Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
27.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
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Par Anonyme, le 08.09.2024
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Par han.t, le 03.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
Politique et administration
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
01/03/01 | 01/03/08 | Charles Egret | ||
01/03/08 | En cours | Patrick Bernard Réélu pour le mandat 2020-2026 |
Adresse
13 Rue Laurenceau-Bompard
55000 GUERPONT
Téléphone : 03 29 78 88 17
International: +33 3 29 78 88 17
Fax : 03 29 77 75 89
International: +33 3 29 77 75 89
Courriel : mairie.guerpont@wanadoo.fr
Horaires d'ouverture de la mairie :
Mardi: 17:30 à 19:00
Jeudi: 17:30 à 18:30
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Population et société
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008.
En 2021, la commune comptait 241 habitants, en diminution de 4,37 % par rapport à 2015 (Meuse : −4,57 %, France hors Mayotte :
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
186 | 189 | 231 | 241 | 324 | 337 | 368 | 401 | 459 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
355 | 377 | 351 | 355 | 352 | 315 | 295 | 239 | 298 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
348 | 363 | 288 | 224 | 268 | 250 | 218 | 180 | 225 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2008 | 2013 |
250 | 266 | 272 | 274 | 286 | 300 | 267 | 258 | 254 |
2018 | 2021 | - | - | - | - | - | - | - |
247 | 241 | - | - | - | - | - | - | - |
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999 puis Insee à partir de 2006.)
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La salle polyvalente.
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Lieux et monuments
Église Saint-Evre de Guerpont.
Le monument aux morts au cimetière de Guerpont est commun aux deux villages de Silmont et Guerpont.
Tour hexagonale, vestige de l'ancien château féodal de Guerpont.
Château de Guerpont, du XVIIIe siècle.
La commune de Guerpont abrite la demeure des Ducs depuis 1789
L'ancienne usine Aubertel alimentée en électricité par un barrage sur l'Ornain
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Le martinet est un petit fouet multiple, constitué d'un manche en bois d'environ 25 cm. Les lanières, au nombre d'une dizaine, sont généralement en cuir.
C'est un instrument traditionnel de châtiment corporel qui a été largement utilisé en Europe. En France, l'usage du martinet pour fesser les enfants est cependant tombé en désuétude et il est même interdit depuis l'adoption de la loi relative à l’interdiction des violences éducatives ordinaires en 2019.
Le martinet est similaire au chat à neuf queues, un instrument de torture à neuf lanières ou cordes longues qui fut utilisé dans les marines, les forces armées et des institutions pénitentiaires, notamment dans l'Empire britannique ; il est également comparable à certaines versions du knout utilisé principalement dans l'Empire russe.
Origine du nom
Selon le Dictionnaire étymologique de la langue française d'Oscar Bloch et Walther von Wartburg, le nom, qui n'est pas attesté avant le début du xixe siècle, a deux explications possibles. Ou bien il s'agirait d'un diminutif de Martin, surnom attribué au bâton et qu'on retrouve chez La Fontaine. Ou bien son nom proviendrait du général français Jean Martinet, qui infligeait des exercices interminables et épuisants aux troupes de Louis XIV et exigeait un respect absolu du règlement, et qui aurait préféré l'utilisation d'un fouet à multiples lanières plutôt qu'un instrument de flagellation à lanière unique, qui pouvait tuer les hommes durant le châtiment.
Plus certainement, il est nommé par analogie avec le martinet, gros marteau à bascule mû par la force hydraulique pour battre en cadence des objets en cours de façonnage en cuivre ou en fer, du papier, du drap, du cuir, du chanvre, etc.
En France
Pendant très longtemps, jusqu'aux années 1980, de très nombreuses familles possédaient un martinet pour punir les enfants. La plupart du temps, il servait surtout à menacer l'enfant en faute sans qu'il soit réellement utilisé.
Comparable à d'autres outils de châtiment corporel utilisés depuis l'Antiquité, notamment la férule et la scutica des maîtres d'école romains, le martinet, inventé en France début du xixe siècle, est resté l'objet par excellence redouté des enfants jusque dans les années 1980, pour être ensuite vivement critiqué et abandonné. Il est considéré comme excessif de nos jours presque partout en Occident, même là où les châtiments corporels restent en vigueur.
Une rumeur non vérifiée que l'on retrouve sur les réseaux sociaux affirme qu'une jurisprudence française de 1984 ferait apparaître implicitement le martinet comme étant hors-la-loi. C'est pour cela qu'on le trouverait désormais au rayon des produits pour animaux de certaines grandes surfaces. Cependant, aucune référence à une décision de justice spécifique n'est jamais donnée qui préciserait le tribunal qui aurait pris cette décision, ce qui amène à penser que la rumeur est infondée.
