Date de création : 09.04.2012
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Population et société
Densité de population de l'aire urbaine de Bar-le-Duc.
Les habitants de la commune sont appelés les Barisiens.
Bar-le-Duc se trouve sur la diagonale du vide. En 2014, la commune comptait 15 668 habitants. La superficie de la commune étant de 23,62 km2, la densité s'élevait donc à 663 habitants par km2.
La ville forme avec les communes limitrophes de Behonne, Fains-Véel et Savonnières-devant-Bar, l'unité urbaine de Bar-le-Duc, qui rassemblait 19 289 habitants en 2013. D'une surface de 56,3 km2, la densité s'élevait à 343 habitants par km2.
Elle est également au cœur de l'aire urbaine de Bar-le-Duc, regroupant 42 communes et 33 638 habitants en 2013. D'une surface de 543,1 km2, la densité s'élevait à 62 habitants par km2.
La communauté d'agglomération Bar-le-Duc Sud Meuse (Meuse Grand Sud), dont fait partie Bar-le-Duc, rassemble 33 communes et 36 187 habitants en 2013. D'une surface de 400 km2, la densité s'élevait à 90,5 habitants par km2.
En 1793, la population de la commune est de 9 111 habitants. Elle double en 93 ans pour atteindre 18 860 habitants en 1886. La population diminue ensuite jusque 16 261 habitants en 1921, avec une grosse perte de 807 personnes entre 1911 et 1921 due à la Première Guerre mondiale. Le nombre d'habitants repart à la hausse pour atteindre 16 697 en 1936. Dix ans plus tard, après la Seconde Guerre mondiale, il ne reste plus que 15 460 habitants, soit une perte de 1 237 habitants. La population se remet à progresser pour atteindre 19 288 habitants en 1975. Depuis, elle est en baisse constante.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans.
En 2021, la commune comptait 14 668 habitants, en diminution de 5,66 % par rapport à 2015 (Meuse : −4,57 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
9111 | 8961 | 9970 | 11432 | 12496 | 12383 | 12526 | 13191 | 14816 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
13835 | 14922 | 15334 | 15175 | 16728 | 17485 | 18860 | 18761 | 18249 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
17693 | 17307 | 17068 | 16261 | 16365 | 16550 | 16697 | 15460 | 16609 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
18346 | 19159 | 19288 | 18471 | 17545 | 16944 | 16041 | 15895 | 15221 |
2021 | - | - | - | - | - | - | - | - |
14668 | - | - | - | - | - | - | - | - |
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999 puis Insee à partir de 2006.)
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Pot de confiture de groseilles de Bar-le-Duc.
Un restaurant de Bar-le-Duc est cité au Guide Michelin 2015 et détient deux toques au Gault et Millau.
La spécialité gastronomique de Bar-le-Duc est la confiture de groseillesépépinées à la plume d'oie, surnommée « caviar de Bar ». La première mention de cette recette date de 1344, et sa renommée va rapidement s'étendre dans les milieux bourgeois et aristocratiques. La reine d'Écosse Marie Stuart compare cette confiture à « un rayon de soleil dans un pot ». Alfred Hitchcock ne descendrait que dans des hôtels qui en proposent au petit-déjeuner. Le président de la République Raymond Poincaré l'introduit sur les tables du palais de l'Élysée. Le Premier ministre britannique Winston Churchill et l'écrivain Victor Hugo en raffolent. Aujourd'hui, cette confiture est exportée à travers le monde entier, de New York à Tokyo.
Depuis 2008, les communes de l'ancienne communauté de communes de Bar-le-Duc ont entrepris une démarche de valorisation du groseillier, considéré comme une plante identitaire du territoire. Chaque commune a donc choisi et planté une variété de groseilliers différente. Bar-le-Duc a opté pour le groseillier à fleurs « London Market ».
Bar-le-Duc se trouve dans l'aire géographique de la production du lait et de la fabrication du fromage de brie de Meaux (AOC et AOP). En 2015, trois fromageries meusiennes fabriquent 70 % de la production française de brie de Meaux. La commune se trouve également dans les périmètres d'Indication géographique protégée (IGP) de la mirabelle de Lorraine, de la volaille de la Champagne, et de la Bergamote de Nancy.
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Le brie de Meaux est un fromage au lait cru dont l'appellation d'origine est préservée commercialement via une AOC depuis 1980. Son aire de production s'étend des plaines briardes jusqu'à la Meuse. Son appellation vient de la région de la Brie et de la commune de Meaux en France.
