale du film
2019 : Vernon Subutex - bande originale de la série.
Liste des titres
Titres écrits et composés par Ricki Wilde et Marty Wilde.
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And as the nights passed by
She tried to trace the past
The way he used to look
The way he used to laugh
I guess she'll never know
What got inside his soul
She couldn't make it out
Just couldn't take it all
He had the saddest eyes
The girl had ever seen
He used to cry some nights
As though he lived a dream
And as she held him close
He used to search her face
As though she knew the truth
Lost inside Cambodia
But then a call came through
They said he'd soon be home
She had to pack a case
And they would make a rendez-vous
But now a year has passed
And not a single word
And all the love she knew
Has disappeared out in the haze
(Cambodia, don't cry now, no tears now)
And now the years have passed
With not a single word
But there is only one thing left
I know for sure
She won't see his face again
Source : LyricFind
Paroliers : Marty Wilde / Ricky Wilde
Paroles de Cambodia © Warner Chappell Music, Inc
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Kim Wilde | |||||||||||||||||||||||||||
Kim Wilde | |||||||||||||||||||||||||||
Kim Wilde | |||||||||||||||||||||||||||
Kim Wilde " Cambodia " | |||||||||||||||||||||||||||
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Personnalités barisiennes
Jean Crocq (xve siècle), sculpteur sur bois et pierre.
Jean III de Lorraine (1498-1550), cardinal, intime du roi François Ier.
Louis de Lorraine (1500-1528), évêque de Verdun, comte de Vaudémont.
Marie de Guise (1515-1560), Reine consort d’Écosse.
Gilles de Trèves (1515-1582), doyen de la collégiale Saint-Maxe et seigneur de Ville-sur-Saulx, dote Bar-le-Duc d’un collège qui porte son nom.
François de Guise (1520-1563), duc de Guise, duc d’Aumale, pair de France et grand maître de France, militaire et homme d’État.
Jean Errard (1554-1610), mathématicien et ingénieur militaire.
Didier Dounot (1574-1640), juriste et mathématicien.
Jacques Houzeau (1624-1681), sculpteur, membre de l'Académie royale.
Jean-Henry d'Anglebert (1629-1691), musicien claveciniste et compositeur.
Louis Joblot (1645-1723), naturaliste.
Rémy Ceillier (1688-1763), bénédictin, historien de l'Église catholique.
Pierre Parisot dit Père Norbert (1697-1769), frère mineur capucin.
Jean-Antoine Louis (1742-1796), fonctionnaire municipal de Strasbourg, député de la Convention nationale.
Nicolas Champion de la Meuse (1756-1815), homme politique de la Révolution et du Premier Empire.
Florentin Ficatier (1765-1817), général de la Révolution et de l’Empire.
Nicolas-Charles Oudinot (1767-1847), duc de Reggio, maréchal d'Empire.
Jean-Joseph Regnault-Warin (1773-1844), romancier et pamphlétaire.
Rémy Joseph Isidore Exelmans (1775-1852), maréchal de France.
François Augustin Caunois (1787-1859), sculpteur et médailleur.
Frédéric Lanthonnet (1788-?), militaire, maréchal de camp.
Charles-Louis Moreau (1789-1872), homme politique et avocat, président de la cour d'appel de Nancy, député de la Meurthe.
Nicolas-Charles-Victor Oudinot (1791-1863), duc de Reggio, général de division.
Charles Desaux (1797-1882), homme politique, député de la Meuse, né à Bar-le-Duc.
Adolphe Moreau (1802-1879), homme politique, député de la Meuse.
Gaspard Launois (1806-1886), homme politique, député de la Meuse.
Émile Grignard (1807-1870), géomètre du cadastre puis fondateur et directeur de la Compagnie du chemin de fer de Lyon (la Croix-Rousse) au camp de Sathonay.
Edme Collot (1808-1860), homme politique, député de la Meuse.
Pierre Michaux (1813-1883), et son fils Ernest (1842-1882), inventeurs du vélocipède à pédales (michaudine).
Maurice de Vaines (1815-1872), artiste-peintre.
François Joseph Tronville (1817-1878), artiste-peintre.
Henri Bompard (1821-1906), homme politique et industriel dans la filature.
Henri de Beurges (1822-1912), homme politique.
Charles-Maurice de Moncets (1827-1096), général de brigade.
Claude Millon (1828-1887), homme politique et avocat, maire de Bar-le-Duc, député de la Meuse.
Edmond Laguerre (1834-1886), mathématicien, connu pour les polynômes qui portent son nom.
Auguste Vivenot (1835-1884), homme politique, sénateur de la Meuse.
Charles-Maurice Ernest Jacquelot de Moncets (1838-1906), général de division.