Son usage au sein de la famille entrant dans la définition des violences éducatives ordinaires, il est interdit par la loi relative à l’interdiction de ces violences depuis son adoption le 2 juillet 2019 par le Sénat. Cependant, cette loi étant une loi civile et non pénale, les contrevenants ne peuvent pas être condamnés par un tribunal correctionnel à une amende ou à de la prison s’ils la violent (seules des conséquences civiles sont possibles, comme des dommages et intérêts par exemple). En revanche, si ces violences sont considérées comme de la maltraitance, elles peuvent être sanctionnées par des peines allant jusqu'à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende, en application de l’article 222-13 du Code pénal qui punit les violences ayant entraîné une incapacité de travail inférieure ou égale à huit jours lorsqu’elles sont notamment commises sur un mineur de moins de 15 ans.
Jusque dans les années 1980, on pouvait trouver à la vente dans les magasins de jouets, et plus communément dans les drogueries, des martinets produits industriellement. Le martinet était aussi fabriqué de façon artisanale par des maroquiniers ou cordonniers locaux, ou par les parents eux-mêmes.
Le dernier atelier de fabrication artisanale française était celui de Suzanne Marache, qui en a produit près de 8 millions de 1945 jusqu'à son décès en 2000, dans l'ancienne halte du Tacot du petit village d'Alligny-en-Morvan. Lors des dernières années de production, les martinets, qui étaient devenus obsolètes pour l’éducation des enfants, y étaient produits et vendus comme ustensiles pour chiens ou comme ustensiles érotiques pour sex-shops.
En 2007, les 10 000 martinets vendus annuellement par un fournisseur de la région parisienne étaient importés de Chine.
Le martinet fait aussi partie des légendes enfantines, où chaque 6 décembre en Belgique, aux Pays-bas, dans le nord de la France, en Lorraine et en Alsace, le Père Fouettard (appelé Hans Trapp en Alsace et Zwarte Piet chez les néerlandophones) tout de noir vêtu et armé de son martinet qu'il cache dans sa botte, vient fouetter les enfants qui n'ont pas été sages, tandis que Saint-Nicolas distribue des friandises aux enfants sages.
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Jean VI de Portugal (en portugais : João VI de Portugal), roi de Portugal et des Algarves et roi puis empereur titulaire du Brésil, est né à Lisbonne, au Portugal, le 13 mai 1767 et mort dans cette même ville le 10 mars 1826. Surnommé « le Clément », il règne sur le Royaume uni de Portugal, du Brésil et des Algarves de 1816 à 1822 puis sur le seul royaume de Portugal de 1822 à 1826. Grâce au traité de Rio de Janeiro de 1825, qui reconnaît l'indépendance du Brésil, Jean VI est également proclamé empereur titulaire du Brésil, mais c'est son fils aîné, l'empereur Pierre Ier, qui est le véritable souverain du pays pendant son règne.
Deuxième fils de la reine Marie Ire et du roi consort Pierre III de Portugal, le futur Jean VI n'est, à l'origine, pas destiné à ceindre la couronne de son pays. Devenu l'héritier du trône en 1788 à la mort de son aîné Joseph, il doit assurer la régence peu de temps après, sa mère montrant des signes croissants de folie. Arrivé au pouvoir dans le contexte de la Révolution française, le prince déclare la guerre à la France en 1793 mais son armée est vaincue et le royaume d'Espagne, avec qui il avait conclu une alliance, ne tarde pas à l'abandonner (1795). De plus en plus isolé internationalement, le futur Jean VI est alors victime de la diplomatie napoléonienne et du double jeu de Madrid, qui profite de la situation pour arracher au Portugal la région d'Olivenza après la « guerre des Oranges » (1801). Les tensions entre Paris et Lisbonne atteignent leur paroxysme en 1807, lorsque la France napoléonienne décide d'envahir le Portugal pour punir les Bragance d'avoir refusé d'appliquer le blocus continental dirigé contre le Royaume-Uni.
Face à l'attaque du général Junot, le prince Jean prend la décision de fuir son royaume et de transférer la cour et le gouvernement au Brésil, qui est alors la plus prospère des colonies portugaises. Après plusieurs semaines de tribulations, la famille royale et les 500 à 15 000 personnes qui l'accompagnent (selon les sources) s'installent donc à Rio de Janeiro le 7 mars 1808. En compagnie de ses conseillers, le régent met rapidement en place une série de réformes qui ouvrent le Brésil au commerce international et le dotent d'institutions stables et modernes.