Sa meilleure période de consommation s'étend de juillet à mars.
Description
Brie de Meaux.
C'est un fromage à base de lait de vache, cru à pâte molle à croûte fleurie, d'un poids moyen de 2,8 kg pour un diamètre de 36 à 37 cm. Sa croûte est fine, d'un blanc duveteux et parsemée de taches rouges. Sa pâte est couleur jaune paille, onctueuse et souple mais non coulante.
Histoire
Le brie de Meaux serait originaire de l'abbaye Notre-Dame-de-Jouarre. En 1793, François Joachim Esnue-Lavallée fit son éloge : « Le Brie, aimé par les riches et les pauvres, prêchait l'égalité avant qu'on ne l'ait jamais imaginée possible ».
Ce fromage aurait été sacré « roi des fromages » par Talleyrand lors du congrès de Vienne dont le banquet de clôture eut lieu le 9 juin 1815. Auparavant Talleyrand prétendit qu'aucun fromage ne valait le Brie. Metternich, agacé de ne pas voir son « Bleu de Bavière » reconnu comme le meilleur décida d'organiser pour le banquet final du Congrès une dégustation des cinquante-deux fromages régionaux que représentaient les participants des différents pays en présence. À la fin de la dégustation, ce fut le Prince Metternich, lui-même, qui proclama le Brie « Prince des fromages et premier des desserts ».
À l'origine, le fromage était produit uniquement dans la région autour de Meaux, mais à partir de 1953 le territoire de production voué au commerce s'étend vers l'est jusqu'à la Meuse. L'appellation d'origine contrôlée (AOC) est obtenue le 18 août 1980. En 2015, les fromageries meusiennes de Cousances-lès-Triconville, Raival et Biencourt-sur-Orge, situées dans l'aire géographique de la production du lait et de sa transformation en fromage de brie de Meaux (AOC et AOP) fabriquent 70 % de la production française de ce fromage.
Consommation
Sa pâte jaune paille faite à cœur révèle un goût de noisette et une légère odeur de fermentation. Plus il est affiné, plus il est corsé. De nombreux vins (rouges ou blancs) peuvent accompagner le brie de Meaux : bourgogne, côtes du Rhône, saint-émilion, pomerol, pinot-noir d'Alsace, voire champagne... Certains conseillent plutôt le cidre, de préférence de la même région.
Il entre également dans la confection de nombreuses spécialités culinaires de la région de la Brie : les galettes briardes, les bouchées à la reine au brie de Meaux...
Production du lait et transformation en fromage
Boîte de brie de Meaux, Société Rouzaire.
Le brie de Meaux est fabriqué avec du lait cru. Il faut environ 25 litres de lait pour un fromage de 3,5 kg. Le lait fermente en cuve durant 16 heures, puis est mis en bassine avec de la présure pour être caillé (le caillage dure une heure). Il est ensuite coupé en petits cubes avec un tranche-caillé. Enfin, il est moulé à la main par fines couches successives à l'aide d'une « pelle à brie », sorte de grande écumoire. La température de la pièce dans laquelle est effectué le moulage doit être portée à 33 °C durant 4 heures, afin de faire évacuer le lactosérum, puis à 24 °C durant six heures et enfin à 19 °C. L'égouttage s'effectue sur des nattes de roseaux. Le lendemain, les fromages sont démoulés puis salés au sel sec : ils restent alors dans la salle de salage durant deux jours. Ensuite, les fromages sont mis dans une salle à 12 °C dans laquelle ils vont commencer à s'affiner. Leur couleur blanche commencera à apparaître. Au bout d'une semaine, les fromages seront mis dans un autre réfrigérateur à 7 °C. Il faut attendre encore 3 semaines au minimum mais les bries n'atteignent leur complète maturité qu'au bout de 6 à 8 semaines. Pendant toute la période d'affinage, les fromages sont retournés régulièrement à la main.
Le temps de fabrication du brie de Meaux est de 2 mois en tout.
Le territoire de production du brie de Meaux est limité aux départements de Seine-et-Marne, du Loiret, de la Meuse, de l'Aube, de la Marne, de la Haute-Marne et de l'Yonne. La Meuse représente à elle seule plus de 70 % de la production de lait pour ce brie, et de nombreuses fabriques également.