Albert Cim (1845-1924), romancier, critique littéraire et bibliographe.
Jules Develle (1845-1919), homme politique et avocat.
Marcel Hébert (1851-1916), philosophe.
Olivier Sainsère (1852-1923), homme politique et grand amateur d’art, collectionneur et mécène.
Jacques Onfroy de Bréville dit Job (1858-1931), dessinateur et illustrateur de livres d’enfants.
Georges Robineau (1860-1927), haut fonctionnaire, gouverneur de la Banque de France.
Raymond Poincaré (1860-1934), homme d'État, 10e Président de la République française de février 1913 à février 1920.
Pierre de Bréville (1861-1949), compositeur.
Émile Bréhier (1876-1952), écrivain, philosophe et historien.
Jules-Henri Desfourneaux (1877-1951), bourreau.
Marcel Ulrich (1880-1933), homme politique et ingénieur des mines.
Ernest Wickersheimer (1880-1965), bibliothécaire, directeur de la Bibliothèque nationale et universitaire de Strasbourg.
Henri Royer (1885-1974), architecte, a contribué à la reconstruction de Reims.
Marguerite Eberentz (1895-1973), résistante.
Maurice Parisot (1899-1944), résistant, chef du Bataillon de guérilla de l'Armagnac.
Pierre Camonin (1903-2003), organiste, compositeur et improvisateur.
André Grandvalet dit Ded Rysel (1903-1975), chansonnier et acteur.
Jean Driesbach dit Jean Dries (1905-1973), peintre.
Gaston Floquet (1917-2001), artiste plasticien et traducteur.
Jennifer (chanteuse) (1942-2015), chanteuse.
Christian Pierret (1946-), homme politique socialiste, ministre, député des Vosges et maire de Saint-Dié-des-Vosges.
Michel Bernard (1958-), écrivain.
Marie-Anne Frison-Roche (1959-), professeur de droit économique à Sciences Po.
Jean-Michel Corillion (1964-), réalisateur et chef-opérateur.
Didier Gustin (1966-), imitateur et acteur.
Jean-Philippe Doux (1972-), journaliste et chroniqueur de télévision.
Magali Humbert-Faure (1972-), coureuse cycliste française.
Sophie Thalmann (1976-), animatrice et mannequin, Miss France 1998.
Ludovic Hubler (1977-), entrepreneur social et écrivain-voyageur.
Anaïs Delva (1986-), chanteuse et comédienne.
Benjamin Compaoré (1987-), athlète, spécialiste du triple saut.
Claire Jacquet (1988-), athlète, spécialiste du canoë-kayak.
Félix Bour (1994-), athlète, spécialiste en athlétisme.
Autres personnalités liées à la ville
Liste de personnalités qui sont décédées, ont vécu ou ont fortement influencé la ville de Bar-le-Duc.
Jean-Louis Simien (1736-1803), général de brigade, mort à Bar-le-Duc.
Guillaume Latrille de Lorencez (1772-1855), général des armées de la Révolution et de l'Empire, mort à Bar-le-Duc.
Jean Landry Gillon (1788-1856), magistrat et homme politique, adjoint au maire de Bar-le-Duc, député de la Meuse, mort à Bar-le-Duc.
Laurent-Charles Maréchal (1801-1887), dessinateur, pastelliste et maître-verrier, considéré comme le chef de file de l'École de Metz, mort à Bar-le-Duc.
Ernest Bradfer (1833-1887), maître de forges, homme politique, maire de Bar-le-Duc, mort à Bar-le-Duc.
André Theuriet (1833-1907), poète, romancier, académicien, passa sa jeunesse à Bar-le-Duc où il situe l'action d'un grand nombre de ses romans.
Paul Lardin (1844-1942), manufacteur d'armes.
Wlodimir Konarski (1852-1906), graveur, conseiller de préfecture et historien, mort à Bar-le-Duc.
Éloi Ragon (1853-1908), abbé, helléniste et latiniste, mort à Bar-le-Duc.
Rudolf Diesel (1858-1913), ingénieur thermicien allemand et industriel, créateur en juin 1897 de la Société française des moteurs Diesel à combustion interne, dont le siège est à Bar-le-Duc.
Pol Chevalier (1861-1935), homme politique et avocat, maire de Bar-le-Duc, sénateur de la Meuse, mort à Bar-le-Duc.
Paul Henry Ferrette (1869-1933), homme politique, avocat et journaliste, conseiller municipal de Bar-le-Duc, député de la Meuse, mort à Bar-le-Duc.
Charles Aimond (1874-1968), prêtre catholique, écrivain, historien et musicien, mort à Bar-le-Duc.
Georges Bernanos (1888-1948), écrivain, séjourne à Bar-le-Duc en 1920 où il écrit son premier roman Sous le soleil de Satan.