Après quelques années de guerre avec les troupes napoléoniennes, le Portugal est définitivement libéré de l'occupant français en 1811, mais Jean refuse toutefois de rentrer en Europe. Le 16 décembre 1815, il proclame au contraire le « Royaume uni de Portugal, du Brésil et des Algarves », ce qui confirme la nouvelle place du Brésil au sein de l'ensemble portugais. Monté sur le trône à la mort de sa mère en 1816, le souverain doit pourtant bientôt affronter l'opposition très vive des Portugais, qui se soulèvent pour obtenir le retour de la famille royale en Europe, et d'une partie des Brésiliens, qui refusent de voir leur pays rétrogradé au rang de simple colonie. Sous la pression populaire, Jean VI et son entourage rentrent donc finalement à Lisbonne le 3 juillet 1821, non sans avoir nommé auparavant son fils régent du Brésil (le futur Pierre Ier du Brésil).
En Europe, Jean VI est à la fois victime des luttes de pouvoirs qui opposent libéraux et conservateurs et des conspirations de sa femme, la reine d'origine espagnole Charlotte-Joachime, avec qui il entretient des relations mouvementées depuis le début de son mariage. Il assiste par ailleurs, impuissant, à la montée du nationalisme brésilien et à la proclamation d'indépendance du pays par son propre fils aîné le 7 septembre 1822. Contraint à reconnaître la sécession brésilienne en 1825, Jean VI est néanmoins proclamé empereur titulaire du pays par la même occasion. Six mois plus tard, le souverain meurt dans des conditions mystérieuses, sans que sa succession soit réellement assurée, ouvrant ainsi la voie à une longue crise successorale.
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Laurent Fabius [lɔʁɑ̃ fabjys], né le 20 août 1946 à Paris, est un homme d'État français.
Membre du Parti socialiste à partir de 1974, il est député de la 2e circonscription de la Seine-Maritime de 1978 à 1981.
Sous la présidence de François Mitterrand et dans les trois gouvernements de Pierre Mauroy, il est ministre du Budget, de 1981 à 1983, puis de l'Industrie et de la Recherche, de 1983 à 1984. Il est nommé, en juillet 1984, Premier ministre, devenant le plus jeune chef de gouvernement de la Cinquième République (il détient ce record pendant 39 ans). Il occupe cette fonction jusqu'à la défaite de la gauche aux élections législatives de 1986. Il retrouve ensuite son mandat de député de la Seine-Maritime.
Après la victoire de la gauche aux élections législatives de 1988, il est élu président de l'Assemblée nationale. Il doit alors faire face à l'affaire du sang contaminé, dans laquelle il est relaxé mais qui entache durablement sa popularité. Il démissionne de la présidence de l'Assemblée nationale en 1992 pour devenir premier secrétaire du PS. Il quitte la tête du parti un an plus tard, après la défaite de la gauche lors des élections législatives. La victoire de la « gauche plurielle » aux élections législatives de 1997 lui permet d'accéder à nouveau à la présidence de l'Assemblée. Trois ans plus tard, en 2000, il est nommé ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie dans le gouvernement Lionel Jospin.
Il prend une position minoritaire au sein du Parti socialiste en appelant à voter « non » au référendum de 2005 sur le traité établissant une constitution pour l'Europe. En 2006, il se porte candidat à la primaire socialiste en vue de l'élection présidentielle de 2007, mais il est devancé par Dominique Strauss-Kahn et par Ségolène Royal, qui l'emporte.
À la suite de l'élection de François Hollande à la présidence de la République, il est ministre des Affaires étrangères dans les deux gouvernements Jean-Marc Ayrault, de 2012 à 2014 (redevenant « numéro 2 »), date à laquelle il voit ses compétences élargies au Développement international au sein du gouvernement Manuel Valls.
En 2016, il quitte le ministère des Affaires étrangères pour devenir président du Conseil constitutionnel, ayant été nommé par François Hollande en remplacement de Jean-Louis Debré.
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Paul de Yougoslavie, ou Paul Karađorđević (en serbe cyrillique : Павле Карађорђевић ou en serbe translittéré : Pavle Karađorđević ou Karageorgévitch dans les documents français de l'époque), prince de Yougoslavie, est né le 27 avril 1893 à Saint-Pétersbourg (Empire russe) et mort le 14 septembre 1976 à Neuilly-sur-Seine. Membre de la dynastie Karađorđević, il est régent du royaume de Yougoslavie pendant la minorité du roi Pierre II, de 1934 à 1941.
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