Communes du département de l'Aube : toutes les communes des cantons d'Arcis-sur-Aube, Chavanges et Ramerupt, toutes les communes de l'arrondissement de Nogent-sur-Seine et les communes de Bétignicourt, Blignicourt, Courcelles-sur-Voire, Lassicourt, Lesmont, Molins-sur-Aube, Rances, Rosnay-l'Hôpital, Saint-Christophe-Dodinicourt, Soulaines-Dhuys et Yèvres-le-Petit.
Communes du département du Loiret : toutes les communes des cantons de Château-Renard, Courtenay et Ferrières-en-Gâtinais.
Communes du département de la Marne : toutes les communes des cantons d'Anglure, Châtillon-sur-Marne, Dormans, Esternay , Montmirail, Montmort-Lucy, Saint-Remy-en-Bouzemont-Saint-Genest-et-Isson, Sézanne et les communes de Bréban, Chapelaine, Corbeil, Humbauville, Saint-Martin-d'Ablois, Saint-Ouen-Domprot, Saint-Utin, Sompuis et Somsois.
Communes du département de la Haute-Marne : toutes les communes des cantons de Chevillon, Montier-en-Der, Poissons, Saint-Dizier-Centre, Saint-Dizier-Nord-Est, Saint-Dizier-Sud-Est,Saint-Dizier-Ouest, Wassy.
Communes du département de la Meuse : totalement les cantons de Ancerville, Bar-le-Duc, Canton de Clermont-en-Argonne, Ligny-en-Barrois, Montiers-sur-Saulx, Pierrefitte-sur-Aire, Revigny-sur-Ornain, Seuil-d'Argonne, Vaubecourt, Vavincourt ; partiellement les cantons Commercy, Saint-Mihiel, Souilly, Verdun, Void-Vacon et les communes de Bonnet, Saint-Joire et Tréveray.
Communes du département de Seine-et-Marne : toutes les communes.
Communes du département de l'Yonne : toutes les communes des cantons de Chéroy et de Pont-sur-Yonne et les communes de Nailly, Piffonds, Saint-Martin-du-Tertre et Vinneuf.
Chiffres de production
6 173 tonnes en 2013 (-17,6 % depuis 2000) par 7 fabricants-affineurs, 3 affineurs et 8 laiteries industrielles fournies en lait par 443 producteurs. En 2021, la production s'établit à 6 849 tonnes.
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
https://fr.wikipedia.org/wiki/Brie_de_Meaux | |||||||||||||||||||||||||||
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L'Hôtel de Florainville est un bâtiment situé à Bar-le-Duc, en France. Il sert de Cour d'Assise au département de la Meuse.
Localisation
L'édifice est situé dans le département français de la Meuse, sur la place saint-Pierre de Bar-le-Duc.
Historique
Le bâtiment était à son origine construit au xviie siècle pour la famille de Florainville et il fut ensuite le siège de la municipalité en 1794 qui y logeait ensuite son musée. Il devint ensuite le siège du tribunal de grande instance avant d'être celui de la cour d'Assise. L'hôtel est partiellement classé au titre des monuments historiques pour ces toitures et façades sur rue.
Il fut le lieu de réception de la future reine Marie Antoinette d'Autriche lors de son voyage depuis la frontière vers le Roi.
Architecture
Il est en pierre de Savonnières comme la majorité des hôtels de la place avec un toit d'ardoises à quatre pans. Sur la place sa façade est sur trois étages, chacun ayant son style particulier, un étage à l'attique avec des fenêtres cintrées sous le toit. Des balcons, avec garde corps en fer forgé, sur consoles avec cinq grandes fenêtres au premier et des fenêtres à meneaux du rez-de-chaussée où arrivent un grand escalier à double révolution.
Les blasons de France, du duc de Bar (d'azur semé de croisettes recroisetées au pied fiché d'or aux deux bars adossés du même brochant sur le tout) et de sa capitale (d'argent aux trois pensées tigées et feuillées au naturel) sont surmontés par la devise GESTA SONNANT ("Les hauts faits résonnent").
Sur la façade rue Cim est gravée l'inscription "Celuy qui n'aura voulu quand il aura pu ne pourra peut-estre pas quand il voudra ; 1640"
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Le palais de justice de Bar-le-Duc est situé dans l'hôtel de Florainville, en Ville Haute.