Lucien Polimann (1890-1963), clerc et homme politique d'extrême droite, mort à Bar-le-Duc.
Gaston Thiébaut (1898-1982), homme politique, député de la Meuse, mort à Bar-le-Duc.
Jean Bernard (1923-2004), homme politique, maire de Bar-le-Duc, député de la Meuse.
Bertrand Pancher (1958-), homme politique, maire de Bar-le-Duc, député de la Meuse, président du conseil général de la Meuse.
Meuse | ||||||||||||||||
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Jean de Lorraine (né à Bar-le-Duc le 9 avril 1498 et mort semble-t-il à Nogent-sur-Vernisson, le 18 mai 1550) est un membre de la Maison de Lorraine, cardinal français et l'un des favoris les plus intimes du roi François Ier.
De 1536 à 1540, il devint, avec le connétable de Montmorency l'un des hommes les plus puissants du royaume, connu sous le nom de cardinal de Lorraine. En novembre 1549, il est candidat à l'élection du trône de Saint-Pierre, mais échoue de quatre voix face au futur Jules III.
Biographie
Fils du duc René II, de Lorraine et de Bar et de Philippe de Gueldre, il est le frère cadet du duc Antoine II et du duc de Guise. Destiné à une carrière ecclésiastique, il fut nommé dès l'âge de 3 ans, coadjuteur de son oncle Henri de Lorraine. Il grandit à la cour de France où il fut envoyé avec son frère Claude, futur duc de Guise.
À partir des années 1520 et jusqu'à la fin du règne, il fut le compagnon des plaisirs du roi François, le suivant partout dans ses activités et ses loisirs les plus intimes. Il participe aux nombreux bals costumés de la cour comme on peut le voir dans les dessins du Primatice :
en satyre aux côtés d'Henri d’Albret, roi de Navarre, le dauphin, futur Henri II, de Charles d’Angoulême, duc d’Orléans, du connétable de Montmorency, pour le bal des noces du duc de Nevers et de mademoiselle de Vendôme à Paris en janvier 1539. (Faune, Sylvain et Pan, Bibliothèque nationale centrale de Florence)
en belle livrée de couleur et coiffé d'un turban, à la "turquerie" de Blois le 16 mars 1541, aux côtés de François Ier, et Charles d’Angoulême. (Un Turc, à la Bibliothèque nationale centrale de Florence)
en costume de La Discorde, dessiné pour lui en 1545. (Bibliothèque nationale centrale de Florence)
en Sphinge polygnaste, comme François Ier, aux noces de mademoiselle d’Avrilly (Nationalmuseum, Stockholm)
Prince typique de la Renaissance et mélomane, il est dédicataire de nombreuses œuvres musicales.
Carrière ecclésiastique
Il est fait cardinal en 1518, il a vingt ans, et fut nommé par la suite à de nombreux évêchés et archevêchés :
À 6 ans, évêque de Metz de 1505 à 1543, puis de 1548 à 1550
À 19 ans, évêque de Toul de 1517 à 1524
À 20 ans, évêque de Valence de 1521 à 1522
À 20 ans, évêque de Thérouanne de 1521 à 1535
À 22 ans, évêque de Verdun de 1523 à 1544
À 24 ans, évêque de Luçon de 1523 à 1524
À 25 ans, archevêque de Narbonne de 1524 à 1550
À 33 ans, de nouveau évêque de Toul de 1532 à 1537 puis finalement de 1542 à 1543
À 34 ans, archevêque de Reims de 1533 à 1538
À 36 ans, évêque d'Albi (Jean IV) de 1535 à sa mort
À 39 ans, archevêque de Lyon de 1537 à 1539
À 40 ans, évêque d'Agen (Jean VII) de 1538 à sa mort
À 44 ans, une dernière fois évêque de Toul de 1542 à 1543.
À 44 ans, évêque de Nantes (Jean V) du 18 août 1542 à sa mort.
Il ne conserva pas la totalité de ses diocèses et en abandonna quelques-uns, l'archevêché de Reims à son neveu Charles, celui de Lyon à Hippolyte d'Este. Il fut également pourvu de plusieurs abbayes : Gorze, Varangéville, Aurillac, Saint-Ouen de Rouen, Blanche-Couronne, Lay-Saint-Christophe, Fécamp, Cluny, Saint-Jean-de-Laon, Saint-Germer, Saint-Médard-de-Soissons, Marmoutier, Saint-Mansuy-les-Toul. En 1520, il assiste à l'entrevue du Camp du Drap d'Or. En 1549, il finance une expédition de l'explorateur André Thevet.
Son neveu Louis lui succédera en tant qu'archevêque de Sens et évêque d'Albi.
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BIOGRAPHIE | Jean de Lorraine | ||||||||||||||||||||||||||
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DATE | |||||||||||||||||||||||||||
NAISSANCE | 9 avril 1498 | ||||||||||||||||||||||||||
DECES | 18 mai 1550 | ||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : | 2024 | ||||||||||||||||||||||||||
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Giorgio Napolitano, né le 29 juin 1925 à Naples et mort le 22 septembre 2023 à Rome, est un homme d'État italien, président de la République italienne du 15 mai 2006 au 14 janvier 2015.
Licencié en droit, il fait d’abord partie des Groupes universitaires fascistes (GUF), avant de s'engager au sein de la Résistance au régime de Benito Mussolini.
Adhérant au Parti communiste italien (PCI) après la Seconde Guerre mondiale, il est député de 1953 à 1963, puis sans discontinuer de 1968 à 1996. Il fait partie des soutiens les plus actifs du courant réformiste du PCI, qui donne naissance au Parti démocrate de la gauche (PDS) en 1991. Tandis qu'il siège au Parlement européen dès 1989, il est président de la Chambre des députés de 1992 à 1994.
Ministre de l'Intérieur dans le premier gouvernement de Romano Prodi de 1996 à 1998, il est le premier titulaire anciennement communiste de ce ministère régalien. Il retrouve les bancs du Parlement européen en 1999 avant d'être nommé sénateur à vie par le président Carlo Azeglio Ciampi en 2005.
Il est élu président de la République au quatrième tour de l'élection présidentielle de 2006, devenant ainsi le premier ancien communiste élu au palais du Quirinal. En 2011, alors que l'Italie est confrontée à une sévère crise économique et financière, il obtient la démission du président du Conseil Silvio Berlusconi, puis nomme pour lui succéder l'économiste Mario Monti. Cette période voit alors s'accroître, d'une manière encore inédite, l'importance du pouvoir du chef de l'État.
Alors qu’il ne voulait pas concourir à sa propre succession, il est réélu chef de l'État lors de l’élection présidentielle de 2013, après l'élection d'un Parlement sans majorité ayant entraîné une importante crise politique ; il est alors le premier président de la République sortant reconduit pour un second mandat. Ayant prévenu qu'il n'assumerait pas ce second mandat jusqu'à son terme, il démissionne en 2015 et redevient sénateur à vie.
À la fin de sa vie, âgé de 98 ans, il est le doyen du Sénat de la République — où il siège au sein d'un groupe centriste régionaliste — et, plus généralement, du Parlement de la République italienne. Il est par ailleurs le président de la République italienne à avoir vécu le plus longtemps.
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RUBRIQUE | Monde : Italie | ||||||||||||||||||||||||||
BIOGRAPHIE | Giorgio Napolitano | ||||||||||||||||||||||||||
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DATE | |||||||||||||||||||||||||||
NAISSANCE | 29 juin 1925 | ||||||||||||||||||||||||||
DECES | 22 septembre 2023 | ||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : | 2024 | ||||||||||||||||||||||||||
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Ali Baba et les Quarante Voleurs (stylisé Ali Baba et les 40 Voleurs) est un film français réalisé par Jacques Becker, sorti en 1954. Il est tiré du célèbre conte anonyme issu des Mille et Une Nuits. Il fut tourné, pour les extérieurs, dans la ville marocaine de Taroudant dont on découvre les fortifications dés le début du film. | ||||
Résumé courtAli Baba (Fernandel), serviteur et homme à tout faire du riche Cassim, tombe amoureux de la belle Morgiane (Samia Gamal) qu'il a acheté à son père pour son maître. Il découvre ensuite la cachette d'une bande de voleurs et décide de s'approprier leur trésor. Sa grande générosité entrainera un partage de cette richesse avec toute la population de la ville mais il gardera l'amour de la belle Morgiane | ||||