La commune relève du tribunal d'instance, de grande instance, de commerce et du conseil de prud'hommes de Bar-le-Duc. Elle est rattachée à la cour d'appel, au tribunal administratif et à la cour administrative d'appel de Nancy. Elle dépend également du tribunal pour enfants de Verdun et de la cour d'assises de la Meuse située à Bar-le-Duc
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La (ou le) Game Boy (ゲームボーイ, Gēmu Bōi ) est une console portable de jeu vidéo 8-bits de quatrième génération développée et fabriquée par Nintendo. Mise en vente au Japon le 21 avril 1989, puis en Amérique du Nord en juillet 1989, et enfin en Europe le 28 septembre 1990, elle est la première console portable de la gamme des Game Boy. Elle fut conçue par Gunpei Yokoi et Nintendo Research & Development 1 — la même équipe ayant conçu la série des Game & Watch ainsi que de nombreux jeux à succès sur Nintendo Entertainment System.
Malgré la sortie de consoles portables techniquement plus avancées, la Game Boy connaît un franc succès. Les modèles Game Boy et Game Boy Color totalisent 118,6 millions d'exemplaires vendus à travers le monde. Dès sa sortie aux États-Unis, plus d'un million d'exemplaires sont vendus en quelques semaines. La production de la console portable s'est achevée en 2003
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Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord, communément appelé Talleyrand, né le 2 février 1754 à Paris où il est mort le 17 mai 1838, est un homme d'Église, un homme d'État et un diplomate français, actif du règne de Louis XVI à celui de Louis-Philippe, particulièrement pendant les périodes de la Révolution, de l'Empire et de la Restauration.
Issu d'une famille de haute noblesse, mais souffrant d'un pied bot, il est orienté vers une carrière ecclésiastique en vue de prendre la succession de son oncle, archevêque de Reims. Ordonné prêtre en 1779, il est nommé en 1788 évêque d'Autun. Sous la Révolution, il adhère d'abord à la Constitution civile du clergé (1790), puis renonce à la prêtrise pour mener une vie laïque.
Talleyrand occupe des postes de pouvoir sous la plupart des régimes qui se succèdent en France : sous l'Ancien Régime, il est agent général du clergé (1780) ; en 1789, il se fait élire député du clergé aux États généraux, est un moment président de l'Assemblée nationale constituante en 1790 et est à l'origine de la Constitution civile du clergé ; en 1792-1793, il est ambassadeur de France au Royaume-Uni ; sous le Directoire, il est ministre des Relations extérieures et le reste sous le Consulat et l'Empire ; en 1814, il est président du gouvernement provisoire ; sous la Restauration, il est ambassadeur, ministre des Affaires étrangères et président du Conseil des ministres ; enfin, sous la monarchie de Juillet, il est ambassadeur.
Il assiste aux couronnements de Louis XVI en 1775, de Napoléon Ier en 1804 et de Charles X en 1825.
Il intervient fréquemment dans les questions économiques et financières, pour lesquelles son acte le plus fameux est la proposition de nationalisation des biens du clergé en 1789. Toutefois, sa renommée provient surtout de sa carrière diplomatique exceptionnelle, dont l'apogée est le congrès de Vienne. Homme des Lumières, libéral convaincu, tant du point de vue politique et institutionnel que social et économique, Talleyrand théorise et cherche à appliquer un « équilibre européen » entre les grandes puissances.
Réputé pour sa conversation, son esprit et son intelligence, il mène une vie entre l'Ancien Régime et le xixe siècle. Surnommé le « diable boiteux » et décrit comme un traître cynique plein de vices et de corruption ou au contraire comme un dirigeant pragmatique et visionnaire, soucieux d'harmonie et de raison, admiré ou détesté par ses contemporains, il suscite de nombreuses études historiques et artistiques.
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Catherine II (en russe : Екатерина II) ou Catherine la Grande (Екатери́на Вели́кая), à la naissance Sophie Frédérique Augusta d'Anhalt-Zerbst, née le 2 mai 1729 à Stettin en Poméranie (aujourd'hui Szczecin en Pologne) et morte le 17 novembre 1796note 3 à Saint-Pétersbourg, épouse du prince puis empereur Pierre III (1728-1762), est impératrice de Russie de 1762 à 1796, à la suite d'un coup d'État (9 juillet 1762), suivi de l'incarcération de Pierre III, puis de son exécution (17 juillet) par un proche de Catherine.