Résumé long« Il était une fois, dans une petite ville d’Orient, un brave homme qui s'appelait Ali Baba ». C'est un brave homme, débrouillard et généreux, ami de tous les pauvres. Il est le serviteur de confiance d'un riche bourgeois, Cassim, dont il gère les affaires, la maison et le harem. Aujourd'hui, il a acheté la belle Morgiane, vendue par son propre père. Un amour protecteur naît chez Ali : un bon somnifère empêche Cassim de la posséder et puis comment faire disparaître chez cette nouvelle recluse la mélancolie. Le perroquet vert qu'on lui avait proposé au marché ferait un bon compagnon. Ali, pour retrouver le vendeur itinérant, doit se lancer à la poursuite d'une caravane, parvenue loin de la ville et dans une zone peu sûre. Mais il irait au bout du monde pour Morgiane. Une fois l'affaire conclue, la caravane est attaquée par une bande de quarante voleurs. Tous les marchands préfèrent fuir, quitte à abandonner les marchandises : le chef a l'air bien cruel. Mais Ali, empêtré dans une nacelle, est témoin de la prise du butin et de ce qui s'ensuit : tout est caché dans une cavité de la montagne dont l'entrée est protégée par des pierres mobiles qui s'ouvrent sur un magique Sésame ouvre-toi. Utilisant à son tour le formule magique, Ali pénètre dans la caverne : c'est un véritable amoncellement de richesses ! Ali Baba, n'ayant pu résister à la tentation, remplit sa besace de pièces d'or. De retour à la maison, il offre le perroquet à Morgiane - qui le boude -, et interpelle Cassim : « Je suis riche, et je rachète Morgiane ». Cassim veut savoir d'où Ali tire cette richesse, lui qui n'a jamais roulé sur l'or, quitte à l’enivrer avec un petit vin de Chypre. Et Ali mène Cassim à la grotte. Chacun puise dans les trésors. Des pensées meurtrières traversent l'esprit de Cassim : pourquoi partager !? Ali, sentant la menace, allègue qu’il a entendu du bruit et propose de déguerpir. Mais le chef des brigands est bien là, en hauteur de la colline et les voit s’enfuir. Sitôt à la maison, Ali prend Morgiane du harem et la ramène chez son père. Celle-ci ne semble pas si ravie de ce retour au foyer paternel et demande à Ali de venir la revoir. En chemin, il rencontre quatre de ses anciens amis, quatre mendiants. Il les questionne sur ce qu’ils aimeraient avoir en cas de richesse et déclare : « Le Bon Dieu va vous le donner par mon intermédiaire, vous aurez le nécessaire et le superflu » et d’en faire ses majordomes. Le lendemain, Ali achète la plus belle maison de la ville. De la terrasse, il voit que Morgiane est de nouveau proposée à la vente ; il se précipite, repousse un acquéreur et propose à Morgiane le mariage. La fête des noces se prépare. Toute la ville est invitée, le chef des brigands (déguisé) et Cassim sont présents eux aussi. Chacun fait entrer ses hommes et une terrible bagarre s'ensuit. Ali parvient à s'enfuir. Cassim et le chef des bandits sont enfermés dans des cages, mis au pilori. « Des pauvres il n’y en aura plus, je m’en charge » et Ali conduit la horde des pauvres à la grotte. Tous les habitants s'engouffrent dans la caverne. La grotte est vidée en quelques instants. Ali y reste seul, abattu. Mais Morgiane vient l'y chercher pour le ramener à la maison. | ||||
Fiche technique
Réalisation : Jacques Becker Scénario, adaptation : Jacques Becker, Marc Maurette, Cesare Zavattini, Maurice Griffe, Annette Wademant à partir des Mille et une nuits avec une collaboration momentanée de Roger Nimier et Antoine Blondin Dialogues : André Tabet Assistants réalisateurs : Marc Maurette, Jean-François Hauduroy, Jean Becker, Jacques Rivette et de langue arabe : Abdelkak Chraïbi et Mohamed Gabsi Images : Robert Lefebvre Opérateur : Roger Delpuech, assisté de Gilbert Sarthe, Gaston Muller Montage : Marguerite Renoir, assistée de Geneviève Vaury Son : Pierre Calvet Perchman : Maurice Dagonneau Recorder : Christian Gourmes, Jacques Gérardot Décors : Georges Wakhévitch, assisté de René Calviera, Jean Forestier, Pierre Thévenet et Savin Couëlle Script-girl : Charlotte Lefèvre Costumes : Jacqueline Moreau, Ferdinand Junker, Georges Wakhévitch Robes : Marcelle Desvignes Musique : Paul Misraki (Éditions Hortensia et Impéria) Orchestre sous la direction de Marc Lanjean Parolier : Jean Manse, pour la chanson Ali Baba Régie générale : Georges Testard, assisté de Louis Manella Régie extérieure : Robert Christidès Photographe de plateau : Gaston Thonnart Accessoiristes : René Albouze, Louis Charpeau Maquillage : Jean Ulysse, Lina Gallet Coiffure : Georges Stern Tapissier : André Guénier Habilleuses : Albertine Banquarel, Simone Gerber Production : Les Films du Cyclope Chef de production : Adry de Carbuccia et Ronald Girard Directeur de production : René-Gaston Vuattoux et Jean Goiran Administrateur de production : Yvonne Toumayeff Secrétaire de production : Micheline Robert Distribution : Cinédis Tirage : Laboratoire G.T.C de Joinville Pellicule 35 mm, couleur par Eastmancolor, développement Paris Studio Cinéma Système sonore : Western Electric Groupes électrogènes : Luxazur 30 vues stéréoscopiques tirées de scènes du film sont éditées en relief et en couleur par la société Stéréofilms Bruguière établie à Paris depuis 1946. Genre : Comédie orientale Durée : 89 minutes Première présentation | ||||
Distribution Fernandel : Ali Baba, serviteur de Cassim le riche marchand Samia Gamal : Morgiane Dieter Borsche (VF : Jean-Henri Chambois) : Abdul, le chef des voleurs Henri Vilbert : Cassim, le riche marchand Édouard Delmont : Le père de Morgiane Julien Maffre: un mendiant José Casa : un mendiant Edmond Ardisson : un mendiant Manuel Gary : un mendiant Gaston Orbal : Le mufti Bob Ingarao : Un bandit Yoko Tani Léopoldo Francès Fanfan Mignucci Piella Sorano Mohamed Gabsi Abdou Chraïbi El Bachir Laalej Luc Martial : Un enfant Said Moutaa Ben Ali | ||||
Autour du film Réalisation et diffusionDiffusé dans les salles en 1954, la même année que son autre film Touchez pas au grisbi, sorti en mars, Ali Baba et les Quarante Voleurs, sorti pour la période de Noël, considéré comme issu d'une commande commerciale sera retenu par la critique comme ayant peu d'intérêt artistique et dissonant ainsi avec le film précédent et les autres réalisations de Jacques Becker. Lieux de tournageLe tournage se déroule du 12 avril au 14 juillet 1954. Les prises en extérieurs sont effectuées dans la vallée d'Agadir et à Taroudant, dans le sud marocain (notamment à Ouarzazate) et les scènes intérieurs sont tournées dans les studios de Billancourt. Le tournage s'est effectué sur une durée de treize semaines dont six au Maroc. Les acteurs principaux ont ainsi effectué le voyage de Paris à Billancourt, y compris le mulet Bouzouf, car selon Jacques Becker, « il n'existe pas deux mulets de couleur absolument semblable. ». Accueil critique
François Truffaut dans les Cahiers du cinéma signe un article élogieux sur le film qu'il déclare avoir vu trois fois : « À la première vision, Ali Baba m'a déçu, à la seconde ennuyé, à la troisième passionné et ravi. (…) Il faut avoir dépassé le stade de la surprise, il faut connaître la structure du film pour que s'évanouisse la sensation de déséquilibre tout d'abord éprouvée. » Il concède des défauts au film (le fait d'avoir situé celui-ci dans un « Orient de Canebière » - il note que la plupart des acteurs sont marseillais - la musique de Paul Misraki qu'il trouve « très mauvaise », le jeu d'Henri Vilbert qu'il trouve trop « intérieur » pour ce rôle où il faut bouger, sauter et courir : « Quand il est dans le champ on a envie de refaire le cadrage ») mais en parlant de sa mise en scène il assure que Ali baba et les Quarante Voleurs est le film français « le mieux fait » de l'année avec Touchez pas au grisbi et souligne son charme. Truffaut trouve que le style de jeu de Fernandel est tout à fait adapté à la mise en scène choisie et que Jacques Becker réussit avec lui ce que Claude Autant-Lara ou Yves Allégret avaient raté avec L'Auberge rouge et Mam'zelle Nitouche. Pour lui le film est « un extraordinaire document sur (…) un monument nommé Fernandel ». La critique de ce film est le premier article où François Truffaut utilise l'expression Politique des auteurs. Il écrit « Ali Baba eût-il été raté que je l'eusse quand même défendu en vertu de la Politique des Auteurs (…) En dépit de son scénario trituré par dix ou douze personnes, dix ou douze personnes de trop excepté Becker, Ali Baba est le film d'un auteur, un auteur parvenu à une maîtrise exceptionnelle, un auteur de film. » |
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Ali_Baba_et_les_Quarante_Voleurs_(film,_1954) | |||||||||||||||||||||||||||
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FILM | Ali Baba et les Quarante Voleurs | ||||||||||||||||||||||||||
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DATE | 24 décembre 1954 | ||||||||||||||||||||||||||
NAISSANCE | |||||||||||||||||||||||||||
DECES | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : | 2024 | ||||||||||||||||||||||||||
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Sissi impératrice (Sissi, die junge Kaiserin en allemand) est un film autrichien réalisé par Ernst Marischka en 1956. Le film se fonde sur l'histoire d'amour de l'impératrice Sissi, jouée par Romy Schneider, et de l'empereur François-Joseph, joué par Karlheinz Böhm. | ||||