Recevant le prénom de Catherine lors de son baptême orthodoxe, nécessaire avant son mariage avec le prince Pierre, elle devient impératrice consort après l'avènement de ce dernier (5 janvier 1762). Après son coup d'État, elle se fait proclamer « impératrice et autocrate de toutes les Russies ».
Elle règne personnellement sur l'Empire russe du 9 juillet 1762 à sa mort. Sous son règne, la Russie connaît une grande expansion territoriale vers l'ouest et le sud (plus de 500 000 km2), notamment à l'occasion des trois partages de la Pologne (1772, 1793 et 1795) et de guerres victorieuses contre l'Empire ottoman.
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Manfred Albrecht, Freiherr von Richthofen, né le 2 mai 1892 à Breslau et mort le 21 avril 1918 à Vaux-sur-Somme, est un aviateur allemand devenu une légende de l'aviation de la Première Guerre mondiale. À l'époque, il était connu en France sous les surnoms de « Baron rouge » ou de « Diable rouge », mais depuis, le surnom donné par les aviateurs britanniques (« the Red Baron » soit « le Baron rouge ») a fini par s'imposer au point de remplacer en popularité son nom authentique.
Avec quatre-vingts victoires confirmées, selon le système de comptage allemand, il est l'as des as de l'aviation allemande de la Première Guerre mondiale. Hauptmann dans la célèbre Jasta 11, sa célébrité est liée à celle de son Fokker Dr.I Triplan peint en rouge vif au lieu des traditionnelles couleurs de camouflage, d'où son surnom. Il a pour frère cadet Lothar von Richthofen, autre pilote chevronné de l'armée de l'air allemande.
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L'Aichi D3A, ou « Bombardier embarqué de Marine Type 99 » (en japonais : « 99式艦上爆撃機 »), est un bombardier en piqué biplace en tandem japonais, en service de 1940 à 1945, pendant la Seconde Guerre mondiale.
Dénommé Val par le code des Alliés du Pacifique, il fut le premier avion japonais à bombarder des objectifs américains, et aussi celui qui parvint à couler la plus grande quantité de navires de combat alliés. Cet appareil a participé à pratiquement toutes les opérations aéronavales japonaises de la Seconde Guerre mondiale.
Origine
Au cours de l'été 1936, la Marine impériale japonaise lança une fiche-programme (11-Shi) concernant un monoplan d'attaque en piqué embarqué destiné à remplacer les biplans Aichi D1A. Aichi, Nakajima et Mitsubishi se portèrent candidats, seuls les deux premiers se voyant commander chacun deux prototypes. Le projet développé par Aichi Tokei Denki Seizo Co associait une voilure elliptique, inspirée du Heinkel He 70, et un fuselage au dessin assez proche de celui du Mitsubishi A6M Zero, malgré un poste de pilotage biplace en tandem. De construction entièrement métallique avec surfaces mobiles entoilées, il était conçu pour résister à une attaque en piqué, et pour simplifier la construction, un train d'atterrissage classique fixe caréné fut retenu, la traînée engendrée ne devant pas influer de façon importante sur les performances.
Propulsé par un moteur 9 cylindres en étoile Nakajima Hikari 1 (en) d'une puissance de 710 ch au décollage entraînant une hélice tripale métallique, le prototype débuta ses essais en janvier 1938. Les premiers essais se révélèrent décevants : sous-motorisé, l'Aichi AM-17 (désignation constructeur) était instable en évolutions larges, se mettait facilement en vrille en virage serré, les freins de piqué vibraient de façon dangereuse à 370 km/h, alors que la Marine demandait de porter la vitesse d'attaque à 440 km/h.
Le second prototype subit donc toute une série de modifications avant de voler à son tour : Le moteur Hikari fut remplacé par un 14 cylindres en étoile Mitsubishi Kinsei 3 de 840 ch sous un capot-moteur plus profond, l'empennage vertical fut agrandi pour améliorer la stabilité de l'appareil, la voilure fut légèrement allongée avec modification du dessin du bord d'attaque, et les aérofreins consolidés. Si la stabilité longitudinale laissait encore à désirer, ces modifications furent jugées suffisantes pour que l'Aichi AM-17 soit préféré à ses concurrents, et le biplace Aichi fut commandé en décembre 1939 comme « Bombardier embarqué de Marine Type 99, modèle 11 », ou « D3A1-11 ».
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