Synopsis Sissi et Franz sont à présent mariés mais la jeune impératrice a bien du mal avec le protocole écrasant de la cour de Vienne et vit assez mal le fait que sa belle-mère, l'archiduchesse Sophie, l'espionne en permanence. Sissi confie à son journal intime qu'elle se sent seule et qu'elle regrette sa vie en Bavière ; l'archiduchesse Sophie, qui a pris le journal de Sissi, le lit à Franz qui s'en trouve assez contrarié ; Sissi lui avoue par la suite qu'elle se sent très seule mais qu'elle est heureuse lorsqu'ils sont ensemble. Sissi porte également un grand intérêt à la Hongrie qui n'a plus de souverains : elle aime ce pays qu'elle n'a pourtant jamais visité et elle promet à son professeur de hongrois qu'elle usera de toute son influence en faveur de ce pays. Elle remporte une première victoire lorsqu'elle convainc Franz de ne pas condamner à mort le comte Andrássy et les autres rebelles. Ce dernier vient au Palais la remercier du fond du cœur et Sissi l'invite lui et ses compatriotes au prochain bal de la cour. Lors de ce bal, Sissi s'évanouit et apprend par le médecin qu'elle attend son premier enfant ; cet enfant se trouve être une fille. Sans consulter Sissi, Franz et sa mère décident de l'appeler Sophie. Mais les jours heureux de Sissi en tant que mère sont de courte durée : l'archiduchesse, avec l'accord de Franz, retire à Sissi la garde de l'enfant, prétextant que Sissi est bien trop jeune pour lui donner une éducation digne de son rang. Sissi, blessée de ne pas avoir l'appui de son mari, s'enfuit de Vienne et part chez ses parents en Bavière.
Sa mère, la duchesse Ludovica, est si heureuse de revoir sa fille que cette dernière n'ose lui dire qu'elle s'est enfuie mais l'avoue à son père lors d'une promenade en forêt. Mais Franz, aimant Sissi plus que tout, la rejoint en Bavière et la convainc de revenir à Vienne. Ils passent quelques jours à la montagne où ils peuvent oublier tous les soucis de la cour. Mais une fois revenus à Vienne, Sophie refuse de rendre sa fille à Sissi ; cette dernière décide alors d'abandonner Vienne et de partir pour toujours. Ludovica vient alors voir sa sœur l'archiduchesse Sophie et essaie de lui faire entendre raison. Sophie est humaine et aime son fils, elle a tout sacrifié pour lui et ne doit pas risquer de détruire ce bonheur qu'elle a passé sa vie à construire. Dans un premier temps Sophie résiste - pour elle Sissi est avant tout Impératrice et elle doit en priorité soutenir Franz - mais elle finit par céder et rend la petite Sophie à Sissi. Cette dernière assiste donc à la réception des délégués hongrois où l'on apprend qu'elle sera couronnée en même temps que Franz, Reine de Hongrie.
Le film se termine par le couronnement de Franz et Sissi : ils deviennent Roi et Reine de Hongrie. | ||||
Fiche technique Titre original : Sissi - Die junge Kaiserin Titre français : Sissi impératrice Réalisation : Ernst Marischka Scénario : Ernst Marischka Photographie : Bruno Mondi Musique : Anton Profes Décors : Fritz Juptner-Jonstorff Production Karl Ehrlich Distribution : SNC Pays d'origine : Autriche Langue : allemand Format : 35 mm - Couleurs - Ratio : 1,66:1 Son : Stéréo 4 pistes magnétiques et copies son optique mono Genre : Comédie dramatique, Film romantique Durée : 107 minutes Dates de sortie : Autriche : 19 décembre 1956 France : 16 août 1957 | ||||
Distribution Romy Schneider (VF : Gilberte Aubry) : Impératrice Élisabeth dite SissiKarlheinz Böhm (VF : Jean-Pierre Duclos) : François-Joseph dit FranzMagda Schneider (VF : Lita Recio) : La duchesse Ludovica en Bavière Gustav Knuth (VF 1er doublage : André Valmy, 2e doublage : Serge Nadaud) : Le duc Max en BavièreWalther Reyer (VF 1er doublage : René Arrieu, 2e doublage : Michel Le Royer) : Le comte Andrássy Vilma Degischer (VF 1er doublage : Lucienne Givry, 2e doublage : Jacqueline Ferrière) : L'archiduchesse Sophie Erich Nikowitz (VF : Gérard Férat) : L'archiduc Franz-Karl Josef Meinrad (VF : Michel Roux) : Le colonel Böckl Hans Ziegler : Hofrat Dr. Seeburger Hilde Wagener : La baronne Wulfen | ||||
Tournage
Le tournage se déroule dans de nombreux lieux qu'a visité l'impératrice, dont le château de Schönbrunn à Vienne. Le château de Possenhofen, en Bavière, où Sissi revient sur les lieux de son enfance étant en mauvais état à l'époque du tournage, celui-ci a lieu au château de Fuschl, sur les bords du Fuschlsee, en Autriche, comme pour le film précédent. | ||||
Autour du film
En plus des créations d'Anton Profes, l'accompagnement musical comprend de nombreuses œuvres classiques dont plusieurs valses de Johann Strauss et l'Alleluia du Messie de Georg Friedrich Haendel et la valse de Faust de Charles Gounod. Le film fait partie d'une trilogie avec Sissi (1955) et Sissi face à son destin (1957). Le doublage français de 1956 ayant été abîmé, le film fut doublé à nouveau en 1967, toujours avec Gilberte Aubry et Jean-Pierre Duclos dans les rôles principaux, mais avec quelques changements également.
Distinctions
Le film a été présenté en sélection officielle en compétition au Festival de Cannes 1957. | ||||
Pour améliorer son blog, il y a de la recherche, et des essais.
Voici une nouvelle mise en page
Madonna Louise Ciccone est née le 16 août 1958 à Bay City dans le Michigan. Elle est la fille de Silvio « Tony » Ciccone, un italo-américainingénieur chez Chrysler et General Motors, et de Madonna Louise Fortin, d'origine franco-canadienne. | ||||
Son père est né en 1931 d'immigrés italiens originaires du village de Pacentro (Abruzzes) et installés aux États-Unis en 1919. Quant à sa mère, née en 1933, elle est une descendante directe de Julien Fortin, qui a émigré depuis le Perche vers la Nouvelle-France en 1650. La famille Fortin est apparentée au pionnier Zacharie Cloutier, faisant de Madonna une lointaine cousine de plusieurs personnalités québécoises dont Céline Dion, Diane Tell et Xavier Dolan. Mariés en 1955, Silvio Ciccone et Madonna Fortin auront six enfants : Anthony (né en 1956), Martin (né en 1957), Madonna (que l'on surnomme « Little Nonni » pour la distinguer de sa mère), Paula (née en 1959), Christopher (né en 1960) et Melanie (née en 1962). Élevée dans un milieu strictement catholique, Madonna prend comme prénom de confirmation Veronica, en référence à Sainte Véronique. | ||||
Son grand-père paternel, n'ayant aucun diplôme, dut exercer le métier de carrier pour un petit salaire, et éleva ses enfants sévèrement afin de leur apprendre la discipline, le respect et, surtout, à subsister par leur seule persévérance. Le père de Madonna appliquera la même méthode à ses enfants pour leur assurer un avenir préférable au sien. | ||||
En décembre 1963, à l'âge de cinq ans, Madonna perd sa mère des suites d'un cancer du sein. Sa mort sera un sujet récurrent dans ses œuvres musicales, que Madonna abordera entre autres dans les chansons Oh Father(1989) et Mother and Father (2003), et lui fera décréter qu'elle ne dépendrait jamais de personne et n'aurait aucun scrupule à se battre et à défendre sa place dans la société. | ||||
La jeune Madonna reste très proche de sa grand-mère, Elsie Mae Fortin (décédée le 9 mars 2011 à l'âge de 99 ans). La famille déménage ensuite dans l'agglomération de Détroit, à Rochester Hills, où Madonna poursuit avec succès ses études secondaires à la Rochester Adams High School. Son père se remarie trois ans après la mort de sa femme avec Joan Gustafson, une de ses aide-domestiques, avec qui il aura deux enfants, Jennifer et Mario (nés en 1967 et 1968). Christopher est, de toute la fratrie, le plus proche de Madonna ; il dirigera deux de ses tournées et apparaîtra dans ses premiers clips. La chanteuse est en revanche plus distante avec ses demi-frère et sœur, leur mère ne s'entendant pas bien avec Madonna qui mit du temps à accepter que son père ait des enfants avec une autre femme. | ||||
Très jeune, elle prend des cours de piano mais, assez vite, convainc son père de la laisser suivre à la place des cours de danse classique. Sa belle-mère l'inscrit dans une école catholique au sein de laquelle elle participe activement aux activités artistiques. Souffrant alors d'une faible estime d'elle-même, elle prend confiance en elle grâce à son professeur de danse Christopher Flynn, qui aurait été le premier à lui souligner qu'elle était belle, talentueuse et charismatique, et aurait fait naître en elle l'idée d'une carrière de danseuse à New York. Ses capacités intellectuelles lui facilitent l'accès à la prestigieuse université du Michigan, où elle reçoit une bourse d'études de danse et est un temps pom-pom girl. Malgré d'excellents résultats, elle quitte l'établissement après deux années, suscitant la déception de son père qui, s'inquiétant pour l'avenir de sa fille, prend des mesures extrêmes et décide de lui couper les vivres. Elle quitte le Michigan et s'installe alors à New York, rêvant de devenir danseuse. | ||||